L'indépendance belge

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s.n. 1918, 27 Maart. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 28 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/m32n58dp9c/
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$9e année No 74 L'INDÉPENDANCE CONSERVATION PAR LE PROGRÈS BELGE ROYAUME-UNI: 1 PENNY LE NUMERO j CONTINENT. . 15 CENTIMES HOLLANDE 5 CENTS ADMINISTRATION ET BEDACTION: TUDOIÏ HOUSE, TITDOR ST., E.C. 4. TÉLÉPHONE: CITY 3860 BUREAU A PARIS: 11, PLACE DE LA BOURSE. TÉL.: 311-57 et 238-75 MERCREDI 27 (VIARS 1913 En vente à Londres à 3 h. le mardi 26 mars f 3 MOIS 9 SHILLING S ABONNEMENTS 6 MOIS, 17 SHILLINGS U AN. 32 SHILLINGS LA SITUATION Mardi, midi. Après l'arrêt imposé un moment par les troupes britanniques aux colonnes allemandes avançant .entre la Scarpe et l'Oise, les combats ont repris avec plus de violence que jamais sur toute la ligne, forçant les Alliés à céder pied à pied, et au prix de sacrifices énormes pour l'ennemi, le terrain qu'ils avaient conquis eu 1916, sur le champ de bataille de la Somme. Hier, l'ennemi a porté principalement ses efforts entre Arras et Péronne. Le; arméès des généraux von Be4ow pt von der Marwitz multiplièrent leurs assauts- autour do, Bapaume, vers Cour-jjlette. Dans la matinée, le flot allemand fut contenu et refoulé, mais de nouveau des troupes fraîches furent amenées dans l'après-midi, contraignant les admirables Tommies à battre en retraite, permettant aux assaillants de s'emparer de Bapaume. De ce côté, les Allemands atteignirent ]5rès de Maricourt les anciennes tranchées de 1916. Ah sud de Péronne, les troupes de sir Douglas Haig abandonnèrent la ligne de la Somme, et plus au sud encore l'ennemi poussa jusqu'à Nesle et Guiscard. Sur cette partie du champ de bataille, les troupes françaises sont entrées en action et ont combattu en lieu et place des Britons, disputent avec une belle énergie à l'ennemi le moindre pouce de terrain. Nesle a été repris et .perdu plusieurs fois et le combat fait rage pour la possession de hauteurs dans la région de Noyon, sur la rive droite de l'Oise. Nous, ne pouvons pas donner ici une description circonstanciée des combats qui se produisent, mais on ne saurait a?se: magnifier la bravoure des teoupe-. de toutes armes qui contribuèrent- à la défense des positions britanniques. Les artilleurs surtout firent dés prcdig- . Restant jusqu'à la dernière extrémité à leurs pièces, lis infligèrent à l'ennemi des perte sans précédent, et_les Allemands eux-nêmes doivent rendre hommage à la ténacité et au sang-froid de ces hommes, qui ne font siauter leurs canons que lorsque tout espoir de les sauver est perdu. Certes, les hordes teutonnes ont remporté des succès et ont sigiïalé une foi? de plus leurs qualités de discipline et d'abnégation, marchant à la mort avec une imposante «indifférence. ZVIaiv il faut avouer que des avances payées à ce prix sent dangereuses, et à moins que les Centraux ne disposent de réserves illimitées — ce qui n'est pas — ils se trouveront a bref délai dans l'obligation de faire des économies d'hommes. C'est à ce moment qu'on pourra se rendre compte de Ja situation réelle et de la décision qui interviendra pour rendre au monde la pais, féconde et réparatrice. • Au début de l'offensive, l'état-major allemand lança quarante divisions à l'assaut des positions britanniques; aujourd'hui on en a identifié quatre-vingt-dix sept, et il ne se passe pas un jour sans que des divisions fraîches ne scient ver-fées dans la fournaise. En n'importe quel point du front, les troupes anglaises combattent un contre quatre, couvent contre cinq et six. Néanmoins, leur recul se fait . méthodiquement, sans hâte et en combattant. C'.est ce qui explique le nombre re-lativement peu élevé des captures ennemies en prisonniers, ceux-ci, malgré 1 é+éndue du front et la profondeur du recul, n'atteignant jusqu'à présent que 45,000 hommes. Le butin pris par l'ennemi doit être évidemment très important, étant- donné qu'une grande quantité du matériel de guerre est d'une évacuation difficile. Mais nous pouvons affirmer que la plupart des armes abandonnées aux mains de l'ennemi ont été rendues in utilisables et que des six cents canons dont le communiqué de Berlin annonce la capture, peu sont encore en état d'être tournés contre nous. Les communiqués de Paris signalent, outre l'entrée en ac-tion des troupes français? en coopération avec les divisions britanniques, que deux coups de main ennemis ont -été tenus en échec à l'est ds la Suippss, en Champagne, et que des attaques allemandes lancées à l'est de Blemery (à 19 kilomètres de Lunéville) et à l'est- de Badonviller, dans les Vosges, ont été repoussées avec des pertes sanglantes. Il y a. eu des duels d'artillerie en diffé-rents^ints du front; ceux-ci furent particulièrement violents entre Arraoourt et les Vosges. Les batteries allemandes ont lancé 1,375 obus sur Reims dans la nuit d< dimanche et hier, et la pièce mystérieuse à longue portée a encore envoyé cinc prcject-iles sur Paris dans la journée de lundi. Suivant 1' "Echo de Paris," le bombardement de la capitale serait exécuté par deux pièces. En Italie, la lutte d'artillerie a étc vive en différents endroits entre le Lac de Garde et la Brenta, mais sur le reste du front l'activité s'est spécialement manifestée dans des rencontres de patrouilles. Dans le voisinage de Noventa di Piave, les batteries ennemies ont été très endommagées par le feu des canons italiens. Les aviateurs britanniques continuent à se distinguer, montrant nettement qu'ils maintiennent la maîtrise de l'air. Dans la journée de dimanche,, ils ont contribué brillamment aux travaux de la de-fense sur le front de l'offensive, jetant des bombes sur les établissements militaires et sur les troupes ennemies en marche. Ils ont également eu, sur le front de bataille, de nombreuses rencontres avec les avions ennemis, au cours desquelles 45 de ceux-ci ont été abattus et 22 autres mis hors de combat. De plus, deux appareils ennemis ont été détruits par les batteries britanniques. Toutes, ces victoires- aériennes ont éfcé,-.nayé.es par-la perte modique de dix aéroplanes. L°s pilotes bri tin niques n'ont pas borné leur activité à ces opérations. Us ont encore organis.é^dè nombreuses expédition^, allant jeter des bombes sur le= docks de Bruges, sur des aérodromes ennemis entre Tournai et Mous, sur les voies ferrées entre les gares de Luxembourg et de Courcelles, sur les gares de Thionville, de Metz et, enfin, sur Cologne, où plusieurs incendies ont été observés.Le service d'aviation français, cle son côté, n'est pas resté inactif, et la statistique de ses victoires que publie Paris protU'We que les pilotes français n'ont rien à envier à leurs amis britanniques. En effet, du 15 février au 15 mars, les escadrilles de bombardement françaises ont intensifié leur action, jetant 142,000 kilogrammes de hauts explosifs sur- des aérodromes, des dépôts de munitions et des groupes d'usines ennemies. Les'avions de chasse de nos amis ont abattu dans la même période 52 appareils allemands et en ont mis 50 hors de combat; de leur côté, no;- alliés n'ont perdu que 29 appareils, dont 19 en territoire ennemi. De même en Italie, l'activité aérienne est en notre faveur, et dans le communiqué d'hier Rome signale que quatre aéroplanes ennemis ont été détruits sur h côté gauche de la Piave, dont deux par des aviateurs britanniques. Deux autres avions ennemis ont été abattus, l'un par un pilote italien au delà de Tonneza-, et l'autre par un aviateur français sur 7e Montello. En Palestine, les troupes du général Allenby ont avancé à l'est du Jourdain, progressant sur un front de près de quinze kilomètres dans une contrée très accidentée dans la direction d'Es Sait, et les troupes montées britanniques se sont emparées du pont d'El Howeij, a près de. cinq kilomètres de cette ville. Ici. nos Alliés ont rencontré une forts oppo-it-on de la part des Turcs, lesquels étaient- renforcés de troupes allemandes. De® prisonniers des deux nationalités ont été faits par un bataillon d'infanterie londonienne, qui s'est également emparé d'urne batterie d'artillerie ennemie. SUR LE F3BMT OCCIDENTAL j L'OFFENSIVE ALLEMANDE Une menace sur Amiens Le "Petit Journal" dit que l'aile gauche allemande opérant au sud de Saint-Quentin semble avoir eu comme mission ! d'effectuer une diversion, pour favoriser une marche sur Amiens. Les Français ent fait échouer cette menace et en dé-pit d'une infériorité numérique, ils ont remplacé les Britanniques dans le secteur de leur permettre de disposer de ] .outes leurs réserves et de continuer la utte dans d'autres secteurs. Les Français ont contenu l'ennemi, lui infligeant des pertes terribles-. Ils ont cédé le ter--ain pied-à-pied dans une lutte défensive au nord de Noyon, attendant de répondre lorsque le moment paraîtra favorable.Renforts en route Dans un message du Cabinet à sir D. Haig, il est dit que les hommes néces-;a-ires pour remplacer les vides causés iar les pertes, ainsi que les canons des tinés à remplacer les canons perdus sont déjà en France ou en route pour la France et que d'autres renforts en hommes et en canons sont prêts à être lancés dans la bataille. Le bombardement de Paris A 6 h. 50 lundi matin le bombardement de Paris a recommencé, mais il ne dura pas longtemps et il ne fut repris qu'à 3 h. 45 l'après-midi. Les mesures prises pour diminuer les dérangements causés par le bombardement ont ' donfié de bons résultats et on a travaillé . partout comme de coutume. Le Président du Conseil municipal, au cours de la séance d'hier, a fait une brève allusion à cette nouvelle épreuve imposée aux Parisiens en faisant remarquer que cette extermination scientifique de femmes, d'enfants et de vieillards n'est pas cette fois présentée par les Allemands comme représailles. C'est la fin de l'hypocrisie. SUR LE FRONT BELGE Duels d'artillerie Le communiqué du G.Q.G. belge signale que l'ennemi a continué son bombardement de nos communications, visant spécialement Furnes, Forthem et Adinkerke. Nos pièces à longue portée ont canonné les cantonnements ennemis. A part ces bombardements, l'activité a été légère. Une reconnaissance allemande qui essaya de surprendre un de nos post s à l'est de Nieuport, a été repoussée par notre feu. , I OPÉRATIONS NAVALES Perte de deux navires britanniques Le secrétaire de l'Amirauté annonce qu'un slocp pêcheur de mines de la flotte briHnniq»e » i-;-r-té,u«çunijie»£t a coulé le 22 mars- Deux officiers et 64 hommes ont été noyés. Un destroyer de la flotte britannique a coulé, à la suite d'une collision, dans , la nuit du 23 mars. Un officier et utl | homme ont été noyés. Un sous=marin' allemand en Espagne Un sous-marin allemand de 400 tonnes est, entré dans le port de Ferrûl dimanche. Un navire de guerre est aliéna • la rencontre du sous-marin. Le commandant a demandé à pouvoir entrer dans le port, son bâtiment- ayant été sérieusement avarié au cours d'un combat contre trois n.avires. Le scus-marin allemand portait un équipage de 30 hommes. LA SEULE PAIX POSSIBLE Lord Leverhulme (Sir William Lever) a accordé à un de nos confrères anglais, M. Ilarold Begbie, de la "Daily Chroni-cle," une interview au cours de laquelle ii a fait, entre autres, les déclarations suivantes : "La lutte peut durer encore de trois à cinq ans ; je ne vois pas une durée moindre. "Je puis entrevoir tout, plutôt que de voir la race anglo-saxonne se soumettre aux Allemands. Ce serait une honte éternelle. Nous ne pourrions y survivre. Ce serait notre ruine. "A mon avis la question financière ne nous arrêtera jamais. Je ne me soucie pas de l'étendue de notre dette; nous pouvons y faire face. Non ; la question financière ne nous arrêtera pas. "La paix russe accentue toutes les raisons pour lesquelles l'Angleterre entreprit la guerre et démontre d'une'façon éclatante, si cette chose était possible, tout ce que le caractère allemand contient do menaçant pour 1c bonheur de l'humanité. "Je n'ai jamais vu d'une façon aussi nette combien il est indispensable de vaincre l'Allemagne. Et je n'ai jamais ■ ressenti aussi fortement au plus profond de mon être qu'en se courbant devant l'Allemagne, qu'en acceptant la volonté de l'Allemagne, ce serait notre honte éternelle. "Lutter jusqu'au bout? Certainement nous devons lutter jusqu'au bout. Y a-t-il un Anglais qui en doute? Y en a-t-il encore un qui, après cette paix russe, peut croire les Allemands et prendre part avec eux à une conférence pour organiser l'avenir de l'humanité? "Ne pensez pas aux frontières ni au territoire. Représentez vous l'avenir des hommes, des femmes et des enfants. Voudriez-vous organiser cet avenir avec les Allemands de Brest-Litovsk ? Ecartez les massacres arméniens, les massa cres serbes, les massacres belges, les sous-marins, les atrocités ici, là-bas et partout; n'y pensez pas, mais représentez-vous le traité de paix de Brest. Vou-driez-vous négocier l'avenir des hommes, des femmes et des enfants avec les canailles allemandes qui prirent au piège pour leur apporter la ruine les Russes; abusés et désarmés ? "Toute paix entreprise avec une Allemagne non vaincue, une telle paix anéan-tiiait la mentalité anglo-saxonne pour des siècles. Nous ne serions plus jamais la même race. Tout notre idéalisme serait obscurci par l'opportunisme déprimant du matérialisme. Nous aurions accepté le déshonneur sur quelles bases? Pour notre commodité? Quelle fin pour notre race ! en tout cas quel poison à léguer à nos enfants ! Le déshonneur plutôt que les sacrifices? "Quelles que soient'les idées religieuses d'un chacun, n'est-il pas frappant que l'humanité est en présence d'une menace morale et spirituelle si énorme qu'il vaut mieux, mille fois mieux, de perdre la vie, la santé, les biens, la fortune tout —absolument tout — plutôt que de s'y soumettre. • ' "C'est une guerre entre la Liberté et l'Esclavage. C'est une guerre entre la Justice et l'Injustice. C'est une guerre entre la Vérité et le Mensonge. C'est une guerre entre le Bien et le Mal. Il ne peut y avoir de fin à cette guerre qu'en réduisant une de ces deux forces." NOUVELLES REGENTES DE BELGIQUE Les aktivistes ont tenté dans diverses , villes de prendre une revanche violente contre les manifestations dont ils avaient été l'objet, à Anvers le 3 février, et à Malines. le 10 février.. Mais partout en Flandre, à Louvain, à Tirlemont, Diest, Turnhout, St-Nico-las et Lokeren, une foule exaspérée les a fort malmenés. Ils ont été battus comme plâtre; et leurs drapeaux ont été mis en pièces, malgré la protection dés baïonnettes allemandes. L'arrêt du 25 février de la Cour de Cassation répliquant d'une manière pé-remptoire aux injustieg^ du gouverneur-général et maintenant le chômage des tribunaux en guise de protestation a produit dans le pays une très vive impression.Toutes les administrations centrales des ministères sont démisssionaires et l'exode des bâtiments officiels est accompli.Le gouvernement belge vient de recevoir la communication du texte flamand de la protestation des associations flamandes de Belgique occupée contre l'usurpation de pouvoir du soi-disant conseil des Flandres. Outre les noms des Présidents des grandes associations, elle porte les signatures de 180 personnalités flamingantes connues adhérant, au nom des associations importantes qu' elles dirigent, à cette belle manifestation de patriotisme belge. De nouvelles adhésions arrivent encore chaque jour. LE RATIONNEMENT Nouvelles mesures Le prix uniforme de ls. la livre a été fixé pour toutes les espèces de margarine à partir du 25 mars en Angleterre, a partir du 15 avril pour l'Ecosse, id. supplémentaire par livre peut être porté en compte pour la livraison à domicile. Los personnes qui désirent employer leurs coupons de viande pour acheter du lard et du jambon doivent se faire enregistrer chez un fournisseur déterminé. A partir du 5 mai on ne pourra plus se procurer ce genre de viande que chez 1© fournisseur où on est enregistré Jusqu'à cette date le système actuel continuera à fonctionner, mais il est bon de se faire enregistrer dès maintenant. A Londres et dans certains districts la carte de viande (contrairement à la cartu de margarine), ne présentait qu'une souche de fournisseur qui a été remise au boucher; dans ces parties du pays les détaillants recevront d'ici peu de jours, des formules d'enregistrement pour le lard et le jambon, et il faudra les leur réclamer. Dans les districts où la carte de viande présentait une seconde souche de fournisseur, cette seconde souche devra être utilisée pour le lard et le jambon de la même manière que la première a été employée pour la viande. Le prix de vente au détail du cacao a été fixé de 2s. 2d. à 3s. 2d. par livre sub vaut la qualité. Les coupons de viande Nous avons publié il y a quelque temps le relevé des quantités auxquelles donnaient droit les coupons de viande. Ces quantités ont été modifiées depuis samedi dernier dans le sens suivant. Un coupon donne droit dorénavant à:' Viande de boucherie non cuite (y compris porc) et langue, rogj-ons et le diaphragme (skirt) : une quantité correspondante à la valeur de 5d. Déchets comestibles autres que la langue, les rognons et le diaphragme (skirt) . une quantité correspondante à lOd. Lard ou jambon non cuit, avec l'os ordinaire: 5 onces.. Lard ou jambon non cuit, sans en- : 4 onces. Jarret de porc ou pied de porc, avec l'os ordinaire (pourvu que plus de 3 Ibs de n'importe quel jarret ou pied de porc ne soient pas vendues sur cette base) : 10 onoes. Sbeet rib (?), pourvu que plus de , 2i Ibs de la pièce ne soit p&s vendue comme "sheet rib" sur cette base : 16 onces. Saucisses de première quabté, non cuites, contenant au moins 67 p.c. do viande : 6 onoes. Saucisses de deuxième qualité, non cuites, contenant au moins 50- p.c. de viande, et toutes autres espèces de saucisses, non cuites et non conservées. 8 onces. Venaison ou viande de cheval, avec l'es ordinaire : 10 onces; sans os, 8 onces. En ce qui concerne les viandes cuites en conserves, en boîtes et diverses : Viande de boucherie cuite (y compris porc)_, ainsi que langues, rognons ou diaphragme, avec l'os ordinaire: 3i onces. Les mêmes sans os : 3 onces. Déchets comestibles autres que langues, rognons--ou diaphragme, cuite: 8 onoes. Venaison ou viande de cheval cuite, avec l'os habituel : 7 onces. Les mêmes sans os: 5 onces. Jambon ou lard cuit, avec l'os habituel : 4 onces. Les mêmes sans os ! 3| onces. Toutes viandes en conserves ou eu boîtes, pot's, verres, etc. (sauf la chair de lapin ou d'oiseaux), suivant le poid« estimé du contenu :4 on'ces. Pâtés de viandes, sandivichës et produits similaires, .suivant la quantité de viande qui y entre :3 onces. Saucisses de première qualité, cuites, et toutes saucisses en conserves : 4' onoes. Saucisses cuites de deuxième qualité et -de qualité inférieures : 6 onoes. Des quantités plus considérables de volaille et de gibier peuvent être dorénavant obtenues. Nous y reviendrons pbis tard. AUTOUR de la GUERRE ALLEMAGNE — On signale d'Amsterdam' que les frontières germano-hollandaise, germano-danoise et germano-suisse seront fermées au trafic international mercredi ou jeudi. ESPAGNE — Tous les groupes dynastiques sont représentés par leur chefs dans le nouveau cabinet, ce qui assurera une majorité considérable à la Chambre pour toutes mesures sur lesquelles le cabinet sera d'accord. Senor Sambo est le seul nouvel élément; il est le chef des Kégio-na-listes et représente la tendance croissante à la décentralisation gouvernementale. L'extrême droite et l'extrême gauche ne sont pas représentées dans le cabinet. Senor Maura n'avait plus été au piouvoir depuis 1909, où l'exécution de l'anarchiste Ferrer le força à démissionner.-— Le nouveau cabinet s'est présenté devant les Cortès le 23 et a été l'objet d'une réception enthousiaste. Un destfpremiers soins des nouveaux ministres a été de réintégrer par décret myal tous les employés des postes et télégraphes qui avaient été révoqués pour faits de grève sous le ministère précédent.SUISSE — Avant la guerre, le nombre de diplomates qui résidaient à Berne était de 80 à 90; aujourd'hui on en compte 300. Le nombre de pays représentés à Berna s'est élevé de 12 à 26.

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Dit item is een uitgave in de reeks L'indépendance belge behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1843 tot 1940.

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