L'indépendance belge

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s.n. 1917, 25 April. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 10 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/bn9x05z99c/
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ÏSÏ100< « No 97 L'INDÉPENDANCE ROYAUME-UNI : ONE PENNY BELGE. CONTINENT Ï 15 CENTIMES (HOLLANDE : 5 CENTS) ADMINISTEATION ET REDACTION: BUREAU A PARIS : S CANE STR., HIGH HOLBORN, W.C. 1. U> PLACE DE BOURSE. TELEPHONE : HOLBORN 1773-4 TELEPH.: j fag-TS. @t i — ! MERCREDI 25 AVRIL 1917. En vente à Londres à 3 h. le mardi 24 avril. S MOIS, 9 SHILLINGS. 1 ABONNEMENTS:- fa' MOIS, 17 SHILLINGS. S-CONSERVATION PAR LE PROGRÈS. ,1 AN, 32 SHILLINGS. J LA SITUATION Mardi, midi. y "accalmie" sur le front occidental fa pas duré longtemps. Les troupes britanniques, après avoir achevé leurs préparatifs, ont repris l'offensive lundi matin sur les deux rives de la Scarpe, c'est-à-dire au nord d'Arras, et les premiers bulletins du général Haig indiquent que les opérations se poursuivent d'une matière satisfaisante. Le communiqué du matin annonçait qde le village de Trescault, dont les Allemands occupaient encore une portion, était entièrement aux mains de nos Alliés, qui se sont emparés également de lapins grande partie du Bois d'Havrin-court, à l'ouest de Trescault, et l'avance dans ce secteur constitue une menace pour les positions allemandes autour de Cambrai. Plus au nord, -sur la route Arras-Cam-brai, nos Alliés ont occupé Çuémappe, et ce gain enlève aux Allemands toute chance de ressaisir l'important poste d'observation que constituait la position de Monchy-le-Preux. Enfin, sur- la rive gauche de la Scarpe, les lignes britanniques ont été avancées au delà de Gavrelle (sur la route Arras-Douai) où nos Alliés ont occupé les tranchées ennemies dans tout l'intervalle compris entre la Scarpe (cimetière cle Rœux) et Gavrelle. soit sur une étendtie de 4 kilomètres. Au cours de ces opérations, qui ont été marquées par de nombreuses contre-attaques allemandes, les troupes britanniques ont fait plus de mille prisonniers. Du côté de Lens, quelques progrès ont été faite dans la direction du sud-ouest, et tout indique que la lutte dans ce secteur va reprendre avec une vigueur nouvelle.Le temps, plus propice, a permis aux aviateurs de reprendre leurs opération?,' indispensables à l'artillerie, et les communiqués franco-britanniques des derniers deux jours ne signalent pas moins de 52 appareils ennemis descendus ou mis hors de combat. Huit "saucisses" allemandes (ballons captifs) figurent également au tableau de chasse des AlliésLeâ communiqués de Paris, à part quelques progrès entre l'Aisne et le Chemin des Dames (côté de Sancy) ne signalent que des contre-attaques ennemies dont les plus violentes eurent pour théâtre le massif de Moronvillers. Dans ce secteur, l'adversaire n'a pas déclan-ché moins de huit attaques en quarante-huit heures, mais tous ses efforts pour reprendre les positions perdues ont jusqu'à présent échoué. Le duel d'artillerie- est particulièrement violent dans cette région, et la sévérité de la lutte •'explique par le fait que c'est précisément ce secteur que le haut commandement avait choisi — comme le prouvent ies^ocuments trouvés sur les officiers allemands faits prisonniers — pour attaquer nos Alliés, au moment où ceux-ci déclanchaient l'offensive qui eut un succès si éclatant. La concentration en artillerie et en infanterie que ce projet avait rendue nécessaire permet aux Allemands de renouveler leurs attaques, malgré les pertes énormes qu'ils subissent à chacune de leurs tentatives. On peut se taire une idée du caractère infernal de la lutte déchaînée sur le front de Champagne en méditant l'affirmation d'un officier d'état-major français qui, suivant la "Liberté," évalue à trois mil-lioti^ le nombre de coups de canon tirés pendant la journée et la nuit du 15 avril par les batteries françaises et allemandes. Si malgré cet ouragan de fer et de feu les Français sont parvenus à enlever de haute lutte à leurs adversaires des positiôns considérées comme inexpu gnables, c'est que no3 Alliés l'emportent, comme moral, sur l'ennemi. Ainsi, le dernier trimestre de eettt troisième année de guerre — c'était hiei le millième jour — voit l'adversaire démoralisé, flétri et affamé, luttant avec désespoir pour ressaisir l'initiative e< retarder la catastrophe. Si les informations qui nous parviennent de source danoise sont exactes, i'-état-major allemand se préparerait à frapper un grand coup sur le front oriental. On parle du départ de navires de guerre et de transports partis de Liban pour une destination inconnue, et on en conclut tout naturellement que Hindenburg, dans le but de détourner un peu l'attention du front occidental, projette un débarquement dans le golfe de Riga afin de prendre à' rebours l'armée russe du nord et exécuter la marche sur Pétrograd, que les événements, il y a un an, ne lui ont pas permis de tenter. Nous ignorons dans, quelle mesure j l'état des glaces et le dispositif de la défense des côtés russes rendront praticable une tentative de débarquement dans ces parages et nous n'y croirons que Iorèque des faits plus précis seront venus à notre connaissance. Au point de vue militaire, l'opération comporterait des risques immenses, mai' dans la situation où elle se trouve, l'Allemagne est prête à tout, surtout aux opérations les plus hasardeuses, Au point de vue politique, un débarquement, impliquant une menace contre Pétrograd, serait peut-êtrç ce qui pourrait le mieux servir les intérêts nationaux de la Russie et les intérêts généraux des Alliés, car rien ne cimenterait mieux l'union des partis, si nécessaire dans la Russie rénovée, que la menace brusque de l'étranger venant éclairer d'un jour cru la fausseté des principes pacifistes allemands. Comme l'a dit le prince Lvoff dans son appel aux ouvriers travaillant pour l'armée, "l'heure finale de nos épreuves a sonné ; elle sera décisive, car nous serons ou bien heureux et libres, ou bien dépourvus de notre honneur national et réduits à nouveau en esclavage!" Plus que jamais nos Alliés russes sont les artisans de leur propre bonheur. Si les extrémistes devaient triompher, la Russie ne se serait débarrassée de l'autocratie des Romanoff qu'au profit de celle des Hohenzollern, infiniment plus dangereuse.Il est vrai que Guillaume II, sous la poussée de la vague démocratique qui monte, s'apprête à faire des concessions, mais l'école de Bismarck enseigne que les promesses des souverains ne doivent pas nécessairement être tenues et que l'essentiel est de gagner du temps. L'heure du danger passé, on peut aviser I La comédie qui va se jouer en Allemagne avec la complicité des socialistes domestiqués ne doit pas nous tromper sur la réalité des faits. Le peuple allemand, malheureusement, est dans son immense majorité complice des crimes de ses gouvernants, et les socialistes offi- j ciels, en se solidarisant avec le gouvernement d'assassins, de pirates et de tortionnaires qui a mis l'Europe et le monde s en feu,- doivent s'apprêter à partager avec eux les lourdes responsabilités qu'ils | ont assumées. Car dans cette guerre il y a plus en jeu que la vie des nations et 1 des partis, c'est la base même de notre e civilisation : le Droit et la Justice, qui 1 sont en cause, et c'est pour cela que cette 1 guerre est, en réalité, celle de la civili- 1 sation contre la barbarie. LES OPÉRATIONS MILITAIRES SUR LE FRONT OCCIDENTAL L'AVANCE BRITANNIQUE ïfae bataille se developpe sur la Scarpe Londres, lundi, 11 h. 50 du matin Nous avons attaqué ce matin, dès l'aube, sur un large front des deux côtés de la Scarpe. Le combat se développe et nos troupes font des progrès satisfaisants. A-u sud de la route de Bapaume-*-ambrai, nous avons capturé le reste du village de Trescault pendant la wiit et nous nous sommes emparés de la plus grande partie du bois d'Ha- Trincourt. L C Défenses allemandes emportées — Plus 1 de 1,000 prisonniers Londres, lundi, 10 h. 15 du soir.— c Des combats violents et continuels ont -eu lieu toute la journée sur les deux j rives dé la Scarpe et d'importantes ± positions ennemies ont été conquises c par nos troupes, c Un fait marquant des opérations c de la journée a été la fréquence et la c violence des contre-attaques de l'ennemi, dans lesquelles il a d'ailleurs souf- ^ fert de très lourdes pertes. c Nous avons capturé le village de Gavrelle et les défenses ennemies jus- c qu'à 4 kilomètres au sud du village, 1; atteignant le cimetière de Rœux. Sur c la rive droite delà Scarpe, nos troupes i ont avancé de vive force sur un large ; front au sud et à l'est de Monchy-le- < Preux et ont capturé le village de Guémappe. Le nombre de prisonniers fait par nou3 ne peut pas encore être éta'bli, mais on sait qu'il dépasse de beaucoup 1,000 offiçiers et soldats. Nous avons aussi fait des progrès au sud-ouest de Lens et dans les environs de la rivière Souchez. Dans des combats aériens six aéroplanes allemands' ont été abattus et 15 ont été contraints d'atterrir. Dans un engagement, une formation ennemie de huit appareils a été attaquée par deux de no3 aéroplanes qui ont abattu deux appareils ennemis et ont contraint un troisième à atterrir. Un aéroplane allemand a également été abattu par le feu de nos canons spéciaux. De plus, sept ballons captifs allemands ont été détruits aujourd'hui. Quatre de nos appareils ne sont pas rentrés. A GRANDE OFFENSIVE FRANÇAISE Vaines tentatives allemandes Paris, lundi, 14 h. — Il y a eu dans la nuit une grande activité d'artillerie de part et d'autre, au sud de St-Quentin et entre Soissons et Reims A l'est de Craonne un très violent bombardement, préparatoire à une attaque, a été efficacement contre-battu par nos batteries L'attaque ennemie ne s'est pas produite. En Champagne une puissante attaque allemande, dirigée, hier, vers 6 h. du soir, contre le saillant au nord-est du Haut Mont, a été brisée par le feu de notre artillerie et de nos mitrailleuses.L'ennemi a renouvelé sa tentative pendant la nuit sur la crête défendue * par nous sur le massif de Moronvillers. Ici la lutte a été très acharnée à certains points, se terminant partout à notre avantage. A l'est de St-Mihiel et en Woevre nous' avons repoussé deux r.aids exécutés par de puissants détachements ennemis, l'un dans le bois d'Aillv et i'autre sur 1a. tranchée de Calonne. Dans les Vosges une tentative enne- ' mie au sud de la passe Ste-Marie est . restée sans succès. Attaques allemandes repoussés en Belgique < Paris, lundi, 23 h. — En Belgique, ; l'ennemi a livre,ce matin,plusieurs at- i taques à divers points de notre front, i Ces attaques ont été complètement re- i poussées par notre feu. Quelques pe- i tits détachements ennemis qui étaient parvenus à pénétrer dans nos élé- < ments avancés, en ont été rejetés im- ] médiatement après un combat corps-à-corps. Les Allemands ont laissé des prisonniers entre nos mains. Entre la Somme et l'Oise, nos batteries ont exécuté un feu destructif efficace contre les organisations allemandes.Entre l'Aisne et le Chemin des Dames, nous avons fait quelques progrès au cours de la journée au nord de Sancy. Le duel d'artillerie a été particulièrement sévère dans le secteur de la ferme d'Hurtebise. Les affirmations allemandes « Berlin, lundi après-midi. — Entre ioos et le chemin de fer d'Arras à Cam-irai, la bataille d'artillerie s'est pour-uivie hier. Au nord-ouest de Lens, des 1 roupes d'assaut sont entrées dans notre iremière ligne de tranchées, sur une drigueur de 500 mètres. Elles en ont été ejetées par une contre-attaque. Le feu st resté puissant pendant -la nuit. Ce 1 natin, de bonne heure, après un feu ■ oulant, le combat d'infanterie a recom-nencé sur un large front. Dans la matinée l'activité d'artille-ie a redoublé d'intensité dans un seul ecteur au nord-est de Soissons. Le long le l'Aisne et en Champagne, les duels l'artillerie ont repris avec une violence roissante depuis l'après-midi. Des en- 1 ;agéments à la grenade ont eu lieu sur s a crête du Chemin des Dames. Une puisante attaque française au nord-ouest de * ,a Ville-au-Bois a échoué avec de lour-les pertes. Entre Prosnes et la Suippes 1 nférieure, des avances effectuées par 'ennemi ne lui ont donné aucun avan- ! âge. Sur le Haut Mont, au sud-ouest s le Moronvillers et à la suite d'un raid lans la position française au sud de 1 !ainte-Marie-à-Py, nous avons fait une inquantaine de prisonniers. 1 Nos aviateurs ont mis le feu à quatre lallons captifs ennemis et ont abattu i nze aéroplanes alliés. Berlin, lundi soir — Sur le champ < le bataille d'Arras, de nouveaux assauts 1 iritanniques ont échoué aujourd'hui et ] mt valu de très lourdes pertes à l'en-|< îemi. Sur l'Aisne et e'n Champagne, il t a eu par intervalles de puissants duels l'artillerie. SUR LE FBOHT MERIDIONAL Vif combat dans le Trentin Rome, lundi. — Il y a eu de vives actions d'artillerie sur le front du Trentin. Nos batteries ont mis le fey aux magasins militaires de Torbole (vallée de la Sarca) et endommagé la gare de Marter (vallée de la Sugana.). A la tête de la Rienza, dans la nuit du 21 au 22 avril derniers, après une violente préparation d'artillerie, un détachement ennemi est parvenu à pénétrer dans une de nos positions avancées au nord de la Hute des Trois Cimes. A l'Aube nous avons lancé une contre-attaque, refoulé l'ennemi avec des pertes sévères et fait trente prisonniers, dont un officier. EN MESOPOTAMIE La chute d'Istabulat Londres, lundi. — Dans.la nuit du 21 au 22 avril dernier, l'ennemi a évacué le restant de la position d'Istabulat. A l'aube du 22 avril, nos troupes ont poursuivi l'ennemi, faisant des prisonniers et prenant un obusier de 5 pources 9. Nous avons trouvé l'ennemi occupant une autre position sur la rive droite du Tigre, à environ 9 kilomètres et demi plus loin, vers Samarra, et, à 7 heures du matin, le 22 avril, au moment de l'envoi du télégramme du général Maude, la position était attaquée. Un nouvel Halberstadt a été abattu. Le pilote qui le montait a été tué. C'était le .commandant du corps des aviateurs ennemis. L'appareil est resté çntre nos mains. OPERATIONS NAVALES Mouvement de la flotte allemande Copeihague, dimanche. — Un télégramme officiel de Pétrograd signalé jue, suivant une information de Riga, jne escadre de navires de guerre alle-nands, comprenant un grand nombre le croiseurs et de navires de combat, a quitté Libau. On ne connaît pas le but poursuivi par cette escadre, mais on suppose que les Allemands feront une :entative pour débarquer des troupes sur la côte derrière les "lignes russes, lans la province de la Baltique. Il est également signalé de Pétrograd ju'une escadre allemande a quitté Kiel jour la Baltique. OPERATIONS AERIENNES Perte d'un dirigeable britannique Un communiqué allemand de dimanche dit : Des aviateurs de notre marine ont abattu un dirigeable ennemi qui est tombé, en flammes dans la mer. Un communiqué britannique admet qu'un dirigeable n'est pas rentré et qu'on a lieu de le croire perdu, ainsi que son équipage. AUTOUR DE LA GUERRE ALBANIE — Les Français ont proclamé l'indépendance de l'Albanie et étaibli une autorité mi-indigène aux environs de Koritza. Les Italiens ont fait une pro-.•lamation semiblaible dans leur zone, du ;ôté de l'Adriatique. Les Autrichiens le même dans l'Albanie du nord Cha-sune des Puissances enrôle des Albanais lans ses troupes! Tous combattent au nom de l'indépendance de l'Albanie. SELGIQUE — D'après ,1e "Hannoversfche Cou* •ier," le colonel-général von Falkenhau-len a été nommé gouverneur-général dç 3elgique en remplacement de von Bis-ling.—Reuter.ETATS-UNIS — M. Balfour et les membres de la mission ont été reçus à dîner à la Mai-,on Blanche par le président Wilson. FRANGE — Quelques jours avant l'arrivée des français à Ham, les Allemands décidèrent l'envoi à l'arrière d'un certain îombre de jeunes gens, jeunes filles et émmes appartenant à Villers-Saint-Jhristophe. Le curé de cette localité, un àeillard de 70 ans, voyant emmener ses jaroissiens, protesta énergiquement, et lomme sa protestation n'eut aûeun écho, niiiiiiiiHHiiiDiiiiniiiimitiiiiiiiimiiuiiiiniiiiiiiiiiiiiiiiimiiiiiHHiu Les Marchés Publics de Londres. Il I I ni mui liai I UM.J— , No 3.-DANS L'EST: CHRISP STREET et ' BOND STREET ' C'hrisp Street, Poplar. en face de l'élgiee paroissiale " Ali Saints." dans East India Dock Road, est le marché typique des gagne-petit de Londres. Lee légumes y sont particulièrement bon marché, ainsi que la viande et les épiceries, tout en étanib de bonne qualité; de nos jours, quel fameux problème résolu. Pour les personnes habitant à peu de distance, en admettant qu'elles prennent le 'bus, les achats en temps de guerre dansce quartier contribuent à la pratique de l'économie. Queen's Road (au surnom facétieux de " Bond Street ") longe Upton Park Station à West Ham, et est certes le marché le plus remarquable de J» Métropole. .Si l'Oirient est comparable à l'Occident, c'est bien dans cette artère; n'offre-t-elle pas plus l'asipect d'un bazar du Caire ou de Bagdad que d'une voie faubourienne de Londres? C'est une avenue bordée d'arbres, aux maisons de rentiers uniformes, tous les rez-de-chaussées ayant été transformés sommairement en magasins. Une immense tente recouvre tout le trottoir, attendant jusqu'à l'échoppe, postée au bord du trottoir. Vêtements, casseroles, tapis, chaussures, rideaux, ameublements, articles de papeterie et des centaines et centaines d'objets divers, sont exposés à de3 prix réduits Et toute la'foute de trafiquants se compose da Juifs, à l'exception d'un seul, si l'on peut le croire, pendant qu'il enlève la peau des lapins, ne sa proclame-t-il le seul Anglais dans la rue ! Tous ceux qui sont à l'affût d'acheter dans de bonnes conditions ou désireux de lever le voile du Londres inconnu, trouveront d© quoi satisfaire leur désir dans cette " Bond Street" de l'Est. A Chrisp Street-/ Popl&r partes services nos 15, 23, 40 et 40a directement.A Queen's Eoad, Upton Park, par— Les services nos 40 et 40a directement. Tagj i 1 i "i.'T»a r MiMimamu—li- ih i ■ The London General Omnibus Co,, Ltd., Electric Railw&y Haute, Broadway, Westminster, S.W. 94 / v ; .... ... AUTOUR DE LA GUERRE France—Suite il demanda à accompagner ses ouailles en captivité. Tous quittèrent Villers-Saint-Christophe, curé en tête>> en chantant la "Marseillaise." GRECE — Bien que le gouvernement grec ait théoriquement démissionné, M. Lam-bros reste en fonctions, car on n'a troUVé personne pour former un nouveau cabinet.NORVEGE — Le consul de Norvège à Liverpool, annonce que les pertes de la marine norvégienne pendant la première semaine d'avril s'élèvent à 13 navires (23,346 tonnes), et que les pertes totales depuis le commencement de la guerre s'élèvent , à 443 steamers (633,461 tonnes). Le nombre d'hommes et de femmes ayant perdu la vie est de 346 ; il y a, de plus, 31 manquants. RUSSIE — D'après un télégramme Tasch-kendt, le général Kouropatkine est envoyé à Pétrograd sous escorte. — Le correspondant du "Times" à P.étrçgrad a interviewé les membres de la délégation ouvrière britannique en Russie ; ceux-ci lui ont donné une note optimiste quant à la volonté des officiers et des soldats de continuer la lutte jusqu'à la victoire; ils ont été reçus avec enthousiasme par les travailleurs russes. TURQUIE — Enver Pacha, ministre de la guerre, serait actuellement dans un hôpital en Allemagne, gravement malade. Il aurait, dit-on, perdu tout prestige en Turquie, pour avoir permis l'envoi en Europe des meilleures troupes turques.

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Dit item is een uitgave in de reeks L'indépendance belge behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1843 tot 1940.

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