Le quotidien

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09 februari 1916
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s.n. 1916, 09 Februari. Le quotidien. Geraadpleegd op 23 juni 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/8c9r20sw5m/
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Vanden Branden 40, rue du Bateau BttUXr-LLK» Massage KNUCURE, r. Keure, 48a, premier étage. Entrée dir. de 11 9 h. iiou^>uF ,VGltllaI ' l'étude du coup de *èt ri ^ dueàHérico,Utrt, et l'entraîne^u™ recrues a été recherché par Vi- Leitenstorfer a très bien mis en relief que dans les exercices militaires le vrai épuisement nerveux ne s'établit pas après des travaux de courte durée, mais seulement après un long surmenage des muscles du squelette, par la somme d'efforts répétés, comme les marches forcées, les ascensions des montagnes, la gymnastique. Pour faire disparaître cette forme de fatigue, le repos seul ne suffit pas : la prise des aliments et le sommeil deviennent alors indispensables. La faim exerce aussi une action neurasthénisante A ce sujet, Leitenstorfer citel'exemple d'une division qui, pendant lesiège de Paris, donna vingt-trois foisl'alarme sans aucun motif plausible, alorsque le fait ne se produisit que deux foischez la division voisine La raison de cesalarmes fausses ne doit être rapportée ni àun effet de tactique, ni à un excès de zèle,mais à une alimentation insuffisante. La « division d'alarme » était commandée parun officier qui n'attribuait pas une grandeimportance à la nourriture; les soldats affamés étaient surexcités, se disputaient entreeux, etc. >-« ^ g&-< Nouvelles de la Guerre BULLETIN ALLEMAND Berlin, 8 février. (Communiqué de midi.) Théâtre de la guerre à l'Ouest : Au sud de la Somme, vive activité de part et d'autre. Au cours do la nuit du G au 7 février, un petit tronçon de tranchée, faisant partie de notre nouvelle position, nous avait été arraché. Hier, à midi, les Français ont tenté une attaque, précédée d'un violent bombardement préparatoire; ils ont été repoussés. Dans la soirée, une contre-attaque do nos troupes nous a remis en pleine possession de nos positions. Une escadrille d'avions allemands a attaqué les installations du chemin de fer à Poperinghe ainsi qu'un campement anglais établi entre Poperinghe et Dtxmude. Après une série de combats avec les aviateurs ennemis qui essayèrent do la repousser, notre escadrille est rentrée sans pertes. Théâtres de la guerre à VEst et dans les Balkans : Pas d'événements importants; >~è^»~(: BULLETIN AUTRICHIEN Vienne, 8 février. (Communiqué d'hier?) La situation est restée, partout, la même.Vienne, 8 février.(C'ommuniquè de midi.)Front russe. — Favorisée par le tempsclair, l'artillerie a déployé, hier, une activité plus intense sur tout le front nordest. Au nord-ouest de Tarnopol, dans lanuit d'hier à aujourd'hui, les Russes ont,à plusieurs reprises, attaqué un des pointsd'appui avancés de notre infanterie. Ilsont réussi à y pénétrer momentanément,mais en ont été expulsés peu après. Fronts de l'Est et 'des Balkans. Rien de particulier. ^>-^.fgi-< BULLETIN TUR0 Constantinople, 8 février. Le Quartier général mande : Sur les différents théâtres de la guerre, aucun changement important. H»>»-< BULLETIN ITALIEN Rome, 6 février. — Du généralissime italien : A part l'action de l'artillerie, il n'y a pas à signaler d'événements spéciaux sur tout le front. Rome, 7 février. — Du généralissime italien ; Dans le Tre?itin et en Carinthie a eu lieu l'action ordinaire de l'artillerie et de nos édaireurs. Sur tout le front de l'ïsonzo, on signale une plus vive activité de l'artillerie et des aviateurs du coté ennemi. Notre artillerie a répondu efficacement et a forcé les aviateurs'ennemis à se tenir à une grande hauteur. Dans le secteur de Zagora (Isonzo moyen), un de nos aviateurs a livré une attaque hardie contre deux avions ennemis et les a mis en fuite par un feu de mitrailleuses. BULLETIN BUSSE Petrograd, 6 février. — Du grand étatmajor : L'activité des aviateurs allemands dans îe district de Riga a continué. Nos aviateurs ont jeté des bombes sur la ville de M it au et sur le pont du chemin de fer qui traverse YAa. - Dans un des secteurs du front du général Ivanoff, nos éclaireurs ont découvert un système de mines ondoyantes ennemies. Ilsr^ ont établi un fil de communication entre les mines ondoyantes et leurs propres retranchements et ont fait sauter 40 de ces engins.^ Près de la route de Brzezanytnous avons réprimé par notre feu les teiitaitives ennemies de s'approcher de nos retranchements. Dans l toria-Cellege. PHOTOGRAPHIES SOUS-MARINES Nous avons parlé, il y a quelques jours d'un» exposition de photographies sous-marines organisée en Angleterre. Vsici à ce propos quelques détails concernant lef premières expériences de photographie sous-mari* ses faites par M. Bouton dont les travaux d'océasographie sont universellement connus. M. Bouton fit construire un appareil photogra* phique d'une absolue étanchéité et il essaya d'abord de prendre des vues à la lumière naturelle; les résultats furent médiocres. La. pose, en raison du peu de clarté de l'eau,, était fart longue, et la moindre agitation de Ponds brouillait les épreuves. Il songea alors à faire des isstaatané3 et dans ce but, il inventa une lampe à éclairs qu'il disposa dans une barrique, faisant l'office de cloche à plongeur, et convenablement lestée. Cet irçénieux appareil se composait d'une lamps ~à alcosl recouverte d'une calote de verre percée de trsus qui la mettaient en communication avec l'atmosphère de la barrique. Une boîte en cuivre à deux orifices remplie de poudre de magnésium, rk vée à la lampe, l'un des orifices étant muni d'sa bec, dirigé vers la flamme, tandis qu'à l'aurte vs« sait s'adapter un tube en métal dont l'extrémité" était reliée à une poire en caoutchouc, fixée à l'intérieur de la barrique. L'opérateur, revêtu du scaphandre et muni d» son appareil, quittait l'embarcation qui l'accompa* gnait et qui portait la lampe et les accessoires; il prenait pied au fond et quand il était prêt à opérer, la barrique était descendue, l'opérateur pre», sait sur la poire et l'éclair jaillissait. Autant de pressions sur la poire, autant d'éclairg et autant de clichés. Les épreuves ainsi obtenues étaient parfaites et M. Bouton a pu, avec son appareil, opérer à de graades profondeurs. EMPOISONNEMENTS PAR LES GATEAUX Des enfants de l'école de la rue Buffon etes enfants dont les fair, 1aaii# quartier du Jardin des Plantes étant tombés gravemeat malades et trois d'entre eux étant morts, uns enquête révéla qu'ils avaient été victimes d'uu enn peisonnement produit par l'ingestion de gâteaux à la crème vendus à Paris. Un journal fit faire une enquête par un reporter scientifique et publié le résumé do l'opinion d'un chef de service du laboratoire municipal, M. Brebinaud croit que ces empoisonnements sont dus à des champignons inférieurs, sortes ds moisissures, qui se développent très rapidement dans ce milieu on ne peut mieux approprié. Ce ou ces champignons végètent dans des ma* tières sucrées. Ils sont extrêmement toxiques, pro* roquent de violentes douleurs d'entrailles, de la diarrhée et des vomissements. Ils sont d'apparence glaireuse et transparent*, Cest à peine si on les remarque au sein du sirojj qui apparaît seulement comme épaissi. Le filtre en papier les retient facilement et le produit filtré n'est plus toxique. Tous les chimistes connaissent la difficulté qu'o» éprouve pour protéger, dans les laboratoires, uns solution de glycose contre l'envahissement des cryp* togames. Or, dans la crème des pâtisseries le milieu «n cré est complété par de la gélatine et de l'albnmine. En moins de vingt-quatre heures, par une température chaude, plusieurs kilogrammes ds produit peuvent être infestés ot infectés. Il suffit que l'easemencement soit fait dans de bonnes conn ditions. H n'y a rien de mieux pour cela qu'une vieilli, crème mélangée à de la crème récente. Elle se coa-r duit exactement comme un levain, comme les ferments que les boulangers ajoutent à la pâte pour la faire gonfler. (Les explications données par M.Brebinaud sont *»♦•» ^-fs»-

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Dit item is een uitgave in de reeks Le quotidien behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1917.

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