Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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s.n. 1915, 26 Mei. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Geraadpleegd op 30 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/n872v2db6f/
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ANVERS. Mercredi 26 Mai 1915 Cinquante-huitième Année - No 17.316 DIRECTION & RÉDACTION : 14, RUE VLEMINCKX, 14 ANVERS Téléphone 3761 LLOYD ANVERSOIS Annonces : 25 centimes la petite ligne. — 50 centimes ia double ligne 1 franc la ligne sur double colonne Adresses industrielles 50 centimes Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au li^nomètre. — Les titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires Observations météorologiques de M. F. Agthe, opticien, rue Léopold, 49. Anvers, 26 mai 1915, 9 1/2 h. du matin. — Baromètre 764.5 \ Thermomètre cent (max) 4- 26 —Thermo m. cent, (min.) -f- 15. — Pluviomètre — m/m.—Vent Est. — Prévision : Beau. Astronomie 27 mai Lever du soleil 3 h. 40 m. matin — ( 3 40 Loucher du soleil 7 „ 39 „ soir = (19.39) l ever d<- la lune .... 6 , 32 „ soir — (18.32) Loucher Je la lune .... 2 „ 4 „ matin — ' 2.04/ Pleine lune le 28 mai 9 33 „ soir — (21.33) Dernier quartier le 4 juin . . 4 ., 32 „ soir — (16.32) Nouvelle lune le 12 juin . . . 10 „ 57 „ soir = ("22.57î Premier quartier le 20 juin . . 2 „ 24 „ soir - (14.24) Haute marée à Anvers Matin Soir 27 mai l h. 43 m. = : 1 h. 43; I 2 h. 14 m. = 14 h. 14, 28 mai 2 h. 41 m. = ( 2 h 41) 3 h. 9 m - (15 h. 9, 29 m û 3 h. 36 m. ' 3 h. 36) | 4 h. — m. 16 h.—j (Heure belge). Hauteur du Rhin Cologne 25 mai 3,35 m Strasbourg 24 mai — m Humngen 19 „ 2,93 „ Lauterbourg „ — Kchl .. 3,79 „ Maxau — .. Mannheiir 24 5,8 „ Germersheim „ Caub 25 .. 3,-12 „ Mayence .. 2,20 ., Kuhrort „ 2 54 ,, Bingen 20 „ 2,61 Duisbourg 20 „ 2,10 . Coblence 2,90 „ Waldshiit — Dusseldorf „ 2,71 .. Lobith 22 11.71 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar I rancfort 24 mai 2,11m. Heilbionn 20 niai 2,10 m Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodeasee Trêves 24 mai 0,55 m Constance 25 mai 4,35 m Port d'Anvers ARRIVAGES DU 25 MAI steamer Wilfojrd 4, de Tamise. Tournai 5, de Tournai. » Vr.achtzojekkr, de la Hollande. » Stad Amsterdam 2, de la Hollande. Bateau-moteur Charles Philomena, de Gand. Emmanuel, de Gand. Allège Gustave, de Hoboken. L'Avenir, de Merxem. Tvvee GebroEders, de St. Léonard. » Juua, de RaeveJ-s. » st. Antoine, de Haseelt. » Mariano, de Liège. » Charles, de Liège. » Oscar i, de Liège. » Bertha, de Liège. >» Laborieux, de Chaule roi. » Récompense, de Gharleroi. ». Sucre, de St. Ghislai.n. » Tijd is Geld, de la Hollande. » Twee Gebroeders, de la Hollande. » Prima Vera, de la Hollande. Alida Nelly, de l'Allemagne. DEPARTS DU 25 MAI steamer alLem. IIermes, c. Janzen, pour la Hollande. Vrachtzoeker, pour la Hollande. » Union 6, pour Bruxelles. Allège La Paix, pour Hoboken. L'Ami m; Dieu, pour Boom. ». Premier Janvier, pour Gand. ». Elza, pour Merxem. » Confiance en Dieu, pour Merxem. »» L'Espérance, pour Ryckèvorsel. ». La mine d'OR, pour Mol'l. ». Aventurier, pour Moll. » Constantia, pour Liège. » Graaf de Mérode, pour Liège. » Principio, pou j* Liège. »> Léontine, pour Liège. » Captai., pour Liège. » Visciihandel, pour la. Hollande. » Charbonniéri: I, pour la Hollande. Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Claremont. — San Francisco, 22 mai. — Le vapeur américain Claremont, allant de San Francisco à PorUand, s'est, échoué près de Coos Bay (Oregori). Le navire ainsi que la cargaison seront probablement totalement perdus. Belgique LA PRODUCTION DE L'ECORCE DE CHENE (TAN L'antique manière de tanner le cuir au moyen de L'ôcorce de chêne, telle qu'elle était jadis pratiquée partout, a été pertinemment mise absolument à l'ar-nere-plan par la chimie moderne, par économie de temps et d'argent. 11 y a des substances coriaires exotiques qui prennent la place du tan de chêne, principalement le bois de quebracho et le produit qui s'en extrait. Cela provoqua non seulement la baisse du tan de chêne, au point que le prix de revient pouvait à peine encore se couvrir, mais les • bois de chênèteaux eux-mêmes perdirent de leur valeur. Aujourd'hui, toutefois, que les substances coriaires d'outremer ne peuvent plus rentrer, le prix du tau de chêne a considérablement monté au grand profit des propriétaires des dits bois. Le décorçage sera de nouveau rémunérateur, et les plantations de chênes gagneront en valeur. Dès lors donc, chaque propriétaire se fera un devoir de se mettre tout de suite et résolument à la besogne. Dès que la sève, (en effet, s'est de nouveau arrêtée, le temps propice sera passé, étant donné que le .décorçage artificiel pour cas de force majeure n'a pas répondu à l'attente et amoindrit surtout la qualité du tan. Si le cultivateur s'adonne lui-même à ce travail avec ses propres moyens, il est en mesure, à l'en-. contre de ce que lui donnent la plupart de ses autres produits, d'en tirer un triple profit : 1" 11 récolte le tan de chêne, qui est à présent coté bien haut. 2° Il obtient un bois à pieux et un bois à brûler de toute première qualité. 3° Il peut, sur le terrain rendu disponible, grâce à sa. grande valeur en humus, faire deux années de récoltes, dont une récolte de pommes de terre — L'industrie sucrière en Belgique En date du 27 février dernier, le gouverneur gêné ral a pris un arrêté concernant une déclaration du sucre, afin de déterminer l'importance des appro visionnements de sucre existant en Belgique à cette époque. Ce relevé a donné comme résultat d'établir qu'il existait en Belgique des approvisionnements file sucre brut, de sucre cristallisé, de sucre raffiné, de sucre liquide et de mélasse. En répartissant les nombreuses espèces de sucre en quelques groupements principaux, on constate, d'après les données des déclarations de sucre pour le mois de mars, un approvisionnement d'environ . 10.000 tonnes de sucre raffiné, 60.000 tonnes de sucre cristallisé, 120.000 tonnes de sucre brut, 10.000 tonnes de sucre liquide encore en fabrication, 25.000 tonnes de sucre mélasse. Il ;i paru important de répartir ce capital de façon que tous les besoins du pays fussent sauvegardés, avant que l'on puisse songer à la destina tion a donner à l'approvisionnement dépassant ces besoins. La consommation de la population belge de sucre comme tel, ou pour la pâtisserie et les préparations culinaires, varie, les autres années, entre 70.000 et 110.000 tonnes. A la suite de la diminution de la population, etc., la consommation est diminuée cette année-ci et peut -être estimée, jusqu'à la prochaine campagne, à 50.000 tonnes maximum (principale n>ent du sucre raffiné et cristallisé). Comme il n existe pas de pénurie de sucre raffiné et cristal J ■ clue l'ensemble de sucre raffiné et cristallisé, relevé dans la déclaration, se monte à 70.000 tonnes, puisque, d'autre part, les raffineries belges conti n lient a travailler, la consommation de sucre de la population belge est en tout état de cause sauvegardée. Si à la suite de spéculations, le prix du sucre montait d'une façon anormale, il faut s'attendre à ce que des prix maximums seraient arrêtés par le gouverneur général. Un deuxième consommateur de sucre, dont les besoins ne doivent pas être seulement reconnus ' omme fondés, mais dont la consommation de sucre J; été encore encouragée, est l'agriculture belge, j.elle-ci avait déjà, les années précédentes, employé |2 mélasse pour nourrir sort bétail, mais par contre 6 SUcre brut dénaturé n'était pas utilisé en Belgi que pour le bétail. Lorsque, par suite de la cessation des importations d'outre mer, survint en Belgique une pénurie d'aliments pour le bétail, on con-: seilla aux cultivateurs belges l'emploi du sucre*brut pour l'alimentation du bétail et provoqua une entente entre le Syndicat des fabricants de sucre belges et 1a société « l'Assistance agricole », de façon que l'industrie sucrière se prêtât de bonne grâce a livrer de grandes quantités de sucre brut dénaturé aux cultivateurs beiges. Depuis lors, l'emploi du sucre brut dénaturé, tout aussi utile pour 1 alimentation des chevaux que du bétail, a pris une extension considérable. Jusque 1/10 de tout le sucre brut se trouve en Belgique pour l'agriculture belge. Il •paraît, toutefois, que cette consommation ne saurait pas atteindre ce 1/10, qui représente une masse de 2O.000 tonnes de sucre brut. Comme troisième consommateur doit entrer en ligne de compte l'armée d'occupation. Celle-ci emploie surtout le sucre brut pour l'alimentation de ses chevaux et l'achète dans les fabriques et les dépôts de sucre. Afin d'empêcher que, lors de Ces achats, ne soient payés des prix qui différent de province à province sans être toujours en concordance avec le prix moyen du marché sucrier, il fut pris, le 13 avril dernier, un arrêté fixant un prix maximum pour le sucre brut servant à l'alimentation des bêtes. Cet arrêté confère à l'Intendantur, de même qu'aux personnes privées autorisées à cette fin par le chef de l'administration civile allemande, le droit d'acheter, partout dans le pays, du sucre brut destiné à l'alimentation des bêtes au prix de 27 francs les 100 kilogr. L'arrêté prévoit des pénalités pour quiconque outrepasse le prix maximum, quiconque se refuse à vendre son sucre brut aux conditions de l'arrêté, et, à rencontre de ses déclarations de l'employer pour- l'alimentation du bétail, l'emploie d'une autre façon ou le soustrait au commerce. Afin de sauvegarder autant que possible les intérêts des industries belges travaillant le sucre brut et, en première ligne les raffineries, et afin de mettre nos sucreries belges dans la possibilité de faire les livraisons à l'intendance de l'armée là où l'on peut le. plus facilement disposer de sucre brut, il a été proposé au Syndicat des industries sucrières belges de conclure un accord entre ses membres j pour la livraison des quantités de sucre nécessaires. Les besoins de l'Intendance doivent en tout état de cause être satisfaits à temps. Il n'est pas possible qu'à l'occasion de chacun de ses achats, l'Intendance entre en pourparlers avec chaque détenteur de sucre brut, à l'effet de savoir si la quantité de sucre nécessaire sera prise dans son établissement ou plutôt dans celui de son voisin. L'approvisionnement en sucre brut dans le pays est assez grand pour que l'on puisse facilement arriver à un accord en vue de satisfaire aux besoins de l'armée. L'Intendance prendrait dès lors son sucre brut autant que possible là où ce sucre lui est offert, sans s'adresser entretemps aux autres dépôts de sucre brut. Il y a lieu de prévoir qu'une entente s'établira, dans l'intérêt des industries travaillant le sucre brut. Aperçu historique de la sidérurgie dans le Hainaut A la fin du XVII0 siècle (1693) chaque fourneau employait toute l'année environ 110 hommes (y compris les ouvriers transformant le bois en charbon), chaque forge environ trente hommes et chaque fonderie dix. Chaque fourneau consommait annuellement au moins 5000 cordes de bois en charbon et chaque forge 2500 cordes. La corde coûtait un écu, tant pour l'achat du bois que pour la façon et le voitu-rage.Il se fabriquait alors dans le Hainaut «environ six millions de livres pesant de fer par an ». Le fer se vendait 75 livres le mille pris à la forge. La fabrication totale représentait ainsi une valeur de loo.ooo écus d'argent. t ne petite partie de ce fer se vendait en France, notamment dans la Flandre française, et dans les Pays-Bas espagnols. « Mons était la ville d'entrepôt ou ce commerce s'enfaisait.» Le fer de Suède concurrençait le nôtre, particulièrement en Hollande ; il était meilleur marché, mais celui du Hainaut était de qualité supérieure.» Un document du 14 août 1700 indique qu'il existait à ce moment des forges à Chimay, Rance, Mont-bliart, Renlies (Haut-Marteau), à Boussu-lez-Wal-court (Feronval), à Mariembourg, du côté de Flo-rennes, et que Fontaine-l'Evêque, Marchiennë-au-Pont, Bomerée, Gharleroi, etc., produisaient des fers en barres ou fondus, des ferrailles, quincaillerie, taillanderie ou autres fers battus. A eux seuls les quartiers de Chimay de Beaumont et. de La Buissière avaient en activité cette année-là dix fourneaux, un trentaine de forges et une. clouterie très florissante. En 1738 un fourneau pouvait produire annuellement environ 840:000 livres de fonte et une forge battant fer à deux affiueries pouvait fournir 250.000 a 300.000 livres de fer. Vers 1750 un fourneau produisait annuellement dans le pays de Chimay 600 à 720 pièces de gueuses du poids de 1800 à 2000 livres par pièce, ce qui donnait pour les cinq fourneaux alors actifs dans ce district environ 6.650.000 livres de fonte. Dans le pays de Xannir la production annuelle totale s'élevait à 11.970.000 livres de fonte et dans l'Entre-Sambre-et-Meuse (pays de Liège) elle était de 19.950.000 livres. Les afl'ineries donnaient dans le pays de Chimay 7.500.000 livres de fer et dans le comté de Namur 12.75o.000 livres. On estimait que la production d'un fourneau suffisait pour alimenter trois forges à une affinerie. Un fourneau chimacien transformait par année 1300 à 1 *00 charretées de minerais. La consommation de charbon de bois était annuellement de 900 bennes par fourneau et de 200 par affinerie. On calcii- , lait habituellement sur un emploi d'une benne de charbon pour affiner mille livres de fer. On coupait, bon an mal an, à cette époque dans le pays de Beaumont environ 700 bonniers de forêt ce qui, à raison de 600 bennes de charbon de bois par cent bonniers. donnait 4200 bennes. Comme les fourneaux avaient besoin de 9400 bennes, on devait ou bien laisser chômer les fourneaux ou bien allei chercher le manquant à grands frais dans le pavs de Liège. 1 J Les ouvriers étaient payés tous les quinze jours. Les salaires par mille de fer étaient à Chimay et à Beaumont : Patars Pour le maître affmeur 30 Pour son valet ! 20 Pour le maître marteleur ! . 28 Pour soii valet ■ ... 20 Pour le goujard ' j 7 Voici, pour cette même année 1750, un tableau renseignant les prix par poids de mille livres, étant entendu que ce qu'on appelait alors le poids de forge était de 1100 livres pour 1000 livres renseignées : Beaumont Namur Charleroi Fers en barres (à la lime ou fort) fi. 74-10 — — Fers en barres (communs) . . 70-00 — — Platines de fer (fort) .... 100-00 — . Platines de fer (autre qualité) 80-00 — — Fers en verges (fort) .... 74.00 — — Fers .en verges (autre qualité) 67-00 — — Fers en lames (dits spatés) . . 79-00 — — Fers fort en lames et en verges — 70-00 72-00 "Fers tendre et battu .... —. G5-00 — Fers en botte _ 63.00 _ Fers spatés _ 75.00 72-OO rer fort marchand __ 07.00 Fer fort en verges — 07-00 1 Fer en platines _ _ 95.00 1 Fer fort en plattes _ _ 75.00 Fer en escoupes _ _ "115.00 ! Fer tendre maca 02-OO 1 Fer tendre fendu en verges . . — 61-00 Fer en taques — 413-00 — En 1753 il existait à Solre-Saint-Géry un fourneau 1 inactif, trois forges en activité et une platinerie ; à ! La Buissière un fourneau produisant de bonnes Toiles, deux forges et une platinerie ; à Forges une ( 'orge et un fourneau qui chômait depuis 1751 ayant 1 en magasin une grande quantité de fer en gueuses ' 'fer tendre qui 11e pouvait servir, disait-on, que pour i du fer a fendre) ; à Maçon deux fourneaux, dont 1111 < seul en activité (qui travaillait de la mine tendre des terres de Chimay) ; à Momignies un- fourneau 1 hors feu ; a Moulineau, près Chimay, un fourneau qui chômait; à Boutonville un fourneau qui fon- ! dait de la mine d'Yves et qui produisait des fontes y de bonne qualité ; à Saint-Remy un fourneau qui c chômait; à Gougnies un fourneau qui chômait de- t puis 1746 et trois forges ; à Acoz un fourneau lie l'eu depuis la même année et une forge ; à Gerp nés un fourneau abandonné ; a Froidchapelle tn forges, dont celle de Rance, qui était alors occup par Bridimus pour la fabrication de son acier ; liantes une fenderie qui chômait depuis deux a (1751) ; à Grandprez deux marteaux « battant fe en platine et barreaux » ; à Bersillies l'Abbaye 11 platinerie ; à Sivry deux forges ; à Hourpes 1 fourneau ; à Nismes un fourneau (le 26 octobre il M. de Buillet, écuyer, seigneur de Merleinont, av; vendu à Michel Licot, les fourneau, maison, 'cem etc., de Nismes, pour 06.000 livres de France, pl 600 livres pour les épingles de Mme de Merleinont à Monceau-sur-Sambre une forgé pour fers en b; res ; à Marchienhe-au-Pont une platinerie ; à Zô ,111e forge et une fenderie où l'on fabriquait du 1 en barres et en verges ; à Charleroi deux fendent un maka et une platinerie. On trouvait encore des forges à Virelles, Loi prêt, Pont-Saint-Nicolas, Pré-Brûlart, Jean-Petit, : melette, Cendron, Gérard, Macquenoise, Bardoi prez, Aiseau, Plomcoz (Gosselies), Ham-sur-Heui Bomerée (Montigny-le-Tilleul) et des platineries Ha 111 -sur-Heure (Biatroz), Jamionlx, Couillet, Boi tioulx et Carnières. En 1764 le vicomte Desnndrouin, outre un foi neau et une forge près de .Chimay", possédait Charleroi une fenderie occupant quatre ouvriers qui fendait par vingt-quatre heures 600 livres de f a clous, plus 700 à 800 livres de fer pour liens 1 chaudrons ; un maka occupant deux ouvriers et tr vaillant 1000 livres de fer en vingt-quatre heure; une platinerie employant cinq ouvriers et fabi quant par vingt-quatre heures 600 livres de fer < platine, plus 500 livres de fer à buses et à socs < charrue ; une fabrique de cannes à souffler le ver occupant deux ouvriers (ancienne fabrique de c 110ns de fusils). O11 voit, par ces chiffres, combien les usin étaient peu importantes à cette époque et quel ch: lie réduit d'ouvriers elles employaient. il est juste d'ajouter qu'en 1764 le district de Cha leroi comprenait 14 fosses à houille employant ( tout 300 ouvriers seulement et produisant '20 m: lions de livres de houille. Ces fosses absorbaie néanmoins tout le bois venant de Gillv, Jumet, et( ce qui forçait les habitants-à acheter au pays ( Liège leur bois de chauffage. Pour ces 14 houillères on avait élevé plusieu machines à vapeur ou «pompes à feu « qui nécess t aient l'emploi annuel de 20.000 livres de fer. Jusqu'en 1725 il n'existait pas encore de machim à vapeur dans le Hainaut. C'est Desandrouin qui, pour l'épuisement des eau. dota cette année-là d'une machine de l'espèce se charbonnage de Lodelinsart. Il fit exécuter l'app reil en question dans son atelier de Charleroi p«-des ouvriers spéciaux placés sous la direction <1 praticien Mathieu Misonne, de Ransart. et avec meilleur fer qu'on eôt pu trouver dans toute l'Entr Sambre-et-Meuse. Il fallut deux ans pour construii cette machine, établie d'après le système de Nev coin m en. Son cylindre de 38 ponces de diamèti 'lin 12), était en fer forgé et «d'un travail incroy; ble ». Sa force était de 25 chevaux. C'était la fameuse pompe du Fayat. L'événement était de telle importance que Des-.u drdhiu inaugura sa machiné par une grande fêt a laquelle il avait convié toutes les autorités < notabilités de la région, ainsi que ses ouvriers fo gérons^ de Charleroi et ses houil'leurs Tle Lodelii sait. Et, pour commémorer l'événement, Desai drouin lit. exécuter un pastel représentant toute 1 cérémonie. Entouré d'une brillante assemblée, ceignait la tête de Misonne d'une couronne de lai ri ers, et un chronogramme au bas du tableau raj pelait la date de l'événement. Ce pa-stel se trouva encore en 1820 au château de Lodelinsart. On n sait ce qu'il est devenu depuis. Cette première machine eut d'ailleurs une longn et belle vie, puisqu'elle fonctionna jusqu'en 183-c'est-à-dire pendant. 109 ans, et son cylindre fut ei suite longtemps conservé comme un précieux soi venir a la maison sociale des Charbonnages réuni: Deux autres machines furent placées quelque années plus-tard aux charbonnages de la Grand* Veine l'Evêque et de la Grande Garde de Dieu, su Pâturages. En 1753 on en monta deux autres à .h mappes pour le Haut-Flénu. Dans la région de Charleroi la seconde machin lut placée en 1750 au charbonnage du Mambourg elle était de la force de 35 chevaux. Puis vinrent successivement les machines snivnn tes : AnnéesChev Ctia.rboimage l'Ardinoise (Gilly)-. . . 1760 30 Mambourg-et -Bavette . 1770 35 Masse-Sain t-François . 1778 25 Bascoup ....... 1788 45 l'Olive 1803 52 Mariemont 1805 57 Amercœ'ur 1807 32 Sacré-Madame . . . . 1811 46 la Réunion (Gilly) . . . IS12 • 52 Sablonnière (Charleroi). 1814 52 l'Ardinoise (Gilly) . . . 1817 61 Briavoin'e, qui écrivait en 1839, prétend que 1; première machine à vapeur d epuisenient installé, dans notre pays aurait été placée non dans Te liai liant, mais à Liège, « sur une houillère de la mon t.agne Saint-Gilles, surnommée la Grosse-Houille » a une date imprécise, mais qui se situe, d'après « le< déclarations de plusieurs industriels ' instruits d< Liège ». entre 1722 et 1733. C'était une machine im portée d'Angleterre. : * ■ : : rays^Das DEFENSE D'EXPORTATION RETIREE Les ministres de la guerre et de l'agriculture dt Hollande viennent d'autoriser l'exportation des ne tits pois frais. Les Etats de l'Union Brésilienne LEUR VALEUR COMMERCIALE I.'Amazonie, dont l'énorme superficie atteint : millions de kilomètres, près de six fois celle de la i rance, est divisée en d'eux états, Amazonas et Para dont la population totale atteint à peine 1 million d'habitants. ...De tous les produits du pays ,1e caoutchouc, qui abonde dans les immenses forêts qui couvrent le* rives des fleuves, est à peu près le seul exploité Exploitation rudimentaire, abandonnée aux rudes coureurs des bois, accomplie avec des moyens primitifs et grevée des frais énormes que représente la l ie des travailleurs au fond de la forêt vierge les transports, les taxes et les risques de toutes sortes. On a calcule que ces frais doublaient le prix de revient de la gomme. Aucune concurrence ne serait donc soutenable avec les plantations asiatiques si on ne réduisait ces frais par des facilités de communication, des abaissements de droits, des amélio-ratJuns dans l'existence des travailleurs. Les procèdes de préparation devront être aussi perfectionnés l'el est le but des mesures arrêtées et engagées l'accord avec l'Union, les Etats et les Sociétés Drivées.On songe aussi à reconstituer les réserves d'arb.-es l'ar des plantations. Mais il sera désirable de ne pas s'en tenir à la culture des diverses espèces I arbres a caoutchouc ; le cacaoyer, diverses plantes nvrieres, l'élevage, l'exploitation d'autres produits lorestiers comme la cire et les résines offrent à l'n"-:|Vité des Amazoniens des emplois fructueux, et ortifieraient la fortune du pays en la diversifiant. Les chemins de fer Madeira-Mamoré, les ports' de Uanaos et de Para et d'autres créations projetées sont et seront de plus en plus les instruments de ■ette prospérité, en même temps qu'ils lui devront eûrs progrès et leur avenir. Le chemin de fer Madeira-Mamoré ouvre l'accès lu territoire d'Acre, de 190.000 kil. carrés, riche en trbres à caoutchouc. Malgré les obstacles de la oret vierge, le développement de cette région, avant ouverture du chemin de fer, avait suivi une marche rapide puisque, de 1903 à 1907, les droits d'ex->ortation sur la gomme sont passés de 1 million le francs à 50 millions. Manaos, à 1800 kil. .dans l'intérieur, est l'entrepôt lu bassin supérieur de l'Amazone, y compris les •arties péruviennes et boliviennes, tandis que Para u Bélem est" le centre de la navigation du bassin inférieur ; a eux deux, ils commandent le trafic 'un réseau navigable de plus de 40.000 kilomètres. Bahia, d'une superficie égale à celle de la France ossède, avec son petit voisin, l'Etat de Sergipe! res de 3 millions d'habitants répartis principale-îent dans. la.région voisine de l'Océan où ils culti-ent le cacaoyer, le tabac et une grande variété 'autres plantes. La production déjà très impor-inte est susceptible de s'accroître beaucoup lors- rs que rhinterland constitué par la vallée supérieurt n- ue Sao Francisco sera mis en valeur. Ce granc lis fleuve — sujet à des crues périodiques connue 1( ée -Nil et le Mississippi — offre le moyen d'irriguei à tii;,uneiises plaines extrêmement fertiles. us Un réseau de c.ieinins de fer dessert la côte ei rs l'intérieur ; il a ete concédé pour 00 ans a la Com ne pagine des chemins de fer ledoraux de l'Est brési m lien qui a la ciiarge de son extension et de son 45 exploitation. Cette réorganisation terminée, un ré-Lit seau homogène de plus de 60U0 kil. ouvrira det ;e, debouenés à la riene vallée du Sao Francisco, où us l'on trouve les célébrés cnutes de lJaulo Alfonso, ) ; plus puissantes encore que celles du Niagara, r- Bahia", la capitale de l'Etat, ville de près de 250.001 le habitants, centre du réseau ierré, tète de ligne d'un er cabotage actif, est un port déjà florissant et qui 's, peut le devenir bien davantage grâce a son hinter-laiid. Une société française y construit en ce mo-n- ment un grand port moderne pour le compte de la »i- Société brésilienne Docas de Bania, concessionnaire n- des travaux et de l'exploitation future, e, Espirito Santo qui vient ensuite lie saurait être à séparé de Minas Geraes, dont il est le débouené sur if- l'Océan. A eux deux, ils couvrent 030.000 kil. carrés, iiabités par 5 1/2 millions d'uabitants. Mais le se-r- coud, beaucoup plus grand que le premier, est des--i tiué à l'absorber sous le rapport économique tout au et moins. si' Minas Geraes a été 1111 des berceaux de la colo-le uisation brésilienne. Connue son nom l'indique, il a- est riche en mines ; — malheureusement elles sont ? ; en partie abandonnées depuis longtemps faute d'une ■i- loi minière adaptée au muie.u, qui attend depuis îu pins de 2ô ans le vote des Chambres, le Autrefois, l'agriculture y était prospère; l'affran-i'e enissement des esclaves l'a ruinée et elle se relève a- lentement faute de capitaux et de moyens de transport.-s Ces deux obstacles sont en \ i 1 d'aplanissement, f- les réseaux du Leoxjoldina Raiiv.ay, des chemins de fer' Central, Yictoria-Minas, Feueraux brésiliens, r- Ouest de Minas, Goya/ s'allongent de plus en plus sur son territoire et ecoulent des produits vers les ports de Rio de'Janeiro et de Victoria. De nombreu-it ses sociétés apportent-le concours du capital et de l'activité étrangère, soit sous lorme de banques le foncières, soit comme exploitations industrielles, minières et agricoles. s Aux dernières nouvelles, 011 annonce que le par-i- lement serait enfin saisi du ju'ojet de loi minière appuyé énergiquement par un puissant groupe poli--S tique. Ce serait un grand bonheur pour-le Brésil si la loi était voh e ; ia fortune de Minas Geraes et d'Espirito Santo en particulier serait transformée. n L'Etat de Sao I'aulo est le plus riche de tous les Etats brésiliens. Sa production de café qui repré-ir sente près de 75 de celle du Brésil tout entier et 11 plus de 55 % de la production mondiale, basée, com-p nie nous l'avons expliqué, sur des conditions naturelles qui ont défié jusqu'ici toute concurrence, lui e assure une puissance économique considérable dont la. limite est encore loin d'être atteinte. Aussi les e progrès du commerce, de l'industrie, du peuplement y ont-ils été plus rapides que partout ailleurs à partir du mome.it. où il a joui de son autonomie. Sur une superficie de 290.000 kil. carrés, la popu-1- la tion atteint 3 millions?, d'habitants ; elle a doublé durant ces vingt dernières années. Dans le même '' temps, le mouvement commercial passait de 250 mil-lions de francs à près de 900 millions. Quant à sa capitale, elle voyait sa population s'élever de 50.000 1- âmes a plus de 400.000. Le mouvement d'évolution économique qui en-11 traîne le Brésil atteint certainement, à Saint-Paul une intensité qui n'est, égalée nulle part, 1 C'est dans cet Etat, que le réseau de voies ferrées it eu exploitation est le plus étendu ; le 31 décembre e 1912. il comptait 5598 kilomètres. Son extension pour la mise en valeur de nouveaux territoires et la pénétration dans les parties recu-u lées de rhinterland brésilien est poursuivie avec l'enc auragement puissant d.u gouvernement fédéral et du gouvernement de Sao-Pàulo, par plusieurs ;- nunpagnies telles que : la Companhia l'autiste de s vias ferréas e fluviaes, la Mogyana Railway C°, la Sorocabana Railway C», la Sao Raulo Railway C°; r celles-ci anciennes florissantes déjà ; la Sao Paulo-Bio Grande C°, la Compagnie de Chemins de fer du Nord-Ouest, au contraire plus récentes et au début c île leur exploitation. Toutes ces voies convergent ; vers la ville de Sao Paulo, d'où leur trafic s'écoule par un collecteur unique, le Sao Paulo Raidway - sur le port de Santos, où se concentre le mouvement commercial de tout. l'Etat. Santos est doté d'installations modernes, créées et exploitées par la Société Docas de Santos. L'importance du trafic y est considérable et chaque année marque de nouveaux progrès. La crise dont souffrait..le pays il y a quelques années a disparu avec le relèvement des prix du café Plusieurs banques étrangères sont venues donner au pays les capitaux nécessaires, pour la transformation de ses procédés de culture et de ses méthodes commerciales, ainsi que la mise en valeur de nouvelles ressources. L'industrie se développe en même temps que l'agriculture cherche à échapper à 1 la monoculture. La ville de Sao Paulo devient une 1 ries principales villes de l'Amérique du Sud. L'Etat de Parana, qui confine celui de Sao-Paulo au Sud, est peu peuplé, 500.000 habitants environ , pour 221.000 kilomètres carrés. Mais il est permis ; d'espérer que la -situation changera d'ici peu ; car c est une région où se porte de préférence l'émigra- - tion européenne, en raison de la douceur relative du climat. Le sol couvert de pâturages et de forêts se prête a l'élevage, à la culture des céréales, à toutes les industries forestières. On y trouve déjà près de 1.000 kilomètres de chemin de fer appartenant à la Compagnie Sao Paulo-Rio Grande et au Chemin de fer du Parana. C'est 1111 pays d'avenir pour la race blanche. La même observation s'applique à ses voisins le peut Etat de Santa Catharina 112.000 kilomètres cai;rt'/^'^00, habitants, et celui de Rio Grande do Sul, *36.000 kilomètres carrés avec 1.560.000 habitants. Ceux-ci sont comparables comme sol et comme cl i -. mat aux Républiques de l'Uruguay et de l'Argentine. La population y est laborieuse ; elle augmente par les naissances et par l'immigration étrangère. La production y est variée et est composée d'objets et de denrées de nécessité tels que peaux, cuirs cornes, erms, tabac, cuivre, maté, bois, etc. on5l°. -?ra,nde 'î0 s,ul ^Sl desservi par un réseau de -cOOO k 11. de voies ferrées en plein rapport, appartenant. principalement à la Compagnie Auxiliaire de chemins de fer au Brésil (1). Mais, par suite de la configuration de son rivage, il n'a qu'une sortie sur la mer qui est obstruée par les sables. Il s'ensuit de grandes difficultés ]>our les communications ma-r't'mes qui ont arrêté le développement normal de tout 1 Etat. Cette situation fâcheuse cessera le iour ou la Compagnie du port de Rio Grande do Sul achèvera les travaux dont elle a l'entreprise et pourra, ouvrir le port qui lui a été concédé. Au centre du Brésil, séparé par d'immenses étendues a peu" près désertes, l'Etat de Goyaz attend crue le chemin de fer de la Compagnie de Goyaz le rattache au monde civilisé 1 Plus au sud, le Matto Grosso, 1.378.000 kil., 245.000 habitants, sera bientôt relié à Sao-Paulo et au port de Santos par le chemin de fer du Nord-Ouest L'un et l'autre sont riches en pâturages et, à dé-faut d autres industries, celle de l'élevage leur offrira des ressources considérables. Mais pour l'instant leur" fortune est fort peu de chose. (1) Société belge. ~ BREVETS Machine à écrire. — M'- A.-T. Brown, de Syracuse , ,. A-)» mforme les industriels qu'il désire céder J™!ces pour ''exploitation de son brevet bel/re n" 212703, du 15 décembre 1908. Machine à rectifier les tonneaux. — La société Roeca Tassy et de Roux, à Marseille, propriétaire du brevet belge 11° 236927. du 27 juin 1911, désire s entendre avec des industriels belges pour la vente de ce privilège ou la concession de licences d'exploitation.Appareil pour l'allumage et l'extinction automatique des becs à gaz. — M<" F.-C. Farge, à \ice pro-Rïïo Ve ,ln l)revct lie'£e 250243, «lu I!) octobre 1912, désire s'entendre avec des industriels belges pour la vente de ce privilège ou la concession de licences d'exploitation. Filières et porte-filières réglables. Système M!()'),lnn Gt Claren,ont (brevet n° 207250, du 11 avril Les brevetés seraient disposés à céder leur brevet, ou a accorder des licences d'exploitation. Mfcohiae à écrire. Mr A.-T. Brown, «le Syracuse (E.-li. A.), est. disposé à entrer en négociations avec des industriels pour l'exploitation sous licences de son brevet belge n° 205090, du 10 janvier 1908. • Procédé de fabrication du fer. — La société The International Métal Products Company, propriétaire des brevets belges d'invention n° 220969, du 23 novembre 1909, et de perfectionnement n° 239952, du 28 octobre 1911, désire s'entendre avec des industriels belges pour la vente de ces privilèges ou la concession de licences d'exploitation. Perfectionnements aux brûleurs et foyers à combustible liquide. — La société The Oil Flame Fur-îuice C°, Limited, à Holborn (Angleterre;, propriétaire du brevet belge n° 252591, du 8 janvier 1913, désire s'entendre avec des industriels belges pour la vente de ce privilège ou la concession de licences d'exploitation. Procédé de traitement des fers galvanisés pour obtenir le sulfate de zinc et sels dérivés. — La société Ulniar V'iilette et C°, à Saint-André lez-Lille, propriétaire du brevet belge n° 241725, du 27 décembre 1911, désire s'entendre avec des industriels belges pour la vente de ce privilège ou la concession de licences d'exploitation. Moteur à courant monophasé. — Système Fynn. Breveté en Belgique, 110 223465, le 2-4 février 1910. La disposition de ce moteur monophasé à induction assure l'obtention d'un fort couple de démarrage et permet, dans des conditions ; de travail normales, l'utilisation rationnelle et effiéace de toute la matière active de l'induit. L'inventeur, désireux de tirer parti de son brevet en Belgique, s'entendrait avec constructeur pour son exploitation, moyennant conditions à débattre. Electrolyseurs. - Système llooker Electrocheniical C°. Breveté en Belgique, n° 257375, le 30 mai 1913. La construction de ces appareils, du type à diaphragme, est applicable principalement aux électro-lyseurs à fort ainpérage ; elle réduit au minimum le poids du métal nécessaire à l'établissement des connexions, simplifie beaucoup ces dernières et rend l'installation plus souple, aussi bien quant au mode de connexion des unités qu'en ce qui concerne la capacité des unités connectées en série. La société propriétaire du brevet, désireuse d'en tirer parti en Belgique, s'entendrait avec industriel pour son exploitatioi^ moyennant conditions à débattre.Jante amovible. — Système The Fisk Rubber C°. Breveté en Belgique, n° 206095, le 21 février 1908. Ce système, plus spécialement destiné aux automobiles, permet d'assujettir rapidement au- cercle d'une roue et d'en détacher de même un pneumatique tout gonflé, attaché à une jante, et il constitue un progrès marqué sur toutes les dispositions proposées, dans ce but, jusqu'à ce jour. La société propriétaire du brevet, désireuse d'en tirer parti en Belgique, s'entendrait avec fabricant pour son exploitation, moyennant conditions à débattre.Traitement des substances alimentaires en vue de leur conservation. — Procédé et appareil de la Iiu-proved Chiliing C°, Limited. Brevetés en Belgique, n° 205337, le 14 janvier 1908. L'invention 11011 seulement assure la conservation parfaite des produits alimentaires en général, mais, appliquée aux viandes traitées en chambres frigorifiques, elle leur conserve, par un système de stérilisation atmosphérique, tout l'éclat et l'aspect de fraîcheur de la viande récemment abattue, même après un voyage relativement long et après qu'elles sont sorties depuis un certain temps des chambres frigorifique#.Les propriétaires dû brevet, désireux de tirer parti de leur invention en Belgique, s'entendraient avec industriel ou société pour son exploitation, moyennant conditions à débattre. Machine linotype. — Brevets belges n<>» 191367 et 191368, du 6 avril 1906 ; 11° 191989, du 24 avril J906 ; n° 193563, du 12 juillet 1906 ; n° 196929, du 11 décembre 1906; n° 196974, du 31 décembre 1906; n° 20438-4 du 25 novembre 1907; n» 206423, du 27 février 1908; 11» 206772, du 20 mars 1908 ; n» 210129, du 14 août 1908 (avec addition 11° 220085, du 19 octobre 1909) ■ il" 211421, du 13 octobre 1908; n» 222718, du 29 janvier 1910 ; n" 225211, du 26 avril 1910, et il" 225789, du 18 mai 1910. Les nombreux perfectionnements apportés, suivant les données de ces brevets, au mécanisme éjecteur, au mécanisme d'ébarbage, au contrôle de la roue de moule, aux magasins, au distributeur, à la production automatique des blancs dans les lignes à cadrais, au triage des matrices, aux appareils de refroidissement, aux dispositifs pour la composition tabulaire, etc., font des machines qui en sont do-tees des appareils remarquablement bien organisés, donnant, en toute certitude, un travail rapide et parfait à tous égards. La. société propriétaire des brevets, désireuse d'en tirer parti en Belgique, s'entendrait avec constructeur pour leur exploitation, moyennant conditions a débattre. Perfectionnements aux machines à emboutir ou leur équivalent à combustion interne. — Brevet belge White et Duryea, n° 211165. Les propriétaires du susdit brevet désirent s'entendre avec des industriels pour l'exploitation en Belgique. Accumulateur électrique. — Système Fuller. Bre* vete en Belgique, n° 221970, le 18 décembre 1909. Les dimensions et le poids extrêmement réduits de cet accumulateur en font un dispositif très porta^ tif, applicable à un grand nombre d'usages les plus varies, en même temps que l'indifférence presque complète de son enveloppe à l'action de l'électrolvte lui assure une très longue durée. L'inventeur, désireux de tirer parti de son brevet en Belgique, s'entendrait avec fabricant pour son exploitation, moyennant conditions à débattre Perfectionnements dans les presses à paille. — M1' M.-O. Madsen, à Asnaes (Danemark), propriétaire du brevet, belge n<> 231376, du 20 décembre 1910, désire s'entendre avec des industriels belges pour la vente de ce privilège ou la concession de licences d exploitation. Système de distribution électrique particulièrement applicable à l'éclairage électrique des trains. — MM. J.-P. Crouch et J. Etchells, de Manchester désirent entrer en rapport avec des industriels pour la vente ou l'exploitation sous licence de leurs brevets belges n08 221103, du 29 décembre 1909 et 221468 du 11 décembre 1909. Export & Import Trading Co S. A. 15, LONGUE RUE DE L'HOPITAL, A ANVERS STEIGER, 10b, A ROTTERDAM Exécute tous ordres sur marchandises hollandaises, règlement par crédit de Banque confirmé à Amsterdam ou Rotterdam. TURNHOUT BREE, MAASTRICHT, LIEGE et localités de la vallée de la Meuse jusqu'à Namur En charge le moteur " FRANÇOIS „ pour partir lundi prochain 31 courant. Pour conditions et frets s'adresser à CHARLES OPDEBEECK & Co, Service du Beurt, remise et prise à domicile 36, Grande Montagne aux Corneilles, ANVERS. ROTTERDAMSCHE LLOYD Prochains départs de ROTTERDAM vers les ports habituels des INDES NÉERLANDAISES S-S. " DELI le 26 Mai (s.i.) S-S. "MEDAN le 9 Juin (s.i.) 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Dit item is een uitgave in de reeks Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires behorende tot de categorie Financieel-economische pers. Uitgegeven in Anvers van 1858 tot 1979.

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