e pas le linge ageux Cesser toutes les communications A LA Sirection eénérale du "Quotidien 148, boulevard Militaire 1t$ manuscrits non Insérée nesont pas rendus. Gaston BONNET, Directeur général, Le numéro 5 centimes A. BOGHAER-T-VACHE, Rédacteur en chef. Jeudi 17 ièvrîer 1916. adresser tout ce qui concerne IjA publicité A ARTHUR LAURENT Administration pour la Belgique Roc du Midi, 70 (près de la Bourse) Le journal décline toute responsabilité quant à la teneur des annonces. LE MONUMENT THOMSON Les journaux hollandais annoncent que le monument au major Thomson, tué au début de 1914 en Albanie, à la tête des troupes du prince de Wied, vient d'être terminé. Il est l'œuvre du sculpteur Ch. van Wijk et va être incessamment soumis à la Commission des beauxarts. LE BUDGET GREC Le budget grec de 1915 se clôture par des LES NAVIRES MARCHANDS ARMES Le Nieuwe Rotterdamsche Courant rappelle dans un leader, au sujet du mémorandum allemfid sur le torpillage de navires marchands armés, que le gouvernement hollandais considère la résistance armée des navires marchands comme justifiée,en vertudu Livre orange de 1915. En ce qui concerne l'admission des navires dans les eaux territoriales, il considère toutefois que des navi-resmarchands armés doivent être placés sur le même pied que des navires de guerre, ce rentrées de 461.45 millions de dragmes -et «198 ard Anspach, Bruxelles (Bourie\ GNEAUX, sera visible de 11 à 4 ,/ \Café des Brasseurs, place du Sud à |jis, Café Cosmopolite, place Mous ' demandés partout par le ie du Fossé-aux-Loups, Bruxelles m : le cigare '. la caisse de 100. TREILLAGES Toile» métallique» - Fji de fer. - Treillage, «. duléa. — Paillasson* ^ Article, pour clôtura 90, r. d'Ecosse.Bnudl* (U511 LOUR les Œuîs Infants, convalescents Accoucheuse Pension, Consultation, Discrétion. Médecin attacoe a la malioi 195, rue du Progrèi (NORD) 10347 xrds — ;yma flour lint toutes bonnes épiceries Invers, Brabant llonis:"«4 me de Jette, 72 DROIT Cil pénal et commercial, Divorça. Arrang ti^ et locatr«. Consultation j 2 fr. Léon Do Scheppei, doct* en droit, bouievud] du Hainaut, 171. Oe 3 à ! 6 heures.(9ûM < Accouchement, mwi,do luordre. Consultations. Discrétion. mmmmmMédecin attachèiltmaison. 31, rue de la Siblonnière (P*« de Sch»« beek).m isM JE donne le double du] Mont -de- Piété. Gr*l facilité de raciut. Achat de bijoux, Yieoij dentiers. 38, rue du]Midi.îoffl) Accoisé» L oEK? 1erdiplôme, 30 ans di| pratique. Ex - directrie maternité. Pension toute] époque.— Consultations.] Discrétion. 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Prix et qualité eans concur.» ONNERIE NOUVELLE Progrès, 86 -:- Bru* impr. G. BONNET, UN PEUPLE IGNORÉ [ÏHipire lia Matin-Calme {Suite et fin.) I rfutau cours de la même guerre que ' Coréens, se révélant soudain aussi bons • énieurs qu'ils s'étaient montrés marins !fsoldats excellents, inventèrent l'art des Lts suspendus. Car celui qu'ils construi- ent sur la rivière Im-djin, véritable ou!^e!^ d'art, est le premier dont l'existence it historiquement démontrée, puisque les ^relies en H ânes des tribus sudaméri-Lnes océaniennes ou asiatiques, méritent àpeine d'être appelées des^ponts. Les Chinois, allies aux Coréens, avaient #lo*é les Japonais de Ping-Yeng et les ivaient jusque dans Le sud de la „île, quand,sur les rives de l'Im-djin \lz fûvards venaient de franchir, l'ar- 1 . •_cJ>^ T ~, ~Â~,£ „,,-„ de Pékin déclarèrent qu'ils ne passeaient la rivière que sur un pont, chose qui paraissait alors fantastique et paradoxale. Ikfais les Coréens, qui avaient déjà imaginé le bateautortue, eurent l'inspiration de construire audessus du cours d'eau, large de 150 mètres, un pont suspendu. L'idée était nouvelle^ Ils se mirent en devoir de réunir tout ce qu'ils purent trouver de tchik, une variété de lianes qui atteint une longueur de plus de 80 mètres et en firent des câbles qu'ils tordirent pour les rendre plus solides et qu'ils assujettirent sur les deux rives, _ à des troncs d'arbre. A l'aide de barques, ils tendirent ainsi huit câbles parallèles d'une rive à l'autre, puis des traverses de bois et de branchages, des fascines jetées perpendiculairement sur ces câbles constituèrent un premier palier sur lequal une couche d'argile, puis une autre de graviers, furent successivement superposées. Le premier pont suspendu était construit! Les Chinois, pris au mot, durent s'exécuter et leurs 120,000 hommes franchirent le pont à la poursuite de l'armée d'Hideyoshi en retraite. Des le début de la campagne, les Coréens avaient appris, de leurs ennemis, l'art de se servir des armes à feu : ils les dépassèrent bientôt. Les Japonais ne connaissaient que les ^rmes à feu portatives : leurs adversaires imaginèrent des armes de plus gros calibre et plus meurtrières. Ils coulèrent le premier canon, un mortier, et inventèrent là -première bombe. Les chroniques de Corée disent que le secret de cette invention périt avec son inventeur, mais le mortier, qui servit en 1592 à chasser l'envahisseur du Bol coréen, était exposé encore, ces derniers temps, à l'arsenal de Nan-Ham, forteresse p garde l'accès méridional de Séoul. Le portier était monté sur un affût qu'on transportait au moyen de brancards analogues à ceux d'une civière. I Une autre invention, qu'on attribue aux |lavants coréens, est celle d'un alphabet lonétique consistant, comme les alphabets occidentaux, en voyelles et consonnes. Cet alphabet n'était pas le premier que l'humanité voyait naître — on était alors M commencement du XVesiècle, et le roi jSWjo régnait à Séoul —, mais il fournit néanmoins une preuve nouvelle des ressources créatrices et du génie d'invention [du peuple coréen. Les Coréens, pour l'écriture, étaient tributaires de l'étranger : ils avaient les vieux r manuscrits thibétains dans les bibliothèques formées par les moines bouddhistes, .venus de Chine; ils avaient des livres chinois, mais ni les caractères thibétai.ns ni surtout l'écriture chinoise ne leur paraissent suffisamment rationnels. Un savant coréen, du nom'de SongSam-Mun, traça Le prototype des consonnes de 'alphabet coréen en s'inspirant du thibékin, langue qui, à l'instar du sanscrit et des langues sémitiques, est surtout basée ^ les consonnes. Quant aux voyelles, tong-Sam-Mun les emprunta aux radicaux des anciens caractères usités autrefois dans «s sceaux chinois. L'écriture coréenne dejat ainsi une combinaison de lignes droite verticales, horizontales et obliques, et une tradition coréenne veut que c'est dans '« contemplation de la claire-voie qui sert . P^rte aux habitations du pays, que leur lenteur en a trouvé la conception. Et Un voit donc, par ces aperçus somma i?• que les Coréens ont été de féconds in™urs™, capables de progrès, si la nation ««tait retombée dans la torpeur, comme «■ après chaque effort. nest-ce pas pour porter le deuil de W aurait pu être, et qu'il n'est pas„quePeuple flâne perpétuellement en blanc, couleur de d Ce 1 eu 11 au pays du Matin- mie? >+o~K- Nouvelles de la Guerre BULLETIN ALLEMAND • »> ln i 16 février. (Communiqué de ^f de la guerre à VOuest sans ~ Cotais ont, à trois reprises, mais succes, attaqué la position que nous c°nqu:5e au sud-est d'Y pres. Leurs nï Prjsonnierô s'élèvent au total à LT lneSommes. En Champagne, R^s ont, de nouveau, tenté de re- prendre leur ancienne position au nordde Takure; cette tentative a eu le même échec que celle de la veille. Partout, les opérations ont été entravées par des tempêtes de pluie. Théâtre de la guerre à l'Est ; Bourrasques de neige sur tout le front; aucun événement important. Dans les Balkans : Rien de nouveau. —-->■o^g»--•♦«»—— ■

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