Le progrès: informations, industrie, commerce, finances, assurances

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17 april 1916
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s.n. 1916, 17 April. Le progrès: informations, industrie, commerce, finances, assurances. Geraadpleegd op 06 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/862b854d6t/
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e LUNDI 17 AVRIL 1916. P����)!� UI I III� LE NUMERO 1 CENTIME ABONNEMENTS Bruxelles : par semaine . . . fr. � .35 | > par moi� . . . . fr. 1.50 Province . par mois . pfc. . Ir. 2.85 Le* abonnements mensuels partent du 1" de chaque mois. Adresser toute* lea communications � M. le Directeur du PROGRES, S, BUE BES CENDRES, 3 Bruxelles. Bureau de 8 heures � 1 heure POUR LA VENTE : S, RUE DES CENDRES, 3 Bruxelles. 4L �XIEME ANNEE. � N. 108. PUBLICITE Petites annonce�, 3 lignes (min.) fr. O.�fl Chaque ligne suppl�mentaire . . 0.29 R�clames commerciales 4' page 0.4� � > 3" page 0.6� Faits divers ..���.. .. l.M Province � .��.����� 1�69 Agglom�ration . ....��� 2.60 INFORMATIONS '%>� _ JOURNAL. QUOTIDIEN - INDUSTRIE - QMMERCE - FINANCES - ASSURANCES Les mmauscrttM moaln��r�s su *o�# pm� readus._____________________ Annonces judiciaires, n�crologiques et financi�res � forfait. ADMINISTRATEUR : Edmond DESWATT IN ES C'est un menteur L aa*re ans, qui cherche, para�t-il, du tra- vail depuis deux ante, sane pouvoir en d�- couvrir jamais!... Oui, petite S�ur Andr�e, vous avea mis i�, sur les �paules de Lucy de Silly, un bien i�r'Oe fardeau!... � * � Bien gros et sans consolation, �a reli- gieuse, ni humaine!... Pas un b�b� � ber- cer! Pas une de ces �mes m�oorBnues, bles- s�es par la �ie, qu'elle aurait prise entre ses maine, qu'elle aurait pans�e avec sa d�- licatesse et son c�ur de femme et qu'elle aurait tourn�e l�-haut vers celui qui a dit : � Bienheureux les pauvres ! � Non... les Rouppart sont pratiques, posi- tifs : deux et deux font quatre, et exoel- Wi�j*iiW�MWiliil ilfli,M!I�iMiWP�*���WH>i�HH*�irtJ�fc i tm m Ktjmjwmifi �aqam P�ques f D'un c�t�, je voudrais bien leur en parler .�.�et de l'autre, j'ai peur!... peur de tout!... peur surtout d'un �"Oui � donn� trop facilement, peut-�tre ! � * * * La chambre num�ro 15. Sur deux chaises boiteuses, devant un mauvais po�le de fonte, la m�re et le ffls s'empoignent ferme. � Tu ne veux pas???... � J'en ai pas... que je te redis!... � Si..,, tu en as...., l'archiduchesse est venue !... � Pas encore; et puis, ce ne sera pas pour toi! � Pas pour moi!... ne me pousse pas � bout!... Il � me faut � 5 francs pour ce soir.... ru entends!... Navigue en con- s�quence! � Cinq francs... pour boire! � C'est mon affaire!... � T'es pas honteux de sucer ta m�re jusqu'au dernier sou! � Ma m�re! Ma m�re! Quand t'as dit �a, t'as tout dit! � Oui, talmere! qui s'est d�carcass�e toute sa vie pour toi! � T'as pas de m�rite, tu m'aimais! et puis, �"agit pas de �a, s'agit d'y aller en douceur avec la particuli�re... Tu vas lui dire que tu veux faire tes P�ques, et que t'as besoin de... � Jamais!!! � Alors, j'y dirai, moi! � Je crierai que tu en aa -menti ! � Fais attention!... St to le prends sur ce ton-l�..., nous allons sourire!!... � T'es un miserai le..., une vermine!.... tu veux me faire jouer la com�die..., mai. pas jusque-l�! tu entends? pae jusque-l� � Et toi... t'es pas une m�re!... t'es uw m�re de rien! tu veux me laisser p�rir d. soif... Ton petit doigt, tu le remuerais pas Dis pas un mot de plus... ou je... � * # * Un petit coup discret... c'est Mme de SHIj qui arrive...., toute fatigu�e, tout �mu�, k figure se d�tachant tr�s p�le sur le boa noii � Bonjour ma bonne dame, fait le gram< gar�on en tournant sa casquette graisseusi dans ses doigts. � Bonjour, cher Monsieur... on causait bien fortP^; =st Je-Va�s vous dire..;,- t! �flf cause dev voitures..... et puis, figurez-vous que m m�re s'ostine..., elle reut pas faire ses P� quest � Pas vrai, qu'elle doit les faire, se* P�ques??? �a... c'est sacr�!... Et, si ell- recule, c'est � cause des souliers, qu'el) n'en a plus � se mettre aux pieds.... C'est ce que je lui ai dit... Qu'est-ce qu'une pair de souliers pour ta bienfaitrice I dix ma 'leur�ux francs!... et que ta bonne dam t'en donnerait plut�t deux paires qu'un* pour que tu ne les manques pas, tes PC ques... pae vrai, Madame? * Et, comme Mme de Silly se taisait, 1� vieille, dont l'argent avait toujours et l'absorbante pens�e, la vieille eut, dans il coin de son c�ur de femme, une sorte de r�- veil de foi, et, se r�voltant devant le sacr: �ge, elle se leva, tendit le poing vers eor fils, pendant que le vent de la lucarne agi tait, autour de sa t�te osseuse, ses m�che crises : < Madame, cria-t-elle, ne le croyez pas! c'est un menteur! � "'J'- Pierre U'E... L'observatoire le plus septentrional du monde Il existe, � la pointe de l'extr�me nord de la Norv�ge, une station scientifcqre qui est la plus septentrionale du monde. Cet observatoire a �t� cr�� dans le but d'�tudier du mieux possible les temp�tes r�gnant dans l'Arctique ; les' observa- tions enregistr�es contribueront grande- ment � la compr�hension des oondit ons m�t�orologiques sous les basoes latitu- des. Cette station a �t� conebruite par le physicien norv�gien Birkeland, qui avait d�j� proc�d�, sur son emplacement, � des observations de la lumi�re polaire. Actuellement, le'poste sert � des recher- ches m�t�orologiques, et on y a construit dans ce but un solide et ample observa- Nord de la route gouvernteimeiiltaU tra .ersanb la Laponde, et une aiutodcon- jtruite par le Danois Dr Ponsild, ir Je j�te occidentale diu Groenland, wql'�le D�sfcb, � '70 dega�s d'al�rfmdel ------o------ Un gnipuijue br�s int�ressant concernant l'alinrnta- tion rationnelle vient d'�tre publij par M. Rasquin, directeur du Comit� d ra- vitaillement de Charfetrpi. Ce .graplque d�termine la puissance calorique dJ ali- ments et renseigne de nombre de calnies que l'on peut obtenir pour la scume d'un franc avec les alimente �icbuefc du commerce. Nous y puisons les renwgne- n�ents suivants que nous livrons la m�ditation de nos lecteurs aim qu' v en tirent tout le profit d�sirable : Viande de b�uf � 5 f r. le kilo, a i ca- lories; mouton � for. �*.$, 470; p-� � fr. 5.20, 460 ; fromage de. Hollande � fr., 054 ; choux � fr. 0.40, 840 ; carott�e � 1.4*, 958; beurre � 6 fr., 1,168; hareng �l� � �6r. 1j80, 1,438; fromage maqu�e � ).50, 3,040; saindoux du ravitaillement � 3.40. 3,424 ; pois secs � fr. 0.80, 3,625 ; lea ijles � fr. 0.80, 3,932; haricots � 0.80, -000, *ucre � 0.85, 4,280; pommes de te ne � 3.90, 4,500; riz du ravitaillement � D.60, i,594; pain � 0.37, 6,075; c�r�a�ie et yriibs � 0.50, 6,720. Un m�moire d�taill� dn bon rienx 1 anps � Nivello Les chronique� poudreuses rede, u�ee Jams quelque coin obscur, conltiei aent parfois des originalit�s bien remaqua bles. Ainsi, nous est tomb� entr i let moins un vieux compte des plus eu ieux qui vaut la peine d'�tre exhum�. Jacques van Rysselberghe., peint� W� x>rateur, ayant travaill� quelque tinps Jane l'�glise de Nivelles, exi;�"�a pou i sa -aire de main-d'�uvre et fournitum � lf somme de 93 florins 16 sols de Brajant -es margu�llaers trouvant la note unjpev exag�r�e, invit�rent l'ardutc-te � pftdi- je-r un m�moire d�taill� et sp�cifia I* �enderfiain, il 'leur f ni jwmis le cojr�ptx suivant : � Doivent messieurs les marguulsert administrateurs de l'�glise, � Jaeque: /an Ryeeelberghe, m�stre-peintre, f ei -sourant de Brabant, comme �uit;; Jx Coi ig� et verni les dix commandements ,12-6 ; 2) Embejl� Ponce-Pilate et m�u. �ouveau ruban � son bonnet, 3-6-3 ; fflOr i� d'une queue reuve le coq de sain Pierre, renouvel� et dentel� sa or�te 2-3-6; 4) Rattach� un larron � la croix b mis un doigt neuf, 1-7-6 ; 6) Dor� l'juk ;auche de l'ange (jabriel, et ajbute -TW"*u* porcs, ren-iu leuais queues oien onduleu ses, et renouvel� la boisson dans le- bacs, 7-15-6; 20) Bouch�, mastiqu� � peint � neuf 1s cruche de lia Samariuai ne, et y ajust� une �outre anse, 2-7-3 21) Lav� et enduit d'hi#e notre premier� m�re Eve, rougi la pomme, aiguis� te dard du serpent, renouvel� ses �cailles remplac� la oWLtur*- usee d'Adam, et re mis la pomme � ea bouche, 4-5 6. Total, 92-16-0. � Jacques van Rysselberght, ma�bxe-peitiitre. > Les ma�tres de la musique On vient de publier une tr�s owriev�3� lettre adress�e par Rossini � un jetri�� artiste qui l'avait consult� sur 1� me3 ion de cet op�ra � la Scella, o� j'avais 3t� confi� par l'impr�sario � la garde de ruatre machinistes qui avaient ordre de ^'emparer de chaque feuille de ma copie, au fur et � mesure que je la terminais, �et de jeter le texte par La fen�tre � des copistes charg�s de la transcrire. A d�- faut de musique, je devais �tre moi- m�me jet� par la fen�tre. Revue de la Presse Une amusante anecdote L' � Algemeen Handelsblad l'anecdote suivante : raconte . Un monsieur monte dans le train avec son chien, un doberman nomm� Flox. Bn face de lui, se trouvaient une dame et son mari, ainsi qu'un soldat. La dame qui avait jet� son regard malveillant ear Flox, d�s son entr�e, continue � la re- garder avec m�pris; elle ram�ne ses jupe: et essaie de se reculer le plus loin possi ble du chien. Puis elle passe � un exa men tout aussi impertinent de son vie-�- vis, attirant par de vigoureux coups d< coudes, l'attention de son mari �ut det voisine qui ne lui donnaient pourtant le moindre sujet de m�contentement. La situation commen�ait � devenir p�- nible, quand la dame se d�cida � une at- taque directe : � C'est �pouvantable, ces b�tes, dit-elle, on s'adressant � son mari, de fa�on � �tre n�anmoins entendue de tous. Par- tout on cm a des ennuis, Il est toujours l� � flairer mes bottines. Je ne comprends vraiment pas comment on puisse garder un pareil animal. � Et le mari r�pondit, �^voix tout aussi haute : � Oui, c'est fort! En ce moment! Et ce qu'une telle b�te doit manger. �� Silence g�n�ral. Mais le propri�taire du 'Chien semble avoir grand peine � ma�- triser sa col�re. Tout � coup, le soldat se baisse : il est bless�. Du bras non atteint, il caresse l'a- nimal, qui l�ve sur lui un regard recon- naissant. Le m�nage regarde la sc�ne d'un �il furieux. Mais le soldat parle � Flox : � Oui, tu es un bel animal, mais un oeu mieux pour le service de campagne. � Oui, Madame, continua-t-il en s'adres- mnb � la terrible m�g�re, c'est une � b�- te � pareille � celle-ci qui m'a sauv� la vie. Elle m'a trouv� sur le champ de ba- taille et a attir� les infirmiers par ses abo�ments. Si cette � b�te � n'�tait pas arnve�r je serais maintenant �-s�x"pied!s sous berre. Et si, sur tout le front, on n'employait pas ces � b�te� �, il y aurait encore bien plus de victimes. Nous, sol- dats, nous aimons ces � b�tes �, Madame, Tjarce qu'elles sont les meilleures amies de l'homme �. ^ Tous les regards se tourn�rent imm�- diatement bienveillants, vers le bon Flox. Seule la dame pin�a ses l�vres minces et se rencogna sur la banquette. Une histoire congolaise Un correspondant de 1' � Ind�pendan- ce Belge � lui �crit du Congo : Pendant ces derniers jours, nous avons failli avoir des difficult�s s�rieuses avec "a Su�de. Maintenant que la chose est fi- nie, on peut en parler, mais pendant quel- ques jours, la situation fut r�ellement tendue. Voici de quoi il s'agit : � Derni�- rement, un capitaine su�dois mourait a Lisala. Dans la ' succession du mort se trouvait un f�tus d'hippopotame, conser- v� dans l'alcool. Pour le mettre � l'abri de la voracit� des noirs, trop amateurs de fruits � l'eau de vie, le m�decin de Lisala. grand naturaliste, mit religieusement de cot� la conserve rare. Il estimait que ce n'�tait ni un objet pouvant �tre mis en vente publique, ni un objet personnel � renvoyer � la famille et, r^n�Veusement, il le destinait au Mus�e colonial de Ter- vueren. '\ � Mais le consul de Su�de veillait, il s'�mut, � juste titre, de la disparition du pr�cieux hippo en herbe, adressa let- tres sur lettres au m�decin. Le jeune mammif�re (je parle de l'hippopotame, bien s�r), �tait d�j� en route pour Poma, ^r Je fleuve, naturellement. Le t�l�gra- phe marche, les marconigrammes s'�chan- gent, on finit par mettre tout le monde d'accord. La Su�de d�mobilise, le bocal, son contenu, sont en route pour Stock- holm o� personne ne se doutera, en le voyant placidement derri�re tsa vitrine, qu'il faillit faire entrer une nation Je nlus dans la danse, rompre les relations Su�de.... An Mexique �S� � Daily Telegraph � apprend de New-York, que les troupes am�ricaines qui ont pass� la fronti�re mexicaine il y a environ Un mois, ont p�n�tr� � pr�sent jusqu'� 400 milles � l'int�rieur du d�sert de Chihouahoua et ne poss�dent plus que de tr�s faibles lignes de communcationo avec la fronti�re. A Washington, on ob- serve avec qui�tude la concentration des troupes de Carranza de part et d'autre de ces lignes. Aucun trait� formel n'ayant �t� conclu quant au passage de ces trou- pes, la situation est favorable pour Car-j ranza et on pr�voit qu'il sera difficile � M. Wilson de se concilier le Gouverne- ment mexicain, tout en continuant la poursuite de Villa, qui est d�sir�e par l'o- j pinion -publique. ment de corps d'arm�e. Un nouveau. chef d'�tat-major g�n�ral sera �galement d�sign�. ------ Un m�contentement grandiasanA. afgite la population de Bucarest, � rai- son de l'incessante augmentation du prix, des vivres et de la p�nurie de viande, �ufs et graisses. EXT�RIEUR ITALIE ------La Chambre italienne s'est r�unie ii�r. Le pr�sident a demand� aux d�pu- .�s la plus grande prudence, chacune de aura paroles trouvant un �cho � l'�tran- ger et pouvant �tre interpr�t�e en d�fa- �our de l'Italie; la m�me recommanda- tion a �t� faite aux journaux. M. Son- lino parlera probablement demain. Les J�put�s ont exprim� le regret de voir re- mettre ce discours qui doit- servir de ba- se � leurs discours. ------L'Association de la presse toscan� i d�cid� une d�marche aupr�s du Gou- vernement afin d'obtenir la lev�e dm iroits d'entr�e sur le papier. ETATS-UNIS ------ Prenant la parole � l'issue d'un banquet, le Pr�sident Wilson s'adresen/ aux d�mocrates et leur exprima son v�u ardent d'�viter aux Etats-Unie de e& trouver entra�n�s dans une lutte malgr� eux. Puis il demanda si le peuple serrait �ventuellement pr�t � d�fendre les int�- r�ts des Etats-Unis, concordant avec lea int�r�ts de l'humanit�, et si le peupl*� am�ricain oserait se retirer, lorsque les int�r�ts de l'humanit� se trouveraient directement en cause. Cette harangue dti Pr�sident fut -vivement acclam�e. HOLLANDE ------ A la Deuxi�me Chambre, le mi- nistre de l'Int�rieur a d�clar� que le Gouvernement n'avait pas l'intention d'abandonner l'enqu�te du � Tubantia � � l'armement du navire. Il la continue- ra lui-m�me et en publiera les r�sultats. ------A la Deuxi�me Chambre, la Com- mission d-ee rapporteurs du projet de loi le revision de la Constitution se r�unira encore avant P�ques. En une o�riie de s�ances, eue s'occupera de la r�daction l'un rapport provisoire. ------A la Deuxi�me Chambre, les Com- missions des rapporteur* des projets de .ci instaurant la perception d'�i droit le 'Statistique et comportant des modi- fications � la loi sur Le revenu, seront r�unies demain. Ces deux projets font partie des propositions gouvernementa- .es en vue de cr�er des ressources nou- velles, indkpensables � l'�quilibre du "bridget. ------Les deux questions suivantes ont it� pos�es � la Chambre n�erlandaise, le 30 mars : 1) Le Gouvernement est-i� dis- pos� � apprendre, par des n�gociation* avec les gouvernements �trangers, si la navigation hollandaise peut s'exercer ou dans quelle mesure elle peut s'exercer sans que les navires et leurs cargaisons courent le danger d'�tre d�truits et sans que la vie de l'�quipage et des passagers soit expos�e? 2) Sur la base d'une tele assurance, le Gouvernement est-il dispo- s� � donner, conform�ment � sa respon- sabilit�, les instructions n�cessaires aux armateurs n�erlandais afin de se mettre � l'abri du danger de destruction ou d'a- /aries ? � La r�ponse suivante a �t� faite � ces questions : 1) Etant donn�es les cir- constances entra�n�es par la guerre le Gouvernement ne voit pas clairement somment il pourrait*amener les gouver- nements �trangers � assurer la s�curit� les navires hollandais ; 2) 11 s'en suit que ie Gouvernement ne peut r�pondre � la jeeoride question. MEXIQUE M ------ M. Lansing a annonc� que les Ebats-Uni*, �taient dispos�s � n�gocier avec Oarranza au sujet du retrait des troupes am�ricaines du Mexique. Un� �vacuation imm�diate n'est pas envisa- g�e. On pr�vote, aux Etats-Uni�, �ne �vacuation pour le moment o� la poutr- euite de Villa serait termin�e. Un ac- cord amiable semblerait opportun aiux Etats-Unis. j�� ------ Le gouvernement des Ebats-Unin annonce qu'il n�gocie avec le Mexiqwe par rapport � la retraite des troupes �in�rioaines. On omit que ces troupas seront, en effet, retir�es. CHINE ------ Mardi dernier, un combat �t�t �eu � Canton. Les troupes se sont op- pos�es au d�barquement des r�voLution- naires, dont une trentaine furent hors de combat. SUISSE ------Le Conseil f�d�ral a d�cid� de sou- mettre le commerce de chiffons de lai- nes au contr�le tr�s strict d'une Com- mission sp�ciale, qui fixera des prix maxima. FINANCES BOURSE OFFICIEUSE DE BRUXELLES S�ance du 15 avril Toujours et quand m�me la fermet� et une fermet� telle qu'il est permis de s'en �tonner 1 La hausse favorisa particuli�re j ment les firmes coloniales mini�res � Cast ce qu'elle ie r�p�te avec anxi�t�, le benne Mme de Sillv, en approchant de la caserne immense, dont les murs l�preur �talent leur mis�re au soleil : � Le bien que ie leur fais, � ces i>ersori nes-l�, va-t-il c plus loin � que ce bot d* � -*^j s w. -�� L ._* i eTlgae F** te Professeur su�dois Sve.no vjande? Et pui*. groDse questron, c'est les|mus pr�e ^ Vassijaure, k l'extr�mit� toire, qui offre aux trois hommes j � a nu u-.. * , '*uu leure maniere de composer une ou�ei*n-! doivent 1 habiter un refutne &�r contrei � -kt-�. __

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Dit item is een uitgave in de reeks Le progrès: informations, industrie, commerce, finances, assurances behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1915 tot 1916.

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