Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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04 oktober 1918
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s.n. 1918, 04 Oktober. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 26 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/7h1dj5b199/
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LÀ GUERRï r Vendredi 4 Octobre 1918. • N° 143! abonnement Bruxelles - Province - Etranger l.e' abonnements si t reçus exclusivement par tous le» BUREAUX DE POSTES. Les réclamations concernant les abonnements doivent être a< v.ssécs exclusivement au bureau de poste Tjui a délivré . abonnement. PRIX DES ABONNEMENTS : 3 mois ' 2 mois 1 mois • Fr. 9.00 Fr. 6.00 Fr. 3.C0 TIRAGE ! 125,000 pas* jouf Vendredi 4 Octobre 1918. - 14: ANNONCES Faits divers et Echos ....... La ligne fr. Nécrologie . . ! Annonces commerciales * * \ \ \ Annonces financières ".*.!!!! PETÎTES ANNONCES. . . La grande ligne. Rédacteur en chef : René ARMAND Rédaction, Administrât*!»!, Publicité, Vente : BRUXELLES, 33-35, rue de la Caserne YÎI?&fîE • 19S «ftfb !/., OIÏÏN'ZR CENTIME! Communiqués Officiels ALLEMANDS BERLIN, 3 octobre. — Officiel (midi): Croupe d'armées du princo héritis? Rupprecht et du général von Boeiin En Flandre, des attaques ennemies ont été refoulées au nord de SUiden et au nord-ouest de Becelaere. Nous avons fait, à cette occasion, environ 200 ■prisonniers. Des attaques local sées de l'adversaire ont échoué aux deux côtés de la route Ypres-Menin. Armentières et Lens ont e<e évacués sans combat dans la nuit du 1 au ,1 octobre. Nous nous sommes installés dans des "positions situées en arrière à l'est de ces deux villes. L'ennemi nous a suivi au cours de la journée sur les lignes Flcurbaix-La Bassie-Hulluck, en partie après une vigoureuse préparation d artillerie dirigée contre les positions abandonnées. Devant Cambrai, journée calme. Des attaques partielles de l'adversa re, près du bas-fond de l'Escaut et au sud-est de Rumilly, ont été refoulées. Des attaques et des poussées plus vigoureuses contre nos nouvelles lignes au nord et au sud de St-Quenlin, ont échoué. Greufio d'armées dy Kreïtprinz allemand Au sud-ouest d'Anizy-le-Châtcau et au nord de Filain, nous avons repoussé des attaques localisées de l'ennemi. Des régiments du Scnlesvng-Holstein ont défendu leurs positions sur la crête du Chemin des Dames, contre de fortes attaques ennemies, . Des combats d'avant-plan devant nos nouvelles lignes au nord-ouest de Reims. L'ennemi se trouvait le soir sur les lignes Chaudardes-Lor-mie y et à ■proximité immédiate devan\_le canal ae l'Aisne. En Champagne, les Français ont continue, avec des contingents importants, leurs attaques à l'est de la Suippes. contre Ste-Marie-à-Py, ainsi qu entre Somme-Py et Monthois. Des endroits de pénétration localisés an sud d'Orfeuil ont été rétrécis au cours de contre-poussées. Sur le restant du front, les attaques ont échoué devait nos lignes. Des deux côtés de l'Aisne et dans les Ar-gonnes, des attaques partiel.es de l ennemi sont demeurées égaiement sans succès. BERLIN, S octobre. — Officiel: Dans la zone de barrage autour de L Angleterre, nos sous-marins ont coulé 32,000 ton'/ies de içiug'c brute dont un vapeur-transport de troupes d'environ ï,000 tonnes de jauge brute. En outre, le vapeur transport de troupes américain » Mount Ver non ». le ci-devant vapeur rapide du Norddeutscher Lloyd « Kronprinzessm Cccilie », a été torpillé. Le succès n'a pu nean-mohis être constaté. D'après des informations de la presse ennemie, le vapeur aurait pu être amené avec des avaries jusqu'au port. BERLIN, 2 octobre. — Officiel du soir: Violentes attaques partielles en Flandre et en Champagne, fournée calme devatit Cambrai. AUTRICHIEN VIENNE, 2 octobre. — Officiel: Combats modérés d'artillerie et de pc.trouilles au front italien. BULGARE SOFIA, 2 octobre. — Officiel: Front de Macédoine Conformément à la conclusion de l'armistice qui entre en vigueur à partir de ce jour, les opé-r retiens militaires sont Suspendues. TURC CONSTANTINOPLE, 3 octobre. — Officiel: Front de Palestine : 2.es Anglais ne nous ont pas suivi an delà de la ligne Tyr-lac de Hule, dans le secteur de la côte. Au nord-est de Kunetra (sur la route du lac de Tibériade à Damas), nous avons repoussé ie façon sanglante une attaque de cavalerie ennemie et d'autos blindés. L'adversaire n'a pas prononcé de nouvelles attaques venant de Derat. Près de Rayai, nous avons abattu un avion ennemi: les occupants ont été faits prisonniers-Sur les autres fronts, rien de nouveau. FRANÇAIS PARIS, 2 octobre. — Officiel : 3 h. p. m. A Saint-Quentin des actions très vives se sont engagées au cours cle la nuit. L'ennemi a été recelé sur la rive est du canal, où il a continué à résister avec énergie, Entre l'Aisne et la Vesle nos troupes ont acquis de non-veaux avantages à i'ouesl de Hc:ms. Nous tenons Pouillon-Thil et les lisières sud de Villers-Franqucux. Le massif de Saint-Thierry est entre nos mains. Nous avons également cjagnè du terrain au nord ds la Ncuvillctle et poi té nos lignes aux lisières sud de Béthenij. En Champagne nuit sans changement. PARIS, 2 octobre. — Officiel : 11 h. p. m. L'ennemi a été complètement rcieté di Saint-Quentin que nous occupons en entier. Nous tenons également le faubourg d'Isle, en dépit de la résistance tenace rie l'ennemi. Sur la front au nord de la Vesle nous avons accentué noire avance, pris lloucy, Guycncourt, Bouffignereux,Villers-Franqueux, Gau-roy et porté nos lignes aux lisières sud de Cormicy s t de Loivre. Au sud de celte localité nous bordons la rive ouest du canal jusqu'à la Neuvdlctte. Cour-cy est en noire pouvoir. En Champagne, au cours de l'après-midi, nous avons amélioré nos positions au sud-est d'Orfeuil ttp ris pied dans les hauteur s'au sud de Monthois. Le butin pris par les armées alliées opérant en France et c:i Belgique, du premier au trente septembre. s'élève à 2.SU officiers, 120,192 hommes. 1000 canons, plus de dix mille mitrailleuses. Le butin total fait par les armées alliées, du 15 iuillet au trente septembre, est de 5,518 offi- , ciers, 2',8,1,94 hommes. 3,669 cotions, plus de 23,000 mitrailleusestft plusieurs centaines de mi-nenwerfers.Communiqué de l'armée d'Orient. — Les mesures prévues par les clauses de l'armistice signé avec la Bulgarie, sont en cours d'exécution. ITALIEN i LONDRES, 1er octobre. — Officiel: • Le canon a tonné sur presque tout le front avec plus de vio'.ence par intermittence dans le sec-leur du Pc.subio, sur le haut plateau d'Asiago et ' dans le secteur du Montello. Au sud de Mori, nos : postes ont dispersé des détachements ennemis qui ' tentaient d'affrocher de nos lignes. ANGLAIS I LONDRES, 1er octobre. — Officiel: En dépit du temps défavorable et de la forts résistance de l'ennemi nous avons réalisé aujour- ' d'hui un progrès notable au front de St-Quentin- < Cambrai. La première division a repris de nou- * veau son attaque ce matin au Sud de Bellenglise, ' t'empara de la hauteur de Thorigny et occupa ce 1 village ainsi que Vextrémité orientale du canal 1 préside Le Tronquoy. Elle fit de nombreux pri- ' sonn.ers. En cet endroit, elle opéra sa jonction , avec les troupes de la 32e division, qui s'étaient emparées, dans le courant de la nuit, des ins- < tallations de défense du canal, à l'extrémité orientale, ainsi que dit village de Le Tronquoy, < Au cours de progrès ultérieurs de leur attaque, la division susdite a fait des progrès sur le terrain de hauteurs au nord-est de Le Tronquoy et ( au sud de Nauroy. Sur l'aile gauche des troupes , anglaises, des troupes australiennes ont attaqué \ au chemin de fer de Nauroy à Bony," qui court j dans la direction du Nord ; elles poursuivirent j leur marche en avant des deux côtés du système ] Hindenburg, culbutèrent la résistance de forces ennemies considérables et s'emparèrent de la \ plus grande partie du terrain de hauteurs situé au sud de Bony. en faisant de nombreux prison- ] ni ers. Au nord• les troupes anglaises otzt repris Vil- ] 1ers-Guislain, ainsi que les chemins de fer au tud de ce village. Le matin elles s'étaient empa-' rées de Gonnelieu. Le long du front du canal de l'Escaut, de Vendhuile, vers le nord, des ] iroubet néo-zélandaises ont atteint la rive enne- I ■ ■i mie (lu canal vers le Nord, jusqu'à Crevée Nos Groupes sont engagées dans d'âpres com ^ près de Rumilly et au nord de ce village. I 3Jo ont fait des progrès et se sont installées Si route de Rumilly à Cambrai. Azi nord de Cambrai, l'ennemi oppose une lente résistance contre notre marche en ai ') ■' en engageant des troupes considérables, e, jprecht prononçant fréquemment des contre-attaques lentes. été re- Malgré ses efforts, les troupes canadiennes 'est de fait de nouveaux progrès dans 'celte région, -,n[ en- ont fait de nombreux prisonniers et causé à •éèt de nemi de nombreuses pertes. Au cours d'o-t de la tions de moindre envergure couronnées de su rat été exécutées ce matin, des troupes anglaises ■a. ,1 oc- avancé no» lignes au nord-ouest de la rive les po- dentale de la L.awe. Simultanément nos tro Ux vil- ont fait des progrès au sud-est de Fleuri i jour- Plus de 50 prisonniers sont tombés entre Mue», mains au cours de ces entreprises. i d'ar- *— ïïS DERNIERES DEPECHE refou- LA SITUATION EU BULGARIE •ov.reu- , „ _ . ei au Le disaours du trône en Bulgarie Sofia, 2 oct. (à£. telcRr. bulgare). — Le -jj mier ministre Matinoff a ouvert aujourd'hi , j session extraordinaire de la Scbranié par ce ord de cou,rs au nom du Roi : tocati- t Messieurs ! La situation générale du esu'ig- et jes soucjs particuliers qui en résultent, a crête «animent pour faire face aux nombreux be: laques (]c l'armée, Qui a héroïquement fait son ck ont nécessité, en mai dernier, la formaiici louvel- gouvernement actuel. Mon gouvernement, emi se s-n<< par l'opinion publique et jouissant de ts-Cor- confiance, a, durant le court laps de temps .nal de dant lequel j'ai dirigé les affaires de l'Etat, tout en œuvre pour solutionner les probl ?. avec aussi nombreux qu'ardus auxquels en ava à l'est l'aire face de par ces années de guerre. An qu'en- du plus complet loyalisme envers nos allie de pé- moi ni mon gouvernement n'avions rien < été ré- tre en vue oue l'accomplissement de notre restant voir envers la patrie, de donner à nos vai nos li- tes troupes la possibilité d'arriver à une îfs Ar- honcrable, en correspondance avec les do !i sont reux sacrifices que le peuple a assumés l'obtention de son unité nationale. C'est e sens qu'on a fait tout ce qui é.ait possible A-ifle- nalement, mon gouvernement, après avoir *p tic reincnt étudié la situation, le grand nombr r/. no.» adversaires, a décidé de négocier la roupes c;us;on d'une trêve d'armes et, éventuelles d'un traité de paix. Le gouvernement, ayan' amen- vant jes yeux ja situation créée avec les n '.ur r a- pjes questions qu'elle fait et fera encore su messin a C0îlv0qiié l'assemblée nationale à une sé rtéàn- extraordinaire. Il va sans dire que nous ans de^ cjuons pas> d-e cette séance, des débats sur < amené très affaires qui pourraient s'annoncer ui tes au point de vue régularité administra r: Dans la conviction que vous apporterez à et en travaux et résolutions l'habileté, l'a-piropo; rai. sens patriotique voulus par l'heure actuellf supplie le Tout-Puissant de bénir vos travai je déclare ouverte la session extraordinaire ( 17e assemblée nationale. Vive la Bulgarie ! ouilles (Applaud. prolongés). La situation Vienne, 2 oct. — Les journaux viennois prennent de source autorisée qu'après co avant, la situation n'est pas encore éclaire Sofia. Une forte résistance se fait sentir à nistice fia contre Malinoff et tous les politiciens 's opé- gares sensés se groupent autour de Radosla' Ils. sont décidés à combattre au Sobranié ]s marche précipitée de Malinoff. On ne saurai core préjuger de la tendance de cette résista ficiel: toujours est-il significatif que l'opposition tre la paix à tout prix semble se renforcer , , tout cas, Malinoff a culbuté l'opinion pub 6J1 / en Prenant sa décision. de la VieuMie, 2. oct. — On mande de Sofia au rte du reau je Correspondance Viennois : « Les d' pousse teurs qui marchaient contre Sofia ont été ri rte en- i,<s depuis VVladaja jusqu'à Wroschdoville. A a pas dangeT n'existe pour la capitale. Derat. ^ pressa viennoise et les conditions d'armi 07z en- miers. Vienne, 2 oct. — Du «Fremdenblatt» : gouvernement bulgare a capitulé devant l't mi ; il a capitulé d'une manière si humiliai)' sur une si vaste échelle qu'on peut difficile; trouver un précédent dans l'histoire. La Bulj >)if en- cesse d'être un État autonome, si réelkmen veielé conditions inouïes du traité d'armistice, s •ésister par ^es plénipotentiaires bulgares à Saloni rmnYri étaient mises à exécution n. ,"il ttp l-e journal fait ensuite ressortir ou il y a , grande erreur à se laisser aller à l'espoir qt démarche de Malinoff ne serait pas appro /innnfi par Sobranié. Seulement, les Puissances^ « n traies avaient tenu compte de cette possib nos il- chute de leur alliée n'entraînerait pas ipagne conséquences irrémédiables pour elles. Le nal ne peut s'empêcher de mettre en par; la façon d'agir de la Bulgarie et celle de la KQuen- ^e> ffui continua à lutter bien que tout son is éaa- ntoire eût été conquis, puis conclut en ces islance mcs : " Ainsi, la Bulgarie est livrée par son la Vos- pre gouvernement et elle s'écroule après qu lioucu y a 1>eu Semaines seulement, ses dinigt ne savaient prodiguer assez de paroles dtir or mien tratéves. Les Puissances Centrales envisager ordon• sangf-froid Its suites des événements bulg Cour ot maintiendront leur place en Orient > Délibérations turques nous Constantinopk, 2 oct. — L'ambassadeur )rfeuil gare Dr Ivolonscheff est arrivé ici hier. Il . ithois ,m assez long entretien avec le ministre de: foires étrangères. Le parti pour «l'union < ant en pre^rèsj a tenu line réunion dans l'après-i e sep- Le grand-vizir a commenté la situation. T; hom- Pacha a déclaré oue les négociations de ailleu- ]j,n étaient satisfaisantes pour tous les ir.t< es, du turcs. Par suite des mesures des coalisés. ^ offt- événements en Bulgarie sont déjà tenus en é( '.us de iem:- LA CRISE CHANCELIER! ;s me- Délibérations efcaz S. M. l'Hinpsreàr 1 signé Berlin, 2 oct. — S. M. l'Empereur et le n. néral feld-maréchal von Hindenburg sont vés cet après-midi à Berlin, où ils ne comi que séjourner peu de temps. Cet après-mie 6 h., a eu lieu une délibération au palais t avec vice-chancelier sous la présidence, de S. g &ec, l'Empereur. Assistaient à la séance : le c< aro et von Hortling, chancelier de l'Empire, le g •t no% ra^ feld-maréchal von Hindenburg, le prince •is qui 4e Bade, le vice-chancelier von Paver, le président du ministère .d'Etat Dr Friedber* chef du cabinet civil secret von Berg et sieurs secrétaires d'Etat. Les prévisions forte Cologne, 2 ort. - - De Berlin à la «Gazett ujour- Cologne» : « La décision au sujet du post entin- chancelier interviendia oe soir. La presse ? nou- ffressiste assure fermement que M. von P iglise a refusé. L'adhésion du prince Max de 1 ipa ce cst P^us en plus mise en avant, mais ei canal moment on ne saurait encore rien affirmer r irl. certitude. Le prince Max de Bade a reçu au Reichs faillit ^'un aPrès l'autre, les chefs^ de partis. On • , tache à vaincre le plus rapidement possiblt -f~, difficultés amoncelées, afin d'arriver d'ici ( inv.iv oues heures à élucider la situation. La que; 4 <' de l'entrée des nationaux-libéraux au sein ue la gouvernement se trouve encore toujours au ? , me point qu'hier. Les partis majoritaires 'toy. déposé un projet de programme provisoire, : •oupes orlt fa;t encore valoir des objections contre ttaque tains points Le projet s'appuie sur la ré: court de juillet et suir la réponse à la note virent pa!e et préconiserait la revision de la pai 'stèr/ie l'Est Lors de la conclusion de la paix gené forces Au cours de l'après-midi et dans la soirée de la négociations ont eu lieu à ce sujet et on situé s'at^ndre ensuite à la fixation définitive irison- programme ». Il faut ajouter à cela eue le chancelie; s Vil- l'Empire développera son p-ogramme propr er au Ie discutera avec les chefs de parti. empa- Une résolution des conservateurs canal Berlin, 2 oct. — La fraction conservatrioc des lenjande du Reichstag a pris la résolution enne- 1 vante au cours de la séance de ce jouir ; i ceur. fraction conservatrice était et est résolue à bat s placer au point de vu." du décret impérial Ules 30 septembre de cette année et est prête, fût ■■r la même au prix du sacrifice de ses convictio à prendre part à un gouvernement qui aura: vio- cœur de mettre en ligne toutes les forces •ant, peuple sur un front uniformément ferme, a ' en d'aboutir à une terminaison honorable de vio- guerre ». Réunion du Roicfistag ont Berlin, 2 oct. — D'après une décision de elles commission aînée du Reichstag, le Plénum l'en- réunira le 8 et nu plus tard le 9 octobre, P' iéra- entendre les déclarations du frouvernement. rcès, Cologne, 2 oct. -- De Berlin à la «Gazette ont Gokg-ne» : Le Reichstag se réunira mardi r occi- chain, à 2 heures. Au cours de la séance, upes nouveau chancelier développera son pî'og.ami ■ aix. Les partis prendront ensuite position. On pré\ nos une séance de plusieurs jours. Nomifiation du princa Max da Bade Berlin, 3 oct. — La nomination du prince 5/ S de Bade au poste de chancelier de l'Empire, la «Gazette de Vos-*?», n'est pas formellem' sortie, mais peut être considérée comme un 1 accompli; la publication ne peut en avoir 1 que sur la base de principes en ce sens < l'union sur le programme serait assurée, pre- Berlin, 3 oct. — Le «T-okal Anzeiger» dit t ji la le prince Max de Bade s'en tient exclusivem dis- a,u programme des partis majoritaires. Pour formule décisive, il y a encore quelques poi Pavs , à élucider. no- Berlin. 3 o'-t. — Du «Berliner Tageblatt» : :oms prince Max de Bade veut un cabinet uniq voir, ment constitué de membres do>s partis - maiori; i du res j.es nationaux-libé- aux. eux aussi, devra:-dési- être tenus à part, indépendamment des cons ma vateurs; par contre, les politiciens nationa pen- libéraux Krause, Schiffer et Friedber.p- cc.ns mis veraient leurs postes. Le programme du pri: ■mes s'appuie sur le programme activiste des pa: •j1 ,a majoritaires ; une conception plus précise s'y r imés nifeste sur quelques points : pour d'autres poi ?, ni cie vue> je programme passe au delà des < 1 au- gences des partis majoritaires et met avant t de- l.e projet de procurer la paix au peuple a llan- mand. C- Constitution probabie du gsuvsrnenrent pour Berlin, 3 oct. — Le «Vonvarts» esquisse a v e nouveau gouvernement par des contours déjà « ; fi- preints de netteté : chancelier de l'Empire, 'mû- prince Max de Bari-e ; vice-chancéîier : voa Pav e de secrétaire d'Etat sans portefeuille : Scheidema: ccn- Outre cela, un député du centre, un sc.us-icnt, <'ré:aire d'État parlementaire et un démocra ; de- socialiste. mlti- Au secrétariat d'Etat, aux affaires étranger rgir, un ries tiois diplomates proposés, les-queis s ance tiennent tous trois a-.ec conviction au progra a'ex- me nouveau ; deux nouveaux^ scus-secrétai: l'au- d'Etat parlementaires (de partis non encore gen- xés) ; au département du travail (ncuvellem tive. constitué): Secrétaire d'Etat: un démocrate vos cialiste (la commission générale des corporatn i. Je ouvrières doit encore être consultée), deux so je secrétaires d'Etat parlementaires: un progrès; ix et te et un député du centre.^ Au département i '■e la périal de l'intérieur: secrétaire d'Etat: un i, puitaé du centre ; au département impérial de presse (nouvellement institué) : secrétaire^ d: tat : Erzberger; deuix sous-secrétaiircs d''E parlementaires : un progressiste et un démocr a!> socialiste ; au département économique de l'E :nme (>jle. secrétaire d'Etat (comme p-écédemmen ieç. a von Stein ; un sous-secrétaire d'Etat parlem ^9" taire démocrate socialiste; au département de trésorerie de l'Empire, comme précédemment, ,v' , ; comte Rodern ; un sous-secrétaire d'Etat qui i de- ra-lt un député du centre. j ■ en" Ministère de l'Etat prussien : les partis dér uce ; crates-socialiste-s du centre et des prog-ressis C°P- compteraient chacun un ministre. . -^n Le nouveau gouvernement, dit le «Vorwârt ique est conçu dans le sens d'une collégiale où t_( _ les secrétaires d'Etat participeraient aux ré Bu- lutions décisives. Le chancelier de l'Empire, ^scr- vice-chancelier et les deux secrétaires d'Etat s; :tou- portefeuille en constitueraient la çommiss: ucun privée. Le nouveau gouvernement considérerait co ôtics me son devoir de procurer la paix au monde k Le au peuple allemand, à savoir, une paix dura nrie- basée sur les conceptions de la Ligue dos î ,e et tions, de façon à permettre le désarmement ner,t néral, à réaliseir la liberté politique et éoonoj rarie lue des peuples, à exclure toute guerre éco t les mique après la guerre militaire. igné Opinions néariandaisos que, Amsterdam, 2 oct. — De l'«Alg-eineen H delsblad», à propos des événements en Aller lirait g-ne, très commentés par la presse hollanda; te la notamment avec l'attitude irréconciliable des uvee liticieais de l'Entente : S-.en- « Quiconque connaîtrait mieux les Allemai ilite. saurait que le courant démocratique est très des tense chez eux, que cette évolution parlem leur- taire est exempte de toute ruse. Nous save dlele aussi que la conclusion de la p^.ix avec les Ser- lemands de demain, lrin d'être plus sûre, ter" rait moins assurée qu'avec , ceux d'à présent ter" les Alliés prétendaient leur imposer après déf; Pr0~ radicale les conditions préconisées par les : e- 11 pénalistes d'Angleterre et de France. Nous :ants vons, ici, qu'il y a, chez les Allemands de ions- main, l'aspiration à la paix et au règne t de droit, que leur aversion pour la guerre et F ires, sécurité des droits est tout aussi intense c eux que' chez les autres nations. Nous ne p vcnjS qu'espérer que les Alliés arrivent à ê bu!- mieux au courant de la situation et de ce -j eû se prépare actuellement en Allemagne ». ; af- Du «Maasbode» : « Il n'est pas nécessaire s.t le s'être abreuvé à une fontaine merveilleuse p< ^idj. comprendre qu'en Allemagne, en fin de comi ilaat un gouvernement du peuple assumant, au besc ]}ar_ la réunion de toutes le= forces pour la défei Srêts suprême, mettrait un terme à la guerre. » les hec. Cambrai en feu „ Lon-dires, 3 oct. — Le correspondant du « 1 mes» auprès das armées anglaises écrit le octobre, que Cambrai, qu'il avait vue la ■ maine dernière presque intacte, est en flamm £<?" La prétendue ligne Hindenburg >tent Berlin., 2 oct. — Le rapport de l'armée . ij ^ glaise du 29 septembre au soir, en comment. 1 les combats livrés entre la Sensée et Saint-Qu tin, dit textuellement : >mtë nord de Saint-Qu-entin, à l'extrême dro '.'né- ^ corps a .entrepris, à 5 h. &3 du mat Max une attaiue par delà le canal de l'Escaut, ^ice_ compris Bellenglise, dans la direction du Noi . -le la 46e division était pourvue de ceintures ' , natation, de nattes, de civières, de matériel p: ponts, de radeaux ; sous le couvert cl'un tir c centré de l'artillerie et des mitrailleuses, t attaqua les principaux ouvrages de dépense 2 de la ligne Hindenb-?- - qui, en cet endroit, loi î de la rive Est du canal. pro- Ceci nous mon. aine fois de plus que, dt ayer dément, la propagande ententiste persiste à rc lade tre en avant le nom de la ligne Hindenbui r ce Or, le système de positions organisé au pr a\ec temps de 1917, sur l'ordre d'Hindenburg, d: le but de raccourcir le front, a reçu des dé: .tag, minatio-ns qui, selon sa continuation vers s'at- Nord et vers le Sud, étaient tirées de la léger : les des Niebelungen ; par exemple, Siegfried, V îuel- tan, Hagen, etc. ; et il s'agit, en l'occunron ;tion non pas d'une seule ligne, mais d'un système du positions construites à de nombreux ki'omèt mê- de profondeur et montrant de multiples retr; ont chements en succession, l'un derrière l'au. nais Par conséquent, si, çà et là, l'ennemi a p cer- pied dans les parties les plus avancées de ;olu- profond système de retranchements, il a enc pa- d-evant lui presque la totalité de la profond) x à de l'ensemble. Seule-nent, on ne voit que t: raie, bien l'intention anglaise ici: fa:ire accroire des monde que, décidément, la percée a réussi ; peut tout cela ue repose que sur un faux exposé i du réalités. Opinions des Ent-onus'.es sur la si-aaiien " de à i'Cuist e el Londres, 2 oct. — Le «New Statesman», ap avoir fait l'éloge des tanks anglais, continue oes termes, relativement aux perspectives fu : al- res à l'Ouest : sui- ï^. t Ne suivons pas l'exemple irréfléchi de' c< i La qui pronostiquent pour la suite une .vaste se traite des Allemands et tiennent les yeux r du sur les Ardennes, voire même sur la front -ce d'Allemagne. A coup sûr il v aura encore ns. mouvements de retraite puisque les Allema t a auront à rectifier leur front. Mais ils ont. du bien loin derrière eux, une ligne offrant de fin cohésion. Pour être raisonnables, prévoyons la Ludendorf et Hindenburg sont loin d'avoir noncé à des contre-attaques ». Paris, 2 oct. — Bidou, collaborateur milit; la du «Journal», fait publier ce rapport du re] se sentant parisien du «Times» : )ur « Ne nous faisons pas d'illusion. Même él privée de ses alliés, l'Allemagne aurait enc de les moyens de faire face à la défense et r0_ parer à une catastrophe ; rendue invulnérable i,e front de l'Est, et raccourcissant son fi ne d'Ouest, elle se propose de neutraliser la 1 0jJ gique. Avec un front raccourci allant de Lo wy à Belfoit, elle aurait des chances de s'y m; tenir; si son armée est affaiblie, elle n'en meure pas moins une terrible machine de gue fax Elfe s'en tient nolens volens à la ligne Hinc dit burg. qui est redoutable, et il n'est pas dout *nt qu'elle ait, on outre, fait le nécessaire pour s .ait surer des positions en arrière. Nous ne vx>v •eu pas la possibilité de nous représenter nue 1 lue sue de la guerre se déciderait en un autre droit ». ent Performancss dîs aviateurs allemands la Berlin, 2 oct. — L'inclémence du temps, nts le jeur, soit la nuit, ne peut entraver le suc des opérations des forces aériennes allemaix Le C'est ce qui vient encore d'être prouvé par le ue- escadrilles de bombardement qui, la nuit du au 29 septembre, en dépit d'un ouragan,, a ent vitesse du vent de 20 mètres à la seconde er- d'un brouillard épais, lancèrent jusqu'à 75, rx- kilos de projectiles sur le hinterland en-ne er- Une des escadrilles en jeta, en plusieurs I ice données, 32,925 kilos à elle seule ; une autre ■tis fectua, cette nuit, quatre départs, une autre c na- départs. L'infatigable activité de ces aviate nts dp. bombardement ne saurait être mieux cai :xi- térisée que par le total des bombes jetées lut puis le 1er septembre jusqu'à la nuit en qu [1^_ tien: 700,000 kilos. De neuf heures du'soii 5 heures du matin, tout le champ de bata en Flandre fut bombardé, parfois à très pe hauteur, par dss conting-ents massés de mitr le leuses ; des colonnes de transport sur les rout m- des convois transporteurs furent, avec succ le criblés, en plusieurs sections, de bombes et ;r; balles de mitrailleuses; des batteries en actii m. furent réduites au silence, des projecteurs et se- canons de défense furent contraints de se ( te- simuler un kng laps de temps ; en d-e nombri abris, de villag'es- et campements forestiers ; es, environs d'Ypres, Arras, Bapaume et Sai 'en Quentin, les escadrilles bombardières alleman-m- roussirent des touchés incontestables. Aux ga res de Poperinghe, Péronne et Ro'scl, les boni' fi- provoquèrent de nombreux incendies et exr ;nt s:ons. Et tous les avions allemands rentrèr so- au port d'attache sans aucun dommage. t-'ne opinion anglaise sur les possibilités de p âs- L'«Evenin,g Standard» apprend de Lond m- qu il semble probable que les élections généra seraient prorogées, parce qu'on compte avec < la te possibilité que des négociations de paix pt E_ sent avoir lieu sous peu. Chez les socialistes parisiens m_ Genève, 3 oct. — L'assemblée des socialis tj . parisiens enverra au congrès national 26 d< »nl gues appartenant au groupe Longuet. 12 pa san-s de Renqudel, quatre fidèles de Sembat quatre Kienthaliens. se- Hôpitaux américains monstres en Franco Zurich, 3 oct. — Dans les er virons de Ni J°" les Américains ont métamorphosé un gland n< tes Kre d'hôtels en hôpitaux, pour leurs rnala-^ et blessés. Il v aura place pour 30,000 patient >us Nouvel attentat contre Treizki so- Fïelsing-fors, 3 oct. — Un attentat aurait le commis contre Trotzki à Hojansk. Ttrotzki ins rait été b'es-sé peu grièvement d'un coup de on a 1 épaule. m- L'Italie et la situation internationale et Cuiasso, 3 oct. — Après le dernier con: bîe des ministres, le chef du crbinet s'est rendu va- grand* quartier général, afin de délibérer a le roi sur la situation internationale. nl" Mort d'un écrivain hollandais Amsterdam, 3 oct. — On annonce la mort 78 ans, de l'écrivain Van Hall, qui a été, de 1 à 1917, le rédacteur en chef de la célèbre rein- hollandaise «De Gids». Je, Tremblement da tares à Sumatra po- L'« Ho 11 andsch-Nieuwsbureau» apprend de tavia que la ville de Padang, la capitale de ids côt-e occidentale de l'île de Sumatra, a été jn_ vastee par un tremblement de terre. 211- -<£•■>£> — ffi ECHOS ET NOUVELLES ?ts- LE MEETiNG ACTiyiSTE Qt L'ALîfflKS ite Les activistes flamands ont tenu hier un m m- ting-çonfércnce où «trois jeunes 'jéios ce 1 Y s sa- (c'est sous ce vocable que le président « de de- « Défense Nationale », qui siégeait au bure; du les a présentés aux 3000 assistants), ont exp in- les griefs des Flamands. îez _ Au fond de la scène, est tendu le drap< 3U" jaune au lion noir, si essentiellement régio: lI"e et westflamand ; sur la scène, au bureau, qr 3Ui ques membres du Raad et du Nat-ionaal Verwe , derrière lesquels se rangent les principaux ch du mouvement séparatiste; à l'avant-plan 1" gauche du bureau, les trois conférenciers en nue de soldat belge, couleur khaki. îsë vibrant « Leeuw van Vlaanderen », éco debout, annonce l'ouverture de la cérémonie, président expose l'objet de la réunion et doi la parole à M. Van Cleemputte. Le sous-officier Van Cleemputte, un ancien c f1' golais. est le plus sympathique de ces trois hé lcr de l'Yser. F.n un flamand littéraire il exp comment, après avoir été fait prisonnier dès es- début de la guerre, le 23 août 1914, aux envirt de Gembloux, il a été traité en Allemagne, d: î.n- différents camps, par des compatriotes « fra mt quillons », à cause de son origine et de ses o sn- victions flamandes. Rendons-lui cette justice expose ses idées avec un chaleureux entraîneme te, il le fait posément, sans allusion ou appel à in, violence. v D'une voix faible et sans portée, le branc d ; dier Van Zande récapitule tous les arguments q ùe des centaines de fois déjà, ont été dévelop; >ur dans la presse et les meetings. Bien qu'il le i vu f.:ti a r?gret> assure-t-il, il fait discrètement ap 'l2 à la violence pour conquérir les droits méconi des Flamands. 1{îe Ici se place un incident typique. Au mom . . où M. Van Zande quitte la tribune, un spcc leur, placé à une des galerie s'écrie : « î aussi j'ai été soldat: je demande la parole » j®- Le président la lui donne et invite l'interr teur à causer de sa place. 30- — Messieurs, continue ce dernier, excusez-r le de parler en français, le flamand ne m'étant ; ide assez familier pour.... i'o- Ce préambule provoque du tapage et deux -ce, héros de l'Yser vont cueillir l'interrupteur et i de mènent sur la scène. Courageusement, l'ex-sol res tente de développer ses arguments en franç; m- mais en vain ; cela amène un nouveau boucau re. l'expulsion manu militari du malheureux qui ris parvint pas à placer un mot. On applaudit. Sp S'il a été aussi mal accueilli, est-ce parce qi ,*lr ne pouvait s'exprimer correctement en flamar ■op Le troisième orateur expose ses vues en i au sorte de patois, décrit une foule d'incidents or, appuyant ses récits d'emprunts faits aux pe: lis journaux du front. Des trois héros de l'Yser, semblait le plus convaincu de l'utilité des me res radicales : le mot barricades a même été p noncé. rès Pour finir un appareil photographique est t en qué sur la salle; les orateurs font une collé tu- pour subvenir aux besoins d'anciens combatta de l'Yser qui rentrent au pays at la sortie :ux produit au son d'un vigoureux « Leeuw i re- Vlaanderen » sans provoquer aucun incident. iyés LA DISTRIBUTION DS LA COUC:U£ SCOLAIRE n ds , djstir.bulion de la conque scolaire ne se Sait pas ms partout avec facilité, sans ciuute l'orgauiialian laisse la ?. <*?s?rer- A Schcarbeek, à l'école des filles de la rue ciue lps e'ifanîs avaient été prévenus que dinwn-re- ru lIs deyaïent êlre tous à l'éceie dès to n. 1/+; il y avait donc afflucnce d'enfants el uns lire "îMu'r-o® Procédait a la réseplion d-es bons et yré- a- d^îi'iiîutlon des couques qui devaient êlre n*an-ge:s par les enfants avant de sorî r. Tous ces en--ant grands el petite, sa poussaient autour d'un oie ana Paill^r su milieu d un bruit a^ssooiTdissaiît A de ,lul donné, un vif colloque se produisit eii-tr« au la niere d une entant qui voulait sortr de la ton*-ont nwse awç Miette; elle ava t mis la coque ci-ans Jri- vf'/, ; -rr--titulr.ee s'y opposa en se plaçant donc- , !•, P10 e; d;s u10'5 durs furent échangés et le lin- ^ d un soiiff.et se f -t entendre. C'était i'inslitu-de- ciUl \ sua* la joue d-e 1-a mère qui clï^r-fle- n = H,?nh'm,rxT SJ fli:e- cv'lait d'un joli exempt, en- a.'t a d 'Hier que parais soandiates ne so pro-eux pas dans une ëooie communale. Pourquoi 'as- aus,rs'.,no,l)pf laiif enSrer les enfants dans les classes >-ns blemein A. )' Tout njareherait convena- eu- L'EAU MîNERALE GAZEUSE DE MONTSERRAT inoffensive et digestiva» Bureaux, 218 rue de Mérode. (3244) cès LE PETIT PERSONNEL DU THEATRE les. MOLIERE u,rs répondant au communiqué du syndicat paru ici le 28 29 sept, et reprochant à la Direction du Molière vec de ne pas avoir payé à son personnel l'augmenta et tion promise de 25 p. c. proteste contre ce re- Jto pioche fait a M. Delferrière par l'Association du mi. personnel des salles eje spectacle. En effet le an- petit personnel du Molière a été payé le 27 sept, e - avec effet rétroactif à partir du 1er septembre. î,1!-» i ^ous sommes heureux d'acter es Deau geste ars de M. Delferriere. ac- de- ECOLE DES SCIENCES cs: administratives ' a La ville de Bruxelles organisera une école des sciences administratives. Il s'agit de préparer ,-I les futurs employés et fonctionnaires. Cette école 1,1'. aura son siège à l'Ecole normale, boul. du Hai- -s ' naut. dé UNE ECOLE QE BATELLERIE ité . 0n „se Préoccupe , à Sainte-Adresse de la créa- ies 'I0,n d une école pour les enfants des bateliers lis. belges, qui sont extrêmement nombreux en Fran- :ux f:e- On donnerait un caractère professionnel à lux cette eço-le, dont les locaux seraient probable- nt- mf.Tlt aménagés dans un bateau qui serait ins- îes ja,"? a l'endroit le plus propice et pourrait se res déplacer, suivant les besoins des intéressés. 3,cs L'INFLUENCE DU NOM l'I'i Enlise célèbre le 2 octobre, en même temps que la fête des Ang-es gardiens, celle de Saint-Leg-er. Une donzai<n<e d'églises sont consacrées, six dans notre pays, à leveque d'Autan. Mais en res "5 5ue' comme en France, les paysans évi-les î'eiîL seraer le jour de sa fête, de peur que :et. les epis ne soient trop légers. 11S" LA GRANDE FASV3SLLE Dimanche 6 oct., acheter-une enveloppe, c'est aider la Grande Famille à secourir les enfants et tes yieux parents d-e .nos soldats. Il y a 30,000 lots 5lé- a dont un cochon vivant, rti- — Chronique Théâtrale L OL\ MPIA. —: Sonna. dram.e indien en ce, £ actes, o.e J. Fa.bricius. C'était une création à im- Bruxelles. Aussi la feule était accourue pour se les rendre compte de ce qu'était «Sonna», une des s. plus j0,rtes comédies parues jusqu'à ce jour sur une scène flamande. Les artistes flamands ont rendu fidèlement cette pièce, au point qu'on se été serait cru ^transporté aux Indes néerlandaises, au- Leur jeu éiait d'un naturel réaliste. Mme N. feu Hart fut parfaite si par perfection il faut entendre le souci de la nuance, le jeu à la fois sobre et passionné, l'expression des sensations d amour, d'espérance et de déception rendues ieil dans la note piste. Mlle Betsy Van Es s'est au surpassée dans le rôle de Nutty. Ces deux co-sec moyennes d'avenir se sont révélées artistes accomplies et ont obtenu un succès mérité. La toute jeune C. Bonnevie, que nouis avions déjà remarquée, est en sérieux progrès. MM. W. Be-■ «J noy et J. Dehaen ont composé à merveille les rôles du capitaine d'infanterie coloniale et de résident. MM. P. Janssens e<t Van Bruaene méritent une part du # succès obtenu. La mise en scène furt très réussie. L'orchestre remplit a^réa-3a- blcilient entr'acte. Au demeurant, cette pie-la cei avec de tels artistes, mérite tout le succès fé. Q? eue remporta devant une salle comble qui na pas ména^*é ses applaudissements. Jcs. Val-■■ — , FAITS DIVERS ACCIDENT DE ROULAGE. — E. Agnees. sens, 59 ans, demeurant à Forest, rue de la Sta-ee- tion, a été hier, rue du Trône, renversé par un er» camion à deux chevaux, dont le conducteur pres-la sa l'allure sans s'inquiéter du blessé. Les roues iui ont écrasé les deux jambes du malheureux qui a ^se été transporté en civière à l'hôpital d'Ixelles où il est resté en traitement. Le camion était recouru vert d'une bâche sur laquelle on a pu relevet lal l'inscription W---, Hoçylaert. el- er, BRUXEL,L,ES"KEKMESSB efs CE SOIR teà PA QK ï = PIRIPîKI Les Rois ctes clowns et Augasîss «é s' eEwsYDRe & eo Le Ga5)on-P/iitraiiieus3s mas'sales. Imrr.anne snocis. 1116 VOLS A BRUXELLES. — M. Joseph J..., 3n demeurant rue Félix de Cuyper, avait mis en ~ réserve, dans sa grange, une provision de pré-cieuses pommes de terre. Un individu, profitant je* d'un moment d'absence de M. J., s'introduisit m dans le réduit et s'appropria les tubercules. Il | a pu s'éloigner avec tout le chargement sans pj éveiller l'attention des voisins. Il y avait plu-~n'_ sieurs centaines de kilos. il Wdci-miiicfor P' Roupps.ïoaslessoii'sorcliesire d'élit3 n" WeSlB5,SSÏSl Dimanche Apéritif-Concert. sw la — M. Pierre Mary, cultivateur, demeurant rue Koevyver, à la limite d'Anderlccht, avait loué, ar- il y a deux jours, à un individu dont on possède ui, le signalement détaillé, un cheval hongre, de pés valeur. Il n'a plus revu l'animal. as" THE OU CHAH? DE MAfiS place du Champ de Mars, porte de Namur. lus Rendez-vous du monde élégant de 3 à 12 h. (901) ant — Chez Mme Declercq-, 110, chausfée d Ixel-Tia_ les, M. Léopcld Van Cottem, chaussée d'Etter-^0j bcefc ; M. Van Diest, Dieweg, à Ucç'îe : Mnvf Maria Jonckheere, épouse Etienne, avenue Dail-' h'. M. Van- Beîlinghem, rue du Clocher, M. Boi-*" len, rue Rmsdelle, -etc., on a cambriolé ccpicii-sement la nuit dernière. M. Denis, messager, à a°i Nivelles, ayant déposé un cclis de marchandi-?r-s ses dans un café de la rue de Trêves, à l'adresse de Mine Deboeck, de la chaussée de Vleur-ies gat, vieiît d'apprendre qu'uin individu s'c-st pré-'a- senté pour enlever le colis qui lui fut remis per iat le cabareticr. lis. CONSEIL DU MEDECIN. - Un verve do BLANC. GODET est le meilleur préventif contre l'épiilémit ne qui, parait-il, sévit H nos portes. En vente dans tous les cafés. (3242) i il dp — Sur le vicinal, à l'arrivée place Dailly. on lIie a volé le nnrtcfeui-lie avec 5<X) fr. de Mme Thé-en rèse Rampelbergh, épouse Liber, de la rue de w l'Eglise Ste-Anr.e, à Koekell>erg, et la chaîne er j", la montre en or de M. Meyens-Lambert, rue de? GailLettes. roi ROYAL PATINAGE, ch. de "Waterloo, 5fi7. - Ven, dredi 11 octobre, SOIREE D3 GALA au profit . rn pa'i- MM. les Professeurs. ATTRACTIOSS NOUVELLES (325; nts — A M. Ste-urs, négociant, à Hal, de passage se à Bruxelles, un individu a volé un portefeuiilg 'an avec G&O mark, au boulevard du MoiiL tcut eg bousculant 1-e préjudicié. (A.l

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Dit item is een uitgave in de reeks Le bruxellois: journal quotidien indépendant behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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