Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1917, 05 Maart. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 15 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/n872v2df96/
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Le Bruxellois Rédacteur en Qm- : i - Smmal QnsHjlta iiilpenfisif -?m*srxjœiix<i»tBn**maaTenme!â*zrie!iux&mm*ifé*x*t:•*>-- .tcamra»»»—*•*- — I Rédaction, Administration, Publicité, Vente : i I BRUXELLES, 45. RUE HENRI MAUS j ABONNEMENT POSTAL, ÉD. ] Bruxelles - Province - Etranger 3 mois ; Fr. 4.50. - Mk. 3.60 Les bureaux de poste en Ec?g;qce et à l'Etranger ri'ac optent dos abonnements il?IAli î> i PJiiLS; ceux-ci prenne nt cours les J Janv. 1 Avril Mun i r 1 Ocion-On petit s'.nboî?no toi . fois pottrj.es deux derniers ir.oh on ir.eme potir !e dernier mois tic chaque irimestie au prix do : 2 .Mois î Moi* Fr. 3.00 - Mk'-2.40 Fr.1.50 - Mk.ï .20 TIRAGE : HO.GOO PAR JOUR ANNONCES — La ifgne ^;3gc£3 Faits divers et Echos . fr. &00 ^IBr Nécrologie 3;<M * v Amtorrtcs commerciales . 1X.0' PETITES ANNONCES Li grande ligne L'O- ente : j TIRAGE : tlO.OOO liLJ PAR JOUR Le Conseil des Flandres chez le Chancelier LA GUERRE CiUMlUliMiS QmCtèiS ALLh^AHùa BERLIN, 4. mars. - Officiel de midi : Tnôàtro de la guerre a l'ouest. Le temps humide a maintenu l'action presque généralement dans des '.imites modérées. En pin-sieurs endroits, nos entreprises ont été couronnées de succès. Prés de Cliiily (cuire la Somme et l An-eue)-, 1S Angles ont été.- faits prisonniers, s in la roiue Eté.'n-Verdun, plus de 100 Français, des deux côtés dn Dolla (Hau'i Alsace37 Français ont été amenés prisonniers. Théâtre de la guerre à l'Est. Point â'cpHatibns intéressantes. Le froid rigoureux persiste: Front de Maeédoine. La situation est inchangée. . BURLiN, 3 mars. — Officiel du soir : h n'y j pas d'opérations de combat remarqua bles à signaler, AUTRICHIENS VIENNE 3 m rs. ~~ Officiel .- Théâtre de la guerre à l'Est. Groupe d'armés du îeiamarecnai général von itacnensen : L'entreprise t.xéculea"j.ar nos troupes a assaut, rt la Narajoxfya, que nous xivons mentionnée hier, nous a valu J offîcfet-s, 276 soldais et 7 mituûUea-ses.Une poussée sitniuirc prononcée près de Wor.çnv-tyn eh Volhynie, a conduit nos détachements,dans *les positions ennemies, sut 2 kilomètres de large et l if2 ki.Omitre de profondeur, et leur a fourni 'ïoccasion d effectuer un travail de destruction efficace, à la suite duquel, ils ramenèrent 122 prisonniers e( 4 Mitrailleuses. Théâtre de la guerre italien. , Dans le secteur de la Sugana, i'artillerie italien-no a entretenu par endroits et temporairement, un feu intense. Un d-tuchemeni ennemi qui s'avançait contre nos lignes, près de Scurelle (au ruisseau de —Maso), fat <><• héiiikuàùetu n souP^cns' ses'positions..4 i'ouest d'.tsiagcr, une patrouille tyrolienne de lu Lmisturni a franchi pendant la nuit, les gorges ■rie l'Mlico, pris d'assaut- une tranchée italienne « -l'ouest de Cancre, surpris les occupants et ramené de celle reconnaissance quelques prisonniers. Théâtre de la guerre au Sud-Est. - Rien ù signaler. TURCS CCRf&lXTlNàPLE, 3 mars. — Officiel du 2 : i Au nerd du Tigie, l'ennemi ne s'est approché ie 1er mars que très lentement et en hésitant, de nos nouvelles positions. , Au coins dn combat du 2S février, une canonnière ennemi? a été copiée par notre feu d'artillerie; nous avons également endommagé une automobile blindée et fait prisonniers 19 soldais et un officier. Sa les antres fronts, la siinatwn est inchangée.FRANÇAIS r PARIS-, 3 m.<! s. - Officiel de 3 h. /?, nu : ... Au cours de lu nuit, nos ri connaissances ont réussi plusieurs coups de m tin sur les tranchées ennemies-'près rie Moulin-sons-Touvent, à l'est de la , côte 304, en forêt d'Apte maint, et nous avens ra-mcnérdcs prisonniers et du matériel. - PARIS, 3 'm s. -- Officiel de 11 h. p.. m. : Lutta d'aitvkviè assez aitivc entre Wise et l'Aisne, dans là région sud de N carton et en Alsace dans le secteur Je Uniniïaupt. ojitinéc calme sur le reste ■ ù'n fitfnt. RSJSSKS ...PETROGRAD, 2 eu-;s. — Officiel ; Front de l'ouest. Feu récipicque et r/çoniiaissanecs. Front roumain : Dans la région dit nord de la route fakobeni-Kim-gpiun'g, le combat ■continua. Les Allemands ont entrepris nn< 'con Irs-aiiaaue'contre les détachements roumains, qui la veille an soi; avaient pris une hauteur près du village de Rehossa, au nord de la rivière de '/.uval-, et ie s.a.contraints d évacuer la hauteur. An.net4 de itinmik, nos êc'.aireui s-ont démoli deux• postes de cifir.puguc ennemis ' ont amené 23 priscrtniiirs ■ t.deux mitrailleuses. ITALIENS ROME, 2 mais ; '* Ucmiemi-a 'pmirsnivi également hier l'ai iiviié d'artillerie, pdrikulièremeni dans la région « lest de ■ Goritkfp. Votre-' artillerie a rigoureusement tipi.su. ' Le soir un' de nos détachements a effectué une in- rasioti imprévue 6uns les 'lignes ennemies «L Tivoli et. ' y a mis ie dé; rroL Des avions ennemis-«nt-iotrriks bombes sur (ionizia "et sur Vulena.-Dcs d'gibs n'tmt-pas été causés. Nos an.Hc'Hrs ont ignié scbomlp*-sur les . ommonicutiui's ennemies 'de tmritee *m.\ le Kar^t. ANGLAIS LONDRES, 2" niai > : • Nos troupes ont ieatisc iie"nouveaux-, wo^cs m-nom dè'Waruiieo'uit -et 'd'Aucourt. Au "noid-viie^t de Pusienx-au-Hiânt tors avons repoussé des contre-. attaques ai'a mandes ioCitlistes,prononcées_ contre nos positions àt '.'h-érsi Au nadfst de GCieudecOurt et un noZrZ-ôuv-.t: ué 'Ligity et de Thtloy vous-avons fait .prisonnicis couinie résultat de la journée d'mifonr-d'imi-des combats, livrés'sur l'Ancre un officier et • 127 hommes, et avons captuié 3 inikai^easès et 4 mortiers de Iranclién, Dernières Dépêches . LVi'acuatiOïï des uosaiems aiieiaâ&dej à l'Ancre. Les commentaires. Du ; Times • : Lcu.*ûient et jivt-q'w iHpiwjsçtir jiement, la guerre de uaachées telle qce nous tVL-ns appris à ia coima.irc, eunu.ui.es à ehaug-.i a ouest, et presque sans nous en icadie e..ïiipi^,noUù if î rcciions de la reprise ue la gue;rs ce inasiauvies lui, d aprïs ia marche na.ure.ie ùes cisi-L^a, uoit ea-•aeîériser ia dernière plu.» ue la guerre. La t.an-:hée a maintenant une <sigai$|atiott uioincire qi. ^u-<aavant, mais ia retraite des Allemands peut fcigni-'ier davantage pour nous. Elle peut en quelques e.i-: rcits bouleverser nos pians p-..i.r la campagne Ju "rintemps. Si nos préparatifs ont été- faits c.iio i ta :oir que l'ennemi se maintiendrait sur une ligne uc-:erminée, et qu'au moment de livrer bataille il ré-mile de plusieurs miiies ueriiéte sa iigne, il en re-• ulte un retard inévitable. Il est à supposer que les dirigeants de l'armée allemande qui n'ont ceiiainw-■nent pas pris hier cette décision de retraite, ent :ga.ement calculé ces choses de façon précise. Le « Times « et le « Lkn'iy iS'ev.s > ce ,.rcre«i nandént du quartier général anglais : La retraits les Allemands a été couverte par Uç pe.its dtux. e-nents armés de mitrailleuses, dent chacun se tr^u-rtât sous les ordres d'un orrieier. Nul doute q^u î'était des troupes choisies; elles étaient pourvu.s ie provisions pour une semaine. Ils avaient prçba-jlement pour mission de rester à leur p„s;e et ut: mourir éventuellement. Le moyen était pas^u Mènent bon. Naturellement l'ennemi brûle tous s-3-ibris et détruit tous les bâtiments qui, à son avis, -ourlaient nous être de quelque utilité. 11 a fait tau-er la tour de l'église J'Achiet-le-Peti; ; en ap^ice-,'ait la fumée jusqu au delà de Buçquoy. Nos tr.ou-5es ayant été voir aujourd'hui si ia tour de l'église , :.\istait encore, s'aperçurent, lorsque la ftun.e sj rut dissipée, que la vieille "tour de ; église ae Ha- , :aurne qui, pour tous ceux qui regardaient éu :hanip de bataille vers la Somme, repi ..sentait, ia , erre promise, avait également disparu. La réap ance de l'ennemi se fait sentir da\ antagî et il iact %'ftrîh.i^r ai; fait nu'il n'ç«spl(î'e «yse 'if "■ v-ï --le sélection. Nés troupes envisagent jes chts.8 :cmme une partie de leur tâche quotidienne. Elles ' îcnt philosophes et ne se font, aucune illusion, et ce j lisent qu'après tout, si la marche en avant peut se xntrsuivre de cette manière, ceia vaut encore mieux lue les combats dans les tranchées. Serne, 1 mars. — Le critique militaire uu c Bund », qui a déjà établi hier que c'est la pre- ' niôre fois, depuis !a guerre de positions modeine, 1 jue l'on est parvenu à reculer méthodiquement do 1 çrandes portions du front, à démolir.tout le système i'arliljerie et à illusionner l'adversaire sur le but 1 ;t l'exécution de cette entreprise, insiste aujourd'hui sur la grande réserve des communiqués ahe- 1 nands, relatifs aux événements au front de l'ouest. 1 1 laut conclure de la démolition systématique du 'ront allemand à l'Ancre et de la présomption que -lindenburg a prévu l'offensive anglo-français^, 1 tlors que de son cô'é jj a terminé et arrêté en temps ,'oulu la campagne d'offensive en Roumanie, et qu'il l'a pas ordonné l'offensive contre Sarrail, que de jrandes choses inattendues se • préparent, et qve Prochainement nous n'aurons plus, à tenir; compte , lu marteau anglo-français sur l'enclume allemande, nais qu'à présent on verra les deux partis se disputer l'initiative. La marche ultérieure des-événements nous dira si la retraite allemande vers une igne systématiquement établie sera le premier pas 3e von Hindenburg vers la liberté d'action stratégique dans l'ouest et si elle sera utile à une offensive ou à line défensive. L'état-major aiigb-français ïe trouve toutefois devant de nouvelles perspectives, peut-être simplement devant la décision qui s'enlèvera rapidement, peut-être aussi devant une nouvelle marche en avant de l'artillerie, en tout cas levant un trouble considérable. Nous verrons comment il répondra au coup d'échec -de von Hindenburg. » La question des prisonniers civils à Ja Chambre des Communes, Londres, 2 mars. On a discuté à la-Chambre jes Communes la question de l'échange des pri sonniers civils. Lord Newton concède l'injustice des :dromuniquës anglais au sujet de la situation à Rithleben. Ii dit qu'on ne devait pas l'accuser de germanophilie, s'il avait constaté ij'tie celle-ci s'é'ait réellement améliorée. Mais à présent chacun' petit' se rendre compte de "la situation réelle à RÙMehen, attendu que des Anglais, qui ; avaient été maintenus prisonniers, étaient retournés dans ! 'intervalle. Lord Newtcn prit également la défense de i'évèque: Bury, qui avait éfé-atfaqtié potif ses articles au suis? de Rohiehcn. Lord Ne»» expliqua ensuite pourquoi l'accord intervenu i! y'g 45" ans entre' l' An-* gletêrra <et 1 Allemagne, av. sujft de L'ée^Si^e priaoniiierg, a été suspendu.'E:; . XeMà-™ ' tOijt.és militaires et «Mgges.«àe fjêSé-- nisé l'écliar^ de irreoniife.s.. nwif'elies s «^peseint à ce qtre 4 à,-§,0fl»î AngWs swrat' «•c5*»âésrje(!a«riei 20^00 p^iw»s«si«îleB»fiés. w) GHrndfe- KsÉiwfote • ei| H'fOOO'dans les colonies àtigWses. ■ Les balles « ctum-diim » en-Améilque. Le « Journal « allemand de-;.\sw-Vcrkr du ë jan *' vier annonce que Julius Kahn, membre du Gcflgrès américain, a consta'é au cours d'un vc-yagè au:-Mexique, que,des Hrmes américaines ont livré des • ba:les « dum-dum .» à des "soldats-américains. Kahn a vu lui-même ces munitions et constaté qu'elles provenaient de firmes américaines. Les cartouches portaient les marques de la « Remington Arms Company », de l'« Union Metallic Cafiridge Ccmpeny t>, ~c-> de la « Winchesrer lteceating pompai'.y » et de le l'« United States Ca^jilfeé Ccnii.aiiy •. & On peut voir enc^ie une Lis 1 m1 là ee que vai t P- îout ,'e ,...fciage htuucnitalre de V j" ■ s: Les pn'pHr.itils am. ricalns. 11 qi au... viiv.Le i.jet a vo.o 150 miili. ns ce ûul.ars p„rr is; l«iius de seccius ' JuU ci..pc-oei-a ie Pivoid-u en -.ue de la construction de navires, et 06 millions ue dollars p„ur la m. notation des sous marias. La Haye, ô mais. — De « is'civ ïeik » au « Daily 1' Telegiàph « ;. Le sous-ssçréisiie! d'Ltat au.dépaits- ment w'-» .a nifrine uaitant de c. „ . de Nçtv- c York, admet que ia jiotte set ait da.is u.t? -ntatioa ttes uiilicile, atuiidu qu'oïl ne. cLi,.&e, ni de ca- ul n^ns, ni uc naiii\s, ni u equir«tsss. Ou a .m .. é aux armateuis de pré.er au jjûuvi.ratii»eat 750 navi-rts et canots pour la enoe de i.vW-Yctk ei ou a pi^ruis d'tngagfci lo.Uohd mat-.! >ts. t-a Motiiie seia commandée par Uoliti. La Ciîine et r&iUciiie. Amstoidam, .5 mats. I). P. ^ a„ .t ii.tus » : ... Les aniba&sadeuïs-ucs ÂIHcj au ii.m remis iutr«-e- di av. gouvernement chinois, cri ri n^lr'e euus ie- j-( quoi ils s'engagent à accueillir a.»c bienv'efl;. nee {jt ia dfirnaudé de la Cnuio tr.:.1a,.t à t.t. tirle sot.is , . ce paiement ifcb e ..nnagoè-intéte s iwi .....t de la ;a révolte deo ii .x..b, t. rtf - ' ^-s doeâ- . nicis, a condition qu. la Chine - ko .J...1~ls ui diplomatiques a,-.v • ._ tCl A. .-iclie. «j Lo toEgiCii isocialLsle ae PaiL. ni b api es un j--u».<o d'At am, • i.a du va parti ouvii.l u.'^ uis, -a:.s eu n.. il-si; tij e i :;r di llyndmau et d artres,se pr^noaoe e ue t ..rj ;^t- te-tieipatioa au Co-.hrso &:e »ii.-.e de Pa.La si.ajvi rit., u-s soeia-ibl s et» p»)» u .i s be udàvent f^u^ qt les armes ou son. ivteuus ca ta lits tafc.K;u.s ce mu- .c. niciutis. Ou pourrait donc aiweVi u.ie trop ^ au-' ofi de importance six éloiae.'is p» iti;-tef çi.i ve.j.'t qt ia paix à tout prix i, qui s. i • • t lu-s.-'re a la lu Conférence de fiois. Ue Bûés..a ie parti - o> sto ni italien ne veut jaî envoyer ee et'.s au Cuu- Se giès. à i ' iu £»oj: isfciori du cuiei-whip «t» la, Chambre a es CouiutiiCtL. . tù Le i c il. "" !.. T *L ■" - » de Londres, que ie. tuîU-vlLv, ■ -i .'1 - > 1" jUsandonnera s^u poste s-us put vt ûe\ie-..d."a p '*■• bablemerit membre du seci•' r.. - j - a pr \ * ..t du Conseil. > Pa Moaveiaéut& ouwieifc eu ACtg]elené. ® fcO La Haye, 3 ma.s. — Les ouvriers ...Mu.'gotCo' de Liverpool, qui avaient réclamé m. indemnité d-guêtre de 10 sfiillings et meua^ient u uue g.é.e, dans le cas ou leurs revendications ne s .aicut pa.-écoutées, se sont vu âccoider. une indèrnii.é de 4 sniilings. Là dessus, les ouvikrs cm tenu ur.e réunion dans laquelle ils ont rcîu&o cet.e a'.ioca.ieu, comme étant insuhisante.D'autre paît, les délégués des cheminots ont égalemest tcr.u une c^nf.reuce à Livcipool, dans laquelle hs ont réclamé une àug mentation ce traire en raison du coût toujours ^ croissant des vivres. £g L'action ds M. Witeon. su La Hays, 3 mars. — On écrit de \\ ashington, à u.. propos des événements qui ont précédé l'intéres m santé séance du Congiès, et à propos de cette ie; séajice. eile^èms, qu« riniluence psrçocmUe de fit M. Vi'ilson pas pius que celle de ses amis, n'a- oi. vaient suffi à leur donner la complète certitude, tii que le Congrès accordeiait au Président les pou- lu voirs qtt ii voulait. On remit donc •• 1' « Associât: d le Press » les documents qui lui ont permis de faire ol des révélations sensa'icnntlles sur les négociations • te entre l'Allemagne et le Mexique. La tension avec R laquelle le pays attendit le résultat de la séance av était aussi grande, que s'il se fût agi d'une campa- se g ne électorale. bi La guerre sous-marine. La Haye, 2 mars. Le «Korrç^otiâenz Bureau» pr annonce qu'un certain nombre de vaisseaux néerlan- vt dais, qui sont en route vers le psys natal, ont à reçu 1 autorisation de. poursuivre leur reùte vers la s: Hollande, sans accoster an port anglais. La plu- Vi part-de ces navires reçoivent des instructions à Ha- ci lifax. Le vapeur « Sibdoro , du Rotterdamsche ai Llcyd, qui transporte une cargaison mi:.te et - des pc passagers, pourra continuer directement son -voyage de Gibraltar, où ii se trouve actuellement à l'ancre, et vers la Hollande. Le vapeur < Wîliis », qui se trou- ^ ve, à Bergen dt puis le 8 février avec une cargaison d< et'des passa}/.-s, - pourra probablement aussi pour- fa suivre sa route directement vers 1s Hollande. 0j — ■" Pi Le Conseil des Flandres ï chez le Chancelier * Le clutnceiitr-a 'ûouuj- . -.'itui- à, le JaiAftsutaUo».d».G^a«ii. des,Piaeissis, éiu le mois- di . xltrnierxlgre As la réuni;® oe t«ss les-gi oupes ac-, fc ^tp.-istes flamands. La députaticn.-iui-des dé-; ta ^fiKjions -ex d«sstesidera<a ds-Çonst Ç p-çaj' les- Raa4 ; « ëKcS^qu'iLa Jait.£Qrma)tre à-teus-ies Etats-bellîgé- si isiWs et-an,v,-Etais aewres,. par sa pr^iîàœstisfl du* 4< 4 février Î9Î7. - 'le ■ -L'orateUr de- la dépûtatk® déseiappe' devant le' d' chancelier le programme' d'une ftôowwfe-iatérieù<2 it re p<jur les-Planches, basée «nr la langue et- la cul- L ttue néetlandaises. - ■ , ei Le-chancelier-répondit,-que tous les efforts du di • gouvernement allemand, seutecu -en cela par les' ri •veei'x et l'àpprobaiien de son-peuple, mîdfaienfà P itoter-la Flandre d'un gouvernement autononK- qtil' F1 aurait pour but-et résultat de rendre-à ce beau pays son ancienne splendeur et «a prospérité-pas- pi séè, battues en brèche depuis trop longtemps, par -p tsew les artifices et les intrigues de l'influence romane. q;i Sans jamais se départir du respect des dreks des de: peup.es, l'Allemagne, suivant en ceia les visées de jci son Empereur, tiendrait dès à présent la main à no. Pobsei'\a.iun des droits de la Flandre, peur autant art que .a siMiàtion actuelle de la guerre et les néc.s- à siieô ûîiiitaires le permettent. Conformément a ces mi urtircS, il a fait part des décisions suivantes : de « Mtsèieu'is, pai « Depuis longieaips, et en concordance avec les nie paroles que j'ai prononcées en avril dernier au lor Reiclistag, Mvnsieur le Couvernetir Cénér" a pré c.nisé et introduit dés mesures préparatoires tendant à accorder au peuple L'amena la possibilité d'un . 1 iibie développement intellectuel c. commercial et sid de p„b„r aiiibi la p-une angu.airs de cette at.tono- riq lui-, qu'elle eipeie obtenir, mais ne pounaiî près- Me que p-aj obtenir par sa propre tores. C'est pourquoi ce j. &..io que je suis parfaitement a'aceord avecMea- dip stiu 1. Uocverueur Général,en vous donnant l'as- !ax suranee, que ce.le p-oii.ique que vous-même avez en i1 otauiée se trouve en piul&iie harmonie avec les qu; piiiicipes du droit internatk/uai, doit être pouisui- 1 vie a\ec ia dernière énejgie et ceia —durant ti..i 1 occupation, dans le but u'v.n arriver à uns sépaia- de iiy:» uni; e.e en Uiaiièie aoministrative,telle qn ou tioi i\ xige dei uia iuiigtcnipâ dans les deux parties de le 1 ia Logique. La limite iiugui^ique doit aussitôt que lun p-S-I». c être appliquée jusqu'aux séparations régij- re uales de ucux teiritoiies aumiaistiaîivement reu- vie nii sous ics oïdies de Monsieur le Gouverneur Gé- à 1 livrai, niai» sép.ins en toute autre cause. Le tra J . ail >-eo autorités allemandes a'accord avec celui tôt des del.-gui'b uu peuple hamsnd, roussira à Et- s'a; itiuu.e ce but. dui Ceiiea les difficultés sont giandes, mais je .ga.s gèr qtt e:les peuvent être vaincues jar le travail désia- tre .e.e Je t..us les iioiuuies qui parmi i„s hiamaues san ont e.rapiis par un profond seatiincnt -du ccvoir, con quelle est .a uche que leur impose le patriotisme, i.a résoutiiii votée par les Flamands, ie 4 février, nie proove que les Flamands ont conscience de ce 1 8cvoir, je tan.e leur union, comme la réussite de a f notre utuv.e, C est pouiquoi d'accord avec le Con- dus teii pcui les Flandres, nous examinerons voion- , pj0 ti.ia les nioyeiiâ qui r.oui. conduiront au but désiré. j L Lu4f.iiv aileBiend fera 1ers des n. gèçiations Je j paix to. 1 ce qui pourra êtie utile à favoriser et pre- ... _ 't.,.er e iibie développement de la îace Hair.ande. j ' Veuillez, Messieurs, emporter dans v-r.tre beau pays les assurances que je vous donne, et dites aux iiis des mères liaiuandes, que nous, Allemands, tommes décidés à faire tout ce qui est en nous.pour taire germer sur la misère de cette f-veire une Moiaiscn nouvelle. » * Ne DEPECHES ten (Re).tU'jiittus de t canwn prceeucnie.) Lvj combats sur la route de Yaleputna cht ei à l'Ancie. ver Berlin, 2 mais. — c.ui .a îovue de Vaieputns, les rec Russes se sont épuises en vaines tentatives pour rail reprendre les publiions perdues le il février. Au situ de ia ruute, leur attaque n a pas réussi à se \ développer, notre leu de baiinge avant été citicace- ver ment dirige sur les tianehécs oit s'étaient massées de) les coleniits d assaut. Les petits détachements en- s;lr iicu.is qui sont parvenus a sortir des tranchées y |'g ont e.e ilstnirttiatement rejeies p«r nc-tie feu d'artillerie'. Au nord de la rouie, us Russes se sent ' I heurtés^cinq, fois à notre nouvelle position; mais leuis vagues d'assaut se sont écroulées devant nos ^ obstae.es sous nos violentes ittsihades et sous le !e feu cç nos mitrailleuses. Comme d'habitude, les lil! Russes sont restes fidèles à leur tactique de jeter C01 aveuglement en ayant des masses compactes, sans se soucier des fortes pertes sanglantes qu'ils su bissaient. Au cours ds l'après-midi, après une très violente préparation d'artillerie,l'ennesni a exécuté de ncu- S(-, vellc-s attaques sur un front de deux kilomètres ; [8n à trois reprises, des masses toujours renouvelé.s ql)( se sont lancées à l'assaut, mais aucune n'est arri- ,jit vée jusqu aux tranchées allemandes. Le soir, une q,, cinquième attaque a été tentée et, comme toutes les ^ autres, a été étouffée -âous nctre feu. Toutes nos ne positions sont restées nettement en nctre pouvoir. jnt Sur le front à l'Ouest, plusieurs .ballons caftifs pC ennemis sont tombés en flammes. En repoussant re- des dttachemems de reconnaissance anglais au sud Flll de La Bassée et du canal de La Bassée, nous avens 1 fait prisonniers, après un violent corps à corps, 2 f;n oificiers et 19 hommes, et nous nous sommes cm- co: parés d'une mitrailleuse et d'un transport de pi- pa geons-vf yagf.tirs. 11 a été établi que les Anglais se g0 sont servis de la tour de la cathédrale d'Ypres ccm- Co: me poste d'observation. Sur l'Ancre; les combats Ch entre. 8mt<postes ont continué. Au cours de vie- à lents cûmbKfsj, les -postes aîlcm^mrs repstissé p) des détachements de reconnaissance ennemis et ent- yf forcé les Anglais à mettre eu ligne de pius impor- qy tants détachements, -qui on te subi de fortes pertes. se: -sous-rmis •£us!!Uulcs;î4eyaaj-à pioftt Ifi-nicindre abr L- L- sur le -terrain, cofiti.i«un à antgir à l'improviste ]:ll •dejv rttinls des villages, dfcs entonnoirs causés par .jrj les-gsena'ios'eî des restes de tranchées, ces faibles co détachements allemands ont de nouveéu barré la pa toute aux Ang'ais grâce à une tenace résistance." ag Leur défense opiniâtre a foicé l'ennemi à mettre m en ligne des bsiteries. Mais I'a-tillerie allemande r». de gros calibre veillait, et c'est ainsi qu'une batte- ie rie anglais;, qui tentait de s'établir le 27 février j-r près de la butte de W'arleiicourt, a été détruite en peu de temps par notre canonnade. re La preuve de la manière modèle dont nous avons tu préparé et exécuté l'évaluation de nos anciennes qt positions réside dans lç btttiq ridicuHmeot minime pr que les Anglais ont fait. De petits laiice-miius ou des mitraileusès ne sont pr.s même tombés entre kiirs mains et le nombre des prisonniers qu'ils an noncent n atteint pas 50 hommes. Par contre, les arrière gardes allemandes sont parvenues à enlever à un ennemi fortement supérieur en nombre, V mitrailleuses et 21S hommes. Le terrain qui s'iTtend devant nos positions est toujours encore dominé par nos troupes. É11 outre, nous avons nettoyé le; nids d'Anglais qui s'étaient cré.'s près de Sail'y lors de la dernière attaque. L'offre allemande au Mexique. Commentaires suisses. Berne, 3 mars. — î.e « berner r wgeclatt j considère la conduite de l'Allemagne envers l'Amérique, en ce qui concerne son offre d'alliance, ait Mexique, comme naturelle et écrit : V ilsrn mena ce depuis si longtemps de faire ta guerre, que la diplomatie allemande aurait vraiment mérité d'être laxée d'inespaeité, si elle n'avait cherché tin a;)r< en cette cccùrence. Ce qui est droit peur l'on, n'es' que juste pour l autre. La :i Zurçher Post » écrit : Le texte des instructions de Zimmermamr exprime le voeu du irainti;n de la paix avec les Etats-Unis et n'admet ia q; es-tiou d essai d ahiance avec le Mexique, que pour le cas où 'a guerre avec les Etats-Unis, serait absolument certaine et hors de doute. Une fois in guerre entre l'Amérique et l'Allemagne déclarée, il conviendra d'appliquer le mot ne A la guerre comme à la guerre ». Le « Basler Nàcliriehtén 1, dit . On devrait plu tôt s'étonner que la tentative de l'A'te.wenc de s'aboucher avec le Mexique et lé Japon, se soit- produite si tardivement. Le ministre des Cl'.aircs ■ nau-gèrts, n est certes pas plus rrtaehiavéliste que d'autres milieux diplomatiques et que -d autres puissances. C'est pourquoi Ion pourrait s'abstenir de considérations morales, en l'occurrence. La réglementation de la main-d'œuvre en Angleterre. Londres, 1 mars. — Le ministre des muiiiiuhs a pub.ié un dvis par lequel il est interdit aux industriels appartenant à diverses professions, d'ern-■ ployer des hommes âgés de 18 à 01 ans. ...Les femmes dans ie service civil anglais Berlin, 3 mars. — De Rotterdam au « b. : er ïageblatt » Chamberlain a déclaré hier à la Onarri-bre des Communes, que pour la fin de la semaine, 100,009 femmes se trouvèrent à la disposition eu service civil, mais qu'il lui 'en fa! ait cinq fois autant..Rupture du barrage américain. Genève, 1 mars. — D après un redr >grair."me ti. New-York adresse aux- journaux de Lyon, les vapeurs « New-York « Phijadelphia », ■ St-Louis», c. St-Paul )>, « Krccnland c et « Pinland », de l'in-ternational Mercantile Marine Co, prendront ia mer dans une semaine, après leur apprOvisimneméiit ee charbon et ils n'attendent que la décision ul gouvernement. Tous les vapeurs de l'Ame,ican Line, recevront des canons et des pointeurs clans le courant de la semaine prochaine. Un aviateur anglais inteïi <■ eu Hollande. Amsterdam, 3 mars. — Jeudi, Un avion anglais venant de Dunkerqt-e, a atterri à Gadïand (Zélande) ; l'appareil avait été touché* par des éclats de shrapnells. L'avion a capoté lors de llatfômssage ; ' l'aviateur qui était sain et sauf, a été interné. La guerre sous marine. Rotterdam, 3 mars. — Les vapeurs anglais VBurn-by » (3,6'35 tonnes), « Tritonia » (4345 tcncesl, le vapeur français « Cacique » (2,917 tonnes) et îe vapeur grec « Victoria >, (1.388 tonne?) ont été coulés. ETRANGEK ANGLE t nRRE. è-— L'es depui s OinK ï*in?rs 'lie si; gèrent pas ai X Communes. - L'hcrkcn' en Irlande ne s est pas encore éciairci et même iî semble que le paiti des « Sinn i'ein'eiS » s'est reccnsfitué, dit le < XXme Siècle Environ 1,700 Sinn-Feiners qui é,aient détenus dans les prisons anglaises, ont cté libérés et renvoyés chez eux. C-s '-Tînmes qui ne se connaissaient guère ou pas du. tout avant le-rr incarcération ont, en prison, remarque, un correspondant de 1' « 'Echo c'a Paris », noué d'étroites rela ions, que leur mise en libér-té n'a pas rompues.On s'en est aperçu; l'autre jc'ur. aux élections <jri ont eu lieu dsns une d. s sections dtt ccmté de Ros-commcn. Le candidat officiel du parti Redmond, — parti qui, comme ofi le sait, veut l'entente avec le gouvernement de Londres, — a été batia pa;' Je comte Plunkett, père de Joseph' Phtfflkeft, L'un U^s chefs de la rébellioii du mois de mai 1910, ftftiUé ' à Dublin. Le nouveau député aux Communes,' Phtiikett, — qui est comte romain et foit riche — a décidé, d'accord avec le- parti u Sinli-Feiner », qu'il n'irait point siéger ait Parlement, des repfeé-sentants:de- i'ii'ande ne devant'siéger qu'à' Dublin. Le; parti «. Sinn-Ftiner" » trouve actuellement de puissants, appuis chez les ferrniei-. et les paysans irlandais qui - voient dans ce parti une assurance contre la conscription militaire.- Les fermiers et ks paysans vendent à 1res bon prix leur production agricole ; les nouvelles lois agraires, dues au parti libéral,'leur assurent des terres dans des conditions raisonnables. Ils n'entendent donc pas quitter- leurs terres et délaisser leur fortune usinante pour aller prendre les armes. En attira dan t, le/général Bruysn Mayon, qui a remplacé le général John Maxwell à la tête des troupes britanniques d'Irlande, continue à appliquer les mesures' de surveillance prises par soa prédéceeeeur» * me Aj.|.gg • M„ H tj 4 - Ed. 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Dit item is een uitgave in de reeks Le bruxellois: journal quotidien indépendant behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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