Notre Belgique

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s.n. 1918, 26 Juli. Notre Belgique. Geraadpleegd op 15 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/m901z42m4q/
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Oku protège la Obi * foïgJ&i* Et ma Kûi} Q0 ÔTIDI £ N U Métal* éttr pù VBelgique br&îi mervètt g? pum qui maye m M'es! fît d'esse WâSim ! Tltaa T&* If <â®as Àfoidi3tii(i«m(Kï3ls Pïô«ssiÊ*ioi8 et Ai4ss»(^i8t#-«?ïos}> Â.i>$îiiï<8SssÉ$êïSts Militaires i OMISV ! * ! ! i Mot* 1.80 Irl S *oi» S fr! tt ®UF DF4! CONMOHES €%I-Âf$ Par Sswi&isîe i ... . 0.9S lr. J par 10 ttfcoaneniant j ( MM . . . . I met* 8.8® tr. * Mots * ?r. *?! KUB tOPIPlUNB», WM,A1S PST M«i* i * , - . . 1.0© fr. ; «ilastife BELGIQUE! O MÈRE CHÉRIE I Les lêtes uatloûd s ont ce bon effet qa'< Les ne us portent à éfléchir, à prendre cou .cience de nous-mê fs, à approfondir s n; ■> sentiments. j La guerre que noud faisons depuis j oaatre ans, avec ses âpr> .é3 et ses sacri-; liciiB, cest la Patrie q i nous l'impose ; i c'est par nos souffrance et, s'il le faut, par notre mort, la Patrie que nous servons.La Patrie t Autrefois, avant h rnoU d août 1914,1 nous devons l'avouer iious voulons être sincères, le mot « Patrie » n'avait pas en; nous de profondes réso nances. Très peu cocardiers, volontiers mjqueurs et dénigreurs, n'admirant que l itranger, nous r stions de glace aux Te Deum officiels, aux revues militaires. Les accents de la Brabançonne, le passage du drapeau, n'avaient rien qui nous^-lectrlsât, et c'était tans grande conviction et beaucoup par una sorte de respect humain que nous nous mettions debout, tê:e découverte. O i était bien chez nniià, nous nous en rendions compte jusqu'à un certain point. Mais cette béatitude, plutôt matérielle, fondco sur notre prospérité industrielle et le bon marché de la vie, n'était pas pour exalter nos enthoasia mes, ni pour attiser en nos âmes la flan .ne de l'idéal. Nous nourj disions en quelq o sorte : « Ubi ben , ibi patria ». Et en'1 re n'étions-nous cas ass z convaincus qu 11 ulle part l'existence ne s'épanouissait plus heureuse que chez nous. fia Patrie ! Avant la guerre, elle vivait en nous d'une vie pSle, peu distincte, qui la reléguait à Tanière-plan de nos préoccupations, et c'est ce qui permettait à certains de nos compatriotes en mal de déclarations paradoxales de la nier sans autre forme de procès. Or, la guerre survin La Belgique indignement assaillie, tio a dès le premier jour de» fils généreux, p êts à mourir pour elle. Le témoignage supiême, le témoignage du sang, des légions de héros le lui donnèrent, accomplissant leur devoir jusqu'à la mort pour l'arracher è l'étreinte des barbares. Ouvriers, employés, paysans, patrons, pauvres, riches, ignorants, savants, tous les Belges, au moment où l'Allemand viola la frontière nationale, sentirent en eux un déchirement douloureux, et un sentiment qu'ils ne se oonnais» saient pas, mêlé de colère, de stupeur, d'amour, les mit debout, pour la défense d'une Patrie qui se révélait à l'heure du s danger. j Les ennemis en se ruant sur la Belgique a se flattaient d'en finir avec elle, et, sans le r crier sur les toits, se berçaient de l'espoir Q d'une annexion facile, qui ne déplairait / .pas à leurs nouveaux sujets. O'1, à peine f Iont-ils consommé leur parjure et foulé a |notre sol, ils voient surgir, menaçante, ° une armée d'hommes libres qui ont juré de ^ leur résister. Ils apprennent que partout , 'en Wallonie et en Flandre, dans les villes c et les campagnes, un peuple indomptable s'arme pour la lutte à outrance, résolu, à s la manière antique, à préférer la mort à ■< la servitude. ^ Ils constatent qu'au lieu de tuer notre Patrie, ils l'ont en quelque sorte ressus- i citée, et qu'une Belgique inconnue surgit, J rebelle à toute annexion, « indécrottable » comme ils disent en leur beau langage. , C est cette Belgique, triomphante en < I -son martyre, que le dernier 21 juillet a ■ évoquée à nos yeux. Ce n'est plus le ' ! visage serein, légèrement indifférent, pres-qufi trop satisfait, de la Belgique d'antan. C'est une face amaigrie, pâle, j creusée, mais belle d'une beauté presque , Surnaturelle, et où les yeux brillent d'un , : feu contenu. A la voir, notre âme s'émeut fe,n ses profondeurs, notre cœur se serre, ■nos paupières se mouillent, et nous nous ' sentons pénétrés pour elle d'une ardeur ' passionnée qui ne s'exprime pas en des chants, des discours, des musiques, mais qui imprègne nos moëlles et nous fait aspirer fervemment au sacrifice, à l'absorption de nous-mêmes en la Patrie. • O Bàlg'quo, ô Mère chérie, « A toi nos coeurs, à toi nos foras I v A toi notre sang, ô Patrie ! » Ces paroles de notre hymne national, c'est maintenant seulement qu'elles deviennent une tragique,une sublime réalité. Et c'est poui quoi nos 21 juillets de guerre ont un pathétique que n'attf ignirent jamais avant août 1914 ni les somptueux Te Deum de Sainte-Gadule, ni les fastueuses revues militaires de la place Poelaert, un pathétique qui jaillit et de l'âme de tous les soldats, vivant rempart du pays, et de ces i milliers de tombes qui de Liège à la mer I gravent en caractères ineflaçables le mot ? «Patrie » sur le sol ancestral. LELOU Notations menues Le long d* 1» route Nominations. — Pah-j* san* êlr* | accusé de tant'gên* user d* ïhospitalité • amical« d* « Notre Bilgiqu* » pour saluer deux de me* meilleur* camarade*, promu* aumônier* f O/i mi pat donnera et l'on dira que *i taff.clion e*t parfoi* txcettiv*, elle mérite quand-même certaine liberté. Pierre DUBOIS, fantauin depui* 14, Marc TH1RY, à Vartillerie de campagne dtpuit je ne tait combien de tempt, viennent tout le*, dtux trèt jatte-ment d'obtenir le droit d'ajouter une commimon d officier à leur qualité ecclé-tiattique. Ilt furent ma bon* et fi lèies compagnon*, et il m'importe dénoncer ma très grande tatinfastion en prétence de leur nouvelle dignité, qu'appelaient leur belle âme et le» dont élevé* de leur cœur. Mon cher Pierre, qu'aiment tant le* vaillant* ehatteurs, mon cher Marc, dont l'tfpjtt aciri uigvuilohlWtit parfoi* mt* enihotuiatma, vous av^z enté d'être l l'anonyme soldat. ÎMdtt vou* vaut rappt-llert* le* h ures çdure* et malgré tout bellt* du jour* ■ patièt, vout revsrrtz cet tecUur* d'eau et de boue où noui tûme* ensemble, vou* revivrez avec émotion l'existence modeste du rang. J ai apprit à connaître la hauteur morale de vo* caractère*, et l'élévation de voira pensée, et le choix qui viint de se fixer sur vous n'est qu'une conté' cration normale du mérite. Je le di* parce que c'e*t vrai, et l'ami qui signe ce* ligne* eii heureux de pouvoir publiquement vous adrttser tes affectueuse* félicitations. Décorations. — L Officiel publie une liste de distinction* honorifiques accordée* par le Gouvernement Britannique pour « services particulier* rendus à la caute commune » à plusieurs de no* fonctionnaire t. Un grand cordon est attribué à Monsieur Rer.kin, des commanderiez -sont octroyées à des secrétaires généraux, : constils juridique*, député*, ingénieurs, I etc. Un docteur reçoit la Mtlitary Cross. UN ENNEMI EMBARRASSÉ La lecture des communiqués allemands est . particulièrement suggestive à l'heure présen- ' te. Celui qui lirait les relations officielles de Berlin s'imaginerait difficilement que nous sommes en période d'offensive déclenchée par Ludendorff. L'état major ennemi se contente de noter que les vaillantes troupes boches résistent vigoureusement à nos attaques, qu'elles brisent notre élan, qu'elles nous infligent de grandes pertes. A moins que les populations d'Outre-Rhin ne soient composées d'imbéciles (et ce n'est tout de même pas le eau) elles ne peuvent pas ne pas constater que depuis 15 jours, il y a du changement dans la situation militaire, et que l'ère des grands suceèi est, provisoirement du moins, close. Voulez vous vous rendre compte de l'impression que la victoire de fi'och a produite en Allemagne ? Lisez cet extrait du « Vortvaerts» qui nous est arrivé hier via Berne : < Il n'y a aucun doute que l'Entente cherche par de nouveaux coups très énergiques à . nous arracher l'initiative, peut-être^ même sur d'autres fronts. » Dès maintenant, le but essentiel de Foch ; n'était pas tant de gagner du terrain que de déranger l'ensemble des plans allemands. » La nature, la rapidité des mesures que , nous avons à prendre dérivent de là. » Nous devons avant tout ne pas nous lais- j ser enlever l'initiative ; sacrifier les principes, garder notre sang-froid et ne pas perdre \ de vue l'objectif militaire. Une foi* reconnu, j si tout ne nous trompe pas, la phase décisive j de la guerre universelle commence. » Les deux adversaires r;cherchent !a décision par tous les moyens. » Les victoires passées dans l'offensive et la défensive permettent au peuple allemand de concevoir de nouvelles espérances. » Par contre, les journées Lt les semaine-qui s'écoulent en ce moment sur le front occi dental rappelleront à la prudence ceux qui se représentaient la campagne d'été 1918 comme une promenade militaire grandiose au bout de laquelle ils entrevoyaient l'écra sement total de l'adversaire. » Nos communiqués nous annoncent jour après jour de nouveaux progrès de nos troupes. Elles exercent sur l'ennemi une poutsée continue, lui imposent leur maîtrise, attirent peu à peu ses réserves. « La situation, écrit le « Daily Express » devient périlleuse. D'après les rapports des aviateurs, une confusion générale règne dans les lignes de l'arrière. Les communications font défaut aux Allemands pour assurer leur retraite. La prise de la route de Soissons à Château-Thierry les empêche de se retirer en bon ordre, et si Fère-cn-Tardenois venait à tomber entre nos mains, on pourrait s'attendre à un véritable désastre. » j Cette débâcle te produita-t-elle ? Nous ne le savons, mais ce qui est patent, c'est que, ' à l'heure présente, nous manœuvrons l'ennemi et, ma foi, c'est un résultat qui n'est pas i à dédaigner. Ludendo'ff doit faire depuis I quelques jours d'amères réflexions. J. Morande. j BONNES LECTURES 80 liste bibliographique Romans Delly 1915 La Fin d'une Walkyrie Flammailon, 26, rue Racine, Paris Pour la première fols, Deily accomode son talent aux drames da la guerre qui lui donnant un charme plus pathétique et plus grand. Bonis est séparé de sa jeune et douce Ano-nlta par la mobilisation russe. Prisonnier et blessé, il est soigné dans un château, où le htfiard lui fait retrouver « la Walkyrie » sirène perfide qui avait failli le séduire autrefois et qui lui gardait toute sa passion, envenimée de sa haine de race. Voyant le jeune homme restor fidèle à son épouse, la Walkyrie ourdit de sombres projets mais ses plans échouent. Borrls s'évade d'Allemagne et totrouve s» chère Anonlta. Lu ;!en Qrawx Fr. 4 00 Le Mouton Rouge Contas de la Guerre In 18, Paria 1918, Elit. Française Illustrée Dans l'abîadsmta production des livres de 0.0mbatlints, celui-cl restera comme i'un des mieux vas et des mieux rfsssntls. Sous l'«p pareace de dramatiques ou plaisautes fictions, c'est là, homogène et pat fait, un ensemble des réalités de guerre dont is peintura puU-i sants et riche montra avec un égîl souci dr l'art et de la vérité, tontes les vertus da no> ! admirables soldats. Ces coûtes sont dos scè ; nés vûcuefl par l'suteur : c'r.st l'œuvre d'ui' témoin, d un acteur de l'Epopée ; nos soldaU suront le plaisir d'y retrouver leur via avec I tes détails tragiques et pxrfois amusants. |Nûus le recommandons sans réserve. * i * ♦ Charles de Saint-Cyr et Béaîrix. Jojo et ton Amie, Sténodactylo graphes Renaissance du Livre, 71, Boul. St-Michai, Pa is — 1918 Histoire de deux amies, Jojo et Ginette, celle ci tête de linotte, ceiL-là, la fée sagesse. Toutes deux employées parisiennes, sont exposées aux séductions de ia grande ville : Jojo, vaillante et laborieuse, échappe aux dangers, vaille sur Qinctte et la détourne des aventures où son imprudence l'avait fourvoyée. Une idylle s'ébauche entre Jojo et un jaune artiste. La guerre éclata ; lo j^une homme, devenu officier, est blessé, revient à Paris pour épouser Jojo, tandis que Ginette devient la femme de son patron. Livre tiès enlevé, très laate ; q>!âiqiies scèaes trop libres : R R. Guerre Henri Bordeaux La Jeunesse Nouvelle Pion-Nour/lt, 8, rue Garanclère, Paris 6e Avec son talent coutumler et son amour de la Patrie, H ,-nri Bordesux, ea évoquant les souvenirs de trois bravos : Lt. C. ViolaLd, Lt R. Decluy et Cne F. Belmont, rappelle ce qu'est la jeunesse d'aujouid'hui, celle née aux environs de 1890 : de jeunes hommes, parfois des adoleîcants « que des croyances plus ardentes et plus simples semblaient prédisposer à ce don de soi exigé par l'œuvre I collective de ia gaerro. » Des hommes qui ' savent ce que sont les responsabilités et qui ! veulent les prendre, qui se sentent des âmes Ide chefs ei qui le deviennent, des exemples, des entraîneurs d'hommes, des caractères. > Bordeaux fait ressortir ce que fit en eux la I fol qu'Us avalent. Livre sar la guerre, écrit par ceux qui la firent, présente par celui qui la Lit encore, j j n'en connal* guère qui soit plus su?ceptib:e da former une msataliia et des caractères par les exemples piopesé?. * * * Mrna H. Côltu-ïo Fr. 3 50 En Esclavage Journal de deux déportées Bloud, 1918, 3, rue Gararclère, P^iis, 6d Voilà un livre tout nouveau, fait avec ia reiitlon personnelle de deux jeunes filles déportées?. Las témoig rges qu il renferma sur ia brutalité germanique sont des plus accablants. Certains laits edieux, certains détails poignants qui n'ont jusqu'ici été connus que trop vaguement, y sont exposés avec un caractère d'indéniable exactitudo. Pas de littérature dans cet ouvrage. Mme Célarlé a su être dramatique sans artifice. Un dossier complet de tous les documents concernant les déportations termine cet ouvrage.'* Lucien Graux Fr. 6.00 Les Fausses Nouvelles de la Grande Guerre Paris 1917, Eiition Française Illustrée, 2 volumes In 16 L'intention de cet ouvrage est originale et neuve : recueillir tout ce qui se disait dans tes ministères, au Parlement, au Sénat, dans les saiies du rédaction, dans les rues, partout enfla où le nouvelliste faisait son métier de semeur de potins. L'auteur a eu la patience, 1 Ingéniosité de les recueillir jour par jour, pour la plus grande joie des historiens da l'avenir et celle de nos contemporains. Etou-nar.t bouquet d'anecdotes, amusant comme un roman, c'est la plus séduisante chronique qui aura été brodée de main de maître su; te canevas du drains gigantesque. * * # I G Mbugiiler Fr. 2.50 Aux Paysans du Front Piéface de F. Veuillot B'oud, 1918, 3, rue Garanciére, Paris 6e L'auteur s'adresse aux paysans du Lont ; vivant de leur vie, il savait leurs fatigues, leur courage, leurs angoisses, leurs besoins. II a voulu les aider à tenir. Pour cela, il leur j>arle d'abord du « chez nous « pendant ia guerre. Ensuite, la vie au front, envisagée à travers le prisma de leurs souvenir* 6t de leurs rêves de terriens ; en comparant «u passé et à l'avenir le dur présent, ils le trouvent, dans leur grande âme, plus facilement supportable. Eiifin, de quoi sera fait demain ? L'auteur étudie la renaissance de la Franco agricole, signale des lacunes, propose des réformes. Ce volume distraire, encouragera nos paysans aussi bien que leurs frères français ; 11 les préparera pour l'avenir. Bien d'autres aussi liront cet ouvrage avec plaisir et profit. N. B. — Adresser les correspondances à M. Rousseau, adjudant, Villa St-Joseph, La Panne. UN BRAVE est nommé Chevalier de l'Ordre de Ldopold II Croupette Désiré-Emile, soldai milicien da 1914 du Xe régiment de ligne. Excellent soldat patrouilleur, 41 mois de présence au front. Déjà cité à 10. J. R. le 20 septembre 1917 pour avoir ramené dans nos lignes 2 caporaux blessés au cours d'une patrouille. Est décoré de la Croix de Guerre et de la Décoration militaire de 2e classe. S'est signale lors du combat du 17 avril 1917 dans ie secteur de Steenstraete. S'est distingué à nouveau dans la nuit du 5 au 6 juiu 1918 dans la te secteur de Pervyse. Faisant partie d'une patrouille U a aidé à repousser l'attaque d'une patrouille de beaucoup supérieure en nombre et secondée par le tir convergent de mitrailleuses et un barrage d'artillerie. A été blessé grièvement par un éclat d'obus au cours de cette action. Nous sommes heureux de rendre hommage à ce brave qui, évadé de Belgique, vint au f.-ont, après quinze jours d'instruction au C. I. no 6. Il acquit bientôt l'estime de ses camaradts et de ses chefs par son audace et son ssng-froid dans le danger, dont il eut l'occasion de faire preuve particulièrement à l'attaqua de la tête de pont de Dixmude (avril 1915), et dans las circonstance» rappelée» dans la m*- 3* Mmmê* ~ U* 516 .Vendredi 26 Juillet m8

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Dit item is een uitgave in de reeks Notre Belgique behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Calais van 1916 tot 1918.

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