Notre Belgique

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02 augustus 1918
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s.n. 1918, 02 Augustus. Notre Belgique. Geraadpleegd op 26 juni 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/1c1td9nn8f/
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NOTRE BELGIQUE Ùieu protège i» tibr* Beliftm ■ ^ Li Hoa*/* étir ^ IBeîgiqut brait mtrvitt Et $ou Roi ! %} u c) i 1 l5 i $t> N gi pat» qui mayr, ôn M'est fir d't&u Wûiten 1 • i*a«t 'iîti _ 'ïteta S/s 1 ™ • -A • • - - '. 1 - - 1 ■--'. -J-1 - - -J 1 - ■ ■. ;■ .. . '■ ■ ■» ■ . " '■■■■■,■ y^- ■ ..., . . ..i,,. - «., ■ , ■■ y. m T*ri| do As.ona.mMU .. ' ÀbMUMMiiit* MUihtiro* ; Militaires ..... I fcfiala I .EO fr. S SwaU 4 lr, « » _ , , "■""/'sli : : : : !kki3s£ ïkirîs ». mm m communes. cmjus £;*t! . : : : ?;£*: ' ' lui""""" — ! n ] |—n—nlM—iti ÉÉimiiTMTwmnrrmwTiMBMMrsMMMrrisraiirwnnirritu n 111■ —„„■„—M,., rriTMBMiiEjMBiMMMMMMM>mLUJuiu!ûZ r 2 AOUT 1914 Il y a quatre ans. Sire, la bonne ville d( Namur devait célébrer à pareille date votr< « Joyeuse Entrée ». J'eus l'honneur d êtr< prié d'écrire à cette occasion les parolei d'une cantate., Ainsi la grâce des édilei de la cité des Molons devait muer dam l'esprit des bonnes gens, mes concitoyens le faiseur de. vers échevelé et cheveli jusque là plus que discuté que j'étais, ei «poète officiel ». Regarde, petit, voici le Monsieur qu fait des vers pour le Roi. Ali ! tous me; élans, toutes mes tendresses, tous me poèmes d'amoureux dits avec ferveur ; notre Meuse, fille et fée des collines bleue serties des pierres d'argent, de rose e d'améthyste, que comptlez-vous désormai auprès de ces vers là ? — C'est le Monsù u qal fait des vers pour le Roi — une can tate ! une cantate, moi ? Brumagne ei composera la musique. Brumagne, le second prix de Rome d 1914, Brumagne qui a écrit la Rapsodi wallonne, cette page colorée et chantant si pleine du parfum de chez nous, où rc vient sans cesse et s'anime le motif de 1 vieille et pittoresque chanson : F lie a cassé s' sabot, elle a che'iu su s' dos Ah t canaille ! Ah ! canaille ! Elle a cassé t' sabot, elle a cheïu su s' dos Ah t canaille, vo tn'el patros. Ah ! cela change. Ah ! Brumagne e écrira la musique? Une cantate. Et pour quoi pas, après tout. Pourquoi ne pas ter ter ce tour de force, ce poème... officiel ? Pourquoi ne pas dire è cette Famill Royal'? que la cité joyeuse et loyale vev fêter, en guise de chanson de circonstanc ce qu'est et ce que fut la bonne ville pavo sée et fleurie où son cortège s'avance ? Pourquoi nè pas unir à cet élan d'amoii d'un peuple pour ses princes, celui de m ferveur pour ma ville blen-aimée. Et je laissai parler mon âme. Je dis 1 beauté de la vallée ondulcuse s enfonçai bleue, mauve et violette dans les lointains la chanson de l'eau verte coupée de «Va t'y frotte », l'île, pareille à un paquebot boi dé d'algues et couvert de jeunes arbres la chanson de l'eau qui tombe éeumant du barrage d'argent, très claire à côté de arbres sombres du parc séculaire de L Plante. lia Meuse s'avance vers la ville. Le por de Jambes de ses lourdes jambes arquée de pierre grise la traverse en six enjair bées, en six enjambées enfantines et vie! lottes à la fols. L'eau tourbillonne rt vibr sonore au pied des arches. Un toueu empanaché de fumée fend en deux aile les eaux. Devant le fleuve sillonné de barquet image de la vie, harmonieuse et belle voici la maison de 1 hospice, de brique rouges, ornée de toits pointus d ardoise bleues, troués de lucarnes étagées et flan qués d'un clocheton gracieux et bref. Sou les arbres de la cour Intérieure, derrièr la grille noire qui les sépare de la vie, le vieux catis, ces demi-morts, vont à pa menus, fumant leur pipe, de noir vêtus, u mouchoir blanc au cou. Et puis voici .la Sambre aux eaux plu noires qui se fondent dans l'eau verte d Meuse, après avoir longtemps tenté de s dérober à son étreinte. Voici l'eau verte e l'eau noire qui s'unissent comme deux flot de bronze. Voici la Sambre sans autr horizon que les bastions blancs de la cita delle couverts de verdure, l'écluse, la bai rage moins neigeux que celui de Meuse dans le décor crasseusement superbe de maisons anciennes à balcons de bois suc pendus. Balcons polychrômes, corbeaux énorme de pierre bleue, musée de briques rouge à porte basse et ronde, fenêtres bardée de fer, et toit immense à vaste corniche porte de * Sambre et Meuse » aux statue s symboliques, vieilles pierres, vieux souve-s nirs, j'avais dans ma « cantate » chanté s votre si prenante et si personnelle beauté, i Et j avais célébré toute ta poésie, ma i citadelle de pierre diversement colorée s suivant les âges, suivant les heures, sui-, vant la fantaisie brillante du soleil, ma i vieille citadelle aux murs aigus couronnés x de mousses, de lierres, de vignes folles, j sertis au printemps de touffes rouges et j'jaunes de giroflées. 5 ! César, Joyeuse, les tours du Château des 3 j Comtes que surmontent comme des cha-J peaux chinois les toits d'ardoises bleues j lavées par la pluie et par la lumière. t Les vieilles tours entourées de buissons 9 ventrus entre lesquels sont postés ainsi r que des crapauds trapus les obuslers des • temps passés ; les vieilles tours encerclées j de sentiers odorants peuplés de bancs de bois horriblement peints en vert. b Combien vous êtes jolie, Namur, vue » des chemins en fleurs de la citadelle, com- e bien vous êtes jolie avec vos hauts toits - couleur gorge de pigeon montant enchs-a vêtrés à l'assaut du clocher à bulbes de Saint Jean. Saint-Jean... Yà l'tiesse qui bat V berloque On a l' coeur tôt trônant Quand on èteind l' gross' cloque Do vi clochi d' Sint-Jean. a , Saint-Jean dont les bulbes mosans se - ] découpaient pittoresques sur le ciel au-i- dessus des maisons à façades de pierre ciselée de la place d'Armes. Ah I oui, vous, a | les façades de la fin du XVIIe siècle gros-it sièrement bariolées par les braves gens de e boutiquiers mes contemporains, couvertes [- de panneaux de réclame multiformes, ulcères étalés sur vos figures adorables, vous r les maisons que j'ai tant défendues, que a j'ai défendues comme on défend les siens contre des parents aveugles qui les aiment mal ou qui ne les comprenant pas les font t souffrir, vous les chères maisons, âme de ma ville et morceau de mon âme à moi, ' monceaux de cendres aujourd'hui, je vous avais chantées aussi. j J avais dit la tragique grandeur de vos e sœurs, les mesures de la ruelle des Tan-8 neurs, flanquées d'énormes corbeaux cise-a lés, trouées de fenêtres étroites à grilles de fer, meneaux de pierre bleue, la tragique ,t et navrante beauté de l'eau glauque qui se s traîne à découvert entre les maisons tristes et les dalles désertes, dans la solitude [. anxieuse sous les ponceaux branlants de e bois vermoulu. r J'avais évoqué aussi le souvenir de vos s gardiennes vigilantes d'autrefois, les portes massives et superbes, disparues au ^ gré, au mauvais gré, dus bons bourgeois, () f sottement bourgeois de chez nous. 8] J'avais chanté tout coia, tout cela et s fervemment encore d autres choses pieuses . que devait épouser une musique faite de s vieux airs patoisants et pleine du chant de e j nos cloches, de la Bancloke du Beffroi, les s bourdons de Saint-Jean, le carillon de s ' Saint-Aubain. ,i ! Et le 2 août 1914 tandis que ma ville [ célébrerait sa Reine, ses princes et son s] Roi, j'espérais célébrer ma ville. Éj Le 2 août 1914 dos feux de joiedevaient e | s'allumer de tous côtés dans Namur la t' Belle et la Joyeuse. s Une rumeur d'allégresse devait l'emplir. e Le 2 août 1914 j étais à Cheratte fusil » au poing et sac au dos. Au lieu du cortège Royal, j'ai vu ce jour-là venaut des villages frontières s'ap-3 procher, puis passer, puis s'écouler dou-. loureuse la lamentable procession de* pauvres gens fuyant devant l'ennemi, s ./'ai vu les troupeaux de bêtes poussées s à coups de triques vers un asile que l'on s croyait sûr. i, Au lieu des feux de joie, j'ai vu sur les s collines mosanes s'allumer des incendies. - LES ATOUTS DE L'ENTENTE La résistance allemande s'affirme dans la loche du Tardenois. Ludendorff, effrayé par e 'avance française de ces derniers jours, veut t 'enrayer à tout prix. Norre dernier commu-liqué fait allusion aux réactions de l'ennemi \t aux contre attaques qu'il ne cesse de déhancher. Ste-F.uphraise, qu'il visait particu-lèrement lui a échappé. « Les Allemands, nous dit une dépêche Havas. semblent être arrivés maintenant sur a ligne de résistance qu'ils se sont fixée. Les roupes alliées trouvent en face d'elles des rorces nombreuses, sans cesse accrues et qui ivrent des combats acharnés comme celui i'hier à Sergy, qui fat particulièrement dur ■t important car il s'agissait là d'une véritable contre-offensive. Nous sommes entrés dans la période des •.outre-attaques ennemies d'un caractère fort iiffèrent de celles qui avaient pour but de tauver la retraite. Il s'agit maintenant pour '.es Allemands de gagner le temps nécessaire j l'aménagement de leur position de repli. Aussi leur offensive est-elle mieux nourrie ie troupes de bonne qualité, qui étaient au frais dans des secteurs ombreux et calmes et jui ont dû interrompre leur villégiature pour se porter au secours de von Bar h m et de von Mudra, en détresse. , Il faut s'attendre à ce que la résistance , s'intensifie à mesure que nos troupes se rap- ' procheront de la position principale encore J inconnue, et peut-être même indéterminée, où ! Ludendorff croira pouvoir s'arrêter. » Ne nous inquiétons pas de cette réaction illemande, quelque puissante qu'elle soit, Ule ne prouve qu'une chose : c'est que l'état-najor allemand continue de se laisser ma-iceuvrer, qu'il suit le mouvement amorcé >ar nos armées et qu'il porte la guerre là où ious l'avons attiré. Car, ne l'oublions pas, es n'est pas avec ■ien que Ludendorff peut s'opposer à notre narche en avant. Les troupes du prince Ru irecht de Bavièrs sont mises fortement à '.ontribution par le kronprinz impérial. Le commandement boche accumule dans la poche lu TirdenoU divisions sur divisions. Plus de J5 ont déjà été identifiées par les nôtr es, iivisions squeletliques, épuisées, expédiées lare-dare pour boucher les trous et s'opposer •>ar tous les moyens à nos progrès. Qui peut louter de l'affaiblisssement rapide d'une irmée soumise à un pareil régime ? Ce n'est }lus pour Ludendorff la bataille préparée tolgneusement pendant des mois et des mois, léclenchée au moment voulu ; c'est une tenta-ive précipitée pour rétablir, par des moyens le fortune une situation compromise. Certes, tes efforts ne seront pas vains. Il pourra tous reprendre du terrain, remporter de* avantages. Mais, tandis que ses armées perdent par ie multiples blessure* un sang qu'elles ne oeuventplus remplacer, nous recevons cha que jour l'afflux de milliers d'Américains qui compensent largement nos pertes et nous gardent en forme pour la victoire. J. Morand*. C'étaient les baraquements de nos forts que l'on brûlait. Ce soir-là, le 2 août 1914, ayant gravi la côte arrière de Bellaire, sou>j la pluie fine et désolante, au lieu des cris de joie d'un peuple bien-aimé, j'ai frémi d'entendre, d'entendre au point d» 1 entendre encore aujourd hui, l'interminable lamentation des bêtes accumulées par milliers dans la plaine de Bressoux. François BOVESSS 2 août 1918 L*âme des soldats Nous l'avon* telUmsnt et ti touva/it exaltée dans « Notre Biïqlqut », l'amie du soldat belge, qui nous ns pouvons en reparler sant nous répéter. Nous avons montré en toute occasion, et avtc quelle fois convaincuà et fibre, tout es qu'il y a chiZ not ftère* des tranchées de vaillance et dt patimee, de dilicatene »t de çéné-roiité. Jl arrive qu'il* ne payent pas de mina. Gnrdoni'nous de jugtr d'etprèd les apparences et de leur ptiter une rudesse, une brutalité qui ne sont pas en eux. Qu* de fois ti avons-nous pas tu le bonhtur, personnellement, da découvrir sous une êcorce asstz rugususa une élévation, une finesse de sentiments qui nous ravissaient ! Nous sommes de par notre situation, en rapports quotidiens, écrits ou oraux, avec nombre de no* gât, ei nous pouvons en toute connaissance de cause, sans présomption et sans flatterie, rendre hommage à l'âme du soldat belge. Or, cette dm», les chefs la eompren-nenUils asssz ? O/it'ils pénétré sa richesse spiritutlle ? S* sont-ils asstz penchés vers elle, l'ont-ils étudiée avec assm d'attention, avec cette sympathie compréhen-slv* qui s'idenhfl* à un être pour mieux approfondir s#* aspirations, ses affection*, soti int 'miié ? Certes, beaucoup, je n'en douta pas, pourront répondre affirmativement et due: « nous avons fait, nous taisons chaque jour tout et qui est en nous pour le bien du soldat ». » Le svjtt que nous traitons est tris délicat, et nous sentons notre plume nous biûlsr tes doigte au moment ori nous écrivons. Nous ne voulons ni nuire à la discipline dont l'intérêt prime tout, ni froisser dis personnalités respectables. Pouvons-nous espérer que e*ux qui sont visés dans ces lignes n'y verront qu'un immense désir de bien faire et de collaborer à cette bonne entente des cktfs ni des soldats qui seul* est d mêmi d* fairt des régiments une fa/niUs où l'on ssi heureux dans l'amour et U dévoûmtnt réciproques, LËL0U Une manifestation franco-belge Mgr Debout, présidant du Comité des Conférences Franco-B Iges, a ou l'excellente <dée d'organUer dlmancha dernier, do&s la1" Sille p rolssiaie des Baraques, aimablement prê.ée par M. ie curé Garrebouts, une m*ni-feit&tinn fraccc-belga qal fat, en qaelqaa sorte 1 4cho officieux des cérémonies officielles des 14 et 21 juillet. Oa se lança des flaurs de pays à pays, et cela est toojjurs bon parce que parfois, réfugiés et autochtones, malgré la sympathie foncière q<sl les unit, on arrivant, dans l'éner-vement de l'attente, à na plus voir que les épines de la situation. M. l'aumônier Anclon tint d'sbord à nous prouver qu'il n'excelle pas seulement dans l'éloquence sacrée. Derrière le tapis vert, il évoqua avec émotion 1* grandeur du rôle que s'est taillé la Ba'glque dans l histoire par sa résistance do 1914. Mds il ne se borna pas à rappeler les fastes connus do Liège, do Hsie-len et de 1 Yser. Il inûsta très opportunément sur le^ f#stes obscurs et quotidiens du Irout beige « stabilise » mais pas immobile, oh non l A ce sujet il réfuta avec indigaation le* Insinuations d'une certaine presse vendue à l'eoneml. Par la parole, 11 célébra ce que « Notri» Belgique» impiima tous les jours: les multiples actions d'éciat des patrouilleurs, la ténacité du travail de « grignotage » de notre artillerie, l'activité de notre aviation et les noms qui devraient être plus connus de Thleffry et de Coppens, par exemple. Après cala, est il besoin d'insister sur les actions récentes de Merckem et de Langâ-marck ? Voilà ce que le conférencier mit à notre actif. Mais il eut r»ison de mettre à l'actif de la France tous ces trésors de civilisation dont nous avons été participants an cours des siècles, ce qui nous permet aujourd'hui d'être si différents de nos lourds et matérialistes voisins de l'ouest, à qui nous avons démontié qu'ils s'étaient bien trompes en nous croyant, sur la fol de leur succès commercial, semblables à eux d'aspirations et de goût3 I Ii eut raison aussi, le conférencier, d'insister sur la Lçon splendido dont s'eit manifestée, dajs les circonstances présentes et à notre égard, cette vertu de tous les aièc'es de la France chrétienne et charitable : la « miséricorde », l'infinie pitié du cœur, le grand geste d'amour des bras ouverts I Oui, la France nous a ouvert tout grands ses bras et nous a réchauffas sur son cœur. Cette conférence vibrante fut suivie d'une causerie charmante sur « l'Architecture en Belgique », par M. Henri Fafin, critique d'ait. Causerie ? Oal, vraiment et même, tant elle fat vivante, dialogue entre le critique et le public, à l'occasion des nombreuses vues de monuments de ch. z nous qui furent projetées sur l'écran. M. Fafin est un esprit enthousiaste, combattit : il exprime violemment ses convictions et l'on est parfois plus séduit de la façon dont il les dit quo de leur valeur propre : par exemple, l'équivalence de notre architecture lOiigieuse et de notre architecture civile. Hélas non I et nous avons été infestés, plus iôt que la France, du laïque esprit communal ! Par exemple encore, la nocivité, pour no» tempéraments septentrionaux, de l'imprégnation antique par le courant de la Renaissance. Mais non, mais non : Rubena et Van Dyck protestent contre cette allégation. Au surplus, le goût du paradoxe est un charme qui s'ajoute à la parole ailée de M. Fafin. Mentionnons pour tinir que les projections furent superbes et que plus d'une fois nos cœurs tressaillirent à des images désormais tragiquement illustres : Notre-Dame de Dînant, les halles de Louvain, les halles d'Y-pres... Le fait des barbares a rendu ces merveille* de simples «souvenirs plastiques». En résumé, brillante reprise des conférences Franco-Belges. Il parait qu'elles na vont pas s'arrêter en si bon chemin : c'est la grâce que je souhaite à tous les environs de Calais... et d'ailleurs. R. V. LA SITUATION l'embarras Allemand Sftlf# les Bulgares et iss Turcs Depuis quelques mois, entre les fllèûs alliés du kaiser, Bulgares et Turcs, les désaccords s'exaspèrent ; de Constantinopie et de Bofia, on a réclamé à Beriin, où personne V:-\& Année — No Sl% Le Numéro 5 ctmes Vendredi t Août iti* - . - — i ....

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Dit item is een uitgave in de reeks Notre Belgique behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Calais van 1916 tot 1918.

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