Le nouveau précurseur: journal du soir

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s.n. 1914, 30 Mei. Le nouveau précurseur: journal du soir. Geraadpleegd op 11 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/s17sn02338/
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gameidi 31) et IMmaraciie £&! SSai car^a» geotims® ^M>me aiiiîée — IV 1l«CS> et JL&âXL Le Nouveau Précurseur ABONNEMENTS : SNVERS, un an 12.00 fi\; six mois «.50 fr.; trois mois 3.50 fr INTERIEUR, » 15.00 11'.; » 8.00 fr.; » 4.E0fi HOLLANDE, » 83.00 fr,: » 16.00 fr.; » 0.00 fr LUXEMBOURG, » 32.00 fr.; » 16.00 fr.; » 8.00 fi UNION POSTALE, - 42.00 l'r.; » 31.00 fr.; » 10.50 fr Tout abonnement, so poursuit jusqu'à refus formel. ON S'ABONNE à Anvers au bureau du journal et dans tous les bureaux do postes en Belgique. JOURNAL DU SOIR TÉLÉPHONES { œ^tion; N° { 39, VIEILLE BOURSE. - ANVERS -A. IsTl>TOISrOE S : Ordinaires, la petit® ligue, fr. 0.80 ! p^clames, la ligie. . . fr. 1.50 » i à 4 lignes , « 1.00 I Faits divers, Ici li#'ns. . » ' 2.50 Financières, la ligne . . « 0.50 ! Cîirowqub,Anyzrs . . , .•> 3.00 Les annonocs de Vèlrtmger et de la Belgique sont reçues aussi par T Agence* Boasos, S, place des Martyrs, à Brumédes, S, PldSk de la Bourse, à Paris, ci 20. 7rf-i tt~u—... j. r 7 ^."ol Deliors ANGLETERRE Outrecendance qir Edward Carson a pïononcé, mercredi, ians le Pai's (le Oalles, un violent discours Lns lequel il a affirmé sa volonté de combatte jusqu'au bout pour le triomphe de la cau-e de l'Ûlster. Il s'est vanté d'avoir fait distri-uer en quatre ou cinq jours trente-cinq mille usils et trois millions de paquets de muni- °rCeci a-t-il dit, constitue évidemment une iolation de la loi, mais on n'a pas osé nous unir pour l'avoir commise. Le gouvernement ait trop bien qu'il ne peut pas mater l'Ul-[er> et il n'osera'jamais le faire.» FRANCE Le parti radical Le bureau du comité du parti radical et ra-ical-socialiste s'ést réuni vendredi soir et a écidé d'envoyer à M. Doumergue une adres-3.où il «proteste contre ces bruits tendan-ieux de certaine presse qui voudrait le met-e en opposition avec le président du conseil renouvelle à ce dernier l'expression de sa infiance et de sa sympathie.» D'autre part, ce bureau a décidé de propo->r à la prochaine assemblée plénière un or-re du jour demandant que le gouvernement j pouvoir poursuive, avec le concours des roupes de gauche, la réalisation du program-ie de Pau approuvé par la majorité du corps eetoral et invitant ses élus à n'appuyer [l'un gouvernement s'inspirant de ces prin-pes.Le cabinet Doumergue Dans les milieux non radicaux circule le ■uit que le cabinet Doumergue sera démis-onnaire mardi, son chef ne voulant pas s'in-iner devant les prétentions du parti radical radical-socialiste qui exige le retour à la loi > deux ans de service militaire. Le «Temps» se fait l'organe de ces bruits. Mais dans les milieux de la majorité parle-entaire, on se déclare surpris de ces bruits. On affirme que la majorité désire le main-de M. Doumergue au. pouvoir, et que rien indique sa 'démission prochaine. RUSSIE Les aviateurs allemands Les deux aviateurs allemands qui ont atter-â Rypins, en Russie ont été mis en liberté i-r. ESPAGNE Les journalistes parlementaires Hier, à la Chambre, les députés républi-lins ont qualifié de sauvage la conduite de police à l'égard du public qui stationne aux lords de la chambre. Le ministre de l'intérieur proteste. Il dit que police fait son devoir. Les gendarmes ont droit d'entrer à la chambre comme d'autres rsonnes venant s'informer de ce qui arrive. Les journalistes qui occupent la tribune* de presse, croyant que cette allusion les vise, testent bruyamment et se retirent. ^ la séance d'aujourd'hui le député Burell mandera des explications au président dé chambre et au ministre de l'intérieur sur 1 phrases que les journalistes parlementai-; ont estimées offensantes pour eux.Les jour-listes ont décidé de ne plus faire de compt'ç îdu de la séance. ALBANIE Les insurgés )n annonce de Durazzo que de forts groupes nsurgés sont concentrés à Tirana et a Siak. 'ffervescence est grande à la suite de nou-iles reçues de l'Epire: Deux canons ont été rayés d'Alesio à Valona où se trouvent mis 9,000 catholiques. Mgï Bunci et d'autres tabilités qui sont arrivés proposeraient dé treher contre les insurgés. Une conférence lté tenue à ce sujet, mais il n'a pas été pris décision. Les Albanais fidèles au prince )ans une assemblée tenue jeudi, des mil-rs des Malissores. et des Mïrdites ont dêcla-être prêts à marcher contre les partisans -ssad pacha. La population catholique du rd de l'Albanie refusera de reconnaître les «cessions éventuellement accordées aux isulmans. La princesse de Wied ■a princesse se rend journellement auprès • blessés des derniers combats qui sont soi-ês à Durazzo. Elle s'informe de leur état et ir fait distribuer des rafraîchissements. Le nouveau cabinet <e ministère albanais est ainsi constitué: rkhan pacha, président; Mufik bey, jus-3; Neggan, finances; INÎidhat, travaux pues, postes et /télégraphes; Ttirtuliss, irisation; prince Bibdeda, affaires étrangères; 'du, intérieur; Abcnd bey, agriculture, ('es is dernières personnalités n'ont pas enco-accepté.MEXIQUE La médiation déclare de bonne source que les pro-s des médiateurs envisagent le transfert r le général Huerta du pouvoir exécutif à | président provisoire acceptable pour tous [ Partis et qui serait assisté par quatorze îmbres du Cabinet, réunis en Commission, s cinq personnes partageraient la responsa-Jw de nouvelles élections pour nommer le Aident, le vice-président et les membres du ;ngrès. *es noms des membres du nouveau gouvernent provisoire projeté ont déjà reçu l'ap-°Dation du président Wilson. Dès qi>e ce Jvernement serait constitué, il serait re-nnu par les Etats-Unis, et le rappel des trou-® américaines suivrait promptement. J autre part, on déclare, dans les cercles of-g?is de Washington, qu'un plan de mé-il10n ^ien défini a été présenté au général "anza et qu'on attéhd là réponse de celui- termes exacts de cette proposition n'ont été divulgués, mais on croit savoir qu'ils "prennent l'acceptation d'un gouvernement «usoire mexicain autre que celui du géné-«uerta et de réformes agraires. Carranza proteste Jj- F. Urquidi, secrétaire de l'agence con-.pOnnaliste à Washington, est parti pour sara-Falls, porteur d'une communication général Carranza, dans laquelle ce dernier se plaint de ce que les médiateurs aient commencé leurs travaux sans attendre la nomination d'un représentant constitutionnaliste. Le général Carranza rappelle la première in vitation qui lui avait été adressée à l'effet d'envoyer des délégués à la conférence. Il dit comment il avait, en prinicipe, accepté la médiation et signalé les points qui devaient y être traités dans un message auquel il n'a pas reçu de réponse. Les médiateurs on tdécidé de ne pas prendre connaissance du message du général Carranza, apporté par M. Urquidi. Ils ont informé les délégués américains de leur décision. Salvador à la rescousse! D'après le correspondant du «New-York He-r.ald» à Mexico, le ministre du Mexique à San-Salvador, informe le président Huerta que la population de cette République de l'Amérique fait des souscriptions pour venir en aide au Mexique en cas de guerre avec les Etats-Unis. Le Salvador offre aussi de recruter 10 mille hommes pour se joindre à l'armée mexicaine.La situation de Huerta Il n'y a pas jusqu'à présent de confirmation officielle de la nouvelle d'après laquelle le président Huerta se ferait accorder un congé par le Congrès pour masquer sa retraite; mais on continue à parler de son départ, de sa fuite imminente, à l'approche des constitua tionnalistes qui assiègent à cette heure Gua-dalajara, dont ils ont coupé les communications avec Mexico. On prétend que des agents du président Huerta se sont abouchés avec le général Funs-ton, commandant l'armée américaine d'occupation de Vera-Cruz, pour assurer éventuellement le départ du président en passant à travers les lignes américaines, mais ce ne sont là que des rumeurs qu'aucune information sûre de Mexico ne confirme. Nouvelles de F Etranger La peste à Kong-Kong Le ministère des Colonies a reçu un câblo-gramme du gouvernement de la colonie anglaise de Hong-Kong, l'informant qu'au cours de la semaine'dernière 218, cas 'e peste ont été constatés dans l'Ile. 1S3 décès se «ont produits.Un énorme lock-cuî T.a Grande-Bretagne est menacée à brève échéance, d'un formidable lock-out, qui affectera au minimum 500,000 travailleurs. On se rappelle qu'il y a près de cincj mois, les ouvriers syndiqués du bâtiment s'eiaient mie en grève à Londres, pour obliger les entrepreneurs à congédier tous les ouvriers non syndiqués employés par eux. l es patrons lando-niens avaient répondu à cette mise en demeure en proclamant le louck-out sur tous les chantiers de la capitale. Depuis, de nombreuses tentatives furent faites, notamment par le lord-n;:iirn. pour rapprocher lss deux parties. La dernière avait abouti à l'élaboration d'un projet d'accord qui fut accepté par les entre* preneurs et soumis, en ce qiii Concerne les » ouvriers, à lin referahdum. Ce referendum i a donné les résultats suivants: pour le rejet.du i projet, «1,017; pour son acceptation, 2,284, soit 1 'une majorité de 15,193 voix pour son rejet, i Le 11 courant, Lu fédération nationale du bâ-» timent au cours d'un meeting tenu à Londres ; avait décidé que si les pïiviWé nY^ceptàienv ; pas le projet qui lSur avait été soumis dans le ! délai (le dix jours, un lock-out général serait proclamé dans toute l'étendue du Royaume-* Uni. Le résultat du referendum ouvrier étant défavorable, il a été décidé de mettre cette menace à exécution dans le plus bref délai possible. Il est peu probable toutefois qu'ePe puisse l'être avant le 10 juin. Le procès CaitlauM La'Chambre.des misés en accusation de la , Cour d'appel de Paris a rendu un arrêt ren-! voyant Mme Caillaux devant la cour d'assises du chef d'homicide volontaire avec préméditation.L'affaire serait fixée au 20 ou au 21 juillet et prendrait six audiences. Java et ces habîtanîs. M. Jes'éph Ch iilley avait,' en 1900, donné-sur Java et ses habitants iin lfarro dont le succès a . ; fie très ,y if. Il en publie aujourd'hui la qua-• trième édition. Mais depuis qi-àtorze ans, les victoires japonaises ont transformé, l'esprit des peuples d'Mxlrême-Oriont. Un désir intense de n viiisation est né.parmi eux et a amené les , nations européennes qui ont des possessions ,. dans cette partie du inonde à modifier compÀè- j > tement leurs procédés oe gouvernement, M. ) ChaîHey, pour mettre son livre à jour, a donc i dû y ajouter une longue introduction où il î expose les réformes déjà faites ou projetées '■ par la Hollande, et qui en font un ouvrage j nouveau. j T.'évvii du peuple javanais s'est manifesté i de deux façohs: tendance à s'affranchir de la , tutelle économique des Chinois, tendance- à ; p'.'éïidre une part plus grande à l'admiriistra-f lion du pays. Les Chinois sont 560,000 dans les ' possessions néerlandaises, et comme en In- ; t dôchine i's y tenaient le commerce et l'indus- I trie. Un mouvement décidé s'est crée pour • : leur arracher ce monopole. Il est devenu de l bon ton dans les hautes classés javanaises de î s'occuper de commerce» d'abrieulttiré et de ; se préparer aux prot'csr.ioAs toc'.!niques, (niant aux ambitions politiques, elles sont spécia-1 ement cuit i vées par les n 1 étifs qui sont au nombre de 50,000 environ, ils ne sont encore que 1,500 eii( Indochine, et déjà les colons français s'en* préoccupent; si l'on en juge par ce qui se passe à Java, ils n'ont point tort. Des métis ' ont, en effet, formé un parti qui s'est donné pour programme "l'indépendante des Indes-» (il s'agit, cela va de soi, des Indes néerlandaises). Les Hollandais ne s'en effrayent pas . outre mesure, et ils ont estimé que le meilleur moyen de modérèr le mouvement indigène était de lui donner satisfaction dans ce qu'il a de raisonnable. Ils élargissent donc la place faite aux indigènes dans le gouvernement de leur pays. Ils ont créé des Conseils provinciaux aux chèfs-lieux des résidences et des Con-j seils municipaux dans les principales villes; ils ont relevé les traitements des fonctionnaires indigènes, et 011 discute en ce moment au Parlement hollandais un projet qui étendra considérablement leurs attributions. | Pour lutter contre les Chinois, pour recruter, S de bons fonctionnaires, l'instruction est une j nécessité. Les Hollandais s'en sont également ! rendu compte. M. Chailley a recuilli à ce sujet les plus intéressants détails. Il y a aujourd'hui à Java un enseignement primaire qui. compte : 475,00 élèves, un commencement d'enseigne-{ ment supérieur, et on est en train d'organiser l'enseignement professionnel. NOS ÉCHOS L'onseignemertt moyen Voici les décisions prises ou plutôt le avis émis, dans sa dernière réunion, par 1 commission instituée pour étudier la r< forme de l'enseignement moyen: 1. Les sciences physiques ou naturelles s< ront étudiées dès la section préparatoire. Adopté par 30 voix et 3 abstentions. 2. Des notions de physiologie végétale ( animale seront enseignées après la phys que et la chimie. Adopté par 31 voix et 1 abstention. 3. Le cours de dessin sera obligatoire dan toutes les classes des humanités. Adopté par 31 voix et 1 abstention. i. Ce cours comprendra dans toutes le classes supérieures des notions d'hiêtoir de l'art. Adopté par 20 voix et 6 abstentions. 5. Des conférences compléteront dans 1 rhétorique supérieure l'enseignement d l'histoire de l'art. Adopté par 18 voix contre 9 et 5 abster tions. 6. Il a y lieu d'introduire dans un but pi rement éducatif des exercices manuels d'à} plication en rapport avec les autres brar ches du programme. Adopté par 27 voix contre 3 et 1 abster tion. 7. Ces exercices seront obligatoires dan les classes inférieures. Adopté par 22 voix contre 7 et 2 abster tions. 8. Ces exercices seront facultatifs dans le classes supérieures. Adopté par 26 voix contre 1 et 4 abster tions. 9. Dans le but d'assurer une meilleur éducation de la jeunesse au point de vue es thétique, moral et patriotique, il y a lieue rendre l'enseignement du chant obliga toi re dans les classes inférieures des huma nités, l'êxécution des chants se faisant dan nos langues nationales. Adopté'par 29 voix et 1 abstention. 10.Le cours de chant sera obligatoire dan les classes supérieures. Adopté par 17 voix contre 12 et 1 absten tion. * * * Le corps da Frédéric de Mérode La manifestation qu'on projette à, Ber chenu pour lç lundi 1er juin, promet d'avoi un caractère particulièrement grandiose;lî garde civique et l'armée prêteront leur con cours à la cérémonie avec musiques et drapeaux. Sa Majesté le Roi se fera représen ter par le général-major Deruette et le com mandant Doutrepont, officier d'ordonnan ce. Les autorités civiles et militaires re hausseront la cérémonie de leur présence Des membres de ,1a famille de Mérode, e notamment la comtesse de Mérode-Wester lbo et sa fille; le comte Jean de Mérode grand maréchal de la Cour, la comtessi Jean de Mérode, leur fils et leur fille; h comtesse Werner de Mérode et ses enfants le comte Louis de Mérode, le comte Féli: de Mérode, le comte de Grunne, le comti F. de Beauffort, les comteç de Ribeaucourt le baron et la baronne van de Werve et di Schilde, et plusieurs autres petits neveu: et arrière petits-nevénx du glorieux h'éro: do 1830 ;:e feront lin devoir d'assister à 1; cérémonie funèbre. La réception se fera à 10 h. 1/2 à la mai son communale de Berchem par le bourg mestre, entouré du Conseil communal e par. les membres du Comité de Mérode. Le: absoutes seront dites daûs là 'vieille églis< paroissiale de Berchem. Toutes les sociétés de Berchem j sans dis iinctipn de parti, les. cercles patriotique! d'anciens militaires, les enfants des corn battants de 1830 et beaucoup dTautres so ciétés. d'Anvers et dçs communes environ nantes et même de Bruxelles ont envoyé leu: adhésion et escorteront avec leurs dra peaux voilés de deuil la dépouille mortellj de l'héroïque volontaire dont Berchem s'ho nore de conserver les restés. Le cercueil sera placé sur un affût di cariori et recouvert du .drapeau tricolore Dans le cortège figurera aussi le drapeai qui se trouvait en 1830 à l'affaire de Ber chem et auquel de Mérode morteiiemen blessé fit attacher sa cravate en diéârit «Mettez à votre drapeau cette cravate qm j'ai portée jusqu'à présent, de cette ma nière, je nié "croirai toujours avec vous.: Cette précieuse relique historique scrà es cortée par une délégation de chasseurs éclaireurs de Bruxelles. Le cortège se dirigera vers le nouveai cimetière par la Grande chaussée extn murôs et par la nouvelle avenue, royale; su le parcours les réverbères seront allumé: et voilés de crêpe. Deux discours seron prononcés au cimetière, l'un par M. Coot maris, bourgmestre, l'autre par le vice-pré siderit du' comité. L'inhumation dans le nouveau cavea* préparé au rond-point principal du cime tière communal, se fera après les prière liturgiques, au milieu des salves et de sonneries de cloches, tandis que la gard civique rendra les honneurs,-et que les dra peaux s'inclineront, au-dessus de la' dé pouille mortelle. A l'issue de la cérémonie funèbre, le coi tègc reprendra, la route de Berchem et défi lera autour de la statue de Mérode pendan que la «Brabançonne» sera exécutée. Les sociétés qui désireraient encore par ticiper à la manifestation sont priées d'e: prévenir d'urgence le secrétaire du comité M. le représentant Duysters,Grande Cham sée, Berchem. Voici d'ailleurs le programme complet d la cérémonie: 101/2 heures, réunion des membres d la famille et des autorités à la maiso communale. 10 1/2 heures: réunion des S( ciétés rue du Rempart, près de la porte d Malines. 11 heures: absoutes à l'église paroissial de St-Willebrord. 11 heures: formation du cortège. 11 1/4 heures: mise en marche du corfeèg< 11 ::/4 heure.-: inhumation au cimetièi con-munal; cîiscours. 12 1/4 heures: retour dans la commune i manifestation devant la statue de Mérod' Au cimetière ne seront admis que 1< r membres de la famille, les- autorités et les porte-drapeaux; ceux-ci se détacheront de leur groupe respectig et entreront directement au cimetière, où ils se placeront en demi cercle derrière le mausolée. Les habitants de la commune sont priés s d'arborer le drapeau national. a * * * Pour faire de la place On a annoncé la démission anticipée du lieutenant général de Bonhome, qui quittera l'armée en juin prochain alors que ce I n'est qu'en septembre qu'il est atteint par la limite d'âge. Le lieutenant général de -Bonhome n'aurait pas manifesté l'intention de prendre sa retraite avant les grandes manœuvres. S'il faut en croire 1*Étoile belge, c'est le cabinet du ministre de la Guerre qui l'aurait infor-- nié qu'il était autorisé à prendre sa retraite dès la fin de juin, quoique sa carrière militaire doive prendre fn en septembre seulement.a Décidément, il y a dans les bureaux de la „ Guerre quelques jeunes qui veulent arriver quand môme et se font de la placé. • * * La commission du mouvement maritime i- Nos lecteurs se rappellent que lors de la dernière séance du conseil communal^ M. Hovers proposa de. réorganiser et. d'étendre ià commission du mouvement maritime, proposition à laquelle Ai. l'échévin Albrecht s s'est rallié. Le conseil chargea le collège échevinal de nommer une commission spéciale pour étudier la proposition Royers. Hier, le collège a désigné les membres du 3 conseil qui feront partie de cette commission spéciale. ' Ce sont: MM. lés échevins Albrecrit, Strauss et Gools, les''conseillers Royers, Dens,' Franck, RahdàXh',*, B&elde, 0 Weyler, Van Peborgh, Steger, Tyck, Van Geel, I-Iendrilyc et Delannoy. 3 Ces messieurs auront donc a examiner sur quelles bases on pourrait réorganiser la commission du mouvement maritime, s qui en fera partie et quels seront les pouvoirs de cette commission. * * * ^ Menace de grève à Rotterdam Dans le port de Rotterdam, environ deux cents hommes de la maison C._ et F. Sart-touvv sont en grève. Ces ouvriers étaient occupés au déchârgèmêîit des bois à papier — courts bois ronds. Pour cela, ils recevaient" 30, cents (GO centimes) par heure de joui* et 45 cents (90 centimes) par heure de r* nuit. On demandait respectivement 35 et 52 L 1/2 cents. Dans les pourparlers qui eurent lieu avec les organisations du port de Rotterdam, la „ «Schiffahrtsvereinigung» (Association d'àr-. mateurs) déclara vouloir donner 3.2 et 48 cénts. Les parties traînèrent les pourparlers en longueur et la grève éclata, bien que les dirigeants de l'organisation deman-[ daient de patienter eïîcoré. La «Schiffahrtsvereinigung» exige, maintenant, que les grévistes, reprennent immé-[ diatement .le travail; sinon, elle refuse de [ continuer les pourparlers. Les déchargeurs de bois céderont-ils? Si | non, une grande grève menace le port de ^ Rotterdam. Il faut espérer que l'on arrivera à une solution pacifique du Conflit. * * * : Pour l'enfance noire 5 La Ligue Nationale poi*r la Protection 1 dp l'Enfance Noire au Congo,prie nos Abonnés et lecteurs, de bien vchiiôir visiter le vapeur «L'Albertville» de la Compagnie . belge maritime du Congo, le dimanche 31 t niai et lundi 1er juin, de 10 à'3 heures. ; Le vapeur est amarré au hangar 22, quai ; Jordaens. Il sera perçu un droit de 0.50 centimes par personne. La recette totale est offerte à l'œuvre par la Compagnie belge ; maritime du Congo. M * M. Pour le tribunal de commerce Conformément à l'article 2 de la loi du 24 juin 1913, le collège échevinal a arrêté provisoirement la liste des électeurs pour î la nomination des membres du Tribunal de Commerce, pour la période 1914-1915. Cette liste sera déposée à l'inspection du î j public au secrétariat et au 8e bureau de l'hôtel de ville, depuis le 1er jusqu'au 15 i juin 1914. - \ Toute réclamation tendant à- l'inscription t' ou à la radiation d'électeurs doit être adres-: sée au gouverneur dé la province avant le î 30 juin 1914. * * * ' ; Ecole industrielle ! Voici les résultats des examens de sortie j de l'école industrielle de la ville d'Anvers: î Section de construction civile. — Avec i distinction : Robert Soebert, Benoit Jans-i ; sens, Henri Van Ilout, Louir. Van Marcke^ — Avec satisfaction: François Hendrickx, ■' Jean Kautem, Joseph Jespers. t .Section de construction navale. — Avec ■ " grande distinction: Optât Buyssens.— Avec - j satisfaction: Achille Marivoet, François : Vermèuleii, Auguste De Wacht'er, François 1 Lallemand, Hector De Wachter. - , Section de mécaniciens pour la marine. 5 ; — Av.e.c distinction: Henri Melius, John 5 ■ Delhey, Charles Wouters, 2 j Section de plomberie. — Avec grande dis- ■ i tinction: Fcrnand Dam.— Avec distinction: ■ \ Jules Van Bosch, Guillaume De Meyere, John..Vogels, Jean de Broeck, Charles Van d?n Bussehe. — Avec-satisfaction: Joseph Slecckx, Charles Willemsen. t Section d'invitation de bois et marbres.— Avec grande distinction: Florent Vander-ven, Louis Verheeck, Louis Smit, Maurice i Geerts. — Avec distinction: Léon Ras, Jac-, eues Ec;termans, Guillaume Vermunt, Charles Dezaegher, Domine Flies, François Van Hecke, Louis Bresseleers,Gustave Van e Grootel, Ed. Blommaert. — Avec satisfaction: Auguste Aerts. e. 1 Section de mécanique. — Avec grande n distinction: Louis Thomsin. — Avec satis-»- faction: Camille De Sehrijver, Auguste e Mast, Corneille Op.debeeck,François Backx. Pierre Mast. Julien Joris, Emile Vc-raa. e Guillaume Batens, Joseph Ruvssers, Johr De Feu. Section d'électricité. — Avec grande dis ï. tinction: Victor Meeuws, Alexandre Lardi ■e nois, Jean Evalv. — Avec distinction: Al bert Van de Weghe, François Goetschalck ît Joseph Jacobs, J. Edmond' Aps, Pierre Mis 3. halle, Mathieu Van Bulck, Florent Cos s ters, Charles Bergmans. — Avec satisfac tion: Ulysse Reyntjens, Désiré Gubbel-mans, Emile Buermans, Joseph De Bruyn François De Coninck, François Dirckx.Jeai: Baptiste . Janssens, François Van Steen Henri Egghe. Les travaux des élèves diplômés seronl exposés dans le musée de l'école (entrée fou Rouge), le premier et le second joiii de la Pentecôte et les deux jours de la petite kermesse, de 10 à 14 heures. * * * Le temps en juin Voici les pronostics du Vieux Généra' pour le mois prochain: Du 1er au 7, beau temps. Du 8 au 15, fortes chaleurs suivies d'orages et de grandes pluies. Du 16 au 24, temps très variable, alter natives de journées pluvieuses et de jour.' ensoleillés. Du 25 au 30, le temps se remet au beau fixe. * * * Naissances et décès Pendant la semaine du 17 au 21 mai 1914 il ést- né à Anvers 127 enfants, dont 4 de parents étrangers à la ville. Dahs la même semaine il est mort 89. per sonnes, dont 4 appartenaient à la population flottante^ La population normale d'Anvers s'est donc augmentée de 38 habitants. La mortalité sénile a été assez importante puisqu'on on a dû enregistrer les décès de 7 octogénaires et de 13 personnes â#ées de 1 70 à 80 ans. Par contre la mortalité infantile n'a pn?-été élevée, puisqu'il n'est-mort que 24- enfants de moins de 2 ans, dont 14 n'avaient pas G mois. La diarrhée infantile est cause de 11 décès, les maladies organiques du cœur, 10; les tuberculoses, 11; les tumeurs malignes, 5; les ramolissements et hémorragies du cerveau, 7; et les affections de l'appareil respiratoire aussi 7. En traitement dans les hôpitaux; 2 cas de rougeole; 1 de scarlatine; 3 de coqueluche; i de croup; 1 d'érysipèle et 10 de tuberculose pulmonaire. a * Malentendu — Mon médecin me défend de fumer,mais i il ne me guérit pas. — C'est un homéopathe, sans doute? — Non. C'est un nommé Thomas. ii&ir PI3DlT!^r y il ÏL Lm i nà i fr y i fi L ili 4 ri y I i El Une collision — Naufrage dans la nuii et !e brouillard — Récit des témoins ,— Rapport du capitaine— le train déraille ■— Plus de 1000 morts UN AVI3 OFFICIEL Nous avons donné hier l'épouvantable catastrophe qui vient de frapper la marine anglaise. Voici en qiieîa termes la compagnie de la Canadian l'aoific a fait comuntre hier l'événement au public par une affiche placée dans ses bureaux: «A 8 h. 40 ce soir, nous recevons le câblo-gramme suivant de notre agent à Montréal: <iD'apfès les informations les plus sûres qu'on ait, le nombre des personnes sauvées est de 400 seulement. » Le navire était arrêté dans le brouillard, au large de la bouée de Cock-Point, et a été abordé à bâbord par. le vapeur Stors-tad. Il a coulé en dix minutes. « D'après les dernières nouvelles, l'tiEm-press of Irejand» a été abordé à bâbord, au centre, et la déchirure s'est prolongée vers l'arrière jusqu'à l'hélice.» LA COLLISION Vendredi vers 3 heures du matin, la station radiotélégraphique de Father-Point, dans l'estuaire du Saint-Laurent, transmettait à la station centrale de Québec un message d'après lequel il venait de recevoir le signal S. O. S. transmis par le H. G. L. B., ce qui signifiait: <dVEmpress of Ireland» en détresse». Le signal en question avait été également reçu par le navire du gouvernement canadien ÎVEureka» du service fluvial qui y avait répondu, mais presque immédiatement l'nEmpress of Ireland» avait cessé de répondre. Le grand paquebot venait de sombrer à la suite d'une collision avec un navire charbonnier 'de nationalité norvégienne, le «Storstad». Aux premières heures du matin, alors que le navire se trouvait encore dans l'embouchure du Saint-Laurent, un brouillard épais couvrait le fleuve et rendait dangereuse la navigation. Le. capiiaine Kendall, commandant le transt-lantique, fit alors stopper son bateau au large de Father-Point, à environ 180 milles de Québec. Cette mesure de prudence devait être la cause d'un des plus terribles désastres maritimes qu'on ait eu à enregistrer. Un vapeur de 6,000 tonnes, le charbonnier norvégien «Storstad», qui avait touché Québec le 18 courant et qui retournait lui aussi en Europe, mais faisait route plus lentement et sans souci de la brume dans le sillage du grand paquebot, dont il ignorait naturellement l'arrêt au large de Father-Point, venait brusquement heurter, par le flanc, l'ciEmpress of Ireland». C'est à 2 h. 30 du matin que la collision se produisit. Le choc fut effroyable. Le paquebot coula en 10 minutes, il avait été éventré à bâbord presque en son milieu. Le navire abordeur ayant pénétré à l'intérieur de lVEmpress of Jrqland» avait tourné dans la direction des hélices de l'uEmpressii qu'il avait presque atteinte; avec sa proue. Il en est résulté une voit d'eau énorme par laquelle la mer s'engouffra avec une telle rapidité que l'uEmpress of Ireland», donnant aussitôt de la bande: ne pouvait tarder- à être englouti. Il a donc été matériellement impossible de mettre beo.ucoup de canots à la mer. Avant que beaucoup de passagers pussent se rendre compte de ce qui venait d'arriver, le télé -graphiste, avait déjà envoyé à plusieurs reprises par T. S. F. le court signal de dé tTesse S. 0. S. pour demander du secours Le signal fut recueilli par le bateau pi loto «Eurêka», qui se trouvait à 10 mille: de distance, et par le bateau poste «Lad> Evelyn». Ces doux navires accoururent { toute vapeur et, quand ils arrivèrent su; les lieux du désastre, ils ne trouvèrent qui les quelques canots de sauvetage qui l'nEmpress of Ireland» avait pu mettre à 1: mer et qui contenaient des survivants. LE SAUVETAGE L'aEureka» et la «Lady Evelyn» en jrri vant sur le lieu de la catastrophe ont assis té à un'spectacle analogue à celui que vi rent les paquebots venant au secours di «Titanic». La mer était heureusement cal me. A l'endroit où i'«Em.press of Ireland venait de disparaître on apercevait de tou cotés des épaves flottantes, et parmi elle les chaloupes de sauvetage dans lesquelle les survivants se ■ tenaient serrés le un contre les autres, très abattus et poussan des gémissements; quelques-uns agon saient. Le capitaine Kendall fut recueilli au milieu de débris par l'un des canots de sauvetage trente minutes après le désastre. 830 survivants furent sauvés par le «La^ dy Evelyn» et GO par l'«Eureka». La plupart des passagers de première Classe semblent avoir péri. Le médecin du bord, les deux télégraphistes, le commandant en second, le premier et le second mécaniciens, le maître-d'hote! ont été sauvés également. Une femme vêtue seulement d:un tricot sauta par-dessus bord et nagea jusqu'au «Lady Evelyn, mais épuisée elle mourut quelques minutes après avoir été retirée de l'eau. Son identité n'a pu être établie. Le premier et le second télégraphistes de 1' «Empress of Ireland» on été sauvés; le second télégraphiste arrivait juste pour ' prendre son service lorsque le navire commença à couler. Il put envoyer un télégramme à la station de télégraphie sans fil de Fat^er-Pour, pour demander du secours, pu;s il se sauva en sautant dans une chaloupe. Les deux télégraphistes sont arrivés à Rjmouski à bord de l'iiEureka». Un jeune Anglais raconte que lorsque lu «Storstad» a abordé l'«Empress-of-ïrelandii, le choc fut terrible. Réveillé en sursaut, il se jeta hors de sa couchette, passa rapidement sa robe de chambre, et alla éveiller deux de ses amis, leur disant qu'il pensait que le navire coulait. Puis il se.rendit sur le pont. II revint une seconde fois voir si ses amis avaient quitté leur cabine, mais dans son trouble, il alla sur un autre pont. Le navire coulait alors rapidement, et comme il pouvait à peine tenir sur ses jambes, il saisit une corde qui pendait sur le flanc du vaisseau et s élança dans une chaloupe de sauvetage. Comme il n'a pas revu ses amis, il craint qu'ils ne se soient noyés. Les passagers ne tarissent pas d'éloges à l'égard du capitaine et du pilote de la «Lady-Evelyn» et du capitaine do l'«Eure-ka» ainsi que de leurs équipages, qui ont fait preuve de la plus grande bravoure. CE QUE DIT LE CAPITAINE KENDALL Un télégramme de Québec contient un récit détaillé de la catastrophe fait par le capitaine Kendall. «Hier soir, dit le capitaine, au moment où nous descendions le Saint-Laurent, un épais brouillard nous enveloppait. Par me-sure de précaution je donnai ordre de modérer les machines de façon à ralentir la marche du paquebot. Je ne quittai pas le pont de commandant puis, vers 2 heures de la nuit, le brouillard s'épaissirant, je fis modérer davantage la vitesse du navire. Nous nous trouvions à ce moment à la hauteur de Father Point. Soudain, i<î vis surgir une petite lumière à tribord" pu/i presque aussitôt après, je distinguai la silhouette indécise d'un grand bâtiment qui s'approchait de nous à toute vapeur. J'essayai de faire virer l'«Empress of Ireland» sur bâbord; il était malheureusement trop tard. Au moment où résonna le signal la collision se produisit. Elle fut terrible. Le navire abordeur, que je. sus plus tard être le «Storstad», donna avec' une violence inouie dans les flancs de l'«Empress o( Ireland» à la hauteur des chaubres de machines. L'«Empress of Ireland» fut fortement ébranlé et donna aussitôt fortenent .de la 1 bande vers tribord. Le navire était presque coupé en deux. Je donnai ordre de mettre les embarcations à la mer, mais'cette manoeuvre ne ; réussit qu'à tribord et d'autre part de nombreux passagers se trouvèrent dans l'im-i possibilité de prendre place dans les canot3 plusieurs cîe ceux-ci ayant chaviré. : Quant au navire abordeur, il avait dis-: paru comme un vaisseau fantôme, dix mi-i nutes après le «Empress of Ireland» disparut dans l'abîme. Moi-même j'ai été recueilli pa» l'«Eureka». RECITS DE SURVIVANTS Deux des survivants, M; Back et sa femme, racontent que réveillés en sursaut par ' le choc et ne pouvant trouver de canot de sauvetage ils so jetèrent à la mer on ils fu-1 rent recueillis par une chaloupe du «Lady s Evelyn». s L'eau qui pénétra da;;s la chambre des s machines a., provoqué-line explosion. Quel-s ques-uns des survivants se jetèrent à la mer. t C'est ainsi que le commissaire adjoint dit - qu'il sauta du pont et fut recueilli par la : chaloupe n. 3. Cette chaloupe resta sur les

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Dit item is een uitgave in de reeks Le nouveau précurseur: journal du soir behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Anvers van 1902 tot 1914.

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