Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

1199 0
10 december 1915
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1915, 10 December. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 26 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/c24qj78w79/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

LE XXE SIÉCLE m H KD ACTION & ADMINISTRATION l JStn ne ie la Bonrse — LE HAVRE I Téléphone: Le Havre n* 14,05 Sirecieur : PSRSAHD SEÏÏRAT Tentes tes communications concernant la rédaction doivent être adressées a8u*,rne de la Bourse, Le Havre. LONDON OFFICEJ 21, PantoO Street (LeicesO<3r Square s,wj. (ABONNEMENTS France 2 fr. 60 par rriolâ* 35 7 fp. 50 par trimoatrô Angleterre.,.. 2sh.6d. par mois. ° •••- 7sh.6 d. par trimestre, Hollande.. 1.25 florin par mots. , » ..3.75 flor. par trimestre-Autres pays.. 3 fr. » par mois. » .. 9fr. » par trimestre I PUBLICITÉ S'adresser à l'Administration du journal au Havre ou à Londres Annonces 4'page « Ofr. 40 la ligne Petitesannonces4# page: 0fr.30faligna Les petites annonces sont également, reçues à ta Société Européenne de publi• cité, 1o, rued3 la Victoire, Pari^ qui en a le monopole pour Paris. Quotidien beiye paraissent au Havre LU "KULTUR" ALLEMAND JUGÉE PAR J0R6ENSEN Ae lage vengeresse ïîi ïrand ÉnSvait dan —0— A l'analyse que nous avons publiée, il 5 mielques jours, du nouveau livre de Jolian Jorgeiisen. nous sommes heureux de pou\ joindre aujourd'hui une aulne primeur : la l tluction française d'une belle page de « Klo! Boel&nd ». Après avoir réfuté, par l'exposé des faits, -, ji n'est, pas vrai » relatifs au sac de Louve nu mépris des lois de la guerre, et au militarie allemand, le grand écrivain danois esquisse mi'il appelle un intermède allemand où il dé< orgies du carnaval et les cérémonies du n: crcdi des Cendres à Cologne, ainsi qu'un « Fi kommers » chez les étudiants de l'université Bonn. Et Jorgensen' dissèque ensuite rame aneira.1 tn quelques coups de scalpel qui sont vraim d'un maître : La « Kullur »" allemande! Ne la reconnaît cas dans les deux tableaux qui précédent 1 carnaval et la cathédrale de Cologne, le vin, femmes et les chansons. ( « Weia, Weiber i Gesang »), les « salamandres » et les rêves i lancoliques aux temps passés, la jouissance moment et le frisson à la pensée de la mort, soudain au milieu de tout cela, au milieu lapeurs du vin et de la fumée du tabac, au-c eus do toute bonhomie et de tout « Gemût j> pÉe nue et l'humeur farouche des lansque» Lust der Woffen, Lust der Liebe et Lust (Radie » — l'amour des armes, le commerce femmes et la soif de la vengeance — le barb qui soupire violemment et irrésistiblement.ap tes combats d'Arminius et la forêt Teutoniqu La « Kultur » allemande est une culture sentiment et de passions. Aucune langue peut s'enfler avec plus do puissance et ton ; avec plus de force que la langue alleman Cest une langue pour le grand « pathos », pi les destins do vie et de mort, pour tous cc q y a de solennel et de terrible dans l'existenct Voilà pourquoi la « Kultur » allemande n teint la perfection que dans deux domaines : lyrisme et la musique (et dans cette philosop lyrico-musicalé qui est particulière à l'Alterna; i cl dont le type est. non le Knnt éduquê & l'a dentale, mais Hegel, Scliopenhauer on Mietzscl Partout où lo sentiment ou la passion suffis? : j'AUoman 1 orée des chefs-d'œuvre : Faust, neuvième symphonip, ■ Ainsi parlait Zarath tra ». irai Mais en sculpture, en peinture, en art ■ lecture. l'Allemand est inférieur. Lo « I< tur « allemande n'a jamais su produire i Michel-Ange ou un Velasçuez, un V ■Dyck ou un Thowaldsen. La peinture a mande est lyrico-musicalé — depuis Nazaréens jusqu'à Bœcklin. * & :fe [ ®t il en est ainsi-, parce que la montai allemand'- est une mentatiU: de femme, (lermania est une femme et possède ton les qualités die la femme : exceltenle méi i gère, ange pour ses enfants, furie pour s ; mari. Comme la femme, l'Allemand pie1 et se fâche facilement (« colère comme Allemand » disons-nous au Danemark) : ! est inaccessible aux arguments et à la gitfue, mai- tenace à imposer sa votant il,est tyran nique,convaincu d'avoir toujoi av.: ■ or. .v. f».ir ee motif, indigné et se» daii- de •: ■ p«s fttro obéi. Devant les pri ves Icis ,; is évidentes, la femme — tK comme l'Allemand — est capable de s crier, le front haul. et le regard ferme, « ist nidiit wohr » (ce n'es' pas vrai'. Et e le fait avec pathos a larmes, avec rai pour saisir enfin cc :! '.ni tonYbe sous main et vous le lancer à l.i léie — « mente effronté ». -La femme n'a pas le seolfflmtent du dev< vis-à-vis de la vérité — eâlc n'a pas de ci iàcnce (consccernce ne doit pa.x être e1 fondu avec bonté, pitié, tendresse et tout vertus féminines). Elle ne reconnaît pas motifs abstraits, est hors d'état d'en fa la règle de sa conduite. Elle est l'éterne opportuniste. Il en est absolument, de même de 1 A3 nrnnd. Il ne comprend nullement que r puis?' sacrifier sa vie pour une idée, qu puisse risques' son exifvteinoc pour un pr. apc. Il est toujours rnui par un sen.timei Une passion, un intérêt, queîique chose .personnel et de concret. La guerre de la iératiion alîamarade, en 1813, fut une lu, pour l'obtenition de biens personnels et ta bibles : l'autonomie politique, rindépendan nationale. Elle forme un contraste abst avec les Mlfes de la- révolution. française q curent pour but l'application d'une idée, réalisation, de trois grandis principes. L'Allemand est réaliste — comme Iemnr.\ a Das Drobeit kann mich wesr îrômmern ». .Tamais on n,'a prononcé d paroles plus allemandes que ceWes-tà. « Q ■ m'importe ce qui se trouve dans tes nfu&içv Sans l'aeulr — dane le ciel de l'idéal? » Qu'om ne se îaiese pas Uroimper par la j àgiosilié apparente de l'Aïleimand. Il en ? i'dlto comme de ceBe de la feanme — c'c aie religion d'égoïsrnc. Après avoir vé one vie agréaible «it bien oiraonnée dans (niViii, aippèile, plus on moins relativemen h vallée de îarmes d'ici-bas, on déeire s'î snreir auissi un traitement fav-orabLe da Fffli-ddk'!. Après te carnaval et le « Fe: tommer? », on diésire l'entmée diams la béa Wo. éternelle. Et vo.iià pourquoi la guerre qui sévit p fc monde, est en réalité un combat eut terx principes — entire- les derax princàp qui so sont, toujoairs oombaitiinœ — entre rtalisme et l'idéalisme. C'est une nouve' i Wte — peut-être la dernière —pour save qui dominera dans la maison, de l'Euroy ti feininie ou lluamime. Car dievant la G< nianio se dresse, aicfaralemenit oorome il •i des siècles, la puissance qui représem tas l'histoire co que l'homme représen tes la farniHc. Devant le principe féminia intérêt et égoïsme, se dresse le principe iœ eulLn : fidélité au devoir, service de la ce science. « Dieu premSer servi », comme l'i disait, dans la France du moyen-âge; « fi Wslitia, perfàt mundus », comme on s'e («mioit don» l'a Rony antique. Devant ciflturo, allmande se dresse la culture 1 Jiff. Et. à présent comme toujours c'e , «om1 qui est 1e ceiiïtre die lo. civili sniion 1 «'e. L- Germanie contre Rome — voil -ne rédaiiile en formSile, l'essence intin . '* la guerre mondiale. Une cwltnre Ml ^ 1 l||^""r~|" i»'iim nny h ni"sw i,\ I»,'I.m-ih ■tPaS'i'e et l'égoïsme. contre une culture re| saut sur la raison, la réflexion, la volonté l'altruisme. One culture païenne, pour d _ le dernier mot, cor:re une culture ch. tienne. &■ * A * Malgré toute sa piété officielle,; l'Allen ■gne le sait fort bien, « Teutscli » signi païen, et l'Allemagne a donné au monde premier grand homme qui osât se qualif lui-m'érito de païen et mettre la croix (jjC même rang que la vermine, la puanteur UI" l'ail et la fumée d,u tabac — les '■niatre cl se>' qui lui inspiraient de- la répulsion. L ■ration®listes de Feucrbacii et les monisl H°Sïkçi, tes pangermanisiës et les a< oir ral«'urs fl'Odin, OatwaJd et, Jatho — to ira. apôtres d'une « nouvelle foi. » dont le d»gi tlC0 fondamental et le cri de guerre consta son! a Los von Rom » (la séparation d'a\ les Rome). C'est la révolte germanique, la i ■in, volK; des barbares — ce qui, il y a cnual me cents «as-, fat la Réfomie, il v a un siècle jS demi, le « Starrm und Dràng » liit.téraire, çr„ <Çi, a. présent, est deventu du fer et diu sa sst- f}, a revêfa la forme de mortiers de 420" de ^ cclîto h-aiiiie do Rotiio, cet. « odium papae oommie Luther l'exprimait, se trouve s «le crée si profondémerat, dans l'âme de l'Ai snt magne, que même les artistes voient av ■plaisir détruire des œuvres d''art — -nour ■on ^ assoient œurares de Rome! Dans I,, " ivbntre de la terre » — ce livre fulgura les âe Iueurs prophétiques — Robert Hu ind °erls?n a prévu qu'il en serait ainsi. Il n(.. d^'aif' pas vivre assez longtemps pour v< rtI1 to « jeunesse » de Munich glorifier « d grosse» Bruimimer », la force brutale Th Ses ¥„'Te?s^n* anfiT1' e* (comme Heine, l'a pi dut) brunit de son martea'i Ies caithédraJ goi.iuques. sts ""V?" s,eéf' dons sa force — i 3ot anciens dieux se réveillent, le Walha les S9°'UBC1,<? nwfs en vue de la dornii! Mtre contre le « blawc Christ » et contre i-ès lPlniSf51®cc <9o Rome. La Germande inon • uino fois de iplue les diamps latins ' de est la nature dans toute sa foi irrefleclue, veut dominer l'homme qui est îer li?g03,." ~ f0rdrS' loi- Dc me™ que dP mot intime de la Germanie est la force, iur SfARome est le droit. Et tutti, est engagée sur la question de sav< ■lequel de ces dieux mots sera le dernier, at- ; ■■ ——♦ — | Le fiascG de la propagande | antimilitariste en Angleterre os- r,s MINEURS DESERTENT L'INDEPE DENT L/\BOUR PARTV hî- On sait la dure leçon infligée par l'éli ,ul- tion de Merthyr aux éléments pacifistes un parti socialiste anglais. an II ne s'agit pas lù d'un phénomène iso lie- On constate dans toute l'Angleterre la mftr les désaffectation des ouvriers à l'égard d groupements qui contrecarrent l'effort r tional. Témoin cette correspondance adressée y g B'lyth au « Daily Telegra.ph » ,n° du 8 c La cembre) : tes ti La politique hostile â la guerre de l'u I ia- dépendent Labour party » obtient, un rési on tat significatif dans le Northumberland. ( ire a annoncé hier que le groupe de Blyth un cette organisation, fondé il y a seize ar il s'est dissous faute do membres, à raison 10- l'attitude des chefs du parti à l'égard de é ; guerre et de la propagande menée so irs leurs auspices . m- » Le grand nombre de démissions da: w- d'autres régions du comté, notamment ►ut Ashington qui jusqu'ici était une forleres 'é- des mineurs, cause une grave anxiété pan Es les rares adhérents restés fidèles à lie cause. » Ainsi le bon sens anglais triomphe peu Jrt peu des utopies au moyen desquelles on e pérait l'abuser. >ir —— i Travail forcé es >100. re LES ALLEMANDS ESSAIENT DE RECR1 lie TER DE LA MAIN-D'ŒUVRE EN RE GIQUE le- Depuis quelque t«mp.9, les Allemands te M den.t, 'de véritables souricières aux ouvrie sn Belges qui conliniuen; à refuser aussi éne n~ giquemanit de travaiitei- pour eux. Un ce l't, tain nombre de nos comipatriotes aya de épuiiis^ leurs id'axmères ressourciez, ohei 11- chenil, une position en Hollande et quand i -te en ont trouvé une se rendent à la Gomma: o- dan.tare namitiis die leur contrat d'enifraucl ce et demandent un passeport. IirvariaM ■lu me.nt on leur répond en refusant le pas.s ui port. ; mais en offrant, an emploi similaire, ■la en ABemagne, à <te« apipointeimenits pli àevés. la Les excuses sont inutiles : l'on ne ipei lig prétendre préférer dtemeua-er au paivs, puii es qu'on vient, de demander de le quitter. C ne ce peurt se déclarer incompétent, puisqi is, l'ennemi a la preuve die votre capacité si l'on. a®ègue crue l'on ne veut pas 9e me ■c- tre aiu service dc lladlvcrsaiire, on tomt st sous l'apiplioatdon dies régleoiente nalati st h l'expression de sentiments anti-adlemandi ;u Placés dans cette situation, difficile, que ce ques. uns perdent la tête et, signent, fau i,t, de pouvoir mieux faire, l'engB'gement qu'c 5- leur .présente. La plupart résistent et soi as condamnés sous des prétextes divers à d» st- peine plus ou moins éSevées. li- « r. rer La " Tlaamsehe Stem " et les bock - — a.0 De 1' 11 Eclio Belge », cette note tout S fe, suggestgive : ,rl <i Nous apprenons avec plaisir que J y. Meester Dokter Jan Eggen, administra.teu lie liquidateur de la, « Vlaamsche Stem », e* te rentré à Amsterdam après avoir passé ur 1 ■ quinzaine de jours dans la Belgique occi ,s: Pée. n- « A ce propos, un de nos amis nous di un mande comment il se fait qu'un admini- nt trateur-délégué d'un journal « se disant x- belge, obtient si facilement, un passejto la « aliftr-retour » pour la Belgique, alors m: a- les rédacteurs des journaux qui « sont st Belges, ont l'honneur d'être inscrits sur I a- liste noire de MM. les Allemands. h, « Nous l'ignorons, mais nous devons h 1 le vérité de dire que nous n'envions pas ' ie bonheur de Herr, pardon, M. Meester Dol I ta Psion to la pi uO«——. DES REPONSES ANTICIPÉES AU DISCOURS DU CHANCELIER La- t lie 0 Jy C'est hier jeudi que devait se dérelopp-;1U au Heichsta& l'interpellation Scheidemar j sur les conditions de la paix. Au momei où paraîtront ces lignes, Je cliâhcelier ail " r/iand aura donc pionoucé le discours doi Z. l'attente cause en Allemagne une certai: , fièvre. Sans admettre que" cette interpell ' tion savamment concertée puisse avoir i; *; caractère sensationnel, les déclarations < ' M. von Bethmann-HOllweg seront cepe '' dant un fait nouveau dont l'imminent rend vains tous commentaires et prono re tics" , Contentons-nojs donc de consigner que ~i ques faits qui ne démentent rien de ce qi " l'on sait déjà. „n On signale l'arrivée à Lausanne do Nat ' hey, ancien amibassadeur de Turquie à R 1 me, qui fut jadis un des négociateurs de , * paix d'Ouchy, entre la Turquie et l'Italie. Une corresiiondanee venue à la « Mo m n'nS, P°st » de Budapest, dit que là-bas . public est de plus on plus enclin à parier ( nt l™^-. Ces dispositions se manifestent dar les réunions des associations corporative n des syndicats ouvriers et de la franc-m, ççnnerie. La, grande loge de Budapest a 11 vité, par la voix de son grand-maitre, ch ' cun do ses adhérents à faire une pmpagai v_ pacifique énergique. Les associations f ministes et ouvrières déclarent, en des ni; nifestes publics, n quelles en ont assez i l'assassinat et dc la famine. » lu ^ 'a Çhamiwe des députés hongroise, ' comte Tisza a déclaré que le moment où 1., Paix pourra être conclue dépend des Alli< .. qui rellusent de .s'avouer vaincus. Lo com . Andrassy a parlé dans lo mémo sens £ <■ Tout permet de croire, a-t-il dit, que ne adversaires font tous leurs efforts pour qi jp sol't de la guerre ieur soit favorable. E outiro, les déclarations du président du co; , sfil français et les déclarations faites à Chambre des communes n'offrent pas moindre chance pou" une conclusion de paix dans ces condi lions. » — Au moment mémo où le comte AncWaS; faisait cet avou h Budapest, à Londres, N Asquith, déclai'ait en réponse îl'une qi: tion d'un parlementaire que l'Angleterre e décidée h respecter fidèlement le pacte c Londres et, ,'1 la Chambre italienne. M. Ca cono affirmait, que le peuple italien est r soin, comme les peuples alliés, > tous V V- efforts. .1 tous les sacrifices jusqu'à la pie ne victoire. ,p. Le cliancélier feindra-t-il de n'avoir pr 3a compris ? J Les décorations de guerre a- —»—»oc :1c UNE FORT BONNE DECISION é- Le Roi, votilant honorer particulièri n_ ment les militaires qui, à l'occasion de Jj_ événements de la gueiTe actuelle, se sor )n distingués par leur bravoure et leur dévoui je ment à la Patrie vient, do cigner un arrêt 0 en vertu duquel, les titulaires de décor: ]è tions de l'Ordre de Léonold, de l'Ordre d la la Couronne et de l'Ordre de Léopold I js accordées pour faits de guerre cités à l'oi dre de l'aimée, porteront sur lo ruban d ls l'Ordre un insigne distine.tif, d'argent pou les chevaliers, d'or pour les autres grade? se Cet insigne corssister.i. en une palme, ni Les titulaires de la décoration de gran la. officier et de commandeur de l'un de No Ordres recevront, outre la plaque ou la cou ^ manderie, la Croix d'officier accompagné s_ de l'insigne distinctif. L'insigne spécial afférent à une décora tion qui a été conférée pour fait de guerr — pourra, en cas de promotion du titulaire être porté sur les insignes du nouvea' grade. - pour vaincre au plus toi n. »w C'est un spectacle réconfortant, que celi r_ qm'offrent en ce moment les guichets d ,t souscription à l'Emprunt 5 0/0 de la Vit toire. Le ministre des Finances se trouv ]s dan^ l'obligation de les mettre plus Ion: v temps à la disposition du public, et ausï )0 d'en ouvrir de nouveaux. Aussi, pour rendre la tâche plus aisée . tous, est-il utiple de donner quelques exerr pies de souscriptions auxquels cliacu pourra se reporter. Souscrit-on à des rentes 5 0/0 entière ,1 ment libérées,on a à verser tout de suite le 3- — ■ n Pour 5 francs de rente Fr, 87 2 Pour 10 francs de rente 174 5 ]l Pour 25 francs de rente 436 2 Pour 100 francs dè rente 1.745 ." Pour 200 francs de rente 3.490 -, et ainsi de suite. Quant aux demandes poi 1- tant sur dos chiffres intermédiaires, le vei e sement qu'elles exigent est facile à établi n au moyen de ce petit barème. rt Ne soiuscrit-an que des rentes libérable s par versements échelonnés, les sommes : | payer s'étsMwsent ainsi : Pour 5 francs de rente Fr. 10 Poar 10 francs de rente 20 1) Pour 20 francs de rente 25 Pour 25 francs de rente 50 Pour 100 franœ de rente 200 ( Pour 200 francs de rente 400 Puis, à chacune de ces trois dates : 15 jan [ vier, 15 février, et 15 mars, '- Pour 5 francs dc rente «Fr. 20 "■ Pour 10 francs do rente 52 e Pour 25 francs de rente 130 1 Pour 100 francs do rente 520 t. et ainsi de suite, en tenant compte pour le „ demandes intermédiaires, de cc qui a ét •t dit plus haut.. e Ces quelques chiffres montrent claire » ment les avantages qu'assure à tous ceu: a qui y prendront part ime opération finan cière qui transforma les billets do banque a et les écus en canons, en mitrailleuses, ej e munitions et approvisionnements de toute,1 sortes pour les héroïques soldats français. ■ .-llTVWf—fflllMWTTflVTl Une nouvelle liste de prisonnier Pour répondre à de nombreuses demai des, nous avons décidé de publier UN NOUVELLE LISTE DE MILITAIRES BEI GES PRISONNIERS EN ALLEMAGNE, j Un premier fascicule va sortir de press< Il comprend, EN 24 PAGES GRAND FOÎ ît MAT, [es noms de quelques milliers de m e litaircs. Ce premier fascicule va de la letti A à DET inclus. Nous ne doutons pas que cette public: 1- tion intéresse beaucoup de nos lecteurs. L •e tirage étant limité, nous les engageons 3" nous envoyer AU PLUS TOT leur soui , cription. c Le prix de cette brochure est fixé à 0 fr. 51 Elle sera expédiée FRANCO contre l'envt y de 0 fr. 60 au bureau du journal, rue de I 'j Bourse, 28 ter, Le Havre. r- 5 LePapeetlaguem 1- 1 UNE NOTE OFFICIELLE DE n L'OSSERVATORE ROMANOiS !" On télégraphie de Rome à la Croix : <1 A uin communiqué de l'Agence Sleft 0 m déclarant que le Pape avait été mal n formé sur tes causes du déport des repri lo sentants d>es empires centraux auprès d a Saint-Siège, une note officielle de VOsrse vatore Romano répond en ces termes : ip ci Ce communiqué a besoin de quelque . explications. Nous reconnaissons que 1 ,g gouvernement italien a manifesté la boni) ,,, volonté d'éliminer les difficultés dérivai n de IV at de guerre pour ce qui concerne le v ««présentante des empires centraux auprt a du Saint-Siège et pour leur conserver le a prémgjatfves qui, sefan lo droi ', interna a tionai, appartiennent aux agents diiplom; tiques. v <( Toutefois, faisant abstraction d'autre 1 considérations d'ordre secondaire, non .' riroyons savoir que le gouvernement ifc : lien ne leur aurait point, maintenu lo dro 1,, de correspondance réciproque mémo clii „i Iréo avec leurs gouvernement respectif en gardant à cette correspondance son os _, rae.r-re libre et indépendant, car il la vo>) j. lait soumettre :i un contrûle quelconqui fùt-ee celui diu Saint-Siège. « Tel nous semble le plus evx'nct expos des faits, et nous pouvœs admettre e toute franchise, et sans d'ailleurs touche ~ ft la respeclialbilité dles persomies, que l'éte do guerre offrait de sérieux motifs nour n point, reconnaître aux diplennates d'Au'tr che-IIongrie et d'Allemagne, le Htfoit su' indiqué. Mais personne ne voudra nier qu ce droit est essentiesl à toute mission d plomaitiique qiui ne saurait point se cone> ^ vor sans lui, et., d'aratre part, nous est „ imons quie le SaintrSiôge n'aurait pas p accepter la grave responsabilité do sen _ 'blabie oontrôlo. !r « Il nous semble donic être bien vrai qu les susdits diplomates ne furent point e: pu.ksés par le gouvernement italien, chos y qui n'o. sûrement, point été dite par Sa .Sait ;> télé, mais qu'ils se virent contraints d s'éloigneir de Rome par la force même dc e cho • sui muneris ac dignitis causa r comme le Saint-Père s'est précisément c '■ avec une a.lxsol'ue exactitude exprimé dan son allocution^ » 1 ■ fe crise des vime ; m Pllemagne i LAMENTATIONS AU REICHSTAG La, comaniB&iooi du budget au Reiclista . continue à s'occuper de la question de 1 cherté des vivres. ' 1 Elle doit en. entendre d'assez dures, ca [ In censure allemande a interdit la publier tion de discours prononcés à la séance d lundi par deux députés socialistes et un dt pu:t»> conservateur. Un dtéipwlé progressiste a déclaré que le pommes de lierre font défaut dans l'Oues ' il s'est plaint de 5a cherté do la viande e du bcuirre. j Un député du Centre a plaidé, avcc mène ces à l'appui, la cause des paysans et , revendiqué pour le sud de l'Allemagne un part des vivres qui seront importés par 1 ' voii) du Danube. Les réponses des ministres auxquels 1 pi.-- a reproché déjiti amèremenit leur im " puissance n'ont rien eu de précis. Le ministre du Trésor, M.Helfferich. q: n'est cependant, ni un politique ni un fonc 5 lion naine, mais un homme d'affaires, a di ■) déclarer que le comité d'achats est dan -, l'imipossiMité d'occuper trois mille mou 0 Mns 'i pouir moudre les petites quantités di „ céréiales dont l'Allemagne dispose ». Qelte comsiteCaition d'un Uni 11 iesi ossef; - significativie par aHe-ïïï6me. Un détail intéressant à propos du pri: de la viande. On a reçu dernièrement un informialSian reMive à irintardndtion du) 5 transport en Autriclie du bétail sur pied ve 1 nu diu Danemark. Le motif qui a fourni l'Allemagne à agi an'insi vi-sà-vis de son alliée est d'ordre éeo » nomiqnie. Oeitte mesure fait partie d'un plan " grâce auquel on espère ramener le cour; " die la, viande, en Allemagne, à un cour " normal. Le m'arché danois tout entier es " monopolisé par trois maisons allemandes " que soutient l'Associailion impériale centrale d)es aoliats, à Berlin. Cette dernière 01 ganisalion "étendiro. bientôt son activité i toutes Ses autres branches de l'alimenta tion. , 1511c espère ainsi paralyser la cononrene, „ autrichienne et forcer l'Autriche à se fouir „ nir de bétail en A'Memagne, ou h s'en pas „ ser. Les résultats d!e cette manœuvre appa raissent déjà : les cours du bétail danoi: ' on^. baissié dfi 125 francs par tète, mais lei i acheteurs allemands voudraient arriver : diminuer les prix de 33 %, ce qui permet . .trait de couvrir l'énorme déprédation di : change. 5 — On mande de Suissô que la frontièri 1 allemande vient d'être de nouveau fermée ! Les trains suisses n'arrivent plus à Gons tance. A Romandhorn, la frontière a ét< Arf ■> 1 .irv-v n-r» t farm fva LA SITUATION MILITAIRE î »Ot< E Jeudi 9 décembri Nous gageons bien que personne ne s ému d'apprendre que les Allemands >. taient emparés de quelques tranchées fr t cai.ses au sud de Saint-Souplet et que 1 s'occupait de les en chasser. C'est qu'à '■ vérité ces combats minuscules sont s; e aucune importance. Prendre une (ranci ne sert de rien dans cette guerre do siê Pour percer un front, — vaste entrepi " qui exigera une longue et minutieuse p paration. une lutte d'artillerie formidai à d'énormes effectifs, — il faudra, tout d'i i- haleine et en un jour au plus, traverser part en part les lignes successives de . îensc et gagner à l'arrière la zone libre ' fortifications. La décision devra être obtel '■ en vingt-quatre heures d'assaut, sinon t a sera à recommencer. L'expérience des a nés tentatives de rupture, faites tant par Français que les Allemands, a été c - cluante et l'événement ne cessera dé confirmer. En attendant, que le printemps nous 3 porto les grandes émotions et les grain fortunes, la vertu de patience continue d'ê ■la vertu essentielle. Nous avouons qu'( aurait été singulièrement fortifiée si, 1 jours derniers, "nous avions appris la clr de Gorizia et la prise dc Bagdad. Mais qui est différé n'est point perdu. En eii] géant toujours des troupes fraîches, — . que leur permet la hauteur de leurs eff ~ _ en renforçant toujours leur nrti u rie, les Italiens, qui ont du mordant et .. courage, finiront bien par déboucher di la plaine do Gorizia et par faire tomber s défenses de l'Isonzo. Il dépendra, d'eux d' c ploiter complètement cl à fond, par de n promptitude et de l'audace, un si grand s t cès. Quant à Bagdad, — la cité du mystè s des Anes, de la poussière et do la verrai: s —■ elle est inviolée et le restera sans doi s quelque temps encore. On avait donné croire que le général Nixon, qui cc i- mande là-bas le corps expéditionnaire a ni indien, n'avait avec lui que deux divisio s dont une seule aurait été engagée à Cti s phon Nous savons maintenant par le c - cours de lord Crewe, au Parlement brih t niq.ue, que ce général dispose de troui ■- en nombre jugé suffisant pour mener à 15 s 1 expédition. S'il en est ainsi, on peut ■ i- core nourrir l'espoir que, retranché à K 1- el-Amara, ce général tiendra tête aux Tu: ■, et aux Arabes et quo l'Empiré des Im pourra, en temps utile, le renforcer et é ravitailler. N'oublions pas cependant qu i 11 a plus de 400 kilomètres environ du gc r Pcrsique à Knt-el-Amara. Il est vrai que ■t cours du Tigre se prête fort bien aux g) e transports fluviaux. 1- En Macédoine, la situation est critiqi '- mais elle nest point encore tragique com: e certaines informations pourraient lo fa croire. Il est certain que le général Sari •- ne dispose pas encore d'effectifs suflîsaj 1- pour se défendre dans le trilatère Yard J Tcherna contre une ruée générale de l'i - nomi. Comme nous l'avions fait prévoir, à l'époque même où l'on parlait d'une off< e sive française, — les Français doivent ma :- tenant resserrer leur front pour mieux ci e vrir la voie ferrée de Salonique. Sur le - flanc gauche, très découvert, "les Bulgm s ont prononcé une première attaque à > s zartzi, sur la Tcherna. Ils ont été repoi . sés ; mais il est à présumer qu'ils rem t voileront leurs efforts et qu'ils les_ multip] s ront sur divers points. Si le pire dev arriver, si les Franco-Anglais devaient " gagner Saloniquc et même, so réembarqu l'ennemi ne pourrait pas encore cha.11 victoire car le Canal de Suez et le Tic sont toujours aux mains des Allies et. u entreprise est toujours possible contre voie ferrée de Constantïnople à Dam; Cette voie ferrée pourrait être mise en pi par un débarepiement à Alexandrëtte ou rail n'est qu'à courte dislance de la cû J — 20 kilomètres à ccrlains endroits, — i où co rail court dans des tunnels, sur < viaducs, dans des gorges ; les destmctic r y seraient aisées et fort peu aisément ré] - rablcs. Mais nous n'en sommes uoint encc e là. Paul Croîiaert. I L'arrestation du directe™ ' du " Telegraaf " LE SOULÈVEMENT 1 DE L'OPINION HOLLANDAISE L'émotion considérable produite a . Pays-Bas par l'arrestation de M. Sein-oeil s'est traduite par de nombreux articles : journaux très vifs pour le gouvernement. L' 11 Algemeen Harsdelshlad » dit que c'< ■, la première fois qu'à Amsterdam un jox ; raalisto est mis en état d'arrestation pro-soire pour délit politique et qu'il est à se , haitei' que ce soit la dernière. u U est étrange do penser, dit lo mêr journal, que, plus tard, un historiograp pourra dire librement ce qu'il est défeni t à un journaliste d'écrire aujourd'hui. ( ; est le droit de critique dont nous somm si fiers, nous, Hollandais ? » Le n Volksdagblad » écrit, de son côté : « Jusou'à présent, personne n'a été an » té pour avoir écrit contre les alliés, et, ( - pendant, ce qui a été écrit par des germai t philes contre l'Angleterre, la Franco et q Belgique, est simplement honteux ». j « flot Volk » écrit : « Ce n'est pas ] t Schroeder qui est, coupable, mais bien , gouvernement hollandais, qui n'a pas n" fin au commerce illégal des fraudeurs, for - nisseurs do l'Allemagne ». t UNE DÉMARCHE DES JOURNALISTE L'Association des journalistes d'Amstt dam a télégraphié au ministre de la justi ? en disant qu'il n'existe aucune raison jus fiant ia mesure prise contre lo rédacteur ■ chef du a Telegraaf » et demandant sa mi j en liberté. co il' w ukiouéïelge ( »0« 1 8 décembre. — Lutte d'artillerie assi ■violente sur tout le front belge. Nous avo] ; contrebattu efficacement les batteries a verses, bouleversé des ouvrages ennem - près dc Poescle et dispersé un convoi i une compagnie sur la route de Dixmui A Qtoonclrrinfr» 'dernière heure s'é- ——»•>« 1 Communiqué officie! fraaeais- îée „ — go. Paris, 9 décembre, 15 heures,. ise EN CHAMPAGNE, au cours de la mo'Zfj ré- notre artillerie, poursuivant le bombarde*; 'le, ment des positions allemandes a tail sŒUteTt ino un dépôt de munitions au sud de Saint-Soin. do plet% Nos contre-attaques à l'est de ta b uttéj lé- de. Souain ont continué (1 reiovlcr t'adver-- dc sain qui ne garde plus qu'une partie de loi :ue tranchée avancée complètement bovlever* )iit sée. Nos batteries, par un tir constant, otii' ai- empfiché l'ennemi de s'y établir. les EN ARGONNE, nous avons fait cxpîosefï 3n- avec succès devj mines dans la réijion dît la Haute-Chevauchée. ip- AUX DARDANELLES les ,_r Le 5 décembre, une tentative d'attaqué ,, ennemie a été immédiatement, arrêtée pats ;> nos feux. îte ^e ®' aï' (,r eliicnrc rï" "os lignes de trait* chées qui font brèche dans les lignes enne-mies et. provoquent l'explosion d'un dépôt 'ce muitiMons turc, l'ennemi a rinosté par v ri violent bombardement qui n'a causé aucun! ic_ dégât. , «g| du al>s ta mer lla- Mnr>n(lr", un sous-mnr'nt anglais a torpillé- et. coulé un contre ton j"3 pilleur turc, le Y AR TI1SSAR, faisant pri* 'es sonniers deux officiers et quarante hommes^, la »oit ic- LA CONTREBANDE DE I.'OU PAR re, LA HOLLANDE Jf' Nev.'-Vlirk, 9 déciimlbre. — I/umbc:s e-' deur d'Angleterre à Washincjon a envoyé! éà Foreing Office ft Londres un ceilifsfaf , ' de bonne foi au sujet des banquiers nev.'-" yorkais qui ont expédié à Rolterdn.ni uni million de dollar s en or, à bord du Noordaniy 'f- actuellement détenu par les autorités ta* IS_ tanniques. >n" La question, qui resite à régler maintenanlj lC:'' est de savoir si cet or, généralement con« en sidi'rô coriitaie contrebande de guerre, peut) passer d'un pays inerafoe dans un autre paya at- montra également, sous le couvert d'uni 'es échange iralerna lional normal, quand orij les croit qu'il doit définilivement aller on AîîpJ le magiic», pour le»r'<glement d'une balança I y commcrciialo quelconque. lfe lo * - * —- ir- 03 Le fort de Cogneiée ^ détruit par line explosion ire ))Oto ot' Quatre-vingts soldats tués ir- L' 11 rcho Belge » dit que le fort de 0)|l in- gnelée, à Nanmr, a été complètement déj truit par une explosion. Quatre-vingts eoQ ,n. da.ts allemands auraient été tués. in- Il v a quelques semaines, le fort de Mat'* m- chorelette a déjà été détruit partiellemcu^ ur par ruie explosion. •es | LES FAITS DOJOUHi ait »o« ;r" Le gouvernement des Etats-Unis a etff pp voyé à l'Autriche une. note peremptoire re*l TG lative au torpillage de VAncona. Il exigo, une punition pour le commandant du sous-ja marin et pour les autres responsables, une, (s indemnité pour les familles des victimes rj'l américaines. et l'assurance que de tels laits > ne se reproduiront pas. L [p tawvwi'v.fl \ f. pSL Les enrôles officiels de Washington envi* ns sagent la possibilité d'une rupture diplo* j "a ,n- maiiquc avec VAllemagne à la suite du rap* / ir0 pel de von Pœpen et de Boy-Ed. Le refus, . \ fi des Etats-Unis d'expliquer tes motifs de ces rappels précipiterait les événements, et) VAllemagne, pour marquer sa désappioba* j tion, rappellerait son ambassadeur. 11VWWWVÏ Lr roi d'Espagne a maintenu sa confian>f Iee à M. Datot président dv. conseil démisH sionnairc, mais celui-ci a refusé de rester ait pouvoir. Alphonse XIII consulte les person-nalités politiques de tous les partis ; M. Ro\ mamnes n'accepterait le pouvoir qu'au ca§ ^ où les conservateurs le refuseraient. (J© WVWWVlH ist Selon toute probabilité, la. Cti a ml ri! î.'Sjii ' iv. Hernie terminera sa session samedi proJ chain. On partait, ccs fours derniers, d'unéf. u- tentative qu'aurait faite, l'opposition social liste pour provoquer un débat sur la. datéj ao de réouverture, de. la Chambre. Cette tenta-t ;1C live n'aurait aucune chance de réuà IU sir. Le député Cicolti a promis d'interpeSeî\ )(, pour demander la dénonciation de la coiwi ca vention ilalo-allemandc de, 190S pour la pro-ji tectlon dc la. propriété littéraire et artislfa que. I).. H.WVWVWll :e" On mande de Copenhague qu'un téléai gramme de Berlin annonce que le gouvefll la nement allemand a déposé jeudi la proposition d'une nouvel emprunt dc guerre ilty ■1- 10 milliards de marie. iimmiMv ,is r- Le, Worhl de. New-York accuse le miniS*' tre dc Suède. A Washington d'avoir servi îS d'intermédiaire, entre le comte Bernslorff et r_ le gouvernement allemand en irunumetlont i,| ce des dépêches de Berstorff par la volise di* g. plomatique de lu légation de Suède e! eiï >n expédiant des télégrammes en chiffre diplo* g0 viatique allemand au ministère des affaire^ étrangères de. Suède, lequel réexpédiefaiÉ.. ^ ces télégrammes à Berlin. îtvvvwvwvV Dans une interview accordée à un collaboH râleur d'une revue dc New-Yorl:, l'Index ■z pendant, Yuan-Schi-Ka'i a déclaré qu'il n'y is a aiwwie chance de voir le, rétablisseme» 1 d- de la monarchie en Chine. La question se is soulevée, mais les monarchistes n'a et pas la majorité. Quant à lui-même le désire vas être autre chose nue y. Jn 1/7 nani ,hlin,, r- Le numéro ; tO Centimes (5 CENTIMES AU FRONT) Vendredi 10 Décembre 1915 21e ANNEE.—Série nouvel le. — N° 394

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1940.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Onderwerpen

Periodes