Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1918, 02 Juli. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 05 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/6q1sf2nw0b/
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La Qsestiéfr tlss éo^aiai^és enssmis Sous le titre « -Question de boutique », M. élément Vautel publie, dans 1' «Œuvre», un tret intéressant article, où on lit: Sous Louis XIV. quand les Français voulaient jonnaîtrc les nouvelles, ils achetaient la ((Gazette 13 Hollande». De t os jours, ils achètent les journaux suisses Les journaux suisses^ auront connu, pendan' lecfcç ^uevre. une prosoérité inouïe... Ils ont don plé, triplé leur tirage" et leur succès va toujour: i.n augmentant. * , . Le nombre de leurs lecteurs helvetiques n ; tepïndant pas fensiblement varié. D'autre part re n'est ni en Allemagne, ni en Autriche, que 1; «Tribune de Genève», la ((Gazette de Lausanne» voire le «Berner Tagblatt» ont conquis cette, vo £ue soudaine... C'est en France, rien qu'en France. Nos conifères suisses doivent-ils une telle po polarité à l'intelligence, à la clairvoyance, à 1: c'ocuBientation, à l'esprit de leurs rédacteurs ? Nullement... La rubrique qui leur a attire cett clientèle étrangère n'exige aucune science, au tune originalité, aucun talent; elle tient en que] ques lignes, !e plus souvent incolores, qui viec uer.t de Berlin. , C'est le communique allemand qui a -procure en France, aux journaux suisses un -public vra, meut formidable. Les journaux français ne peuvent publier -régulièrement, du moins — le communiqué allt mand... Mais les journaux suisses qui le dor nent ont libre passage à notre frontière. Adm rez cette logique ! Et comme le nombre des gej, qui veulent comparer les textes afin de compret dre les faits augmente sans cesse, le résultat e. que, grâce à un -produit boche (!) nos confrèrt de Genève ci de Lausanne viennent concurret cer avantageusement en Fxav.ce les journau français... Il est parfaitement légitime de reclamer pov les journaux français le régime dont jouissén en France, les journaux suisses. M. Clemenceau vient de briser les fers d 1' « Homme Enchaîné », et c'est très bien. Il a même là un beau sujet de tableau historiqui dans le genre d' « Alexandre libérant Darius o de Latude délivré de ses liens par les vainqueui de la Bastille ». Ma\s ce n'est pas tout: M. Clemenceau do donner à son journal, à tous les journaux, ui liberté qu'ont toujours possédée les journaux ù Berlin et de Vienne, celle de publier les commi niqués de tous les belligérants, textuellement sans maquillages, sans coupures, sans puérili habiletés. Il suffirait, pour justifier cette revendicatioi de dire que partout en France se vendent di journaux étrangers, voire alliés, qui publient c< textes jugés redoutables... Mais à cette raison faut ajouter celles-ci : 1. Le's journaux français, mis arbitrairemei en état d'infériorité; sont lésés; 2. Mieux vaut traiter les Français en personni sensées parfaitement capables de discerner le vr du faux et suffisamment résistantes pour a; prendre, sans broncher, une mauyaise nouvell D'autant plus que les mauvaises nouvelles, c la finit toujours par se savoir et que rien ne l grossit phis, ne les rend plus dangereuses que mystère... Les « communiqués » ennemis sont des doc' ments que nous devons connaître. Rien n'emp che le service des informations militaires de 1 discuter, de les rétorquer : il aura beau jeu. Je preiends d'ailleurs que, dans cette phase s prême de la guerre, il est impossible de conl ncer àtraiter ia France en petite femme impre sionnable et nerveuse. On dit : « Vite et tout. ». Cela doit s'appliquer aussi aux nouvelles ( guerre : nous voulons les connaître rapideme: et entièrement. Les déprimés et les énergiqu ^ trouveront l'occasion de se montrer plus rés BULLETIN ANAST.A.SIEN. . Nous lisons dans 1' «Action Française»: « Un dessin de Tel, dans 1' ((Homme Libr ' — ■ mc-r.tre le cadavre d Auastasio (pour la cer.su politique), pendu au bras de la statue de Ba tholdi, la (( Liberté éclairant le monde », qu'< met un peu à toutes les sauces par le temps q court. Cette caricature porte cette légende : « I grand jour et le franc-jeu, voilà le régime < l'avenir ». Notons ce pronostic paru dans le journal < M. Clemenceau : Nous verrons bien comment il sera vérif quant aux faits, et s'il y a lieu, si l'on va ju que-là, quant aux conséquences. Mais il faut o server que des journaux se plaignent — déjà 1 ■ des excès de la censure clemenciste. » 5 décembre 1916. Extrait de 1' «Homme Enchaîné» : Clemenceau et la censure. — Le même M.Cl mencr.au qui maintient aujourd'hui la censu dans toute sa rigueur, écrit : Les articles de M. Pichon ont été ravagés p un cyclone. Les colonnes du «Temps», d l' «Echo de Paris» — qui l'aurait jamais cru? Eercées de mille trous, ont un aspect d'écumoir< ,isez l'article sur « la situation militaire », da: le ((Temps». Vous y verrez que toutes les appr dations favorables sont soigneusement maint nues, tandis que les considérations d'aspe moins optimistes sont, d'une façon systéma que, expurgées. On ne vous montre ainsi qu'i seul côté de la question. Le lecteur en conço bien entendu, une très haute idée de son go irernement. Que je laisse courir ma plume selon les insj rations les plus mesurées d'un patriotisme q vaut bien celui de nos fastueux maîtres, 1' «Homme Enchaîné» se présentera demain,av deux colonnes de blanc, aux kiosques du boul vard. Je n'ai donc d'autre ressource, pour fai parvenir jusqu'à eux, des bribes de réalit.és, q de piller de-ci de-là, en des feuilles voisines, d parties d'informations ou de commentaires écha pés aux torpillages des censeurs. G. Clemenceau. FAITS DIVERS VOL DE 1? 000 MARK. — M. Ignace F..., nég ciant, rue Philippe-de-Champagne, 12, qui avait pi samedi vers midi le tram à là Bourse pour Ta pla Anneessens, s'est aperçu en arrivant à destinatii que pendant le trajet on lui avait volé son port feuille renfermant 17 billets de 1,000 mark. (A.) VOL DE 25,000 FRANCS A MOLENBEEK. ARRESTATION DU COUPABLE. — M. l'officier « police Serbach, de Molenbeek, vient d'arrêter C. Engiebert, qui avait disparu il y a quelques joi; après avoir commis un vol de 25,000 francs ch< M. V..., rue Vandenpeereboom. L'argent volé a é retrouvé. (A.) FAUX POLICIERS. — La police recherche Jea Baptiste V..., qui, de complicité avec deux autres i dividus inconnus, a volé 200 kilos de graisse ch M. Brasseur, rue des Quatre-Vents, 70, en se faisa passer pour policiers chargés de perquisitionner. Les nouveaux modèles d'été efi gabj dines de soie imperméabilisées vienne de paraître chez Destrooper, 56-58, chau sée d'Ixelles (Porte de Namur). iow VOL D'UN PORTEFEUILLE AVEC J3,000 M. En passant hier avec son camion- place Charles-K gier, M. Hughes Robert, négociant, rue Stassart, f victime û un accident. Son véhicule ayant accroc] les roues d'un autre camion, un choc violent s'ét; produit. M. Hughes qui se trouvait sur le siège p« dit l'équilibre et tomba sur le pavé; dans sa chut il se blessa assez grièvement; des passants qui le i levèrent lui portèrent secours. Quand il fut revenu lui, M. Hughes constata la disparition de son port feuille qui renfermait 8,000 mark. (A.) ENQUETE BIEN MENEE. — L'avant-dernière nu la maison du capitaine-commandant Godenir, rue tii chart, à Schaarbeek, actuellement au front, a été cor plètement pillée. L'argenterie, les tableaux, les o jets d'art ainsi que les vêtements et les vins avaie disparu. L'enquête fut menée par MM. Eayaert officier de police, et Vanden Berghe, agent spécl de Schaarbeek. Après des recherches fructueuses, 1 policiers découvrirent l'un des auteurs du vol, S. Louis, d'Anderlecht. En perquisitionnant chez cet i dividu, on découvrit 200 bouteilles de vin provena de la cave de M. Godenir ainsi que d'autres obje volés dans la même maison. Il a dénoncé toute bande./A.) "" " * ' - 1 • - i. î i - 9 \ LES VOLS A BRUXELLES. — Sur le trr.m n. 50 entre la Bourse et la pl. Anneessens, on a volé lue ! s>otr le portefeuille avec 300 francs de M. Van lac '• ghem, de la ch. de Vleurgat. \ — Sam'sdi, sur le tram n. 61. on a volé !e porte i feuiiie avec 600 mark de M. Piehiers, boul. Emile Bocksiael. — Sur le tram, on a volé la sacoche qui contena une bourse en argent et un portefeuille renfermai' 500 francs ce Mme Veraughe, rue de la Presse. _ Sur la plateforme du train n. 53, on a volé 1 > portefeuille avec 1,440 mark de M. Joseph Coc sens, de Vilvorde. 1 BRUXELLSS-KERMESSE. -- Ce soir-, 1s î Adlcrs. , Chez Mme Berîhe Houîekeet, rue Linnée, St-Josse, on a volé plusieurs costumes et d'autres v< tements, un mantea# de dame en fourrure de Chii chiite valant 10,000 francs, 2 paires de chaussure - j des bijoux, etc. i _ Chez les époux De Golt, Alphonse, on a vo des fourrures, des vêtements, du l.'nge de corps ■ - de table, etc. — Rue du Marais, 26, chez Mlie Isabelle Paren " caissière, on a volé un coffret en fer renferma: 25 francs, une obiigaHcn de Bruxelles 1905 et dei livrets de la Caisse d'épargne. !> — Dans le magasin de M. Van Levzele, pStissie rue de l'Enseignement, 118, on a volé 2 pardessu un panier avec 60 œufs, une grande partie de ch colat, des bijoux, etc. TUE PAR LE TRAM A Sl-TROND. — Hier, l'arrivée du tram Ans-Bruxelles, Maurice Velte, §! ~ de 18 ans, né à Borckerke, réfugié français s'e f élancé sur le marchepied avant l'arrêt du tram; n'aoerçut pas un réverbère sur lequel il alla bute . Il fut précipité entre deux voitures. 11 fut transpor à l'hôpital eu bientôt i! succomba. x THF î) L! CHAMP DE S place t!u Champ de Mars, porte de Namur. r Rendez-vous du monde élégant de 3 à 12 h. (90 •. LA VALISE DIPLOMATIQUE ET KINAJNCIKK — La valise diplomatique, on le sait, échappe a e investigations de la douane et n'est, en principe, ; ,y . mais ouverte à la frontière. Tablant sur cette imir ! nité, des courriers de Cabinet attachés à i'amb; " sade de France à Berne se livraient à un petit ti 3 fie assez rémunérateur. -, Au cours de leurs voyages à Paris, ils se proc raient des livres sterling et des dollars dans pi , sieurs banques anglaises et américaines, en fcourraie , la valise et reprenaient le train, Arrivés à Berne, i transformaient le tout en argent suisse, revenaient ' France, réalisaient et la manxuvre recommenç; alors. Une seule opération de ce genre portant s une somme de 25,000 francs donna aux assoeù J grâce à la différence des changes, un bénéfice 8,000 frsncs. Deux courriers d'ambassade sont poi n su'vis jusqu'à présent dans cette affaire où sont i pliquées également cinq autres personnes pour co lt plicité. LA ROULETTE CHEZ LE SENATEUR. — Se! :s les journaux de Rome, la police a opéré une descer *i dans la maison du sénateur Massarucci, où était : ?" stallée une roulette. Les enjeux et ie matériel ont i e- saisis. Une vingtaine de joueurs étaient présents. e- '-e TYPES D'AUJOURD'HUI ■}- L.'fciurrsôrisfc© îs Un simple coup d'oeil sur !?- « Carir->:—-s du < ~~ taine Bruce Bainsfather, publiées c-n 1915 en al'çi a- sous le titre : « Fragments frorn France », prédis i- les reculades majeures des troupes britanniqn s- en 1918. Ces (( orloons » humoristiques eurent un succ le prodigieux parce au'ils étaient sincères. it Le îou nal satirique le « Bystanier », qui édit :s l'ouvrage, avouait 250,000 numéros vendus en 19Î o- L'humour répandu dan; ces tableaux de la vie 6 lâchées était essentiellement britannique, à la fi 1 sentimental, outrancier, grave et narquois, scept:q e!. -"TOîd?nsé. :» Voici un exemnle : Peux to ~"lie'. 1 ?■" fry>rfr,n' re assis dans une tranchée inondée, échangeaient !e r- décou peinent; Vir- dit : « m es-tu engagé à la gup're? ui — 7 ?ns, répen:l l'autre. ,e — Veinard, moi j'ai signé pour h durée ». ie L'humour angia's diffère de l'humour allema" 0 celui-ci esc pius fiageilant, plus cynique, moins gaz le il est con'ondant. L'humour français est à base de calembours; s ié domaine est la grivoiserie, la gau'oiserie, les douj s- sens; ses caricatures sont surtout des deshabniag b- En politique, il persifle sr.ns abattre, le but visé. — Il y a aussi l'humour américain : très excentriqi bruyant, prêtant à rire à gorge déployée, exagérz sans finesse et étonnamment bluffeur, sans aucune n sure, ni aucun tact. Il vise à amuser un peuple, de l'ancêtre nègre se reconnaît au p -emier coun d a m?'gré les croisements de toutes les nations d Euroj La civilisation américaine est encore trop jeu lr pour pouvoir atteindre le d.let antisme raifin» P l'anglaise. La comparaison de leur humour illuminera ce . ? différence. , _ jg Voici quelques extraits des « cartocns » de Bri é. Bainsfather : , . e Ici un officier, au seuil dune maisonnette a^t rt ture arrachée, à murs fendus, entouré de décomîU i. et de cadavres de bestiaux assommés par les ob: in écrit à sa femme : « Chère Maud, à présent ne t restons dans une ferme ». ul On déduit de ce court dé-ut de lettre aue 1 esp. dans toutes ses précédentes missives d être « ,i. tonné dans une proprette et paisible fetme de 11., ui dre, au lieu de l'abri humide des tranchées, devi( et dra une réalité dans la pensée de Maud. sc Autre exemple : e. Dans une maison, un obus a percé ia muraille a re trou circulaire de 2 mètres de diamètre. Deux to ie mies causent ; l'un est une recrue fraîchement ai es vée au front, l'autre y est depuis des mois et er p- soupé. Le jeune, pour amorcer une conversation, -mande : « Qui a fait ce trou? » « Les souris, pond le vétéran », coupant court à tout commi taire et reprenant sa mine renfrognée. Une autre caricature représente un jeune son chez le coiffeur dans la tranchée. Des obus gig: B_ tesques passent à quelques mètres du parapet ; is néophyte inquiet essaie de lever la tête. Le coiffe :e flegmatique lui dit : « Tenez votre tête tranquille >n sinon je vous coupe dans l'ore lie ». e- Peut-on plus finement décrire l'accoutumance danger quotidien ? ...» Enfin, un dyptique représente la lune pleine et p . sible; à sa fenêtre, une femme poétisée par le « cor nocturne dit : « Et dire quc cette^ même cm '' lune voit mon John ! » A côté un dessin représeï John, plaçant nuitamment du fil de fer barbelé; tg ronchonne : « Sacrée sale lune, elle va nous fa découvrir! » n_ Mettons en parallèle des échantillons d hume n_ américain ; un yankee vous dira ceci : « Je conn .... un nègre si noir qu'une marque au charbon fait t ,5. ligne blanche sur la peau ! » Si vous ne riez p vous froisserez ce Marseillais transatlantique. L'Américain habitant un vaste territoire considi •I* l'Angleterre comme une petite île. Séjournant à L< lt dres, il a peur en faisant sa promenade matinale s. « V/alk over the edge of the country », dit-il (de p ser au-dessus du bord du pays) et tomber dans l'e; Si vous lui demandez : « Avez-vous déjà trave: — les Alpes? » 0- ,— Oui, dit-il, il me semble avoir franchi : « So: ut rising grounds » (quelque terrain se surélevant) ». ié Voici quelques historiettes typiques du « Boastin; lit (outrance) américain ; Il y a à Kentucky, narre r- yankee, un pharmacien qui possède un onguent e, nommé; si un chien se coupe la queue accidentel e- ment, il suffit de frotter l'onguent à l'endroit ampi à et l'appendice repoussera endéans les quarante-h e- heures. Là-dessus un yankee de Los Angeles répond q it, son pharmacien possède un onguent meilleur : « 1- vous trouvez en rue un bout de queue de chien, li n- tez-y l'onguent en question : à l'extrémité de l'orga b- trouvé poussera aussitôt un nouveau chien ». ut Terminons par celle- ci : s, Un prisonnier avait pris dans sa jeunesse t i al de potions ferrugineuses qu'il recueillit, en s'ouvn îs une veine, assez de fer dans son sang pour constru une lime et scier un barreau de sa prison, n- Que n'a-t-on caricaturé ce commandant de tri it blindé anglais qui, à Boom, en septembre 1914, < ts bliant le biblique combat de Samson et de Golia la me disait : « Comment pouvea-vous douter de no >J victoire : la Russie, la France et l'Angleterre con ; ; ] I i I I ï 1 [ i I î ! I I ! : ; < [ ! I î ( 1 i ] ï i i i i i [ ! I [ 1 > l'Allemagne! » (We ought to win ». (Nous somm r obligés de gagner). Or, le dit personnage ayan1 reçu de i etat-ma; beige un avis : « L'ennemi est dans le village de X. à 4,250 kilomètres au sud de Boom », avait touiè journée expédié ses projectiles à 4.250 miles a giajs, soit environ 3 kilomètres den:èrc ie Lut t atteindre. , . t Cette intériorité des chefs britanniques appa.« nettement aujourd'hui au public et aux soldats, e Quelques-uns, tel le général Maurice, redouta •s l-orage. paient d'audace et démissionnent a temps.L puis trois ans el demi, embusqués loinde la aier les généraux anglais traînent leur nullité a»*og«i, 3 dans les rues de Saint-Omer et d'Amiens, réclama chaque jour plus de jeunes gens pour de nçtavea à massacres. « Nous sommes sûrs de vaincre », dit chacun i- leurs rapports au Parlement. s. Evidemment! Quel généra! serait assez loyal clairvoyant pous- avousr la supériorité de t'enne lé et sa propre incapacité? ît Et depuis trois ans et demi, la jolie jeunesse j glaise, lieuse et confiante, va de l'avant, victime t, ces malfaiteurs galonnés ! U Gare à vous, généraux incapables 1 ^ ix L'orage s'accumule parmi les méeon.ents. L'exemple russe vous guette; le peuple ani,l: r, décu voit rouge et frappe ses tyrans. 3, N'oubliez pas Charles 1er, décapité en 1649 < > vani le Palais de Whi.ehall. Maxim ~>.nssus, ——^.;s=;a&-©»<r2E«-e5»— - *• Çà et L,à st BLONDE OU BRUNE? i! D» la «.Germania» : Deux courants d'opinion r- aux Etats-Unis/c«t "discuté comparativement t -é s'tv'ces rendus par les Américaines a cneve blonds oti bruns, et la plupart des avis ont < favorables aux brunes, dont on prétend avoir tiré une assistance plus efficace, en cette ci n que, que celle procurée par les ulondes I o . comble, on a pressé la statistique d'un dep, tement minist'ér.el iiartierulierement proouiCn JX ces assistantes haut cotces sont au nombre a" 309 brunes par une seule blonde. 1-ensez eo u" si l'autre clan s'est mis en branle pour relui 1S" ces conclusions. Mais comment lutter contre 1 a- io'iupnce des chiffres? Aussi prend-on le pp.* chez" les blondophiles — passez-moi le n-ee u- pisme — d'arg-umenter en ce sens: la fern) u" blcncfc, d'un rendement m.erieur dans les u nt vaux sérieux, a autre chose à son actif : f a g; ils tillesse vient stimuler notre courage, elle ne en m-n d" bonne humeur par ses \ues sup?rnc. lit jes Ei vous voulez, mais optimistes, donc bu ur faisantes; si vous rencontrez en la brune u is, interlocutrice plus qualif-ôe pour parier de ci, de s»s sérieuses, vous aurez, par contre, le scur ir- de la blonde avec sa réponse : Oh ! ie ne s; si- pas, il y a longtemps que je n ai rien lu y ayn trait. ' i • ,, Les journaux américains — ceci n e.o, ac personne — terminent en affirmant que d r î" leurs la chevelure brune est.plus pratique e: Ie la blonde. n- —<y*<>— — C9îîii)t35=rôËdj«s d'Assemblées BILANS Chemin de fer Namur à Liège et Mans à Matin Assemblée générale ordinaire du 17 ju;n lti Bilan ~ présenté à l'assemblée et approuve se v- discussion': 5 Premier établiss. ' U. 74,320.279 oc Kt°' B^l^e 15,5 —i,7 ^ J 65 CU" du. No:d 2.3,675,0C° As Banquiers 'Jl '—' Mob lier 1 Porte.xudlle. , 6 1.146 oblig-, Ire enuss. ' 195 act. prim-.t. Evaluation au aj/12/13 J"o'n?Q Osasse ^ ue Sommes échucs restant dues par , l'Etat et par Cie du Nord 5,8o3,^o F r. 120 20,o«j7 [ Passif: ç » t i 4 t-» - • - y ■ ct'ons iuji'.ij, i v.u Obli^at. Ire émiss. 23,075,0.0 a. Rés u'ves sans d st. prévue s, : Profits et pertes Fr. 120,720,357 on COMPTE DES PROFITS ET PERTES: es Doit; rs- Titres et coupons Fr. 1,000,200 Frais Administrât. 19.29C ie' Honoraires avocat 1.0C0 !n^ Loyer, contribut., etc. ie_ Pension, garde titres 4Ù204 >nt Rés. sans destin, prévue 653,263 ;ii> Solde à reporter 5-ti2,073 >e. Fr. 2,224,126 ne Avoir s Solde à nouv. Fr. 519,226 Intérêts divers 32.D39 ;tÊ à recevoir de : Etat beige et Cie du Norel 1,672,330 ce Fr. 2,221,126 Charbonnages de Ressaix, Le-val, Péronne, i 3Î" Aldegonde et Genck. — Assemblée générale ,c din. du 17 juin 1918: . . ' Le bilan présenté est approuve a l'unianimi us l'assemblée réélit également à l'unanimité cc me administrateur, M. Je Comte L. de Mec Administ. sort, et réélig. Il est procédé au ,n" rage de 106 oblig. rembours. fin Déc. proch ;n" et de 55'S oblig. remb. fin Septembre proclia :n~ Au cours de cet exercice 1917/lti, par su des difficultés matérielles résultant du mom et de la réduction de la main-d'oeuvre à ca-un de nombreux départs d'ouvriers, la product m- a continué à diminuer, et malgré l'extract ri- effective à un nouveau puits, la production a taïe de l'exercice 1917/18 ne s'est élevée q 3e- 636,880 tonnes contre 939,270 tonnes en 1913/ ré- Le déchet du personnel a été de 32 p. c. :n- celui de la période correspondante de 1914. L'augmentation sérieuse du prix de vente lat charbon a été absorbée par les diverses me in- res d'augmentation de salaires, traitemer le participations aux œuvres de bienfaisance, :ur cours et aide divers et en outre par le surci ou de frais généraux et le surenchérissement ' matières premières de consommation, au La Société néanmoins continue par un esi de vraie solidarité philanthropique, à consac ai- tous ses efforts à améliorer dans la mesure lé- possible le sort du personnel et de leurs fan ■re les. Ces charges supplémentaires, rien que pi lté l'exercice écoulé, se sont élevées a 1,031,490 fi il et quoique le personnel se trouve en réduct ire de 1,000 personnes sur celui de l'exercice 1914/ les suppléments de salaires payés pendant mr dernier exercice, se montent à 3,129,900 fr% ais Voici au surplus le bilan résumé arrêté ne 31 mars 1918 : ÎS Actif s ' Immobilisations Fr. 14,161,0<i2 „ Installations en cours 144,44S Valeurs réalisables 11,611,785 Compte d'oïdre 255,00< Fr. 26,172,305 passif s 'ci Capital actions -, Fr. 8,000,0<X Emprunts obligat ' 7,108,00< •ne Crédits divers 1,780,46; Créditeurs en compte 9,028,84^ , s Compte d'ordre 255,00< un Fr. 26,172,30î re- COMPTE DE PROFITS ET PERTES: le- Déîiit : lté Dépenses de l'exploitation et des fabrioatio: uit Frais directs Fr. 25,571,056 Frais indirects 2.375,06C ue Fr. 27,946,11£ Si Crédit : ;t- Produits de l'exploitation, et des productio: ne Valeur des charbons, des produits fabriqués i lisés, des produits - existant au 31 m 1918 Fr. 27,945,254 Coupons périmés 86£ nt Fr. 27,946,118 ire Laminoirs et Fabriques ie tubes de Nimy. Assemblée générale ordinaire du 18 juin d »in nier. — L'assemblée des actionnaires appre >u- à l'unanimité le bilan et le compte des pro th, et pertes. Après amortissement des pertes ai tre rieures, allocations diverses aux œuvres d'à lie et de secours en faveur du personnel, l'exert i i ! ; i I I : i i : i i i ! : : I i : i ; : i i i j I : i i i ! i i l : i i ! ; i i i : i i : i i i ! : : I i : i ; : i i i j I : i i i ! i i l : 2S clôturé le 31 mars 1918 laisse un solde béné claire de 73,019 fr. 17, qui est porté en amert sr sement du"compte installations. Malgré les dii ■ cultes découlant dci -événements en cours, la conseil a la ferme conviction que l'avenir n- serve à la Société est des plus satisfaisants, à qu'il est assuré, grâce aux mesures de prevoyj cé et de'bonne administration mises en praticj tît durant ces dernières années par le conseil d'; ministration, tant au point de vue administ: nt "tif qu'à celui da production soignée, dont e- bonne réputation c-st définitivement acquise, e, Le conseil attend avec la plus entière ce te fiance la fin des événements actuels pour fa nt reprendre vie à l'exploitation des Laminoirs jx Fabriqués de Tubes de Nimy. Oxhydrique Internationale. — Assemblée gé de raie ordinaire du 19 juin 1018. — L'assembli composée de 50 actionnaires, ayant déposé ! su actions, ne - peut qu'approuver les nominatic mi statutaires et le nrocès-verba! eîe la séaasit ci statant que la Société étant sous séquestre < .n- puis le 10 septembre 1916, il est imposs'oie d cie tabli * un bilan ni un compte de -îrofits et nert Chemin de fer du Congo Supérieur, aux Gran Lacs. — Assemblée générale ordinaire du 19 j 1918. — En l'absence de documents comptabl î's dont l'arrivée est impossible à la suite des & nements actuels, il ne peut être établi de bil le- ni de compte de profits et pertes. RENSEIGNEMENTS FINANCIERS D1VÈ: Comité de défense des porteurs de fonds rusi — Un télégramme de Londres dit qu'il s'est t mé à Londres un comité de défense des p s, teurs de fonds russes. Ce comité important es constitué principalement de grands banquiers. ,x SairU-Louis ci San Francisco Railw. Cy. — I ■té Administratiekantoor van Amcrikaansche wa re- don te Amsterdam- (Bureau d'Administration io- Valeurs américaines -à Amsterdam) fait sav ur ^que les titres prôvfen'ànt de li réorganisation n-- la St. Louis and San Francisco Railw. Cy., de E : la Kansas City, Fort Scott .and Memphis Rail do Cy. fait partie, ne peuvent être expédiés ne N e w-Yoi;k, à cause des frais d'assurance e:-:t er ordinairement élevés, etc. On chirche à tour' 'é- la difficulté par l'émission de récépissés, ,< ti, permettraient de mettre provisoirement les p 'o- priéta.ires d'anciens titres de la St.Louis and S ne Francisco Railw. Cy. en poi. session fiduciaire a- Irars nouveaux titres, de façon à pouvoir •n- prendre en Hollande le paiement eies coucous Toutefois, les pourparlers n'ont pas encore abi el- ti et subissent du retard par suite des commu :n- cations difficiles avec l'Amérique. La rente ne riérée sera en conséquence acquittée dès eue o- arrangement sera accompli. rc Perl of Para. — On croit que les derniers us rangements pris par le Gouvernement brésil nt avec la Société de Port of Para seront po tuellement exécutés, la situation économique î? pays ne pouvant plus servir d'entrave. Le m l1'- tant des coupons Port' of Para arriérés attbin ue au 1er juillet prochain 100 fr. par obligation E\aX de Bahia. — En suite d'un arrangem antérieur pour le règlement des couptfhs souffrance de l'ancien emprunt de l'Etat de hia, il avait été arrêté que ces intérêts aurai été réglés au début de cette semaine. On vi de conclure un nouvel accord, qui stipule q », sera r-avé 40 p. c. des intérêts peneiant les d' premières années et-50 p. c. pendant la t ns sième année, soit en 1820. Pour, le solde, il s créé des Bons de caisse rapportant 6 p% c.,re boursables à la fin de la cinquième année. O'j Espagne. —■ On mande de Madrid que la b 00 se continue des changes étrangers provoque ér 32 mément d'inquiétude, notamment pour le cha Oj français, dont on explique la faiblesse par 1 suffisance de la couverture en métai-or. En fet, en couverture de 27 milliards de billets circulation, il n'y a que 3,311 millions de frar 25 tandis que la couverture en or des billets es ,83 gnois atteint actuellement 70 p. c., et elle a core tendance à augmenter. Une des causes ,C0 cet étai prospère réside dans la brillante sit 7g tion du commerce extérieur d'Espagne : l'exj tation dépasse l'importation de O'JO millions rJ0 pesetas. On calcul* que les sociétés de navi yn lion "cspagnole-3- font annuellement des rece 00 atteignant 300,000,000 de fr. Mensuellement, ' c,g rentre en moyenne environ 50,000,000 de fra 7g du fait de "million d'Espagnols qui vont ' vailler en France, qui y gagnent des salaires ' 10 à 16 fr. à la journée et qui en envoient viron 30 p. c. au pays natal. De Beers Cy. — La De Becrs annonce un d .00 deude final de 10 sh. plus un boni de 5 sh., qui fait 25 sh. pour l'exercice, contre 20 ■ '-"J l'année précédente. Rio-Tinto. — La Rio-Tinto négocie actue ment, avec une banque madrilène, une émiss 'ig d'obligations en Espagne. -7^5 Nitrate Railways Cy. — Les Nitrate Railw: malgré une augmentation de 90.000 liv. st. 07 recettes, annoncent une diminution de rece il nettes de 65,000 liv. st., attribuable au sui chérissement extraordinaire du matériel de e 00 min de fer et l'augmentation du taux des laires. Canal de Sues. — Dans la dernière asseml générale des actionnairës du Canal de Suez conseil d'administration a déclaré que l'augn , -. tation de tarif de 2 fr. 25 à la tonne sera m: ' tenue également après la guerre. us Tapanoeli Rubber Cultuur M y à Amsterdam ti- La production du mois de mai dernier a att< un 20,000 livres contre 18,000 livres pour le n in. d'avril précédent et 16,200 livres pour le n i.e correspondant de l'année antérieure. ?nt Sumatra Rubber Cultuur My. — Cette soc ise annonce une production de 46,000 livres poui ion mois de mai dernier (caoutchouc), contre 40. ion livres le mois précédent et 37,000 livres p to- mai 1917. ti'à - La récolte en café a donné en mai dernier 14. picols contre en avril dernier 43 pic. et en j sur 1917, 150 picols. Zuid Préanger et Salatri Plantations. — Zuid Préanger a eu une production de 30.600 su" vres de caoutchouc pour le mois de mai dern ts' pour la Salatri, dans laquelle Zuid-Préan se~ est intéressée, la production du même mois s ? élevée à 3,000 livres. "'S Chemin de fer de Braine-le-Comte à Gand ■rit Les recettes de 1917 n'ont atteint que 82.493 rer 36 c. Pour faire face aux diverses charges, la du ciété a dû prélever une somme de 475,323 fr. !il_ sur les comptes de régularisation et de prévis: rur Hauts Fourneaux du Sud de Châtelineau .24 L'exercice finissant au 31 décembre dr. clô ion avec un perte de 70,613 fr. 83, y com; 15, 44,503 fr. 59 Je pertes antérieures. le Banque Belge de Chemins de fer. — Il pa trait que la Banque Belge de Chemins de au vient de céder à des conditions avantagea la participation de 7,000,000 fr. qu'elle a dans les chemins de fer locaux hongrois. Société Financière de Transports. — Le b , circule que les parts de fondateur de cette ciété seraient supprimées et qu'elles sera L22 échangées, après la guerre, à raison de qu '•73 parts contre cinq actions de capital. Stèùua Romana. — Les bénéfices bruts d< '•OO Steaua Romana ont atteint poux l'exercice é< 1.00 ]é 23,844,490 lei, qui laissent un bénéfice i.33 de 13,920,332 lei. Le Conseil propose la _clii ■ 35 bution d'un dividende de 16 p. c. L'année ; >•00 cédente, il n'a rien été distribué; en 1916, i.73 actionnaires avaient touché 10 p. c. L'expie tion se fait actuellement sous le contrôle d' commission roumano-allemande. Il a été pot is : à des mises à la réserve suffisantes pour .84 rer à toutes surprises désagréables. .28 La production atteignit du 1er janvier au ■"Tô août 1916 (commencement de l'état de gue 236,791 tonnes pétrole brut contre 251,950 nés pour la période correspondante de 1915 ■ ' Le montant des ^indemnités que la Steaua aj" mana avait estimé lui être dues par le C y, vernement Roumain du fait des eîétériorati ^ et destructions causées par la guerre, avait taxé au début à environ 50,000,000 lei pour provisionnements en pétrole détruits et — 50,000,000 lei pour îéfection des installations er- dommagées et détruites. Mais par suite du îve renchérissement de tout le nécessaire, augn fits tation de salaires, etc., ce montant devrait lté- me atteindre les 170 millions de lei; ceci ide peut cependant être contrôlé et l'enquête ice aiwa lieu par une commission aliemano-; i ! i i : ! ; : ; i : : i ! ' ! ( i ! 1 ; ! : ! i i i : i i : ; i i I : i i i i i i maine, présidés par un neutre, aura à statue' à ce suiet. Compagnie Industrielle du Platine. — Par sui te des événements politiques iuté.ieuïs d : Riis sie, il sèmbl" peu probable qu" cette société distribue un dividende pour l'exercice qui v.eni de finir. _ Chemins de fer méridionaux Italiens. — L'exercice "1917 laisse un bénéfice, y compris 1- report, antérieur, de -30,199.431 lires. Le dividehde L est fixé à 5 p. c. ou 25 lires. Canadidn Pacific Railroad Cy. — Les recettes nettes du- mois d'Vvril se montent à 8>4CO,COO ; dollars contre 4,175,C09 dollars en 1017. La di-r minutiûn est de 720,000 dollars. Du 1er Janvier au 30 Avril, les recettes nettes ont été de 8,207'„00,J. dollars contre 12,530.000 dollars en 1917, soit pour 191S une diminution de 4,323,003 : dollar:,. ! Lorrainc-Dietrich. — Le capital de la société * va être augmenté et por.c de 15 à 20 millions par la création de 40,0CKÎ actions nouvelles de 125 fr. chacune à émettre au pair. Elles seront réservées aux anciens actionnaires à raison d'une action nouvelle par trois anciennes. Une seconde augmentation de capital de 1 3,O00,C00 fr. est également décidée: sa sous-» cription sera. réservée aux actionnaires empêchés de sousçrire à l'heure actuelle du fait da 1 la guerre. Port de Pernambnco. — Le Gouvernement bré-; silien vient de signée un contrat avec la Société de Construction du porc de P.crnambuca p œr l'exploitation provisoire des do ks de la - ville, sur les mêmes bases que le, contrat du port de Rio de Janeiro. t Barcslcsia Traction Light and Power Cy. — Pour, les' 10,0.0 obligations, sur le, 20.0.0 of-t fertes au public, il a été souscrit 144 410 titres. L'émission a donc été souscrite 14 fois: le pro-; rata de répartition ressort à 6.92. p. c. •—• Les sociétés suivantes qui avaient à réunir ; leurs actionnaires en assemblées générales ordi-naires. ces iours-ci : Société Financière des Caoutchoucs. Kuang Rubber Plantations, P-lenta-: fions Teloh Dalam, Piassa Oelec Rubber C'y. Soc- * ke Djàdi Estâtes et Comptoir Congolais Velde ; ont décidé de ne pas tenir ces réunions à la suite 1 de leur décision de ne pas établir de bilan ni de comptes de profits et pertes durant la guerre. 1 Chemin Métropolitain de Paris-.— Les recettes : du Métropolitain da Paris ont atteint du 20 au 26 mai dernier 1,183,608 fr. 35 et du 1er janvier de cc-tte année au 26 mai. la somme de 30,036,624 fr. 05 confie 27,996,325 fr. 70 jour la période correspondante de 1917. " Cofflffliiniqaés dss Théâtres et Concerts RESTAURANT LES FLEURS, r. des Princes j li'LiïCe «e idL iuuimaic/. iuiis ics suns, a pfluu - de 7 heures: Danses, attractions. 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Dit item is een uitgave in de reeks Le bruxellois: journal quotidien indépendant behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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