Le national bruxellois

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s.n. 1914, 28 Juli. Le national bruxellois. Geraadpleegd op 11 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/445h98zz4x/
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rêtaiont. A titre de consolation, nous pouvionj apercevoir, lprsque la porte s'entrebâillait, M . le bourgmestre s?empressant aux côtés des Sou verair.s. Lorsqu'on arriva au cabinet de M. Jacmain un- hiissier nous ferma carrément la porte ai nez et nous dûmes rester dans le corridor! ' Plus récemment, lors de la visite du Lord Maile, on nous a traités de façon identique; e * c'est linsi qu'un de nos collègues, — des jour î nauy^'ont r;«r»por'-'— a ct4_pr,<; pour ur do - mest:que par un Ang'-ais qui lui a tendu, Tervueren, son chapeau et son pardessus. C< 3 collègue, c'est M. Levêque et l'on compreni notre indignation devant de pareils incident . qui ne se fussent pas produits si on nous eû _ présenté aux édiles anglais et si, tout au moins on ne nous eût pas f#it aller à Tervueren ei veston, alors que tout le monde — M. Max com pris — était en redingote. Lorsque nous nous trouvions devant une vi > trine, au Musée, on nous écartait brutalemen comme si nous avions été des intrus 1 C'est m * croyable, mais c'est ainsi. Après l'intervention d'un conseiller so cialiste qui, lui aussi, se plaint de ces agis ; sements, M. Max attribu.e ces incident aux difficultés de sa t&che. * Une discussion très violente surgit ;on en jj tend les éclats de voix jusque dans la sa! } le Maximilienne voisine de celle du Coi seil ; M. Max frappe du maillet. a Cela rappelle la fameuse séance à huis clos au cours de laquelle,à propos des Hos i pices, M. Depage échangea avec M. Bau 1 ■wens les amabilités que l'on connaît. r Enfin, le oalme renait et M. Max prome 3 qu'à l'avenir, les Conseillers auront, dan j les cérémonies officielles, la place qui leu revient ! — En villégiature Yoghourt Nutricia Laeker s Acidité limitée. Envoi pr 4 jours. Tél. A 274' s 938d-ll80 Le Conseil des Hospices de Bruxelles c ^ les entrepreneurs de l'hôpital de Jette. -Le conseil communal de Bruxelles, dans s s séance à hiuis-clos de lundi, a ratifié l'a< eord intervenu entre les entrepreneurs d j l'hôpital Bruggman et le Conseil des Ho: Q pioes. ^ Nous avons dit qu'aux entrepreneur: qui réclamaient un million, le Conseil offi 862,000 fr., ainsi répartis : cautionnemer % restitué : 320,000 fr. ; somme payée poi; _ solde : 542.000 francs. — À Anderleeht. — Lundi soir, en séant à huis-clos, le conseil communal a nomm directrice d'école Mme De Pauw, et ager a de police M. De Visscher. La démission de MM. Crickx et Demet: ^ de la Commission des fêtes, a, été refusé» Par 14 voix contre 11 à M. Robyns, catht 1 lique, M. Kaiser, radical, a été nommé a( 3 min.istrateur du Bureau de Bienfaisance. J M. Barker a été nommé pharmacien c l'hôpital. Par 12 voix contre 11, le conseil décid s d'établir des classes dans le bâtiment d à1>arc- g — L'asphalte à Bruxelles. — La ville c _ Bruxelles est entrée dans la période c '2 l'asphaltage. Le terre-plein du vieux Ma ché aux Grains, la place S te-Catherine. d< t vant et derrière l'église, et le terre-plei . de l'avenue Palmerston vont recevoir lei couche d'asphalte. ! — En l'honneur du lieutenant Liedel. La commune d'Anderlecht. faubourg nat. s de la première victime beige de l'aviatic - militaire, accorde un subside au Comité a dennais du monument Liedel, et donne r nom do « rue du Lieutenant Liedel » à •- rue du Meir, voisine de l'habitation des p. i- rents du défunt. - Le départ de la sixième division d'arme n qui devait se rendre mardi au camp, e: e ajourné. e — s Tous les officiers en congé ainsi aue 1 autres militaires « sont rappelés » dit ur it agence. Rien de tout cela n'est vrai. i- — Noces de diamant «\ Saint-Josse-tc :r Nooile. — Pendant deux jours, dimanche î- lundi, le quartier de la rue du Mérinos, ( commencement de la rue du Moulin et de !e place Hauwaert, a été en fête. Toutes 1 é- maisons étaient pavoisées et le soir, la pl place : -i â 4.i^ . ^ sée de toutes les'.«m» à l'intérieur S IJ 1 /\f S i i f |i^«NAT,GWALMonta*ne-aux- ^fsêeivi?i^loi: : : i:S8 ; Réclames 8* page^vant Bourse/, la ligne . ~ ^Jr. I mois. A l'étage ou au delà des boulevards, il est i» «snc l • »Ioo Lm,es P81- mois> coau"e nckei-qumance. ! Institut royal IK'(éorolngii|iie. Bull.du 27. j Situation atmosphérique générale, 8 h. du matin. \ Baromètre à 0 degré et au niveau de la mer, 754.5. — Température: Maximum de la veille, 16®7; mini mum de la nuit, 8°2.— Température : Normale, 17°2. Maximum absolu, .'të°8; minimum absolu, 8°7. — Déclinaison magnétique â midi à Uccle, i2°52.3. Ephémérid&s du 28 : Soleil, lover, 4.02, coucher, ,19.30. — Lune, lever, 10.54; coucher, 21.29. ; La ma jeune partie do l'Europe reste couverte par dçs déposions' dôht les centres se trouvent sur le 'centre de la mer du Nord 1745 m/m), près de Me-iniel (744 m/ni) et sur le jolie de Gènes 1753 m/m). , Les plus fortes pressions s'obsenrent toujours sur le • sud-ouest du confinent (liiarritz 762 m/m}. Le baromètre descend rapidement sur le nord-est ;<ïe l'Allemagne, l'est de la Baltique et les provinces , Tusses avoisinantes. Il descend aussi faiblement sur Me sud de l'Angleterre, la Manche et la plus grande partie de la France, et monte partout ailleurs. Le vent est faible ou modéré d'entre sud-sud-ouest et ouest sur nos contrées, où la température gst comprise entre 9 degrés 5 et 15 degrés. Prévisions : Vent nord-ouest modéré; pluie; refroidissement.Erratum au bulletin d'hier, numéro 207, Clurbes ; fle la température â 12 degrés 6 au lieu de 11 degrés 7. de l'humidité 82 au lieu de 87. i URE: Xa tension ausiro-serbe. — -Le elieî de , J'état-major serbe en liberté. — A Belgrade. — La mobilisation. — Intervention médiatrice anglo-îranco-italo-allemande. Conseils communaux • à Bruxelles; à La<>- licn; à Anderlecht. l'assassinat de M. Calinette : Incident Bernstein-Caillaux. Une randonnée à travers les Alpes, l'affaire Furnémont et consorts en appel. AUX DERNIÈRES NOUVELLES : iLa tension austro-serbe. — La crise a subi nn temps d'arrêt. — Proposition de réunir à Londres les ambassadeurs d'Allemagne, de France et d'Italie et, en attendant, de i suspendre les hostilités. — Une action mi- ! lilairc imminente. ■ ) te centenaire du prince de Ligne. {de kotre envoyé spécial.) f T/'d journée de samedi ne fut, ainsi que .nous l'avons dit, qu'une prise de contact avec le cadre merveilleux où évoluerait la cérémonie de dimanche, et comme un examen approfondi du fond historique sur lequel se détache l'homme dont on exalte la mémoire. Homme de guerre, homme de lettres, homme du monde, le feld-maréchal fut tout cela à des degrés divers et émi-nents. Il se peut toutefois que, par un certain jeu de bascule dont l'histoire a l'habitude et le secret, ses livres survivent à ses faits d'armes et, ayant été un des hommes les plus spirituels de son siècle, ses traits d'esprit à ses livres, si ce n'est pour quelques œuvrettes désormais du domaine des anthologie. Ainsi le temps élague,abrège et résume et les hommes historiques ne nous apparaissent bientôt plus, dans les recul des âges cjui dans leurs traits généraux et par les faits synoptiques. Il reste donc, les choses résumées et même après le tumulte glorieux de ce cinquantenaire, quelle prince Charles de Ligne fut un capitaine heureux, chevaleresque et bien doué, un homme de bel air et de bel esprit et ceci peut-être avec quelque excès et un peu trop dane le sens de son époque qui était sceptique, irrévérencieuse et destructrice de principes, et un écrivain agréablement spirituel ingénieux et fantaisiste à la façon des Top-fer et des Xavier de Maître auquel on peut le comparer en toute justice. Il eut encore <3u goût pour les choses ès jardin et y excella.Au domaine familial arrangé par son père dans le goût et selon des études de Le Nôtre, il fit des ajoutes en style anglais, 4'anglomanie étant en ce temps-là comme de nos jours, quoique autrement, très à la mode. Considérez ensuite qu'il vécut ici ses heures les plus recueillies, qu'il y a médité, y a préparé, y a écrit maints de ses ouvrages et vous comprendrez qu'on ait choisi 3elœil comme cadre inoubliable autant que naturel de la présente commémoration. Cette ombre, célèbre par beaucoup de côtés, emplit en effet ces verdures qui furenf Biennes et qu'il illustra. Son souvenir s'impose ici à la pensée et la force des choses vous y ramène, malgré tant de beautés rencontrées, à chaque tournant de charmilie e{ de considération esthétique. Avec ce grand souvenir, tout un siècle survit ici, spirituel, élégant et frivole. Ii semble par un effet de ce décor français el dix-sep)tième siècle que la minute présente soit loin et que quelque ooup de baguette magique ait ici suspendu la marche de* .heures et des lustres. On doute à chaque pas si l'on ne verra point apparaître, ai détour de telle ailée, quelque chaise à por tcur richement armoriée et en descendre quelque haute dame attifée à la mode d'il j a plus d'un siècle, en poudres, en mouches, «n chapeau bergère et en robe à paniers, ce pendant qu'autour d'elle s'empressent poui le baise-main des marquis en perruque, pomponnés, en rubanés, habillés ae soie ei de chamarures, l'air, impertinent et le Î>ommeau d'or manié, avec préciosité, entre es doigts. A cette visite du domaine seignêurial el historique des « de Ligne », un personnage de marque faillit, non point comme son collègue Louis XIV, attendre, mais faire attendre : le soleil. Il arriva trop tard, traînailla, bouda, fut mal en train, s'éclipsa à tel détour d'avenue, reparut pour disparaître, enfin se montra un compagnon de route peu aimable, distrait et sur lequel on ni peut faire fond. Son sourire eût pourtant enjolivé bien des choses et sa belle lumière sereine se fui jnerveilleusoment harmonisée, ainsi que cela eût convenu à la sereinité et à la belle ordonnance louisquatorzième de cet admirable parc français.Le château res-;tauré, pour la part principale, après l'incendie, à peu près dans les formes ançien-, nés, commande princièrement, du côté du bourg, à la cour d'honneur et à l'avant-cour toutes deux de grande allure. Derriè-j re, il domine une grande pièce d'eau de 7 hectares et le reflet aux beaux soirs calmes, en doit être joli comme une chose glorieuse. |Le parc français entoure et continue cette (pièce d'eau digne de Versailles. Reetiligne jselon la mode de Le Notre, d'une belle régularité /classique ,il évoque l'ère de la ( majestueuse ordonnance dans l'art français. Il fait^ songer aux magnifiques tragédies de Racine où le strict déroulement des lignes souples quoique géométriques, ne nuit en aucune sorte à la beauté simple et touchante de l'ensemble.Des avenues a l'infini et aux perspectives admirables le 'dé- • coupent en ligues droites ou en diagonales à certains correfours, pour les coups d'œil mé-.iiagés sur le château et le grand bassin. I Des charmilles s'y allongent en murailles taillées en pleine verdure et percées de fe-I nôtres sur la distànce de plusieurs centaines de mètres, et s'arrondissent çà et là, |en façon de cloître autour du « Bassin des Poissons Rouges », du « Bassin !des Dames », ou d'autres bassins en-|core. L'aspect en est impressionnant et .grandiose. A gauche, dans le sous-bois, le prince avait dissimulé un menu coin de paysage plus libre et plus fantaisiste où circule, méandreux et argenté, le « Rieu d'amour » qui prend sa source au « Bassin de la Belle Baigneuse ». Sur la droite, dans la partie qui précède l'orangerie, laquelle est de construction plus moderne, un autre coin plus | vaste fut par «ses soins aménagé selon le goût anglais. Ce n'est plus ici la belle régularité de tantôt mais une agréable fantaisie, un ingénieux jeu d'esprit et un gentil caprice d'imagination, avec les kiosques, :des temples et des ruines comme en aima le 118° siècle mignard, élégant, raffiné et peu capable de grandes choses. L'ensemble en est joliet et charmant. , Lè parc occupe, avec ses dépendances,une soixantaine d'hectares. La forêt domaniale, immense et vénérable, est derrière. Une .large avenue la traverse, face au château | qu'on nomme « la Belle Vue ». D'autres artères s'y ramifient et ménagent des coups d'œil sur 1ô parc. ** ii Autour de ce domaine, avec quelques parties y encloses, se déroule la fête du diman-.che 26 juillet. Elle débute^ l'avant-midi par une séance acadéjnique où la personnalité du prince est étudiée sous ses aspects divers, se continue l'après-midi par un défilé de cortège musical et militaire, avec discours devant la stataie, de M. le ministre Carton de Wiart, représentant le gouvernement belge et du comte de Clarv et d'Al-dringen, envoyé extraordinaire de l'empereur d'Autriche, par des déclamations de piécettes dues à la plume du prince de Ligne, par des concerts, des illuminations du parc et du village, une fête vénitienne et un feu d'artifice sur la vaste pièce d'eau où le feld-maréchal navigua jadis à la voile ou à la rame sur des galères où ramaient, en costume national, des prisonniers turcs ramenés d'Orient. ' Le lundi 27, à 10 heures congrès du prince ele Ligne ; à 3 heures, Hommage des « Amis de l'Art Wallon ». Dans l'orangerie du château, nombre d'orateurs, MM. Pierre de Nolhac, Edmond De Bruyn, Félicien Leu ridant, etc., etc., enroulemt autour de la mémoire du prince de Ligne toutes les louanges discrètes et indiscrètes dont son histoire, sous ses multiples aspects, leur a fourni les éléments. j ^ L'afflux des étrangers, durant ces trois jours, a été considérable. De nombreux trains spéciaux ont déversé sur^ la joliette le>calité qu'est Belœil,sise en pleine contrée agricole et plantureusement fertile, des caravanes entières. Le beau temps a malheureusement un peu boudé à la cérémonie et ne l'a pas enveloppée à ces atmosphères émerveillantes dont il a le secret . gyowiiwflT lâw . Au Palais du Cinquantenaire, Salon triennal de baaux-arta. — Avenue Defrô, 13, Occle. œuvres de M. Raymond i-" Rasse. — De 10 à 5 h., â la salle des fôtes de la Madeleine, ru Duquesnoy, Inventions, nouveautés et travaux des concours professionnels pour ouvriers de divers mé- - tiers. | — Aux Ecoles Saint-Luc, exposition des travaux des élèves et anciens élèves : Institut Jean Bétbune, rue d'Irlande, 77, à Saint-Gilles, de 15 à 18 h.; rue des Palais, à Schaerbeek, de 14 à 17 h.; rue de la '. Colonne, 54, à Molenbeek, de 14 à 18 h. — A Saint-Gilles, avenue FonSny (près de l'avenue > du Roi), retraite, concert et séance de cinéma, à l'occasion des noces d'or de M. et Mme Detaeye-Merîens. concerts. — A 3 h., au Parc* l'Harmonie communale.conseils communaux. — A 7. Il 1/2, séance à Molenbeek. sports. — A l'étang du square Marguerite, parties do pèche au bénéfice de la Crèche du Nord-Est. t!eu de balle. — A 2 h . derrière le Marché au i Poisson, lutte au jeu de balle. ! ■ « "Le dnc et la duchesse de Vendôme sont actuellement les hôtes de nos Souverains, ! au château de Laeken. lîphéméridcs. — Il y a cinquante-huit ! ans, à pareille date, eut lieu le mariage de : la princesse Charlotte de Belgique et de ; l'archiduc Maximilien d'Autriche. La cérémonie fut célébrée, le 27 juillet 1857, au Palais de Bruxelles. Au Palais de Bruxelles. — Le Roi s'est , entretenu lundi après-midi avec M. de Broqueville, ministre de la guerre, puis avec M. Davignon, qiinistre des affaire étrangères. La Joyeuse Entrée de nos Souverains i Namur. — Le duc de Brabant, le comte d< Flandre et la princesse Marie-José accom pagneront le Roi et la- Reine dimanche pro chain à Namur. Le nouveau généralissime de l'armée au stro-hrongroise, en remplacement de fei l'archiduc François-Fenlinand est l'archi duc Frédéric, né le 4 juin 1856, en demie: lieu général commandant le 5e corps d'àr niée, à Pressbourg, qui a épousé, le 8 oc bobre 1878 au château de l'Hermitage d< Walcourt (près de Bonsecours), la princes se Isabelle de Croy. née en 1856. De ce mariage sont nés six filles et un fils; ce dernier, l'archiduc Albert est né le 24 juil le 1897. v Conseil de cabinet. — Les ministres se soçt réunis lundi soir, sous la présidence de M. de Broqueville, pour examiner la. si buation créée par la tension serbo-autri chienne. Aucune décision n'a été prise. A la Bibliothèque royale. — Dom Ber lière, avons-nous dit, a donné sa démission, Le sympathique savant sera bien étonne que cette nouvelle, parfaitement authentique, soit démentie par une feuille anticatho Uque. A la schlague. — C'est ainsi que son conduits ceux qui ont la naïveté de s'en rôler sous la bannière socialiste. Deu: nouveaux exemples le prouvent: Dimanche, un congrès coopératif socia liste s'est réuni à Bruxelles. Il a pris une décision rendant « obligatoire » l'abonne ment au journal « La Coopération » et il i chargé « le comité de l'office de procède: dans tout le pays à une enquête sur la con cent rat ion coopérative et demandé qu'or publie le nom des sociétés qui négligent oi refusent de participer au recensement ». — Lourdes : la Snisse (ces 2 exc. sans tr& jet de nuit). — Italie en septembre. Voya Ses de noces et particuliers. Voyages Frân jois, 45, boulevard du Nord, Bruxelles. 4344-75' De nombreux Autrichiens qui villégiatu raient aux plages belges ont quitté notr< littoral, pour aller se mettre à la disposi tion de l'autorité militaire en Autriche. A Bruxelles ont eu Heu aussi des départ de Serbes et d'Autrichiens. Le consul de Serbie à Bruxelles a souhai té le bon voyage et surtout un prompt re tour à ses compatriotes. La Bourse de Bruxelles a été fermée lun di. "Ceci à l'instar des Bourses de Vienne Barcelone, etc. Panique, dira-t-on. Du tout, ce semble Il s'agit plutôt d'empêcher la panique, -c'est-à-dire l'affolement irraisonné. Un agent de change nous dit à ce propos La Bourse de Paris a été fermée samedi aprè la chute de la Rente Française a 78 francs. Le cours furent aussitôt annulés et la Bourse fu Fermée pour éviter la panique financière qu l'on redoutait. La Bourse de Vienne est également fermé par le même motif et pour trois jours. La Bourse de Bruxelles a été ouverte lund à midi, comme d'habitude. Puis la commissioi s'est réunie et a fait, à midi et quart, ferme les portes. On croit que cette fermeture ne durera guèr et que demain la Bourse fonctionnera. Mais rie: n'est encore décidé à cet égard. On dit que la Bourse de Berlin a été fermé aujourd'hui pour les mêmes raisons. Toutes les Bourses sauf celle de Londre — le Stock Exchange — ont été fermée lundi. A Anvers, dès l'ouverture de la Bourse aujourd'hui lundi, la panique se dessin aussitôt. Les valeurs pétrolières dégringe lèrent de 500 francs. Toutes les opération sur les valeurs pétrolières ont été alors an nulées. Au compartiment des grains, : s'était produit un mouvement considérabl de hausse. Cette hausse atteignait 0.50 0.60 centimes pour les frétants disponiblet Les vendeurs de maïs se se j abstenus. A Anvers, la Commission de la Bourse demandé et obtenu du bourgmestre la fei meture de la Bourse pour deux jours. **•« A Paris samedi le marché s'est ouvert a milieu d'une extrême agitation, causée pa le bruit qui courait alors avec persistanc que la Serbie, devançant les délais imposés avait répondu par la négative à l'ultimatur de l'Autriche... La rente française 3 p. c. a encore perd fr. 1.50 à terme et fr. 1.50 au comptant, c qui la met à fr. 78.85 au comptant et 7 Erancs à terme. Le dernier emprunt 3 1/2 p. c. amortissa ble émis à 91 francs, qui avait déjà, ce jours-ci subi une baisse sensible, est tomb a fr. 85.90. La clôture des valeurs à terme était, 1 23 juillet, de fr. 81.10 pour le 3 p. c., de fi 89.37 et de fr. 90.20 pour Je 3 1/2 p. c. no libéré. Vendredi, le 3 p. c. clôtura à fr. 79.90, e les 3 1/2 p. c. non libérés, à fr. 87.75 et fi 88.50. A trois heures et demie, on annonçait qu la clôture dif 3 p. c. à termes avait été off: ciellement arrêtée ^^78 fraieis, et que la clé ture des autres valeurs s'était effectuée dan des conditions et^eloa une proposition anc logues. Ces taux, qui ne paraissent jamais avoi été atteints même aux périodes où la Boui se se ressentit le plus gravement des événe ments extérieurs, et notamment en 190^ lors de la déclaraion de guerre russo-jape naise, puis pour l'affaire d'Agadir, et enfi en octobre 1912, lors^ de la déclaration d guerre turco-balkanique, vont-ils en<x>r baisser ? On le croit au Syndicat des agent de change. Les Bourses de Berlin et de Vienne oi ressenti des soubresauts extrêmement vi< lents, samedi. La baisse régnait depuis vei dredi sur toute la ligne et allait s'accentue encore sameeli, lorsqu'on reçut iine# dép che annonçant que la Serbie allait céder. Cette dépêche était basée sur un artic. do l'organe officieux de Belgrade pr 5 voyant une issue pacifique de l'incident Aussitôt, la hausse se manifesta mais elL ne fut que de courte eiurée et la baisse qu t suivit n'en fut que plus terrible. La cïôtun i de 11). Bemrse de Berlin prit le caractère - d'urje panique générale. A Vienne, la Bourse a été fermée jus qu'au 28 inclus. i U< gros incident. — Lors du passage i ■ Bruxelles, des délégués de la Cité de Lon • dreb,les Conseillers communaux n'ont guè ■ re éié invités qu'à la visite du Musée colo ■ niai de Tervueren et au. banquet de l'Hô ' tel de ville. Le Collège s'était chargé d< - ^représenter le Conseil dans toutes les a,u ! très cérémonies. : Les conseillers de tous les partis se son • montrés froissés de ce procédé et un inci dent très viedent a surgi au début de h séance à huis-clos tenue lundi, après h ' séante publique. 5 C'est M. Levêque, conseiller libéral, qu - a attaché, le grelot. J'fiT "siégé ici, dit-il, sou-, lo « règne » de M Buis et sous le « règne » de M. De Mot. Jamai les (jnseillers communaux n'ont été traité connue ils l'ont été par M. Max, lors de la vi site à PHôtel-de-Ville du Roi de Danemark e lors de la visite, à Bruxelles^ des édiles lon doniens. L'attitude du Collège à notre égard, a ét< ■ inqualifiable ; elle fut pour nous la cause d'af fronts de toutes espèces et il faut qu'une pro testation energique se fasse entendre. Il fau' : qu'or; sache quo c'est le Conseil qui reçoit ei . non fas le Collège. M. Max, visiblement vexé de ces paroles s'attache à montrer que, dans les deux cir } constances signalées, les Conseillers com ' munaux ont eu le pas sur tout le monde. j M.'Bras8ine, catholique, lui répond: LcVs c]e la visite du Roi de Danemark à l'Hô - tel-dei-Ville, nous avons été /elégués au fond d< i la sa^e ; on nous a placés à la suite du cortèg< ' o4: Al,vr\ n+ »-4-« 1, ; „ „ .. . part des façades étaient brillamment illu-î minées. On y célébrait, en grande solennité, i les noces de diamant des époux Lénaerts-î Hermes. î Les heureux jubilaires se sont mariés le 27 juillet 1854. M. Lenaerts est âgé de 84 ans et sa femme a 85 ans. Le mari a été . pendant de longues années employé boulanger à l'administration des Hospices de Bruxelles dont il est pensionné. Les deux i vieux époux sont en excellente santé. Dimanche, l'ouverture des festivités a - été annoncée par une salve de 101 coups de - canon. A 4 heures, a eu lieu, aux acclama-. tions d'une foule nombreuse, l'ascension s de ballons jubilaires aux différents carre-. fours du quartier. Le soir, à 9 heures, une grande retraite aux flamoeaux particuliè-t, rement réussie et qui avait amené sur son parcours un public énorme a parcouru les principales artères. Lundi, un peu avant 11 heures, les époux Lenaerts-Hermes et leurs enfants ont quitté dans deux landaus, leur domicile de la rue des Coteaux, 4, et ont été conduits à l'Hôtel communal, où les attendait M. l'é chevin Latour, remplaçant M. le bourgmestre, retenu par un autre service. Les jubilaires ont été vivement félicités et l'échevin a souhaité les voir célébrer après leur soixantième anniversaire de mariage qu'ils fêtent actuellement, leurs noces de platine. Leur vigueur présente permet d'escompter qu'il en sera ainsi. Une superbe corbeille de fleurs leur a été remise au nom de l'administration et un souvenir au nom de la commune. Les jubilaires se sont ensuite rendus à l'eiglise Saint-Josse, au seuil de laquelle ' ils ont été reçus par M. le curé de la paroisse et son clergé. M. l'aobé Desmet leur a adressé urne touchante allocution, puis ils ont été conduits processionnellement avec leur famille aux prie-Dieu qui leur . étaient réservés. Un « Te Deum » d'actions v de grâces a été ensuite chanté. > Entretemips les époux Lenaerts-Hermef - avaient reçu les félicitations du comité or-' ganisateur des festivités et d-u comié ele s ■ fêtes du centre. Les jubilaires ont été alors laissés à l'intimité de la famille, qu'un dîner réunis-[ sait. Le soir, toutes les rues avoisinant leui . demeure ont été illuminées. A 8 h. 1/2, le b Conservatoire Schaerbeekois est venu leui - donner une sérénade., et à 9 heures la So - ciété royale 6erdp"ïiiaydn a chanté de! 1 aubades. Les jubilaires, aux fenêtres de - leur habitation, ont été eîhaleureusemenl ovationnés. Pendant tpute la journée, il: ^ avaient été abondamment fleuris et de nombreux cadeaux leur avaient été remis j A 10 heures, un grand feu d'artifice, tire . rue du Moulin, a clôturé les fêtes, qu avaient attiré eians le quartier une partie - considérable de la population de Saint t Josse, où les époux Lenaerts-Hermes son- ■ unanimement très estimés. A la gare centrale. — Le chantier di côté du palais du duc d'Ursel est envah par les ouvriers; l'autre côté, du côté d< la rue de la Madeleine, est absolument dé sert. Les démolisseurs achèvent d'abattn les derniers pans de mur de ce qui fut 1< Duc Jean dans l'ancienne rue de la Put terie. Les briques espagnoles énormes qu ont servi, dans le temps, à édifier l'auber " ge à diligences, seront réduites en briquail ] Ions et serviront probablement d'assises ; un de nos grands bâtiments. , Sur le chantier même les ouvriers son occupés au travail préparatoire du fonça ge des pilotis, qui se fait a l'aide de deu: sonnettes mobiles circulant sur des rails . l'exemple des grandes grues. Les piloti u sont enfoncés derrière les planches éta L blies sur une grande largeur. Ce travail d 1 protection a été nécessité par l'immens butte que présentent les bords du chantie t et par l'eau qui affluait encore; les terre - n'auraient pas résisté aux chocs innombra a bies que nécessite le travail des pilotis Tout le sol jusqu'à la rue des Longs-Cha c riots, est ébranlé. Des charretiers enlèven s- les dernières terres; des bétonniers son occupés à la confection des pilotis. Tout s meut'dans cette cuve et à une heure préci c se, lorsque sonne la sonnette d'avertisse t ment de marche, de tous les coins sorten r des ouvriers qui, en un instant,donnent a chpitier, l'aspect d'une vaste ruche en tra vail. e — é — Semois « Le, Sanglier t, pour amatenrs. E it paquet de 0.20, 0.30 et 0.50 centimes. 46S1-52 ^ — Les vols. — M. A..., rue Chômé, 15, I Schaerbeek, est allé déclarer à la polie que, dimanche soir, sur le tram, il a été de lesté de sa montre et de sa chaîne en or. — Lundi matin, on a constaté que des v/z p gons avaient été fracturés à la gare d " l'Ouest, à Molenbeek. Divers colis renfe: mant des articles de lingerie et d'autre marchandises ont disparu. e — Arrestation d'une bande de cambrie 0 leurs. — Un assassin allemand sous les ve] rous. — En 1913, un Allemand, Josep î_ Volker, se disant journalier, âgé de 24 ani n disparaissait de Gladbach, après y avoi ir commis un double assassinat suivi de vo Volker se réfugia à Bruxelles où il se le _ gea sous un faux nom dans une mansard rue des Minimes. Volker organisa biente une association de cambrioleurs, qui <îon 1 prenait deux autres Allemands, un Frai I " çais et un Belge. Après diverses expéditions nocturnes, le a malfaiteurs mirent au pillage la propriél l" de M. le baron de Kerckhove, rue de ] Science, 43, à Bruxelles. Ils y enlevè-rer lc des bijoux, des vêtements, des antiquités < , quantité d'autres objets de valeur. L'off 5 cier de police Geroms. de la première div sion, appris que des inconnus avaient te] >s té de vendre des objets provenant de ce vi e à un antiquaire du centre de Bruxelle Grâce à ce fait, il retrouva bientôt les cin malfaiteurs. L'un de ceux-ci, Fritz Schmie îi- fut arrêté. Il avoua avoir été sous ce non ot condamné, comme ses complices, à cin lu années d'emprisonnement. Le prétend la Schmidt avait décliné un faux nom. Il n'e es autre, en effet, qne Volker, l'auteur c u- double assassinat de Gladbach. Après avo payé sa dette à la justice belge, Volker sera remis aux autorités allemandes. — Chronique des accidents. — Un jeune homme de 15 ans, François Lerichaux, demeurant chaussée de Louvain, 201, à Saint-Josse-ten-Noode, a été renversé lundi,boulevard Clovis, par .un cycliste, M. R..., demeurant Strombeek. La victime,gravement contusionnée, a été. sur ea demande,reconduite à son domicile. — Dimanche soir, M. Pierre Verleyen, demeurant rue de Cologne, 102. est tombé du tram à l'angle de' la rue eles Riches-Claires et du boulevard Anspach. lia dû être transporté à l'hôpital. — L'épuration. — La police, au cours d'une descente faite,"lundi matin dans les maisons de logèment "et les lieux suspects du quartier de la rue Haute, y a arrêté ue vingtaine d'indésirables, dont dix Français et Allemands, qui se trouvaient ici, san papiers ni moyens d'existence avouables.Ces individus ont été écroués. Ils seront reconduits à la frontière. Un autre qui était recherché pour vols, ' a été écroué. — Agent do change,CJ.Sacré, 32 r. Antoine-Dansaert,Brux. Même MOB 96, ch. d'Ixelles. 7.5 — A propos d'un incendie étrange à l'hôtel de ville de Bruxelles. — Il y a quelque temps nous avons relaté qu'un incendie,attribué à l'imprudence d'un fumeur, avait éclaté dans la partie de la tour de l'hôtel de ville, où sont déiposées les arohives anciennes.L'incendie avait été éteint par un poma pier de ronde. M. Janssens, chef de la brigade judicia.i-' re, après enquête, attribue à cet incendie une cause des plus suspectes. M. le juge d'instruction Lacroix a ouvert une instruction à ce sujet. — Les épaves du canal. — Lundi à 7 H. du matin, on a retiré du (ianal de Char le-' roi, en face du numéro 47 du quai de l'Industrie à Molenbeek, le cadavre d'une , femme âgée de 30 ans enTiron. Le coiips ; doit avoir séjourné une huitaine de jours ! dans l'eau. L'inconnue a 1 mètre 65 de taiï-le ; elle a les cheveux et les sourcils châtains et est de corxinlenoc ordinaire»- Aucune pièce d'ieîentité n'a été trouvée en possession. Le signalement de l'inconnue a ! été transmis dans toutes les directions. — Collision entre un tram et un auto-taxi. — Quatre blessés. — Dimanche après- ' midi, à l'avenue de Tervueren. à environ \ deux cents mètres des « Quatre Bras », ' une collision s'est produite entre un tram- ' way et un aute>-taxi. Dans cette voiture se trouvaient M. et Mme Charlier, bouchers, rue Paul Devaux, à Bruxelles, leur fils âgé ( de 12 ans, ainsi que leur neveu. 1 Le taxi a été renversé et les occupants , ont été lancés sur le sol. Les victimes fu-' rent relevées et transportées dans le tïafé , lo plus proche. Un médecin de Tervueren ^ fut mandé. Mme Charlier se plaint de for-' tes" douleurs ; le médecin craint une frac- • ture du fémur. Mme Charlier est également blessée aux bras ; son mari est contusionné aux reins et à la tête et les d'eux enfant# x sont blessés à la tête. Le chauffeur est indemne. Les quatre blessés ont été ramenés t à Bruxelles dans l'ambulance de la société des tramways. £ — Disparition. — La police de Saint-Josse J a signalé à tous les commissariats la dispar 5 rition de Mlle Bertha M..., 43, rue Verbist. 3 — La remise des diplômes du jury central s sténographie a eu lieu dimanche matin, à 11 h.? r au Palais des Académies. Au bureau siégeaient b MM. Meysmans, Palmers et Stiénon, membre» _ du Comité exécutif, ainsi que les membres du jury d'examen. M. Stiénon prononça le discours d'usage. IJ ~ fit remarquer que les candidats aux derniers £ examens etaient au nombre de 1.166, en aug-t mentation de 20 p. c. sur l'année précédente, et 2 que sur l'ensemble des épreuves 50 p. c. dee - candidats avaient été reçus. Les jeunes filles représentaient 70 p. c. dee t lauréats, et elles avaient obtenu 15 p. c. de plue , de résultats que les jeunes gens. L'on procéda ensuite à la remise des diplômes, au nombre de 431 pour la sténographie et de 149 pour la dactylographie et la sténo-dactylo-graphie.» Dix-huit médailles d'argent furent do plus décernées aux lauréats de l'épreuve de 125 mots à la minute, et 24 médailles de bronze aux lauréats de l'épreuve de 120 mots n la minute et > de l'épreuve de sténo-dactylographie de 100 â 120 mots à la minute, e BRUXELLES. __ Institut Saint-Louis. —. Candidature en philosophie et lettres prépara^ - toire au droit. — Deuxième épreuve. — Çoelst; e André, de Laeken, dist. ; Jouveneau Louis, de Dour, gr. dist. 5 Première épreuve. — Oolin Alexandre, d Ixel-les, dist. ; de Fontaine Jean, de Bruxelles, cUst. : Poels Jean, d'Erembodeghem, sat. ; Reyntens Pierre, de Bruxelles, gr. dist. ; Van Bastelaor ^ Pierre, de Saint-Gilles, sat. ; De Vadder Paul, î" d'Ixelles, sat. n 0 ■■■■ • Les drames de l'alcoolisme i- UNE FEMME TUÉE e A COUPS DE BECHE. Audenarde. 27. — Richard' V..., rentrant l" hier, vers midi, ivre, sa femme lui fit des 1_ observations. Le pochard la maltraita. Comme elle se réfugiait dans une grange, V... enfonça la porto à coups de bêche, puis asséna avec le tranchant de son arme plu-x sieurs coups sur la tête de la victime, lui fendant le crâne en plusieurs endroits. La • mort fut instantanée. ^VVVVVVVVVVVVVVVVVVVVN ÎÏ "NOS FEUILLETONS 3. fl "Nous commencerons demain la publication du roman de M. Henry BORDEAUX* 1 LA ROBE DE LftlNE IF ""'"M" 1 1

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Dit item is een uitgave in de reeks Le national bruxellois behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1894 tot 1940.

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