Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1915, 15 April. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 28 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/wd3pv6cd4j/
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20" ANNÉE, — Serie nouvelle. — N° 15r> '^jmiUTrfrri'fi—«wr gggMMMegcac«R7g»^-^^ f^<rn«rTMCiuaoau^rauBaat»«3^ imi iWtfgan Le numéro : 10 Centimes Jeudi 15 avril 1915 RÉDACTION & ADMINISTRATION Jg ter rm d« la Bears» — LE HA.TRB Téléphone: Le Havre n* 14.05 Sirscieur : FEKM) USERAI Tontes tes communications conccrnan, la rédaction doivent être adresscei aSttr:rue de la Bourse, Le Havre. LONDON OFFICE: 21,Panton Street (Broadmead Kcuse' LE XXe SIÈCLE Quotidien tselo© paraissant eu Havre ABONNEMENTS France 2 fr. 50 jjar mois. » 7 fr. 50 par trimestre Hors Franco.. 3 fr. » par mois. » ... 9 fr. » par trimestre Angleterre.... 2 sh. 6d. par mois. » «... 7sh. 6 d. par trimestre PUBLICITÉ Correspondance de réfugiés 6t communications personnelles î Sur le Continent: Los 3 lignes O fr. 50 La ligne supplémentaire. O fr. 25 Angleterre : la ligne 3 d. Autour d'une intsrviev du Pape Etonnemenîs et commentaire Le « New-York World » a public il y quelques jours une interview du Pape,- q) fait l'objet en ce moment de nombreux con mentîmes dans la presse des Etats-Uni: d'Angleterre et d'Allemagne. D'amès le. ii World », il ne s agit pa; comme on l'avait dit d'abord, d'un messa-t du pape, mais d'une conversation qu'il ai rait accordée au journaliste II. V. Wiegani le 5 avril, et dans laquelle il envoyait a peuple américain et à la presse américain sa bénédiction et lui recommandait de tin .vailler infatigablement pour la paix et ( ii saisir l'occasion propice pour répond) ,àux vœux de tout le monde. » Le « Times » consacre h cette intervle "accordée car le Pape à un Allemand envoj spécial d'un journal américain en AUsmi ■gne, un long éditorial dont voici le texte : « Ce correspondant, dit le « Times », e: un Germano-Américain, et comme iï m connaît pas l'italien et que les notions qu possède de la langue française sont insu Usantes, la conversation a dû se faire p; te truchement d'un chambellan pontifie, qui servait d'interprète. Il est rare qu'ui entrevue conduite de cette manière puis: être reproduite avec une exactitude cor pléto et donne clans son entièreté et avi ^précision les opinions exprimées par le Interlocuteurs. Nous n'hésitons pas cepe: 'dant ii admettre la correction de la sub tance de l'interview écrite par le corre pondant américain, dit le « Journal de Cité ». H fait parler le pape comme on pou rait s'attendre à entendre parler n'impor quel pape dans les circonstances présente 'Cependant nous faisons nos réserves rua. 'à toute tentative d'aucuns d'attacher ur importance particulière à des mots ou a d< phiases attribuées à Sa Sainteté jusqu ce (tue nous connaissions sur la foi n'.i: autorité meilleure que celle d'un joui m 'liste ignorant l'italien et le français le termes exacts dont le pape s'est servi. » « La faveur accordée par le Pape au co fespoiuiant, d'abord en lui ■accordant ui Wdii'i.ce, ensuite on envoyant par son i feriTir'iiaire un « Message au peuple amôi •Sain » est très exceptionnelle et .nous- ne po voras rue croire, dit-il, que lo choix fait, ( ii'<3cs(U'ûisoes d'un -joamolfete ■ dte ( an-g an r rffiand et avant des sympathies allernandi kwMMmcâes. peut être mal interprété dai «ie nombreux cerclas. Ce journaliste a reç .au cours ite ces derniers mois, les corn > «fonces (Vu Uronprinz allemand, du, gran çurriral von Tinpitz, du comte Zeppelin et t ioamn andant d'un sons-marin allcmanid.Qi 'Ce .«oit 3a mGme plume ayant écrite leu Iconsidérations sur la moralité de la guer. ! et la façon de la coratoire, qui reçoive (permission de faire connaître les vues, ( RPape à propos de la paix, est, pour le moin une raute de Jact. Par une singulière coin* (tere,'nous œvons reçu en même temps ! wmmeutaîres des prHfcipaax journaux ci eracux d'Allemagne et é'Autriche, tels qi la Gazelle populaire de Cologne et la Rcich l>osl do Vient»,- et les premières r.ouvell «les Iîta<iSS>-U™6 iïu sujet de r « interview h(t œncînakm s'en imposera à bcaucoi [qu'un effort concerté est ftùt pour amen lîaaitorité du. Pape à se porter au même un uncr.!. sur le /peuple ainSEcain et sur ie p •ïilic allemand et autrichien. Une rnanœuv xie ce genre concorderait entièrement av les menées souterraines de la diplomatie i liemande extra-officielle et les raisons po tesqueiHes celte manœuvre se .recomrnanc irait A l'attention de l'empereur Guillaur '«<}r4 siuffisammèrit évidentes. Sa Majesté ienttivé (personnellement l'amitié du Vatioa ,av«c la'plus grande assiduité,sous trois po f-iccossife. Il gaspille rarement ses ; tenlior.s la où il ne s'attend pas à obtenir ■retour des avantages concrets. Les renseignements fournis par le coi îïluniqué « sans fil » allemand tendent renforcer la suspicion qu'un plan de genre a été formé. Ce communiqué fait c server que « l'interview produit une pi fonde impression » et il rapporte un c menti officiel par l'« Osservatore Romani —: l'intermédiaire régulier des commuait tions officielles du Vatican — de la nouve que l'Autriche aurait demandé au Pa i d'intervenir comme médiateur pour la pa Que le Pape, regardé par des millions chrétiens répandus sur le globe comme Vicaire de Celui qui est le Prince de la Pa prie et travaille pour amener une prom; lin do la guerre la plus effroyable qui soit jamais abattue sur l'humanité, cela i .conforma aux plus grandes traditions raux. obligations les plus sacrées de l'augu) ; poste qffii occupe. La paix, une paix juste et durable, i i l'objectif des Alliés non moins que du Se veràin Pontife. Ils n'ont cherché auc conflit. Ils ont en horreur l'idée de Ruer: La guerre leur a été imposée par l'injui agression de la Serbie par l'Autriche et p l'attaque traîtresse de la catholique B gique par l'Allemagne. Quand les Àiliés c tiré l'épée ils l'ont .tirée au nom de tous principes de fUstico et de droit que le chi 'tianismo enseigne au monde depuis t< «çrès d-o deux mille ans. Et ils désirent paix bientôt. Elle ne saurait survenir tr i rapidement selon leurs désir?-. « Mais ils sont peut-être plus décit maintenant — après les preuves donru ',<!ar l'Allemagne de ce que la réalisation ses ambitions signifierait pour l'humai) _ qu'au début de la guerre, à ne sigi it'.auire paix qu'une paix propre à empécl (l'Allemagne do recommencer la lutte pi dant plusieurs générations. Ils sont réso i\ ce que la chrétienté n'assiste jamais p à un spectacle aussi effrayant de crin impitoyables; Le massacre de prêtres cal liques en Pologne et en Belgique, les vi ••do religieuses, les profanations d'églises, i profondément ému la protestante Anglet ire. Elle voit dans ces faits les fruits d'i civilisation qui a cessé d'être chrétien: •sauf do nom, et d'une « philosophie » vertement païenne. Le Pape, qui a un grs nombre île ses enfants spirituels engai clans cette guerre, de chaque côté des cc Imitants, ne fait pas allusion à ces faits, : furellement, dans ses déclarations. Mais Cardinaux et les Evoques do son Egl dans ces pays qui sont tombés en proie c envahisseurs, doivent le tenir purfaitern %û courant de tout ceia, et nous ne douk pas' que son cœur en soit constamment af | tiigé. Nous serions tes derniers à faire ob î jection à la manière dont le Pape intorprèti des devoirs pour lesquels il n'a de compte i rendre à aucun juge humain mais non; sommes convaincus qu'aucun chrétien, i quelcpie communion qu'il puisse appartenir ne peut travailler pour la paix ni ne peu prier pour la paix, aussi longtemps que i< c mal qui a été fait ait été réparé, aussi long . temps que ceux qui ont fait le mal aient éU punis, et aussi longtemps que l'humanité ai jj acquis la garantie que le mal ne sera pas : renouvelé.' « Dans ce sens, nous pouvons !" accueillir sincèrement les paroles attribuées ' à Sa Sainteté. Elles ne peuvent qu'encoura ge,r les Alliés, car les Alliés s'efforcent d'à ' bréger la guerre et. ils le font de la seule ma nière qui peut la faire abréger — en assu [" rant le Irioniphe complet et permanent d< j la cause de la justice et du droit. » e A r>ome, on commente aussi bcaucout ceite interview et on y conclut de l'accuei ;e que lui fait la presse autrichienne que l'idSi 'e «le paix est déjà bien populaire en Autri elle. •v Les journaux romains accueillent le tex'i é du ci New World » avec scepticisme,_ ci l" faisant remarquer que le journaliste qui si Oailte d'avoir recueilli frs paroles di Pape n'est pas un journaliste américain ït mais un défenseur des intérêts allemand: i en Amérique. il La « Tribuna » écrit notamment il ce pro f- pos : ir il « Le correspondant du h New-Yorl ie World » qui a été reçu par le pope os « Karl von Wiegand, connu pour avoir ave v le gouvernement allemand îles relations of ficieuses. s » Il avait américanisé son nom en 1 rr > thographiànt Wigand, et le pape a cru un i s- parlait ii un Américain représentant m 3" journal américain. a » C.e qui est plus regrettable, c'est qui r" les idées neutralistes de Benoît XV ont tt :c dénaturées par l'interviewer. » 3. )t Comme le « Times », nous dirons qui e convient d'attendre pour juger de tout ce!: I® une version plus authentique des dé;!nra tions du Souverain Pontife. ie s LES FÂITSDU JOUR 1- 'i- - -l-? La Gazelte de la Bourse de Pelrograd al rs firme catégoriquement, qu'en Mf-' <l° :! Fcj démentis, f» V « <"'e" c»«ne, i va H sévarèe de Ici part de i Autriche. \ Toutefois, ajoute le journal de Petrograd ii. selon les milieum diplomatiques fisses ca I,, ellorts ne pourront pas aboutir si l A»'triche -P 7/0)17rie ne consent pas ù capituler sans con û dltlôns. Tout retard équivaut pour elle à un „ perte. Encore quelques victoires russes e iS l'Italie et la Roumanie interviendront ; alors ,, le partage de V Autriche sera inévitable. Contre Vylée d'une yeux sepaite, t crilïïuè militaire des Daily News objecte.qu i vour ne i dus avoir a combattre sur te fron a austro-hongrois, les l'usses ne lierraren f; pas leur situation améliorée,puisque les çhe y nrins d'invasion qui s'ouvrent jXir la Silésic f; la Saxe cl la Bavière leur seraient désarmai /evwés. ?• L'Aciion française répond à cela qu'il sui nra nue les Russes, qui seront bientôt cnynj ' sure de dicter à VAutriche la vmx qyi leu plaira, exigent pour leurs armees, à hâve r ™ le territoire autrichien, libre passage ;«s . Qu'aux frontières de V Allemagne. Ce serai une solution élégante et peut-être moins ch ,r mérique qu'elle n'en a l'air. On a vu dan l'histoire des choses plus surprenantes qu lf, celle-là. „ Ou cCAè ilalien,on observe que les pourpai n lers engagés entre l'Italie ' • Serbie sen blcnt démontrer qu'un accord •iréhminmr ,i est d'ores et déjà établi entre Fiorae cl Petn , n qrad sur la question de t'Adriatique. On fait remarquer aussi qjte les journau russes ont cessé toute polémique sur la que: * lion de la Dalmatie. Depuis huit jours, aucun article n a par ®e sur l'intervention éventuelle de l'Italie. " Le correspondant du Morning Post il Pu Q' me est d'avis que l'Italie sera prête A part en guerre, à ta lin d'avril. ' " Ce correspon/lant déclare qu'un emploi, de l'ambassade autrichienne a déjà demanc 6 son passeport, Pe X. VWYVVIV* de 1° L'opinion américaine se montre Irês mécoi ix, imte contre l'ambassadc'ar d'Allemagne lte Washington qui a reproché — ô comble! - se au gouvernement américain de ne pas obse ;st !.-cr les devoirs de la neutralité. et On estime que si le comte Bcrnsdorll a a; lté ainsi sur ordre de Berlin, c'est une grm injure de l'Allemagne envers les Etats-Un sst et que s'il a agi rnotu prqprio # doit Mre ra\ •u- pelé à Berlin. m •Q 11VWIVW1 ;te ar Le Times reçoit, de Petrograd une dépecl el- disant que la Bulgarie a accepté ta prop<ot .rit lion du qouvernement russe, tendant à nor les mer une commission serbo-bulgare, à l is- quelle participeraient également tes repr iut tentants des puissances neutres, pour ouvr la une enquête sur les récents incidents i op lroutière, en Macédoine. |£g IWWWll de l'ne dépêche de Bruxelles dit que la Suis. ité et l'Italie insistevU auprès de l'AUemagi ier i.r.iir reprendre le commerce direct avec 1er Belgique. >n- us S En Mellaecle mt ^ LES MESURES MÏLITA5RSS "C, _o— )U- nd On assure, dans les cercles géaiérateme. îés ])ien informés, que l'on ne craint plus a: m- cuno surprise mauvaise dans la Flaind: ia- des Etats, c'est-à-dire dans la partie du te ■ es îitoire hollairilais située entre la frontiè ise belge et la rive gauche de l'Escaut.Les po ux tes hollandais y ont été oonsidéaableme mt renforcés, et toutes les précautions y so ms prises pour parer ù toutes les éveiltuaS-té GoieîfoM KlHt et riPiiii atliaii en Rslflini! UNE PROTESTATION ELOQUENTE DE L'ILLUSTRE HISTORIEN [ Amsterdam, 8 avril. -- Du corresponda , du n XX" Siècle ». — Un collaiiorateiu- i ! n Tijd » s'est rendu à Assclie où habite . professeur Godefroid Kurth, l'auteur i . « L'Eglise aux tournants de l'Histoire » . des «Origines de la Civilisation chrétienne . On sait que cet éminent historien, d'origii . luxembourgeoise allemande, patronnait u: feuille périodique qui servait à Arlon d'e gane à l'Association des Belges de lang , allemande. Voici ce qu'il déclara au corrc I pondant du « Tijd » : i — J'ai beaucoup d'amis en Allemagne . je dois les trois quarts de ma science à pays, dont j'ai toujours apprécié hau-teme . la « Kultur », d'autant plus que j'ai re-i imo éducation allemande très soignée. M£ i actuellement, mes sympathies ont ces i d'exister ou se sont considérablement i , froidies. i — Considérez-vous que l'invasion al mande en Belgique soit sans justification — Naturellement. La façon dont on a < sayé de la justifier au moyen des soi-disa documents Barnardiston, est fausse tota j ment.. J'ai pu m'en convaincre par moi-n J me sur les pièces officielles... ■ — Et quelle est votre opinion sur la fa.ç ' dont se comportent les Allemands en Bel; que ? [ — Ils ont fait s'évanouir ainsi mes di niôres sympathies. Les Allemands se ) tranchent continuellement derrière l'orgai , sation belge des francs-tireurs, mais ils' es gèrent terriblement si cette organisation ' jamais existé. Et j'ai la conviction a.bsol qu'aucun prêtre ne s'est jamais conduit I franc-tireur. t — La cause des alliés vous est donc pl . sympathique actuellement ? — Au début, mes sympathies allaient t 'ibérément à l'Allemagne. f,a partie (lama , de de la Belgique, au début de la guéri était sympathique aux Allemands et si partie wallonne était généralement frani pliile, tous les . wallons catholiepies ne 1 ■ taient pas et même lous les wallons lil roux n'étaient pas francophiles. Aujourd'l' cela a changé du tout au tout. — Vous venez de dire que les prêtr sont innocents de tout acte de franc-tirei ; Avoz-vous à ce propos ouelaue p.xuéricn ; personnelle ? — Tout récemment des officiers al mands étaient cantonnés chcz moi. Ils ; conduisirent très correctement. Certain jo ' ils me racontèrent que l'on avait trouvé S fusils chez le curé de Cubbeghem. n Ci j me paraît improbable », fis-je et j'y allai f ; re une enquête personnelle. J'appris ail que l'on n'avait trouvé aucune arme chez ' curé, mais que l'on avait saisi 38 fusils cli , le bourgmestre, des fusils qui lui avaient i ^ remis après qu'il out. donné l'ordre à ses ; j ministrés de lui livrer les armes qu'ils pi l sédaient. — Est-il vrai que les catholiques était adversaires du service militaire gêné. J obligatoire ? — j'e vous dirai ce que j'ai appris d'u bonne source. La sœur du roi Carol de R< manie avait fait savoir à sa parente, r comtesse de Flandre (la mère du roi Albe s que les Allemands avaient l'intention . violer la neutralité de la Belgique si ( guerre éclatait. Communication en fut f te au gouvernement belge et c'est al< s qu'eut lieu à Bruxelles, il y a un an et i a mi, la fameuse séance secrète où les rep sentants de tous les partis politiques étaii .. présents et à la suite de laquelle le serv _ militaire général obligatoire fut propo e Depuis lors, les catholiques en furent i. partisans, quoi qu'ils en eussent été ja le3 adversaires... x Le correspondant ajoute que sa conv i. sation avec le professeur Godofroid Ku fut longue encore, mais que ce sont là u déclarations principales de l'éminent van t. >- ^ Nos Commissaires ft'Arronflissefflei . —^— r.o Roi, sur la proposition de M. le : nistre de l'Intérieur, \ient de nommer Albert Biebruyck, avocat, conseiller pro^ cial, en qualité de commissaire d'a.rron< sem-ent à Ypres, et M. Steyaert, avoca : Gancl, en qualité de commissaire d'arr _ dissement à Furnes, en remplacement MM. Mergelynck et Bieswael, démissii naires. H ' !« Le contingent 1915 1- Dcs arrangements sont définivement î entre les gouvernements anglais et bt et le département de l'Intérieur de Be que, en vertu desquels le décret-loi u }P lant sous les armes les jeunes gens i mariés nés de 1890 à 1896 ne tardera l?_ à pouvoir être mis en application. " Un décret royal paraîtra incessamm a au « Moniteur ». ir — 10 Un malfaisant bontionisi On noue affirme que l'on peut voir ;c pavaner et se prodiguer, à Amsterdam, ie personnage que notre longanimité a t ra longtemps, naguère, laissé se .pavaner oi prodiguer à Bruxelles : il s'agit du non Nette'r, coirespondant de la Frankfurter . _ tung. U continue là-l)as, en Hodlande, la laine besogne à laquolle il se livrait à t xelles, et il téléphone à son journal et •leurs tout oe que ses rares facultés d'esî lui font voir ou deviner. On dit même, mais on nie prête qu'aux riohes ! — qu' fait peser, auitant que faire se pouvait, les autorités hollanrlaises., afin d'obfe d'elles l'inilerdiction du passaige par n des Pays-Bas en Angleterre, pour les su belges d!e 18 à 45 ans. nt Dans son jairgon. il dit cyniquemen u- qui veut l'écouter : " Il faut embêcheir re Kelc.hes, gui ont déjà assez fait pour r- Anglais et les Français, de rec-hoindro 1 re niée -et de se faire duer bêdernent. » s- Or, — audace siuprftme,qui achève le.] at i irait du malfaisant Ixmhomme ! — il » nt toujours, et très ostensiblement, une idi s. ration belge de Léopold II I "Leurs journaux" en Italie UN TOUR PENDABLE JOUE A L' n OSSEiSV.YlQKE ROMANO U Obi écrit de Rome au XX' Siècle : u Les Neueste Nachrichten de Berlin p Mient l'a liste dos journaux italiens qui sont montrés « corrects » envers les AI! mands. On sait ce que signifie cette " et ut rection »... lu Voilà la liste complète de ces journaux le i' Le Popolo Romano, dirigé pair M. Cha le vet, dont le nom fut rendu célèbre par C et val lot ti. dans ses lettres contre Crisipi, qui, dans l'histoire du joiumaiosme i'fcatie !e passe à bon droit pour avoir été le fond le tcur du journalisme « industriel » dans ,r_ péninsule ; K 2* La Concordia, qui a comme directeur s_ Palamenghi-Criapi-, le propre neveu l'homme d'Etat galloptmbe, dont il a pub: et les mémoires. M. Palamenghi dirigeait, ; e beau temps de la puissance de son onc l'organe officiel du Grand-Orient de Ron la informa. ' 3* La Vita, l'organe du radicalisme il il lien jusqu'au mois d'octobre dernier, loi que M. Ottoriiio Ratoiomli, son dernier i 'e' .ecteiur-propriétaire, qui a été au Capitt Palier ego de M. Nathan, la vendît ù ■: e" Krupp. Ce changement n augmenta pas 1 nombre de ses lecteurs, puisque, à llieu •3" actuelle,, on nous annonce que la Vita !" cessé aie paaaltre ; e- 4* La Perseveranza, do Milan, qui e: c- peut-être, le seul journal défendant avec « certain désintéressement la cause des Al 'n mands. Mais elle obéit, en agissant ain ïi- à la tradition de ce vieux parti conservatei libéral que Crispi essaya de itajeunir et c sr- me compte presque nlus on Italie. Du res: 't- il faut se rappeler que la Perseveranza ii- été employée par Bismark avant et aussi: a- ep:'ès la guerre de 1870. Il y a là-dessus d a souvenirs ipitléressants, publiés naguf ne dans la Revue des Deux-Mondes, par m Georges Goyau : 5' Il Mattino, de Naples, qui a. à sa U us M. Edouardo Scarfogllo, lequel a paria avec M. Chauvet, dans le temps, les at.1 [g. ques de CavaMolt.i contre la presse vendu, n- 6' Il Sole, le journal des boursiers et d hommes d'affaires de Milan ; là T La Sera, de Milan, elle aussi, mais qu •0. ne faut pas confondre avec le Corriere de. 'a.. Sera ; X 8* La Nazione, de Florence, qui a chan ui (de propriétaire, d'opinion et de directeur même jour et de la même façon que la Viu 9" L'Osservatore Romano, qui est ain par celte insertion d'ans la liste des bon., ' ' mins du kaiser, puni de sa partialité CG foi-AHr wpiptxn '1 n lo Si l'on fait le compte du tirage du' i™ lc' ces journaux, on arrive à peine à 50,C 30 exemplaires. C'est, traduite en chiffres, valeu* de t'influence allemande sur l'opini uo italienne, » la Ajoutons 'deux mots à cette corresjpc U; idlanee aussi piquante qu'intéressante : lsi Las Neueste Nachrichten n'ont pas ran: le au nombre des journaux « corrects » à ez .manière allemande, les journaux cathc ité ques de la Socïeta Editrice, savoir : le C. id- riere d'itatiu (Rome), le Momento (Tur >s- et Vltalia (Milan), cela se conçoit. La g manopliili'e de nos confrères n'a pas été i nt dente au point de mériter le satisfecit infii •al .par la presse berlinoise à l'Osservatore 1 mano. Ce n'esit pourtant pas que nous aye ne sujet, nous autres de les trouver tous « c >n- réels » à notre point de vue. Pour pïusiei la raisons certains" auraient pu se montrer p! rl) justes à l'égard die la Belgique et des Belg de Sans aller jusqu'à leur appliquer los tet la Mes paroles de l'Ecriture sur les lied ai- nous ne pouvons pas ne pas leur dire qi >rs sera difficile aux catholiques belges d'i le- Mica- leurs violences. Depuis quelque tem ré- ils se sont ameraïés, nous le savons. M ;nt ils sont encore loin de Damas, très loin I h FavitÉlewt fie noirs Ami er- •th i' Je reviens du front, nous disait hieir les des memba-es du gouvernement ; je s sa- allé me promener le long des lignes oc .pées par notre vaillante aimée. Je n'ai i eu l'heur d'assister à un combat, mais — m'a été donné de constater l'état magn f que de nos troupes, l'équipement super t la bonne humeur, la fraîcheur de nos hc mes, le bon état de leurs chaussures, -ni- quantité de lainages de chacun... Et j'ai M aussi me rendre compte de l'excellence inl de l'abondance de leu:" nourriture... C lis- nos soldats sont bien vêtus, bien nouri ù et leur bonne humeur constante, qu on- aillent aux tranchées ou qu'ils en revi de nent, est, je vous assure, le meilleur et m- plus puissant «réconfort que l'on puisse ri porter die là-bas. >, Pour arisver à ravitailler aussi paria ment en vêtements, on chaïussures, en vres nos vaillants soldats, il a fallu, de part de notre service d'intendance, un i vail, une prévoyance incessante, une a ,"p vité infatigable, dont nous ne pouvi ,Sj nous douter que vaguement. Et, ceipendï c'est à dénia pas de nous, qu'ici même, 'p. " Havre, elie s'exerce diepu-is plusieurs mo Nous ne le soupçonnions pas du t pa3 nous-mêmes^ lorsque te hasard, tantôt, ; f da nos pas vers les immenses docks port ; de divers côtés, des soldats de serve .de notre armée étaient à la besoj —1 Nous nous enquîmes. Notfle intendant* loué là quelque vingt-cinq à trente ma ie sins successivement. Tout ce qui peut ( nécessaire à une armée, tant on vivres qt vêtements, s'y trouve réuni ; nous fh se quelques 'kSiomèbres à travers des moi uin gnes de caisses contenant des boîtes de f rop {fines, de conserves, des milliers de l>a • se de café, de riz, d» sucre, de pois, de h iué cote... 'M- plus loin, voici des baliots de lainages, vi- tricots, de couvertures, des caisses de iru- toments, de ehaussaires, et aussi de gra ail- emballages pleins d'envois divers : elle •ion se3l tricots, caleçons, bas, expédiés par — généreux étrangers, à destination dos il a data belges*; die grandes caisses, comij sur niant, notamment, d'admiriaWcs flanel soir des couverfures, des gilets de dessous ier, papier, dies cigarettes... envoyés par jets (Japonais « aux vaillants soldats du Albert ». t. à Mais il n'y avait pas que les ravita les ments en vivres, vêlements, auxquels il les lait songer : tes Allemands no se son 'a»- pas avisés, on le sait do manière certa de razzier, n'y laissant même plus )or- chaise , les se™ hôpitaux militaires irte nous comptions dans le pays. Sco- Il fallait, pour le jour o notre an réintégrera nos .provinces, avoir soue main tout le mobilier nécessaire à la rélni I tallation immédiate de nos hôpitaux. Dans une série de magasins se trouven dès à présent, tout le matériel indispenss ble, depuis les lils jusqu'aux matelas et au „ couvertures, en passant pan tous les mei: bles, tables, chaises, matériel de cuisine ( d'office, etc., etc. ; si bien qu'en quelque u- heures, le plus vaste immeuble, absolumer se vide, ne contenant plus le moindre r.bje e- pourra être transformé en un établisse r- ment hospitalier et offrir un asile confoi table à nos soldats blessés. : Pou» asSurcr la rapidité du dédouane u- iment. de la réception, de la mise en mag; a- sins, tous les services créés pour la cii et constance ont été confiés à des officiers < n, .soldats blessés, réformés ou ne pouvar a- plus aller au iront. Parmi ces derniers, la s'est t.ouvé des cordonniers, des tailleur: dos menuisiers. Une équipe de disciples d il. saint Crépin met au point des chaussure le américaines, renforçant l'es semelles de s* ié lides pointes rondes, mettant des fers au m talons. Pour utiliser les bois des nombrei e, ses caisses, un menuisier s'attache à l£ e, tira.nsfolme.r on divers objets : casiers, t< Mas, échelles, meubles divers, qui seroi a- particulièrement -utiles au jour de la rei •s- trée. Ii- Toute cette organisation a été conçue,_ pr le iparée, mise à exécution avec un souci m vt. îiiculeux de prévoyance, de minutie, d'ord: le et de simplicité en même temps, qui foi re vraiment honneur aux services de l'intei a (lance de notre armée et qui méritent e chaleureuses félicitations. jh | Liebknecht e! n'était pas l'auteur di d l"fappel à la paix" re te UN MANIFESTE PLUS QUE SUSPEC1 gé -°-a- L'Humanité avait attribué à Liicb'knecl ■ ! et à son petit groupe l'appel adressé'^ux s. es cialistes des pays alliés en faveur de 1 paix. Or, l'Humanité reconnaît, aujourd'hu fi qu'elle s'ost trompée dans cetto recliercl 'a et dation ele paternité : ce n'est pas Liebl neclit qui est "l'autour de rappel, mais YHi S® inanité croit savoir que l'appel en questic ,e est l'acte « d'ouvilicrs atlcmanids passai par-dessus la tête des dirigeants de lcui 3Ii organiisations sjndicales et politiques. » a" Or, l'appel à la paix demandait quoi 2n Une « paix sans annexion », c'est-à-dire : •paiv sur la base <îu statu quo, l'AUemagi An 'gOCTUUllV Mtlil.. ■ • .. . ... . _ . ; , T - „ Y" la Polognei, le Slewig I la Voilà donc quelle est la conception du pe> pie socialiste allemand lorsqu'il parle su vaut sa propre inspiration ! Comme le <3 n' très justement 1e Temps, quand ces men bres de la social-démocratie « passent pa '®> dessus la tête des dirigeants de leurs org la nisations syndicales et politiques », ce ,ll_ pour donne» la main aux dirigeants c >r* l'étatisme prussien et impérial, pour parli n) leur langue, pour faire leurs commissioi 3r" à l'étranger, dans les li'mchées français! ir" et dans les ateliers de la Grande-Bretagn p La surprise, — si surprise il y a, — e ,0" joyeuse. ns Après ceoi, même la poignée do sectair. 5:1 anglais rassemblés autour de Keir Ilaiid lirs et do Ramsay Mac Donald, et les demie' us naïfs de l'internationalisme verront cla dans les instructions des n socialistes de ln" couronne » qui leur font des gestes de d tresse de l'autre iftve du Rhin. 1 11 L'appel à la paix est hrfllé aujourd'h m" par ceux, qui, hier, avaient failli l'adorer. L'Humanité dit : MS « Tant que l'Allemagne ouvrière et soci —• liste, —' dont vous êtes, auteurs du mai fesitc ! — suivra aveuglément et croira s parole des généraux à la von Bissdng, aus 10 inhumains que brulaux et barbares, et d ju hommes d'État) à la Bethmann-ÏIollwe aussi dénués de tout scrupule que de sei moral, pas die paix ! un ,, Tant que vos oamarades armés, bott uia et casqués, marchant passivement, sous -u- schlague de leurs chefs, continûment )as fouler la terre belge, qu'ils ont violée sa il hésitation ; d'occuiper le sol français, qu ifi- ont envaln sans raison, pas de paix t be, „ Et si, incapaMes du mouvement rêp m- blicaîn libérateur qui, seul, etc..., il appt la tiendra aux armes des alliés, mises an s< pu vice de la cause la plus juste, la plus gnan et et la .plus noble des temps modernes ni, vous imposer une paix totale, complète 'is, durable. » 'ils Hors de là, en effet, point de salut I en- 1e — m" Le pape et les Belges ite- vi- te Le pape a adressé 25.000 francs au c; ,r?" dinal Mercier poui- la population belge. ctl" a accompagné cet envoi d'une lettre, da laquelle il exprime sa satisfaction de ia fi mation, dans les différents pays, de cor • au tés de secours pour les Belges. , Le pape a envoyé également ^.000 cc ■ ronnes à l'évêque de Cracovie pour la i ;l("j pulation polonaise. ré- ' ~ "* "a Leurs trucs itre ))0(t 'on Que l'Allemagne ait besoin de cuivre nés tente de s'on procurer par tous les moyen ita- c'est un fait bien établi En voici encore u ;ar- preuve. Il y a quelque temps, les AL!ema.n Ifes ont tenté d'expédier d-e Hollande en Al maîçne un lot de oOO tonnes de cuivre. Grâ à la vigilance des autorités hollandaises, de n'y ont pas réussi. Us ont alors imaginé vê- antre moyen : ils tentent de le faire enti ntls d'abord sur le territoire belge, d'où, na mi- reiiemont, co sera un jeu d'enfant de l'< c,e voyer en Allema.gne.^ Nous espérons qu' s°l- no les laissera pas faire. )re- les, . — —— Z Russie et Belgique roi ffie- I.e tsar île Russ:e a reçu en audience fal- génénal Do Witte, envoyé du roi des Belg -ils a co propos, la «"Gazette de la Bours ime, dit : une « Les Belges savent que 1e premier s< que des Alliés sera, quand tes ennemis défa giseront à nos pieds, de leur faire restiti née leur territoire ensanglanté. C'est notre « s la ment d'Annibal ». i Biliiil " ilill Gommuaiqua sfUciel fraaçais il ^ Paj-is, 14 avril 14 h. 45. s Rien à signaler depuis le communiqué >_ d'hier soir. x Un Zeppelin a jeté des bombes au-dessus .le BAILLEUL ; il visait le terrain d'aviation s qu'il n'a pas atteint. Trois civils ont été tués. !_ Deux avions allemands ont été obligés il d'atterrir dans nos lignes,l'un près de BRAl-h NE, l'autre près de LUNEV1LLE. Les aviateurs ont été faits prisonniers. Un troisième s. appareil ennemi, atteint par le feu de nos avant-postes, est tombé près d'ORNES, au ^ Nord de Verdun. it »o« e LE TSAR VISITE LES USINES POUTILOFF Petrograd, 14 avril. —L'empereur a visité les usinas et les chantiers de Poutiloff. Il a été acctomé pair la population du faubourg 3 et- par les ouvriers, au milieu desquels il a passé trois lie uies et demie. Il a remercié tes ouvriers du zèle apports à l'exécution des commandes. LA GUERRE ET LES FINANCES RUSSES ît f Petrograd, 14 avril. — Le mihistre des i finances, interviewé, a déclaré que la guerre -, a donné, aux payans russes, une prospê-' rité inaccoutumée, grâce à la distribution n des allocations et à la suppression du vodka, n permettant de sérieuses économies. La sécente augmentation des droits de douane de 30 % est purement temporaire ; 9 elle est destinée seulement à compenser une à partie des pertes causées par la prohibition ,e de la vodka. 1 -vête u monta-lion du commence avec les alliés. i- »oîc it i- UN PONT SAUTE SUR LE DEMER r- i- Amsterdam, 14 avril. — On ia fait sauteu ^ un pont en travers du Dénier, près de Tes-:r telt, dans la nuit de samedi. Testelt se trouve dans la région d'Aen-schot.si "0,! UNE REPONSE DES ETATS-UNIS fe \ L'AIXEMAGNE ■s fr Washington, 14 avril. — Les Etats-Lms ',a ont envoyé une réponse sévère a la note allemande protestant contre l'envoi de miu i nitions aux Alliés Les Etats-Unis déclarent que la cessation de l'expédition constituerait une infraction a. injustifiée à la neutralité. ,,i- La note, envoyée hier, ne sera pas publiée u avant sa réception par le ministère des si affaires étrangères. 3S »01E a is ENTRE LA RUSSÎtE ET LA SUÉDE ês la :,e Stockholm., U avril. — Les _ négociation^ russ-o-suiédoises en vue de 1 étaiblissement d'une corro&pondaïuce entre les réseaux (te diemins de îer -des deux pays sont tei Uii-nées.1 " »0ic :r- UN BIPLAN ABATTU PAR LES TROUPE» HOLLANDAISES Amsterdam, 1 i avril. — Le Tfilegraaf sl« cf.nale oue les troupes hollandaises ont abattu et saisi un biplan qui, CTOÎt-on, vo-n-aât de l'ouest, se dirigeant sur» BruxeUes. Los deux aviateurs ont été internes. ï Des livres à lire U- l0" Dans le but d'être agréable à ses abonnes et lecteurs et de les mettre à mémo de pou-voir se i>roourer facilement tes ouvrages intéressants rotatifs è la guerre, 1e XX' Siècle a institué dans ses bureaux, un dépôt de publications suivantes, aux prix indiqués ci-après : La Belgique neutre et loyale,par Emile ' WaxweSler 2.l>0- Les Barbares en Belgique, par Pierre Nolhomb ••• 3.— le" La Belgique martyre, par Pierre No- S6 thomb 0-50 !ls Rapports de la Commission d'enquite Jn sur la violation des lois de la guerre er en Belgique, avec préface de M. Paul :u" Hymane, ministre d'Etat 1.23 :n" La Neutralité de ta Belgique (Livre on. Gris belge), précédé d'une notice do M. Vaiiden Heuvei, ministre d'Etat auprès du .Saint-Siège 1.—* — Les Allemands en Belgique {Louvain, Aerschot, etc.), par C. Grondys .... O.G0 Les Forces navales en présence, de L.-E. Favro 1.25 le L'administration du journal se charge éga-îs loment de l'envoi de ccs publications ; il suf-3 » fit d'en faire parvenir le montant en un mandat postal (augmenté de la somme de )in 0.40 fr. pour frais d'envoi recommandé), ita Quelques exemplaires de 1a « Lettre passer torale -de S. E. le Cardinal Mercier » peuvent jr- encore ttre obtemis, également au prix do 0.10 fr. la brochure.

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Dit item is een uitgave in de reeks Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1940.

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