Le quotidien

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19 december 1915
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s.n. 1915, 19 December. Le quotidien. Geraadpleegd op 23 juni 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/gh9b56f93g/
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â? aiuïfo-, n° 338 Le numéro S centimes» Dimanche' ig décembre 19 rj mSB Gaston BONNET, Directeur général, A. BOGHAERT-VACHÉ, Rédacteur eu chef. Adresser toutes l*s^"«"lüaicatiofls A LA DkNHn générale il « Quotidien ;^5, bou'evard Militaire Les manuscrits non insérés ne sont pas rendus. (Vendu chaque jour, dès 7 heures du matin, à Bruxelles et en Province) AlfredW. GASPART, Direclcur de la Rédaction, ESSEU TOUT CE QUI CONCE&Nf LA PUBLICITÉ ARTHUR LAURENT Administration pour la Belglqo» 70, rue du Midi (près de la Bourse) Le journa. décline toute responsabilité quant à la teneur des annonces. 91 Une singulière remarque a été faite à propos de ce corps, qui n'avait pas tardé à devenir la meilleure et la plus belle cavalerie de l'Asie. Quoique bien conformés et développés par les manœuvres les plus diverses* les Mameluks n'ont jamais pu propager leur race sur le sol égyptien; leurs enfants ne pouvaient parvenir à l'âge adulte. Ils se recrutaient presque toujours au moyen d'esclaves achetés particulièrement dans l'Asie Mineure. En 1517, Selim ou Soliman Ierleur arracha l'Egypte. Durant 230 ans, ils se firent à peu près oublier ; ils étaient chargés, sous les ordres de leurs beys, de contenir les Arabes, de percevoir les tributs et d'assurer la police intérieure. Mais, dès le commencement du XVil0siècle, ils reprenaient leur ancienne puissance, et dominaient les pachas, dociles instruments de leurs chefs. Les Mameluks étaient au nombre de 8,500 ù U,0ÛÛ lors de l'expédition française en Egypte. Presque détruits comme corps militaire ù cette époque (ils eurent 3,00U morts à la seule bataille des Pyramides, le 21 juillet 1708), ils se maintinrent avec le même pouvoir comme corps politique. Cet élat de choses dura jusqu'à ce que Méhémet Ali, sur le point d'entreprendre une expédition dans l'Arabie centrale, résolut d'en finir avec leur opposition constante ; ne pouvant les discipliner, il voulut les détruire. 11 les réunit le 1er mars 1811 dans la citadelle du Caire, et les fit ensuite massacrer à coups de fusil par ses Albanais dans un chemin étroit, tortueux, que dominaient des fortifications ou des rochers, et qui conduit de la citadelle a l'une des portes du Caire. Les quelques Mameluks qui se trouvaient en ville furent arrêtés et décapités immédiatement. On procéda le même jour de la même manière dans toutes les provinces. Plus de 1,000 Marne-, luks périrent dans ce carnage, et ceux qui purent s'échapper cherchèrent un refuge en Nubie. Sous le nom de Levantins on désigne les Syriens, les Arméniens et les Grecs, tous de religion chrétienne, établisen Egypte. Prèsque tous sont marchands, commerçants ou banquiers. Outre leur langue nationale, la plupart connaissent plus ou moins l'arabe, langue que l'on conçoit cire indispensable aux transactions commerciales, ainsi que le démontrait récemment un des professeurs de l'Université de Bruxelles,dans une lettre publiée par plusieurs journaux. Les Juifs forment aussi en Egypte une classe assez nombreuse. La plupart demeurent au Caire, dont ils occupent, au nombre de 0,000 ù 7,000, un quartier sale et misérable. Beaucoup sont cependant riches, et LIGNE STRATEGIQUE SUEDOISE On mande de Stockholm que l'inauguration de la nouvelle ligne de chemin de fer électrique qui relie Karungi à Haparonda le long de la frontière finlandais* aura lieu incessamment. Cette information complète oalle que nous publiions hier relativement aux chemins de fer suédois. La ligne dont il est question ci-dessus ne compte que 26 kilomètres de parcours, mais elle a une grande importance au point de vue stratégique par le fait qu'elle constitue le dernier tronçon du ré» seau suédois vers la Finlande. DANS L'ARMEE ANGLAISE Des journaux suisses mandent de Lon* dres : Outre le maréchal French, quelques généraux de divisions vont également se retireret seront envoyés sur d'autres théâtres de la guerre. Le général Monroe se retire* rait également. REQUISITION DE NAVIRES GRECS Le bureau de la marine de Cardiff an^ nonce que le gouvernement grec a réquisitionné tous les navires de commerce grec de plus de 1,500 tonnes pour le transport de vivres. De grands achats se font en Amérique. MOUVEMENT PACIFISTE Le comité central du « Mouvement international des femmes pour la paix » vient, à l'intervention de Lady L. Thoumaian, d'adresser aux gouvernements des pays neutres un nouveau projet d'adhésion au mouvement pacifiste. Il s'agk cette fois de la constitutiond'un ce Tribunal-Parlement de la Paix » qui serait constitua par les délégués offi.ciels de tous les pays neutres et qui auraitpour but de faire auprès de chacun despays belligérants des démarches pressantes tendant à obtenir les concessions nécessaires pour le rétablissement prochainde la paix en Europe. >^»^m^< Informations diverses ACCIDENT DE CHEMIN DE FER EN ANGLETERRE Un accident de chemin de fer s'est produit vendredi matin à Southsiield. Un train vide & télescopé au milieu du brouillard une locomotive et un traio de voyageurs. Un incendie- a éclaté immédiatement. Cinq personnes ont été tuées et 60 blessées plus ou moins grièvement. LE PORT DE MARSEILLE Le Matin annonce que la Chambre de commerce de Marseille a demandé au gouvernement l'autorisation d'entreprendre l'agrandissement du port, priacipalemont du bassin Mirabeau. Ces travaux coûteraient une somme de 31 millions et. ont été prévus par la Chambre de commerce de Marseille depuis 1913. Le devis dressé à cette époque s'élevait à 92 millions de francs. LES MALADIES DES BETES M. Twort, directeur de l'hôpital Brown pour animaux, à Londres, a été chargé par le ministère anglais de la guerre ?do suivre les opérations militaires sur le front oriental, afin d'y étudier de pre« les maladies des bêtes et les remèdes à y apporter. LES FABRIQUES DE CAOUTCHOUC On annonce de Copenhague que toutes les fabriquet suédoises de caoutchouc ont du inteiTompre leur travail, à la suite de l'interdiction faite par l'Angleterre d'exporter le caoutchouc. Par ce fait, des milliers de travailleurs sont sans ouvrage. Toutes les tentatives faites pour se procurer du caoutchouc, même en petites quantités, ont échoué. Le manque de caoutchouc se fait aussi vivement sentir au Damemark. NOUVEAU PARTI AU DANEMARK Un nouveau parti vient de se constituer au Danemark. Il est composé de membres de la droite, du parti conservateur et de la gauche modérée. Ce nouveau parti, qui portera le titre de parti conser-vateurouvrier aura, à son programme, notamment, le suffrage universel pur et simple pour les homme* et les femmes. LA QUESTION DE L'ALCOOLISMELa London Gazette annonce que les prescription*sévères au sujet do l'usage des boissons alcoolique*seront adoucies, en Angleterre, pendant quelque*jours, pour le temps de Noël. De nouvelles ordonnances sont édictées pour les 20, 21, 22, 23 et 24 décembre, permettant le débit de l'alcool pendant quelques heures le jour et pendant la nuit. ' y^m+m~< ECHO SPORTIF Congrès des sports nautiques et aquatiques. — Lo congres des sports nautiques et aquatiques s'ess ouvert hier à Amsterdam sous la présidence -iu chevalier de Six, délégué officiel du gouvernement. Les séances en section commenceront aujouui liui. A l'occasion de cette première journée, le 0 Zweaet Polo club de La Haye» organisait dans !e uo veau bassin couvert une série de concours, au co.i... desquels le Cercle de natation belge s'est particulièrement distingué. ->- ici, comme partout, le commerce est leur principale affaire. (A suivre.)M. IIENNEQUIN. — >~4»4.o~n qui s'étend au nord-est de la Tara, en aval de Mojkouac, a été délivrée de la pré-j sence de tout ennemi. Dans le cours des combats heureux que les troupes austro-hongroises ont livrés, dans celte contrée, pendant les cinq derniers jours, 13,500 prisonniers sont restés entre leurs mains. LES AFFICHES ALLEMANDES Service postal. — Bruxelles 17 décembre. — Par ordre du gouvernement général, les restrictions suivantes entreront immédiatement en vigueur en ce qui concerne l'expédition par la poste de journaux, de revues, de livreset de musique. L'expédition par la poste des journaux n'est autorisée dans les limites du gouvernement général et à destination des pays neutres admis jusqu'ici au service postal avec la Belgique: le Danemark, le Luxembourg, la Hollande, la Suisse, la Suède et la Norvège fque: a) Si l'envoi est fait par l'éditeur ou l'imprimeur du journal ou de la revue on question; h) Si les envois sont adressés aux autorités allos, à des fonctionnaires ou à des militaires allerr.ands ou s'ils sont expédiés par ceux-ci. Aucun autre envoi de journaux ou de revues ne a se faire par la poste dans les limites du gouîment général, exclu également du service postal tout échange de musique et de livres avec les paya neutres susmentionnés. En ce qui concerne les correspondanoes avec l'Allemagne et les pays alliés à l'Allemagne — l'AutricheHongrie, la J>o:r>"•»■ Herzégovine et la Turquie — il ipporté aûcur, changement. On pourra, par de ECHOS LITTERAIRES; ARTISTIQUES ET SCIENTIFIQUES A la Société de Géographie. — La réunion annuelle do la Société de Géographie de Hollande qui s'est tenue ces jours-ci à La Haye a été marquée par- une manifestation de vive sympathie en l'honneur du professeur Gilson dont un des membres a fait le plus vif éloge à propos de ses études océanographiques. Nos lecteurs se souviendront que M. Gilaon, professeur à l'université de Louvain, avait été chargé il y a quelques années par le roi des Belges de faire le long des côtes de la mer du Nord une série de croisières scientifiques. A la même séance, M. Tesch a fait une conférence intéressante sur l'hydrographie de l'océan Atlantique et de la mer du Nord. * * # Tofani, artiste peintre et illustrateur de taîeu» vient de mourir è l'âge de 66 ans L'Egypte Les « communiqués » font pressentir que leévénements balkaniques masquent une attaque vers l'Egypte. Les Anglais en hâte organisent la défense de la région avoisiiiant le canal de Suez, clef des Indes et de l'ExtrêmeOrient. Il nous semble donc opportun de résumer les principaux faits qui constituent l'ethnologie de ce pays où tant de races diverses par leurs mœurs se sont trouvées en contact sans se fondre. par la langue et la religion dominante, l'Egypte est un pays arabe; mais au fond la population égyptienne se rattache bien plus directement qu'il ne semble à la race aborigène des temps antiques. Elle s'y rattache par les Coptes» dont le nom (koubti) n'est qu'une altération arabe de celui des anciens ^Egyptiens, tel que le prononçaient les Romains et les Grecs (Aegypti, Algoupti-oi). Elle s'y rattache surtout par les fellahs (ainsi qu'on nomme la population agricole), qui ne sont que l'ancien fond national croisé jd'Arabes. C'est ce qu'on peut démontrer aisément par un coup d'oeil rétrospectif sur Vhistoire du pays. Les Egyptiens n'ont pu, nécessairement, se mêler qu'avec les peuples qui les ont conquis. Les premiers sont les Perses» mais les rois d'Ecbatane et de Babylone tinrent l'Egypte simplement comme ime province de leur vaste empire» et n'y envoyèrent jamais de colons. On ne voit pas non plus que la Grèce ou la Macédoine ait versé sur les plaines du Nil une population immigrante considérable. La colonie grecque de cette période était concentrée dans Alexandrie, et la politique des Ptolémées fut plutôt de se faire Egyptiens aux yeux de leurs sujets, que de gréciscr l'Egypte. L'architecture, les inscriptiens, la langue, les usages et le culte» tout resta purement égyptien... Ce que nous disons de la période macédonienne, à plus forte raison faut-il le dire de la période romaine. La possession de l'Egypte par les Césars et par leurs successeurs fui toujours un fait d'administration publique»jamais un fait de colonisation. Les empereurs chrétiens travaillèrent, il est vrai, a détruire l'antique religion d'Osiris, et ils y réussirent; mais cette grande révolution, préparée par la propagation des idées chrétiennes en Egypte, s'accomplit tout entière ■ dans les esprits. Il n'y eut pas là de population nouvelle qui apportai en Egypte un élément nouveau; on n'ignore pas que c'est par l'immixtion physique que les races changent et se renouvellent. Reste enfin la période byzantine. Pas plus _que les périodes précédentes, celle-ci n'eut 'faction extérieure et physique sur la popuJalion de l'Egypte... Le christianisme commun aux Egyptiens et aux Grecs d'Orient fut entre eux plutôt une barrière nouvelle qu'un Uien et un rapprochement,car de cruelles persécutions et une haine profonde furent suscitées par le schisme d'Ëutychès, condamné à Constantinople et conservé par les Egyptiens. Celte haine contre Byzance fut telle, qu'elle poussa les Coptes au-devant de la conquête arabe et ouvrit aux musulmans les portes de l'Egypte. On voit qu'à toutes les époques» depuis Cambyse jusqu'au temps de Mahomet, la nation égyptienne s'était maintenue intacte vis-àvis de ses maîtres extérieurs. Elle fut conquise, non entamée; la population cl la religion l'avaient entourée d'un double rempart derrière lequel elleconserva son culte, sa langue, ses usages, sa nationalité tout entière. Cette barrière, les Arabes l'ont seuls renversée. Ils l'ont renversée en couvrant le pays de leurstribus qui s'y établirent à demeure : traitant le pays en terre conquise, ils y implantèrent, en même temps que L'islamisme, leurs mœurs, leurs usages et leur langue. C'est, ainsiqu'en quelques siècles la j nation égyptienne s'est transformée en un Peuple arabe, ou, pour parler plus exactement, en un peuple métis qui lient à la fois. jö moral aussi bien qu'au physique, de "Arabe cl de l'Egyptien. Les Coptes sont les seuls qui se soient soustraits à relieabsorpt'ongraduelle en restant chrétiens. La différence des religions, qui interdit le mélange nes races, est la dernière et la seule garantie protégeant le reste de ce qui fui autrefoisun ■Sigrand peuple. Considérée dans son ensemble, la popula'on' actuelle des villesse compose d'éléments le Ca S « divers. Dans les grandes villes, comme '■re, Alexandrie, Roselle, Damielle, 'H*etc., l'élément arabe est prédominant; «ans les petitesvilles de la basse et de la naute Egypte, au contraire, la population ne i*différencie guère des fellahs. vu peut distinguer, dans la population de , We, les Turcs, les Levantins, les Juifs, 2 uPtes, les Fellahs et les Arabes. Ces der- e^sesubdivisent en Arabes sédentaires et Arabes nomades ou Bédouins. J esi Turcs n'ont jamais clé nombreux en 12,000 °nn° lcséVaIuequà10,00° à pendn I!Ia ,rncluks' qui ont dominé l'Egypte co.anldcssiècles, étaient originaires des ren, ;r? s !luéesauPied du Caucase. Ils fusil H vUl{* dansleW'scn123ö > àJa et Mit ? ,/cc*ulsilioiîde 12,000 Tcherkesses îjelicns, que le prince Malek Kamel res deGengis Khan, dans le nul * à bref délai de bonnes et i conséquent, continuer à envoyer dans ces paya, par la poste, des journaux, des revues, des imprimés et de la musique, sans aucune restriction. De même, les journaux que l'on 6e fait envoyer par abonnement postal^ ne sont nullement compris dans les restrictions susmentionnées, aussi bien pour le service à l'intérieur de la Belgique que pour la correspondance de la Belgique avec les autres pays. Avis. — Le tribunal de campagne du Gouvernement de la place forte d'Anvers a condamné le B#Ige Léon Parant à la peine de mort pour trahison commise pondant l'état do guerre. Parant a fait passer sans cesse des soldats et des volontaires à l'ennemi, s'est trouvé en rapport avec des espions français, leur a rendu des services et en a hébergé un. Le condamné a été fusillé ce joui*. Anvers, le 8 décembre 1915. Der Gouverneur, Freiherr von HUENE, General der Infanterie. Je porte l'avis précédent à la connaissance de la population de tout lo territoire placé bous mon autorité. Bruxelles, le 15 décembre 1915. Der General-Gouverneur %n BelQi'en, Freiherr von BISSING, Generaloberst. Londres, i8 décembre. -* La dernière liste des pertes donne les noms de 17 officiers et de 640 soldats. BULLETIN AUTRICHIEN Vienne, 18 décembre. (Communiquéd'hier.)X Front russe : Rien de particulier. Front italien : Dans le territoire du littoral, les Italiens n'ont pas encore repris la ^tactique des attaques générales, telles qu elles recommencèrent, après. une interruption relativement courte, à la date du 11 novembre, pour se continuer durant le mois et avoir même, par endroits, un regain d'acharnement, dans le cours de la première semaine de décembre. L'ensemble de ces combats peut donc s'appeler : la quatrième bataille de Ylsonzo. Plus encore que dans les batailles précédentes, res efforts de l'ennemi tendaient, cette fois, à la conquête de Gôrz, C'est pourquoi, à la fin, il a, rien que contre la tête de pont, lancé sept divisions d'infanterie environ. Cependant, les assauts donnés par ces forces considérables, de même que toutes les attaques tentées dans les secteurs ^voisinants se sont écroulés devant l'intrépidité à toute épreuve de nos troupes, qui ont solidement maintenu en leur pouvoir et la tête de pont de Gôrz et le plateau de Doberdo et, en général, toutes leurs positions. La destruction de la ville a durement frappé les habitants, mais cette manifestation de l'impuissante rage de l'ennemi n'a, en aucune façon, pu modifier la situation militaire. D'après des évaluations sûres, l'année italienne a,dans cette quatrième passe d'armes, perdu 70,000 hommes, tant en tués qu'en blessés. Hier, nous avons repoussé, sur le front de Ylsonzo, une attaque tentée contre le versant nord du Monte San Michèle et, sut le front du Tyrol, l'attaque d'un bataillon de chasseurs alpins contre le Col di Lana. Front du Sud-Est : Au nord-est de CeIcbic, nous avons chassé les Monténégrins du dernier morceau de sol bosnien qu'ils occupaient encore. Dans cette région, nos troupes ont atteint la gorge de la Tara. Bijelopolje est en notre pouvoir depuis hier aprèsmidi. Attaquant cette ville dans un mouvement cernant, les forces austro-hongroises s'en sont emparées après un violent combat; le soir, le nombre des prisonniers amenés était de 700. Nous poursuivons l'ennemi qui se retire à l'ouest dTpek. En battant en retraite, les Monténégrins mettent partout le feu aux villages habités par les musulmans. ^-«©^«s.—^ BULLETIN TURC Constantinople, 18 décembre. — Le Quartier général mande : Duels d'artillerie intermittents', sur le front des Dardanelles, prôs d'Anaforta et près d'Art Burnu. En ripostant au feu de l'ennemi, notre artillerie a réduit au silence ses batteries de montagne postées près d'Anaforta et allumé un incendie dans ses campements. Près de Sedd-ul-Bahr, le lo décembre, nous avons obtenu un succès, en faisant sauter une mine sur notre aile gauche. L'ennemi a eu recours à toutes les armes pour faire feu contre notre position. Ripostant vigoureusement, notre artillerie a empêché la continuationdu tiret mis en fuite une colonne de train ennemie, qui se montrait près de l'embouchure du Sighin-Déré Rien d'important n'est signalé des autres 'ronts. ->—«>»—-, les Neo-ZclaiHindous. Lord Kit

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Dit item is een uitgave in de reeks Le quotidien behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1917.

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