Informations belges

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11 februari 1918
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s.n. 1918, 11 Februari. Informations belges. Geraadpleegd op 22 september 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/xd0qr4pq72/
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N° 602 11 Février 1918 INFORMATIONS BELGES Observation im.portau.t© Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelle» de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité. n'a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belsçe. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe Adresser les oommunioations de service : 29, rue Jacques*-Louer, LE HAVRE (Seine-Inférieure) France. (xx). — La collaboration de l'armée belge à la victoire de la Marne. — Nourel aveu allemand. — Sous le titre : « Les soldats du 39e dans la guerre mondiale, le Dûsseldorfer Nachrichten, supplément duDwsseMor/erGeneral Anzeiger,du 26 janvier 1918, édition du matin, publient une relation de la campagne allemande en Belgique et en France. Dans un chapitre intitulé : « Les journées glorieuses de Craonne », l'auteur s'exprime ainsi : « Dans l'entretemps, sur d'autres fronts s'étaient déelanchés des événements qui devaient avoir une répercussion fâcheuse sur la puissance offensive de l'armée d'Occident. L'invasion russe en Prusse orientale avait exigé le départ de deux corps (le onzième et la garde de réserve, avec une division de cavalerie saxonne); la démonstration belgo-anglaise devant Anvers, le départ des 3e et 9e régiments; en outre, la trahison italienne rendit disponible les corps français qui se trouvaient, dans les Alpes-Maritimes, et le Marocain Galliéni, avec une incomparable énergie « à la Gambetta », et dans le plus grand secret, avait assemblé toutes les troupes qu'il avait pu réquisitionner de n'importe quel endroit de la zone de la position fortifiée de Paris ; sous leur protection, l'armée britannique, qui était tombée dans un état de complète désorganisation put, elle aussi, se reformer et combler ses vides. Les armées allemandes, cependant — laissant Paris sur leur flanc — poursuivaient leur marche en avant'vers Châlons. « C'est alors que le général Joffre, conscient de la réorganisation de ses formations, et s'appuyaut sur l'accroissement de son armée, se décida à porter un coup décisif sur la Marne. 11 fit avancer son armée de l'Ouest vers l'Est, suivant un ordre de bataille qui enveloppa l'adversaire comme dans un filet tendu, afin de le refouler dans la vallée de la Marne. Toutefois ce vaste plan, plein de promesses, n'allait pas pouvoir être réalisé. Toutes les dispositions, si soigneusement examinées de Joffre, échouèrent devant l'incomparable stratégie de Kluck qui non seulement parvint à se soustraire par une contre-tactique victorieuse à l'enveloppement menaçant, mais réussit, en outre, à renverser ces dispositions à son avantage, en taillant en pièces la 6e armée française (Maunoury) et en retenant les divisions britanniques.« Sans doute, par suite de ces manœuvres, on avait perdu la liaison avec la armée (von Bûlow), qui s'était portée dans une avance victorieuse jusqu'au plateau de Sézanne, en sorte qu'entre les deux armées, une lax-ge brèche s'ouvrait béante. Derrière elle, la 3« armée se trouvait encore à une distance considérable. Dans ce moment critique, l'état-major allemand ne pouvait récupérer que le 7e corps de réserve, dont le 39e régiment faisait partie, ainsi que l'armée d# Hoeringen qui se trouvait dans les Vosges ; leur rappel, comme réserve d'armée, devenait urgent. Le premier se trouvait encore près de Maubeuge, et ne pouvait guère arriver avant cinq jours, à cause des conséquences de la prise de la position fortifiée. Hoeringen fut retardé de deux jours dans sa marche à travers la Belgique par la grande sortie d'Anvers entreprise Le 9 septembre par les Anglais et les Belges, en communauté de plan avec l'état-major français » Des dernières lignes, — qui ne sont pas soulignées dans le texte allemand, — résulte l'aveu que l'énergique et victorieuse intervention des troupes belges empêcha les renforts allemands d'arriver en temps utile sur la Marne et assura, par contre-coup, l'immortelle victoire du général Joffre et de l'armée française. (xx) — Protestations flamandes contre les menées « aktivistes ». — Deux ordres du jour-— La Vlaamsch-Belgisch Verbond (Ligue des Belges flamands), qui groupe 6,000 Belges réfugiés en Hollande, a voté un ordre du jour de protestation contre les menées aktivistes. En voici une traduction : « La proclamation de l'autonomie politique de la Flandre par le soi-disant « Conseil de Flandre » pousse tous les Flamands qui peuvent parler librement à juger cet acte avec sévérité, vu qu'il constitue une atteinte à l'indépendance de la Belgique et à la liberté que possède le peuple flamand de disposer de lui-même. « La politique du 'Conseil de Flandre' est liée aux tentatives dt& éléments militaires et annexionnistes allemands pour faire admettre leurs plans de tutelle par le moyen de déclarations de conseils prétendument nationaux. La politique du 'Conseil de Flandre' fut inaugurée par l'annexionniste von Bis-sing; elle est continuée dans son esprit par le gouvernement actuel allemand et trouve son plus vi-goureuxappui auprès du parti deTirpitz; decesfaits résulte sa condamnation sans condition. « Le 'Conseil de Flandre' n'a jamais reçu du peuple flamand un mandat-quelconque pour le représenter. Il est simplement un appendice de la politique de la puissance occupante. Comme l'expression

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Dit item is een uitgave in de reeks Informations belges behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Le Havre van 1916 tot 1919.

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