La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1915, 08 Mei. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 04 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/7h1dj59c2n/
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LA MÉTROPOLE D'ANVERS, PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES. " AHKÉE. SAMEDI 8 MAI 1915. No. 138. LA GRANDE GUERRE. LA SITUATION GENERALE—LE BU' REEL DES ALLEMAND S.—L j BATAILLE DE GALICIE— L'INTEE VENTION ITALIENNE. — ATTITUD] REGRETTABLE DE L'ORGANE D1 VATICAN.—LE " LUSITANIA " TOE PILLE ET COULE. 14,-jBtaation militaire générale-est très bie: commentée dans un communiqué oflicieu: publié hier à Paris. " Pour des raison politiques, si évidentes' qu'il est superflu d*; insister,dit-il, rétafHnajor général a .pendant 1 dernière quinzaine, multiplie ses opération offensives— Il a subi des défaites complète et ses troupes ont subi des pertes sanglantes." En Belgique, deux corps d'armée se lancèren à l'attaque pour percer le front des Alliés ai nord d'Ypres. Ils n'y réussirent pas et pei dirent énormément de monde. Les Allemand se vengèrent en bombardant Dunkerque, mai leur feu cessa au bout de deux jours san qu'aucun résultat d'ordTe militaire eût été ot tenu. De même, aux Eparges, ils ne. réussiren qu'à iaire décimer trois divisions fraîche^ Dans les Vosges, après avoir perchi pendant ui jour le sommet du Vieil-Armand, les Françai l'ont repris et ont avancé de deux cents mètre au delà de la crête. "En résumé, pendant la dernière quinzaine les Allemands ont tenté un très grand effor offensif que nous avons promptement brisé Le total de leurs pertes en Belgique, sur le hauts de Meuse, et dans les Vosges dépass trente-cinq mille hommes. Ils n'ont nulle par percé notre front et ils n'ont capturé aucun-position importante. Une demi-douzaine d leurs meilleures divisions ont étc décimées." En attendant, le calme semble revenu su h front occidental. Le communiqué françai de jeudi soir ne signalait que le statu-quc Celui d'hier après-midi, fort bref, n'annonc qu'une attaque allemande manquée contr Bagatelle (Argonne) et de violents duels d'artil lerie sur le reste du front, surtout au non d'Ypres afc dans le voisinage de Vauquois. I faiit-aceueillir avec scepticisme le-communiqui d& Berlin, disant indirectement que la collin 60 serait en la possession des troupes aile mandes. Les Russes disent qu'en Galicie occidental la bataille qui se livre entre la Vistule et le: Carpathes continuait toujours mercredi ave une grande obstination. Ils précisent que l'ei fort principal de l'ennemi est dirigé surtou contre Biecz et Jaslo, ils reconnaissent qu leurs troupes furent soumises à une dur. ?preuve grâce à la supériorité de l'artilleri ourde allemande et que l'ennemi continue ; loncentrer des forces sur la rive " droite " di à Duna.jctz, dont le passage est apparemmen orcé. mais ils n'avouent aucune retraite. I 'A donc.probable que toutes les mesures son mses pour faire face à la situation. L' " In alid Russ" annonce du reste que l'étai-majo l'a nullement négligé la menace possibl reiiant de Cracovic et que l'ennemi aura trè irochainejnent l'occasion, de sJen apercevoi >ar la résistance qu'il rencontrera. En attendant, les Allemands ont comroenci i s'apercevoir qu'ils avaient commis une faut* :n n'annonçant pas depuis longtemps une re raite russe sur le front occidental des Car lathes-qui aurait dû se reproduire depuis plu leurs jours s'il était vrai que les lignes de li ialicie eussent été percées dès le 2. Ih lernier communiqué de Berlin révèle don nfin que les Russes évacuent la passe de Lup :ow, mais, chose curieuse, les Autrichiens son nuets sur ce point capital et nos Alliés, d< eur côté, annoncent un nouveau succès ai norrt Makouvka (Carpathes) où ils ont fai 000 soldats et 40 officiers prisonniers. D'autre 'art la menace allemande contre Libau et Rig< arait définitivement écartée, et les Russes on btenu des succès intéressants sur l'Orzici omme sur la Mlawa, où les Allemands ont ci nviron mille morts. Il convient- donc d'at mdre la confirmation du télégramme d< *i°nrw3 annonçant la reprise de Tairnow. L'Italie, en tout cas, n'a pas l'air de si lisser influencer par ces cris de triomphe 'lus que jamais, malgré la scandaleuse atti ude des neutralistes! à tous crimes et spéciale Qent de 1' " Osservatoro Romano " qui oubli< in peu trop s>emble-t-il, le martyre de la Bel ique, le pays du Dante se prépare au gest< ui doit la placer aux côtés des champions di froitet la grandir devant l'histoire. Un décre oyal permet au gouvernement de suspendr< s services télégraphique et téléphonique " ai as de circonstances extraordinaires," d< ouveaux trains ont été supprimés sur le: randes lignes; les clercs austro-hongrois î tome ont reçu du Vatican l'ordre de quitte: mmédiatement la ville; M. Venizelos a ét< appelé d'urgence à Athènes. Peut-être la dé ision de l'Italie sera-t-elle bâtée par le dédaii resque méprisant avec lequel l'opinion pub ique allemande, plus optimiste que jamais nvisage Tentrée-en campagne dJun million d< •rères de G-axibaldi " ! Mais tous ces faits, quelqinintéressant; ^'ils puissant être, pâlissant devant intérê irect des derniers événements de la guerrt aite par les Allemands aux pacifiques navire: e commerce. Ils semblent avoir réussi i uettre en service, tout dernièrement, au moin: "i véritable dneadnought sous-marin, mesu ant pins de 120 mètres de longueur, armé d< eize tubes lamce-torpilles et de plusieur: a-nons, capable de poursuivre en surface de; 'avinee rapides-et-doué d'un rayon d'action qu ui permet de se risquer dans l'Atlantique. C'est probablement ce sous-marin que 1 ransatlantique "Lnsitania," de la Cunarc ^ûe, un des plus beaux et des plus rapide: lévriers de La mer " a été victime hier après kûli, à deux heures et demie au large de h ^te irlandaise, à la fin de son voyage de New ïork à Liverpool. L'ambassade allemande )ar des avis insérés dans les journaux améri cains, avait prévenu les 1258 passagers _ di l'avire du danger auquel ils s'exposaient . ■ (lVènemfôot"vient'de prouver qu'il n'était pa: lQ>agmaipô. ç :^u moment'^où * nous écrivons ces lignes oi ou jUe Iîa:vTre a coulé assez lentement e le de nombreux-sauveteurs se trouvent 6U mais - oiî'^igîiore encore s'il y. a de NOS SUCCES AU CONGO. r LES OPERATIONS DU ^ TANGANYIKA. \ *" Au cours des trois mois qui viennent de I s'écouler, dit la " Tribune Congolaise," les - troupes du Katanga n'ont eu, d'après un rapport- officiel .parvenu au gouvernement belge, à livrer aucun combat sérieux. En-Rhodésie, le calme a été complet. 1 Sur le Tanganyika, les Allemands ont pu se c croire un instant maîtres incontestés du lac, s du jour où. le " A.-Delcommune " avaifrété mis j hors-de service. Ils-en ont profité tout (Sabord x>our se livrer, • le long de la frontière, à des déprédations et à 3 des pillages, grâce, semble-t-il, à la présence 3 d'espions à leur solde sur notre côte. Néan-' moins ils ne tentèrent aucun débarquement t important de troupes, sachant probablement i que les points principaux se trouvent à l'abri - de tout coup de main, bien armés de canons 5 et de mitrailleuses. 5 Maintenant que la saison sèche est là et que 3 1-3 lac va entrer dans son régime violent, la - navigation et le tir des steamers allemands se t feront plus difficiles et nous pourrons envi- • sager l'avenir avec espoir. i Quand nous disons *c les " steamers alle- 3 mands, nous sommes peut-être à côté de la 3 vérité. Nos ennemis, possédaient sur le lac le steamer " Edwige von Wissman " et deux re- , morqueurs. Le 2 février dernier, le " Von t Wissmann," remorquant un dauw chargé de • troupes, se dirigeait sur le Katanga, quand, à 5 4800 mètres, il fut accueilli par le feu d'une de 3 nos pièces de 10. Le tir était parfaitement t réglé et, par trois fois, le bateau fut atteint, 3 tandis que le dauw faisait eau. Ayant em-5 barque le chargement du dauw, s'est avec les plus grandes .peines que le " Von Wissman" r put regagner la rive allemande. 3 Depuis, on n'a plus aperçu un bateau en- • nemi. 3 Le grand steamer " Graf-Gotzen," qui devait - être terminé pour le 15 novembre, n'a pas - quitté Kigoma. Il parait avéré que les 1 machines destinées au navire n'avaient pu 1 parvenir à Dar-es-Salam avant la mise à exé-î cution du blocus maritime. 5 Vraisemblablement, le " Von Wissman," - ayant été mis hors de combat, les Allemands n'ont plus de bateau sur le lac, 3 Une dépêche de Barraka (frontière est) dit ' d'autre part que la commissaire général Henry 2 a, le commandement supérieur des troupes au - Kivu. Le commandant Renard est investi du t commandement depuis Nya-Lnlcemba jusqu'au î 5e parallèle, où les troupes du Katanga en-î trent en action. Au début des hostilités, les î Allemands ont brûlé Gowa et Luangi (ce der-J nier poste était abandonné), et ont capturé î 111e de Kwidpai. Le commandant Henry t s'est chargé de la revanche et a complètement 1 défait les Allemands à Kissequi. Un vapeur t allemand a, menacé plusieurs fois le rivage et - a bombardé notamment les postes de Baraka r et Uvira. Les Allemands ont aussi détruit le î steamer belge " Delcommune " dans la s Lukuga. r LA FOLIE PACIFISTE. ! "LAISSEZ LA PAIX A CEUX ; QUI FONT LA GUERRE." > Cette pittoresque formule: '"Laissez la paix j à ceux qui font la guerre," émane d'un grand . écrivain norvégien, M. le professeur Collin. Il t écrit dans le " Tidens Tegn," à propos de tous v les mouvements socialistes, féministes et i autres qui cherchent à se manifester:— J <c Des cambrioleurs ont pénétre dans une > maison ; les enfants sont massacrés, les L femmes violées, les oeuvres d'art détruites. 1 Les bonnes dames du voisinage ont assisté im-1 puissantes, de leurs fenêtres, à cet attentat. 1 Leurs maris étaient désarmés. Menacées ■ elles-mêmes, elles iront su intervenir, lmpro-5 viser entre elles un semblant de résistance. Elles n'ont même pas eu la force de-crier. • "Maintenant, après de longs efforts, les • assaillants sont repoussés, menacés à leur tour " d'un juste châtiment. Alors, les voisines re-" trouvent la voix et se montrent dans les rues. 5 Mais c'est pour crier: "Faites la paix!" ou ' bien pour dire aux combattants: "Que la 5 paix, quand elle sera conclue, vous laisse à 1 jamais frères et amis ! " ' "Les habitants des maisons saccagées, qui ' combattent pour leur vie, quittent un instant 1 du regard le champ de bataille et disent :— 5 " Q.ui êtes-vous, vous qui nous exhortez à la 5 paix? Est-ce vous qui étiez à vos fenêtres L quand on assassinait? Vous arrivez main- ; tenant que nous pouvons nous défendre. Avez- J vous quelque puissance en mains pour arrêter • les pillards? Nous assurez-vous une pleine 1 compensation, un redressement honorable des ' torts et la sécurité dans l'avenir? Non ! Alors, ■ retournez à vos fenêtres et à vos pofvs de fleurs. : Puisque vous ne pouvez entrer dans la lutte. sacrée pour le droit, allez, pour l'amour de ; Dieu, gagner de l'argent. Il en faudra pour ^ payer tout ce que vous devez." 1 "Voilà, déclare le professeur Collin. ce que ; pensent les Belges et les Français des con- L férences féministes ou autres pour la paix, 1 auxquelles s'amusent les neutres. Sans doute, ' comparaison n'est pas raison. Mais ils par- ; lent en hommes. Sachons nous mettre à leur ! place. ' "Je suis un pacifiste. C'est à ce titre que L je dis: "Laissez en paLx ceux qui font la guerre. Il fallait parler plus tôt. Epargnez ^ maintenant votre bavardage. Il ne peut^que nuire à la cause du droit et à vous mêmes. l —Les journaux d'Anvers ont annoncé que • Mmes Osterriet-h et Sarton représenteraient la , ville d'Anvers au congrès-bouffe de la paix, à - La Haye. i — D'importantes réformes vont être intro- . duites dans le service des travaux publics au s Congo hçlge. Il va être scindé en deux sections: celle des bâtiments civils et celle des i ponts de chaussées, ce qui constitue une inno- l vation des plus heureuses puisqu'elle laisse à r chacune des sections sa spécialité. Il y aura 3 en outre quatre services spéciaux: celui de la. marine^ celui-des poste&qQt- télégraphes* LA VIE A ANVERS. LE COMMERCE DES BOIS. Voici quelques renseignements au sujet du commerce des bois à Anvers qu'il est bon de c faire connaître et de publier pour édifier le public sur la façon dont les Boches traitent .5 nos compatriotes, négociants en bois. Il s'est créé en Allemagne, sous la protec- j tion du gouvernement, une société dénommée " Deutscher Betrieb Verein," avec laquelle " certains Belges-Allemands ont des aceoin- * tances. Cette société est composée des vingt-cinq principales firmes allemandes du commerce des bois. La " Deutsche Betrieb "v Verein " a reçu comme mission du gouverne- 1 ment de relever en Allemagne, les besoins en 3 bois, tant du commerce que de l'industrie, c Cette société a d'autre part dû envoyer en £ Belgique plusieurs de ses membres pour faire t le relevé complet du stock des bois exis- f tants dans notre pays. Cette étude faite, la I société a dû déposer son rapport et faire ses £ propositions pour l'achat des bois existants en Belgique,, pour approvisionner leur pays, I non pas au point de vue des besoins mili- c taires essentiels, notez-le bien, mais au point 1 de vue général, tant du commerce que de Fin- E dustrie, l'Allemagne étant mise quasi dans * l'impossibilité d'importer encore des 'bois de Russie, Finlande et même de Suède, ainsi que c de l'Amérique, d'une façon absolue. Ces ,c messieurs ont conclu dans leur rapport que ^ les prix qu'ils étaient autorisés à payer pour r pouvoir faire un profit sur nos marcliandises € et pouvoir entrer en concurrence avec leurs ^ confrères étaient les suivants:— c Prix d'importation de juin 1914, c'est-à-dire j le prix cif, soit donc le prix d'achat dans le pays d'origine plus le frêt. 0 Qu'on ne pouvait rien y ajouter, ni tenir £ compte des frais que les négociants auraient eus, tant en frais de débarquement qu'en s frais de quai, ni frais de manipulation, triages, emmagarinage, frais de locations de terrains, assurances ni à fortiori bien entendu bénéfices. f Que non plus, si les droits avaient été c payés pour certaines parties déclarées en con- e sommation, on ne pouvait en tenir compte (la r plupart des bois sont tenus sous le régime 1« de l'entrepôt fictif et obtiennent à la sortie, la f libre sortie sans droits). Ces messieurs ne c tiennent évidemment non plus aucun compte t de la hausse minimum de 20 à 25 pour cent survenue sur la marchandise depuis juin 1914, à ni de l'impossibilité qir'il y a de se procurer 1 les bois actuellement, les frets étant impossibles et les bois'étant, pour la majeure partie é des pays, déclarés contrebande de guerre, q Leurs prix qu'ils offrent sont basés, dirent- c ils, sur :— t lo. L'import de 10 pour cent de frais géné- f, raux sur le chiffre d'affaire-s oceasionnés par ' l'étude et toute l'administration de leur J société, et 2o. Sur ce ^ue la main-d'œuvre, faisant • pénurie (à qui la fauter) et les moyens de , transport étant en pénurie et très frayeux. il ' leur est impossible de payer de meilleurs prix, y Voici donc en fait l'oeuvre de la société. -Comment le gouvernement allemand va-t-il ■ s'y prendre maintenant pour donner Fexécu- ^ tion à ce désdderata de sa bande de vautours pour ne pas dire voleurs? Car, en fait, enlever des marchandises sans en payer le coût minimum, c'est-à-dire le prix de revient et [ sans tenir compte d'aucune augmentation a existante, c'est là un vol. Il faut donc dorer Q la pilule et égorger le monde sans qu'il ait l'occasion de crier. Pour ne pas devoir payer la réquisition, selon la convention intervenue entre l'autorité militaire allemande et le ^ pouvoir civil beige, d'après laquelle 'toute 0 réquisition serait payée du comptant après r-le 1er février (accord intervenu lors de l'acceptation forcée de la dette dc-480 millions, dette s de guerre de la Belgique), ils font ce qu'ils ^ appellent une " réquisition en masse " à l'en- c| contre du droit des gens et de a convention de La Haye. Système' de réquisitions, qui, r prétendent-i^s, est légal et accepté par la con- t vention et qui a le grand avantage de faire i l'objet d'une réquisition spéciale, qui n'est t donc pas comprise dans les réquisitions ordinaires "à payer." Ce système de réquisition leur donne le \ ''droit" de vider la Belgique entière'detoutes les matières premières existantes et de ruiner d'une façon complète le pays, par ce qu'on ' pourrait appeler à leurs yeux un " vol honnête." Il font donc donner à la réquisition une forme, comme si les marchandises réquisitionnées étaient pour les besoins de la s guerre, et voici comment ils-s'y- sont pris:— 1 Quant aux négociants en bois durs ils ont ^ reçu le petit poulet suivant (les bois durs ^ sons connus sous le nom-de bois d'ébénisterie) : a " Sàmtliche bei sifnan fur eigen oder fremde j Riechnung lagernde Hartholzer Die Eiche, jedocli nuT Eichen Kunstholzer, sind fur Zweck der Deutschen HeeresverwaJtu-ng c beseklag niehmt und werden demnàchts abtransportienl. Sie sind fur die Erhaltung n und Huherstellung der Ware verantworttich. " Die Preisbertimmung und Verrechnung y. wird durch das Preussische Kriegsmimisterium jf Berlin spater erfolgen." & Ce qui signifie: "Ce que vous avez pour ^ propre compte ou pour compte d'autrui dans g vos magasins en bois durs (bois d'ébénisterie), n pour les chênes, néanmoins rien que les chênes n sur quartier, sont séquestrés pour l'autorité g allemande et seront enlevés ultérieurement. u Vous êtes responsable pour la conservation et „ l 'assurance de ces marchandises. Les prix et q 1e décompte en seront fixés ultérieurement r par le ministère de la guerre de la Prusse à a Berlin." s Quand les bois seront-ils payés? Quel prix p et comment? Il n'en est pas question. Quel à but militaire peut-on bien donner à tous ces b bois dJébénisterie et spécialement aux bois _ de chêne sur quartier, les plus beaux? Il ~ entre peut-être dans les vues de ces messieurs ^ d'offrir des ameublements complets à leurs b officiers ! Cela semblerait un peu plus hon- s nête que de les enlever des maisons non Si occupées, comme ils ont fait en Belgique. Quant aux négociants en bois de sapins, ils ^ ne sont guère mieux traités, bien au contraire. On-len v enlève-les • dinre{K=ie»s--de choix^- &0I011 c1 LES GAZ TOXIQUES. LE RAPPORT BELGE. Comme nous l'avons annoncé, la commis-ion belge d'enquête sur la violation des règles Lu droit de-guerre, des lois et-des-coutumes de a guerre, vient d'adresser au ministre de la ustice son quatorzième rapport, consacré à 'emploi illégal, par les^troupes-allemandes, de az toxiques. Nous-croyons intéressant d'en ►ublier le -texte :— Monsieur le ministre,— La commission d'enquête a l'honneur de ous adresser le rapport suivant, au sujet de 'emploi par l'armée allemande de gaz asphy-:iants- contrairement -aux disposition de la dé-laration signée à La Haye le 29 juillet 1899, ux termes de laquelle les puissances conàrac-arrtes, parmi lesquelles se trouve l'Allemagne; 's'interdisent l'emploi de projectiles qui ont tour but unique de répandre des^ gaz as^hyxi-nts ou délétères." Le 22 avril 1915,. les Allemands ont préparé 'attaque du secteur Steënsiraat-Langemarck n employant des gaz asphyxiante. Dés mages de gaz ont été lancés et se sont abattus ur les tranchées occupées par les troupes lliées. , Les gaz formaient à vue tel nuage bas de ouleur verdâtre -foncée,^s'édaircissant en pas-ant-au jaune clair vers le haut, nuage pou-ant avoir U3W3 hauteur - d'une ' centaine de lètres. Ces gaz paraissent être de plusieurs spèces : du chlore, des vapeurs de formol, des apeurs nitreuses, de l'anhydride sulfureux et tes gaz non encore déterminés jusqu'ici. Pour chasser ces gaz, les Allemands ont em-loyé les moyens suivants : (a) Feux allumés devant les tranchées. Lès az qui s'en dégagent sont poussés par le vent ans la direction des positions ennemies ; . (b) Bonbonnes lancées dans les tranchées^ oit à la main, soit avec des engins; (c) IMbe dégageant des gazj (d) Obus contenant des gaz asphyxiants. Les gaz dont les Allemands ont fait usage >nt sentir leurs effets jusqu'à trois kilomètres e distance. Après une minute ou une minute t demie, les hommes "sont pris de vomisse-lents et de crachements de sang-, les veux et ïs muqueuses sont irrités, les hommes sont rappés d'urte sorte de stupeur qui dure pen-ant trois-ou quatre heures et parfois davan-age.Les Allemands se préparaient de-longue date employer ce procédé barbare de-combat, pro-ibé par les lois de la guerre. Depuis plusieurs semaines, l'autorité belge tait prévenue de leurs préparatifs. Elle savait ne des expériences avaient été faites avec des bus asphyxiants sur des chiens au champ de ir de Houthaelen, près de Hasselt ; elle savait ussi que des bonbonnes contenant des gaz élétères avaient été transportées au front des roupes et que des milliers de couvre-bouches, estinés à préserver les assaillants contre effet des gaz, avaient été confectionnés. Le 30 mars, un prisonnier allemand appar-mant au XVe corps d'armée déclarait "Il existe, sur tout le front de la région de illebeke, un approvisionnement de bonbonnes c 1 mètre 40 de haut, rangées dans dés abris lindés; elles contiennent du gaz asphyxiant. Iles n'ont pas encore été utilisées." Les pionniers ont reçu des instructions.—• "On couche les.bonbonnesversî'ennemr; la ression intérieure chasse les gaz vers l'avant; ï faut un vent favorable. L'opérateur a un p pareil spécial sur la tête; tous les hommes nt une enveloppe en étoffe sur les narines." Le 15 avril, 1111 prisonnier du XXVIe-corps 'armée confirmait ces renseignements: " Des bonbonnes de gaz (0 m- 80 de haut) se rouvent sur tout le front du XXVTe corps 'armée. Il y a une batterie de vingt tubes ar quarante mètres." Les Allemands n'attendaient qu'une occa-Lon favorable. Cette occasion, s'est présentée ès que le vent a soufflé du nord-est, dans la irection des armées alliées. La commission d'enquête croit devoir sig--aler àlar-conscience publique-ce nouvel attendit longuement prémédité commis par les roupes allemandes après tant d'a*utres viola-ions des lois de la guerre. lo. Madriers de sapin de 5 à 9 centimètres paisseur aussi large-que possible-et-au moins mètres de longueur; 2o. Planches de sapin aussi larges que pos-ible d'au moins 4 mètres de longueur de en-iron 2£ centimètres épaisseur.; 3o. Bois carrés de 0.12 par 0"TP2ciru equa-v issage et plus, Dnt saisis ou réquisitionnés par le-bureau de armée allemande et seront sous peu expédiés. " Vous êtes responsable pour la conserva-on, garantie ou assurances de la mardhan-ise. La fixation des prix et calculs seront près fixés par le ministère de la guerre à leriin." Comme on lc voit,-ces-forbans, sous prétexte e besoins militaire, s'apprêtent à ruiner le ommerce des bois en Belgique. Gomme il existe pour environ 150 ù 200 îillions de francs de bois à Anvers, on voit ar quel brigandage on ruine notre place. Ispérons que les Alliés ne leur laisseront pas ; temps d'accomplir leurs méfaits. Ils en Mit déjà néanmoins au delà d'un million à ;urs enlèvements, et on cite entre autres rmes celles de MM. Jussiaut et Cie, 180 îille francs; MM. Kintsschots et Cie, 130 îille francs; M. Pétri, consul-général de uède, 160 mille francs. M. Pétri détenait n chargement de bois, arrivé pendant la aerre, pour compte d'une maison suédoise! eci sans signaler tous les autres rapts, uant à la question du paiement, on prétend ue l'intention des Bosches serait de payer x mois après la fin de la guerre. Belle erspective ! C'est une honte de plus à ajouter la liste des méfaits de cette horde de. andits. ! libre arbitré des commissaires, car on loque tout le stock par- une prescription bien mple. On prend tout les longs bois, ne lais-mt que les courtes longueurs, longueurs dé-réciées et dont les Allemands ne sauront que ire. Voici la lettre qu'on leur a servi:— Ce que vous -avez pour votre-compte ou-. pour-mjptc' d'^autrui ens LA VIE A BRUXELLES. DESTITUTION DE LA CROIX-ROUGE DE BELGIQUE. Si LA SOUPE ET LE CINEMA. BRUXELLES', 28 a -rïL—Nou» avons-annoncé qu© le comité directeur de la Croix-Rouge avait été destitué par IV- -.-'jrité allemande. C'est le comte Von H®tzfeiU -Trachenberg qui gérera dorénavant ce,', organisme. Mais il y avait de l'argent belge en caisse, quelque chose comme deux-cent mille francs. Les Allemands ont* évidemment mis la grapin dessus. Et voilà l'affaire êh ordre, proclama von Bissing. —'Minute, r^que le comité destitué. Car v-\' arfô'trairement. ÎTous ne sommes pas sortis de ifo«fecê rôle. I a Croix-Bouge a une .onction bien deteaaninée. -liJle est restée dans ses attributions et vous êtes sorti' des vôtres. A quoi -voïi Bissir^ de faire insérer dans -tous les jo^taux: La noti suivante:— Le "motif -de ceU^> décision est le refus du comité de coopér^.'mé.tl'Odiqueme^t, selon les instructioite û ' gou\e?neur-généial, aux œuvres" dW pieniaisance d'un car ^-àr.e urgent. Tonte 'i^rsç ^ e qui éprouve une sincère CompassiOîi\ pou • les malheureux doit eom- ■ prendre que", dans .lés circonstances présentes, la Croix-Roug ne doit pas s'occuper exclusivement des blessés, des invalides de guerre él de quelques autres œuvres d'une action plus ou moins restreinte. La Groix-Roùge étant, en temps dé guerre, l'organisation centrale ^ de bienfaisance de tout le pays, doit considérer comme son devoir d'aider à soulager toutes les misères dont le• peuple*entire souffre "par suite de la guerre. Le gouverneur-général désirait arriver à ce , but d'après un plan méthodiquement conçu et avait chargé plusieurs personnalités compétentes d'utiliser, en faveur du pays belge, les résultats pratiques des conférences internationales de la Croix-Rouge, spécialement, des conférences de. Vienne, Saint-PêtersbouTg et Londres. La nouvelle administration centrale^ de la Groix-Rouge s'efforcera, avec la coopération des organisations prctvinciales-de btearfaisance, de réaliser cette- >noble^idée. parîes ! Et ceci prouve une fois de plus que le Gouverneur général de Belgique-agitsurvant le droit du plus fort. Car, que voulez-vous que fasse la Croix-Rouge? Von Bissing déstitue simplement le comité et s'arroge le droit de ; prendre les 200,000 francs qui sont en caisse-Et sans doute l'autorité allemande trouvera-1-elle que cet argent doit aller aussi bien aux victimes de Mars qu^a celles de Vénus. Car depuis l'arrivée d'un essaim galant de Gretchen trop blondes^, aux joues trop, rouges, ; le moral des troupes allemandes a plutôt ; baissé.... Mais c'est sans doute an relèvement moral de ses soldats et de leurs-.coinpagnes-que ! von Bissing a pensé (lui qui pense à tout) en escamotant les 200,000 francs. La morale de cette histoire, c'est que cet argent belge va-servir une fois de plus-aux Allemands, qu'il a été détourné de sa destination et que ce fait •porte son qualificatif en -soi,_ au moins-en-français.« # * L'admînisiration:communale a fait.pré venir le public que les personnes qui reçoivent gratuitement de la soupe (elle est fort bonne), | mais qui ont assez d'argent pour se rendre au ; cinéma, seront dorénavant privées du secours j qui leur est accordé quotidiennement. Quant aux parents qui font mendier leurs-enfants au lieu-de. les envoyer àJ'école, ils n'auront plus -droit à être nourris par les comités locaux. Même mesure pour les hommes de moins de 20 ans. Il y avait,-en- effet, de-gros-abus et refus de travailler-de la part d'un grand nombre. # « •* Le moral est bon. Nrrl ner croit>aux mensonges allemands^et leur^" streep " avance sur l"Yser a fait hausser les-épaules. Personne, absolument personne, ne veut croire qu'ils aient légèrement-progressé de ce côtérdu front. *• » * Les jeunes gens sont menacés d'être-envoyés en Allemagne-en cas de retraite. Ceci nous est confirmé -une*- fois- do-q>lus. r " TERRORISME FRANÇAIS"' A BRUXELLES. Commevil fallaike'y attendre, M. Dwelshau-wers, le professeur exclu de l'université libre de Bruxelles, pour ses sentiments germanophiles et parce quJil avait accepté une invita- . tion à la fête musicale organisée à la Monnaie pour célébrer les " victoires " allemandes, se voit défendre avec énergie par la presse d'outre-Rhin. Les "Dernières Nouvelles de Munïchr" parlent du "terrorisme" des partisans des Français à Bruxelles. Ce journal déclare que l'université libre, qui a exclu M. Dwelshau-wers de son corps professoral, est un nid de propagande française et est dirigée par les loges françaises. M. Dwelshauwers a été traité comme un " traître et un renégat." La feuille ajoute que d'autres Belges qui assistèrent au concert allemand ont été portés sur les listes noires des "espions" du parti français, qu'un professeur de musique fut battu et dut demander aux autorités allemandes l'autorisation de porter des armes pour sa défense .personnelle... Les Allemands ne peuvent évidemment- com- ■ prendre le sentiment patriotique qui a inspiré la décision du conseil administratif .de l'uni- < versité libre de Bruxelles, constitué par de 1 hautes personnalités scientifiques belges, à l'égard de M. Dwelshauwers, et il est assez piquant de les entendre parler du " terrorisme j français" qui existerait à Bruxelles, c'est-à- i dire dans une capitale que les Allemands oc- ; cupent militairement ! • —Xe Jonkheer de Weede, ministre des j Pays-Bas en Belgique, fait partie du comité national de secours et d'alimentation à titre de i haut protecteur. En acceptant cette mission, ! il s'est rendu au désir manifesté par les | œmistres d'E^pagne- çt ? des -vEtal&Unis, ; IL Y A CENT ANS. On lisait dans-le " Journal de FEmpire '-'dit nardi 2 mai 1815:— Londres, 26 avril.—Lord Caotlereagh a présenté hier au soir, à la Chambre des communes, la-substance du traité du 25 mars der-oier portant que nous consentons à no ils feindre à Feffort commun contre le pouvoir de Napoléon Bonaparte-, mais il a-désavoué-toute intention d'imposer -a. ucune sorte de - gouvern e -ment à. la .France ; " Au nom de la très sainte, et indivisible trinité, " S. M. l'Empereur de toutes les Russies et 3. M. l'Empereur d'Autriche, roi de Hongrie st de Bohême, considérant les suites que l'invasion de Napoléon Bonaparte en France, peut avoir pour la sûreté de l'Europe, ont résolu, par un traité conclu en. commun avec 3. M. le roi du royaume uni de la Grande-Bretagne et de l'Irlande et S. M. le roi de Prusse, d'appliquer à cet important événement les principés consacrés par le traité de Ghau-mont. En conséquence, les deux hautes puissances "contractantes s'engagent solennellement à réunir toutes les forces de leurs Etats respectifs pour maintenir, dans toute leur -intégrité, les conditions du traité de Paris du 30 m ai 1814 ainsi que les stipulations arrêtées* pa r le Congrès de Vienne, et à les garantir ooartrr toate attaque, nommément contre les pians-de Napoléon Bonaparte. A cette fin, elles s'engagent, si le cas l'exige-et dans le sens de la déclaration du 13 mars dernier, à agir en commun et dans le plus parfait accord avec toutes leurs forces contre lui et tous ceux qui pourraient se joindre à sa faction pour le forcer, par là, à se désister de son projet et le mettre hors d'état de troubler à l'avenir le repos d<>, l'Europe et la paax générale conclue dernièrement pour protéger la liberté et l'iradépen-lance des nations. Les- hautes p uissances-00 n -tractantes s'engagent réciproquement à ne poser les armes que de concert et à. ne point le Paire avant d'avoir rempli le but de cet armement en mettant Napoléon hors d état d'exciter de nouveaux troubles et de renouveler ses tentatives pour s'emparer de Fau.torrt&*ouve-raine en France, Fait à Vienne le 25 • mars 1815,'' LES VERTUS DU CHIENDENT, On'lit'dans le-^'BerHnier Tageblatt'**;:— w Notre flore indigène nous offre des ressources inépuisables qui nous permettront de uous rire de l'Angleterre. En dehors de oseille sauvage, dont chacun connaît les vertus nutritives, nous avons les orties raiches, délicieuses à préparer comme le-spmards, et le taraxacum ofîicmal ou dent de lion dont les racines, longues et savoureuses, activent, sinon remplacer les asperges, du noins fourmr une excellente farine déjà' enj-i >k)-yée -au cours des famines du moyen âge." Que pensez-vous d'un bon plat de 'taraxacum officinal, pour remplacer les asperges ou h, Canne? "Le professeur docteur Craebrter, ajoute le1 "Berliner Tageblatt,' vient de faire, dans le même domaine, une importants découverte en révélant les qualités nutritives du ' typha ' ou chiendent vulgaire. le peuple allemand ne laissera pas perdre cette nouvelle eonree d alimentation, qui est à la portée de toutes les mains et de toutes les bourses." Le chiendent sera d'autant plus utile aux Allemands, qu'ils commencent déjà-à se -brosser le^ventre. ECHOS. Les B#lges a Manchester. Rappelons que c'est aujourdlm 1 -, samedî. à. 10 heures du matin, qu'aura rien au Town Sali, de Manchester,.!a grande réunion patriotique-sous les -auspices-de M. Galle, consul de Belgique. M!. Vandervelde, ministre d'Etat-, le R. P. Callewaert et le-député Van-de Walle-y prendront la parole. Tous les Belges résidant à Manchester et 3aus les environs-sont invités à. cette démonstration patriotique. ON DEMANDE DES OUVRIERS DANS LE ROYAUME-UNI. Des-ouvriers belges désirant trawailler-dans lo Royaume-Uni sont informés que les "T3oard Df Trade Labour Ex-changes " (qui sont les seules autorisées par le gouvernement britannique de présenter des ouvriers belges aux patrons anglais), ont un grand nombre d'emplois à conférer, surtout dans les industries agricoles et du génie civil. Des offres de service doivent être faites à ta Bourse du Travail la phis proche du domicile; pour l'adresse se renseigner au bureau ics postes de la localité. Des Belges se trouvant dans les asiles de réfugiés à Londres peuvent s'adresser aux Bourses du Travail qui sont établies dans ces isoles; d'autres Belges résidant A. Londres, à la Bourse du Travail à Aldwych Skating Rink [hommes) ou à 60, Grseat Marlborough-street, W.C. (femmes). ANNONCES^ 9 pcnce la ligne.—Joindre le montant -aux oxdcee, s.r.p. BOY Wanted, weU edueated, witirout previous business cxpetricncc.—State age end qualifications. K... 1 Métropole," «11,926, Standard Office, Flcet-st-. Jîi-C. NOÛS mettons vivement nos compatriotes en gardeoontre certaines agences de plaoemcnt d'ensplojcs. lui ne visent qu'à leur escroquer de l'argent. Ne rersez d« ^.utionnement ou de garantie qu'areo les références lès pluj lérieuses! ON demande bonne française ou belge, sérieuse, bien élevée, pour travailler partout d.-vn.s nénage arec l'aide d'une demoiselle do ménage, cuisiniè'o rançaise. Toute petite maison. Dame et deux jeunes filles ont, lamiUe. Propreté méticuleuse et référençai exigées.— ("adresser en mentionnant gages à Madame Buddioom, Ouariv Iou6e, Shiplake-on-Thames. LA METROPOLE paraît chaque matin, sauf le dimanche, dans le " Standard," rendu chez tous L°.i aarchands de journaux au prix d'un penny. Nous oonseii ons riTCiHCnt à nœ amis do e'abomter au prix do 3sh. ? par nois pour lo lîoyaurae-Uni et 4sh.. 4 pour l'étranger, et da jous adresser lo prix de l'abonnement en ua mandat. 1.^ arif des annonces est do 9d. la ligne pour ' Annonces," payable d'arance, et pour tout a ut.'* mblicité. le tarif du "Standard." Nous avoM outert un >ureau dans rirameuble du "Standard," Fleet-etieet, 132 4, î.C., ourert dès 2 à 6 heures. En cea da d?2î*îiclô «rit,- joindre-deux timbres .d'tn» -pensj,

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Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

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