2" année, n° < te numéro 5 centime». fjcudï 23 décembre 1915 DRESSER TOUT CE QUI CONCERNE 'LA PUBLICITÉ A ARTHUR LAURENT Administration pour a Belgique 70, rue du Midi (près de la Bourse) (Vendu chaque jour, dès 7 heures du matin, à Bruxelles et en Province) Gaston BONNET, Directeur général.Alfred-W. GASPART, Directeur de la Rédaction.A. BQGHAERT-VACHÉ, Rédacteur en chef. ce /ourna: décline toute responsabilité quant à la ieneur des annonces» BULLETIN AUTRICHIEN Vienne, 22 décembre. {Communiqué d'hier.) Front russe /Sur le Styr, en face de Rafaloivka, nous avons dispersé un détachement russe envoyé en reconnaissance. Ailleurs, duels d'artillerie localisés. Front italien ; Sur le front sud du Tyrol, les duels d'artillerie continuent. Deux compagnies italiennes, qui tentaient de se pousser nuitamment vers le Monte San Michèle, ont été presque anéanties. Front du Sud-Est: Les combats où nous sommes engagés à la poursuite des Monténégrins ont été marqués, hier, par un nouvel incident, l'assaut et la prise de la positionennemie au nord de Berane. Pendant les deux derniers jours, nos troupes ont fait 600 prisonniers environ. * PRISONNIERS DE GUERRE MALADES. EN SUISSE • Les journaux suisses annoncent qu'à la suite d'une entente faite entre les gouvea nements allemand, français et suisse, mill< prisonniers de guerre allemands et mill* prisonniers de guerre français malades, arriveront en Suisse, le 15 janvier 1916 pour y recevoir, dans l'air salubre des montagnes de l'Heivétie iles soins que nécessite leur état. LES PLUIES EN SERBIE Un correspondant de journaux allemand qui a suivi les récentes opérations en Sej> bic écrit: Après quelques journées d'ardenj soleil qui rendit la terre des routes et des chemins aussi dure que l'asphalte, la pluie se mit à tomber,, une pluie torrentielle, diluvienne. Les soldais avaient peine à avancer. Leurs souliers restaient fixés, immobiles, dans la boue dt il leur fallait faire des efforts incessants pour se dépêtrer. Les voitures semblaient changées en barques, entourées quelles étaient de bâches de tous côtés; même les roues disparaissaient sous des enveloppes de cuir. Malgré ces précautions, elles s'enlissaient continuellement et il fallait s'arrêter pour enlever la boue qui immobilisait les roues. Et la pluie tombait toujours, jour et nuit, continuellement... Quand il fallait traverser un village, lesrues, minces par les eaux, s'effondraientsous le poids des chariots. Les élémentseuxmêmes participaient à la défense dupays. Une montagne, une colline venait■ eUc à se présenter" devant les troupes, il 'fallaitatteler aux chariots une demidou-zame de chevaux supplémentaires et alorsseulement, mais avec combien d'efforts, onparvenait à tirer le véhicule des ornièreseffroyables dans lesquelles il 'était empêtré. Et la pluie incessante tombait toujours, noyant les munitions, gâtant les pro, visions de bouche. — _^. -$>—*& çœ~UXfliA.B8«Of4« iifi» URINAlKas mltatwn i À franc* H. matin à 8 il. b0lr tone de 6 à 12 n. (9175 MfcUSE pmes. — Pension. — Coulis À touto époque. ^ imsntcompiet:25fr. loin auaciiô À la maison. poulev. du Nord iourheuse |n3 pratique, 1erdiplôm» •Directrice maternité i, consult, à coûta epoqm, Iment: 10 franc* Meoeciq I attaché à la maison. |e de la Rivière (Nord) brevets 1913 : Traitement Hherir. La Société Anonuna lire du brevet bulge ci-deeam, bersonn«s conipéiontee pota lion. G. Bede

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