Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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03 november 1918
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s.n. 1918, 03 November. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 02 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/w08w951s7n/
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"" niTATRlKME ANNEE. — N° •*- _ i*k.T f . _ _ a -d - _ %?> xSA ■>"•! s. in! '• A LE XXE SIÈCLE iim BB ot w su Ki H®$a M%mmm -*mmm mmm JOURNAL BELGE PARAISSANT LE DIMANCHE DAPIC A 1 «Sï!/*/» /î O C î\/>iiv_P r»ii cr 1 ^1êP *-î t\ _ . T alânUnnA • P/ûr» îmo 1 J) "O A ' NOS REPRISES Sais les Musées aliéna aces '• Un Français du Nord à un ami 6< s a« 11 y a un texte abominable, mon am j'ai fait composer en capitales po ;s et Cahier de l Amitié de France et de Fia r<!sil consacré aux Musées de la France et JSf Belgique envahies. Ce texte, c'est cel it et surboche — si je puis hasarder ce néo tins, me nietzschéen — Emile Schaefer, de Kmst und Kiinstler, fascicule d'oc . 1914. Souffrez d'abord que je vous l'e d nous le commenterons ensuite ens< 'pp-r* tout à 1 heui e. « A Liège et à Bruxelles, écrivait l'o -Aïs cuistre, on rend déjà la justice au no "re peuple allemand., dans quelques semi dans quelques jours peut-être, le qua maître von Stem annoncera : « Le rog. S? de Belgique a cessé d'exister. » Cons Era-l-il son indépendance ? Personne ne h prédire aujourd'hui, et c'est unique de la contribution imposée à la résiilev Bruxelles que l'on peut tirer quelque ductions sur le montant de la contrib de querre que l'Allemagne pourrait e des Belges aveuglés. Mais nous ne -, nions pas seulement de l or monn chaque ville de ce pays a été autrefoi: patrie des arts, chaque église un sanct de la peinture. Bien ries choses ont dis, l0, bien tes choses ont été dispersées p monde; mais les petits-fils des Van Ey des Rubens ont conservé beaucoup d bleaux qui possèdent, outre leur ina tiable valeur idéale, [Ces gens osent p ainsi !] une valeur matérielle qui ne s'exprimer qu'eu millions, et sur cette tie aussi du patrimoine national de I mi le poing du vainqueur devra s ab, [Prends garde, Teuton ! le vainqueu n'est plus toi. 1 4 autres termes, lei ces les plus précieuses du butin unis en Belgique devront passer dans les m allemands. » ^ — Admirable impudence ! 0 Wilsc nation américaine, il faut vous dedi< texte qui vous instruira de ce qu est « 1 jjgg neur du peuple allemand ». — JB* 6 11 Eh quoi ! Ils se jettent sur la faible fcique qui avait commis le crime de c otioi à la jurée, ils la soufflètent aval souffleter la France désarmée elle < par le déplorable résultat d un ideaJ excessif. Et ifc prétendent à toutes c mais d'abord à la Belgique, enleve urnl qu'elles ont de plus précieux, leur ï moine d'art national dont ils chiffrent .••• complaisance la valeur mercantile, qu'ils sont du Judas des trente dcniei, cuistre d'art Schaefer énumère les œi ! à voler, toutes celles de Van der Wej Thierry Bouts, de Memling et de Aie les panneaux de Van Eyok a Bruxell le polyptiique de Gand devant les prei être transportés « cela va de soi, a lin ». En vérité, môn ami, qu'avons-nou ZUT commun avec ces gens-là ? Appartien ils à l'Europe, à ce quei nos per.es-cro^ nommaient chrétienté", à ce que Ion • , J nommer maintenant « la société des nn;„ tions » ? Mais qui voudrait s'associer S 0 assassins qui, par surcroît, sont do 1 leurs! Qu'ils rendent gorge d aboi cela de la seule façon qui leur est po* après lesurs innombrables destruction Irai nous payant sur ce qu'ils possèdent, ser s C'est le principe' qui a été posé p£ i noii Henri Potez, professeur à la Faculté chosj lettres d,e Lille. Dès le mois de juillet tein ( quand il rédigeait pour la commission er, Monuments historiques du Pas-de-C une éloquente protestation, il a c< avec une, vigueur et une lucidité s tire u lières : ri'avo « Nous avons foi en la victoire fi e jai Sauvée d'un des périls les plus g n ad qu'elle ait courus depuis longtemps, i&ihH *e triomphe du Droit, la Civilisation it bie|l Mitra de. ses cendres. Ce jour-là, noi I demanderons pas de represailles : e loin souhaitons quelque chose de plus hau à ni* ^a vengeance, qui nous mettrait au n î^sitB de nos adversaires : quelque chose nettB de plus dur : nous réclamons l'action 3 dew Justice et le châtiment. Notre vœu le ,ngu® ardent est que les ruines irréparable plac® cumulées par eux sur notre sol et dan m \ villes soient compensées par la saisi Axistro-Allemagne, des chefs-d'œuvre I n'appartiennent point à l'art de cette I ^ nation, et oui. pouvant être emvc Ce qu'a n on de nos artilleui FN FI ANÛRF SFPflWfîHKC ■ KJC &■■■ ■ ta n IV •« Il hi VI VIÙB } que " '" " «M*»>«&«& «S♦«£»><&»> — "Km — ndre, La joie des populations délivrées — Leur l?aine . 4ed'® activistes et des traîtres - Le moraï incon?paraM< In cric;. Jt _ .. o -3 „ ,ns le tobre Les civils sillonnent les routes fin tous les agglomérations, ce dont les Boch Dnne, sens . ce n'est qu'un cortège interminable rent un appréciable parti. Il y a des :nU)l0 et souvent pitoyable ëej braves paysans ; ils peaux à toutes les fenêtres. L'enthoi ne savent comment nous exprimer leur me de la population est énorme : C lieux reconnaissance ; ils exultent de se sentir demande comment ces braves gens o.: n du enfin libres pour toujours. De vieux papa^ soustraire aux perquisitions de l'er unes, nous saluent- bien bas ; les enfants nous tant d'oriflammes' de dimensions ri rlier- acclament. Au. fait, 1rs conditions de vie tatiles. A Cachtem, les rails du cbeim iunie étaient vraiment désastreuses ; le kilo de fer sont soulevés sur une assez grandi erve- vjaniie se vendait 40 à 45 francs ; un pain tance par l'explosion de plusieurs m noir,5 francs ; une brique de savon 6 fr. 25. pourtant, l'ennemi en retraite ne j CP ,ie Le fiasco des menées aktivistes pas avoir pu se livrer aux dœtructio „ j. . . . , , remediables que 1 on constate ailleur s ai- Je n ai pu résister a la tentation de s>en venge d'ailleurs en bombardai ution m enquérir du résultat des menées akti- localités habitées qu'il vient d'être nger tistes. Comprenez ma joie lorsque; j ai vu d'abandonner écla- l'exaspération de la population à ce seul L'église de Humbeke n'a plus de t 1110 • (I Leelijke beestcin, s... » et autres ]es immeubles sont fortement endoi i,ne injures qui prouvent a quel point le res- ées les haJ>itants 0nt f.ui. L'« Orti mire sentiment est violent. Les flamingoboches ^andantur „ prouve par le désordr, mru se muaient la plupart en espions et li- qui y règne, qu'ici la retraite s'est trai % 11 vraient a la police ennemie ceux qui ca- mée en déroute. Près de Roulers, 1h CIC et Chaient des vivrcp ou qui eur marquaient lais t une nouvelle voie à la v: Lré Leur mépt"!' Daîe Part. aktivistes plusieurs kilomètres par iour, car E; donnaient des conférences, des séances de g. 'it que de remplacer les rails er' veut cmém,a : Ï<»1S les saliles étaient vides ou mabgés 'De réalise, il ne reste oue les Peu s en fallait Des déserteurs dei lYser et °ng artle de la toiture : ies ma "line- '"len, embrigades ; a Cuerne, près de témoignent toutes de l'ardeur ries coir litre CoSrtr?'1' luelques « De Schaejpdnjver » La ville est occupée par ces vaillants r cè Prétendirent exciter la population en de- , j j'ont conquise ; nous les acola L' .. clarant oie les Beliges mouraient d'n faim au passa^n iUiUé ^alls 'es qu'ils devaient sans . sievdinSe, Staden, Ee.=:en. ..VJat liées î6®? roprendrn les tranchees perdues par L<,.e % 'j3e!lll)col,p gouffeit ; ici, les Anglais, et autres stupidités du même occupons des' cantonnements boches s gout.Immédiatement, les quelques cuneiux jument installés. L'électricité est pai >V ce '''A' fp'-maient 1 assistance - et qu avaient n a des piscines, des abris en bé :hon- fttlires ,lesr "n'jf^es belges - qmtterejit 0Se'rai5.je a^ouer que c'est mieux in le local. Les déserteurs avaient organisé cue cjiez nous 9 une séance de musique pour lei soir ; on ne i les revit plus. De à Bruges ; une voie triomp Ils sont partis ! Dg nous wns gagné Vy.vecapi Bel- La même haine confond les nouveaux c'est le dernier village endommagé roire riches, les Temmes de mauvaises mœurs, notre route, Ghistelles, Westkerke el :t de les gens qui recevaient les Boches. A Cour- xem. C'est une entrée triomphale que lussi trai, les Anglais se chargent de montrer faisons dans ces localités. Des drap' isme leur mépris en quittant immédiatement encore des drapeaux, et partout des leux, les cafés naguère réservés à la soldâtes- peaux. Tous les villageois, sur le pa r ce que teutonne ; ils s'enquièrent aussi de portes, nous souhaitent la bienvenue, atri- ceux qui ont entretenu des relations quel- acclament. C'est du délire. Le 20, B) avec conques avec l'ennemi ; on ne peut guère nous ouvrait, ses portes ; quelle ém fils qUe leur dire que la plupart ont quitté le soulevait nos po'itrines ; comme ch i- Le pays : partis, les principaux aktivistes ; se senlait payé au centuple de toute ivres parties les filles légères, partis, certains souffrances endurées, de toutes les p 'den, trafiquants... qu'avait coûtées la préparation de tsyi? L'Escaut «ct.îl fortifié » offensive. Malgré la pluie fine qui com es et L Escaut il fortifie . à tomber, la foule continue a se tiers Une personne qui a été encore à Aude- ser sur le passage des troupes ; e Ber. narde et au delà, il y a trois semaines — "vivais! se succèdent sans répit. Br (auparavant il fallait des passeports en ja-Morte était devenue Bruges-la-Viv s de règle et très difficiles à obtenir pour s'a- pourquoi ne le resterait-elle pas c lient- venturer dans cette région) — assure n'a- mais? •ants voir vu nulle part trace de fortifications. veut Rien à l'Escaut et à la Lys, quelques ré- Qu'attend-on pour aller plus loin Na- seaux de fils barbelés à peine ; nous en ... , , „„ i ces aurons aisément raison. Nous voria quelque part en FU i vo- Un mot encore : les Anglais sont l'objet ônenWe. 1111e province bel0e est en d et de la ferveur des populations délivrées. Je me"t libérée ; quelle g o-; e p isible crois que c'est dû à la haine et au mépris vaillante aïmée a qui t en que lel Boches affichaient pour eux. P-t Par les villages de Flandre maudit canal qui nous barre la rout T ^'1' Vinckem-Saint-Eloi semble avoir beau- « piotte » se demande : « Qu'attei ; ^s coup pâti ; Le.ndelede, ainsi que Isieghem, pour le passer ? Notre lartillorie, 1915, inunortante bourgade industrielle, a peu être? ». Les artilleurs sont prêts, c i ueb gouffert ; notre artiillerie épargné d ailleurs | dant... alais mgu- suoibsx xnv sanqi.ijjD juoj.ss seulement plus grandes de cette g France'el de la Belgique. Il faut, à la vouluei par l'Allemagne, mais plus b nale. fà-ce de l'univers, enlever aux nouveaux parées de tous les joyaux _dont notre_ ■aves barbares l'honneur de monter la garde de- mi héréditaire, le Hun, s'était empare avec vant les manifestations sacrées de l'Idéal, les entasser dans ce « ring » dont i re- comme, sur le front d'une armée, on dé- Nietzsche : « L'Allemand amoncelle ai (5 ne grade un soldai qui ne mérite plus de de lui les formes et lep couleurs, les rnou, porter les armes. » duits et les curiosités de tous les tem f nu„ de toutes les régions... » ' \ ' «M» Un jour viendra que les Watteau d aussi ^ de Prusse retourneront à Paris et è delà Qu'ajouter à ce texte? De lui-même, il leiicieinnes; et que dans Saint-Bavo plus s'oppose à cejui de Scihaefei; Ainsi parlait d^SSnte efdes^ s ac- un Allemand, véritable ilote dont l'ivresse 1 Agneau entoure des saints et dffi st s nos soulève notre dégoût, ainsi parle un Fran- <™P 1 Oïust-emps exiles a Berlin an^e. e, en çais au nom de la justice Mou ami belge, siciens, nwi nous sommes bien d'accord une fois de Sff®. qui If® uJ® dnu- plus, n'est-ce pas, quand nous souhaitons ny sauraient davantage fane demei rtés, que la Belgique et la France sortent non ftndré M. de Ponchevi [?5 Lt pré«?.f et l'avenir Ss netrs celesîs La (laestioii des Combustibles (1) les y Le deuxième article de notre collaboraj * teur Stiuta est consacré à la question des[ combustibles au Congo. Nous tenons à faire remarquer que son avis, en ce qui concerne ,j_ la production de l'alcool dans notre colo-dra- nie' n'est Pas Varta0é l'ar tout le monde. isias- Principes actuellement consacrés par lal> >11 se routine : it pu Les combustibles utilisés au Congo sont .nenu importés. Le charbon de bois sert à ohauf-i.spec- fer les fers à repasser. L'alcool favorise in de l'ivrognerie. Sa fabrication est interdite/' : dis- par l'acte de Berlin. .nés ; araît ts ir- it. 'les M- Henry Bérenger, président de la com--forcé mission consultative coloniale en France, . a dit très justement que la base fonda-' Dur : nientale sur laquelle repose tout l'édifice! nma- m<lustriel d'un pays, c'est le combustible^ kom- s<?us ses diverses formes. Dans les colo- : fou n'es c0!nlne dans les métropoles, toutes les; îsfor- Possibilités de production et de transport i An. en dépendent entièrement. tesse ^'u Congo belge, l'on ne s'est nullement il ne Pfeo^cupé jusqu'à présent de cette ques-domi- *"jon Primordiale. La routine a consacré murs l'habitude d'amener à grands frais dul isons l0narbon d'Europe et du pétrole d'Améri-bats ciU!e' Pratique néfaste en raison non seule-poi- nient du prix de revient élevé de ces marions .Hères, mais aussi des causes multiples qui-; peuvent à un moment donné mettre obsta- [5j00 de à leur importation. nous I! ^ faSlu la guerre pour montrer claire-, uper- ni'ent les inconvénients de cet état de cho-tout ses et: forcer par exemple la Compagnie du'-[on • e'ieniin de fer du Bas-Congo à généraliser stallé ^ chauffage au bois (d'ailleurs reconnu excellent par la suite) cles locomotives sur les paliers et les descentes. Les dimensions h?j3 insuffisantes des foyers obligent cependant encore à brûler sur les rampes, du char-elle ; bon dont le prix de 50 francs la tonne, ren-sur du Matadi, à l'ouverture des hostilités, a - Ro- augmenté pendant la guerre dans des prenons portions inouïes en même temps que ce. laux, combustible devenait presque introuvable, dra- Le bois abattu le long de la voie ferrée ; des par un millier de noirs, bien que l'outil-nous lage employé soit très rudimentaire, refuges vi«pt seulement à 3 ou 4 fr. le stère. Pour-otion tant, malgré la modicité de son prix et la acun facilité avec laquelle on le trouve presque, s les partout, il reste d'un emploi peu pratique:, eines son pouvoir calorifique étant faible, son cette poids et son encombrement relatifs sont men- considérables. Aussi, pour en général.isep près- l'usage, faudrait-il en quelque sorte le con-t les centrer par la distillation, procédé élégawt, uges- fournissant à l'a fois et en une seiule opé-a.nte. ration, un combustible solide idéal — ésor- le charbon de, b ois, — un combustible liquide parfait — l'alcool méthylique — et, par surcroît, des sous-produits si précieux ? qu'ils paient à eux seuls tous les frais du , traitement. inare ^ de bois en morceaux, tel qu'il p- sort du four, fournit un gaz pauvre ex- ande ««eut. Réduit en poudre, on peut, tout comme ■ V un oomlbaistible liquide, l'injecter directe- Le ment dans les cylindres des moteurs à îd explosion, Diesel ou autres, à deux ou à " j quatre temps. Sous cette forme, il pour-; 1 e rait aussi être brûlé dans les foyers des P " locomotives du dheinin de fer "du Bas-Congo, en utilisant les injecteurs existants et étudiés pour l'emploi du mazout. Comprimé, le charbon de bois fournit jerre des briquettes et des boulets convenant à elles, tous les foyers et à tous les usages indus- -nnje- triels et notamment métallurgiques. pour parle JBF» itour pro- Quant à l'alcool méthylique, il ne le cè- ps et de en rien à l'essence dnnt l'usage, sous les tropiques, doit être pioscrii en raison u roi de son prix de revient fabuleux et de sa ■ Va- conservation difficile et dangereuse. Cet n de aicool de bois étant imbuvable, même par '? de le gosier blindé des noire, n'offre donc, ■intes pas' le danger physiologique de son liomo- mu- iogue, l'alcool éthylique, dit « -bon goût intè- résultant de la fermentation, de végétaux itres, soustraits ainsi à l'alimentation des popu-l ire. —»—' (le. ■'})) Voir le XX" Siècle du 87 octobre

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