L'indépendance belge

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s.n. 1915, 01 Juni. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 25 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/hh6c24rr2v/
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I scème année, No. 127 L'INDÉPENDANCE ROYAUME-UNI: ONE PENNY. BELGE CONTINENT s 15 CENTIMES I ADMINISTRATION ET REDACTION : BUREAUX A PARIS : ïudok HOUSi/, TCJDOR ST., LONDON. e.C. "• PLACB i>e LA BOURSE. TELEPHONE: CITY à960. TELEPH.: ! 238 75 LONDRES, MARDI 1 JUIN 1915. v ,3 mois, 9 shitlings. , abonnements : i 6 mois 17 shiilings. i coxservation par le progres, il an, 32 shillings. j IS O M M A I R E. LA SITUATION : Raid de Zeppelins sur Londres.—Les Italiens bombardent l'arsenal de Pola.—Succès russe sur le Dniester et sur la Vistule supérieure.—Les opérations dans les Dardanelles.—L'entente bulgaro-roumaine.—La réponse allemande à la Note du président Wilson. Prière au souvenir de deux amis morts sur le front.—Emile Royer. Les Allemands et les Puissances neutres.—Camille Roussel. L'art des démentis allemands.—Léon Boll. Billet Parisien.—Jean Bernard. Lettre de Hollande. — Dr. Terwagne. Tribune libre.—A. F. Grandeur et décadence.—M. La vie au front.—Maurice. Etc. LA SITUATION Mardi, midi. Londres, ou plutôt les districts limir I trophes de la métropole, ont reçu, la nuit I passée, la visite, si longtemps annoncée, des Zeppelins. L'amirauté nous en informe par un communiqué très bref que nous reproduisons plus loin, et c'est en conformité avec ses désirs que nous nous absenons de donner au sujet de ce ! raid des détails trop circonstanciés. Les nouvelles des différents fronts sont favorables. La situation des années russes s'est sensiblement améliorée tant sur les deux i flancs que dans le centre. Dans la région du Dniester, entre Stry et Dolina, les Russes, poursuivant leur mouvement offensif, ont fait plusieurs milliers de prisonniers et capturé de nombreuses mitrailleuses. Aux dernières nouvelles, on disait que l'ennemi battait en retraite de ce côté. Dans le centre, Przemysl est toujours menacée du nord et du sud-est, et il n'\ j a plus qu'une bande de terrain de mqins de vingt kilomètres, s'étendant dans la direction de l'est vers Grockk, qui soi, (nccsre libre d'ennemis. Au nord-ouest- de Przemysl, sur le front Jaroslaw- Radyrnov, nos Alliés onl arrêté l'ennemi et, passant la rivière Lu-boczowka, lui ont infligé des pertes sérieuses. Les communiqués russes fonl ressortir ja dépense énorme en munitions que les Austro-Allemands ont faite ài: cours de leur offensive, à laquelle participèrent environ 1.500 bouches à feu. Celles-ci, à un certain moment, tirèrenl à raison de 200,000 projectiles à l'heure, ce qui prouve que les Allemands sont loir de manquer de munitions, comme or nous l'a fait croire. Sur le front occidental, les Allemand: ont été repoussés du côté de Notre- IDame de Lorette. Les Français ont progressé dans la direction de Souchez, e! les combats autour du " labyrinthe " s< poursuivent favorablement. Maîtres d< Xotre-Dame de Lorette, d'Ablain et d< Caréncy-, l'objectif immédiat de nos al liés dans leur offensive vers Lens es' maintenant Souchez et Angres, .où le; Allemands ont construit de puissants tr vaux de défense. Le bulletin officiel belge mentionne c* violents combats d'artillerie sur le froni de l'Yser. Les nouvelles de Rome sont toujour: excellentes. La base navale autrichiennt dans l'Adriatique, le port de Pola, a été bombardée dimanche soir par un dirigeable italien, qui a jeté des bombes sui - arsenal et la gare. Ln autre port autrichien, Monfalcone, dans le golfe de Trieste, fut attaqué lundi par une escadrille de contre-torpilleurs italiens, qui occasionnèrent des dégâts importants aux docks. Dans le Trentin, nos Alliés avancent rapidement et occupent dès à présent des hauteurs qui leur permettraient d'envisager avec calme une offensive ennemie par la va,liée de l'Adige. Les colonnes qui avancent des deux côtés du Lac de Garde vont bientôt pouvoir se rejoindre à hauteur de Riva. Sur l'Isonzo, où aura lieu la première rencontre sérieuse entre les deux armées, les Italiens consolident rapidement les positions conquises. De fortes pluies ont grossi les cours d'eau qui descendent de la montagne et gênent quelque peu les mouvements de nos alliés. L'état actuei des opérations ne permet pas encore de se rendre compte si les Italiens ont l'intention d'attaquer les forces autrichiennes de front en forçant un passage entre Goerz et la mer, ou s'ils se décident plutôt à tourner les forces ennemies entre Goerz et Tarvis. La distance entre Tarvis et la mer n'est que d'une centaine de kilomètres, et une avance par le sud ■ pourrait être efficacement appuyée par la flotte italienne. Jusqu'à présent rien n'a transpiré sur les mouvements de l'ennemi ni sur l'importance des effectifs qu'il compte mettre en ligne. Dans la presqu'île de Gaiïipoli, c'est toujours la guerre des tranchées, lente et coûteuse, qui se poursuit. Les Turcs, très braves et très entreprenants, attaquent furieusement les tranchées franco-anglaises. Au cours d'un de ces assauts, exécuté par un beau clair de lune, les Turcs, pris dans un feu croisé, perdirent 2,000 hommes, alors que nos pertes n'étaient que de 300. On estime que les opérations dans les Dardanelles ont coûté jusqu'à présent aux Turcs près de 70,000 hommes. On assure qu'à la suite de la partici-; pation de l'Italie à la guerre, des divergences de vues auraient éclaté entre les • membres du cabinet ottoman. Certains ; ministres seraient d'avis de faire la paix pour sauver de la Turquie ce qu'il y a en-: core moyen de sauver, mais Enver Pacha : serait parvenu à convaincre ses collè-- gues qu'il est trop tard et que le sort de : la Turquie est lié à celui de l'Allemagne ; et de l'Autriche. f l La réponse allemande à la Xote du président Wilson est considérée géné-; ralement comme injurieuse à l'égard d?s Etats-Unis. On reconnaît que la situa-: tion s'est aggravée et la demande d'en- • trevue sollicitée par la comte von Berns-torff auprès du président est significative. L'entrevue a été fixée à mercredi midi. PRIÈRE UU OUUV Vint VJV UVUA u h ous étiez jeunes et beaux. Vos parents vous choyaient. Vous étiez à l'âge °u se cueillent les douces amours à l'o-fte des vies d'hommes, et où tout paraît enchantement sous les frondaisons mystérieuses de l'existence où l'on s'engage en souriant. ^ ous étiez bons. Assoiffés de justice, ambitieux d'améliorer le sort de ceux à qui " tout est peine et misère, ' ^ous avanciez sur l'arène intellectuelle, 1 ers et nus, l'œil ardent, n'ayant pour arme que la générosité. Et nous, lutteurs vieillissants, nous \°us suivions du regard, nous admi-r,'?"s V0,Te souplesse et votre ardeur, et i ' l:ja les générations nouvelles à nos resplendissaient du triomphe que u,us alliez remporter pour elles. Mais les Barbares sont venus. t ' ous et des compagnons de votre âge ur avez opposé le rempart magnifique I*;' * os poitrines d'adolescents. Abri-<f derrière elles, la nation a sauvé ce Patrimoine d'honneur et d'idéal que vous rêviez d'accroître au long des jours de votre vie, et qui vous a demandé tout en un jour. Votre sang vermeil a coulé, et vos grands yeux étonnés, se fermant Sur la méchanceté teutonne, ont entrevu dans l'ivresse du sacrifice, l'aube radieuse de la paix et de la fraternité. Mais les fleurs du printemps ne vous charmeront plus. Qu'elles sont jolies au pays où nous sommes, sous le merveilleux soleil de ce mois de mai : fleurs de pommiers dont la grâce carnée s'épand sur la fraîcheur des gazons verts au fond des jardins qui livrent aux passants, à travers une grille d'entrée ou les losanges d'un lattis, un peu du secret de leur âme familiale ; fleurs de marronniers, qu'à célébrées le poète des "Rimes de joie," dressant leurs girandoles d'albâtre au long des avenues ou bien y allumant de rouges lueurs de fête, avant que d'étaler des tapis de corolles au pied des grands arbres, leurs maîtres, en pâmant ; lilas qui émergent des bosquets en touffes opulentes ; tulipesdcntles couleurs .éclatantes claironnent devant les perrons le chani de la lumière enfin revenue ; glycines élégantes qui se laissent choir de: colonnes et des balustres de la verandah, plus languissantes et pâles que la d-arm de céans ; fleurs de cytises qui prodiguerr aux plus humbles cottages le ravissement de leur pluie d'or; bouquet; mignons de fleurettes blanches, ou roses ou écarlates, qui recouvrent d'un frémis sement coquet et léger les branches flexi bles des aubépins et confient à la bris* leur senteur capiteuse pour la porter ai loin ; muguets au parfum enivrant e subtil, dont les clochettes candides son nent jusques aux carrefours des villes en dépit du chapeau ridicule et du châl< sordide des vieilles marchandes qui le: tiennent captives, l'heure voluptueuse di renouveau. Les fleurs ne vous charmeront plus infortunés éphèbes, et nous en jouissons Pourquoi, pourquoi? Je vous ai vus partir joyeux, plein d'entrain et de vaillanpe, devenus tout-: coup des hommes que nous acclamion et devant lesquels nous nous sention très petits. Vous alliez vous battre, vous battn pour la patrie, vous battre pour la civi lisation, vous battre pour la justice e pour la liberté... Ils se sont battus et ils sont tombés. Ne nous plaignons pas d'être san foyer : leurs pauvres corps sont à pré sent sans vie. Ne nous plaignons pas d'être loin d, notre pays : eux ne le verront plus ja mais. Ne nous plaignons pas des efforts qui l'on tente contre des idées qui nous son chères : eux n'auront plus la joie de le défendre. Comme eux, ne songeons qu'à la vi IIIIWI niii W) imwi 11—i, > 11 a arawawCTQyMBUjat ;-<. collective de la race qui ne doit pas mou rir. Arrière les ambitions et les souci personnels. Arrière la crainte de la sout france ou de la misère. Arrière les désir de gloriole ou de profits. Arrière les cha grins issus des incompréhensions et de calomnies. Tout cela n'est plus rien : i y a la guerre, la grande guerre ! Les Alliés n'ont plus qu'un seul cœur ils halettent du même souffle, ils son secoués du même frisson, ils tressaillen du même enthousiasme. i Des hommes sont tombés, mais 1; t caus'e qu'ils défendaient est vivante, e - va triompher. Ce qu'ils ont voulu, sera , Les Barbares vont être repoussés. L : Justice et la Liberté vont renaître. En , core un effort! Nous le ferons en corn i muniant avec votre souvenir, jeune hommes qui ne vous serez pas sacrifié j en vain. Hardi, ceux qui restent ! H . vous, travailleurs des usines, de tout votre énergie, de toute votre activité ; de toute votre endurance, fabriquez de t obus, des cartouches : ainsi vous prene 5 part à la bataille, comme d'autres e 5 cherchant à maintenir intact l'idéal d fraternité que les Huns ont entrepris d ; détruire et qui, dans la mêlée, pourra: . être meurtri par des partis de ses défer t seurs. Debout, debout! Nos jeune amis sont morts. Puisqu'ils ont tou perdu, plus rien n'est légitimement s nous,pas même notre douleur ! Retenon . les larmes qui nous amolliraient. Sovon des hommes, autant que ces enfants. Mais portant en pensée sur les tei . très qui marquent l'endroit où ils repe sent, les fleurs de ce glorieux prir i temps, offrons à leur mémoire notre vc t lonté de confondre nos v ics, comme eu , l'ont fait, en celle des peuples qui lu; tent pour le droit. EMILE ROVER. LES ALLEMANS ET LES PUI SANCES NEUTRES ..... » . ■ • . Mardi.—Le raid de Zeppelins sur suppo er — et l'nt'itu-de -ctuclle -i- Loncures, attendu oepuis. a Etat t.- à t»: J- nui un. eu lieu—mais les détails manquent, les éclair - à<c< sujet. Avec beaucoup de raison les autorités Seulement, co^statoi -le avec tri- militaires ont décidé de ne plus donnoi tesse, les Puissances neutres semblent n d'indications précises sur le chemin pas t"ès bien çç:~'pren Ire encore quelle parcouru par les machines de guerre,: sont les méthodes de, fourberie employée l'ennemi y trouvait trop d'avantages., par il'Allemagne à leur égard.. Ce nouveau raid ne prouve rien de Les discussions diplomatiques en!i plus que ce que le monde civilisé con- l'Italie et l'Autriche sont pourtant bie naît depuis longtemps: c'est que les édifiantes à ce sujet. Allemands s'efforcent d'assassiner des En réalité, le raisonnement allemand gens non armés et de détruire des l'égard des nations neutres est celui-ci . œuvres d'art... ^ ^ —Ce sont de grands enfants qui n Quant à 1 effet que de tels succès voient pas très clairs. Agissons donc peuvent produire sur le monde civilisé, ieur c'rcj comme à l'égard d'enfant- nou's doutons fort qu il soit ce que les Faisonsdes promesses. Ne répondons p' Allemands espèrent. On sait ce qu il directement aux intima'ions qui nor est advenu de leurs infamies passées et sont faites. C'est du temps gagné — . ni la violation de la Belgique, ni les ]c temps gagné c'est la possibilité poi assassinats multiples,ni la destruction de nous d'écraser les Puissances actuelit Reims, ni le crime du "Lusitania,' ni pient en guerre. Nous écraserons 1' toutes les autres abominations com- autres ensuite. mises, ne leur ont apporté un bénéfice j^a r^p0nse allemande à la " Note moral quelconque— Etats-Unis est un exemple nouvea Au contraire. ^ ^e ja méthode allemande. L'Italie, malgré les promesses teu- c • , , ' ° ' , Il ne faut pas ouDlier, n est-ce pa: tonnes, s est rendu compte du dang-er de -• . . , • , ' , T. . r r . b. . . qu a 1 heure actuelle, étant donne le se livrer a une Puissance sans foi m lo,s a' arenceà dc forces miHta;re sup: morales -et préoccupés exclusivement ^ l'Allemagne possède, h u,j.r°'L fe °'C!y 1 ,, , . Prussiens et leurs esclaves sont ericoi Hier et aujourd hui, les déclarations arfaitement convamcus qu'ils peuvei des journaux hoS'landais montrent que 1 j l'état d'esprit des voisins immédiats de , la Belgique s'est transformé depuis le D"s ,lors ?» comprend pourquoi U ,,, • ,-i-.- i ■ méthodes qu ils emploient a 1 égard dc •début des hostilités : ce peuple, particu- ... 1 1 . . r ... , , , • , Puissances neutres sont petries de tou lièrement expose en cas de succès des , . . , ... „ • -, t bcrie : ils se louent de ces Fuissanc- Prussiens, sait que tous ses 'droits ne ■' . . . • comme le chat se loue oe 1 oiseau qu deviendraient, pour lui comme pour les , ... , ' Belges, que "chiffons de papier" dans le aPPu ( a c rocui r. cas où les Allemands annexeraient défi- ^es 1 al^s Zeppelins n ont lie nitivement la Belgique... (,es résultats matériels et moraux sot Et, déjà, nos voisins du Nord plaident '"signifiants pour les Alliés) «que poi pour obtenir le service militaire généra- éblouir les 1 uissances balkaniques, lisé de façon à être prêts à la défense. Le celles-ci sont assez naïves pour être ii "Handelsblad" constatait même, hier, fluencees par ce miroir aux alouettes... que l'annexion de la Belgique par ses La propagande faite en Roumanie p; occupants actuels constituerait un "casus les Autrichiens, et les concessions qu'i bgi;;" veulent lui faire, constituent un ri Malgré tous les raids de Zeppelins nouvellement de l'attitude prise à l'égai organisés par tes semeurs de bombes, de l'Italie. Celle-ci a été assez clai comme les entrepreneurs d'affaires vé- voyante pour voir où se trouve la vo reuses organisent des "fêtes" pour de 1 avenir heureux de 1 Europe. Roi éblouir les gens susceptibles de prendre manie, Bulgarie et Grèce paraisse: leurs "mauvais papiers," les Puissances croirefencore aux promesses du conqu< neutres éprouvent actuellement le dégoût rant brutal... Ces pays devraient se ra] de plus en plus profond pour la "civili- peler la Fable du bon Lafontainc (fabl< sation" que voudrait imposer le Kaiser écrites pour l'éducation des petits et d< et son entourage... grands enfants), la Fable où il est que S'en doutent-ils? t'on de la proie et de l'ombre. La situation dans les Balkans le fait CAMILLE ROUSSEL. L'ART DES DÉMENTIS ALLEMANDS Je ne sais rien déplus impressionnai! que l'exposé de M Fuglister sur Lou-vain. Impressionnant non pas seulement par la gravité tiagique du sujet, mais par l'accent de conviction du narrateur et les hautes préoccupations d'ob-ject.vit: du temoin qui a conscience de ttoutes ses responsabilités devant tribune de l'Histoire. Ii dit ce que s« yeux ont vu, ni plus, ni moins, sar commentaires ni surcharges. La légation d'Allemagne en Suisse opposé un démenti à M. Fuglister doi .elle traite la conférence dc " diffamatic : VERS LES ' SURREV CO'MNS i et NORTH EtOWNS : par MOTOR-BUS. 1 8ER- COÎiRESPOVPANCE ■\ ICE PAR >,*o, IJndergroun'D TARIF S C9a Catcrham et C a nid en 1 d. Oval S Tovru , (Via Pu rie y et Croydon) t Toutes les i minutes. e 77a Ep^om »fc Kinîî's ro-s lCd. Wes*- , (Via EweP, Nort Cheara min ter etTo tiug) S Toutes les 15 minutes ^ *107 Dorking et Clapham î/0 Olaplmm il l'oramon Coin m on (Vialipotherhead etEpsom» £ Toutes les 12 minutes L 15 Caîerb tnv«t Sto kwell 7jd Stockvvell t (Via Wh y . i e a f 6 et < v yd >n) Tontes s ri0 mi nu es s Toutes es 33 mi utes (samedis apiô^-mi.Ii). t y 160 Koign p et Stockvvell 0d. Stockwell ^ (Vi l'ur ev et Cou s lon Tome les »5 nn unes Toutes les 0 Minutes eu S s mai ne. Tontes les 30 minutes (samedis après-midi*. 178 Lower Kingswood et lCd. C'aph-im i- 0>«ml>er\veU Green C'ommon 1(V a i.em ut, utton et 1\ itch'im) * ! ou tes les 10 minutes Les services ci-dessus fonctionnent tous les dimanches sauf avis contraire. Ce service fonctionne égale- " i ment les samedis après-midi, mais : seulement vers Epsom et retour. ' Tarif 6d., Circule toutes les 20 q ! .ninutes. f i J î Les jours de semaine seule-f ment. s n rhe Lcntlon General Omnibus Co . Lta Electric Railway house, Broaoway. Westminster, S.W ■; ' ^ s des plus injureuses qui retombe sur t c< lui qui la prononce. ' La presse suisse a par aitement traduit le sentim nt d'impatience qui a .<icte ce eémenti, en rappi lant avec rai on que ces récits confirment en partie .. ceux qui ont été donnés, dès les premiers jours, par les dépêche^ allemandes a et par une lettre de la ' Gazette de Cologne." Cependant, à la suite de certains pro-s pos que j ai perçus depuis lors dans de^ milieux divers, j ai été frappé de la per-'s plexi'é que cette note de la légation d'Al-J lemagne a produite sur les esprits insu'-lt: fisamment avertis. Le ton calme et modéré de la note est 's fait pour en imposer. Songez donc " le ■s gouvernement allemand a mene une en-- quête minutieuse sur les événements de s Louvain, s-'inspirant de l'unique souci dc il rechercher la vérité ! " Et les " résultats de cette enquête qui réduit à néant tou-u tes les injures et mensonges répandus it sur l'affaire de Louvain ont été réunis ir dans un Livre blanc qui pai'aitra ces ;i jours-, i! '' i- Voilà, certes, de quoi troubler la conscience des bons esprits qui ne connais-ir sent pas la manière allemande ! Is Ce n'est pas notre cas raalhèureùse-> ment à nous. Alsaciens, qui avons vu les j Allemands à l'œuvre durant quelque r_ quarante ans. Si durs, si rtïcksichtslos [e soient-, 1s quand ils frappent, s> caute-leux, si avocassiers sont-ils quand ils se lt défendent d'avoir frappe. Ils vous écou-i. tent d'un air bénin. Ils vous demandent 3_ un rapport. Ils se livrent à une contrc-enquête. Et parce que vous avez fait cr-;s reur sur un point de détad — ce qui ar-5\ rive toujours à celui qui s'exprime sous l'empire de l'indignation — ils s'emparent de cette erreur, l'amplifient, en dé-naturent la portée et la retournent publiquement et bryamment contre vous, t en vous accusant de parti-pris et de • mauvaise foi. La galerie, presque tou- jeurs, reste interloquée. la C'est ainsi qu ils ont procédé et qu'ils :s procèdent journellement quand il slagit is de s'opposer à la révo tei unanime du sentiment public que soulève la vue de a leurs brutalités. it On sait la brochure sensationnelle et 'n ' concluante que M. Bédier a consacrée j.

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