Le quotidien

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14 februari 1916
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s.n. 1916, 14 Februari. Le quotidien. Geraadpleegd op 23 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/7h1dj59h9x/
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Le numero 5 centimes toutes les communications ue pas le linge rd Anspach G aston. BONNET, Directeur général. A. BOGHAERT-VACHE, Rédacteur en chef. 12078 itements d'hommes ut prix pour vêtements en bon étal 2, rue Roger Vander Weyden 2 8onnoz 2 fois (Anclennem» ru» du Miroir) JX SE REND A DOMICILE rr: Accoachease Diplômée r< clam en France et Belgiqtll Ex-interne des Hôpital Conioltatloasàtouteépow Discrétion W MPRIï MODKRig Place des Hartm (gars Nord, dann.nt ru, Nwrt lltt vieillards. Combien de vieillards t tourmentée par un* x opiniâtre, qui fait etei et eÜfler leur poitrine, leur coupe la respiration et leur enlève le sommeil! Ignores you» combien cette toux déprimante est nuisible au coeur, àla poitrine et aux poumons? i guérir de cette toux, ip tarât voua risquez une maladie sérieuse cc*ur. Prenez immeîx Sirop de l'Abbaye | la poitrine «e détachedouleur. Les chatouilsentez à la gorge dispiration •* élargira «t t a fait guéri do cette p de l'Abbaye tonifia Knona. 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Mous relevons dans notre confrère amé~ Shipping illustrated le relevé de ations de sauvetage intéres- jcain Quelques ope: quelques années, le steamer Cyrïll fut coulé, à la suite d'une collision, dans Amazone, et, comme une partie de sa carton comprenait du caoutchouc pour une [Ljmede 3 millions, les consignata 1res fuent naturellement très pressés de mettre à Iflivre les scaphandriers. Une compagnie Liverpool, à qui le travail fut confié, déjà sur les lieux son vapeur spécial RanL muni d'un personnel de plongeurs et k matériel nécessaire. Presque toute la «raison de caoutchouc put être ramenée la surface, quoique le navire fût coulé ste à la limite où les scaphandriers pou-' ientatteindre. Ce sauvetage difficile connue un des plus remarquables faits de [espèce. On cite aussi, dans les annales du sauvere, l'exploit d'un plongeur nommé Hoor qui s'enfonça jusqu'à 61 mètres sur [épave d'un bâtiment (Cape-Home), sur la ouest de l'Amérique du Sud, qui fit iris ces conditions sept descentes et resta, fois, sous l'eau 42 minutes. « Mais, dit te con frère, il est prudent de n'accueillir les récits de records de ce genre |favec le proverbia1grain de sel. 36 mèsont regardés comme la profondeur Misante pour démontrer l'endurance d'un pnplongeur, bien que certains de ces traceurs aient officiellement atteint celles y 2 à 50 met [^observations très sérieuses, -faites pennt les grands travaux d'amélioration des du Mississipi, il résulte que, sur jj2 plongeurs employés, 30 furent sérieuseindisposés et 12 succombèrent. [En i8S6, le steamer Alfonso-Xîî, ayant [bord dix caisses d'espèces,, chaque caisse iresentant une valeur de 25,000 francs, ibra aux îles Canaries. Les 250,000 fr. jèrent à une profondeur de 48 mètres lira ce que deux habiles plongeoirs, nés Tessier et Lambert, se mirent en rair de les en tirer. -~ [En dépit* de la pression, considérable à ttc profondeur, et du fait que leur séjour fond ne pouvait être que de quelques iutes à chaque descente, Lambert put (remonter sept caisses et Tessier deux. Sixième caisse ne put être sauvée, milles efforts d'une autre expédition, au ide laquelle un plongeur périt. [En* 1866, un voilier américain, le Générant, quitta l'Australie avec une carra de laine et 50,000 onces d'or proveat des gisements du pays. On n'en entente parler que deux années plus tard, que à laquelle le mystère de sa disparifut eclairci. Peu après son départ, il été jeté, par une tempête, dans une de caverne creusée dans la côte d'une Auckland. Ses mâts, du moins ce uenrestait, butant centre le plafond de " avaient crevé le fond de sa coque, e navire avait coulé entraînant tout son ft à l'exception d'une douzaine qui vécurent longtemps sur comme feu Robinson Crusoë. Natupent, des expéditions furent organi" Pour retirer des flots ce trésor de onces, d'or, lorsque les naufragés, auvés, en eurent signalé l'existence, aucune neput aboutir. Ln1896, un beau fait de sauvetage par fond fut accompli par les plonuay et Briggs, sur la côte d'Australe steamer Catierthun, portant pour mfrancs de monnaie d'or, heurta )aveflottante et coula, par 48 mètres «n un point où les courants attei01souvent flr la dsomme ramenée au jour, rent remis l89ï, le vapeur 'Syro coula ; ent Cap ,flmsterr« avec 225,000 fr. en barres, soigneusement arri- 'ïofondeur étaitde 51 mètres. an mi inutiles furent faites KL!! Jusqu'aux lingots, et l'on fut f' pouvoir enlever la clairé- flairait h cabine où ils étaient fut en 1896 seulement que Sort- « .arresPrécic"^s récompensa Patients des spéculateurs. 'urAngel Erostarbe réuBsit Piûes. c Pion. püavn'nC .So!Ur'ntreniis -auxPlongeurs. enfin là où une quantité d'hommes aussi entreprenants que lui avaient échoué. En trente et une descentes, il réussit à retirer 37 barres valant 92,500 francs. Il employa alors la dynamite, ce qui lui permit, en un seul jour, de faire remonter 22 barres valant 55,000 francs. En une occasion il resta sous, l'eau 40 minutes et faillit payer de sa vie cette témérité. Ayant relevé 147,000 francs en deux mois, il fut forcé au repos par la mauvaise saison. Quand il reprit son travail, il trouva que les lingots avaient défoncé par leurs poids le plancher de la cabine et s'étaient ensevelis plus profondément. Il fallut de nouveau avoir recours à la dynamite, mais enfin la somme totale fut retrouvée. Avant l'application de la vapeur à la navigation, les transports d'espèces étaient généralement effectués par les bâtiments de guerre. On rapporte, à ce propos, qu'en 1780 la frégate anglaise Hussar, portant un million de livres sterling (25 millions de francs), destinées au payement des marins et soldats qui tentaient de réduire les rebelles coloniaux, fut obligée de quitter précipitamment le mouillage de New-York pour éviter d'être capturée. Elle se jeta sur une roche non marquée sur la carte et coula par 21 mètres. Des restes variés de cette vieille relique ont été retirés de l'eau à des époques différentes, mais un certain mystère a toujours entouré les travaux qui s'effectuèrent, et, si ce navire de guerre a réellement renfermé une si grande quantité d'or, il l'a toujours gardée jalousement, ou bien ceux qui ont travaillé à la lu îarracher ont gardé un silence inaccoutumé Il en a été à peu près de même pour les fameux galions espagnols coulés dans le fond de la baie de Vigo et qui apportaient en Espagne le trésor envoyé par les colonies de l'Amérique du Sud. Les explorations nombreuses et relativement ré^ qui ont été faites de leurs épaves n'ont donné aucun résultat. Il est plus que vraisemblable que les populations de la côte, averties de l'aubaine, surent tirer les barres d'argent des coques évantrées et incendiées, et jugèrent bon de ne s'en .vanter point. S.. ; es de la Gue JL W >$•«*—-«^«>r< Mennatloiss diverses LES COURSES EN AUSTRALIE Le gouverneur général d'Australie vient do faire connaître qu'il n'assistera plus à aucune course de chevaux ou autres, susceptibles d'attemdie l'énergie du peuple et de faire dépenser l'argent nécessaire à la guerre. LE PRIX DU PAPIER Le Syndicat des fabricants de papier d'imprimerie, en Allemagne, vient do décider, au cours d'une assemblée extraordinaire d'augmenter le prix du papier de 0 marks par cent kilog. pour le deuxième trimestre (avril, mai, juin) 1916. LA DIMINUTION DU FRET Une forte diminution vient de se produire dans les prix do transport des navires-citernes pétrolifères de l'Amérique du Nord vers l'Europe. I. y a deux à trois semaines les prix des Etats-Unis vers la France s'élevaient encore à 120 shillings la tonne; aujourd'hui ces prix sont tombés à 80 shillings. On attribue cette diminution à l'offre imprévue de nombreux navires, et on pense que celle-ci provoquera une nouvelle baisse des prix. EMPRUNT RUSSE Le Djen annonce que le gouvernement russe a décidé d'émettre pour fin février un emprunt inu* de 2 milliards de roubles à 5 1/2 p. c. D'antre part, le ministre Bark a saisi le conseil des ministres du projet d'impôt sur les bénéfice» de guerre, qui englobera toutes les entreprises commerciales ou «autres dont les recettes en 1915 ont dépassé celles des deux années précédentes. LE COTON EN SUISSE D'après un télégramme du Central News du Caire une proclamation aurait paru, en cotte ville, autorisant l'exportation du coton égyptien vers la Suisse, sous réserve de consigner les envois à . «e de la «Société de surveillance suisse». Lundi 14 février r9ï (>. ADRF.SSER TOUT CE QUI CONCERNS LA PUBLICITÉ A ARTHUR LAURENT Administration pour la Belgique Eue du Kid!, 70 (près de la Bourse) Le journal décline toute responsabilité quant à la teneur des annonces* LA QUESTION DU TABAC EN ANGLETERRE Le ministre anglais Runciman a reçu une delation de la section des négociants en tabacs g* -* Chambre de commerce de Liverpool. Los dé'éguea ont protesté contre la défense d'importation du Ubac promulguée par le gouvernement anglais, ceu* mesure devant entraîner pour les intéressés d« grandes difficultés et de grandes pertes. Le ministre a promis d'examiner à nouveau 1* question. LES TIMBRES AMERICAINS Les EtatsUnis ne pouvant plus se procurer qu* partiellement les couleurs d'aniline, on a remplace le carmin des timbres-poste par du rouge. Cubi f remplacé également, pour les mêmes raisons, is couleur carmin de ses timbres de 2 centavoa, par d» rouge. UN LAC D'ENCRE C'est le nom que donnent les naturalistes de Californie à un lac situé dans une région déseue *>* inhospitalière près du fleuve Colorado. D'ailleurs, il n'a pas seulement la couleur de l'encre : les étoffes de coton qu'on y plonge prennent bel et bien la 'teinte noire et la conservent pendant des mois, men* si on les expose aux rayons solaires. Les journaux scientifiques ont souvent discuté sur ce qu'il do il y avoir au fond du laC. Les Indiens disent L.t*» que la corruption des eaux vient du sang de.^ mauvais Indiens qui brûlent en enfer, au milit-u Ue» volcans, mais cette explication ne nous suffit guère. Nous aurons plus do confiance en celle des himistes de Yuma et de Los Angeles, qui viennent d* se, faire adresser des spécimens du liquide pour l'analyser et doux, nous attendons l'appréciation avec impatience. Un phénomène curieux, c est que la surface des eaux (un quart d'hectare environ) est couverte d'une couche de cendre volcanique sur laquelle un explorateur non prévenu pourrait s'ongager. LES FEMMES MEDECINS Nous trouvons dans une revue médicale spéciale les détails suivants au sujet de ta profession de médecin, exercée par les femmes : L'exercice de la médecine par les femmes, loin d'être une nouveauté, n'est.qu'un retour aux j>'u* vieilles coutumes. Qu'une femme soit mieux qualifiée qu'un homme pour soigner une femme, riea n'est plus évident, la routine seule a pu tri notre jugement sur cette question si claire. Encore ce préjugé n'est-il pas très ancien, il date du XVIIIesiècle et c'est en France qu'il est né. Par* tout, jusqu'alors et de tout temps, des femmea avaient soigné les femmes. Cela se voit encore chez tous les «primitifs» dent la civilisation n'a pas faussé les idées. CeU se voyait en Grèce, où il existait des «guérisseuses »j à Rome, où Galien parle avec éloge de ses confrères «femmes» et notamment d'une certaine Antîochis dont les cures étaient merveilleuses. * - eût des f:.ri;u'e>-n:édecins : Théodosia, mère de saint Procope, qui exerçait à Rome; Nicerate qui guérit d"une laryngite saint Jean Chrysostome. .coup de religieuses furent versées dans les sciences médicales. Au XII0siècle, |es sœurs du couvent de Parachet, en Champagne, s'essayèrent à la chirurgie, sur les conseils d'Abélardj en Allemagne, sainte Hildegarde fut non seulement une patricienne émériie mais aussi une doctoresse qui écrivit de savants traités. Elle s'y montre un précurseur étonnant. La métallotbérapie du docteur Burcq est tout entière dans ses livres. Elle pressent la circulation du sang et admet la théorie de l'auto-intoxication. C'est un médecin de notre école moderne en avance de quelques siècles. ^En France, jusqu'au XVII0siècle, il y eut dee miresses et des > mit»■t qVd aura terminé sa saison à Ne«-Yo*1t. ■ ■ lit

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Dit item is een uitgave in de reeks Le quotidien behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1917.

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