Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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12 november 1916
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s.n. 1916, 12 November. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 24 september 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/df6k06xz2c/
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■ ifc, A.M.V.B. 3me Année - N. 764 - Ed. A CINQ ifliTIMFS Samedi 11 et Dimanche 12 Novembre 1916 ABONNEMENT POSTAL, ÉD. A ^jjj|[? ' v ■ W-m <!%% ANNONCES ^ r. 3.00-Vk 2.40 Fi 1^0-.\k 1^20 ' W La grande îgne^. T!RA^°'000 I | a Journal Quotidien Indépendant ■ T,RA<;f/^ 000 Pages à épingîer GUILLAUMII,EMPEREURCHRETIEN M. l'abué S. Ccubé, 1 éminent ex-tesuite français, qui a pioché tant de sermons fameux en Belgique, notamment à la cathédrale St-Paul, à Licge, a publié dans I' « Idéal », Revue Mensuelle d'Etude* Apologétiques Religieuses et Sociales (N° 3 fascicule de mars 1913, pages 136, 137 et 138) un intéressant article sur Guillaume II. Voici ce qu'il écrit (page 137 et 138): (A noter que La Revue 1' « Idéal » est le Bullitin mensuel de lu Ligua de la communion fréquente et quotidienne.) « En regard de 1 athéisme officiel des chefs de la France, ineuez ia foi en Dieu de l'empereur d'Al-ien;ag< e. G&ilteutne II est protestant, soit! Il est pai sa foncicii même, par la force des choses l'ennemi de ia fiance, soit ! Sa loi n'est donc pas la vraie foi et nous ne pouvons que souhaiter 1 abaissement du protestantisme qu'il défend et de l'Allemagne qu'il gouverne. Mais dans sa fausse religion il y a plusieurs points que nous partageons: la croyance eu ia providence de Dieu et en la divinité de Jésus-Christ. Or, cette double croyance, Guillaume II la professe et la proclame hautement, couiageusement. Il iaut rendre justice même à un adversaire. Guil-laitme il est un grand empereur, non pas catholique, mais chic lien sur ces deux points essentiels. Nous avons cité ici mime un discours de lui, ov il parle en termes émus de la nécessité d'aimer Jésus-Christ! Ah' si un de nos présidents parlait ainsi ! Aimer Jésus-Christ ! Le 9 février 1913 ,l'empereur a prononcé à l'U-niversité de Berlin un discours sur la Providence divine qui gouverne les notions. C'est tout simplement admirable! Pourquoi faut-il que ce soit un Allemand, un luthérien, qui nous donne cet exemple! Pourquoi ce langage ne retentit-il plus sur la terre (Je France ? « bt voiki ce qui me fait peur pour notre pays. J ai ,-cur de la PROCHAINE GUERRE! ]'ai peur, non des subies ni des canons aes Allemands, mais de la PRIERE DES ALLEMANDS. J'ai peur, parce qu'on prie Dieu dans les casernes d'Ouire-Rhin et qa'on se pusse de Dieu dais les nôtres. J'ai peur, oui, ) ai peut el je pieure parce qu'un discours com-Vic celui que je rais citer est de nature à attirer les bénédictions du ciel sur les armes pi nsiennes el . ',(>:» \ti fii .Tcîoiie a li/s dtapcdux. » Ecoutez et méditez ces paroles d'un chef de nation : « A Ivœnigsbeig, dans la Prusse Orientale, j ai indiqué qu'il fallait chercher le germe de la granae époque sublime dans ce fait que le peuple prussien avait fondé sa vie morale sur ia religion et a', ai', en d'autres termes, retiouvé la Joi en son Dieu. « La génération d'aujourd'hui, qui est encline à croire principalement ce que l'on voit, ce que l'on peut prouver ou ce qui est palpable, qui, par contre, montre moins d'aptitude pour ce qui est trar.s-cenuentaL, et à, laquelle le mot icligion crée des difficultés; cette génération a sans doute besoin qu'on lui indique comment elle peut revenir ci la toi ancienne de sts ancêtres. « Un peu après la mort du grand roi, le peuple prussien avait perdu ceile foi, l'élément étranger gagnait du terrain. « Lorsque vint la grande et pénible épreuve de 1P06 eut lieu un effondrement comme le monde n en a\ un guère encore vu. Fût-ce r-ouvre des hommes? Ce tut celle de Dieu. Il se produisit un tournant dans 1 histoire du monde; ce fut la renaissants de toute 'a nation. « C est s; prodigieux que cela vaut la peine d ê-tra gardé dans notre-cœur et de ne pas être oublié. « Ce ne fut pas non plus l'oeuvre des hommes, mais celle de Dieu. Ainsi le peuple opprimé, mor-ce! ■, se releva en ayant confiance en Dieu et, comme par miracle, tout marcha bien. « Ainsi nous avons dans les faits du passé une preuve visible de la puissance de Dieu. Nous avons des preuves visibles qu'il était avec nous, qu'il est avec nous. Je cet enseignement du passé, toute la jeunesse allemande peut aussi se forger un bouclier de la Joi, bonditi qui a été à l'épreuve du feu et qui doit toujours se Irouvei pat mi les armes des Allemands et des Prussiens. « Avec de telles armes nous suivrons notre droit chemin sans nous soucier de ce qui se passe à dioiie et à gauche, les yeux hauts, le cœur haut, remplis de lu confiance en Di'eu.Alors nous pourrons tous repéter ces paroles du premier et puissant chancelier: « Nous autres, Allemands, ci oignons Dieu, mais lien d'autre au monde. » Aussi pousse-rons-nous troi.- hurrah pour la patrie allemande et la Prusse aimée ! » La même Revue l'Idéal publiait dans son fascicule 8 août lf'h> (n° 8 pages 370, 371 et 372) l'article suivant Les sentiments chrétiens de Guillaume 11, dont nous détaillons ces passages : « Le Lorrain de Metz a consacré au jublié chrétien de Gtiiilaume II une cl ironique générale assez curieuse. Elle énumère les principaux actes par lesquels Guillaume I* a aft'înr.é pendant son règne ses sentiments chrétiens. « /.'amour de la paix, dit le Lorrain, qui anim< Guillaume 1! dérive de ses responsabilités de chré-tii n. « Volontiers, et Tt maintes reprises, il confessa être le « valet de Dieu ,> (Knecht Gcttes), « roi par ia grâce de Dieu et chargé par lui de graves devoirs et de lourdes responsabilités. » « Fils des Hohenzollern, j'ai accepté la couronne comfne ie don du Ciel, avec tous les devoirs qui y sont attachés. Voilà ia conviction et le principe qui inspireront toujours mon travail et mon gouvernement. » (Discours du Î5 mai 1890). « A Jerusalem. il fait un vœu au Christ crucifié et ressuscité: « De même qu'il y a 2000 ans ce cri partit d'ici pour faire bientôt le tour du monde : l'aix sur la terre ! — ainsi j'adresserai d'ici au monde entier l'invitation qui sort du plus profond de nos cœurs : Paix aux hommes de benne volonté Ainsi nous ne chercherons ni gloire, ni puissance, ni honneurs, ni d'autres biens que le bien unique hW et suprême: le salui de nos âmes. Dans cet espril I II je renouvelle le vœu de mes ancêtres : Moi et ma maison, nous nous conformerons à la volonté de an_ r,- , , , Dieu ! » ►CI* « En donnant aux catholiques 1 emplacement de la Dormitioo, il se déclare « très heureux de pou-^ voir réaliser ainsi un désir cher au ceeur de mes sujets catholiques. » « A Aix-la-Chapelle bientôt il se place « lui-même et sa maison sous la protection de la Croix, et il invite le clergé des deux confessions à l'aider à " maintenir la foi, et avec la foi, la moralité du peu-' pie allemand. » On sait que l'empereur joint à la parole l'exem-pie. sa vie de famille chrétienne et heureuse, peut srvir de modèle au peuple allemand. est « Convaincu d a /oir reçu la mission du Ciel et £tl" ^ ja d'agir comme mandataire d'un plus haut place que moi, je doi3 conclure pratiquement que j'aurai un 'j jour à rendre des comptes à Dieu ! Voilà pourquoi, je vous assure, il ne se passe ni un matin ni un soir, sans que je prie pour mon peuple ! « (Diète II S de Brandebourg, 14 mars 1891.) 1ÇÇ ( « Et quoi, si la prière d un Moïse a obtenu de tte si merveilleux résultats, nos prières demeureraient- 10 elles stériles? Voyez donc la jeune chrétienté de Jérusalem, à genoux : son chef, son père (saint Pierre) a été mis en prison, et voilà que ses prières ^ ' font envoyer 1 ange de Dieu dans la prison: Pierre voit tomber ses fers et revient libéré... Et nos priè-' ' res n'auraient pas la force de faire envoyer un ange ,p.. consolateur vers ceux pour lesquels nous supplions ! Maits il vit toujours le vieux Dieu de nos ancêtres jj dans la foi. de bonnes prières ouvrent ses mains pa-ternelles, et ces mains sont remplies de bienfaits ; .j ~ de ferventes prières ouvrent son cœur de père, et et. cœur est d'amour... L'homme ici-bas ne voit ,* , que ce qui apparait à l'oeil mortel ; mais l'eternifé nous révélera ce qu'ont obtenu les prières cachées 'r des justes. » (A ses officiers de marine, le 29 juillet ys. 19W)' « Dans mon armée je ne veux avoir que des sol-i(ij's dats pieux et braves, et non pas des railleurs. » (12 rcc novembre 1905, aux recrues). ' L"( « Ma tâche la plus élevée consistera à pr. ndre les mesures nécessaires pour que les sentiments re-ligieux et l'esprit chrétien rognent toujours, et rè-_' gnent de plus en plus dans les écoles publiques. ct Que l'école estime et respecte l'Eglise, et que l'Eglise':ontiiuv à soutenir r«'« c»*.' b f-fie v. ra ment dans la poursuite de son noble but ! » (Con-le férence scolaire du 17 novembre 1890.) Un petit épisode pour terminer: _ie II y a quelques années, l'Empereur ^'entretenant e( avec un professeur d'Université sur le sens de ce . n passage de l'Evangile : « Je suis le cep de la vigne, et vous en êtes les branches », son interlocuteur, incrédule, essaya de nier la divinité du Christ. — Monsieur le professeur ,avez-vous jamais dit DI1_ à vos auditeurs: Je suis le cep de la vigne, et vous 1;S_ eu êtes les branches? ies — Non Sire. 0jn — Croyez-vous qu'us professeur avant vous ait la jamais parlé ainsi? — Non, Sire. ole — Eh bien! Monsieur le professeur, puisque jamais aucun maître n'a pu parier et ne pourra par- 11 * ' i 1er comme le Christ a parle, je crois, moi, que le Christ n'a pas seulement cté vrai homme mais aussi 1JC vrai Dieu. » jcg « Le « Herr Professer » ne trouva pas de répli-un eue. La sincérité des convictions, et surtout le cou-tj3_ rage de les proclamer, valent à Guillaume II l'estime de ses plus irréconciliables ennemis. » |-g_ Voilà ce que pensait et écrivait de Guillaume II le plus célèbre des orateurs de la chaire de la es France contemporaine. Combien tout cela nous re-or' pose des idioties imbéciles répandues par les libel-,m_ les clandestins qui font bêler d attendrissement tant d'ignorants qui dégustent comme parole d'E-m„ vangile, ces torchons qui bavent les plus ignobles )ns injures contre le souverain à qui le Pape Léon XIII, est qui se connaissait en hommes, écrivait: « I-'oi/s la êtes le modèle des souverains chrétiens. » LA GUERRE BERLIN, 10 novembre. — Officiel de midi : Ihcàlre de l.i tjuerrc a l'Ouest. Untujio (i'armeo Un jirint-e liérilîer itujipm'lii de Uaviure. Par des conditions à'obst rvution favorables, l activité. de feu réciproque sur plusieurs endroits du fiant a été vive. Dans la région de la Somme, attaques partielles ennemi/s se.ns résttUai êi Eaucourt-L'Abbaye, à Gueu-deeourt, ét Lcsb<' ufs et Piessoire. Des contingents flOBçûis, plus ou moins importants, se sont avancés des deux côh s de Sailiy. Ils ont été repoussas c:i partie en corps éi corps. Les aviateurs ont continué leur activité tris animée pendant la journée, également pendant la nuit, éclairée par la lune. Au coûti de nombreuses luttes aériennes, nous avons abui.u en loin 17 avions ennemis, la plupart des deux côtés de ia Somme, hos escadrilles renouvelèrent leurs attaques pleines de succès sur des gares, des dépôts de hoapes cl des dépôts de muniiions, pertii ulitrerneni dans la région entre Péronne et Amiens. Théâtre île la j|uwe à rtëgl. Front du Icldniarécltal yéiiéral prince l.éOjmld île Havière : Sous le commanacmint du g' néral-major von Woy-na, des troupes au Brandebourg et le régiment d'in-fanvsrie n. 401, ont assailli dans la région de Skro-borra, sur une largeur d'environ 4 km. les lignes défensives russes, el rejetèicnt l'ennemi au-delà de la i i"ière de Skrobowa. A nos pertes minimes sont opposées des saciifices sanglants importants de l'ennemi el nous avons fait prisonniers 49 ofiieiers et le — soid s. Le uut,:i ,Ë\jmp0rie 27 mitrailleuses, 12 lance-mines. Les Aus#,s ml enc0le sufc ;ci une nouvelle et grave dtfaiteM Front du genéiMi' .. cavalepic arclll(klc Charles : ! i\os aituqutù dans Us j. l0nfS Gyetgyo, se sont continuées à notre avant- u terrajn qui d[ms les . combats qui sont en cou, t ui depuis lg g tlovembre/ avait ■ié peràd, a ' lé di regagn- presque totale-. meni. Dans le sei teur de Pré /u^ ^ nouveaux progrès ont i ie faits à i ouest u .i. des COntre-attaques roumaines ont clé repous :rj>. des ^ CÛUs de la route du dé lu ; ISS p'i. piiers et 4 mitrailleuses sont l estés en nos mai is„ ; Des deux côtés ae l Alt engagements réussis, au cours desquels éi côté de /, ijanlerie bavaroise et des troupes de nwnlagncs ans (/.hongroises, s'est aussi particulièrement distingua noUe tends/um Ure de la «uel re aux Baikails. Gi ;jupe d u i' IV! tmaréchal uénéral von Sïackensen . •' A Giurgiu ,des monrtorAs , capf[,rc- deux remur, tireurs russes char, di V Front iriacétlniiieii )' La situation est iru /. 'Uj Ë Combats aériens »•;. d<. sttccès dans la [,IU.,R. BERLiS, 10 novembre. \um'iei:) _ Dans !a nuit du 10 novembre, des n,jons ennemis oni jeté> sans succès, des combes - , Os.cnde el Zeebrugge. Ai: cours de l attaque, un 'v-l0ll ang}ajs jut obligé d'atterri, cl captu.i. Loi ojjicjer m. glas, fht jail prisonnier. U 10, a., matm, un avio dJ CQmbal al]cmand attaqua deux biplans Short, .. ^ gnire Nieuport el Dunkerque; il en abattit u„ obligea l'autre à fuir. Dans le courant del vaprès.midi< 3 dc nos avions de combat s'clevèfc, \t df()H all.dessus d'0s. tende contre une escadrille a ,vions supérieure en nombre, qui f-u m.m ««a.v». -,.n< attciquée. Après un loi:^ combat, l advttsaue h t poussé. Nos avions n'eurent que des uéjîts :n , ,:;iijianis cf rentrèrent au grand complet. 1 MS VlENtsE, 10 novembre. f,/7, (t,; . lheàire de ta gtitl,, a Fruni du «ener.. ,1. ,.àVaier»ê arcliiduv Charles : 1 A l'ouest du défilé de dcs aiiaques ,011- njnics soiU relies vmncs£.Des denx c6tés de la la Us conlre-aitmues enrwmieW ^ a)W(S m m prisonniers et capture 4 m;l,fl(^uses Dans les monl.ig.us dc > ',)0, nol,e atlaque tait ' tî« cmciit des ptcgn-s : u,0 ,:;!r s tiir'ii ^^"«1 i)i'nc° Près ae Shobova, ae ; eiiemtmdes ont P'.s a assaut, su: ,.v u,rge ;; ^envirvn 4 kilomè. 1res, des lignes Je de h use , ^ gl ^ ^ nemi an delà du urain -«s. Ou>>0 gj grandes per_ tes sanglantes, (es lins* „ du en prisonn;ers 49 officiers, 3380 soldâtct mi!raWcuses et ,2 lance-mines. fleure de la i!m...; sB;(,kan8i Des monitoi s ae la tio„dh . ^ Haie ct j0yale du Danube ont capiun.pus dt ^ femor. queurs rounuins c nurses dc n , 11,,,..™ .lu H , ii„,iell. La situation est ment - 1 Théâtre de la y.teno ^ . ,, . Au front de la Voi ce, l a ... - enne. mie a redouble d iiiiensiit. •ÏURC ,g CO.-tSi Ah 1 ti\Ol LE. il 1 novtmi)rc (Communiqué officiel du 10 n- venw,c\ , _ A,u m év{ncrneni important sur i .ni i front. CONS7ANÏI,XOrLE, ,0 j nopembre, (ojpUcl iu 9 novembre.; - fin Pcrsi . ,ans pronnt>, d Aser_ baidsc'ian, nous , -ons rc,vl< < ennemi, qui le 3 novembre chc chut a attaquai ;(< . campéesù Sakis, et, à cette occasion, ^ ^ sMr des pertes j Au front du Caucase, en i ûW;(Jrs d eSiarmou, hes, rien d'important. ( | BULGj« iRLS SOFIA, 10 novcmiic. (O (1< , , n , fjicicl du 9 n" . more) : Front macédonien : En dehois de ta canonnu*, , ... ,, , t c habituelle el d opaa-lions de patrouilles, d n y a 11 ... , , ; - Itiev a important a men tionner de tout le front. 1 Front Cil liouni mie ! Au front du Dan use, <u-i\ ' , , ; 5* eerlairs sc ieurs, ca nonnade el fusillade. Deuxï . .. . „ comparu( n allemandes ivec lin groupe de mont loi s ! ; , » tvi$fro-iii>::'>rots ont ope. n une peine incursion sut , , ... .. ' , , j lu rive gavehe vis-tt-vis de i i^.ie occiaenlale au curq rn iiai ueien. Elles ont force les dt ensears de cette rm r , • , , . \ " fuir. Les compagnies sont revenues ai'cc phisi&tm{ , v s prisonnier* et un cha-not de mutinions. Dans la ) n , , . . .. , ruas, t '<b!-s en- l'.asctKents enîie t iacnemen . " \ , Ji/.s ayan S"i la cote de la ir.i ;\otu RAN< ^AIS l'ARIS, 9 novembie. f 3 |;j ; à tir le fiont oc a ù • nme . . , . . grande aciivit* a artille rie. L infante ne ennemie ri , . e.vt se a ait exécuter de nombreux uariâges. LUÀ . , , . . , ,, * a dirige dans la soiree sin nos ligne?, ae SaitliseU . fi une attaque qui a < te-eompU temenl ie.< l<<' apr' si un court corps-" corps. Nuit calme su h teste dui PARIS, 9 novembie. — i !°r ' t ,, , . . ' , , . c f Jjju tel, Il h., p. m. : Sur le Iront de la Soi.a.ict r% . , /' < - i action importante. Duel a ai tt lie rie et pelits > ... , , . Iaagements d infante, ic auprès de odilty-baiiiiscL ct] , , n ' au sud de Piessoire, au cours desqtnL nous avont .. . , , f. nctto\' quelques ilo et lait des pnsoumet s. * » rt . , r:-c/ ont confit me les pa ies sevt i es de i <. mu n i o ,< .. . ,, . . Saitiisel. Bombardement violent du sateui oouaumL , , , il-\ aux. par l artillerie ciinaïue. »\oiu aruiiene il- . , h np <U. Rien u signa-1er sur le reste du fioul. i PARIS, y novetui \ - (t. . Arniee d'Orieiu : j " • Aucune ai lion importante ; le mauvais temps con- l unue, t o j «TV w ie PETROGRAD, 9 novembre. — Rien de particu lier à annoncer du théâtre de la guerre à l'Ouest ie Au sud de Dorna Watra, les combats continuent dan ^ la région de Belbor. An sud de Hollo, les Autri chiens ont prononcé une contre-attaque. I* ROUMAIN 2- BUCAREST, 9 novembie : Aux Ii'onLs nord cl iiord-ouesi : s Dans la vallée du T rotas, l'ennemi nous a allait u> >s dans la direction du mont Aluncelu, à 7 km. au non la de Goiosa; il fut repoussé. Dans la vallée de l'Usu ,s supérieure, nos troupes ont abattu un avion du lypi Hindenburg. Nous avons fait prisonniers le pilott m et l'observateur. A Tablabutze, Bratocea, Prédéal e ,s aans la vallée de la Prahowa, des combats sont et si cours. Dans la région de Dragoslavele, nous avon repoussé une attaque ennemie. Sur le restant di front, rien de nouveau. d Front méridional : L'ennemi a développé sur tout le front du Danu r* be une grande activité d artillerie. Dans la Dobrud schii, nous avons repris Harsotva, avec l'appui dt l'escadre du Danube. Avant sa retraite, l'ennemi t incendié la ville, comme il a fait de même à Tocal ITALIENS la ROME, 10 novembre. (Officiel du 9 nov.). — •t Sur tout le front, activité d'artillerie ininterromput >. contrariée par le mauvais temps qui sévit sur toutt é U région dc combat. Sur le Carso, nous avons trou-i- vé. à proximité de la hauteur 91, au sud du mon) _Pecurku, encore une batterie abandonnée par l'en■ t. nemi, composée de 3 mortiers de 15 cm. et d'abon■ >1 dantes muniiions. Le total des canons enlevés ô e l'ennemi, durant la dernière offensive, s'élève ain■ is si à 20 doni 13 de calibre moyen. Des aviateui s en-;- nemis ont jeté des bombes aux alentours de Mon■ n falcone; il y eut un mort el quelques blessés, n ANGLAIS s LONDRES, 10 novembre. (Communiqué du 9 no-'■l vemb.re, soir.) — Au cours de la journée, une canonnade violente de l'ennemi a eu lieu au sua de l'Ancre. Nous avons canonné la région ennemie « l'est de la tranchée Regina. Dernières Dépêchés La note-réponse de la ISorvège. ^ Beilin, 11 nov. — La note-réponse du gouverne- n s nient norvégien à, la protestation allemande relative L . JLu... '*, ai des soc£-:u:..'ias~par te. ! ' -'' Norvège, est arrivée au ministère des Affaires étrangères. La note est un document volumineux et est soumise en ce moment à la consultation des per- 'ei c sonnes compétentes du gouvernement de l'Empire. v'i Francfort, 11 nov. — Gn mande Copenhague à 5 la «Frankfurter Zeituug» : On compte dans les cer- de ,t des politiques ici que la note de ia Norvège, remise tei hier, contiendra l'aigument qui accentuera ia dé- te; tente qu'on espère dans les cercles autorisés de tou- te la Scandinavie. L opinion prédominante qui règne s'! s cependant, fait entrevoir que la crise ne vise pas -, seulement le traitement norvégien des sous-marins, mais qu'il a été amassé pendant longtemps des matières de conflit, principalement par la question de u commerce et que la question des sous-marins a don- né seulement le motif extérieur aux discussions et "* — on espère — donnera lieu à un arrangement. VViLson oii llu<|h«î? t)1 Berlin, 11 nov. — Le représentant berlinois de ^ 1' (-Associated Pressa a reçu le télégramme suivant : cg « Wilson est -éélu avec 272 voix. » Le Sénat sera, ^ d'après ies résultats acquis jusqu'à présent, démo- r;; cratique avec une majorité de 12 voix. La composi- n; - tion de la Chambre des représentants est encore te; '■i douteuse ; elle ne recevra une majorité démocrati- er que, que si les cinq districts qui sont actuellement cjl a encore douteux, élevaient les démocrates. ^ La première femme au Congrès américain. ri' Les journaux hollandais apprennent que la pre- de " mière femme, qui s installera comme représentant de ' au Congrès américain, se nomme Jeannette Rankins. to Elle a été élue dans 1 Etat de Montana. de Le nouvel ambassadeur autrichien de à Washington, el Vienne, 10 novembre. — Le comte Tarnowski, qui a été jusqu'à ce jour ministre d'Autriche à 1C Scfia, sera probablement nommé au poste d'ambassadeur d'Autriche. D'après une nouvelle ultérieure, ze de la « Frankfurter Zeitung ». sa nomination est v[ chose faite. ^ CliawjeiiK'nt dans la représentation diplomatique» de l'Italie. s Paiis, 10 novembre. — Le « Journal » de Paris an- ke nonce que ie gouverneur de l'Erythrée, le marquis es s Salvaga Raggi, est arrivé à Rome. Il a eu un long pr é entretien avec M. Sonnino, ainsi qu'avec le sécrétai- ri' s re général des affaires étrangères. Ces conversations gâ t- sont interprêtées par certains cercles politiques, se !- comme un indice de la prochaine nomination du es marquis au poste d'ambassadeur italien à Paris. Par di contre, le « Corriere délia Sera » dit que les bruits de la nomination du marquis lmperiali pour renipla- ni cer M. Tittoni et de celle du marquis Salvaga Raggi, pe à Londres, semblent se confirmer de plus en plus. ra r La presse Ilearst, exclue du Canada. le s Londres, 10 novembre. — Le « Times « apprend fe  d'Ottowa que le directeur général des postes vient de défendie l'entrée au Canada, des journaux du te groupe Heaist. De plus, toules les facilités, dont ne jouissaient ces feuilles dans le service internatio- sa nal de presse, leur ont été enlevées. Dans une dé- se claration officielle, à ce sujet, il est dit qu'il est à il recommander de cesser tous rapports avec le groupe s Hearst, en raison des graves dissentiments que ces gl feuilles pourraient causer entre le Canada et les ce if Etats-Unis. e L'F.spayne et la politique evlcnciire. j. Les journaux suisses apprennent que M. Maura a )° -cTe cla é k la Chambre espagnole que les Cortès ne i te pouvaient se séparer sans avoir discuté la situation internationale. M. Dato a répondu à cela qu'il ne i- paitageait pas entièrement cette opinion. MM. Al- ( varez et Lerroux ont exigé ït leur tour au nom des ré- n ; cours, avant que les débats au sujet de la politique extérieure fussent terminés ; il a to-jtefois ajouté que le moment étant extrêmement sérieux on devail laisser au gouvernement la latitude de choisir l'instant propice pour cette discussion. Uabinadratli Tayore en Amérique. L' « Algemeen Handelsblad » annonce que Rabin. , dranath Tagore, qui fait actuellement une tournée , de conférences en Amérique, a rencontré à San-Francisco, de la part des représentants du mouvement jeune hindou, une très vive résistance en raison de son point de vue sur les relations entre Anglais et Hindous. L'excitation parmi les jeunes hindous s'accrut dans de telles proportions, qu'un attentat fut entrepris contre le poète hindou, au moment où il quittait son hôtel, en compagnie du professeur de sanscrit, M. Matu, de Stockholm, qui venait personnellement l inviter à visiter Stockholm. Tout semble cependant indiquer que Rabindranath Tagore poursuit une propagande nettement nationale, tout en agissant avec prudence. Une mission grecque cliez les neutres. On mande d'Athènes en date du 8 que d'après l'organe de l'ancien président du Conseil, M. Gou-naris, celui-ci aurait l'intention d'inviter le gouvernement à envoyer une mission grecque dans les Eiats neutres « afin d'y protester contre la violation des droits de la Grèce ». Le journal appuie très chaleureusement ce projet. La pénurie de main-d'œuvre en Angleterre. Amsterdam, 9 novembre. — Le « Centrai News » mande de Londres : Le secretaire d'Etat de l'Intérieur a déclaré que le gouvernement britannique a décidé d'exempter du service militaire tous les hommes employés depuis le 24 juin dans l'industrie charbonnière, par suite de ia production supplémentaire urgente de 15 millions de tounes.de charbon. Le prix NdIm J. Stockholm, 9 novembre. — L'Académie suédoise a dJcerné le prix Nobel pour la littérature de 1915 à Romain Rolland et celui de 1910 à Bernhard von Heidenstanun. La grève des mineurs en Australie. On mande de Sidney au « Times » que la grève des mineurs menace de s'étendre sérieusement. u Les plus grandes fabriques », dit ce journal, ont dfx fermer. Des milliers d'ouvriers chôment, et il n'y a pas trace d'accord entre patrons et ouvriers. L'opinion publique réclame l'intervention du gou- ] versftrient fédéral ou dea^Etats sec&ratjfs. Tempêtes en France. Berne, 9 novembre. — Depuis trois jours, de violentes tempêtes accompagnées de fortes aveises sévissent dans le nord ouest et le sud-ouest français. De divers côtés l'on signale des Inondations, qui ont détruit partiellement les semailles d'automne. Les tempêtes ont causé des dégâts considérables et interrompu les communications télégraphiques. De Brest, Rennes, Fécamp et des Sables d'Olonne, on signale des naufrages. Théâtre de la guerre de l'ouest. La destruction du centre des munitions a Cérisy. Nous lisons dans la « Gazette de Coiogne » : Grand quartier général, 9 novembre. — A plusieurs reprises notre adversaire a reproché à nos aviateurs, en les raillant, de ne pas oser passer au-delà du front de combat et a expliqué ainsi le nombre supérieur d'aéroplanes abattus pas nous. Les dernières nouvelles au sujet des jets de bombes si efficaces de nos escadrilles aériennes sur des camps de troupes et les dépôts de munitions ennemis derrière le front de l'adversaire, mstruiiait mieux l'univers. La nouvelle vient d'arriver que nos aviateurs ont de nouveau survolé et photographié les endroits où les formidables explosions se sont produites dans la nuit du 6 au 7 novembre, notamment dans le grand centre des muniticc, de Cérisy à la rive méridionnale de la Somme, à moitié chemia de Péronne à Amiens. Comme autrefois aux dépôts de munitions près de Calais, les reproductions photographiques, démontrent clairement l'effet considérable de cette audacieuse opération. Les traces de la terrible dévastation au matériel de guerre ennemi et des installations des dépôts et des transports, s'étendent sur une distance de 1 km. carre ! ! Ce qu'ont coûté les élections américaine». On mande de New-York au «Ziircher Tagesan-zeiger» : Les frais des élections ont coûté respecté vement aux républicains, 1,886,000 dollars; aux démocrates, 1,126,000 dollars. La guerre maritime. Copenhague, 9 novembre. — D'après le « Politi-ken », les autorités maritimes danoises veulent faire examine/ l'épave du sous-marin allemand échoué près de Harboore. Un détachement militaire est arrive hier matin à Harbcôre. On examinera quels dégâts le sous-marin a subi. Dès que la haute marée se sera retirée on prendra possession de l'épave. S'it est démontré qu on ne peut pas 1 éloigner, on expédiera peu à peu les pièces détachées dc l'épave. Christiania, 9 novembre. — D'après une communication du ministre des affaires étrangères, le vapeur « Tulna » a cté couié par un sous-marin allemand au iaige du Havre; ie second canot portant le pilote, les machinistes, le cuisinier et deux chauffeurs est encore purté manquant. Copenhague, 9 novembre. — La direction des postes danoise avise que tout le courrier du vapeur danois « Heliig Olaf r,faisant le service américaine été saisi lors d'une perquisition à Kirkwall, au cours de son voyage de Copenhague à New-York. Londres, 10 nov. Lioyds annonce que le vapeur anglais «Synnside a été coulé. Le vapeur anglais «Sheldako», jaugeant brut 2097 tonnes, a été coulé. Christiania, 9 nov. — Le vapeur danois «United States» est arrivé ici hier; il avait té retenu deux' jours et demi à Kirkwall, où ies Anglais ont saisfr ' toutes ses lettres et tous ses colis postaux. 11 un bourg, 10 Novembre. — Le vapeup 3KM wégiea « Pîuto », parti de Nonvôge pouf, la Fi an-ce, a ôlé arrête charge de contrebande, par mu vaisseau do guerre allemand dnns la! mer du Nord, d amené à Hambourg.

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Dit item is een uitgave in de reeks Le bruxellois: journal quotidien indépendant behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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