Moniteur des intérêts matériels

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01 januari 1914
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s.n. 1914, 01 Januari. Moniteur des intérêts matériels. Geraadpleegd op 27 juni 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/rf5k934m4v/
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1914. -- Supplément au n° 72 du Moniteur des Intérêts MaténeiS. Belgique. 120. Société Financière des Caoutchoucs (Société anonyme) Constituée le 8 juillet 1909,-par acte passé devant Me F.-A. GI1EYSENS, notaire à Anvers, publié aux annexes du Moniteur belge des 22-23 juillet 1909, sous le n° 4538; statuts modifiés par les décisions du Conseil d'administration des 30 juillet et 5 août 1909, publiées aux annexes du Moniteur belge, n° 5619 du 8 octobre 1909, par la décision de l'assemblée générale extraordinaire du 29 décembre 1911, publiée ïiux aYinëxeâ du Moniteur belge des 15-16 janvier 1912, sous le n° 354; et par décision du Conseil d'administration du 18 janvier 1912, publiée aux annexes du Moniteur belge du 19 janvier 1912, sous le n° 550. ANVERS Conseil d'ailininisti-atiol» t 'MM. Ed. BUNGE, président; W. FRILING, administrateur-délégué; N. ARNOLD, W. I3LAES3, Jules C. BUNGE, Edm. CHENEVIÈRE, W.-F. de BOIS-MACLAREN, M. du I-AGOTELLERIE, Aug. de LANTSHEERE, C.-J. des TEX-BONDT, Honorable Everard FI5ILD1NG, Alfred GRISAR, Emile GRISAR, Ch. POIRSON, Herbert WRIGHT. Collège des commissaires t MM. David PIEYRE de MANDIARGUES, F. REISS, Cl. SWOLFS. ïïïrecteiir» : MM. F. MA US H on H JA.UMON. c3.ix JLO Jtxxxl 1914 RAPPORT DES ADMINISTRATEURS A MM. les actionnaires de la Société Financière des Caoutchoucs, Messieurs, Conformément à l'article 36 des statuts, nous vous avons convoqués en assemblée générale ordinaire pour soumettre à votre approbation, le bilan et îe compte de profits et perles «le notre quatrième exercice social, qui a p is fin le 31 décembre 1913. CONSIDERATIONS GENERALES. Votre Conseil, après avoir examiné avec le plus grand soin le bilan qui vous est soumis et la situation que reflète ce bilan, est arrivé à la conclusion qu'il ne serait pas de bonne administration de vous proposer cette année la distribution d'un dividende. Les bénéfices nets réalisés en 1913 pourraient à la rigueur justifier celte proposition, mais votre Conseil doit tenir comp'.e de la dépréciation considérable de votre portefeuille-titres au 31 décembre, par suite de circonstances sur lesquelles nous revenons plus loin. II nous a donc paru plus sage de vous proposer de consacrer la majeure partie des bénéfices de l'exerciee écoulé à l'amortissement total de cette dépréciation. Si celle mesure est adoplée, l'eslimation des titres que vous possédez aura été ramenée à un niveau très bas et, à notre avis, inférieur à leur valeur intrinsèque. Pendant le cours de l'année 1913 une baisse importante des cours de la gomme (sh. 4-6 la livre anglaise en janvier contre sh. 2-3 en décembre) a jeté la perturbation dans les affaires de plantations de caoutchouc, aussi bien que sur le marché de ces valeurs; cette baisse, que nous avions prévue, mais moins rapide et moins violente, a désorienté complètement le marché. La plupart des sociétés de plantations ont tTi réduire leurs dividendes dans des proportions assez considérables, car la baisse brusque du caoutchouc n'a pu être compensée cette année par une augmentation équivalente de production qui, elle, ne peut être que gradueïe. Il est résulté de cet état de choses un effondrement des cours de Bourse, avec comme conséquence la dépréciation que nous vous signalons. A ces raisons de baisse plus ou moins justifiées sont venues s'ajouter certaines craintes exprimées au sujet de la surproduction possible, étant données les quantités de plus en plus importantes de caoutchouc mises sur le marché, et l'idée mise eu avant que de nombreuses plantations seraient sous peu amenées à cesser de récolter, leur prix de revient devant être supérieur aux prix de vente très bas obtenables. Sans vouloir insister sur la contradiction existant entre ces deux opinions et sans vouloir lire dans l'avenir, il nous semble qu'une surproduction immédiate n'est pas à craindre à l'heure actuelle; la baisse d'une matière première aussi indispensable que le caoutchouc devrait stimuler la consommation et lui permettre ainsi d'absorber facilement la production mondiale, évidemment croissante, mais dont la progression annuelie ne sera peut-être pas aussi importante qu'on le croit. Quant à la question de prix de revient, nous croyons pouvoir dire que la baisse des p-ix a eu comme résultat de stimuler l'esprit d'économie; nous avons pu constater, en effet, d'une façon presque générale, des réductions importantes dans le coût de la production du caoutchouc sur toutes les pfantalions dans lesquelles nous avons un intérêt. Ces meilleures conditions d'exploitation ne sont pourtant pas dues uniquement aux efforts heureux réalisés vers l'économie; elles proviennent également de la diminution pour ainsi dire automatique du prix de revient, par suite des plus fortes quantités récoltées d'année en année sur une même superficie planlée. Ce fait se conçoit aisément, puisqu'une catégorie importante de dépenses d'exploitation reste inchangée quelle que soit la quantité de latex récoltée sur une aire déterminée. C'est celte réduction presque mathématique du coût de la production qui assure l'avenir des plantations de caoutchouc sérieusement menées, et nous croyons pouvoir affirmer que toutes les sociétés dans lesquelles nous sommes intéressés pourront donner des résultats appréciables lorsque leur production atteindra un certain chiffre, même en supposant le cours de la matière première se maintenant à tout jamais à un niveau sensiblement inférieur aux cours actuels, pourtant déjà bien bas. OPERATIONS FINANCIERES. Nous avons souscrit les obligations émises par la Piassa Oeloe Rubber Company, limited, société constituée par nous en 1912, et nous avons pris ferme les obligations émises par la Yarak Rubber Company, limited, société dont les plantations, situées dans la presqu'île de Malacca, sont contrôlées par notre agence des Strails. Eu dehors des entreprises de plantations, nous avons effectué des placements à titre temporaire et pris des participations syndicales à réaliser dès que les conditions des marchés le permettront. Nous avons continué, comme l'an passé, nos placements de fonds à courte échéance, nos reports en Bourse et avances de fonds contre litres NOUVELLES SOCIETES. La Cultuur Maatschappij « Waringin >, société de notre groupe, a cédé une partie de ses terrains de réserve à la Culluur Maatschappij' « Madjau », à la création de laquelle elle avait procédé sous nos auspices. Bien que, pour le moment, il ne nous paraisse pas très opportun de nous intéresser à de nouvelles plantations, les conditions exceptionnelles dans

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Dit item is een uitgave in de reeks Moniteur des intérêts matériels behorende tot de categorie Financieel-economische pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1852 tot 1954.

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