Le quotidien

918 0
18 november 1915
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1915, 18 November. Le quotidien. Geraadpleegd op 30 juni 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/xs5j961m8q/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

*• année, n* Lm mumér® O centime». ^Ü^^Bf^&SSSSSSSSBBWSSSSSg^SS^^ÊM '■'. ^^ciay^r^-^wMij Jeudi 18 novembre 1915. Adressar toutes les «tmiatftói&ti»» ^ u gmcHn gtoértH is - Qstfîiîaa » 248, boulevard Milttaire %ti manuscrit» non insérée wê toni ou» r»nûu». (Vendu chaque jour, dès 7 heures du mating à Bruxelles et en Province) AlfredW. GASPART, Directeur de la Rédaction.A. BOGHAEBT-VACHÉ, Rédacteur en chef. Gaston BONNET, Directeur général.1 4ftRfitt»£R XOm CX QUI CONCXEM» * 70i ru» Ou mai (pré» û» lu Boumi ■ Wng.'mniirr—w'j te t&&k*lÉMi*e texte r**f*nt*iliiti Êuuut A If tesutr ta sjusowm. PROTESTATION DE M. CAILLAUX L'ancien minisire français Caillaux nie; M. Churchill a terminé son discours par; un exposé de la situation actuelile de laj guerre. Il a dit emtr'au/trcs : Pour gagnerj formellement avoir été, ces jours derniers, ù la guerre, nous n'avons pas besoin de re-j La Haye, ainsi que Heuler l'avait annoncé, fouler les Allemands de tout le territoire II prétend n'avoir plus quitté Paris, ni Ma DANS LE MONDE DIPLOMATIQUE M. A.P.-H. Hollz, consul générai des Pays-Bas à Beyrouth, qui résidait ù La Haye depuis plusieurs mois, compte rejoindre très prochainement son poste diploma/tiqu*. LE TABAC Reuter télégraphie de Londres une nouvelle qui fera la joie d# tous nos fumeurs. Un arrêté vient d'être promulgué rangeant les tabacs parmi les artioles dont l'exportation vers la Hollande esb autorisée, satns devoir être consignés au trust tiransocéanique néerlandais. AU LUXEMBOURG On mande de Luxembourg crue le cabinet Loutsch se contentera d'expédier les affaires courantes jusqu'à ce que les nouvelles Chambres 6e soient réunies et se soient prononcées sur la politique du minis tere. UN GRAND MARIAGE Les journaux "anglais annoncent le mariage, pour le 30 novembre, de la fille du' premier ministre anglais, miss Violet Asquith, avec M. Maurice Bonliam Garter. L'OPIUM EN RUSSIE Le ministre .rosse de l'agriculture vient de présenter à la Douma un projet'de loi tendant à i "interdiction absoiue sur tout le territoire russe de la vente de l'opium. Cette mesure s'applique principalement aux abus constatés en Sibérie orientale. EXPORTATIONS ET PRIX MAXIMUM Le gouvernement hollandais vient (to publier un anrété fixant le prix maximum du café, du thé et du oaoao pour le commerce du gros. Des mesures ont été prises également pour empêcher toute fraude à ce sujet et pour que ces prix maximum soient également respectés dans les transactions pour l'exportation (te oes denrées. MISSION SANITAIRE HOLLANDAISE Une dépêche de Sofia annonce qu'au moment de l'occupation de Nisj par les troupes bulgares, il y avait encore une mission sanitaire néeriian-' daise faisant partie de la Croix^Rouge et qui était restée à son poste pour donner des soins aux blessés et aux malades non transportables. LES LOUPS EN RUSSIE Le Journal de Kiew annonce que les environs da cette ville sont infectés de loups, chassés de ce ô.e par les batailles livrées en Wolhynie. Les au. tontes ont pris les mesures nécessaires. LE MEURTRE DE SHANGAI Il serait établi que le meurtrier du gouve«ieur qu'ils ont occupé, ni de percer leur front aussi longtemps qu'il s'étend loin en dehors de l'Allemagne, L'Allemagne sera probablement vaincue plus radicalement dans la deuxième ou la troisième année de guerre que si les troupes des Alliés étaient déjà entrées à Berlin depuis la première année. Notre suprématie sur mer bien établie, et la destruction rapide et énorme de la population masculine de l'Allemagne, apte au service militaire, sont deux facteurs sur lesquels nous pouvons compter avec confiance. Pendant que la force de l'Allemagne diminue, la notre s'accroît régulièrement, effectivement et proportionnellement. Nous le devone au dévouement des peuples français et russe qui ont subi jusqu'ici les pertes les plus lourdes. Nous sommes la réserve des ALIiés et maintenant le moment est arrivé de jeter toute la réserve dans la balance. (Approbation.) LÀ LUTTE ELECTORALE EN GRECE L'Echo de Paris annonce que 00 députés vénizelistes qui se trouvent sous les drapeaux, ayant moins de 40 ans, ont demandé au ministre de la guerre un congé d'un mois pour la période électorale. Le ministre de l'a guerre a refusé leur demande. JAPONAIS ACCUSES D'ESPIONNAGE D'après une dépêche bulgare une grande quantité de Japonais ont été remarqués sur !.a côte entre Dedeagatsch et Portolago. Ils assurent qu'ils viennent de Grèce et cherchent du travail. Comme ils sont accusés onnage, ils ont été faits prisonniers en de partie. Le restant a été transféré l'intérieur du pays. L'ATTITUDE DE LA GRECE Le Progrès de Lyon mande d'Athènes : La France et l'Angleterre sont résolues à r des garanties du gouvernement BULLETIN RUSfîS Pétrograd, 15 novembre. — Du grand, ètfi-major : Sur le front de Riga, au nord du lac Ranger, nous avons de nouveau rejeté les Allemands, de 5 «à 6 verstes. Dans la région de Vile Dalen sur la Dwina, audelà de Riga (à 8 km. au sud-est), combats d'avantpostes. Dans La région de Friedrichstadt et de Jacob- s'tadi, sur la Dwina, le calme règne. Près û'Illuxt, nos trouas sont parvenues à dépasser le réseau de ni de fer et à entrer en possession d'une partie du .-o,-'û tau K'at-ierf JH/ires le même jour.cimetière. Le village de Dryswialy a été bombardé U-r. l>f.s. \t covenibre. — La dernière liste des par l'artillerielourde allemande,pertes xmpftai U? noms de 54 officiers et de 2,278 Sur le iront plus éloigné, jusqu'au Prifet, le-'Idat-'*.icalme règne. J Au nord et à l'ouest de Tschartorysk, l'artillerie [lourde allemande a bombardé, le 13 novembre, quelques secteurs de notre position; le soir de cette personnelle et que l'attentat nie repose pas sur des raisons politiques. UN ECHO DU SOULEVEMENT n., nSUD-AFRICAIN De agence Reuter: Une commission de justice vient d être instituée à Pretoria, à l'effet de rechercher les causes et circonstances de la dernière insur. rection. LES LOIS SOCIALES EN NORVEGE Le 1« janvier entrera en vigueur en Norvège, la loi sur 1 enfance, de même qu» la loi de prévoyance «a vertu de laquelle les femmes enceintes, qui M peuvent subvenir à leurs besoins, recevront de la part des communes, un certain temps avant leur délivrance, des secours qui ne seront pas considérée comme les secours accordée ordinairement aux paurree. ECHOS LITTERAIRES, ARTISTIQUE* ET SCIENTIFIQUES L'être en Italie. ~ Le3frèr€sS,0 de Milan viennent de former une société puissamment constituée au point de vue financier pour l'exMüan ?dUTéatr9LlriC°' lE"«»e hotels; fiés ont triomphé, en général, aux élections muni! Charles I« de France, dent o; 'sur I'rmfiwMilft A» Mnnût. et les grands bArzn en r s oublis ' -»nt en- ' cipaies «spagnofes. A Akneria, Valance et Barce-!surl'opuacule de Munich. combrés. La plupart de ce* réfugiés vien3ne se sont produits des manifestations san-' APràsd* patientes recherches le comte Dunrîen nent de Besssrabie, P^doJ'*. vVaJhynie etglantes, où de nombreux électeurs ont trouvé la est?tJ*.T*Iluàdécouvrir sous ces armes, un ex-libris Lithuariip 1 .es pouvoirs publics ont pris lesmort ou ont été blessés. A Malaga, où des trou- fUafli^nf't'ureduP1*»"* possesseur: Pisrre d'Es- meïdTES nécessaires pour héberger eonveMes ont également ôolafé, les élections ont été îï?\qU1*** J"*™** archevêque de Bourges en nablement tous ces gens.suspendues.1pev!;* deIaP™1*™ «aniraaJwe en 1370. Il &' mourut en 1377. Les Américains se sont souvenus Il y a quelques semaines, on a fu f revoir que les Etals-Unis pendraient fart au grand conflit européen. En lisant le résumé suivant, écrit far Paul Leroy-Beauheu, on comprend que les Américains aunt hésite à se jeter dans la mêlée. Les souvenirs laissés far la Guerre de Sécession sont encore bien cuisants dans le cœurs des yankees : I >e toutes les consommations d'hommes .5 par la guerre, voici la plus effroyable. En quatre ans le Nord appela sous les armes 2,656,000 hommes; à ce flot humain qui était lancé contre lui, le Sud répondit en opposant la ligue longtemps invincible de 1,100,000 poitrines. Pour que le Sud fût conquis, il fallut que ces 1,100,000 soldats dont un grand nombre étaient des enfants de seize ans ou des vieillards de soixante, fussent violemment .yés, et que plus de la moitié eût succombé à La violence de la lutte. Cotte gigantesque mâlée d'hommes entraîna un carnage inouï , qui' mérite de fixer le regard des philanthropes et de trouver un historien fidèle. Nous avons sous les yeux un travail remarquable, le rapport fait sous forme de circulaire par le major général, Joseph K. Bàrnes, chirurgien général de l'armée des Etats-Unis {Report on the extent and nature of the ??talerials available for the preparation of a medical and surgical history of the rebellion). Cette histoire médicale et chirurgicale n'est pas encore terminée, mais les matériaux publiés donnent les renseignements les plus précieux. Les rapports mensuels établis pour un peu plus de la moitié des régiments en campagne, pendant la première année, donnent 17,496 cas de blessures par armes à feu. Les rapports mensuels établis cette fois sur les trois quarts des régiments, pendant l'année finissant au 30 juin 1863, présentent 55,974 c*s de blessures; les Crabes ci» Kkcséc cal sur les champs de bataille pour les années 18041865, comprennent plus de 114,00c noms. Encore ces états doivent-ils être complétés, nous dit-on, par le dépouiLlerrent qui reste à faire des rapports des hôpitaux généraux, où l'on a reçu beaucoup de blessés dont les noms n'avaient pas été inscrits, soit par les commis de? hôpitaux du champ de bataille, soit par les médecins de régiment, et l'on doit y joindre ceux qui ont été tués dans le combat. On arriverait ainsi au chiffre de 221,000 blessés, sans compter les tués Mille champ de bataille. Ce chiffre énorme ^ blessés dépasse de beaucoup le tote \ decas semblables dans la guerre de Crimée pour toutes les armées en présence.. Poin bien saisir ce qu'a eu de gigantesque e4 d'inouï cette guerre américaine, il faut entrer dans quelques détails, et comparer le nombre de cas de quelque lésion ou de quelque opération importante dans l'armée de l'Union et dans les armées française et anglaise de Crimée. Si l'on considère, par exemple, la fracture du fémur par un coup de feu, on trouve que dans l'armée . française, en Crimée, il y a eu 459 lésions do ce genre, et 194 dans l'armée anglaise, tandis que plus de 5>000cassemblables ont été enregistrés dans l'armée des EtatsUnis. Si c'est une opération importante qui est prise pour point de comparaison, La résection de 1a tête de l'humérus, par exemple, les rapports de Grimée donnant 16 de ces résections pour l'armée anglaise. 42 pour l'armée française, tandis que pour l'armée américaine, il y a l'état détaille de 575 opérations du même genre (Recueil de médecine et de chirurgie militaire. Vil, pages 390. 390- De tels détails sont caractéristiques et montrent dans e son étendue, l'énormité du massacre. Si des blessures on passe aux maladies, on trouve un résultat plus satisfaisant pour l'humanité. Ce qui distingue la guerre d'Amérique, c'est l'accroissement considerable dans le nombre des victimes par le feu de l'ennemi, et la diminution également considérable, dans le nombre de?. victimes, que font les maladies; ce qui prouve que les moyens destructifs ont fait des progrès gigantesques, et que les mesures hygiéniques et conservatrices se sont grandement améliorées. Pendant la première année de guerre, l'effectif s élevant à 290,936 hommes, il y eut 14,183 décès par maladies, la seconde année, sur un effectif de 644,508 hommes, k nombre dos décès, par maladies, a été de 42,010. Pendant toute la durée de la guerre, il y aurait eu dans le Nord 97,000 hommes tués par le feu, et 184,000 morts par maladies; en tout 281,000 hommes. Les pertes du Sud sont bien autrement considérables : nous n'avons d'ailleurs sur ce point aucun travail scientifique. Les morts, dans les chiffres qui nous sont donnés, ne sont pas distingués des mutilés. Le total se monte à 630,000 morti #u •skropiés sur 1,074,000 enrôlés, soit 60 pour cent. Si l'on compare maintenant ces pertei au chiffre total de la population blanche dans k Stocf, on voit qu'elles montent à plus de 10 pour cent soit à 20 pour cent de la population masculine. La guerre d'Amérique, on peut le dire, a moissonné à peu près toute la jeunesse des Etats du Sud : ce n'est pas la une métaphore, c'est une expression littéralement vraie. Si l'on ajoute ces 630,000 hommes que le Sud a perdus aux 281,000 qui furent tués dans l'armée du Nord., on arrive à un total de plus de 900,000 hommes. Il ne faut pas oublier cependant que dans ce chiffre de 630,000 hommes, sont aussi compris les estropiés : si l'on considère que l'immense majorité des pertes du Sud a été causée par les maladies et les fatigues, par la mauvaise composition de l'armée qui comprenait des enfants de seize ans et des vieillards de soixante, par l'absence presque absolue de tout repos, faute de renouvellement; on peut regarder les 4/5 de ces 630,000 hommes comme tués et 1/5 au plus comme estropiés. On arrivera alors, pour les deux armées, au chiffre de près- de 800,000 morts. Les pertes financières sont encore plus inouïes. Le Nord a dépensé pour cette guerre, dit M. Vi go-Roussi lion (Puissance militaire des Etats-Unis d'après la guerre ie Sécession), 14 milliards; le Sud à peu près autant. Cette guerre civile a coûté aux Etats-Unis d'Amérique plus de 25 milliards en dépenses réelles de guerre, et en sus le double de cotte somme, si l'on tient compte du déficit dans la production, de la valeur des propriétés et des récoltes détruites, etc. **# Nouvelles de la Guerre BULLETINALLEMAND Berlin i'/ i.pvrmbie - - Front occidental: A partles combats1* ,:t cic mines en des endroiis a xiea d'imporunt à si sciés '■•■ l' ., 1 1 : Front orliitfaJ; Oj-s destroyers russes ont boni' r ■ :. :.••. öu non', de la Couflandç, Petrag^e el -;-;. I < -.'li'dtion e^t inchangée. Front fJia ftnlfrmi : La poursuite dar.s la montagne ? I v' ' f ..•■ :• e de bons progrès. Les Serbes l'ont j 1 !'••(i'-ri"'arrêter d'une manière ni)uable. l'iue de ?--;0Wl prisonniers, 1 mitrailleuse «t 2 cdàcri- .' ï 1 r. v j entrenos mains. LES Ai'HÇHËS ALLEMANDES. Londres. ( (K.-" a bre. ,— On mande de la Ca ■ ée : Le v&peuf Lassithion est arrivé le 12 novem :>re, ayanl '• boi I 22 hommes de l'équipage d\ .'apeur >agl i- U ■< illttter, coulé par un sous-ma, in ai'tiniu1. ( o f-t sans nouvelles du restant dt i équipée qui «t composait de 67 hommes. Le. !>e:*%junei sauvé»? < «content que ce sous-marin CULL0VSKAUTRICHIEN Vieillie, t? tio\errut>rü. (Communiqué d'hier.) Front 'hste . Rie*, eit ùjùvfcàil. Front -(dien: Le üetitour noiu du v.atbnu de Doberdi i> 'A , hier encore, •„ th'éftîbe .l'une !uiî* Les piu.s i( h 11 aées. On se bat, lîi.'t »t jour, autour des positions occupées des dttw\ jôtes Ci' Monte San Michèle. Sur le versant nofu de celti» 'iiontagr», les Italiens oni pénétré plusieurs léjt ■lions nos lignes. Dan* lia soirée, cependant, notas avons réussi à chasser l'amémi presque eoiu')iètem«nt'). Les cours-u-corps continuent aussi 'ans le seateur de San Martino. Devant la tête de pont «le Gùrz, nous avons epoussé une attaque de l'ennemi diràgée contre a hauteur de Podgoru. Front du Sud-Est : On signale quelques esoarnouches près de Gorazda sur la frontière monLônogrine. Sur le théâtre de la guerre en Serbie, ia poursuite progresse partout. Des troupes aus-trohongroises ont gagné La région d'Uvcw, la CigotaPlanina et les hauteurs de Javor. Une coonne allemande de l'armée du général von Kô•.•ess•.•, s'avancant des deux côtés de la route qui conduit de Rraticvo à Novi-Bazar, a occupé Usee. Plus à l'est, l'es forces austro-hongroises progressent également. Apres avoir franchi, près de iïabica, la route de Raslca à Kursumlia, elles ont prié d'assaut les retranchements serbes sur le mont Lucak (a l'est de Babiea) et en ont fait prisonniers les défenseurs (8 officiers et 110 soldats avec 1 mitrailleuse). Des divisions allemandes et bulgares approchent, par le nord et l'est à la fois, du carrefour de Kursumlja. ■^#4» ■ BULLETIN BULGARE Sofia, 16 novembre. — Bulletin du 13 -norembre. Après la chute de la forteresse de Ni»h, lea Serbes s'étaient retirés sur la rive gauche de la Morava et avaient détruit tous les ponts existants. Ici le fleuve a une largeur de 150 à 200 mètres et une profondeur de 1 à 2 mètre». Lei Serbes s'efforcèrent, appuyés sur des places fortes manies d'artillerie lourde, à empêcher nos Groupes à traverser le fleuve par des contre-attaques acharnées exécutées par des forces importantes. Le roi Pierre a assisté à ces combats. Dans le oouramt des denaièrea jeurmées, aes troupes ont brisé !a résistance désespérée ûm Sériées et passèrent ietsitiveanent sfc* la rive gaueke d« ieuve. Nos troupes sont «sirens aujourd'hui à Pr»kulpje. Elles y ont pris 6 no-rûeis de 6 e/ra., 19 eharriots chargés de grenades d'artillerie et y ont fait 7 taule prisonniers. Elles ont capturé 150 wagons à la station de Grtjt&e. Le premier régiment serbe de la réserve s'est mutiné et a .tué Le commandant, le colonel Prebitschemtsch, un des principaux instigateurs du complot poux l'assassinat do l'archiduc FrançoisFerdinand. Le régiment s'est alors dispersé dans les villages environnants. Dans la nuit du 13 novembre, les Français ont essayé d'attaquer nos positions sur le fleuve Warda; nos troupes prononcèrent une violente contreattaque et les refoulèrent sur la rive droite du Kurassu. Elles prirent, en même temps 2 mitailleuses avec attelages, 2 canons de montagne et firent 66 hommes prisonniers, dont 3 officiers. Sofia, 16 novembre. — Bulletin du 14 novembre. Les opérations se développent favorablement pournos troupes sur tout le front. A Prokupljt, nostroupes ont pris 480 caisses de munitions d'artillerie, 220 caisses de munitions d'infanterie, 12 charriotschargés de matériel de guerre et 1 parc de pionniersavec 16 pontons. Notre contre-attaque à la rive ouestdu Karassu, au sud de Vêles, s'est terminée par lerefoulement des Français sur la rdve est de cefleuve. Nos troupes y ont pris, dans un assaut vigoureux et en entonnant le chant Schaume, Maritza, lespositions solidement fortifiées des Français."-—-———- > •!>'» < BULLETIN FRANCAIS Paris, le 16 novembre, 15 heurté. — Il n'y a rien à ajouter au communiqué pï"écédent. Paris, le- 16 novembre, 23 heures. — La journéea'a été marquée que par des fictions d'artillerieparticulièrement intenses en Champagne, en Argonnt, en Woevre, dans la foret d'Apremcnt et en Alsace dans la région de l'Ammerziueillcopf .m^mI^j—war»«—»—>nt»+

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks Le quotidien behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1917.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Periodes