Informations belges

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22 februari 1917
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s.n. 1917, 22 Februari. Informations belges. Geraadpleegd op 26 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/vm42r3sg9d/
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Informations Belges Observation importante Les difficultés inhérentes à L'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou ae leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de service : 52, rue des Gobelins, EE HA."VRE (Seiiie-Iuférieure) France. (xx). — Les déportations ont recommencé dans le Nord de la Flandre. — D'après le Tele-graaf d'Amsterdam (n<> du 20 février 1917), les Allemands ont recommencé subitement de déporter dans le Nord de la Flandre. 200 civils d'Eccloo ont été déportés vers le front allemand en Flandre et astreints à exécuter des travaux militaires à raison de 30 pfennig par jour plus la nourriture. A Knocke, Heyst et leurs environs, tous les hommes de 18 à 55 ans doivent se mettre à la disposition des autorités militaires allemandes pour accomplir un travail forcé sur le front de l'Yser, notamment à Slype et à Zevecote. Une grande indignation et de l'inquiétude régnent dans la contrée. Brochure commémorant la bataille de l'Yser (16-31 octobre 1914). Avant-propos de M. H. Carton de Wiart. Le 29 octobre 1916, sur l'initiative du « Comité de propagande belge », l'anniversaire de la bataille de l'Yser (16-31 octobre 1914) fut commémoré, pour la première fois, par des cérémonies simples et émouvantes qui eurent lieu au Havre. Pour perpétuer le souvenir de cette journée, le Comité de propagande belge en a consigné la relation dans une élégante brochure de 112 pages qui vient de sortir des presses de l'éditeur Berger-Levrault, en deux éditions, l'une française et l'autre flamande. La brochure, qu'illustrent une carte de la région de l'Yser, de nombreuses vues photographiques des paysages de l'Yser et des instantanés pris au cours de la manifestation patriotique du 29 octobre 1916, renferme, après un avant-propos de M. H. Carton de Wiart, ministre delà justice, un compte rendu détaillé des diverses cérémonies commémoratives avec, entre autres, le texte de l'éloquent discours de M. de Broqueville, ministre de la guerre. Une relation très vivante de la bataille de l'Yser, due au commandant Willy-Breton, termine l'ouvrage. Dans son avant propos, M. Carton de Wiart attire. Gn termes émouvants l'attention de ses compatrio-tes sur l'importance des anniversaires nouveaux que la guerre aura inscrits dans la vie nationale belge : l'anniversaire de la violation de la neutralité bel^e le 4 août 1914, et celui de la bataille de l'Yser, point culminant de la résistance de l'armée belge. « La Belgique d'avant la guerre » — dit M. Carton de Wiart — ne connaissait qu'un seul anniversaire officiel : le 21 juillet, date de l'avènement de notre dynastie, et à laquelle un scrupule d'amitié envers la Hollande avait rattaché la commémoration de l'indépendance conquise aux journées de septembre 1830. Notre loyalisme célébrait aussi, sans qu'un acte législatif eût donné d'ailleurs à cette solennité le caractère d'une institution légale, la fête patronale du Roi : la Saint Léopold, puis la Saint-Albert. «Une intruse est venue; la Guerre, qui, de son doigt tragique et sanglant, a marqué, au calendrier de notre vie nationale, d'autres anniversaires ineffaçables.« C'est tout d'abord la date du 4 août Ce jour-là, — en l'an d'horreur 1914, — vers 10 heures ou matin, fut consommé, par la violation de notre sol, le crime le plus flagrant et sans doute le plus odieux des âges contemporains. Kn même temps et du même coup, un sursaut unanime d'indignation révoltait la conscience nationale et l'unité belge était définitivement soudée par le sang et les larmes. « Je souhaiterais qu'après la guerre, dans la Belgique libérée, chaque année, à la date du 4 août, vers dix heures du matin, l'activité du travail intellectuel et manuel se relâchât un moment, et qu'alors, dans le silence des prétoires, des classes, des ateliers, des fabriques, des champs, des bureaux et des négoces, — les paroles et les gestes étant suspendus, ainsi qu'à la messe, pendant la consécration de l'hostie et du calice, — toutes les cloches, d'un bout à l'autre du pays, de Visé à La Panne, d'Anvers à Virton, fussent mises en branle et qu'elles sonnassent l'alarme commeau temps de la Klohhe Roeland de Gand et du Ban Henri de Liège. « A coups scandés et graves, de cité en cité, de village en village, les cloches des églises et des beffrois, et même celles des écoles et des usines, rappelleraient à tous, grands et petits, le parjure de l'Allemagne et la réponse de la Belgique, la honte de celle-là et l'honneur de celle-ci. « Interrompant régulièrement la prescription de l'oubli, ce glas solennel ranimerait dans nos âmes et celles de nos enfants, en même temps que le rappel sacré des héroïsmes, des deuils et des ruines, le sentiment de l'union et des sacrifices que la défense de la Patrie continuera à exiger de chacun de nous. Et je crois que l'écho de ces volées serait entendu jusqu'au delà de nos frontières de terre et de mer, comme une sorte de leçon universelle. Il prolongerait l'évocation du canti'aste entre le langage cyni- N° 255 22 Février 1917

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Dit item is een uitgave in de reeks Informations belges behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Le Havre van 1916 tot 1919.

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