Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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22 februari 1916
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s.n. 1916, 22 Februari. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 02 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/t727941w64/
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ABONNEMENT POSTAL ÉD. i Bruxelles - Province - Etrange 3 mois : Fr. 4.50. - Mk. 3.6 Les bureaux de poste en Belgiqt; et à 1 Etranger n'acceptent que d< *<5'Mifiemtîiis i'RïMSTRIEES; ceux-i prennent cours les IJanv. 1 Avril I'Jiillet 10"' On peut s'abonner toutefois potirîe deux derniers mois ou même pour 1 uornier mois de chaque trimestre a prix de : - Mais 2 Mois F' 3.00-^2.40 Fr 1.50-^1.0 TIKÂGE : 75-OOC PAR JOUR Le Bruxellois ri n II w I Ll I LiniLn 131 ANNONCES — La ligi r Faits divers et Ecltos fr. 2.< Nécrologie, l.( Annonces commerciales . l.( ^ » financières. . . 0.; || PETITES ANNONCES W La petite lr;nc O.î La grande ligne. . . . . 0. Tf RAQg. : 75.G01 r Rédacteur en Chef : ^ ^faro cle SAlvM ■ Journal Quotidien Indépendant I Rédaction, Administration, Publicité, Vente BRUXELLES, 45, RUE HENRI MAI;S Derniers Communiqués Officiels ALLEMANDS Théâtre rte la guerre de l'Ouest Berlin, 21 février (communiqué de midi 4 — Au nord d'Yprcs, les Anglais ont t.eni contre notre nouvelle position, près du c, nal, une attaque à la grenade, que not avons repoussée. Au sud de Laos, l'ennei. a été forcé de se retirer des abords de l'e lonnoir où nous avions pris position; sur -, route de l^cns à Arras, il a attaqué en pu, perte. Nos escadrilles d'avions ont attaqué diff ■h nies organisations ennemies en arrière ri front, entre autres, à Fumes, à I'operingb à Amiens et à Lunévillc, les bons résulta ont été confirmés par de nombreuses obse rations. Théâtre de la guerre de l'Est Devant Dunahurg, des attaques russes oi échoué. En d'autres endroits du front au s s Vennemi a fait des attaques de peu d'impo tance, qui furent repoussées. Théâtre de la guerre des Balkans Rien de nouveau. Berlin, 21 février. -— Le 20 février à mid des lujdroplancs ont attaqué la côte anglais< ils ont jeté de nombreuses bombes avec sm ces sur les installations de fabriques à Dca sur les installations du chemin de fer et d port, ainsi que sur la gazomètre à Loivestof La station principale et les installations d port de celte ville ont été touchés plusieui fois. Le gazomètre croula sous la parti d'une bombe. On a lancé, égaiement, di bombes sur 2 vapeurs tanks dans les Doirn Malgré le bombardement et les poursuit' d'aviateurs ennemis, nos appareils sont rei t&trés indemnes. lh rl in, 21 février (officiel). — Des a en pl ; de marine ont inondé de bombes, a 20' jébrier, le champ d'aviation et les cam■/ de wipe$ de Fumes (au sud-est de La Pai ne). Les aéroplanes sont revenus sain et sau AUTRICHIENS Théàtfe de la guerre russe Vienne, 21 février (d'hier). — Rien i nouveau. Théâtre de la guerre italien En Judicarie notre ouvrage Carriola, pr de Lardaro, est exposé au feu des mortte lourds. Au front de l'Isonzo les comba d'artillerie perdurent. Théâtre de la guerre Sud-Esl L'avant-position italienne de Bazar Sji a étti prise. Plus au sud, nos troupes sfi so rapprochées des lignes ennemies au sud-c de Durazzo. Des groupes d'Allouais, q combattent à nos côtés ont occupé Ben Ljusna et Pekinj. Plus de 200 gendarm d'Essad Pacha ont été faits prisonniers da ces dernières localités, ITALIENS ltome, 31 février (comm. off. du 19 Jév.). Sur tout le iront, des combats d'artillerie. Ce me mesure de reprisaAies, nous avons bomba des localités habitées. Une de nos escadrilles viennes du type Caproni a attaque hier la ville La'tbach. Les aviateurs ont réussi à atteindre <• but. Bombardés sur tout le chemin par des ai tcurs ennemis et des canons cle défense, ils pu, lancer quelques douzaines de grenades et ht bes sur la ville. Un de nos appareils Caproni, a été encerclé 'par six aviateurs autrichiens, o obligé d'atterrir dans les lignes ennemies; les très sont, reV nus intacts dans nos positions. FRANÇAIS Paris, 10 février, (lô heures.) — En . lois, au nord de Blangy, l'ennemi a tent la fin de la journée une petite attaque qu été aussitôt repoussée. Nuit calme sur le > te du front. Paris, 10 février. (23 heures.) — En . toi s, au nord-ouest de la cote 140, nous ai-fait sauter une mine sous un saillant de I neuii, qui a été bouleversé. Entre l'Oist l'Aisne, notre artillerie prit, sous son j une colonne ennemie au nord de Vies Aisne. En Lorraine, bombardement des i blissements de Domèvre. Lu incendie a constaté. En Haute—Alsace, activité de notre ai lerie sur les tranchées ennemies à l'est Sept et de Largitsen. ANGLAIS Londres, 21 février. (Comm. off. du Q\ lier gênér. britannique en France, sou date du 10 février.) — Hier matin les A mands ont exécuté une poussée en avant , tre nos tranchées à 4$ommecgurt et ont quelques prisonniers. Nos pertes en mon en blessés s'élèvent à 7 hommes.Au cour la nuit dernière, activité d'artillerie à 1 ge, des deux côtés. Aujourd'hui, nous a canonnê un fort point d'appui ennemi , Touquet, RUSSES Rétrograde. 21 février. — Comm. off. d iévr., 7 h. 40 soir. — Une de nos batteries ûa des a forcé un ballon captif à l'atterrissage p de lezierna, au nord-oued de T-àrnopol. Sur r-\ restant du front, feu (l'artillerie et d'infante ainsi que tes combats habituels des txitrouiVcs cd TURCS * >ll,' Constantinople, 20 février. — Au front des mi danellcs, un, vapeur ennemi se trouvant, dans on- eaux côtières d'Imbros a lancé quelques obus in ficaccs sut Telce liurun. Des autres fronts, pas nouvelles importantes. Constantinople, 21 février. — Au fro fr- des Dardanelles, 2 navires de guerre ent, dr. mis qui bombardaient Sedcl-ul-Bahr et Te ■te, Burmi ont été touchés le 1S.février par pl ats sieurs de nos batteries et ont dû s'éloigne c,-- I'C 10 février, nos batteries ont égale/ne forcé un monitor ennemi qui bombardait hautetfr de Sedd-ul-Bahr à reculer deva mt leur feu. Le 17 février, un de nos aviateu ■si, a bombardé un navire transport ancré pr or- de Mudios, un incendie éclata à l'avant i navire, sinon rien cl'important. —— — i>v O ——— Dernières Dépêches se, a IC~ L'Entente et la Grèco > On mande de rétrograde à Bucarest,21 fe ' d vrier, que les Puissances de l'Entente soi) tombées d'accord touchant leur ligne de cou ''n duite vis-à-vis de la Grèce. Elles agiron safls beaucoup d'égards et feront ce qui ri cc pond à Leurs intérêts. On ne communiquer même pas d'avance, les projets de l'Entent 'ls■ au sujet du territoire grec, mais on placer trs toujours la Grèce en face de faits accompli-■n~ Les puissances de l'Entente allèguent com N me motif de cette façon d'agir que la Grec ro- serait un ennemi, secret pour l'Entente, t. au que par son hostilité cachée et par ses embtl •,ps elles, elle chercherait à l'aire échec aux but ni- de l'Entente. Par sa manière d'agir, eil if. aurait déjà porté un grand préjudice^! fcex. cution des Projets des. A!li<- La~~Grecë retire soii argent d'Angleterre , On mande d'Athènes, 2] février, que i '1 Grèce a fait transférer des banques angl i ses où il se trouvait, pour 15 millions <1 . livres sterling de son avoir, à des banqut américaines. ers Grèce et Italie ats Borlin, 21 février. — On écrit de.Lugano : 1 Corriere délia Sera annonce d'Athènes : 1/ambn sadeur iiâJien.' a communiqué à Skuludis une no jo.h du ministre Sonnino, dans laquelle, le gouveni ont me.nt italien exprime son vif mécontentement : .est sujet de l'incident à la Chambre grecque. J ,ïii) tension au sujet cle 1 is'iue <lo 1 incident est tj (/Kl- ^ O \(lf grands a At lien es. Le « Move » nes , i> Berlin, 21 février. — On annonce do Ilot < dam : Le 'l'ithps déclare qu© le vapeur Move di être le Panga, qui éjiait encore sur chantier début de la guerre. La fuite des navires al _ mands Bahrcnfetd et Tuibinc, de Bac-nos-Ay: !om- H Punta Arenas et Ja tentative de fuite d . suncion de Bdim coïncidaient avec l'appariti a(,_ du Move-Panga. Ceci souleva la support.on c dc le aaviro avait à bord d s canons de l'AUeijrtaj destinés aux internés. Depuis on n'a plus enten ivia- parler du navire. ont Les Zsppelins bom- Barlin, 21 février. — La Xordd. AU y. '/ , qui écrit : Des journaux hoPanda-s ont publié l'écc i' été ment qu'un dirigeable Zeppelin, volant do I': : au- à l'Ouest, a été aperçu au-desnis de ïilburg 10 coulant au 13 ap!"cs des constatations 1 tes aux sources allemandes autorisées, il n? p être question d'un dirigeable allemand. Ar- Berlin, 21 février. — Des journaux suédoise (\ danois ont, à plusieurs reprises, publié en ces <1 ul à niers jours la nouvelle qu'un Zeppelin a .sur. re^ le 17 courant au soir, la ville de Malmo. Nous prenons à ce sujet de source autor.t-ée que c( nouvelle est inventée de toutes pièces. Le voyage de Briand à Rome ion s par;S) 21 février. — Le sénateur français Ln ranger exprime, dans sou journal Paris-Midi s<? el désillusion au sujet du voyage de Briand à Ro feu* 0O <iu'a atteint Briand, Joffre l'avait déjà -sur- tenu. Apj'ôs le retour de celùi-a' à Paris, il éta- déjà tu une réunion à Paris des quatre ét :i été majors. Cléemneceau, dans l'Homme Pu chaîné dit: conférence:- Est-ce tout? 11 en veut princ:.p f ment à l'Italie qui n'a toujours pas dée'an guerre aux Allemands avec lesquels lis Fraii sont en « conférence » depuis 18 mois dans tranchées.Comment peut-il y avoir une unité < tion quand, un allié est- encore- eu état d<e paix 'us la Plus sél,;ellx ennemi de la France? zj'/je_ L'amour d: la vérité en Allemagne Un Américain, Aleister Crowley, raconte < , CfW, un périodique américain, The Fatherland, ' impressions de Londres qu'il a visité 2-1 lie rts et après l'attaque des Zeppelins : ''•s de <( Le moment est idéal ; tout le monde H00- Clipu t],0 l'événement. La réserve anglai irons disparu. On parle avec ses compagnons de vo à T.e comme s'ils étaient des frères prodigues. Ch est a vicie de nouvelles qu'elles soient fausse vraies; c'est une des conséquences inattcndiu la censure. Personne ne sait co qui se passe du lt) comfnuniqués officiels peuvent être faux ou \ s lour- ils sont certaine mont discutés, lit quand on s 'es aux grands cris qu'on ieta au début de 'a gur-rro ' le relativement à la propagation apparente dos mon- i rte songes du bureau We'fij l'impression est vraiment plaisante. Car si 4es Allemands n'ont i\m- -porté aucune autre glojj-e, ils ont toutefois rem- g porté celle d'avoir d.t 'a vérité. Toutes les affir- i; *'> mations se sont final nu ut démontrée^ exactes. S; n les l'Anglais moyen l'avoui aujourd'hui en silence, il v cf- ressent toutefois le sentiment cou-:cient qu'il en 1 (P' est -ainsi et cela se voit dans son inquivi icle ci ois- p santé et dans sa défiance » u lit Rappels: en Italie d Rome, 21 février. ,— <}ue!que,s levées d'ancienne -t j.e date de différente, aiins sont appelées sous les d armes pour les 24 et 2> courant. d Les nouvelles propositions' de crédit anglaises le Londres, 21 février. •- D'après le Daily Trie, p n*- graph, la nouvefle proposition do crédit compor- !( l'1 tera 420 millions de !iv<"st II faudra. 120 mêlions a nt de liv. st. d'ici fin jnarsi et 300 millions jusque > rs fin mai. L'ensemble dej> crédits depuis lo début si ès do la guerre s'élèvera alors à 1 milliard 026 p Ju millions de liv. st. Courrier saisi par les Anglais 1. sur un vapeur dano's u De Copenhague, 21 février. — Le coui- " mandant du iran-océanique danois, Helliij (1 Olaff, qui vient d'arriver de New-York, à Copenhague, a dû remettre les paquets pos- i . taux, qu'il avait à bord, aux autorité ; an- ?• ^ glaises de Kirkveall. v Progrès de la révolution en Chine d Berlin, 21 février. — f.a révolution cliinoise de- j, vient toujoui-s plus gravi. Non seulement Tschug- t| lcing (province cl • Szetscliuan) a été pris, mais les 1 l troupes do Ja garnison ont également passé aux , te ré -olutionnaires. En CL ne il est d'usage quo tout l".l le monde passe aux vainqueurs. Toute la révolu-S. tion n'aurait pas une grande importance pour 1 n- l'univers si le Japon ne se trouvait pas à l'arrière- 1' plan. Les empiétemonis du Japon ur la Chine d (J, ont commencé au début ci la guerre et On sait c - que le gouvernement ehmo's a déjà accepté, au h piiiKiinps de l'année klornière, la plus grande, s j partie de» exigences du Japon. s Les Intentions de-avçafff,'.?: •^nfrnrWlUn- c • ^ r:fl^repjré«cfitaï^' de la Qua- h druplice ont informé collectivement le mi- " ':i nistre-president Skouloudis, que l'île de '1 li_ Crète sera utii'sée comme nouveau point r'° d'appui naval pour les forces anglo-françai- , es ses. Des tî'oujies seront débarquées dans la \ baie de Serda, à Candie et à Itetymno.Skou- i loudis a protesté énergiquement. En même -'J temps ou aurait débarqué encore trois fois j ine d&3 troupe^ de l'Entente à Phaleron, mais j elles auraient été imméd'atement retirées. au Le cas de l'« Artemis » : La La Haye, 20 février. — Le journaj 1 Merlan(t j rès écrit : La déclaration du gouvernement allemand, ' dans l'incuknt cle Y.Mehi*,est au-si satisfa sant, . que poss.ble. On a toutes les raisons d'en être sa-c). tiscait. La satisfaction donnée à la Hollande est ( ],, ^ corrects et complète. a.u Evêques allemands et belges lie- Cologne, 20 févr. — La Kolnische Volks-•res zcitung apprend de source autorisée que l'é--l-s' piseopat allemand a décidé de ne jias répon-l!>n dre à la missive collective du 24 novembre qnc de l'année passée. Cette n issiVe n'est par-venue aux mains de rarchtvêque de Cologne que le 7 janvier 1910, après qu elle avait déjà été publiée entièrement ou en partie à 7J l'étranger dans de nombreux journaux. En cm- ce qui concerne l'attitude à prendre par l'é-Est vêclié allemand, le désir du Sant-Siège a ; lo prévalu que de semblables polém ques soient fat- évitées entre évoques de nations différentes, jeut Toujours les empiétements des Alliés Washington, 20 février. (Reuter.) — Le a ,r" bruit court que les Alliés ont saisi pour plu-■olé, sieurs millions de dollars de valeurs expé-ap- diées d'Amsterdam à Ncw-"i ork. On croit :ette ;(ue de nombreux précédents pourront être invoqués qui justifient- ce procédé, dans le cas où les Etais-Unis protesteraient contre B®- ce fait. sa La prise d'Erzeroum Ce que dit la « Gazette de Cologne >» La Gazette de Wologne écrit au sujet de tats- i0, chute d'Erzeroum : « Les Russes ont obtenu un succès qui leur aura coûté probable-lins mont bien des sacrifices-, mais qui n'en de-pale- meure pas moins un succès. Il vaut mieux é la reconnaître ceci avec calme afin de lie pas nçais représenter la situation plus belle qu'elle ne ; les j-t'olloiuent. » A ■$-*+> ETRANGER dans !, sas ANGLETERRE.— Un agitateur écossais eurcs arrêté. — Londres, 21 février. — On attendait, ces jours derniers, à Glasgow, M. John s'oc- j^ac IVean, le tribun populaire, qui devait ise a présider une réunion où s'étaient rendus èn-°>'aS° viron 500 délégués' de 248 trade-unions lacun chargés par ces organisations, l'étudier !e' oc Oll IITj ■ moyens de constituer une cluufibre du Ira- 10S tic . j ç. leS vaii pour I J^cos-e. v'rais, M. Mac Lean n'arrivant pas' on prit d© song ■ informations et" c'est ainsi que la réunioi apprit que le leader ouvrier avait été arrêté en vertu de l'Acte sur la défense du ; Royaume. La réunion a adopté à l'unanimité une résolution de protestation contre cette arres- i •rre tation et e]!e a demandé sa miss en liberté on- immédiate. 'ai- ANC1LEÏI0IÎRE. — -1 qui appartient Londres; m- — Les renseignements suivants, au suj, t des. < un- grands propr étah-es do Londres, sont p u con- , iir- nu--'. D'après ces renseignom n's, le due da We-.c- , .S, min-ler possède 4,000 arpents à l'intérieur d la , il v'i'le qui lui rapportent un loyer global de 2 mil-cn bons 800,000 liv. st. par an; C'est sans doute la 1 >is- propriété d© Londres rapportant le p'us, mais ce \ n'est pas la plus grande. Une propi été foncière dans la partie .sud de la ville comprend p'us de ' me 1 m?les cariés. Les propriétés foncières cle plus tes do 2 mélles carré* -ont nombreuses à Londres.. On j doit signaler parmi les propriétaire, de Londres: ( (es lord Howard de Wa-lden avec 202 arpents rap-'<"- portant ananu IKincnt 2,760,000 liv. pt. d'intérêts;; or- les 250 arpents du duc de Redford lu rapportent :ns annwlleniont un intérêt cle 2,100,000 liv. s'. ; lord ;iie Northamptoin retire annuellement 1 536,000 liv. ' >nt st. de ses 260 arpents. La propriété au Stand rap- ' >2<> porte au duc de NorWs 1,580,000 liv. st. et lo d 1 t'ortwan retire cle ses 270 arpents 1,680,000 liv. st 1 Les 200 argents de l'Earl of Cadogan rapportent l un revenu do 1.550,000 liv. st. pendant l'Eglise i u retire 580,000 liv. st. de loyers cte ses propriétés j dans lo quartier principal de Kensington. [ a ÏÏOl/LANDE. — L'aide hollandaise aux S )s- Serbes. — Du Nictuee Rottcrdamsche Cou- t n- tant : lie D' Van der Werff, chirurgien ci- ' vil, à l'hôpital militaire d'Amsterdam,vj^nt de partir pour la Serbie. 1 ] e-t ch-nrgé, pai 1 !e comité ncerlanda>» de secours à la Serbie, 1 ,g" d'aller arrêter, avec les autorités de Vienne r lo> et de Belgrade, et avec le ministre néerlan- ^ da s, à Sot a, les modalite;»dans lesquelles le j " service de ravitaillement de la Ser'iie pour- t \u~ rait être organisé. M. Van der Werff fera C re_ parvenir le plus tôt. possible au comité ne d'Amsterdam des détails quant à la situation (l< ait en Serbie. Ensuite, i] s'etnpkiyera, en co*a" au boration avec le consul Voeg-sli, du c^mi^e -ide. suisse, et les délégués américains, à orgam- il • • 1 . 1Y ser un -ei"\ice provisoire d'a«s's.«<nce a la '• bable qu'un deux ènie délégué du comité xi- néerlandais ira rejoindre à bref dé'ai.-M.Van i de deïWerft 1 nt RUSSIE. — Le programme de travail du "S û- ■, alise il d'empire russe.— Rétrograde, 21 fû- I la vrier. — Le président du Conseil- d empire ' iu- i, fait savoir que l'on prépare pour h ses ' me sion prochaine, 47 projets C.i loi. On s'occ i- ( ois pera tout d'abord des projets d'impôt sur le >-ais revenu et du nouveau règlement sur )e service des téléphones, puis des projets relatifs ; aux enti^prises commerciales et industriel-</,d les", ainsi qu'aux dédommagements nour nd, préjudices causés par d'injustes mesures , nte administratives, enfin, on élabore la loi sur sa" : i construction d'ateliers nationaux, une loi ost contre le vagabondage, des règlements sur les congrès et sur l'industrie de l'or et du platine, etc. p!" NORVEGE. — Vote de l'impôt sur les frets en Norvège. — Christiania, 21 février. —Le Storthing a voté, samedi, à une grande majorité, 1e projet de loi établissant un im- llU" pôt de 1.50 couronne par tonne et par mois =n.e sur la navigation de commerce. Le rende- a\' ment de cet impôt, qui est évalué à 50 ou 100 millions de couronnes est destiné à atté- 7,n nuer la cherté des vivres. c" ETATS-UNIS. — A propos du Nicaragua.. — e a New-York, 21 février (retardé). — Du réprésen- tant de Wotff : Au cours ''as débats d'hier au Sé- t«-S. nat au sujet du traité do Nicaragua, .le sénateur Stone, président d© la commission des affai- Le rcs étrangères, a stigmatisé, entr'aut-res, comme étant absurde, la nouvell© quo l'Allemagne cher- die maintenant à accjaérir un point d'appui dans - I'Amérique latine. TOlt , • ê(rp CANADA. — Le fil transamencaim. — g je Montréal, 21 février. — Peu à peu, le ré- at1.c , eau téléphonique, qui doit enserrer un jour le continent américain, comme une immense toile d'araignée, étend ses fils vers toutes les côtes. La communication est aujourd hui ]„ établie entre Montréal (Canada) et Van Cou- , x v ver (Colomb'e britannique), villes que sé- 'j']1", pare une distance de 2,:i00 kilom. De Van ' Y, Couver, la ligne est également reliée a San ■ '< _ Francisco La netteté des son- transmis est, îeux t -, dit-on, parfaite, pas ' 1 . e ne CHINE. — L'insurrection du Sua. — Le Jfasshoje Slou-o reçoit de Pékin la nouvelle que le gouvorir-nient chinois, par l'intermédiaire de d - plomates étrangère, aurait fait offrir aux insurgés du Yunnan :t du Kweitechau les conditions de paix su1 vantes ; Yuanseliika-i se porte garant pour l'inviolabilité du Parlement et accorde une plein; tgsais armistie : les meneurs de l'insurrection obtiennent tten- des positions influc-ntes dans le futur gouverne- John ment de l'empire. Toutefois, Yuansehikai insiste ev.nt rait pour la restauration do la monarchie. Le; insurgés ont repoussé ces conditions, se sentan L. 1 soutenus par le Japon. l.LO-11 S, a. le- LE CAUCASE. — La région du Caucas' i Ira- forme quatre fractions distinctes. La pre mière, dite chaîne principale, à causé de si it des longueur, commence, par des déclivités i union peine ,-eusibles, à la presqu ile de laifian,e? ■té face de Ivertsch, el s<> jirolonge toujours lu grandis-ant, jusqu'à Tsebahla où vallée 1) Mite Kodor, habit i- par les Abchaseà' (ancien é- Abasgi). De cc côte, elle arrive à une hau-;s- leur moyenne de 1,200 m. environ. Quelques te cimes isolées «> elèvent jusqu'à 1,500 tu., ma s il en est bien peu qui atteignent la '*• des neiges éternelles. Cette chaîne, les- dans toute son étendue,; côtoie de très près Ja 'i'- mer Noire et n'y déverse que quoique- for- ' ta ron("- "u nord, en revanche, elle en- T0!'« nombreux affluents *au Kouban < H y-Ta qwi s»rt> du ma- s if' de l'Eliirouz et ce &x -S!® je'er dans ia nier -Noire entre Anapa et, •ré "".an. àprès*un jiareoui-- d'au moins ->0 de myriamètres. us Jusque là le Caucase égalait à peine es 'n Pyrénées. Mais, à partir du revers oriental f: (1°, la ï'-ébalda, il dépasse tout à coup les t>- Alpes, rivalise avec lei Aud-e.s et ne le cède ^ flu ;t i Himalaya, hâ plupart des pii s de rd yett© grande chaîne, qui s'étend -le la vulîee y du h-odor au col de tv-i-beek, ait "tient et p- souvent depa--e.nl de beaucoup la limite des' ;'d neiges éternelles, qui, sous cette latitude, ,t n'est guère au-de--o„s de 3,000 mètres. Ces nt monts sont aussi estarp s que grandiose,, on se n y rencontre qu'un très petit nombre de ,s passages praticables. Le point culminant est i Elbrous t.Cei'aunius mous), cette monta- ' ,v gne, dont la situation en premier plan frit s_ encore ressoitir l'aspect ormidable. sem-i_ blait taillée tout exprès pour servir tp-" ilxafaud au dt-rnier des 'itaus. Ce u pourtant -pa« à»elle, m^s à une aubfue se e nommé Cliomli,. sijK® plus ;iu^-'Tromé-(ê rattache la tradJJfrn du i- thée. ^fuutions, i a-ti- îe D'après <lerHi«^rait* 6,000 mètre-. r- tude r, t LibiouK dc-oa rilperçoit de la •a Qj< um-Kalé et Poti.par- , . ,.er Notre, entre , , m„:, ,.'-st d-e-st's les con^r^ferts -du littoral. Mais c -t (LessUs tes c°n/i ive ar le nord que :: ""ns .? ■ !» ';■<>/: ^vneM „»»-n teurs tort resjiectaoles. AiiT.sr-Jv le Kostantau, le Kasbeck, l'Us-eliba, ne'iuî sont inférieurs que de 400 à 500 m. Dans la partie do ces monts d'où sortent l'ingur et -e le Rioni. on rencontre encore des pics hauts lS de 5,000 m. Les plus remarquables de ce i- côté sont l'Adai:Choch et le 'L'etnuid, « le le Jungfrau du Caucase ». ■r- On devine que les glaciers ne font pas dé-fs faut dans de tels parages. d- A partir du col de Kasbeck, la haute chaî-ur ne dont nous venons de parler se bifurque ■es en deux rameaux qui s'étendent l'un vers ur le uo-rd-ouest, l'autre vers le sud-ouest. Ces loi deux nouvelles chaînes, troisième partie de ur la région du Caucase, sont moins élevées en du moyenne que la précédente et dépassent rarement 3,000 m., pourtant on y trouve en-Jes coj'e des glaciers et dans la branche méri-„r_ 'mnale, deux pics hauts d'environ 4,800 m. ,le L'espace compris entre ces deux chaînes se-m. condaires, qui toutes deux vont en s'abai-s-o',s saut graduellement, jusqu'à la mer Caspien-Jc. ne, est 1-e Daghestan, plateau élevé, dérour-ov, vu d'arbres, qui forme la quatrième et der-nière partie du Caucase. -t» » -r- Echos et Nouvelles Se" UN EXEMPLE A SUIVRE. - BRAVO! eur 'fai- On sait que les ménagères ne trouvent îme plus de beurre ch • les marchands de la vil- lie'- le, quoique cependant dans le Courant du lans nK,is janvier seulement, il en a été amené à Bruxelles, par le tram de la ligne de — Ifaecht et débarqué à la gare de la rue Ee- ré- nens, 131,323 kilo g r. Avant-hier so r, les our ag-ents spéciaux Ciaessens et Easbcnder, use chargés de la vérification des denrées par -ites l'administration communale» de Schaerbeek, hui ont fait stopper le tram de Haeclit, place îou- Colis-non, ils ont fait descendre tous les ja'àr- o ' , sé- chands de beurre qui s y trouvaient avec Van leurs marchandises et les ont conduits au San commi sariat de police ou il n été nroc dé ,.ui-est, médiatement à ia veft-e publique de tout le stock au prix de fr. 5.20 le kgr., prix fixé Le par l'arrêté du Gouverneur général. ne le La vente n'a pas duré longtemps, car tou: e d:- tes les ménagères des environs de l'hôtel "'gés communal, instruites de la bonne aubaine s ^ qui leur échut, sont accourues. C'est un bon pour çxemp]0 à suivre pour faire diminuer le prix nent ^ ce^3 (lenrt''°* (a-) LE LAIT A SCHAERBEEK sis;.e- -Samedi 19 courant, à partir de 5 heures . Les du soir, c'est-à-dire après l'arrivée du train a tant vicinal de la ligne Sainte-Marie-IIaecht, qui amène le principal approvisionnement en tca^e lait des marchands de la ville et des fau pre- bourgs, la police de Schaerbeek a fait une le sa vérification générale du lait. tés à Tous les marchands ou leurs délégués, ii, en I après qu'ils eurent pris livraison de leur 3* Année. - N° 505. Edition B C1HQ CENTIMES mpm oi ituo.» .-.o

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Dit item is een uitgave in de reeks Le bruxellois: journal quotidien indépendant behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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