Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1915, 10 Juni. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 01 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/4746q1v04z/
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DEUXIEME ANNEE N° 252 TIRAGE JUSTIFIE 58,000 EXEMPLAIRES CINQ 0EHTÎM1S EDITION B JEUDI 10 JUIN 1010, LE BRUXELLOIS A.BOJVIVBME3VTS ! 1 an, 12 francs. — 6 mois, 7 francs. — 3 mois, 4 francs 1 mois, 2 francs Journal Quotidien Indépendant REDACTION, ADMINISTRATION, PUBLICITE 45, Rue Henri Mlaus, -45, Bruxelles ANNONCBS ï 'aits-Divers, la ligne 2 francs. Nécrologie, la ligne, 1 frenC Petites annonces, la ligne 20 centimes Haine et Mensonge Continuons, sous ce titre, à analysé quelques échantillons typiques du savoir faire des esprits malveillants qui sèment diaboliquement, à l'aide des plus odieux mensonges, la liaine entre les peuples à l'heure actuelle, en colorant cette besogne infernale des prétextes spécieux du plus chauvin patriotisme. Dans un grand journal français (10 avril), M. Edmond Laskime, agrégé de l'Université, donc un esprit oui devrait être critique et impartial, parlant des efforts Pacifiques de certains socialistes allemands, proclame ceux-ci, « d'hypocrites instruments de la politique pangermaniste » a qui veulent continuer à la servi,r, maintenant que le mauvais coup a échoué, on lui évitant d'en payer les frais, car l'Allemagne se sent et se sait vaincue ». Voilà donc, à force de le répéter. ce qu'il faut arriver à faire croire à un peuple entier, afin de l'ancrer dans l'intransigeance. Quant aux adversaires, s'ils prêchent la guerre, ils sont odieux et s'ils parlent de paix et d'entente ils sont plus suspects encore. Le malheur est que des millions d'hommes admettent les pires accusations, les so-phismcs les plus évidents. tr.u correspondant de journal avait écrit qu'à la frontière hîdlan,do-belge, une jeune femme de 37 ans était morte parce que l'autorité allemande avait interdit qu'on allât quérir un médecin hollandais du voisinage. Or, après enquête, le bourgmestre et le secrétaire de la commune de Ilarcke, déclarèrent que la femme en question n'avait pas jété malade et que d'ailleurs des médecins hollandais peuvent toujours venir donner leurs soins et que, de plus, un médecin militaire allemand donne chaque jour des consultations gratuites. Cette fois, la chose ne provient pas des journaux, mais partout le bruit se colportait et moi- ' Vr^^1i;"atfi'éu7V'en"eôre; cfe «ui®««PtWJ •>--«- 1 avaient fait subir à des \ S™ l{l-ape a SaS ï couvent et y rentreraient seulement g>res fc sort des enfants aurait sisaisssi - «—ï « tSiStS. Wilây, la délicate et psychologue ec P sienne, rapporte dans le Matin d? i!^5jh,kôïrr',r "ifL. •> ces raffinements de cruauté paraissent a pr?™1®® vnt trop peu vraisemblables. D'ailleurs Colette WiUy emprunte ces récits à un Américain, qui (elle-même le remarque en citarat les propres p - déposés ou assassinés et des personnes célébrés qu ont été malheureuses dans leurs "fi indigeste compilateur américain fait un p * re d'un original excentrique. Sa véracité. etS« critique sont-elles à l'abri de tout reprocWAlors est-il disne du grand talent de Colette Willy d< reprendre pour son compte ces accusations d 1871,"lesquelles ont pour but aussi «i n0"rfe^ de rendre plus croyables les gédts, vrais ou fan, d'atrocités dans la guerre actuelle^ a Nous avons beau les haïr a fond^dune^ o-énéreuse et définitive, nous ne les connaisso pas encore tout à fait. Nous les haïrons bien d, vautage encore, quand nous saurons tout d eu (Le Matin de Paris, 24 mars 1915.) « Ce que je trouve plus drôle, c'est que les et plovés ne reconnaissent pas la véritable nation lité de ces gens-là (les Allemands) nen qu a Un allures bestiales. » (La Dépêche de Toulouse, 19 mars 1915.) Ardemment Belge, attaché à notre haut enseignement, nourri de culture latine et française, mais Homme aussi, j'ai horreur de semblables paroles sacrilèges. J'ajoute, liélàs! ne jamais en n_' avoir rencontré de pareilles dans la presse aile- p mande, et plus d'une fois, les journaux ®î Allemands ont exalté, même en ce moment, les u': qualités des Français. Le Vorwarts a aussi, tout récemment, stigmatisé certains égarements de l'opinion de son pays dirigés particulièrement îontre l'Angleterre. Sans doute, ce serait ignorer et jusqu'à la naï- ce veté, les hommes et leurs passions que de s'éton- l ' lier de la vogue des mensonges, ainsi que des el jelios que rencontrent les cris les plus haineux, dt Hais, c'est aussi aux moments critiques de son i: histoire, que l'Humanité réclame d,es hommes de ty caractère assez droits et assez courageux pour ré- so sister à l'entraînement presque général. Non, ni sé la liberté, ni le patriotisme, ni la revendication dt des droits les plus sacrés d'un peuple n'exigent, P, bien plus ne peuvent accepter l'avilissante mé- m Ihode" de dégrader, de ravaler, de mépriser ou rev l'injurier à plaisir l'adversaire, comme le faisait ^ ^es jours-ci la vicomtesse de Jonglie d'Ardoye et sa petite-fille. Dans l'adversaire, c'est l'homme, dt j'est nous-mêmes que nous ravalons, a Qui accu- la se trop aisément, montre ce dont il est lui-même 2' capable. » Craignons que cet adage populaire ne co suisse nous être appliqué ! Si, après examen im- re aartial, nous devons constater certaines horreurs TU le la guerre — l'Histoire en est pleine, voyez V. lar exemple, comme les Français de Turenne ra- 11 ragèrent le Palatinat sur l'ordre de Louis XIV — que ce soit pour les déplorer et non pour nous >n réjouir et ne faisons pas à notre siècle — mal- m >-ré tout époque de progrès, de lumière et d'huma- ; -, ,„™î et ardent, mais noble aussi de la l'ranpe, lu Allemagne la liberté des -afc?5E®£-~ #»hrÉr • i ■ rl'Ftmi exprima des sentiments bien r c masquables parmi le déchaînement des haines m- , ^nationales. Dans un discours (avril 1915) il , déclara : « Plus grande est la haine des ^^^"pas tre nous et plus nous serions coupables de ne pas ont toe pour l'adoucir. D'abord parce que cette Il line une conséquence presque nécessaire de la o-uerre est en opposition avec les principes du christianisme. Ensuite, parce que cette haine est donc «1» # 1. gu«.« ce qui pourrait paraître une vengeance de 1 Angleterre contre l'Allemagne et un effort poui ^tTenVSSs pas que ces sentiments aient pour effet de briser chez mes compatriotes l'élan pour vaincre. Je connais mieux mon peuple ne crois pas non plus que ces pensées en-' courageront l'ennemi. L'ennemi, au crotare, l n'est autant excité par rien que par les cris a-> néantir l'Allemagne. » t Paroles de robuste bon sens et pleines de gène- I- méchanceté chez leurs adversaires les Les mauvais bergers commettent donc un cnme méprisable de lèse-bumanite en pntre les fils des hommes et en cultivant les o< a- instincts à coup de mensonges conscients ou i rs conscients. TONY. DÉPÊCHES LE BLOCUS , Jbsi *g t™ ■ 0 i»ai près de Pair tsle. , _ Le vapeuT Dul- sous-marin allemand. T ■ 7 i.-in D'après un communiquéla IWd'de Peterhead, le v'apéur de pêche angla - L' ' o-lais Star 'of West a été coulé par un sou^-mar Londres, ^ juffl. — UteuteT-' LA GUERRE Communiués officiels ALLEMANDS Berlin, 7 juin. — Dans la ruwit dit 6 au 7 juin )s aéroplanes navals ont exécuté des attaques ficaces contre les doclts de Kingston et Grims-I, à VHumb-er. Ils revinrent indemnes, malgré i bombardement violent. AUTRICHIENS Théâtre de la guerre Nord-Est Vienne, 7 juin. — (Midi.) — Après la défaite nsidérable près de Vrzemysl, la direction de innée russe a dirigé, dans les derniers jours, des forts vigoureux contre nos positrons à la ligne o Pruth, en vue d'y forcer un débordement vio-nt, notamment contre ia région Kolomea-Dela-n, V ennemi jeta constamment de nouvelles mas-s dans 'la bataille. Pendant que toutes ces pous-es en avant échouaient contre l'héroïsme tenace \ l'armée du général d'infanterie, baron von flanzen-Baltin, les forces coalisées, sous le com-andement du général von Linsingen s'avancè-nt de la direction de l'ouest. Hier, elles prirent alusz, la région au nord de cette viUe et les mteurs à la rive gauche du Dniester, au nord : Zuraicno. Entre la Bistritza, de Nadivorna et Lomnitza, nos troupes se joignirent à l'atta-i>e. Les combats à Vest de Przemysl et Jarislau ntinuent. Au nord de Moscisha, l'ennemi dut se plier sur Czerniawa. Des contre-attaques faibles sses isolées échouèrent. Près de Przemysl 33,805 isoniers se trouvent dans les mains des vain-\eurs depuis le 1er ju\in. Théâtre de la guerre du Sud Dans le territoire de frontière du Tyrol, notre tillerie a été active avec des succès sensibles. A JgPPctiÀre de afe"' ont dû évacuer la localité al, A 7, T. fZlZi se rapvroche sur oertmn, points. Théâtre de la guerre Sud-Ouest C,,- 1 r théâtre de la querre des Balkans, le cal-IZlntaCaîln farte de piques escarrnou-lies de tirailleurs. FRANÇAIS Paris 6 juin. — Dans la région au nord d'Ar- t^Svrnent la sucrerie de Souciiez a subi un bombardement presque continuel auquel notre artillerie a éner-giquement riposté. Cinq contre-attaques allemandes ont été lancées sur les pentes est de la chapelle de Lorette. Entre la route Aix-Noulette-Souchez et la route Ablain-Souchez, nous nous sommes emparés de plusieurs tranchées et avons fait une trentaine de prisonniers. Paris, 6 juin. — (23 heures.) — Dans le secteur au nord d'Arras, la lutte s'est poursuivie avec une extrême activité. Nous avons prononcé plusieurs attaques des deux côtés de la route Aix-Noulette-Souchez et gagné du terrain dans les bois à l'est de cette route et au sïid dans la région du fond de Buval. A Neuville-Saint-Vaast, à l'intérieur du village, nous a/vons conquis plusieurs maisons ; nous avons, en même temps resserré l'investissement du réduit ennemi dans l'îlot nord-ouest de la localité et occupé le boyau qui y conduit. Nous avons conquis de nouvelles tranchées an centre et au sud du Labyrinthe et progressé de 100 mètres. Au nord de l'Aisne,à l'est de Tracy-le-Mont,sur les hauteur voisines de Moulin-sous-Touvent,nous avons prononcé une attaque après un bombardement efficace ; nous avons, sur un front d'un kilomètre, enlevé deux lignes successives de tranchées et plusieurs ouvrages allemands. Trois contre-attaques violentes ont été repoussées par nos troupes qui ont fait plus de 200 prisonniers. En Champagne, près de Beauséjour, nous avons progressé à la mine. Sur les hauts de Meuse et dans les Vosges combats d'artiMerie. lo~*uvnarres, '/ nnrt rïy ATC3 n eu ftV'-t ■'■:,!i-marrhe >uoF')3* I deux endroits, o/..,•?'* a -.■Puom no.nB I 40 blessées. ' -> ' ^ RUSSES vtu'oqraAe, G juin. — Des forces de combat navales considérables furent aperçues dans la Mer i baltique centrale. Nos navires °nt e f a^ ^ I gues coups de canons dans le voisinage du golfe deSfr9les deux rives du Njemen sur le front de I la Narew et sur la rive gauche de la Vistule, la situation n'a pas subi une modification essentielle.Notre offensive au San inférieur s'est développée au cours du 3 et £ juin. Sur île front Podwo-lina-Struza, le combat autour des positions re~ tranchées entre la Lenq et le San, près des villages de Stary-Jaca et de Lentownia continue en* core. Lors d'une attaque contre les forces autrichiennes, celles-ci renforcées par des troupes allemandes qui arrivèrent de la rive gauche de la Lenq, entreprisent trois vigoureuses poussées en avant qui furent repoussées. Le 3 juin, l'ennemi a réussi à s'emparer du village de Starzawa, sit/né sur la rive gauche de Ict Wisznia. Une contre-attaque nous a permis de reprendre le village ; cependant, 'l'ennemi se maintient sur les hauteurs avoisinantes. L'ennemi a attaqué pendant la nuit du 4 juin nos \-positions entre le village de Krulceniza et le fleuve Strwiacz, il fut toutefois refoulé avec des pertes sérieuses. L'ennemi a continué au 3 juin ses attaques contre nos têtes de pont au Dniester entre Tysme-nica et le chemin de fer Stryj-MiUcolajow. Dans lz position à Ugartsbera, nous avons repoussé quatre violentes attaques, en nous servant de la baïonnette et des grenades à main. A KriT$;za, le combat est engagé et se poursuit avec grande opiniâtreté. TURCS Constantinople, 7 juin. — Au front des Darda* nelles, notre artillerie, près d'Ari-Burnu a détruit une position ennemie d'où on jeto.; des bom-anchées contiauës rrrès de SeA^-ul- ! UKf zasrf de lMyltilène ^T'envoyèrent alors au port un vapeur auxiliaire avec des soldats ; ce ^jJou-vait essayer de prendre à la remorque les chalou-ves oui s'y trouvaient. De la rive ontira toutefois Z U vapeur, qui de ce fait échoua. Il fut coule par le feu des navires de guerre qui se retirèrent après avoir pris à bord l'équipage du vapeur ««-biliaire. Sur les autres fronts, rien d important ne s'est passé. ^ Bgjf et débarqué ce matin tôt a Queenstown. j tÊ&mssm i head. 1 SUR MER ~ • ■ (•TTavas — Dans la nuit du fau 4 maTie poseur bianca a heurté une mme a 1 entree de la mer Ecée. officier et 64 matelots de Le commandant, un otticiei et. » , an_ SSn • h vent internés en Turquie. FRANCE. - Un bombardement de Lunéville Le Petit Parisien P^ie l^B°^trlllkuK^un Malgré le feu des canon se,t des miitraill, ^ St'Iïï .ït d»i «tir,, devant 1. & «- nons. ANGLETERRE. - Le raid des a Zeppelins sur Londres r • • t\q c-mirpp Drivée,on annonce c[ue é Berlin, 5 pin. De source pr - ^ un aép<H n lors de l'attaque des ; IP * ^ | Tilbury. le de coton a été incendie Magasin de f. s tes; n- messtreet a [ ] Roval Arsenal Coope U0 lée, mais le bâtiment a ete sauve. BgaiÉflfcWiJW' m ■■ ■■ ■ i ANGLETERRE. — Un aéroplane \ allemand au-dessus de Londres^ ^ Potteràam 6 juin."— La malile-poste Pnnses i - ulianl arrivé samedi à Flessingue, annonce que J ^ndredi, dans la nuit, lorsque le navire se trou- P ait à Londres, un aéroplane allemand, venan g îravesend, a jeté 5 bombes près du vapeur. El e ^ taient probablement destinées à £ ré de dynamite qui en était éloigné de 100 mètres. ( ANGLETERRE. - Les réhigiés belges , Tmidres 6 iuin — Le ministre anglais de 1 m , -*S 7"*^ - tes. Uf: • . . sont- nécessiteux, on les on les force, bien qu'aucune [ni belge ne les oblige à entrer a 1 arm . . ,TALIE. - Bombardement de la côte dalmate vi. *„*7 iuin — On annonce du quartier de -lerr, : Le 5 juin quelques croiseurs et destroyers ennemie fffT" a", <"7;î : tttSSSÏW »,»™14» endommagés. AUTRICHE. — Petit combat Vienne 7 juin. — On annonce du quartier dé presse'de guerre : Sur le théâtre de la guerre iid-occidental un petit détachementde nos.troues parvint, le 2 juin, a tomber dans le dos de ennemi, dans la région de Flitsch et a lincau-3r des dommages sérieux. Un tram ennemi un épôt de tentes, un blockhaus et probablement un épôt d'approvisionnements ont ete détruits a ette occasion. L'ennemi subit une pertes de 60 norts et était en pleine débandade. Il^îva bien les renforts de tous côtés, mais notre détachement lut se retirer toutefois en ordre devant la grande jupériorité numérique. ITALIE. — Le bombardement d'Ancône Zurich, 6 juin. — D'après les N eue Zunchen Nachrichten 'une personnalité arrivant d Ancoiie assure que les Italiens ont euloradu bombardement d'Ancône, 60 morts et plus de 400 blesses. Les dégâts matériels seraient très importants. ETATS-UNIS — Nouvelle note à l'Allemagne Washington, 4 juin. (Reuter ) - Le président kWilson a terminé la note à l' Allemagne. Elle se-Va probablement expédiée aujourd hui. A propos des causes économiques et morales de la guerre Comme en France, des Anglais commencent à ouvrir les yeux sur les causes profondes de cette guerre On a signalé le livre du Français Dela.si, paru en 1911, s ' te titre : La guerre qui vient, et dans leque , e , U curieuses indications sur les mobiles réels, ,1 s,gnale « désir français et anglais de gagner de l'argent et do garder la supériorité commerciale « sans se donner bea - de peine Un journal industriel dire que cet amour des Français pour leurs aises est < cause des succès commerciaux des Pa° Eécomment on annonçait aussi q . r^ce ^ la; f'ançais ^ ^"u^TndemnHé^ur laquelle il leur à chac,1I1 de T1" vre sans travailler. .

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Dit item is een uitgave in de reeks Le bruxellois: journal quotidien indépendant behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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