Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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s.n. 1915, 08 Mei. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Geraadpleegd op 26 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/gm81j9868c/
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A.NVBÎ^. Samedi 8 Mai 1915 Cinquante-huitième Année - No 17.303 I MICTION"' )& RÉDACTION : 14, RU£*VLEMINCKX, 14 I^II^'anvers Téléphone 3761 LLOYD ANVERSOIS Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires Annonces : 25 centimes la petite ligne. — 50 ctntints la doukle igné 1 franc la ligne sur double ctloiae Adresses industrielles 50 centimes Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au li^nomètre. — Lei titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent I Observations météorologiques de M. F. Agthe, opticien, rue Léopld, 49 i K g mai 1915, 10 h. du matin. — Baromètre 766,5. — Tteo.mèt.ece.iUn'ax) + 23.--Thtrmom cent, (min.) + 12.-[Pluviomètre - m/m.-Vent E. - Prévision : Nuajeux. Astronomie 9 mai i„ cniPil 4 h. 4 m. matin — ( 4. 4) reVeL du s ei! .... 7 „ 14 „ soir = 19.14) , i° 1 la lune .... 2 I 12 matin - ( 2.12) ! rTur de la tae .... 2 „ 30 I soir - 14 30, Nouvelle lune le 14 mai . . . 3 „ 34 „ matin _ ( 3.34: Premier Quartier le 22 mai . 4 „ 50 „ matin (4. 0. Pleine"une le 28 mai . . . 9„ 33 soir = 2 .33 Dernier quartier le 4 ]uin . . 4 „ 32 „ soir (1^.32/ Haute marée à Anvers Matin Soir 9 mai 11 h. 46 m. = fil h. 46) I - h. — m. = h. — ; 10 mai - h. 18 m. = (-k 18) 12 . 46 m.- ( 2 .46) limai 1 h. 16 m. = ( 1 1.16) 1 1 li. 41 m. 13 h. 41) (Heure belge). Hauteur du Rhin Cologne 6 mai 2,87 m Strasbourg 6 mai - m Huningen „ — .. Lauterbourg „ K'ebl - .. Maxau [ Mannheim 7 .. 4,60 „ Germersheim „ _ . R Cïub 6 . 2,87 „ Mayence „ 1,71 » ' UukiMl „ - B™?™ » Ml " Duisbourg 7 „ 1-70 .. Coblence .. 2.SJ „ W aldshiit — - Dusseldorf S Lobitti 6 „ 11.63 „ E Hauteur du Main Hauteur du Neckar Francfort 6 ma, 2.10m. Heilbronn 6 mai 0.96 m Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodensee Trêves 6 mai 0.90 m Constance 7 mai 3,77 m Port d'Anvers arrivages du 7 mai h Steamer Union v, de Bruxelles. » Telegraaf 111, de la Hollande. „ kromhoux xv, de la Hollande. m Bateau-moteur Dorothea, de Tamise. h 1 „ Iperlée, de Loinmel. „ Jeannette, de Lokeren. „ Melanie, de Bruxelles. „ Eclair iv, de Bruxelles. „ Ringrose iii, de Bruxelles. i \liège Doel 7, de Doel. „ John, de Burgbt. » Ibis, de Hoboken. „ Vésalb, de Hoboken. I„ Nénuphar, de Hoboken. » jonge Octaaf, de Steendorp. » Mathilde, de Brecht. » Le Progrès, de Moll. » Brabo, de Moll. » St-Antoine, de Malines. » Mascotte, de St-Gïiislain. » Marie, de Mons. ,» Au travers de tout, de Mons. Vereinigung 52, de l'Allemagne. departs du 7 mai i Steamer Union i, pour Bruxelles. » Telegraaf viii, pour la Hollande. » Vrachtzoeker, pour la Hollande. Bateau-moteur Rosalie, pour Boom. Regina, pour Gand. „ Rotterdam, pour la Hollande. Allège Albert, pour Merxem. » Pélagie, pour Merxem. » Vigilance, pour Brecht. » Angleur, pour Baelenwezel. >» Dora, pour Baelenwezel. » Etoile du Nord, pour Hasselt. Juliaan de Vriend, pour Liège. » Alerte, pour Liège. » Ibis, pour Charleroi. » Vésale, pour Charleroi. » Nénuphar, pour Charleroi. [ » Say, pour Charleroi. Virginie, pour Malines. L'Ami de Dieu, pour Malines. » Jeune Léon, pour Louvain. » Gambia, pour Bruxelles. » Clementina, pour Bruxelles. » Italia, pour Bruxelles. » Charlotte, pour Bruxelles. „ La mine d'Or, pour Bruxelles. » Energie, pour Courtrai. » Loujse, pour la Hollande. » Elza, pour la Hollande. Ligue des petits commerçants et détaillants d'Anvers HEURE DU COUVRE-FEU Par suite (1e ses démarches cette ligue a obtenu (tes autorités que l'heure du couvre-feu lut reculée de 3 heures (depuis quelques jours de 3 heures). Elle attire l'attention de ses nombreux membres f cafetiers, et en général de tous ceux que la chose [ runcerne, sur le fait que la direction s'est engagée d'être responsable du bon ordre et de la discipline dans leurs locaux, qui seraient fermés à la première raison plausible. Cette mesure serait préjudiciable ù tout le monde par le retrait de la permission. Actes de Sociétés, déposés au Greffe du Tribunal de Commerce d'Anvers Nominations. Composition collège d'administrateurs et de commissaires. - Bilan. — Société anon;\ me » Crédit Foncier Sud-Américain » (Credito Territorial Sud-Americano), à Anvers. l'assemblée générale ordinaire du 14 décembre 1914 a ratifié les nominations comme administrateurs de mm. Albert Kreglinger et Prosper Creutz, en remplacement de mm. Eugène Kreglinger et Edouard Thys, décédés. Le mandat de m1' Prosper Creutz prenant fin à rassemblée, a été renouvelé pour un terme de 6 ans. Par suite de la nomination de mr Prosper Creutz le nombre de commissaires a été maintenu à deux. Le collège d'administrateurs est composé de : mm. Albert Kreglinger, à Anvers, président ; Victor Bracht, à Anvers ; Prosper Creutz, à Anvers ; Louis Maliieu, à Bruxelles ; Hugo Michelis, a Anvers ; Max Osterrieth, à Anvers; h. von Bernard; Albert Bracht j et Ernest Van Peborgh, tous trois à Buenos-Aires. — Commissaires : mm. Charles Bauss et Mariano de Bary, tous deux à .Anvers. Bilan au 30 juin 1914. i Liste des actionnaires au 30 juin 1914. il résulte d'un jugement rendu par le tribunal de première instance séant à Anvers, déposé au greffe f du Tribunal de Commerce d'Anvers, le 30 avril 1915, que mr Henri Seghers, employé, à Anvers, a été nommé administrateur du commerce de charbons délaissé par feu mr Gonzalès Schul, en son vivant négociant à Berchem, jusqu'à la liquidation de la succession. Réélections. — Bilans. — Société d'Assurances « Là ' Métropole Anversoise », Société anonyme, à Anvers. Sont réélus: mm. f. Thys, d. Vanhabost, j. Ble-reau, administrateurs, et g. De Mets, commissaire. Bilan exercice 1914. -—Société anonyme «Mortsel-Extension», à Schoo-ten. — Bilan au 31 juillet 1914. \ Actes de Sociétés, déposés à Rotterdam il résulte d'un acte sous seing privé, en date du 30 avril 1915, qu'entre mr Robert Frédérique Grisar, courtier, habitant à Anvers et résidant actuellement i a Londres, et mr Jacques-Joseph Van Straaten, à ' Rotterdam, il a été formé une société de commerce sous la raison sociale « Grisar & Co » avec siège à Rotterdam, ayant pour but le courtage, exclusivement à Rotterdam, en peaux, en graisse et en caout-! çhouc et tout ce qui s'y rattache. — Par acte officiel du 5 mai 1915 la firme Stryp & Co, à Rotterdam, a été constituée jusqu'au 31 décembre 1919. Elle a pour but le commerce d'importation et d'exportation et les agences en général. CIRCULAIRE Manufactures Anglaises, Françaises & Suisses M., Nous vous prions de bien vouloir noter, qu'à partir du 15 mai prochain, nos bureaux et magasins seront transférés, rue des Eperonniers, 9, à Bruxelles.Nous profitons de l'occasion pour vous renouveler nos offres de services, et vous présentons, m..., nos bien sincères salutations. Maison Bauffe frères & Van Swae Administration provinciale A partir de lundi, les bureaux de l'administration provinciale seront transférés de la rue du Lombard à la rue Rubens, où ils seront établis dans la maison Rubens. Service postal 1° Un bureau de poste allemand a été ouvert à 'l'ilff pour le trafic des troupes, des autorités allemandes et de la population belge avec service de mandats-poste. 2° Les anciens bureaux de poste belges suivants ont repris le service : A. Beeringen qui est desservi par le bureau de poste du cercle de Hasselt ; B. Havré-Ville qui est desservi par le bureau de poste Mons I ; C. Beaumont, Binche, Courcelles et Luttre qui sont desservis par Charleroi I. 3° A Malines, le service postal pour les troupes et les autorités a été transféré au bureau secondaire nouvellement établi à la gare. Le bureau de district portera désormais la désignation « Malines 1 » et le bureau secondaire la désignation « Malines il (Gare) ». Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Cathay. — Londres, G niai. — L'équipage et les passagers du vapeur Cathay, de Copenhague, qui se rendait en Chine, ont été débarqués à Ramsgate. Le navire a heurté une mine ou a été torpillé. 11 a coulé en 20 minutes. Tous les occupants ont été sauvés. Le navire portait une cargaison de 6000 tonnes. tari of Lathom. — Londres, 6 niai. — Le 3-inàts-goélette Earl of lathom a été coule à coups de canon par un sous-marin, près de Old Head of Kin-sale,Laura. — Rotterdam, 6 mai. — Le vapeur néerlandais Laura subit actuellement des réparations à Piiiladelphie. A sa rentrée ici, il sera pourvu de nouvelles chaudières qui seront construites par la Wilton's Machinefabriek en Scheepswerf, à Rotterdam.Merry islington. — Whitby, G mai. — Le chalutier Merry Islington a été coule dans la meir du Nord par un sous-marin allemand. L'équipage a débarqué à Whitby. Stratton. — Londres, 6 mai. — D'après un télégramme de West-Hartlepool, le chalutier Stratton a élé coulé a coups de canon par un sous-marin allemand, dans la nier du Nord. LE " LUSITANIA " TORPILLÉ Queenstown, 7 mai. — Le steamer Lusitania, de la Couard Line eu route de New-York à Liverpool a été torpillé et coulé. Des secours sont envoyés. Londres, 7 mai. — La direction de la Cunard Line informe que le Lusitania a coulé à 8 milles de la station de télégraphie sans fil de Old Head. Le Lusitania i'ut construit en 1907 par Mess1'8 J. Broxvn & C° Ltd, à Glasgow. Il avait un tonnage de 30.39G t. brutes et 12.611 t. nettes et une long, de 762'2", une largeur de 87'8" et une profondeur de 56'6". H était muni de 4 turbines à vapeur et de quatre hélices en acier. Il avait une vitesse d'environ ^5 nœuds 1/4 et fit la traversée de Queenstown New-York en 4 jours 7 heures et 7 minutes. Le coût de ce steamer n'était pas moins de 37 millions et demi de francs. France LE SERVICE DES VALEURS DECLAREES Paris, lr mai. — Eu vue d'aider à la reprise des afl'airçs et de répondre au désir exprime par un certain nombre ne groupements industriels et commerciaux, Mr Gaston Thomson, ministre du commerce, a décidé de rétablir le-service des envois de valeurs déclarées dans les arrondissements ou portions d'arrondissement les moins exposés de la zone des opérations de l'armée. Le public trouvera aux guichets des bureaux de poste les renseignements complémentaires nécessaires. Il est rappelé que le service de valeurs déclarées n'a jamais cessé de fonctionner dans les autres parties du territoire. Chambre de Commerce de Bruxelles COMITE CENTRAL Séance du 1r mars 1915 La séance est ouverte à 15 1/2 heures de relevée, dans la salle habituelle, à la Bourse de Commerce, sous la présidence de M1' E. Van Elewyck, président. Prennent également place au bureau : MM. De Bal et Ryziger, vice-presidents ; Michelet et Pierre, secrétaires ; Maurice, trésorier-adjoint ; Delbrassin-ue, Desmedt, l'onson, Fontaine, Orb, Pommier, Strickaert-Deschamps, assesseurs. Se fait excuser : M1' J. Hersenbergh, membre. I. — Rapport de la Commission de vérification des comptes pour l'exercice 1914 Mr Donaux. rapporteur, excuse Mr Van Horen, absent pour cause de maladie, et donne lecture du rapport suivant : Messieurs, Par suite des circonstances exceptionnelles dans lesquelles nous nous trouvons, le Bureau du Comité Central a designé pour la vérification des comptes, les délégués que vous aviez choisis l'aimée dernière, c'est à dire : MM. Daubresse, Donaux et Van Horen. Cette Commission s'est acquittée de la tâche qui lui a été confiée, et a également établi, autant, que faire se peut, les prévisions budgétaires pour l'année courante. Notre collègue, Mr Van Horen, s'est excusé de ne pouvoir assister à nos opérations. -SITUATION DE L'EXERCICE 1914 Recettes d'après le livre de caisse fr. 118.215,32 Intérêts 2.178,47 Recettes pour ordre fr. 120.393,79 Prélèvements en banque fr. 68.299,63 Solde en caisse au 31 décembre 1913 391,34 68.690,97 Recettes réelles fr. 51.702,82 Se décomposant comme suit : Cotisations fr. 38.748,00 Affiliations 600,00 Sous-location de la salle 125,00 Recettes diverses ' 1.291,35 Annonces de l'Annuaire . 8.760,00 Intérêts sur comptes courants ..... 2.178,47 Montant des recettes . . . '. fr~ 51.702,82 Dépenses d'après le livre de caisse . fr. 118.193,98 Coût, carnet de chèques 0,60 Dépenses pour ordre .... fr. 118.194,58 Versements en banque 49.511,20 Dépenses réelles fr. 68.683,38 Se décomposant comme suit : Secrétariat fr. 13.420,00 Huissiers - 1.410,00 Loyer 1.500,00 Eclairage et chauffage 939,55 Impressions 10.151,98 Annuaire (impression, frais d'expédition et commissions sur annonces .... 7.817,99 Fournitures diverses 5.758,96 Dépenses imprévues 2.684,90 Souscription en faveur des victimes de la guerre 25.000,00 Montant des dépenses .... fr. 68.683,38 Les dépenses de l'exercice 1914 s'élèvent à 68.683,38 Les recettes s'élèvent à 51.702,82 Déficit fr. 16.980,56 Nous avions prévu pour l'année dernière une recette de 44.500 francs, et une dépense de 43.500 francs. Nous espérions que le produit des annonces de l'annuaire diminuerait le coût de cet ouvrage. Nous ne nous sommes pas trompés, puisque nous avons constaté un bénéfice final de frs 942,01, c'est ce qui explique l'augmentation de nos recettes. Par contre, les dépenses ont dépassé de 25.000 francs nos prévisions budgétaires, par suite de la souscription au profit des victimes de la guerre. Notre dévoué trésorier M1' Fontaine, n'a pu clôturer son exercice avec un boni, ce qui est l'idéal de tout bon trésorier, mais il a la satisfaction de savoir que, si nous avons entamé notre capital, c'est pour venir en aide aux familles de ceux qui se sacrifient pour la défense de la Patrie. Jamais capital n'aura été mieux employé. SITUATION FINANCIERE Le capital au 31 décembre 1913, était de fr. 53.343,47 Déficit de 1914 16.980,56 Capital au 31 décembre 1914 . fr. 36.362,61 Qui est représenté par : a) Comptes courants a l'Union du Crédit : 1. Compte à 1 an 4 3/4 % et ,4 % . fr. 23.578,80 2. Compte à 6 mois 4 % 10.593,72 3. Compte à 2 mois 3 1/2 % 156,15 4. Compte à vue 2 % 1.312,60 b) Titres : G obligations Anvers (val. nom.) . . . 600,00 6 obligations Bruxelles (val. nom.) . . 600,00 e:) Solde en caisse au.31 décembre 1914 . 21,34 Fr. 36.862,61 Somme comprenant le cautionnement de l'Imprimerie Moderne 500,00 Capital réel au 31 décembre 1914 fr. 36.362,61 BUDGET POUR 1915 D'accord avec votre Bureau, nous vous proposons quelques modifications dans les prévisions pour cet exercice : Recettes Cotisations de 2500 membres . . . fr. 30.000,00 Affiliations 600,00 Recettes diverses 600,00 Intérêts divers 1.400,00 Fr. 32.600,00 Dépenses Secrétariat fr. 12.000,00 Huissiers 1.500,0C Loyer 1.500,0G Eclairage et chauffage . 1.500,0C Impressions 10.000,0c Fournitures diverses 3.000,0(j Imprévus • 2.000,00 Fr. 31.500,0C Il a été prévu un déchet de 25 % dans la perception des cotisations, nous sommes persuadés que ce pourcentage ne sera pas dépassé. Nos locaux étant occupés par l'autorité allemande, il y a lieu de supposer que les recettes diverses baisseront notablement. Quant aux intérêts, notre capital étant diminué, il s'en suit que nous perdons un revenu assez sensible.Nous nous trouvons donc dans la nécessité de restreindre nos dépenses, et c'est la raison pour laquelle nous vous proposons une diminution de 2000 francs pour le Secrétariat. Les impressions sont portées pour un chiffre de 10.000 francs, soit une réduction de 6000 francs, sur le dernier exercice, parce que nous estimons qu'il y a lieu de restreindre le coût des imprimés, qui s'enfle chaque année et enlève une partie de nos ressources. Entre autres, en ce qui concerne notre Bulletin, on pourrait limiter la teneur des procès-verbaux pour éviter des redites inutiles. Enfin, le poste fournitures diverses, et les imprévus ont été diminués respectivement de 3000 et de 1000 francs chacun, vu l'arrêt forcé de notre activité. Notre dévoué trésorier, M1' A. Fontaine, a soumis à notre examen toutes les pièces justificatives de ses dépenses. Nous avons constaté la parfaite concordance des écritures. Tous les comptes sont tenus d'une façon irréprochable. Mr Fontaine a bien mérité nos remerciements pour le temps qu'il nous a consacré pendant la période difficile que nous traversons. Il quitte ses délicates fonctions. Aussi nous nous faisons un véritable plaisir de le féliciter chaleureusement pour son passage à la trésorerie Vie notre Chambre. Pour clore ce rapport, Messieurs, nous vous proposons d'adopter le compte des recettes et des dépenses pour l'exercice 1914, ainsi que le budget pour l'année 1915. Les rapporteurs : H. Daubresse. C. Donaux. M1' De Bruycker. — .,e n'ai qu'une observation à présenter au rapport qui \ ient de nous être présenté. II est proposé de réduire les insertions de procès-verbaux dans le Bulletin. A mon avis, c'est prendre là une grave mesure, qui risque de compromettre la vitalité de beaucoup de Chambres syndicales qui ne travailleront plus si leurs discussions ne reçoivent pas de publicité. Mr. le Présiuent. — La mesure proposée est amenée par la trop grande importance des sommes que nous dépensons pour l'impression du Bulletin. Il n'est pas question de supprimer l'impression des documents tournis par les Chambres syndicales, mais uniquement de la limiter aux choses sérieuses et vraiment intéressantes. Les nominations des comités, des délégués, des experts ; les comptes-rendus des séances n'ayant qu'un intérêt purement particulier ne doivent pas être insérés au Bulletin, qu'elles encom-orent inutilement. tl existe pour chaque groupement syndical ou section, un registre des procès-verbaux qui, lui, est destiné à recevoir in extenso tous les coinptes-ren-dus. 11 faut qu'à l'avenir notre Bulletin ne renferme que les extraits intéressant tous les commerçants. Avant de continuer notre ordre du jour, qu'il me soit permis de remercier MM. Daubresse et Donaux, dont la mission de vérificateurs était particulièrement difficile dans la situation que nous fait la guerre. Leur zèle et leur compétence méritent les plus vifs éloges. (Applaudissements). L'assemblée adopte à l'unanimité les conclusions du rapport de la commission de vérification des comptes et le projet de budget pour 1915. II. — Rapport sur les travaux de la Chambre de commerce depuis le début'de la guerre Mr le Président. — Je crois utile de signaler au Comité central que, par suite des circonstances particulières actuelles, aucun sujet ne pourra être discute en séance publique, sans avoir fait l'objet d'une note remise au bureau, qui, préalablement à sa mise à l'ordre du jouir, instruira la question. Je suis convaincu que l'assemblée prendra connaissance avec satisfaction des efforts faits par le bureau de la Chambre de conunerce, depuis le début des hostilités, pour remédier dans la mesure du possible, aux multiples et graves inconvénients qui ont été pour le commerce belge, la conséquence de la situation présente. La rigueur des événements a mis obstacle à l'activité habituelle de nos travaux. Il était du devoir du bureau de notre Comité central de prendre vis-à-vis de vous ses responsabilités et de substituer, dans la limite de ses forces, son action à la vôtre, en attendant qu'il fût possible de vous réunir utilement pour recourir à votre collaboration et à vos lumières. Messieurs, tout notre mécanisme social fut arrêté par la guerre et nous ne prévoyons pas encore l'heure où il pourra normalement fonctionner. Au milieu de ces événements, nous avons compris que l'action collective de la Chambre de commerce et de son Comité central étant impossible, il appartenait à son bureau d'agir. Nous avons alors décidé de siéger sans interruption et de remplir consciencieusement les devoirs que nous imposait la situation. Il fallait en premier lieu veiller à ce que nos chambres syndicales pussent fonctionner, car elles aussi avaient des devoirs à remplir, et nous avions à leur en faciliter l'accomplissement. Les locaux manquaient, la Bourse étant occupée par l'armée ; nous nous sommes adressés à la Ville qui mit obligeamment à notre disposition l'hôtel Raven-stein, sous cette condition que les sociétés qui y avaient leur siège, se prêtassent à la combinaison. La Société des Ingénieurs et des Industriels, de la façon la plus aimable, chargea son secrétaire, notre sympathique collègue Mr Pommier, de nous ouvrir ses salles et de nous aider dans la mesure la plus large à poursuivre nos travaux. Nous l'en remercions vivement. (Applaudissements.) Mais pour se réunir, il fallait pouvoir correspon dre avec les membres de la Chambre de commerce — membres des Chambres syndicales et des Sections, membres du Comité central — et les moyens de communication faisaient défaut. Nous organisâ mes, en l'absence d'un service postal officiel, un service postal de fortune, et grâce à notre personnel et à celui que notre cher collègue et ami, Mr Franchomme, a bien voulu mettre au service de notre compagnie, nous avons pû vous faire parvenir la circulaire que votre bureau a fait distribuer à tous nos membres. C'est mi devoir fort agréable pour moi d'adresser à Mr Franchomme nos remer-cîments. (Applaudissements.) Vous avez vu par cette circulaire dans quelle direction votre bureau a orienté ses efforts. Le crédit s'était replié sur lui-même dans une immobilité léthargique : plus d'escompte, plus de recettes, plus de paiements, ni dans les banques, ni chez les particuliers. La Banque nationale avait, dans l'incertitude des événements, fermé ses guichets d'escompte ; elle décida qu'elle devait assurer la vie ouvrière et combattre la misère par l'encouragement au travail. C'est ainsi que par sa circulaire du 16 août, elle consentit à escompter les effets dont le produit serait appliqué au paiement des salaires et des appointements, ainsi qu'à l'achat des matières premières nécessaires à l'industrie. Le Consortium des banquiers accorda les mêmes avantages aux personnes qui se présenteraient aux guichets d'escompte et de dépôts de nos banques, sans que, cependant, il y eut là obligation formelle, rengagement étant subordonné aux ressources disponibles. L'occupation de Bruxelles par l'armée allemande suspendit pendant quelques jours toutes les opérations. On ne tarda pas a se ressaisir et l'escompte ainsi que le"retrait des dépôts, limités tous deux; par la circulaire du 16 août et les décisions du Crnsor-tiuni des banquiers, recommencèrent à fonctionner dans les derniers jours d'août. Nous nous sommes, pendant cette période, tenus constamment en rapport avec la Banque Nationale et le Gouverneur de la Société Générale qui préside avec tant d'autorité le consortium de nos établissements financiers. Il fallait encourager l'escompte au prix des plus lourds sacrifices. Le taux de l'escompte, alors à 5 %, n'était-il pas un empêchement à la reprise des affaires? Nous avions conseillé le taux de 3 i 2, fort pra-tiquable à ce moment, la Banque n'ayant pas d'encaisse métallique à défendre, ni de portefeuille étranger à manier. La Direction de la Banque Nationale se rendit à nos raisons et réduisit de 1 p. c. le taux de l'escompte. Le 1/2 p. c. au dessus de la limite maximum de 3 1/2 contribuait pour sa faible part à diminuer le solde débiteur de l'Etat Belge; mais "il était à craindre que le Gouvernement allemand ne se substituât au gouvernement national et n'encaissât lui-même la malencontreuse emprise si maladroitement consentie par la loi de renouvellement de 1900. Le taux de 3 t 2- ]>. c. que j'avais proposé eût mieux valu. Il off .it cet avantage qu'il créait un écart de 2 p. c. entre lui et le taux des intérêts moratoires, écart iintéresant pour les débiteurs qui, ayant des ressources, disponibles, cesseraient de se retrancher derrière le moratoire pour ne pas payer et paieraient leurs -traites en souffrance. Une préoccupation essentielle, qui devait primer toutes les autres, était celle du ravitaillement, alimentaire de Bruxelles et de ses faubourgs. Au début de Ja guerre, les administrations communales comprirent que le morcellement administratif de l'agglomération bruxelloise constituait un danger public, parce qu'il frappait cette agglomération d'impuissance et qu'il fallait faire bloc devant les difficultés redoutables de l'avenir. Le prix des vivres montait sous la pression des réserves que les plus fortunés se constituaient, et des accaparements de denrées alimentaires par des spéculateurs sans scrupule. La. famine guettait les malheureux saris ressources, ou ne possédant. que des ressources insuffisantes. Le bourgmestre de Bruxelles, d'accord avec les bourgmestres des faubourgs, concentra le service de l'alimentation, autant que cette concentration était possible dans l'état actuel de notre organisation communale morcelée. Des stocks importants de farine, de riz, de siel s'accumulèrent dans nos magasins communaux. Mais les caisses communales se vidaient. La situation n'était plus tenable. C'est alors que des hommes de résolution et de cœur, MM. Ernest Solvay, Jean Jadot, Emile Fran-qui et Emmanuel Janssein s'entendirent avec le bourgmestre Max pour continuer, sous le nom de « Comité Central de Secours et d'Alimentation », l'œuvre de la commission communale de ravitaille-ment. (Applaudissements.) La Chambre de commerce fut appelée à concourir à l'organisation du Comité nouveau avec les représentants Les plus autorisés de la finance bruxelloise. Grâce à l'intervention des ministres d'Espagne el des Etats-Unis l'œuvre put être menée à bonne fin. Le Comité Central de Secours et d'Alimentation, sous la présidence de Mp Ernest Solvay, dont la généreuse verdeur s'enthousiasme de toutes les œuvres de culture intellectuelle et de bonté (applaudis sements), fut rapidement constitué ; des ressources importantes furent mises à sa disposition et bientôl il put fonctionner, venir en aide aux pauvres el encourager par des subsides les comités de secours créés par Bruxelles et par les faubourgs. Mais on ne tarda pas à s'apercevoir qu'il étail impossible que le Comité central se bornât à ravi tailler et à secourir l'agglomération bruxellois* seule. Une intervention vigoureuse s'imposait : le Comité central bruxellois comprit qu'il devait élargir son action et devenir un Comité national. La transformation ne tarda pas à s'opérer ; les délé gués de nos provinces se joignirent bientôt airs membres de l'ancien Comité central et s'occupèrent du ravitaillement de la Belgique toute entière. Nou-: dûmes même, tant la détresse était grande dans les province'? françaises envahies, sans espoir de se cours, englober dans notre rayon d'action Maubeuge et ses environs, avec le pays de Givet et de Fumay Pour assurer à nos importations de denrées l'im niunité la plus complète contre les réquisitions éven tuelles de l'occupant, il fallut que les ministres d'Es pagne et des Etats-Unis prissent l'initiative de créei à Londres « the Commission for Relief in Belgium » sous le couvert de laquelle nos marchandises son' expédiées de Londres ou de New-York, réception nées à Rotterdam et transportées à travers toute lr Belgique, sans avoir à craindre les réquisitions aile mandes. C'est elle, la Commission for Relief in Bel gium qui achète les denrées, c'est elle qui stimule les générosités de l'étranger et qui centralise les dons en argent et en nature, recueillis aux Etats Unis d'Amérique. Son président, Mr Herbert Hoover doit occuper dans la reconnaissance de la Belgique une place émi-nente à côté du marquis de Villalobai et de Mr Brand Whitlock. (Applaudissements.) A côté de l'organisation du ravitaillement, iL fal lait songer à l'organisation de la bienfaisance. L'ad ministration communale de Bruxelles avait conçi l'œuvre dans cette solide structure dont le Comitt d'Alimentation et de Secours a respecté les grande; lignes, et avec lui, les administrations de toutes no: grandes villes belges. Il se borna à compléter le service de la soupe communale et de la soupe sco laire ; d'énormes ejuantités de vêtements et de chaus sures furent distribuées dans tout le pays. Des res taurants économiques sont subsidiés par les collé ges de Bruxelles et des faubourgs, à raison de 3< centimes par repas de 65 et de 75 centimes ; 10 cen tirnes étant payés par les communes et 20 centime1; par le Comité ; l'œuvre des Pauvres honteux es encouragée financièrement ; un bureau de prêts es ouvert pour les personnes intéressantes que les évé nements plongent dans la détresse ; enfin,, pour com battre la mendicité, des bons die charité sont créé; dans l'agglomération bruxelloise, donnant droit i du charbon, à des vêtements et à des denrées ali men ta ires dans les diverses cantines des Petite; Abeilles. On me signalait récemment un article paru dan le Temps, de Paris, dans Lequel on affirmait san sourciller, que la Belgique s'était vidée de ses élé ments les plus actifs. Il n'y paraît guère, cependant à contempler l'œuvre grandiose érigée par le Comit Solvay. Pour obtenir cet émouvant résultat, il ; fallu le concours patriotique d'infatigables activité et d'inlassables dévouements. Nous les -avons trou vés dans toutes les villes du pays, toujours à l'ac tion, né marchandant ni sacrifices, ni peines n'ayant au milieu des dangers de l'heure qu'un seule préoccupation, le bien public. Le 1.0 octobre, la Ville me signalait les tentative de la spéculation sur le prix du charbon et me priai de convoquer à un entretien sur cet objet la Cham bre syndicale des Charbons et Bois à brûler. Pin sieurs membres de celle-ci avaient participé au frais de mise en état d'un bief hors d'usage du çana de Charleroi, et permis ainsi la reprise de la nav gation. L'hiver approchait et nos stocks étaient près que épuisés. Pas de feu, pas ele lumière. Il faLLai agir. Quelques semaines plus tard, le canal d Charleroi était ouvert. Il l'eût été plus tôt, si ui accident malheureux n'avait retardé l'achèvemei] j de cet important travail. D'un autre côté, le transport par rails était impossible à raison des mouvements militaires des troupes allemandes, en manière telle que la concurrence n'opérait pas. sur Les frets et que La coalition des bateliers pouvait impunément imposer des tarifs de monopole. Qui plus est, des réquisitions militaires en cours de route étaient à craindre. La Ville, d'accord avec la Chambre de commerce, devait donc traiter avec l'occupant pour obtenir la sécurité des transports et pour réduire à l'impuissance l'exploitation odieuse des bateliers. Elle y réussit complètement. Les garanties de sécurité furent accordées par les autorités allemandes, et Les frets, après une tentative avortée de conciliation, furent réglés d'autorité par un bureau d'affrètement cj;ue créa la Ville. Nous eûmes avec Mr Huisman-Vanden Nest, à qui MM. Lemonnier et Steens avaient confié la direction de ce bureau, des conférences utiles pour la fixation des prix et des frets. On ne saurait se servir des lois et règlements de maximum qu'avec la plus extrême circonspection, et seulement lorsque le mécanisme naturel de notre activité économique est faussé. Dès le début des interventions communales, j'avais recommandé que dans la fixation des prix, le prix de revient fût dépassé et qu'on laissât une marge au bénéfice, pour ne point ruiner l'intérêt qu'a le commerce libre à assurer les approvisionnements, et pour décourager les tentatives coupables des accapareurs. Toutes ces questions exigent un doigté très particulier. Elles furent examinées et discutées dans les réunions de votre Bureau, après avoir été étudiées xjar la Chambre syndicale des Charbons qui déLégua M1' De Bal, notre dévoué vice-président, et MM. Devis et Taymans, poui' négocier avec les autorités communales et avec les autorités allemandes. La gare élu Midi venait d'être partiellement ouverte aux trains de charbons. La pauvreté de notre cavalerie commerciale, épuisée par les réquisitions militaires, rendait extrêmement difficile le charriage du bas vers le haut de la ville. La réouverture de la gare du Quartiier-Léopold était donc expressément désirable. Mr le conseiller Brassinne qui, en ces heures difficiles, fit montre de qualités peu communes se joignit à nos amis MM. De Bal et Taymans pour assurer à la partie haute de notre agglomération Je ravitaillement le plus économique par notre gare de l'Est. Les négociations furent longues, mais elles aboutirent à un résultat qui, insuffisant au début, n'en était pas moins satisfaisant, puisqu'il ouvrait aux besoins ele la population civile une gare exclusivement affectée jusque là aux mouvements des troupes. De plus, nos protestations réitérées au sujet des vols de charbons en cours de route et dans les wagons au repos, décidèrent les autorités militaires et communales à prendre des mesures pour empêcher ces actes journaliers de brigandage. MM. De Bal, Devis et Taymans ont bien mérité de la population bruxelloise et de la Chambre de commerce, et avec eux l'administration communale de Bruxelles, notamment MM. les échevins Lemonnier et Steens et MM. Les conseillers Brassinne et Huisman-Vanden Nest. (Applaudissements.) M1' le bourgmestre Max m'avait consulté, dans le courant eLe septembre, sur les moyens propres à conserver un peu de vie aux affaires, de façon à diminuer les chômages autant que possible. Je lui avais signalé à cette époque le rôle humanitaire et patriotique qui était dévolu aux banques et que celles-ci avaient courageusement accepté, en ne comprenant pas dans les opérations suspendues les escomptes et les remboursements de dépôts pour salaires, appointements et matières premières. Quant aux transports, la question était prématurée. Vers la fin d'octobre, Mr l'échevin Max Hallet crut devoir examiner avec nous le problème d'une reprise éventuelle du travail élans les magasins, les ateliers et les fabriques. La maladie tint malheureusement éloigné de l'hôtel de ville notre sympathique échevin. Mr Lemonnier toujours sur la brèche et Mr Maes, agissant tous deux au nom du Collège, réunirent le bureau de la Chambre de commerce et celui de la Fédération ouvrière, dans le cabinet du bourgmestre, à cette fin d'étudier entre patrons et employés, le grave problème qui nous préoccupait tous. Ce fut l'origine du rapport que vous connaissez sur les « Moyens propres à ranimer les affaires dans la mesure du possible». Tous les obstacles à une reprise économique étaient classés, sériés dans l'ordre de leur intervention nécessaire à la mise en mouvement des affaires. (A suivre). MESSAGERIES La firme H. C. Walon, 204-206, chaussée d'Anvers, 48, place de Brouckère, à Bruxelles, a mis en application depuis le 26 avril un tarif des plus réduits pour le transport des marchandises. Son trafic considérable lui permet d'assurer des départs réguliers et des livraisons dans les délais les plus réduits pour transports d'Anvers à Liège, d'Anvers à Verviers, d'Anvers à Charleroi, d'Anvers à Bruxelles. Elle rappelle à sa clientèle qu'elle met à sa disposition ses comptes en banque pour le virement d'espèces sur les principales villes du pays ; qu'elle se charge en outre ; De l'encaissement, des remboursements et quittances, de la transmission des ordres d'achat et du paiement des factures aux fournisseurs. De vastes magasins pour l'entreposage de marchandises sont tenus à la disposition des négociants, où ceux-ci peuvent en toute liberté prélever échantillon et négocier la vente de leurs produits. Des comptes-courants sont ouverts aux vendeurs et acheteurs pour la liquidation de leurs transactions. Le nouveau tarif étant à l'impression, il sera néanmoins appliqué. Comptoirs Congolais Velde AVIS AUX ACTIONNAIRES Il est porté à la connaissance de MM. les Actionnaires que par suite de la suppression des communications postales avec l'Afrique, les pièces de comptabilité des Comptoirs, nécessaires à l'établissement du bilan au 31 décembre 1914 ne sont pas parvenues au siège et que par suite l'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE ANNUELLE est reportée à une date qui sera fixée ultérieurement. Le Conseil d'administration. ; KARL SCHROERS - VOSS & LANGEN (ARMEMENTS RHENANS) • Forfaits pour toutes quantités et toutes destinations. En charge : " ELISABETH" Pour DUISBURG - RUHRORT - DUESSELDORF-NEUSS-UERDIN GEN- CREFELD Départs '• Tous les 5 à 6 jours, sauf imprévus. Pour frets s'adresser : 35, QUAI VAN DYCK, (Entrée rue Sanders,2). ; Rhein- und See-Speditions Gesellschaft m. b. H. 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Dit item is een uitgave in de reeks Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires behorende tot de categorie Financieel-economische pers. Uitgegeven in Anvers van 1858 tot 1979.

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