Le quotidien

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s.n. 1916, 07 April. Le quotidien. Geraadpleegd op 16 juni 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/br8mc8s35n/
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Adresser toutes les communication» A LA. Direction générais du "Ossîidisn» US, boulevard Militaire Les manuscrits non insérés □s sont pas rendu»» LE QUOTIDIEN G«tok BOJfNET, Directeur généra). A. BÔGHAEET-VACHÉ, Rédacteur en chef. ADRESSÉ» TOUT CE OUI CONCERNU la rubliciïé ARTHUR LAUSÎEMT Administration vout la Beigiqu» Eus du Midi, 70 (près de ta Denise) I-e journal décline (ouïe responsabilité Quant â ia teneur des annonces. Le Discours du Chancelier allemand Le chancelier von Bethmaiin-Hoilweg s'est exprimé de la sorte, au [letchsiag, le 5 courant; sur la politique extérieure et militaire do l'Allemagne : Messieurs, Lorsque, il y a trois mois, je parlai devant voua, je me suis efforcé de vous donner, sobrement, d'après les faits, un aperçu de la situation militaire. L'entreprise des Dardanelles s'est terminé* par un fiasco. Depuis la glorieuse campagne serbe, où l'armée bulgare a récolté, à nos côtés et à ceua dâ l'Autriciie-Hongrie, une gloire immense, le Monténégro et le nord de l'Albanie sont tombés au pouvoir de nos alliés. Les Anglais continuent à diriger leurs eiîorts en vue de délivrer leur armée investie dans Rut-el-Amara. Le» Russes om réussi, il est vrai, au moyen des forces numéri qaement très supérieures, à s'emparer d'Erzeroum, 21*1* d'importantes forces turques leur interdisent toute marche en avant. De même qae les attaques russes en C>ai Lie orientale, les assauts répétés dea Italiens coctie le Iront de l'Isonzo ont échoué devant la ferme intrépidité des troupes austro-hongroises. Le3 Russes ont de même, au j5rix d'efiorta inouïs, lancé leurs colonnes d'attaques, sur un front étendu contre nés propres ligues. Elles m *»ni écroule es avec des pertes énormes devant :Hia-denburg et ses bra\es. Les peuples eunémis avaient éti convaincus par leuis gouvernements que nous étions au- bout de notre eâort militaire, que nous Savions plus d'hommes et que le moral de nus troupes était ébranlé. Eh bien ! Messieurs, je pense qu* la bataille devant Verdun les fera changer d'avis ! Les opérations, préparées avec des précautions géniales, soist exécutée® héroïquement par no» troupes q ai remportent avant âge sur avantage sm un adversaire se battant avec une bravoure sans égale. Ainsi la situation militaire est excel lente sur tous les fronts et répond-elle à toute attente.Messieurs, il convient, que je le dise dans cette assemblée: Quelle reconnaissance, quelle vive reconnaissance ne devons-nous pas à nos soldats et à leura ohtifs qui s« trouvant au-de hors, au loin, et qui, drpuis tantôt vingt mois, défendent, tout comme au premier jour, 1a patrie- de leur corps et de leur* vie, avec courage et mépris de la mGrt. No» ennemis eapereuî parvenir à leur but, qu'ils iu, peuvent atteindre par la force de» armas, au moyen de la tamine et du biocus. Je ne parviens pa* à comprendre cocunent de sang-froid on puisse sneore croire à cette chimère, après les expérience» cW l'année 1915. Nos ennemis perdent de vue que notre organisation publique peut, grâce à la force organisatrice de toute la popnl v on, résister aux as-t.géï ~€> le.-» p' is -■ du u tn^ 1 t Je vrc» Ils oublient que le peuple Allemand dispose de réserves morales extraordinaires qui le mettent e» état de limiter sa manière-de vivre qui avait fort augmenté ces dernières années. Que** ferait-il par conséquent si nous devions par exemple en re venir. provisoirement, aux conditions d'alimentation k et de consommation de viande de la période d» 1870? Je pense bien que nos adversaires se souviendront que la genûrafton de cette époquo était ^sââ2 solide pour porter des coup» sensibles. Messieurs, les mois que nous traversons en ce moment sont difficiles, je le dm sincèrement. Il» obligent à des économies plus d'un ménage, ils apportent la gêne dans mainte famille. D'autant plu» grande ei plus reconnaissante est notre admi ration pour l'esprit de sacrifice, donc ia population p.uvre fait précisément preuve à l'égard de la patrie, qui fait qu'elle s'accommode des difficulté* du temps et qu'elle est prête"à tout dans cet.e lutte à la vie ou à la mort. Telle3-'sout les rapports qui nou» viennent de tous les points du pays, mais ils disent en même temps que le travail de ceux qui sont restés au foyer portera ses fruits, si. le Ciel bénit les champs. D'avis unanime, les semailles d'hiver sont en excellente condition, Oui, il s'en* passé des années depuis que les bulletins agricoles aient pu faire enregistrer un tableau aussi plein d'espoir. La récolte en grains de l'année 1915 fut un« des plus mauvaises depuis de» lustres. N'éan moins, notre blé ne nous suffira pas seulement jusqu'à la nouvelle récolte, mais il nous permettra d* commencer l'année nouvelle avec une réserve imposante. La puissance économique agricole de l'Allemagne s'affirmera une fois de plu3. Nous noua suffirons à l'avenir, comme nous nou3- sommes Tufû jusqu'à présent. Messieurs, dans ses efforts pour nous, bloquer et nous ait amer, en étendant la guerre à tout le peu oie allemand, y compris femmes et enfants, l'An gieterre et ses alliés ont mis à l'ordre du jour la méconnaissance du droit des neutres de faire le commerce librement et d'être en relations avec les Etats centraux. La note américaine du 5 décembre 1915, établissant exactement les atteintes de l'Angleterre au droit des gens, n'a pas encore jusqu'à présent, pour autant qu'il soit connu, reçu de ré ponse de la part du gouvernement anglais. De mê aie que celle-ci, les autres protestations des pays neutres n'ont eu d'autre effet, auprès de nos enne nus, que de nouvelles atteintes aux droits de neutre* Le gouvernement anglais n'a pas eu honte d'interdire jusqu'aux etrorts humanitaires de phi lamhropes américains, tels que 1 envoi de lait aux enfants allemands. Les règlements reoemment émis psu l'ordei 1» Couûcil menacent le commerce légi tini* vers les poi1» neutres d'un blocus plus rigou T«ux, contraire au droit des gens, contre la viola-iioo duquel le gouvernement américain a déjà élevé des protestations. Aucun état neutre raisonnant avec câline, qu'il nous .soit bienveillant ou non, œ peut exiger du nous que nous ne résistions pas à cette guerre ci* famine, contraire aux droits <!es gens; lis ne peuvent attendre de nous que nous uous laissions enlever les moyens de défense dont anus disposons. Nous dwoua nou.» servir de ces moyens, et nous nous en servons. IN ou» reconnaissons les j ustes intérêt* des neutres dans le commerce mondial ni sus mer. Mais noua noua attendons à ce que les égards dont nous faisoue preuve soient compris par eux et que nos droit». tkiiMi que nos devoirs d'exercer de» représailles par toua moyens contre cette politique d'alfa nullement de nos ennemis, dédaigneuse uon seulement du droit do» gens, mais aussi de l'humanité la plus élémentaire, soient reconnus également. Depuis que j ai pris la parole ici ia dernière fois, nous avons été amenés à déclare# la guerre au Portugal. Nous avons appris à quelle série d at teintes à la neutralité le Portugal s'est, laissé entraîner. La saisie de nos navires effectuée sous des saJvuâ d'artillerie a fait déborder la coupe. Le Por tuyal a a<fi sou» l'influence de l'Angleterre. L'An gieterre a de nouveau prouvé sa protection amical* des petits Etats. Lorsque le y décembre, j'exprimai ici nos dispiasr t:ons à d'éventuelle» négociations d«? paix je déclare, que je ne pourrais distinguer les ciemes disposition» parmi les gouvernemtits ennui ia. Tout ce qui es arrivé depuis lors et ce que nous avons appii® paa l'organe des dirigeants ennemis, a prouvé que j avaij raison. Les discours tenus à Londres, à Paria, à Sv Pétersbourg, à Rome, sont ai significatifs qae j< n'ai pas à y revenir. Un seul mot seulement à l'adresse dn premier ministre anglais M. Asquith, Je ne veux pas répondre à ses' invectives personnelles, attendu qu« je tiens des allusions persoxunel le», même en temps de guerre, pvur peu digne». Pour terminer je veux répondre brièvement. Poui M. Asquith la condition « sine qua non » de tout pourparier de paix consiste dans l'auéaiitissemend complet et définitif de Ut puissance militaire œ la Prusse. Concurremment M. Asquith mêle à nton discours -des propositions de paix de la part d« l'Allemagne. Chacun des partis serait prêt à discute* des propositions de paix émanant de la partie ad verse. Oui, Messieurs, admettent un .instant qu« je propose à M. Asquith de nous réunir pour discuter la possibilité de* .la conclusion de la paix et que M. Asquith commence par poser en avant l'anéantissement complet de la puissance de la Prusse : la ci 1 settssiwu. serait terminée avant d avoir commence. A de papille» conditions de- paix, i' n« nous reste qu'une réponse à faire, et nos armes la foEirnira. Si nos ennemis veulent continuer à répandre le sang, à tuer leurs semblables, à dévaster tout» l;Europe, la responsabilité eu retombe sur eux. Nous sommes prêts, et uot-re armée portera des coups toujours plus terribles. Au début de la guerre, j'ai rappelé le mot de Moitise disant qu'il n>aus faudrait encore une fois défendre dans une nou veLle ba'aiILie sanglante, ce que nous avoru acquis en 1870. Pour garantir l'unité, la Ifberté de l' Allemagne nous sommes entrés en guerre, tout le peuple se levant comme un seul homme, et cette Alfenia-gne une- et libre que nos ennemis veu leut anéantir. L'Allemagne redeviendra puissante, comme au cours des aiecies passes, exposecs aux cuuv0itis3s des puissances voisines, même après la guerre, à jamais enchaînée en plein épanouissemunt de ses faeultes économiques. Voila oe que nos ennemis entendent pai- l'anéantissement de la puissance militau-e prussiemie. Ils viendront 3'y briser la tète. Quant? à nous, que désirons-nous '! La San sou et le but de chaque guerre sent- po-.tr nous: PAllemagne une, si bien unie, si bien détendue que plus jamais personne- n'éprouve le désir de vouloir l'anéantir, que chacun de par tout l' Univers doive-recoiintaiar» uos droits-à l'emploi de nos forets pacifiques. V01IÀ l'Allemagne que nous voulons obtenir et non lJaneauy tissement de nations étrangerecs. Et c est là- en même temps que réside le salut du continent européen ébranlé dans svs bases Que peut oafeir à" T Europe ia coalition ennemie? L- ftUSCi.e> . 'i— ,Jrr^r-'r *1? la ''o'.QiÈÇ " ^ 1" Finlande ; la France : les prétentions à l'hégéniome, â cette hégémonie qui a fait notre malheur ; l'Angleterre : la division, un état d'irritabilité permanente qu'il 1m pir.it d'appeler l'équilibre sur U» continent européen et qui a éu> la condition uit-ime et ultime de tous les malheurs survénus dans cette guerre à l'Europe et à tout l'Univers. Si ces trois puissances- ne s'étaient pas liguée» contre. nou3 et n'avaient essayé de ramener en ar riere le cycle de l'histoire des temps à jamai» disparus, la paix européenne se serait améliorée graduellement par la puissance d'un développement paisible. Voilà le but que recherchait la politique allemande avant la guerre. Nous pouvions obtenir'ce que nous désirions par le travail pacifique. Les ennemis ent voulu la guerre. Com aient l'Europe ressuscitera-t-eile de ce torrent de sang et de larmes, des tombes de plusieurs millions d'êtres?. Nous sommes entres en campagne pour notre défense. Mais ce qui était,.n'est plus. L'histoire a marché à giand pas. Le retour en arrière n'est pas possible. Notre intention, ni celle de l'Autriche-Iiougrie, n'a pas été de rouvrir la question polonaise La destinée des batailles l'a dénouée La voilà maintenant qui attend et aspire à ia solution. L'Allemagne et l'Autriche-Hongrie doivent la résoudre et ils la résoudront. L'histoire, après des événements aussi sensationnels, ne connaît pas le siams quo a:Us La Pologne de- demain, après la guerre, sera une Pologne nouvelle. La Pologne rançonnée et exploitée par le Russe Tschinov.u k n'existe plus. Même des membres de la Douma ont déclaré ouvertement qu ils ne pouvaient se représenter le retour d'un liscllinowmk en ces lieux ou un Allemand, un Autrichien et un Polonais ont travaille entretemps honnêtement pour ce malheureux pays. M. Asquith,. dans ses conditions de paix, parle du principe des nationalités. S'il fait cela, et se substitue à un adversaire invaincu et invincible; p>eut-il admettre que l'Allemagne livre à nouveau délibérément aux mains du regiment des réactionnaires russes, les peuples délivres par lui et ses alliés, et qui habiient entre la mer Baltique et les marais de la VVctfaynie, qu'ils puis eut être Polonais, Lithuaniens, Baltes ou Lettois? Non, messieurs, la Russie n& pourra plus pour ia second, tois laisser marcn.r ses armées contre les frontières non-détendues de ia Prusse oîiéutalç et occi dentale ni se servir encore une fois, même avec de l'argent français, du pays de la Vistule comme d'une porte d'invasion dans l'Allemagne non protégée.Quelqu'un peur-il croire que noua puissions abandonner sans une complète assurance pour notre avenir, les pays occupe.s à l'ouest et sur lesquels a coulé le sang du peuple? Nous nous assurerons dc«a garanties réelles de manière que la Belgique ne devienne pas un Etat vassal anglo-français, qu elle ue soit exploitée militaïc einentr et économiquement comme un rempart contre l'Allemagne, ici uc*ii plu« il ne s'agit pas d'un st-atu qua ante.. Ici non piu* l'Allemagne ne peut, abandonner à la francisation le peuple flamand longtemps opprimé Elle doit lui assurer an développement répondauit à ses dispoi») Cions sur la base de sa lajigua aeerkuidateo et de sen particulaâ'ités. Nous ne voulons de voisins, cjui se coalisait à nouveau contre nous pour nous- otranglei. Nous désii'/iu avoir des voisin» travaillant avec nous et a . cf qui nous travaillons pour nos intérêts communs. Savez-vous, Messieurs, quelle était la situation avant lu guvfre? A Anvers, le travail allemand pacifique de paisibles citoyen» allemands a contribué très visi-h^meut au bien-être du pays. Ne nous efforçons-nous: pas encore maintenant d* relever, dans la mesure du possible, la vie économique du pays? Le souvenir de cette guerre restera longtemps- encore vivace dans ce pays profondément <jtrouve;, mais nous no pouvons permettre, dant notre intôiet mutueîy qu© de nouvelles guerres puissent y trouver leur source. (.4 svivrs.) ' Nouvelles de la Guerre • }—c.t»—< BULLETIN ALLEMAND Berlin, 6 avril (ConimuHtquè de Théâtre de La guerre à l'Ouest : A l'ouest de La Meuse, La journée a été très agitée, d'abord par suite des feux de préparation que nous avons concentrés, sur les alentours de Raucourt. Dans l'après-midi, notre infanterie, à son tour, a déployé une grande activité. Elle a enlevé d assaut le village de Hautour t et, à l'eat de cette localité, un point d'appui que les Français avaient solidement organisé. L'ennemii a essuyé des pertes sanglanUa très importantes et, en outre, laissé entre nos majia 11 officiers et 531 hommes non b!essés> appartenant à deux divisions différentes. Sut . la rive droite de la Aieuser nous avons prompt;.ment écrasé une nouvelle tentative des français dirigée contre les positions qse nous avons enlevées, le 2 avril, dans le bois de la Caillette et au nord-ouest àe là. _. Théâtres de la guerre al Est et dans les Balkans : Il ne s'est passé rien de particulier,lîerlin, 6 avril (officiel). — Dana la nuit du 5 au ô avril, des dinyeableB do la marii» ont détruit, près d© Whitby, uno yninde usine métallurgique comprenant des hauts-fourneaux et de vastes iustaltotiuns; auparavant, ils ont lance des bombes» explosive» sur une batterie établie au nord d» Huil; celle-ci a ûte mise hors de combat. En outre, ils ont bombarde les fabriqués de Leeds et des environs ainsi que plusieurs gares du district industriel; ou a constaté que eus attaques donnaient de très bon» résultats Nos dirigeables ont été violemment canon- : nés; tous sont rentrés indemnes. Liib AlUCllkb ALLEMANDES ! Londres, 6 avril. — D'apre» une ilôpéche 6» Malte, le vapeur Clan Campbell, de Glasgow, c été coulé par uii sous-marin, dan* U Méditerranée; 1 équipage a été sauvé. — Le vapeur anglais j Bsrkindvale, 5,342 tonnes, a été coulé. " — i BULL£ iiîi TURtî < uoixsirmrrnoprê, "o-îivnr. — u,» ^tiadior y général mande': Sur le Iront de Clrak, au- j cun Gliauy-Liiiiciit. Sur le Iront du Caucase, il y a eu rencontre entre dfey detadiemenia ( envoyés ^ reconnaissance. Un croiseur eiv , neïni a lance une ©entame de projectiles sur ia côte, 'd:Edutnxijili, a l'ouest àtErcyli. il n'a obtenu aucun 'résultât'. Lu 3 avril, notre llotfe a el'iicacenienl coutume le» positions ennemie de la frontière caucasienne. Prises ( a l'nnproviste par cette attaque inattendue, j les troupes ennemies ont abandonne Le-ura positions et fui ea desordre, laissant sur ie terrain une foule de tues et de blesses. Au cours de la même journée, notre flotté a canonne et couié un navire russe chargé de munitions. L>ans la nuit du 3 au 4 avril, ie croiseur ' Midilli a couié un grand voilier ennemi» après en avoir t'ait l'équipage prisonnier ; il transportait dn matériel de guerre et autre. Le 4 avril au matin, ie MïdXlh a rencontré une escadre russe, composée d'un grand cuirassé du type de l'impératrice 1 Maria, d'un croiseur et de trois tropilleurs; j ces navires se sont bornés à canonner ie Midilli de tain et sans aucun résultat. >—— BULLETIN FBAKGA3S ! Paris, 5 avril. (15 heures.) En Aryorme, combat à la grenade dans 1 le secteur de Bolcjite. A la Fille-Morte, nous avons t'ait sauter d<Mix mines qui ont endommagé une tranchée ennemie. A l'ouest de ia Meuse, nuit, relativement calme. A l'c.sf de la Meuse, nous avons engagé 1 plusieurs combats partiale au cours des- ' quels nous avons progressé dans les boyaux au nord du bois de la Caillette. En \\ oevre, bombardement intense des secteurs de Moulamcille et de Chatillon. L ennemi a jeté dans la Mcu-se, au nord d*> Saint-Mihiel, 22 m:ucs-qm sont venues exploser sur nos barrages sans causer des dégâts. En Lorraine, ['ennenvi, après un violent ' boinbardciiient de nos postions entre Arra-courl et SainUMaj'Un, a lancé plusieurs petites attaques d'ml'an4ene échelonnées sur divers points de ce secteur, li a été partout repoussé par les feux de nos mitrailleuse» et les tirs de notre artillerie. Dans les Vosges, une forte raconnaissance ennemie qui tenta d'aborder nos tranchées au sud-est de Celles a été dispersée. Paris, 5 avril (23 heures). En Belgique un tir de destruction sur les tranchées ennemies en face de Sleenslraete a donné de bons résultats. Au nord de T/lisn* notre artillerie s'esi montrée active entre ie bois de Beaumai^at* (sud de Craoane) et Berry au Bac. En Aryenne notre artillerie a continué ees tirs de concentration sur le& lignes et lea voies de communication du front ennemi notamment dans la région de Monijaacon et du bois de Mdtancourk A l'ouest de la Meuse journée calme. A l'est de la Meuse canonnade intermittente dans Le secteur de Douaunmnt-Vaux. Aucune 1 action d'infanterie sur l'ensemble du front dans la région rie Verdun. BULLETIN ANGLAIS jL-oodies, 4 avril. — Du War Oficg l ' Lier, un de nos avions a abattu usa avion allo nanti derrière nos lignes au sud de Souches; le pilote et l'observateur gooî mo r-ss. Aujourd'hui, l'activité a été vive Hb»tm le* deux camps près de Sotuhczx Angrts, Sûdf-Eloi et Y près. ' )uelque activité de mines près de Neu-vu : t Saini-V aastt Hidluck et La redoute Bonenzodlera. >-<3g'frP-< ■ , . - BULLETIN ITALiuH mm, 4 avril. — Du généralissime iia- li4 ■■ '.ix ksig de toot le front, aotivité récipro-qu 1 de l'artillerie, très vive entre les vallées dc Laganna et de Sugana et sur Isa tlau-tevjs au nord-ouest de G or». Darj la nia* dt 3 avral, de petites attaques contre Dos ;.x- tioina du ReuchkofcL (Monte Crutailo) et 'tr le Marsli Brh [Monte Nero) aœt été re^-oassées. i tas avions ennemis ont tenté des raid» r-C .îrnés sur notre territoane, mais ont ete ch< 5sé3 toutefois par le feu de no» batzo-rue; et les contre-attaques de nos .avions; un av on est parvenu à jeter deux bombes sor Bu roue, qua n'ont occasionnié que do «lé-s minimes. a de nos avions C&pronà a jebé une twisbe lourde sut Grafenberg ( G cri) et a pn^oqué un incendie OM* ■ | I ■ ■ ■■■!!■. Il 11 BULLETIN RUSSE ? strogra-d, 4 avril. — Du grand état-major : » a crue des eaux coniuiue Les Aiile-Baiiids poursuivent la canonnade de la têt* ie pont d'Uxkul au moyen des batteries ie gros et petit calibre. ' levant le village de Maslakowka,, a.u ( -est de De.na.bowg (10 kiL), noua avom ; xxi ibardé avec succès le» Allemand*» qui 1 W é^aoué leurs tranchées montciéea. , Sjt le front des troupes dn générai j lv pas d'événements importants. ( I n beaucoup d'endroat* des aviateurs anfamia ont survolé nos abris. Neuf bom->ea on,t été Lancées sut Djcuhowiischi. y ans la région des villages de Bogus- < - ' L : et de Baszlyki, au nord-est <J ■ la gaxe < i'tf ' y h»2, nous avons refoulé des f ^ n.< -S t r.^ v.. hé^S. ,v)es aviateurs ennemis ont jete ci« «j sur Rnivreo et Sarny. ( Dans la région d<* Sofanow, au nord- t ïucsàt de Krzemicmc (8 klL), Veameoiî aduler deux mimes. Il n'a pas pu s'emparer i<. l'entosnnoûj. Une attaque ennemie daiu a région de la ligne ferrée à l'ouest d? ( T arnopol a été repoussée. Au nord de Bojan, l'adversaire a fait ►auter une mine devant noa tranchées. Sa ( «ntative en vue d'occuper l'entonnoir n'a wa eu de succès. ' ( LE BLOCUS DE LA CRETE La Gazette de Francfort apprend que le >locus do la Crète, décrété par les alliés, aeni d'être Levé. BOMBARDEMENT DE SAMOS ] La Défense d'Athènes annonce que U pré-t>t de Samoa a informé ie gouvernement jrec que le consul anglais, accompagné du îommandant des troupe# alliées, eat venu u< annoncer que les allié» allaient bambar-ler le quartier de la ville habité par le« ' l urca, attendu que ceux-ci aidaient les sous- 1 narins allemands en leur cédant des article* ie contrebande. Le préfet déclara que cette -iftirmaLion était inexact», et que les Turc» ie disposaient pas d'article» de contrebande i j de moyen* de transporta pour aider le» Mlemands. Le commandant anglais déclara jue le bombardement aurait lieu néanmoins-puisqu'il en avait reçu ordre. Alors le préfet jrdonna t'évacua lion du quartier de Samos labité par len Turcs. Lea Anglais commeu-ôrent le bombardement à l lieuie indiquée. II n'y eut pas de victimes. Des maisons oui ité détruites. L'EPIRE SEPTENTRIONAL Le Patris et YEmbros disent que l'ambassadeur italien a protesté auprès de M. Sku-îdis contre la formation, dans le nord de 'Epire septentKonal, de bandes grecque# lout les incursions entravent les mouvements des troupes italiennes dans ie sud de 'Epire. M. Skuhdis a renouvelé se3 déclarations en disant que ces bande» ne se sont pas "onnées en territoire grée, et a attiré F attention de l'ambassadeur sur l'apparition, A la Tontière d'Epire, de bandes albanaises qui semblent avoir l'intention de pénétrer en jrrèce. UN INCIDENT ITALO-GREC On mande d'Athènes que M. Skulidis aurait déclaré (^ue de» troupes italiennes avaient franchi la nouvelle frontière grecque, ô deux kilomètre de Chalassa. La Grèce a protesté. Après vingtr-quatre heures d'attente, une seconde protestation fut formulée : les Italiens abandonnèrent alors le territoire grec. UN AVIS DE L'ETAT-MAJOR NEERLANDAIS Une dépêche d'Amsterdam annonce : Le commandant suprême de* forces de terre et de mer fait connaître qu'il n'accepta pas la responsabilité d'informations dont 1a forme expresse n'indique pas qu'elles émanent du grand quartier généraL t UN DEMENTI NEERLANDAIS Une dépêche ofticielle de La Haye annonce : a Un communiqué de ia Soenska Daybladet a été publié, mercredi, dans la presse néerlandaise, oU on afiirme que le gouvernement britannique a proposé au gouvernement néerlandais d'autoriser le passage d'une armée par la Flandre zélan- j daise. , Le ministère des affaires étrangères an- 1 nonce que cette affirmation est complètement fausse. RAPPEL DE CLASSES PvUSSES La réserve russe du deuxième ban qui n'avant été rappelé jusqu'ici que dans cer- ' tains gouvernements vient d'être convoquée par ukase impérïaJ dans toute la Rusr-ic, sxceipté le Caucase et le district de l'Amour. Il s'agit des classes de 1906 à ( 1916. f EN MACEDOINE Uae dépêche d'Athêno annonce : Les £ Fiançais ont renouvelé ieux demande de pouvoir encore étendre leur front de la t lauteur de Lingowand j usqai à Luchano. 1 aim d'y établir une première ligne de com- « ^at improvisée On négocie à ce sujet à c Athènes. 0 Les Français saisissent jooniiedlemeni L les aacs postaux adressés à Soiia, Berlin t st Saionique; ils ont ouvert à diverses reprises à KavalLa et à Saionique Les sacs c postaux de l'état-major général grec; lia r m ont lu le contenu, puis le3 <mi expédiés v lux destinataires, selon leur bon plaisir Après un combat de frontière sans im- c >ortance, le quartier général français a di- ^ :igé trois divisions au front, prés de Ma-ukowo. La France exige de nouveau de la E j-rèce l'évacuation de tout la Chacidique v sndéans les huit jours. e DEMISSION DU GENERAL ZUPELLI L'agence Stefani annonce : L& Roi a ac-iepté la démission du ministre de la guerre 'upelli et a nommé â aa plaoa le générai ^lorrone. En raison des service» extraordi- L îairea que le général Zupelli a rendus a 'armée, le Roi lin a décerné ta grand-cor-Ion de l'ordre de la Couronne. DANS L'ARMEE RUSSE Le Russiii Invalid publie une lettre*auio~ jraphe du Tsar adressée au général ivanoâ, d [111 vient d'être nommé membre m conseil ^ l'Etat et d'ôtne attaché à la j>ei-sonne du ** fsar. Le journal russe précisé, annonce.la . ^ t , ,c>ll Jf , ^ , Jv;, - ■ -li-.'- ie commandant suprême des armées du e ront sud-ouest. UNE CONFERENCE DE NEUTRES ? On mande de Stockholm que la Seconde- L Chambre du Ryksdag enverra au gouverne- £ nent suédois une motion tendant fc ce que a Suède prenne l'initiative de réunir un® ' conférence des pays neutres. Dans les cercles politiques, on ne paraît >a9 toutefois attacher grande importance 6 û :ette motion, une autre proposition soumise 11 éoemment à la Première Chambre et reia-ive au même sujet ayant été rejetée à une orte majorité. -ii CHEZ LE ROI DES BULGARES c L'Agence bulgare mande d*:> Sofia : Le grince Auguste-Guillaume de Prusse et le lue Charles-Edouard de Saxe-Cobourg-jotha sont arrivés ici. Ils sont les hôtes du soi. : DANS L'ARMEE TURQUE Un iradé du Sultan appelle sous les armes ous les sujets turcs des levées 1886-1897, lés dans les villayets d'Erzeroum et Si va. | Les sujets turcs, domiciliés en Allemagne, j |ui appartiennent à cette catégorie, doivent 1 ie présenter aux consulats turcs. * LA GUERRE MARITIME Le Nieuwe Roterdamsche Courant an- c lonce que la barque de pêche Clara-Nicol ïst arrivée à Ymuiden avec quatorze marins îorvégiens, comprenant l'équipage du ba-;eau norvégien Arena, coulé par mi sous t narin. - J ; Lloyds annonce que le vapeur norvégien fno a été coulé. L'équipage est sauvé. ( * * * On mande de Christiania que, d'après c l'Amirauté anglaise, la barque quatro-mât? norvégienne Bell, a été coulée près d-es îles 4 Scilly; l'équipage est sauf. La BeU jaugeait 3,705 tonnes et appartenait è un armateur de Tœnsberg. . * * • i Le département de la marine hollandais annonce officiellement que le sc-ioener néerlandais Elzina-Helcna a été torpillé dans la mer du Nord. j L'équipage'est arrivé, dans une chaloupe, à boni du bateau-phare Noofé-Hinder. Le vapeur Àtlàs l'a transporté ensuite à terre. Une enquête est ouverte. La EUina-Helena jaugeait 131 tonnes; son capitaine était M. Borselaer. •—— <- i ETRANGER ! DANS LA DIPLOMATIE P.USSB t L« nouvel ambassadeur de Rassis &<i JApua, Krtt- ' peiiakl, » pa'i* congé of flciellemeni i Pékla, et oe rend prochainement à Saint-Péteraboueg. LA LOI D'EMIGRATION AUX ETATS-UNIS D'aprè» i« Bjctj, toute la presse de Tokio exprinx® l'eapoir qn« le président Wilson oppose on veto k f la Douyelk loi d'immigration qui 00aoerne princi- < paLsuvaa* lo Japon. AU MEXIQUE L'agence Router ina,nde de San Joronlmo (Gbâ. îu'uhua/ : Des cavaliers américains ont bat tu i* [er avril un détaçheinemt égai en nombre d« par-Jsttns de -Vil ta, près -d'Agnes Cô&eiites, et tuèierrf >0 hommes. L«s Américains lie s-u-Oaerut pas d# jertôs. Villa'n'assisLatt pas à l aotion. * * * Le g&ûé'icLl Fuffèion vient de demander au mit nstère de la guerre qu'il envoie de nouvelles troa« jea aux Mexique pour protéger Jes lignes de cor* nucication. LA SITUATION EN CHINE D'après des informations russes les villes de Swa-&0. et de raJihoi a* sont» ralliée- aux révoniuoa-îaiTes. Trente-neuf membres de la première a^jetrna-)iée qui «'est tenuo & Manking, ainsi que Taug->cliao-Zi ont exige de Yuan-Tcin-Raï qu'il se retàri» A LA CHAMBRE DES COMMUNES En déposant le projet de budget à la Chambra de§ îomnumea; te ministre fifacèfenaa» a dcJarô que lei !épeiujes budgétaires évalueee à l,6k;ô million* <U ivi*-jj «r^rhng seraient, couvertes À concin-renoé d* ,323 millions par un emprunt mi à concurrence «m Gt nu liions par lea recett-ea ordinaire*. Parmi les nouvelle» contributione figurent nés amment. un impôt progrès f amr le revenu dont 9 résultat est évalué à 43,500,000 livres, eu* ontribution sur les réjouissances publiques qui pro-arra 5 millions, une tax« sur les tickete de chemi'ng e fer, des impôts sur le sucre, 1© cacao, k* ' &l!<a-iettea, les eaux m'inéraks, etc. 'OCR LES C:.1VERSITAIRES PRISONNIERS Un comité, composé de nombreux professeurs es universités hollandaises s'occupe activement d<t ecueillir des tonds et des livre» destinés aux uni-ersitaires pri'sonniers. Provisoirement le comité s'occupera spéciale* lent d'aider les étudiant» belges et anglais pri« ormiers ou interné» et les étudiants allemands risonniers en Angleterre. Rappelons que des comités analogues fonction-ent en Suisse et dans les pays scandinaves en fa* eur de3 étudiants français et russes prisonnier^ a Allemagne et des universitaires allemands ea aptivité en France et en Russie. - > -«as ^ ao—< —a liIosm*_ifers8s E OJLI'IVIL.ÎL ('DOTAL HuLLAi^iXJ-A-MlifiiCAlN L'adminislraiiori de» postes iaO^andaises a ïn->rmé ia direcLiu-n supêrieua-e aes po^ua» suisses u*>. itâ service des steamers postaux en lire Am^u*1-am et l'Atuerique du Sud est suspendu pour un iinps indéterminé. LES PRIX NOBEL L'Aoadcmie de>s soiences suédoise vient de dèd* yi que, pendant K durée de ia gueiTe, les prix oibet seront attribués par l'iaterniediaire des lé akons. * UNE EXPLOSION DE Mlà'ES te , deux gravement blessés. ENVOIS DOR Il résulte de déclaration faites ces jouia-ci ènat par M. Ri bot, muiist re dud finances, que ta auqtier de France, outre l'envoi de &0U millions faù îiiUiéô dorniàrê, vient d effcectaec une nouvelle ea-édition de 600 mili ions d'or à i étranger. LES CHAMPS DE TULIPES Les vastes champs de tulipes et de jacinthes, qoà tstinaient jadis nombre de noe ccuicitoyena en Hoî-inde, sont en ce moment en pleine floraison. LE MANQUE DE POMMES DE TERRE La disette des pommes de terre se fait aeuujr égfc-îm.ent en Hollande. C'est aiusa qu en Fri^e, bu Smmee. ne peuvent recevoir qu'une livre de tuber-iiles par tête et par jour. LA BOURSE DE ZURICH La commission cantonale de la Bourse de Zo-ich a décidé de reprendre partiellement les opéra* ions financières. Toutefois les dirigeant* n'onî as encore jugé le moment opportun pour 1a réo&> ertare de la Bourse des eflets. UN RECORD La barque norvégienne Lancing, de "Qirist&Mîia, lugeant ^.735 Lonnesi capitaine Ohifsen, N'ieiil d« laltre un îecurd. Eilô a fait, en seize jours, le U^ jt de iNew-1 LUîk a Aarhus» (Daneaun'kj. Le ve^u* 'redcrlc VÎll empioâe naiiitue^ieuient vingt jour* our le voyage New- 'ioi'K-Copenhague. AU COLLEGE D'ETON On annonce qu« M. Lyttelton a été nommé rectos* u collège d'Eton, ECHOS St-'OSTifS Le croS3 de.» anciens. — Lee epreuvea do cr<MT-vuntry organisée» p»r Le joiuuaI i'Auco et j^cs»ervees .ux liominea âge» d*f plus de 40 &na, ont ob«aia os ros vif àucco*. Le pai-coux« comprent^it envifuoi IX iiiomètres. Ving-t-quatr* concurr«auiia paruicipaiewv à epieuve, dont voiu 1e* rôsujtata ; 1. Leca 43 ans), en £>b m. 7 â. 3/6 j 2 (i. Maries {4& *uaj4 m 57 m. 2/5 ; 3. Henri Desgrangt». redaotew «a bof de l'Auto (51 ana), ea 68 ai. 13 e. 2/ Les épreuves par catégorie» omt donné l-e» ré*altâ^g uivants : >- Catégorie 40-60 ans : 1. Léou Manood. Categone 60-60 ai» : 1. Hewn Deegrftiigea. Catégorie au ueia de 60 mm : L L Capwja (Gâ kas). Ce vieux brave efîeut-ua ie paroo&ni «nia. 2 m. 33 s. * * ♦ Champion prisonnier. — On annonce que Htmsj )ubédat, le célèbre ooareur pio£ese:cjinel, ehiuc.>«aia le France pouir 300 m <& 1,000 ai. «a champ «au ctol non<ie pour les 1,600 m. a été faa% piueoi^ixer le !8 iévriep dernier dans les combats aa u&sxi <à* /erdun. — -«> ECHOS LlTTfcKAiHkû», ARTISTIQUES s-'T SCIENTIFIQUES Nos artistes à l'étranger. — Une exposition d* lastels, de dessin* et de gravure* d'Armand osse obtient c/i oe moment un très grand *»ccèe & jA Haye. # * * L'œuvre de liodin. — On annonce de Paria qae te calpteur Rodin vient de fane don au gouvemem^afc rançais de ia oollection complète de eoa cbuvw. Cclles-ci eeront réunies dans un musée qui portûni, e nom de musée Rodin et qui eera installé à l'hfosi îiron. * * * Encore tin salon belge — Un nouveau salon belg« i ouvrira samedi À La Haye ; il sera consacré aux euvros — aquarelles et pastels — du peintre *•*-rersois Richard Baieieer. L Le numéro (• centimes —aBB»s5E?Eaqigaanainmin•"zzyjzc ~ wr Vendredi 7 avril 1916. Ji* aimj n° 94. ^jrumKssjaaiegasaaeg

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Dit item is een uitgave in de reeks Le quotidien behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1917.

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