Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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24 oktober 1918
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s.n. 1918, 24 Oktober. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 26 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/h98z894165/
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ABONNEMENT Bruxelles - Province - Etranger Ia* fbtjnneinents sont reçus exclusivement par tous lei BUI<$AUa DE POSTES. kw «fcSematlons concernant les abonnements doivent être aj& ' vssées exclusivement au bureau de poste qui a délivré .'abonnement. PRIX DES ABONNEMENTS : 3 mois 2 mois 1 mois : Fr. 0.00 Fr. 6.00 Fr. 3.00 TïiïAGE s 125sOOO par jour Le Bruxellois — — - — - »«>»■ m m va - ■"« m -V* ANNONCES Faits divsrj et Echoi . L» Umt tr Nécrologie *J* • ; Annonces commerciales Annonces financière» . . , è •••••• PETITES ANNONCES. . ! *L« gr*tnd« ligne.' s Rfdactetir en chef : Rts« ARMANI) Rédaction, Administration, Publicité, Vente ! BRUXELLES, 33-35, rue de la Caserne Nouveau Discours du Chancelier Berlin, 22 oct. — Le prince Max de Bad prononcé hier au Reiciistajr le discours i voici; « Messieurs, Depuis que je me suis adressé à vous pou] première fois, de nouvelles démarches ont faites des deux côtés dans la voie de l'acl pacifique engagea par le gouvernement lors son entrée en fonctions. Pour commencer, président Wilson nous a posé des contre-qi fions. Notre réponse non-équivoque a abcui un© nou-velle demande du Président à laqu nous avons fait parvenir hier Soir notre répoi Messieurs, le peuple allemand tout entier impatient d'apprendre Quelles sent les prévisions du goutrernsirtî en ce qui concerne la réussite de l'œuvre paix. Veus comprendrez bien que je ne ï m'exprimer à oe sujet qu'avec la plus gra réserve. Je sais que le# partis souhaiteot eg ment que les débats puis-sent être soumis à restrictions conforme® à la gravité de l'hei Le préskient Wilson s'est adressé au peuple a mand. Ce fait donne un plus grand poids déclarations des représentants de tous les i iâs. C'est pourquoi je voudrais ne pas dire i • aujourd'hui au sujet de la situation in terna naie que ceci : que la première répense du l skient Wilson à la démarche pacifique du r vernement allemand a amené à son apogée d; tous les pays les discussions do l'opinion sujet de la question de paîx fia droit ou paix da violence. Il s'agit ici d'un débat d'opinions qui < être publiquement vidé dans chaque pays is de la même façoa qu'il doit l'titre chez ne D'un côté, ceux qui s'imaginent que l'i tant est proche où ils pourront donner li cours sur le sol de la patrie allemande à toi Les passions concentrées de la haine et de vengeance élèvent la voix plus haut que jams d'un autre côté, les partisans sincères de ligue des peuples sont complètement d'acc sur cc fait que l'idée fondamentale de la n velle fei subit actuellement son épreuve décis: Cette idée fondamentale peut s'énoncer cou suit: Avaint que n'imparte quelle puissance groupe de puissances recoure au moyen de cc rit ion de la violence vis-à-vis d'une autre tion pour faire valoi/r son droit méconnu, faut faire un essai approfondi et loyal de m; tenir la paix par voie d'accord volontaire, bien — et ceci s'applique à la situation in nationale actuelle — d'y aboutir. Cette lutte c pkiions est encore indécise. Nous pouvons h nommer ces pouvoirs qui se trouvent en I sence, mais nous ne pouvons estimer le rapt de leurs forces. La dernière note du présid Wilson n'a pas éclaiié le peuple allemand lie fait de savoir comment se terminera le dé de l'opinion publique. Peut-être la nouvelle P'f se du président Wilson nous aiyportcra-t-la certitude définitive. Tusque là, MeSsiei nous devons appuyer toutes nos pensées et t nos actes sur ces deux possibilités: la premii que les gouvernements ennemis veulent la ri re et qu'A ne nous reste d'autre choix que nous défendre a*-ec toute l'énergie d'un peu qu'on a poussé jusqu'au bout. Si cette demi éventualité se produisait, je n'ai aucun do que le gouvernement allemand me proclama nom du peuple allemand la ééîSRso nationale t <k «< ne qu'il a pa»ié au nom <îu peuple a manu, lorsqu'il est intervenu d'une manière tive en farour de la paix. (Bravo). Celui qui place au point de vue de la paix du dr assume en même temps le devoir de ne pas courber sans combattre devant une paix im sée. (Bravo). Un gouvernement qui n,e ress tirait posait cela, serait disrne du mépris peuple combattant et travailleur. (Très juste) serait balayé par la colère du peuple. Mais, aujourd'hui. Messieurs, il faut que nous ei sagions la seconde éventualité dans toute : étendue. Le peuple allemand na peut être c duit les yeux bandés à la ta&la dss négociations. La nation a le droit da poser aujourd'hui c< question : « Si une paix se conclut mainten sur la base des conditions vrilsonieones, que giûfie cala pour notre via et pour notre avenir À en juger par les échos de. l'opinion puibliq notre réponse à la question du Président a d né au peuple allemand la conscience da ce d il s'agissait. A présent, il veut de la clarté C Messieurs, c'est là une résolution d'une po: colossale. En ce qui concerne nctre position, tan» que puissance, ne sera plus admis -com valable ce qu>e nous-mêmes considérons com équitable, mais ce qui, au cours d'une libre < cuisaiouj avec nos adversaires sera reconnu cc ma tel — c'est là une difficulté difficile à v; are pour un peupîs fier et habitué à la victo car la question de dreit ne s'arrêtera pas vaut nos frontières territoriales que jamais n n'ouvririons de plein gré, devant la vlolei Les principes que nous avons admis oe-mme gle agitent également des problèmes à l'ii rieur du territoira de l'Empire. Messieurs, on m'a opt»sé de tous les cc que Yacoeptatkan des conditions de Wilson é< vaudrait à notre soumission à un tribunal fc tile à l'Allemagne, qui déciderait de la quest die droit exclusivement au point de vue do propres intérêts. S'il en était ainsi, peure donc sotot-ce précisément les politiciens exi mis-tas die l'Entente au pouvoir qui fuient salle des négociations, comme un coupable le tribunal ? Le noyau de tout le programma Wilson c'est la ligna des peuples ; or, oeil ne peut naître si les peuples ne ptreoia la résolution de sa vaincre nationalement e mômes. La réalisation de la communauté cSroit exige l'abandon d'une partie da l'auto mis afesolue, qui jusqu'ici était l'insigne d-u veau politique, pour nous comme pour les très. (Très juste). En ce qui concerna notre e nir comme puissance, il sera d'une importa décisive de Savoir dans quel sens nous pour; vous cette évolution nécessaire. Si intiment non? persistons à nous tenir sur la basa de goïsme national qui, récemment encore, étaid force dominante dans la vie des peuples, al< Messieurs, il ne psut être question pour n de restauration et de rénovation. (Très jus Il resterait alers ua sentiment d'amertum» nous paralyserait pendant des sréné rations. M si nous considérons que le sens d« cette terr guerre est avant tout la vistolre Oi l'Idée du droit, si ncuis ne nous opposons point à cette idée, si nous nous v soumettons tout à fait volon rement, nous y trouvons un remède pour blessures du présent et une tâche pour nos oes à l'avenir. (Très juste). C'est à cette tâ que collaborera le peuple allemand avec tout sérieux matériel et toute la conscience qui c stituent notre aaj&nage. Messieurs, reportons-nous simplement à d générations dans le passé, nous y trouver tous les mobiles moraux de cette évolution r veile. Si toutefois ces buts humanitaires dev: néant les nôtres, la osllaboratlan dss rcatiorss deviendra notre grande tâche libératrice. Je \ citais citer ici los paroles que ie prononçais 18 février : La simple lutte pour l'existence pêche les grandes ressourças humaines d'éi gie, de s'épanouir, si elle est iso'ée. Nous vons englober dans crtre volonté nataonale boaihiur oî le droit ^'autres peuples. Si, e>> te heure grave, je soumets à notre peuple l'i de la lifjue des jmiptes comme une soureo consolation et d'éiisrrfie nairreHe, j« ne veus cadbar ua scrl ia»t,-«i les c^fficak*s ques qui sent mcorf à *»ÎBcr* avaat qi>6 l'i éov«aix ïéalïts. Nul n-s savmit dire o'aa sî ffciai vite lenteÇhjc les jrifs s:s"«vis>« à venir k--,.ïs açp^tsat à ém cesA uiioïîecs:», ou gsie la. voie s'eiiw« veurs la p il ne asseyait te,e douteux «h« notas stsrens hauteur ctes tâches de la eueri'e au de- la d. e a en appliquant le programme du gouverner 3ue et en nous détournant résolument de l'an svstème. (Vives approbations à la gauche), si, Messieurs, j'en arrive à ■ la la question do la politiqua intérieure "ic au Sujet de laquelle ja dois rendre compte 1°n représontaats du peuple allemand. °e La réforme du droit électoral en Prusse a 'e activée grâce à un accord des partis sur [<»; propositions gouvernemenfales, en ce sens 1., l'instauration du droit do vote général direc c"-e secret se trouve assurée. (Bravo). Le Reich lse- a maintenant devant lui deux projets de loi est tir;és à dégager le nouveau système de got nement des entraves constitutionnelles on nt existantes. Le premier projet procure aux n de bres de cette haute assemblée la possibilité d: wjs admis à la direction da l'Empire sans pe ade pour cela leur mandat parlementaire ; ce qui jle. indispensable si l'on veut faire persistes: la relation entre le Parlement et les hauts f :ié. tionnaires de _ l'Empire au degré voulu pa lie- travail collectif et la confiance réciproque^ iUx projet proposa en entre un changement à la tar- sur ^ délégation du chancelier de l'Empire. ;]u3 irénavant, les députés au Reichstag participe tj0. à la direction de la polrtique du pays, ils p )rtc_ ront, au nom du chancelier, prendre la m_ rolo sans avoir en même temps assumé la 1US roction d'un département. On a ainsi une : au velle voie pour parvenir à la direction resipo ble des affairos de l'Empire: C'est !a vole parlementaire. [0;t En connexit« avec elle, nous avons les trai )lé, préliminaires pour l'édification de la respo us' bilité ^ politique du chancelier <te l'Empire, nsl vant être assurée par l'institution d'un trib bre de l'Etat. Le nouveau système de gouverner ,te5 a eu pour corollaire naturel une nouvelle ]a thod-e gouvernementale dans l'Alsace-l.r.Tra js; dont la dignité de St a t l'haï ter a été confiée à Alsacien. Messieurs, le second projet, celui 31x1 latif à la modification à l'art. 11 de la co: q,u_ tutio-n de l'Empire, comporte les idées fo: ve- memtales du nou-ve.au Système de gouvernera me il décrète que le chancelier de l'Empire et cl; représentants du peuple jouissent du plein c de participation aux décisions au sujet des na- portantes questions vitales pour la nation, il tanvment celles relatives à la guerre et à la t Lin. (Bravos). La garantie pourrait encore être ou forcée si les traités d'alliance étaient égaler ;er_ soumis à cette nouvelle sKnulafion. Le gou j>c_ nemsnt impérial prêtera également la mai ;en nue telle extension donnée aux droits du pe dès que la ligue des nations aura pris une me pratique. Messieurs, la guerre a provt ént chez toutes lss nations des restrictions a slir blantes dans la liberté civique. Le létab'i bat ment complet nous amènera la paix. Les ' ré- voirs extraordinaires conférés durant la gu »lle ne peuvent pas encore être retirés, ils ne ■ [rs, vent, maintenant, rester en vigueur qu'avec ! 3ns scmtiment du chancelier, responsable pour ■rei Reichstag. Les rescrits de S. M. l'Empereur :er- ont paru le G octobre ne comportent pas se <fe ment des mesures concernant la censure a' pie quée aux réunions et assstnblécrs, à la res àre tion des libertés individuelles, ils s'éteadrênt i ute lement à toute l'activité du^ pouvoir exécati au compris la polàtique économique et sociala. Messieurs, mon programme du 6 octobre c portait aussi la çrâca accordés aux- coupa de crimes ou délits politipiies. notamment île- «jorrélaticn avec les cessations de travail, m ac- festatkms de la vois pubîiquo et autres ' se analogues. Une amnistie très étendue a été licitée auprès da l'Empereur ; elle est en se d'être accordée par lui et les gouvernements P®- dérés. Déjà, um grand nombre de ces cond en- nés ont repris leur liberté ; d'ailleurs, bon n du bre d'entre eux n'ont pu être graciés par le i Il vernement qu'après que celui-ci eût srornu lès bien des difficultés suscitées par les devoirs ivi- vers la patrie Messieurs, toutes las démar< »cn dans la nouvelle voie que ja pourrais \ous < on- mérer ici ont eu lieu sur le terrain de la roért gouvernementale représentée ici par moi-m et mes collaborateurs. Si vous vou3 y ralliez ■ ,tte lement, alors jnt !s gouvernement pas* la peapïo si- sera anaré à demeui-e dass la législation ? » l'Empire. Je sais. Messieurs, qu'un aperçu ue, trospectif de la situation politique intérieure on- ces trois mémorables semaines d'octobre si ont terait an vous des impressions fort diverses. I ui, y verra la descente vertigineuse sur un plan tee elèné, aix>utissant "à la cuibute du régime c en tant ; l'autre n'y trouvera rm" des tâtonnem' me peu sûrs vers une réforme gouvernementale. O1 me on est dégagé de to.-f« responsabilité, on c lis- que librement. Vis-à-vis de ces deux cour; im- <Fopinion, je déclare au nom du gouverner in- cls la majorité du Reichstag qnre mes coHèf ire. et moi s*mmes parfaitement d'accord tant i de- l'objectif que pour la mise à exécution. Le jus c'est ^ la non-tutelle poiîtiqiae du peuple r1!s;tie (Vive approbation). Nous avons, mes collé? et moi, une étoile qui nous guide. Les mem du gouvernement partaient, autrefois, distit Hij. ment de points do vue différents. Aujouird' os- ils poursuivent le même but avec la même c ifl.Q tance, aussi leurs chemins n'ont-ils fait qtw ses rapprocher entre eux. Depuis longtemps c u,,,; notre peupla jouit de toute une séri* de di qua leur erwieirait maint citoyen d'Etats voi ja pourtant riches. L'administration communale tonome, en Allemagne, était exemplaire à ^ d'un o^ard. Longtemps, le droit de vote 3 ci élections parlementaires constituait le droit < ont toral le plus ISbre du monde, et le Reich ux_ disposait toujours de ce puissant agent, l'ac (je du budget ; seulement, la nation allemande :1C. faisait pas usag'« de ces latitudes, étant de *ni_ qua sa force capitale trourait son expres au_ «ans des rendements graad'voses, dans un ve vail en dehors àt la politique. Ce n'est nca Piiijitraire des pouvoirs instaurés, c'est le r ,.dj eue de volonté dans le_ peuple qui fut causa 'nt r Allemagne demeura si longtemps dans, un j>£ autocratique. Mais dès janvier 1917, on vc la déjà mûrir la résolution des Allemands à a tif à la responsabilité politique Puis, à fin bus timbre, le mouvement a opéré trouée, s'est réoc-vé de la sorte. Messieurs, vous quj là une g'arantie pour l'organisation et l'exist jjs du nouveau système. O» est ainsi arrivé s bîe tournant décisif dans la déyeioppsment de nation allemand», après toutes les perfore ces, actes et sacrifices de cette guerre. On une garantie plus effective dans cotte ins et tion que celles résultant de maints régime: tai- pouvoir législatif. J'y vois une rouie plus les pour aboutir à toutes nos masures. Nous ne :er- vons pas, pour complaire à l'étranger, ou die. tenir tête à une situation é'ua instant, recc le hâtivement à das formes gouvernementales on- compatibles avec nos intimes convictions, notre nature caractéristique et à notre histc aux oe serait agir incorrectement et priver le tins veau système du cachet da bon aloi dont i ou- peut se passer. (Applaud.) Messieurs, le eu- puissant adressé autrefois aux Allemands Fichte est encore bien placé ici : maintenez-comme nation pour l'accomplissement de vos voirs dans le monde, tout comme n'importe °y- peuple a une mission qui lui incombe avant -e tes autres. Ces heures dans l'existano» du 3m" pie allemand, où celui-ci paraît abattu, i iJ;r- quent en réalité la naissance d'une nouvelle ?" ce intellectuelle ; toutefois, pour permettre le _ V3 veloppsment de nos caractéristiques, il faut nous garantissions notre droit chue nous. cî^ L'ennemi est tîewanî nos partes pas Aussi pr-opiière et notre dssnièro po les- iront-alise à ces br..?«s qui nous A&ettîmt àée tre uae tr^o evpériosi'é auœériqtK', et que : ■si aT©MS à t^endr-a ««îsre toros acctisaticn. ( on vos). Il y a toigsurs eu det-as n'importe q; i£fs armée des détails et dss mesurera regrettas =4\, mais au f,»ad, ootra arn?.4a iwpuWre on i la Mwsai-ntrs, nos soldats ont tewib*e; lix. a fair» actuefeîsi-ort. Ils luttent avoiï an: rent pour la patrie; ils luttent en soDgeant à la p ciei et c'est pourquoi ils tiennent bon dans leurs Ain- forts. Nous les en remercions, nous leur téi gnons notre confiance, nous leur crions : la trie ne vous abandonne pas. (Bravos). On v donnera oe dent vous avez besoin et ce ai!x nous pourrons fournir en fait d'hommes, Tiipnc (Vif^ annlrmd \ LA GUERRE ^r- Communiqués OfRcieL em- ALLEMANDS être BERLIN, SS octobre. — Officiel: 1 Théâtra de la guerre à l'Ouost cor- Croup» d'armées du prtnss héritier Rupprs ont- Les combats dans la déclivité de la Lys i r le durent. Violentes attaques de l'adversaire Le deux côtés de Deynse. Au nord de la ville, et loi furent re-poussées; au sud de la ville. elles fui De- enrayées -par contre-attaque après ien gain ront terrain de début, à l'ouest de la route Deyt our- Olsene. P^" A l'est de Courtrai, nous avons été refoulés d1" la lisière occidentale de Vichte à la lisière on 10U" taie de la même localité. De fortes attaques ttSa- ne mie s ont échoué des deux côtés de celle-ci. cours de combats acharnés, les hauteurs près Keiberg ont été maintenues par le régiment raux grenadiers silésiens n. 10. commandé par le me. Qsa. Grùner. en dépit d'un quadruple assaut de l' de- versaire. Combats partiels dans la déclivité mal l'Escaut, dsî deux côtés de Tournai et de rent lenciennes. mé- Groupe d'/ermées du Kronprini aliénions! IEe* Au sud de Marie, nous avons évacué la tête un pont, passagèrement défendue, de la Serret ai que Souches et nous avons replié nos lignes a 1 ^1 " rière les secteurs du ruisseau. ^ f1' Sur l'Aisne nous avons repouzzé de violer. -1?' * attaaues de l'adversaire des deux côtés de N teuiî. - Sur la rive orientale des l'Aisne. des de ™" côtés de Voueiers, et à l'est d'OUzy, les comb cr.t acquis une plus grande envergure. Sous r'n engagement d'artillerie des plus intenses, l' lent nemt " attaqué de bonne heure entre Terron v >r_ Falaise, ainsi qu'entre OUzy et Beaurepaire. n ^ x Sur Les hauteurs à l'ouest de Ballay, l'ai Jnje que a pu gagner quelque terrain; sur le reSt, f'pr. du front, elle a échoué devant nos hgiys». L iciué près-Kitdi_ l'ennemi se lança à l'attaque af cca- une nouvelle préparation d'artillerie des p ssp- fortes. Le premier régiment d'infanterie^ ba: xïu- roise, commandé par son chef, le ma/or Schni erre 1er a main enu, a:i moyen d'une défense cpi?. >eu- tre. la hauteur à l'est de C/iestres. en dépit , .'as- assauts réitérés et supérieurs en nombre, ds l\ le verSaire. qui Sur le restant du front, l'ennemi tut égalem, ule- repoussé àvec de lourdes pertes. :pli- rf..f/ d's-i.Cv-'l^itz f!C" . Entre Ar -omzcs et Meuse, ainsi qu'entre M iffa" se et Moselle, violente activité d'artillerie. Cc ^ bats partiels à l'ouest de la Meuie et à l'on de lt Moselle sans résultat particulier. °™~ Le lieutenant Biichner a remporte sa iOe t 5en toire aérien»,. ani- BEliUN, «3 octobre, — Oft&eï fflr aits jye jàrtet attaques en Flandre, au sui-ouest so.'- Dcynz.'• et ù l'est de Courtrai n'ont pro -uré à l' V<^'P ' nemi qu'un gain ci' terrain fcmfU ij local. to~ | Sw la rive orientale de l'Aisne, des deux côté» am- vouziers et à l'es! d'Adry, dit v'olenles attaques < rou" Français ont échoué. ^ AtfTEîCÎMISH ■hes SIENNE, 22 octobre. — Officiel : Tivonîrs lie la gwsrre iîaïlen Aux premières h-irres du jour, l'ennrml a réu à pénétrer passagànmmt dims nos tranchées de la r»{J on du Monte Sisemol. Il fut rejeté en conl atlaque. Des tentatives d'atlaqni ultérieures écho rent sous tuilre feu. Dans le bassin de Klani, ne de ; avons m-s à néant des lentat-vs de reconnaissai i*'1- ; italiennes col- i Théâtre de la lî'-'irre dans lss Balkans 'on Sur la Morawa, nous avons repoussé des atlaqu " ! Une entreprise de troupes allemandes nous a m' rxis-| dans les positions, ennemies. Près d' Ztje--w, !' îtj'p nemi a tenté de çjagnrr du terrain. Un Aï>anie, t iand corps à corps ont eu lieu sur ta Mats. wts FRAMC-Am lent PARIS, 22 octobre. — 0[i:ciel de 3 h. p. m. : [".j® Au nord de l'Oise, nuit marquée par une as 'bi-t grande activité de l'artillerie ennemie. Sur le (r, de la Serre, nous avons recommencé noire progi sion; nos troup .« ont atteint la voie ferrée au no est d'Assis-sur-Scrrs ainsi qu'à la ferme rues j Jacques, au nord-ouesl de Çhalendry. A l'ouest bres Cluitcau-Porcien, activité des deuw artilleries, i icte- le plalaau à l'est de Vouziers. la lutte engagée hie hui, diminué d'intensité. Il se confirme que les altaq ans- menées dans la journée d'hier par l'ennemi ont s se très violentes. Nous avons identifié des élime éià. appartenant d sept cfrvstons O matin, une Itr, °.lts tive ennemie sur la ferme La Pardonne a totalem S1I1S échoué. Dans les Vosges, nos patrouilles ont j au" des prisonniers dans la région du Col du Bonhomi plus alix PAPilS, 22 octobre. — Officiel de 11 h. p. m, : Sec- Sur le front de la Serre, nous avons contra nt (' =tag nemi à un nouveau recul. Malgré la défense ob ;ord née ds ses ntilraÂl*tises, nous avons pris Choient ■ ne el Grandkip. Noire ligne borfa la Serrt jiusq >nne Mortiers, passe aux lis-ères de. Froidmont-Cohart SIon el suit plus au sud le canal d: La Buze. Dans la i t™- tinee, l'ennemi a renowieli à deux reprises tes toques à l'est de Vouziers. t'. a été partout repotu îan" Les troupes tchécoslovaques, engagées en liait S***® avec nos éléments, ont repris le nii'age di Ter. <?«' était tombe momentaoï^nent aux mains de V vsi:t nemi. En Alsace, un fort ckHachement ennem tcnlé à trois reprises différentes d'aborder un centres de notre résistance au nord de Thann. 1 »ez ince ITALIEN Ya ROME, 21 octobre. — Officiel : 5an. Canonnade violente sur le haut ■plateau d'Asia ^ là dans le secteur du GrafflM et le long du Ptave . Eitu le Sisemol, des patrouilles françaises ont péne : de dans les lignes de l'ennemi, lu- ont infhgê des pei sûre' et en ont ramené dis prisonniers el des mitraill de- ses. Dans la vallée de la Frenzela, nos détachemr bien onl attaqué de petits postes autrichiens et las urir dispersés malgré leur résistance acharnée; un « in- cier et plusieurs soldats ont été faits prisonniers. ivec ire; Ê MCïLAIS Nne LONDRES, 21 octobre. - Officiel ; cri Le nombre des prisonniers faits dimanche au n par de Le Cateau dépasse SfiOO. Les positons occup /ous par l'ennemi le long de ta Salle étaient partout , de- tes par la nature du terrain; elles ont été énergiq quel fnent défendues. tou- L'attaque déclanchée cette nuit, i s heures, peu- les troupes anglaises, écossaises el du Pays nar- Galles, par un très mauva.s temps, continue. La p for- rend noire progression extrêmement d-ffieHr. dé- s est battu avec acharnement toute la journée, que l'ennemi a résisté o]t n iHremunt dans les v.Uagei le long de la voie ferrée. Sur certains points, les tanks ant rendu de gra □sés services en passant sur la rive orientale de la r>o con- malgré la crue. Aussitôt que la ligne de ha r\v jouis « r>B solidement enirt nss ma'ms, neus avtns r, î£a„ demenl jeté des ponts sous le violent feu fies «on «fia lourds el des mttratlleitSM ennemis, ma&mnt « g* à na.i ballet -s ds suivre de près noire in-anterte ' ost marche el de i'Gffiuyrr. Le soir, grâce à'de» op nent lions locales, nous avons rejet* l'ennemi eU eeru tiété points où il se tenait encore et nous avons reps t aix, des contre-attaques parlant de Romeries en tr ef- géant de fortes pertes aux Allemnds. noi- Au nord de Denain, nos avant-postes restent pa- contact avec l'ennemi et progesseni; ils apprech ous du village de Saint-Amand et de la ligne de l'Esc que au nord de Tournai. de Nous sommes à moins rie 2 milles de Valencieni et nous avons atteint la ligne générale de Scntine Saml-Amand-Rongy-Takitignies. Nous tenons la r occidentale de ïEscaut el sommes 4 quelques mi< au nord-ouest de Tournai. O' ■■ » 3 Déclaration da Ministre de la fer DE PRUSSE Berlin, 21 octobre. — Le ministre de la gt re, recevant M. Stolberg, directeur de la «I !Sht zette Générale de l'Allemagne du Nord», lu er- fait les déclarations suivantes au sujet de 1: 4es formation do la presse étrangère, qui prét< les qua l'Allemagne doit se décider à accepter eni paix, son matériel do guerre étant épuisé : de « Je connais trop bien la presse ennemie p se_ ne pas savoir qu'on n'ébruite ces faux bn que dans le but d'enrayer le mouvement ps £g fiste qui se manifeste chez les roupies eninere en_ dhaque peuple sans exception aspirant à v luire l'aurore de la paix. Malgré les- assauts l'ennemi, nous sommes toujours à même * , pourvoir notre front des munitions, des cano y~ du matériel de guerre dent ii peut avoir beso Notre réserve da matériel, notre fabrication 'y' munitions et de fusils suffisent plift qu'ami: , ment à couvrir les pertes subies au cours c f dernières semaines. Les journaux de l'Ente: se font donc l'interprète d'affirmations er nées de nos ennemis. L'Allemagne ne sera i acculée à la paix par manque de matériel Ue guerre. La supériorité actuelle de l'ennemi nsi est acquise par l'emploi des tanks. On travai er- depuis beau temps chez nous à la fabricati d'un grand nombre de chars blindés qui se se tes «montrés une arme efficace, da manière que ne an_ disposerons de moyens suffisants pour po; ■suivre la guerre au cas où nous nous y v ux rions oentraints ». 2,s Le représentant de la «Gazette générale un VAllemagne du Nordu ayant touché un mot c accusations relevées dans la note de M. Wils ' 'gt à l'adresse da l'autorité militaire allemande, ministre de la guerre lui répondit : ^ « Le président Wilson a émis, dans sa d nière note, de graves accusations contre l'arir allemande. Il lui a reproché dé se livrer à c r destructions inutiles, à des traitem-amts inî , mains, au pillage et à la dévastation. Je di , dire que ces accusations m'ont très surpr jï J'admets pour lui que M Wilson a été induit a, erreur. Nous avons, en effet, constaté, dans *a~ j der.ràers temps, qu'une propagande méthodiq ,s a ék; menée pour rendre nos troupes suspect ld- Des radiotélégrammes, des articles de jo-urnai des discours ont surgi dans ces dernières : ;nt mainas, comme sur commande, pour accumu les accusations contre notre aimés. On a l'i pression très précise qua cette campagne d.e si etl_ pîcion n'est entreprises que pour troubler 1'; .,j_ tion de la paix et exciter los peuples ennemis eSl continuer la lutte. Les pa^-tis guerriers de l'É tente et, en particulier, celui de la France, cr gneot avant tout que nous venions à tome dans Leurs bras avant nus leur œuvre 'de d traction soi: ac.h~;vée. i ' s fxijrent o ue la lu contiEi'» pa-ce <ju'*S s'iifiaj-i^ent 'f tiv en "" n Oc ®ure d'aftattre cette fois définitivement l'Ai *n. nyifn*. C'est là qu'il faut chercher la cat vé.rS^jle de cette excitation sysKématique. fo Je vous démontrerai par l'èsetnple de Camb combien ces calomnies manquent de fond-eme A diverses reprises, l«s Anglais ont afftn (lue pas un seul obus anglais n'était tombé l'inférieur de la ville da Caînbrai, muis que Allemauide avaient mis le fc-a à la ville. On p; lire, en effet, catj* assertion dans les sans-da Carnavon et de Lyon du 1er octobre. M. Llo , Georgs lui-même sembl« avoir été induit en reijr par cette trompeusa affirmation En eiff d'après le^sans-fil du 10 octobre, à 5 heures l'après midi, il se serait exprima comme su u^~ » I.ss Alliés n'ont lancé aucun obus sur la vi IU* d« Cs-mbrai ». A cette affirmation, j'oppose IC" relevé suivant dss constatations officielies : le septembre au soir, la ville de Cambrai a < siiyc 10 coups ds calibre moyen ; le 18 au n es tin, sJi de calibre mo^en : le 19 au matin, ,nt> coups ; le tn tir à longue portée, et le soir même jour, 23 coups de calibre moyen ; le 21 matin, 44 coups de califcre moyen, et le soir, coups de même calibre Le 22, 65 caups ; le 61 coups; le 24, 27 ooups, etc. Le 4 octobre, bombardement prit les allures, cVura feu roula au cours duquel la Grand'Place a été bomb Pfcî par de* grenad-es incendiaires qui mire sa 'e feu à la ville. Dans les journées du. 7 et m! 8 octobre, la tour de la cathédrale fut tond es- «n plein par un obus, de même cjuc l'hôtel rd- viil-e da style Renaissance. Je crois que ces «y. taitions_ suffiront amplement. Ainsi qua je le fais pour Cambrai, j-e po •UT rais vous donner les relevés exacts pour Deu r a pour Rottlers. Laon, Vouziers, etc., qui ne la lss sent subsister aucun dout® que ces villes < ^ été bombardées par les Alliés. Tout homme < tj,s conserve sce bou Sans doit d'aillervrs ss d ^ que ce serait uns insanité ds la part des tri , pea d'incendier une ville qui leur sert de g : niso» et par où doivent passer tous leurs tra ports. Le cas de la ville de Saint-Quentin : rait dâ ouvrir les yeux au monde, mais constate qu'il n'en est rien. fn_ Nous avons itérativemer.t don ni l'ordre c s(!_ tes destruction» sa limitait au strict maxim j imposé^ par les nécessités militaires, et il a .? pris sein qua cet ordra parvienne aux lignes plus avancées. Cependant, la presse de 1 Eate< a créé une atmosphère de mensonges et di °T tommes qui dâi'igure complètement l'aspect < °j" choses. Ôa représente le soldat alkstnand ca '%i me un criminel et ua inceadiake. Le pr^id 'nn Wilson affirn»» que nous avons airaelié les i •on bitants à leurs foyers. Ce n'est pas le cas ; en- réalité, ils fuient leurs maisons, sous In ment a des canons et des bombes d'aviateurs <iU le les propres ccmpatrios»s et de leurs alliés. C'est ] ( a centaines d« miHe qu'on peut les voir sa t; ner en ce moment par les reutes de France de Belgique. Nous faisans tout ce qui est i mainement possible pour atténuer ls sort de malheureux... Il ne nous est pas possible gttf faire plus. Lorsque, cependant, nous avons ;,ir donné l'évacuatioa d.* la popuiatioa espo jsf dans les premières lignes d-« feu, nor.6 a'ave ■l,,s obéi qu'aux lois de l'humanité. Il n'était i possible d« laisser la population exposée à : n!s sort ; il fallait la protéger contre le bombar on'j ment ennemi et lui épargner les misères de fuite précipitée îb lui assurant les moyens transport et subsistance. J'espère qua i ennemis auraient agi de même s'ils s'étai trouvés dans ce cas. Comme i! était à préi que la retraite méthodique des armées aliéna des ea combattant serait particulièrement dée frtl treiiise aux haletants, le gcuverr,etne«t s'est Jgg taché par voie diplomatique à cherchor tiae r9r. ténuatron à a situation. Cependant, ai u,_ longtemps ; 'a retraite se poursuit ea ce ml tant, il n'e. pas possible de prévoir une a: lior-ation. 1 Les misères de cette population augmenter ^ ' emoere avec l'accroissement du nombre des fi' bitants qui sont dans ce cas parce que les eau * de la destruction et de la fuite en masse, tammsnt le feu de l'artillerk et "les jets de b< e bes ©nnstnies, continuent à exister. Il est <Tailleurs naturel au'au cours d'itn^ . kin£kfce gu erre, mc-Mnant es prés-ance c»« mes fre si •oostdéseiÀM de tr«ap»»s, on stit c-u à et gi-sSï-^a- des er.sis et t-ss brute^i-'xfc. CepeaA ïP<- ta eà les «a ant eu roTJSA ss&nce. •ÎS* «r" été résràsWis.. iNe« *&• '■•"-si gaiees, d*'swSwss, ne ce*t ïms reït-éî fcwjtas *n j f.'n> «qe eeccè®, eosasrae ls jf;oav«j-t ks 4e«s 1rs- j «JficwU que ERiis a?e*s e«ïi&iilwés, tt'ut co.» £v.» i ils «R-îploM»t (Ua tribus sawrsuros peur a>m' rsst i tra éans leurs rangs jtÎ! 1soum't: a'.ors à son interlocuteur ^rarlfftÂ10 Photographies représentant des dé-. S7t gradations commises sut <3es tomk^c î-» Ka m Sardement systématique de villa® et de lut des monceaux de décombres en témoLnarn et rappela le discours de Jî- Winston Churchiil à tes Glasgow, ou le ministre anglais tiraH vanité lie- du fait que plus de 10,000 tonnes d'obus avak^t ;ve eto lancéçs journellement par l'artillerie anirkisft les sur les lignes ennemies. angta^sa c Nous pouvons donc attendre en toute trm. quuhte le ja^ement du. mand-e, mais il est notre devoir d'exiger qu'une enquête p'us er! pro tond îe et impartiale soit faite au sui-t '(te IC ces accusations et qu'on rende ; f"fraaiî<;'s'. <3ui depuis quatre ans rem-Pr^ r, Ur,s c''°,V01r avec ccurage et abnéira-fïr- valent les soldats de l'ennemi et na ;ia- Pas P'us mauvais qu'eux ». '^a «SfrC»——- ni DERNÏERES_DEPEC!iHS yur LA SITUATION A L'0UE3T its '-es combats on Flandre et en France f?" 2l oct- T- Hier :31, bombardement, par .15, X artiliwri'ô ennemie, de Tronchiennes difîuS k oir l'ouest de^ Gand, Un feu Te Ss de caSbi de moven a été dirigé contre la lisière est et Ja I? de siere sud de Tournai, les faubourgs de Saint as, Martin, Mont Saint-Albert, ainsi q® œntre fes ni. communes situées au nord de Tournai La de pulation^ se préparé à partir. Un feu perturba- l Anf 3i Ci déchargé sur Valencienr.es ; à Saint- «e tif A?sI:us, out' sitût les Allemands par ité tiS; mstaLe dans les tours d'église jusqu'alors ménagées par ces derniers, leurs mitrailleuse* >as dont ils se sont alors servis pour le tir sur les itl Ktl^I r ,Le Tilla''îe de Saint-Pierre (au iV * - t^e. Cateau) a ete incendié par l'en-He nemi- Bors-les-Pargay. à l'ouest do Marie a Tt dfqnT ,rfUKV1°!"n : a destruction des villages m., de Son, Barby et de la ville de Rethei est con- us tinuee par les oombardements ennemis. ^ Lo isom&ardesnent ds Denain ?3 <-ït' T ^,e 1,0 octobre, l'ennemi cam-de ™ ^ f bombarder la gare de Denain ; puis, à ,es Hvilleina' U Pouvoir tous les jours, sur on T couî>,s,canon de moyen calibre. Ie S '3atl.s?,as ont été importants; nfi- «t kiP°U- " clv,1'e= 011 compte environ 50 :r- "Ps f blesses ; c'est le 1S que la ville est tom- 1„ K l I5ams 1 e""e,ml «lai ava« continué ies { oembardoment jusqu'à la matinée de ce jour : u a Yeills' au 18, entre 10 et 11 heures du soir il >:s aiva,,t ootomeacé par bombarder la partie ouesî is ?? ■. Vll!t> de Valenciennes, sur laquelle il avait eu dirige une^ quinzaine de décharges ; le 19, à 3 es *Jeures après-midi, il avait recommencé le bom- ne parlement, notamment contre tes quartiers si- »s. s au sud-ouest de la %nlle ix, Lss dévastations orésuéditées >e" . P,or'/ri' 23 oc£- — Les trésors artistiques con- ,er sidercUies et preçieux du territoire de Cambrai, □n- Douai et v al-enciejines a.p7~»»nr».nt partie auy is- musces, partie à la .propriété arivée, ont été con- tr- serres, ^our les préserver d'une destruction pa? a les eitets du bombardement, le haut commande- ,n- ment de 1 armée ^allemande, bien dirigé par un ai- journaliste historien connu, les a fait emballer ier après une nomenclature exacte dûment inscrite, js- On les a transférés ensuite en lieu sûr d'où tte ; ■ •. i,-; ; intacis .è î -ir - proor.é- - -res après les nost.lités. On a transféré ce® objets, oe C_ambrai, sans étape, vers le hinter- Se j1 n tA. et • s P^c'cs les plus précieuses des musées de Douai et de Lille, il v a d^ux jours déjà à :ai Valenciennes, pour y etre placées sous la surveH- at lance ou directeur français du musée, après ne avoir ete oomenclatuiées dans un catalogue ri- a etiement ilîiistr>s nécessiîté de cacher dans as des caves des objets de prix qu'on ne voulaft ïH Pas ^Y-oyer ^ alenciennes, n'a oas prévalu pour ta la totalité d'entre eux; un tableau de grande va- vd leur (portrait de Louis XIV à «cheval), si,-né sr- Vandermeuflen, a été rebanu paT le directeur et, mais a néanmoins pu être sauvé du fait que ce de dernier ■quitta., Cambrai au commencement de it : septemore. Comme on lui demandait les clefs des île petits compartknents du musées, il répondit e» Je prcsence d'un témoin : « les clefs sont cachées, et vous ne les trouverez pas; si vous ne les -s- trouvez pas, cassez les vitrines t ; heureusement. Ja- ma4g'r<a cela, il donna les clefs avant de partir ; CO les portes d'un-a î>ibliothècjue ds frrand prix oui du ete également reçues. au De même les "beaux reliefs marbre de 1 'é~ ffîise Saint-Pien-e de Dcuai ainsi que du monas-ter© de Saint-Amand ont été emballés par les le soias des autorités allemande afin de nt, senrer de la dévastation, ar- dii ®"'n3 IÏOt® espagnole relative ou îar.nage torpille <ie Madrid, 18 oct. —- Le gouvernement espagnol '(]„ R publié la note officielle que voici : Le conseil ci. «es ministres j-uge l'instont^ venu de tenir le pu-bhc au courant des négociations pendantes au ir- Sujet du remplacement du tonnage couié de la ai ru an ne marchanda d'Espagne ; ii s'agit de l'af-is- faire publié»^ par la note officielle du SO août, >nt . rs "5. réunion des ministres à Saint-Sébas-l-ui &sîl* Getta nota dit expressément que le gou-ire *'ernen»snt doit mettre sa résolution en vigueur iu- fn maintenant la stricte neutralisé ?i-_ tells qu h la toujours observoe. Le gouverne-3S_ ment a soumis Routes les objections du gou vertu- n,aœ,ent de Beriin h un examen sérieux, et 3 ie s est efforcé d'arrjyer à y faire prév«Joir des vhqs jugées équitaWes pour l'Espagne. Cet échaage de rues a eu lieu complètement en fai-lm saat ressortir qua, néanmoins, l'Espagne tient ^ à faire persister les bonnes relations/d'amitié en-ieis îce deux gouvernements. Le gouvernement -rte, impérial a pris en considération différents mo-ca- 'M™' ct ea a exposé la proposition, en ce sens les qua l'an pourrait augmenter le tonnage dispo-Tn. Hfcis p»ur la trafic par mer. ^ ÉtaïKt d«nné la long laps da temps qui s'est la_ écoulé depuis la résolution prise par le trouver- x çn ueirnani es®agnol et les nouveaax coulages de log navires espagnols survenus depuis, il s été de ,j.g plus en plus urgent, s «us réserve de régler ul-torieursraent les points litiarieux par un-s se®-tenoa arbitrale reconnue par les deux parties en ^ cause, ds procéder immédiatement à une muta-lu_ «ion de propriété et à une utilisation de ton-,£3 nage allemand mis à la disposition die l'Espa-de S?-'* <fctn,s des ports allemands abritant les na-cr_ vires qui s'y sont réfugiés: ce qui, en fait, cor-respepd _ précisément au tonnage espagnol cou-)ns lé depuii; le 14 août. Il s'agirait, en l'occur-3?g renco, de préciser le droit de propriété et les iaa caractères juridiques, aa Sujet desquels il n'y a (jc_ pas encore concordance établie, non plus que ja concBrsiar.t lîrs réclamations relatives aux cou- ■ lages précédents. Los informations de source 10s aiiiiicale renseignent les sept vapeurs allemands „nt oue vsici, représentant ensemble 21.GC0 tonnes • oir «Eriphime», «Euphemia», «P tsctoli», «IClio», «Mathilde», tlrmfried» "et «Rudolf», qui ont été ag_ remis au gouverne ment espagnol en conformité at_ avec la convention intervenue entre 1e ministère a{_ espag,n«l _et vm haut dignitaire délégué par l'am-= ^ bassade impériale d'Allemagne. -,ât* L'attitude dos socialistes officiels en Italia né- On manda do Borna <iua le groupa des soeialistes officiels de la Chambre a ehargs une eommission de de. ®aL raander au Président da la Chambre a discuter los ~ éTéaeraentg diplomatiques et politiques da ces derniè-ses semaines. A est tffst, lo Parlemant devrait être Jm_ *onv»qué le plus vite possible, la gravité ds la situation international® et les intérêts da pays exigeant si qu'il agissa-d» eenaert j-vo« le gouvernement. La com-seS miission a souligné le fait qn® l'keare des reaples et ir«- do lsur responsabilité «5inm*ne a sonné. La diploma-tia taerif» deit ètra abali» et ls Fsrlainemt, en sa ®-S rii&lité de rapréeeattnt réel du peuple, doit disposer 'c'a pouvoir,, posr décider da sert de la nation. II. Or-Isieds, jn-ésiîtnt d» eonseil, a fait res«ortir, dans sa riy»»sa, que l'atosation d* goareruemoat e3t pour la tiiement entifcfemojat absorbée par les évéaements da la politique extérieurs. I J®ud3 24 Cûto&re 1SÎ8. - ?S» 3459 OflïNZR CHNTIMRS Jeudi 27 OctaDre 1913. - M° 14?

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Dit item is een uitgave in de reeks Le bruxellois: journal quotidien indépendant behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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