Anvers-bourse: journal financier paraissant tous les jours de bourse officielle

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s.n. 1914, 07 Juli. Anvers-bourse: journal financier paraissant tous les jours de bourse officielle. Geraadpleegd op 03 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/fx73t9f86n/
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Mardi 7 juillet 1914 No 155 Vingt-sixième année ABONNEMENTS: un an un seme. un trime. / francs francs francs ANîVf.jJS* • . 15.00 8.00 4.50 INTÉRIEUR . 18.00 9.50 5.25 EXTÉRIEUR . 30.00 15.50 8.00 On «'abonne à Anvers au bureau du journal et dans tous les bureaux de poste de Belgique et de l'étranger. — Les abonnements partent le 1" de chaque mois et ne peuvent dépasser le 31 décembre. BUREAUX : Marché-aux-Œufs, 9' - ANVERS Téléphone: 2388 ANVERS-BOURSE INSERTIONS : La grande ligne: Annonces ordinaires .... 60 Demandes et offres d'emplois . 40 „ Convocations d'assemblées : une insertion . . la ligne 75 „ deuxième insertion „ 25 „ Annonces financières . „ 1 frar Pour une série d'annonces et pour lei annonces d'émission, on traite à forfait. 0^"* Les annonces sont mesurées ai lignomètre. — Les titres se payent d'aprè: l'espace qu'ils occupent. L'administration et la rédaction déclinen Finances, industrie, commerce, économie politique, variétés JOURNAL QUOTIDIEN DU SOIR Toute communication relative à l'administration ou à la rédaction doit être adressée à M. J. BACOT, directeur-rédacteur en chef du journal Le numéro : 5 centimes Abonnements de villégiature Aux personnes qui ont l'habitude d'acheter le journal au numéro et qui s'en vont en villégiature dans l'intérieur du pays, nous offrons de servir des abonnements mensuels. LE PRIX DECES ABONNEMENTS EST: Quinze jours. . 1 fr. 25 Un mois. ... 2 „ Deux mois. . . 3 „ 75 Trois mois . . 5 „ — Pour ces abonnements, s'adresser à l'administration du journal, Marché-aux-Œufs 9', Anvers. En écrivant, ajouter le montant de l'abonnement en mandat ou timbres-poste. Il ne sera pas donné suite aux demandes non accompagnées du prix de l'abonnement. Seuls les abonnements d'au moins trois mois qui s'arrêtent à un trimestre normal de l'année doivent être pris à l'administration de la poste. ***■ Les abonnés de l'intérieur du pays qui changent de résidence sont priés de faire connaître leur changement au bureau postal de la localité qu'ils quittent, et non pas à l'administration du journal. ACTUALITÉS BUREAUCRATIE AUTRICHIENNE (II) Au parlement autrichien, le gouvernement, qui se compose surtout de fonctionnaires, — achète fréquemment l'appui des leaders politiques en distribuant des emplois de l'Etat à leurs protégés déjà en fonctions. C'est un échange de services. A l'occasion, les votes d'un parti tout entier peuvent être acquis par la nomination d'un de ses membres les plus influents à un sous-secrétariat permanent dans un département ministériel. Une fois nommé, il est en position de faire nommer d'autres bureaucrates de sa race ou de son parti.-Chaque position ainsi conquise forme une part du patrimoine politique de la race ou du parti qui se l'est assurée et qui la défend avec vigueur contre la concurrence. Depuis quarante ans et plus, ces nominations se sont multipliées à l'excès aux dépens du contribuable et pour la plus grande complication des affaires publiques.Joseph II, qui essaya bravement de simplifier et de réformer la bureaucratie autrichienne, écrivait dans son mémorandum de 1765 sur l'état de la Monarchie : Il arrive que personne ne travaille, et qu'entre cent raines de papier qui se consomment bien en huit jours dans les dicastè res de Vienne, il n'y a pas quatre feuillets d'esprit, ou fie choses nouvelles, ou de propres idées. ï.e préambule, une longue récapitulation et deux mots d'opinion composent nos référais, qui se réduisent toujours à peu près au même. Il serait inexact et injuste de dire aujourd'hui que personne ne travaille ; il serait aisé de prouver qu'entre cent rames de papier consommées dans les ministères viennois, quatre-vingt-dix sont gaspillées en superfluités. La bureaucratie existe dans le inonde entier, mais les entraves qu'elle apporte à toute liberté de mouvement dans la monarchie des Habsbourg devraient être un avertissement pour les pays qui se proposent à la légère d'ajouter de nouvelles roues à la machine bureaucratique.Dernièrement, il la tribune du lleichs-rath, le professeur Joseph lledlich don nait un saisissant exemple de chinoiserie bureaucratique : Le surveillant d'une école pour l'extension de l'éducation industrielle demande au maître d'école une rémunéra Mo» spéciale de vingt couronnes, — ce qui ne fait pas tout-à-fait vingt et un francs. Le maître transmet la requête, avec un avis favorable, au- conseil des écoles provinciales. La requête est enregistrée et soumise au fonctionnaire supé rieur du département des comptes de ce conseil. Ce département émet une opinion qui sert de base au conseil provincial pour un rapport adressé au ministère des travaux publics, après que ledit rapport a été dûment élaboré, approuvé et revisé par trois fonctionnaires distincts. Au ministère, le rapport est enregistré et numéroté ; après quoi, un chef de bureau le transmet à un fonctionnaire spécial pour examen, et il peut arriver qu'on prenne l'opinion du service de comptabilité du ministère. Dans ce cas, la requête est envoyée au ministère des finances, accompagnée d'un avis motivé du ministère des travaux publics. Au ministère des finances, ce document est l'objet d'un rapport ; après quoi, il est soumis à l'approbation d'un fonctionnaire, revisé nar un autre, numéroté, mis au net, collationné et retourné par la voie des bureaux. Alors, une décision est prise, communiquée au ministère des travaux publics, qui la communique au conseil des écoles provinciales, où elle est de nouveau enregistrée et soumise à un rapport. Enfin, le conseil provincial informe le maître d'école que sa proposition est écartée, que le surveillant ne recevra pas ses vingt cou ronnes, soit vingt francs et quatre-vingts centimes. Cela n'avait pins grande importance, disait en finissant M. le.professeur lledlich, parce que ces formalités avaient occupé deux ans et que le surveillant était décédé dans l'intervalle. .VI. Firrnin Roz cite un autre exemple : Un médecin désire fonder un sanatorium, et rédige sa demande d'autorisation. Lit demande va à la section juridique du ministère et, après avoir été dûment enregistrée, examinée, mise au net, approuvée et revisée, elle est transmise aux services techniques qui sont au nombre de deux. L'un et l'autre se livrent alors au même genre de travail et la renvoient, avec leurs opinions gravement formulées, à la section juridique, qui ordonne un peu plus tard une enquête locale. L'enquête locale achevée, le rapport qui la concerne va à sun tour à la section juridique, qui le soumet de nouveau, en observant toutes les formalités de la procédure bureaucratique, aux deux services techniques. Là, il subit l'examen des experts et, sauf le cas, d'ailleurs très rare, — où l'on admet t[ue la première enquête locale a épuisé la question, la section juridique est avisée par les départements techniques de donner aux autorités locales des instructions pour une enquête locale supplémentaire I Alors, s'il n'a été découvert aucune objection, l'autorisation peut être accordée et son heureux titulaire peut commencer à lutter avec les fonctionnaires provinciaux et' municipaux de qui relèvent les règlements et la police des constructions ! A chaque étape, l'affaire appelle de nouvelles manipulations. En conséquence d'un argot administratif dont M. Firmin Roz nous entr' ouvre le vocabulaire, l'affaire doit être : « pràsentiert, exhibiert, indiziert. prio-riert, konzipiert, revidiert, approbiert, mundiert, kollationniert, expediert et registriert 1 » Dans le cas d'une demande d'autorisation en vue d'ouvrir un sanatorim, ces formalités ne prennent pas plus de huit ou dix ans ! Firmin Charlerie. La tension greco-turque Démentis turcs Paris, 6 juillet. — l'ambassade ottomane communiqué à l'agence Havas la note suivante : « Un télégramme d'Athènes ayant annoncé qu'un torpilleur turc aurait bombardé dernièrement un voilier grec transportant à Chio des réfugiés qu'il aurait capturés, l'ambassade impériale ottomane oppose à cette nouvelle le démenti le plus catégorique. Il est également faux que le torpilleur en question ait bombardé le monastère de l'îlot Gonis.» La révolution mexicaine Villa et Carranza sm.tillo, G juillet. — Le général Villa reconnaît Carranza comme chef suprême. Villa reste commandant de la division du nord. Dépêches télégraphiques (Service de l'Agence HAVAS) Incendies de forêts en Russie suNT-PKiKRsitorRG, 7 juillet. — Des incendies de forêts ont dévasté de vastes étendues dans le nord-ouest de la Russie. Près de Saint-Pétersbourg et le long du chemin de fer de Varsovie, de grandes tourbières brûlent. Près de Vitebsk, des forêts ont été détruites par le feu. Dans la région de Dunabourg et de Lioutain-cles, les incendies prennent le caractère d'une (•illimité publique. Le cercle de feu englobe une superficie de plus de cinq mille déciatines, ei a anéanti les céréales, des fourrages et des tourbières. Le gouverneur s'est rendu sur le lieu du sinistre. A Staraïa-Roussa, une cigarette, jetée par un ouvrier, a mis le feu à une maison en construction et l'incendie favorisé par le vent et la sécheresse a détruit quinze maisons en deux heures. Près d'Opotchka, plusieurs incendies de forêts propagés par le vent ont fait des dégâts considérables. Dans le district de Tichvinsk les incendies ont détruit des stocks de bois destinés à la vente. La ville est enveloppée d'un nuage de fumée. Importante autorité politique en route pour l'Europe Ri0-i)i;-jANi:iR0, 7 juillet. — M. Sabino Barros, président de la chambre des députés, est parti pour l'Europe à bord du CAP-FiNiSTÈRi:. En Colombie Bogota, 0 juillet -- Le gouvernement prépare une enquête générale sur l'administration qui prend fin, sur l'œuvre accomplie et les progrès réalisés. Les recettes sont passées de 11 millions de dollars à 18 1/2 millions sans augmentation d'impôts. CRISES COLONIALES Lors de la discussion du budget des colonies à la chambre, les 11, 12 et 13 mars dernier, M. Jourez lit cette constatation : « Voilà près de trente ans que les Belges sont au Congo ; voilà cinq ans que la colonie est annexée, et les rapports officiels de l'administration sont obligés de nous informer que l'agriculture de la colonie n'est encore arrivée nulle part ; que l'agriculture dans tout le Congo équatorial est toujours à fétu de et en préparation et que l'agriculture au Katanga, où il est urgent de la mettre à point en vue de l'alimentation du futur personnel des mines, est à peine- amorcée.»L'Action économique a adressé récemment un autre reproche au mi-nislère des colonies : le (jeu qu'il a fait, y lisions-nous, en matière de plantations coloniales, a eu le grave défaut d'avoir été organisé à contre-temps. On part trop tard, et on aboutit en pleine crise. Il est encore un danger, - il n'est pas imminent, nous nous hâtons de le dire, — contre lequel il importe de se prémunir : nous voulons parler de la monoproduction. Dans le discours (Je M. Ren-kin sur le budget, on peut lire ceci : « A mon avis, le Congo n'est pas comme on le croit, la terre du caoutchouc. Le grand produit congolais c'est l'huile.» Nous avons eu l'honneur, il y a une dizaine de jours, à Londres, de conserver avec sir YV. Lever, et nous comprenons que son plan de création de grandes exploitations oléifères ait enthousiasmé le ministre des colonies. Mais il importe de tout prendre « cum grano salis ». N'ini-poiie qui connaît les conditions de culture de la plupart des produits sous tropicaux arrivera sans difficulté à affirmer que le Congo leur convient admirablement par son climat et ses autres élé ments d'influence. Notre colonie est aussi bien la terre du caoutchouc que celle du palmier à huile, et la preuve s'en trouve lout au long dans le dernier fascicule piiiu (mars 1914) du Bulletin agricole du Congo belge. Si le palmier à huile réussit davantage, ce n'est pas que les conditions économiques lui soient plus profitables, c'est uniquement parce qu'on aura [iris les mesures nécessaires poui favoriser cette exploitation. Ce n'est pas le Congo qui est en défaut, c'est le ministère des colonies qui n'a pas su s'y prendre à temps pour organiser rationnellement l'exploitation des grandes essences agricoles. i\ous lisons dans un article de M. Le plae publié dans la Revue générale agiio-nomique : « 11 n'est pas douteux que le Congo se prête à 1 établissement d'un grand nombre de plantations, produi sant les denrées agricoles coloniales qui iont la richesse des autres colonies : caoutchouc, calé, cacao, huiles, fruits, épices, etc.» 11 y a très, très longtemps qu'on le sait. Cela se trouve tout au long dans les livres de Stanley. Pourquoi, la période de l'organisation militaire et civile terminée, ne s'être pas mis immédiatement à la tâche pour organiser ces plantations ? N'est-ce pas parce que l'Etat s'est mis en travers de l'effort des sociétés, par sa paperasserie et son esprit purement administra tii, et cela à un moment où les capitaux belges partaient tout feeul pour les entreprises coloniales ? Ai. Leplae ajoute : « Si les Belges con-li.iuent à s'abstenir et n'abordent pas résolument l'agriculture coloniale, les étrangers seront seuls à tirer parti de la fertilité du sol congolais ; les exemples d'initiative agricole sont dès maintenant, pour la plupart, d'origine étrangère. 11 est vrai que nos compatriotes n'ont pas encore d'expérience agricole coloniale, mais tous les efforts doivent tendre à les encourager et à les pousser vers les entreprises de plantation.» ivl. Leplae devra se résigner longtemps encore à l'abstention belge, parce que vraiment on n'encourage guère nos capitaux à prendre part à ces entreprises. Ce n'est pas pour rien qu'une demande de concession est une « affaire d'Etat ». Quiconque se met en relations avec le ministère des colonies entreprend une affaire, de longue haleine. Et que serait-ce si on n'avait pas inventé le conseil colonial, qui lui-même parfois... Mais revenons à nos moutons et, malgré l'encouragement indirect donné par M. itenkin, exprimons l'espoir que nos " concitoyens qui entreprendront des plantations agricoles ne vont pas tous se jeter sur la culture de l'élaïs et renouveler l'histoire du graphite à Madagascar, dé l'yiang-yland à l'île Bourbon, de la vanille aux Mascareigues, du coca à Java, etc. Il y a place pour tous les produits dans l'exploitation congolaise : mais si tout le monde se met à cultiver l'élaïs, ou le cacao, ou à récolter de la gomme copal, les marchés ne tarderont pas à se dérober et à ramener les prix au-dessous du taux de revient. Le café, le coton ont plus de chances d'échapper au danger de la surproduction. L'Etat n'a qu'un devoir de son côté : éclairer, encourager le colon; abaisser les tarifs de transport ; entourer les exploitations agricoles de sa vive sollicitude ; favoriser le recrutement et la fixation de la main-d'œuvre, etc., etc. tl nous paraît bien qu'.après les expé riences faites, on ne se hasardera plus à parler de cultures d'Etat ; l'agriculture indigène et la colonisation blanche doivent seules dans l'avenir préoccuper le ministre des colonies. J. T. LA VISITE DU ROI Il n'est pus certain que Sa Majesté le lui Albert viendra honorer île sa présence les fêtes jubilaires du R. V. C. B. Nous avons dit que le roi se proposait de venir assister aux régates à voiles qui auront lieu à cette occasion. Mais, en raison du deuil que la cour a pris, à la suite de l'assassinat, à Serajevo, de l'archiduc François-Ferdinand et de la duchesse de Hohenberg, il serait fort possible que le roi s'abstint de venir à Anvers. Un n'a pas eu confirmation encore du bruit qui a couru que le roi ne viendrait p:is Mais, en tout cas, ni au gouvernement provincial, ni à la ville, oii n'a été officiellement prévenu de la visite royale. Voilà qui serai! assurément regretté non seulement de nos yachtsmen, mais encore de toute la population anversoise. Espérons encore cependant que les choses pourront s'arranger et que la présence de notre souverain viendra donner plus d'éclat il ces fêtes nautiques qui s'annoncent connue devant être fort brillantes. LES REGLEMENTS D'aucuns affirment qu'ils sont faits tout simplement pour être méconnus ou ignorés, ce que, d'ailleurs, on est en droit de contester. Mais il faut convenir, cependant, qu'il y a, de par le monde, et rien qu'en Belgique, pas mal de gens qui s'inquiètent des règlements'connue de l'an dix. Ainsi, ceux qui furent édictés sur la police du roulage, enjoignent à tous conducteurs de véhicules, de tenir la droite, dans les rues, sur les routes, de ne jamais laisser seuls leurs attelages et d'allumer les lanternes dès la nuit venue. A Anvers, ces prescriptions sont généralement observées. Mais dès que l'on gagne la banlieue « n i ni... fini... » Nos braves paysans régnent en maîtres sur les rou tes rurales. Les uns dorment tranquillement, connue des justes, mollement bercés sur leur siège ; d'autres lisent tranquillement, à moins qu'ils ne cheminent à pied, à cinquante mètres avant ou après leur attelage. Et ainsi, à chaque retour de la bonne saison, -les automobilistes connaissent la joie de courir à chaque instant de très graves dangers. Et c'est miracle, vraiment, que l'on n'ait pas quotidiennement quelque affreux accident à enregistrer. Ne pourrait-on veiller d'un peu plus près à ce que les règlements soient observés ? LE 14 JUILLET A ANVERS Les membres de la colonie française d'An vers se proposent de fêter avec éclat, comme ils le font chaque année, la fête nationale du !i juillet. A cette occasion; M. F Crozier, consul général de France recevra dans les salons du Cercle français, à cinq heures et demie du soir, les membres des groupements français d'Anvers et les amis de la France. C'.ette année, cependant, cette manifestation aura un caractère tout particulier. On remettra, en effet, à cette réception, le souvenir offert à M. F. Cro /.ier, à l'occasion de sa promotion au grade de commandeur dans l'ordre de la Légion d'honneur. Un banquet, qui s'annonce connue devant être fort brillant, aura lieu à sept lien res du soir. LA MANIFESTATION MAX R00SES Nous avons annoncé, voici quelque temps, que M. Max Booses serait l'objet, avant de quitter définitivement le inusée Plantiu — aux destinées duquel il présida si longtemps d'une manifestation de sympathie. Cette cérémonie, à laquelle de nombreuses personnalités du monde scientifique et des arts assisteront, avait été primitivement fixée aux premiers jours de juillet. La date en a été définitivement arrêtée cette fois, au lundi 13 juillet. Rappe Ions qu'à cette occasion on offrira à M. Max Booses son portrait, peint par M. Luyten. Ce portrait sera ensuite placé dans le cabinet de travail -de M Max Rooses, pour commémorer l'hommage de sympathie et de respect dont le savant conservateur du musée Plantin aura été l'objet., au moment où il quittait définitivement le musée où il fut depuis la fondation. AU CONGRES D'HYGIENE SCOLAIRE Le collège a chargé messieurs les docteurs Goyeus et Gunzbourg de représenter la ville au congrès d'hygiène scolaire qui se tiendra à Lyon à la fin de ce mois UN LANCEMENT La société anonyme The Antwerp Engineering Company procédera- le jeudi 9 juillet prochain, à quatre heures et demie de l'après-midi, à ses chantiers d'Hoboken, au lancement du steamer Hans Jensen, construit pour compte da la Dansk Dampskiboselskabet Rossia, à Copen bague. A L'EXPOSITION DE LA BOULANGERIE Cette grande manifestation dont nous avons déjà parlé et qui se tiendra dans l'hôtel de Terwagne, place de Meir, promet de réussir sous tous les rapports. Bien que cinq semaines nous séparent encore de l'ouverture, la plupart des places dans les trente-huit salles sont louées. Pas seulement la boulangerie qui, dans le dernier temps, marche de progrès en progrès, niais aussi les industries connexes, comme la meunerie, la fabrication de la levure, la choco-laterie, etc. seront dignement représentées et formeront un ensemble remarquable. Dès à présent les bureaux du comité exécutif sont établis dans le bâtiment de l'exposition et les membres s'y trouvent à la disposition îles intéressés tous les jours de einq à sept heures de relevée. INTERIEUR Emprunts communaux Les conseils communaux ci-après sont autorisés à emprunter les sommes suivantes : Op-linter, 20,000 francs ; Loupoigne, 15,100 francs ; Orp-le-liraiid, 30,000 francs; Malèves-Sainte-Marië-Wastines, 15,800 francs ; Leffinghe, 33,000 francs; Maelielen, 12,400 francs; Houtaing, 7,400 francs : Kerkorn, 15,800 francs ; Berzée, 7,700 francs ; Conneux, 20,500 francs ; Somzée, 0,900 francs ; Fosses, 20,000 francs. Les grèves en avril Quinze grèves nouvelles, intéressant 2,502 grévistes et 527 chômeurs forcés ont été signalées à l'Office du travail pendant le mois d'avril 1911. Se sont, en outre, continués pendant tout ou partie du môme mois, treize grèves affectant environ 3,160 ouvriers et 20 chômeurs forcés. Le total des conflits ayant existé pendant cette période s'élève donc au nombre de 28 et celui des ouvriers intéressés à 6,200 environ. Des quinze grèves nouvelles, quatre se sont produites dans l'industrie du bâtiment; trois dans des carrières ; deux dans des charbonnages et deux dans l'industrie textile. Deux grèves intéressaient le travail des métaux. Les «autres conflits affectaient respectivement l'industrie du bois et la broderie d'art. Au point de vue des causes de conflit, les questions de salaire apparaissent dans huit cas-, soit qu'il s'agisse d'augmentation de salai res ou de modifications apportées au tarif de ceux-ci. Trois différends portent sur une question de personnel : deux demandes de renvoi d'ouvriers, une de réintégration d'un ouvrier congédié. Trois giwes sont relatives à l'organisation du travail (règlements d'ordre intérieur). Enfin, la dernière avait pour, objet le renouvellement d'un contrat collectif avec introduction de divers articles favorables aux ouvriers. Quant aux résultats enregistrés depuis notre dernier relevé, ils se résument comme suit : huit, échecs (1,1.30 ouvriers) ayant entraîné dans trois cas des renvois définitifs; deux transactions (300 ouvriers). La répartition territoriale des quinze conflits d'avril est l.a suivante : cinq grèves dans la province de Liège ; 3 dans la Flandre occidentale ; deux dans le Brabant ; deux dans la province d'Anvers ; deux dans la Flandre orientale et un dans le Hainaut. Les « Franschman » C'est la saison de l'exode vers la France de nas ouvriers agricoles. Certaines régions de la Flandre se vident en ce moment de leurs habi-1 m*s les plus vigoureux. Les « Franschman » s'en vont vers la Beauce, vers les campagnes de l:i Loire et du Midi, louer leur travail. On ne peut se passer d'eux dans les grandes exploitations agricoles de là-bas qui manquent de bras. Les petites exploitations assurées par le travail des seuls membres de la famille sont là-bas assez rares. Alors que chez nous il n'y a que très peu de fermes disposant de plus de cent hectares — pas un quart pour cent, — en France 19 pour cent ont une superficie ail-ut de 50 à 200 hectares, et 16 pour cent de plus de 200 hectares. La pêche maritime Du rapport de la commission provinciale de la pèche maritime, nous extrayons les renseignements suivants : Il existait au 31 décembre 191.5, 301 armements «le bâtiments de pcc.be couverts, contre ::0î à la fin de l'année 1912. Parmi les 301 entreprises, il y en avait 294 ayant pour objet la pêche à voiles et 7 s'appli- quant à la pèche à vapeur L'effectif des bateaux couverts continue à augmenter : il s'élève à 454 unités. ce qui constitue un accroissement de 7 bateaux. On enregistre également une augmentation du nombre des chai dupes de 10 à lô tonneaux. En 1913, cette augmentation fut de ."> unités, tandis que la flottille des chalutiers à voiles de plus de 25 tonneaux de jauge, a perdu 4 bateaux L'emploi de la force mécanique progresse peu à peu ; 25 embarcations à voiles possèdent actuellement un moteur auxiliaire. Les 29i armements de bâtiments de pêche à voiles comprenaient. au 31 décembre 1913, un total de 6,351.28. Pour' Ostende, il y avait 10G armements avec 140 bateaux et 2.96'.).45 tonneaux de jauge. 11 y avait en outre à Ostende, 7 entreprises de vapeurs de pèche pour. 29 vapeurs et un tonnage net de 5,255.95 tonneaux.Le personnel de la pèche comptait au 31 décembre 1913 un total de 1,891 patrons, matelots, mousses, etc., contre 1,874 en 1912. Le nombre de mousses n'a pas changé. Pour Ostende, il y avait en 1912, 832 hommes et mousses et en 1913, 845. La production de la flottille belge de pôchc. d'après la vente dans les minques cotières, passe de 5,526,099 fr. 60 en 1912 à 5,757,085 fr. 63 eu 1913. La plus-value est donc de 280,286 francs soit 4.1 p. c. La part de la pêche à vapeur et celle de la pèche à voiles s'élèvent respectivement à 3,555,147 fr. !•() ou 62 p. c. et 2,201,437 fr. 73 ou 38 p .c. La pèche à vapeur n'a accompli de progrès que grâce à l'augmentation de la flotte car le rendement moyen par tonneau de jauge est légèrement inférieur celui constaté en 1912. La pèche à voiles a également progressé. Les voiliers ont vendu en 1913, dans les minques entières, pour 2.201.937 francs de poisson contre 2,130,226 francs en 1912. L.a grande pèche au hareng a été faite, pendant la saison de 1913, par deux bâtiments belges, dont un voilier de Nieuport et un vapeur d'Ostende. Le lougre nieuportais a rapporté en 1913 un total de 55,850 fr. 75 avec un produit moyen par voyage de 11.170 fr. 15: en 1912, le. produit moyen était de 11,636 fr. 10. Le vapeur ostendais a fait en 1913 i.n produit brut de 94,799 francs contre 66.69'i fr. 80 en 1912. Le total de la vente dn poisson à la minque d'Ostende se chiffre, pour 1913, par 6,659,565 fr. 81 contre 6.010,369 fr. 19, pour 1912. Il y a donc une augmentation. pour 1913, de 649,196 fr. 62. Cette augmentation est due surtout à la vente de poissons de provenance étrangère. En 1913, la vente de poissons étrangers à la minque d'Ostende, a produit 1,372,094 fr. 30 contre 1,044,130 fr. 30 en 1912. La situation générale des marchés de l'intérieur du pays ne révèle aucun indice de progrès au point de vue de l'industrie belge. La vente sur ces marchés a atteint la somme totale de 6.028.160 francs en 1913 contre 6,075,599 francs en 1912. La diminution provient principalement d'une moins-value constatée à la minque de Bruxelles et s'élevant à 105 000 francs. En 1912. on a vendu â la minque de Bruxelles pour 2,438,166 francs de poissons contre 2.333,389 francs en 1913. Les autres minques du pays sont en léger progrès.L'enseignement professionnel de la pèche maritime comprend l'œuvre royale de l'ims qui comptait au 31 décembre 1913. 8ï pupilles âgés de 6 à 15 ans Depuis la fondation de l'œuvre, 79 mousses ont obtenu leur licence et 42 naviguent dans la pèche maritime. La population scolaire des huit écoles professionnelles de pèche du littoral, était en 1913 de 453 élèves contre 428 en 1912. Au 31 décembre 1913. l'école libre de pèche d'Ostende abritait 111 élèves el l'école communale 42 élèves. EXTÉRIEUR ALLEMAGNE Le prochain congrès socialiste Le Vorwaerts annonce que le congrès du parti socialiste allemand s'ouvrira à Wurz-burg le'16 septembre prochain AUTRICHE-HONGRIE Lettre de l'empereur au prince de Montenuovo De Vienne, le 6 juillet : Le Wiener Zeitung, journal officiel, publiera demain une lettre autographe de l'empereur au prince de Montenuovo, grand-maître de la cour, dans laquelle il rappelle que la mort de l'archiduc François-Ferdinand a imposé au prince une tâche exceptionnellement lourde, et lui a fourni de nouveau l'occasion de prouver hautement son dévouement absolu envers la personne de l'empereur et de la maison impériale. [.'empereur saisit volontiers cette occasion de l'assurer de sa très vive reconnaissance et de son entière appréciation des excellents et fidèles services que le prince de Montenuovo n'a cessé de rendre, pendant des années, en se conformant toujours aux intentions de l'enipe reur. Manifestations de loyalisme slovènes De Laibach, le 6 juillet : Une réunion convoquée par le parti démocratique Slovène s'est tenue hier en vue de faire une manifestation de loyalisme à l'occasion de l'attentat de Serajevo. Le président de la diète du duché de Carniole, M. Schoustorchi, a flétri dans son discours, les instigateurs intellectuels de l'attentat, et a dit qu'il fallait continuer à travailler pour la réalisation des idées de François-Ferdinand touchant la création d'une grande Autriche catholique. Le peuple Slovène, a-t-il conclu, doit énergiquement se préoccuper de sa prospérité et de celle de l'empire. Les personnes assistant à la réunion se sont livrées à une manifestation enthousiaste, et ont ^liante l'hymne populaire. BULGARIE Incident bulgaro-grec clos De Sofia, le 6 juillet : Le chef de la sûreté a remis aujourd'hui au chargé d'affaires de Grèce les clefs de l'église grecque de Sofia dont le bon état a été dûment constaté. L'incident provoqué par l'occupation de cette église dépendant de la légation de Grèce et jouissant par conséquent des droits d'exterritorialité se trouve ainsi clos. ESPAGNE La grève des ouvriers des fonderies De Valladolid, le 6 juillet : La grève des ouvriers des fonderies,qui était pacifique, s'est aggravée subitement ce soir, à la suite d'entraves apportées à la liberté du travail. La police et la gendarmerie ont dû charger après avoir essuyé une grêle de pierres. Plusieurs agents de police, ainsi que des grévistes, ont été blessés légèrement. Quelques arrestations ont été opérées. Des patrouilles de gendarmerie parcourent le centre de la ville. Le chemin de fer de Tanger à Fez De Madrid, le 6 juillet : Le sénat, après une très courte discussion, a approuve la convention" relative au chemin de fer de Tanger à Fez déjà acceptée par la chambre. GRANDE-BRETAGNE Le bill du home rule à la chambre haute De Londres, le 6 juillet : La chambre des lords a voté en seconde lecture, par 273 contre 10 voix, le projet du gouvernement amendant le bill du home rule. es amendements proposés par lord Lans-downe au home rule suppriment les articles-relatifs au referendum dans les .arrondissements de l'Ulster et l'exclusion du home rule pour 10 ans. Lord Lansdowne proposera demain de nouveaux articles en remplacement de ceux dont il demande la suppression. PORTUGAL Les prochaines élections De Lisbonne, le 6 juillet : Le gouvernement, désirant observer une 1 stricte neutralité à l'occasion des opérations électorales, a prié les gouverneurs civils de veiller à ce que les fonctionnaires placés sous leurs ordres se tiennent en dehors de tous les groupements politiques. MEXIQUE Recettes douanières Les recettes douanières du mois de mars s'élèvent à 3,122,401 piastres mexicaines. Ci j après, nous donnons un tableau comparatif des quatre dernières années, en faisant observer que l'augmentation des droits est entrée eu vigueur seulement cette année : 1911 1912 1913 1914 (En dollars mexicains) Janvier 4,378,251 4,050,571 5,358,085 3,827,031 Février . 3,919,367 3,781,068 3,602,911 2,750,531 Mars . . 4,679,098 3,870,172 4,155,006 3,122,401 Avril . . 4,181,096 4,117,724 4,175,826 Mai . . . 3,703,529 4,018,838 3,823,146 Juin ... 3,780,552 5,535,062 3,877,057 juillet . . 2,947,250 3,388,699 3,979,648 Août . . 3,618,077 3,731,485 4,182,789 Sept. . . 3,765,665 4,508,396 4,167,425 Octobre . 3,340,198 3,830,612 5,153,831 Nov. . . . 3,862,761 4,334,050 3,619,708 — Déc. . . . 3,841,303 4,997,173 3,652,864 Total 42,176,744 48,163,850 49,748,296 — ROUMANIE Note significative publiée par I' < Officiel » Le .Iournm. Officiel publie la note suivante : Le roi et la reine ont appris avec une profonde douleur l'affreux malheur qui a frappé si cruellement la famille impériale et royale, lui enlevant soudainement l'archiduc François-Ferdinand et son épouse. Ce triste événement a profondément affligé les cœurs du roi et de la reine, qui étaient liés à l'illustre défunt non seulement par d'étroits liens de famille, mais aussi par une amitié sincère et éprouvée. Aussitôt après avoir appris le douloureux événement, le roi et la reine ont télégraphié à l'empereur François-Joseph pour lui exprimer leur vive sympathie. Celui-ci les a remerciés dans les termes les plus chaleureux. L'Universel fait remarquer à' propos de cette note qu'une importance particulière doit être attachée à cette manifestation de la Cour. On sait, en effet, qu'en de pareilles occasions, le Journal officiel ne publie que la durée du deuil de la cour ; mais, cette fois, le roi a voulu exprimer d'une manière particulière la douleur que lui causait la mort de l'archiduc, ami aussi sincère et éprouvé de la nation roumaine.RUSSIE Transfert de terres en Finlande De Saint-Pétersbourg, le 6 juillet : La commission spéciale des affaires-finlandaises a approuvé le projet transférant la propriété de soixante et 1111 mille tornas aux petits fermiers qui les cultiveront. SERBIE Démentis De Belgrade, le 6 juillet : Les nouvelles publiées par quelques journaux hongrois sur une tentative faite du côté des Serbes pour libérer les auteurs de l'attentat de Sarajevo sont aussi peu sérieuses que celles annonçant de même source que cinquante comitadjis serbes déguisés en Turcs se trouvent dans ce but à Sarajevo. Les autres nouvelles accusant le général Janko-vitch et le commandant Milan Tribitschevitch qui d'ailleurs n'appartiennent pas à l'état-major, sont si invraisemblables qu'il est superflu de les démentir. TURQUIE A la chambre De Constantipo.ple le 6 juillet : Le ministre des finances a continué l'exposé financier commencé samedi. Il reste à payer, dit-il, 890,000 francs sur le cuirassé Sultan-Osman. Cette somme sera versée le jour de la livraison du cuirassé, qui est prêt. La Turquie aura besoin pour les dix premières années de 80 millions de livres pour le budget extraordinaire de la guerre. Le budget de la Turquie sera dans dix ans de 50 millions de livres. La Chambre discute une question présentée par différents députés grecs relativement à l'émigration des grecs. Talaat-bev, ministre de l'intérieur, dit qu'après les récentes guerres des émigrants musulmans arrivés en Turquie firent une propagande qui engendra des haines que le gouvernement ne pouvait pas prévenir. II s'efforce cependant d'empêcher les excès. C'est la cause première de l'émigration. Le gouvernement fut bien forcé d'installer des émigrants dans les villages grecs, car ces émigrants étaient deux cent mille. Ils ne pouvaient tous trouver place dans les villages musulmans. Le ministre rappelle les mesures prises pour réprimer les désordres qui se sont produits. Il est impossible que les; grecs déjà partis retournent dans les villages actuellement occupés par les musulmans. La chambre estimant que les explications du ministre sont satisfaisantes, a refusé de transformer cette question en interpellation. Avis et Communiqués Administration communale d'Anvers. Autorisations à bâtir accordées du 15 juin au 1er juillet 1914. — Société Vooruitzicht, rue Gérard, 2, pour Mon-noyer, construire maison, avenue des Petits-Coqs, 146 : P. De Coninck, chaussée de Boom, 31-2, construire maison, rue de l'Agriculture ; .1. Evrard, boulevard Léopold. 180, pour J. Somers. longue rue Loo-broeck, 163, construire patronage, coin rue des deux Nèthes et longue rue Loobroeck : A. Erneman et C*. rue de la Justice, 45, pour .1. Everaert, longue rue du Congo. 42, maison rue de l'Epervier, à côté du n° 67 : II. Van Steenbergen, rue Kets, 42, pour F. Van Mechelen, rue de la Constitution, 109, démolir et construire maison, rue Jésus, 18 ; F. Geerts, rue Blanche, 2-4, construire sept maisons, rue de Bosschaert et prolongement de la rue Blanche; .J. Dries, rue Boiset, 45, pour E. Mendel, petit Marché, 14, et Marcel Souweine. avenue des Arts, 56, salle de cinéma, rue Quellin, 6. 8. 10, 12 ; L Duvivier, avenue Bosmans, 1. pour A. Van Peeterssen. rue Van Schoonbeke, 164, deux maisons et clôtures en fer. avenue Bosmans : W. Paschal, rue Grétry, 27, pour 1'. Paschal, rue de Malines, 1, Lierre, maison avec, clôture en fer, avenue Hélène ; F. Toen, boulevard Léopold, 146, pour Verbeeck, avenue des Arts, 148. construire maison, rempart Saint-Georges. 92; Il Block. avenue fie l'Industrie, 76. pour Frederik Trip, construire maison, chaussée Saint-Bernard, à droite du n° 205 : A. Defever, avenue Cogels, 62, pour Plis-sart, avenue Hélène, 42, garage avec habitation, avenue Hélène, 42, E. De Zadeleir, rue de la Bergère, 2, maison, rue des Poires, 34. Au conservatoire royal flamand La seconde audition d'élèves du Conservatoire royal flamand de cette année a eu lieu hier, encore devant un public très nombreux, et fait tout autant d'honneur à la direction et au personnel enseignant que sa devancière dont nous avons fait un si grand éloge il y a quelques jours. Le programme était de nouveau dn plus grand intérêt. Citons un Cantabile pour quatre alti, de H. Wnelput, exécuté par les élèves A. Baeyens, Th. Van Doren, G. Van Uffelen et L. Vets de la classe de M. N. Distelmans. Ensemble parfait, fondu homogène et scrupuleuse observation des nuances. Le professeur Ed. De Herdt a produit deux élèves, dont l'un, M.. Arthur Maebe, a interprété avec une belle assurance et beaucoup de goût le concerto en Ré pour violon de H. Vieuxtemps. L'autre, M. Victor Van Hemel, a joué un caprice de Paganini 011 il a montré qu'il est, en voie d'acquérir surtout du mécanisme.De la classe de Mlle J. Laenen, nous avons à féliciter Mlle Estelle Bleeckx pour la façon vraiment habile dont elle a interprété l'Andan-te et l'Allégro molto du concerto en Sol de Mendelssohn. Toucher élégant, qui gagnera en devenant encore un peu plus vigoureux. Mme Ontrop a encore fourni deux échantillons de son cours de chant : Mlle Eleonora Ryckvoord qui a agréablement chanté avec une voix de mezzo pas extraordinairement ample, mais de bonne qualité, un air de l'oratorio Semble de Haendel, et un lied de Schubert

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Dit item is een uitgave in de reeks Anvers-bourse: journal financier paraissant tous les jours de bourse officielle behorende tot de categorie Financieel-economische pers. Uitgegeven in Anvers van 1889 tot 1919.

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