La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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26 januari 1915
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s.n. 1915, 26 Januari. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 26 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/qf8jd4qr3m/
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LA MÉTROPOLE D'ANVERS, PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES. 22MB ANNÉE. MARDI 26 JANVIER 1915. N°- 26. COMMUNIQUES OFFICIELS FRANÇAIS. les ponts de saint-mihiel PROGRES A SAINT-GEORGES^ PARIS, 25 janvier.—Commuaique officiel d» 15 heures:— En Belgique, nous a\ons fait de légers progrè. à l'est de Saint-Georges Sur le reste du front il* y a eu des ecliange; U ^Do'la'Lys à l'Oise, feu d'artillerie intermittent Sur le front de l'Aisn^, il n'y a rien à signaler sinon qu'à Berry-au-Bae, une contre-attaque d< l'ennemi fut repoussée h.er matin. Les t.anchée: disputées sont donc restées en notre pouvoir. En Champagne, nous avons d'émoii plusieurs travaux et abris des Allemands. Dans J'Argonne-Dans le bois de la Grurie, ur feu d'infanterie très vif a-été arrêté par l'exercic< efficace oe nos batteries. Sur la Meusé, la. destruction des "'-ponts d< Saint-Mihlel a été complétée par notre artillerie En Lorraine, a Ernbeiméjrii:, nous surprîmes ui détachement de Bavarois, que nous capturâmes Dans les Vosges et en Alsace, il y a un épai; brouillard. VERSION AI LIMANDE. BERLIN, 25 janvier.—Communiqué officiel dt grand état-major:— Dans le théâtre occidental de la guerre, de: combats d'artil.erie ont eu lieu autour de -Nieu port et d'Ypres. Au sud-ouest de Berry-au-Bac, nous avon: perdu une tranchée que nous avions capturé* des Français il y a quelques jours, tandis qu'a* nord du camp ae Cnâtons des duels d'aitii.crii ont eu lieu hier. Des engagements d'infanteri< ont eu lieu là aujourd'hui, qui continuent encore Dans la forêt d'Argonne, au nord de Verdun et au nord de foui, l'artillerie a fait preuve d'un< grande activité. Toutes .es attaques des Français sur Hart mannsweilerkopf ont été repoussées. Les com bats flans la forêt ont provoqué de fortes pertei pour les Français. Rien moins que 400 chas seurs alpins ont été trouvés morts. Le nombr< de prisonniers français s'accroit. Dans e théâtre oriental de la guerre, des dueli d'artillerie ont lieu sur le_ front de Loctzen e à l'est et au nord de C umbinnen. L'ennemi fu forcé par notre feu d'évacuer une couple de posi tions an sud-est de Gumbinnen. les attaques de l'ennemi au nord-est de Gum binnen furent renoussées avec fortes pertes pou: les Russes.—Wireless Prëss. LA VICTOIRE NAVALE ANGLAISE. la version allemande. NOUVEAUX MENSONGES. AMSTERDAM, 25 janvier.—Le rapport officiel su vant, signé du chef de i'état-major naval von liehnke. fut publié hier, au sujet de combat ' naval de la mer du Nord:— Au cours d'une sortie des croiseurs cu:rassés "Seyd.itz," " Derfflinger," " Moltke," et "Bûcher," escortés de quatre petits croiseurs e: de deux flotil es d« torpil eurs, une bataille s'engagea ce matin, avec une force.britannique, coin; îenânt Cinq cro seurs eu rassés, que.ques i-f\i's cro seurs et vingt-six destroyers. ..'ennemi cessa l'engagement a 70 milles de igo.and, après trois heures de lutte, et se rei a. On annonce qu'un croiseur-cuirassé anglais, ainsi que e croiseur a.iemand " Blùcner," au aient cou.é. Tous les autres navires allemands sont rentrés au port. (signé) von Behnke. Xote.— L'annonce qu'un crçiseur-cuirassé anglais aurait coulé est une pure invention. LA PRESSE ALLEMANDE. AMSTERDAM, 25 jnnv:er.-—Les journaux berlinois de ce matin pub lent le communiqué otticiel al emand sur la batail e de la mer du IN >-'<!, et le ton général de 'eurs commentaires < sobre, mais on fait naturellement ressortir la prétendue perte d'un croi.^ur cuirassé anglais ; la plupart des feu.Les parlent en outre avec satisfaction des nav.res anglais forcés de se retirer de l'action. Le " Lokalanzeiger " dit:— Si es Anglais, ma gré leur supériorité en force, interrompirent l'act.on, cela preuve que nos canonr.de.s .es a va ont en main Nos marins firent Une fois de r'us leur devoir, e . a été prouvé qu'une escadre anglaise de '-•rande supériorité n'est -l'-'u-cune façon à même de maît.ker notie force, même si on tient compte ? fa t que nos navi.es ont été pris par su;-3-.:. Central News. LA P ESS^ AMT7RICATNE NEW YORK, 25 janvier.— Commentant la bataille de xa mer du Nord, le "New York Times" dit:— Lu marine britannique est évidemment tout a fait sur ses gardes, et Sir David Béatty a monté encore dans i estime de ses compatriotes, estme déjà rehaussée par ia victoire de la ba;e d'Héliffo-iaiid.I/e " Wor d dit que dans la guerre d'épuise-meni I avantage, loin d'êt:e avec es Allemands, se trouve décidément de l'autre côté. i.a marine a.liée ou br.taaniqixe, ajoute le u «ai, pourrait supporter de nombreuses pertes >) ab.es a ce e que ies Ai .emands ont éprouvée anche. La manne allemande, cependant ne e pourrait pa*. • La "New York Press dit L'ALemagne, quoiqu'elle pu sse faire sur terre •e peut avoir une etince._e d'espoir ue surmonter a Grande-Bretagne sur mer.—ïteuter. LES SUP VIVANT S DU BLUCH R DIMBOURG, 25 janvier.—Des survivants h-essés et non blessés du croieeu.-cuirassé Jj.ucher" ont été débarqués ce matin à ia jetée Victoria à Leith par deux contre-torpiileurs. < n contingent d'ambulanciers de la Croix-J ;'ge avec une quantité d'automobiles, attendaient les blessés et une escorte était prête à recevoir les prisonniers. Les Allemands étaient |iu nombre de cinquante, dont vingt-trois étaient " fssés. Un ou deux cas étaient terribles. Un niarip mourut à bord d'un des contre-torpilleurs, et son cadavre fut débarqué. Sommes furent conduits au Château u Edimbourg, les non blessés dans des char-à-narica automobiles, les blessés dans des véhicules fermes. . Les non blessés avaient l'air particulièrement uien portants et contemplèrent avec intérêt les S?'.V'*V"-S airgl-ais s'exerçant sur le terrain de la ]<irade._ I s n'avaient nullement l'air abattu.— Lvening Standard." , LA VIE A ANVERS. contre le chomage. LA TAXE SUR LES ABSENTS KOOSENDAEL, 21 janvier (par courrier).—L journal " La Presse " d'Anvers publie dans soi numéro d'hier, 20 janvier, le " compte-rendu ' suivant d'une " importante réunion " que la oom mission intercommunale a tenue le 18 janvie sous la présidence de M. Louis Franck. Voie le texte de ce compte-rendu, qui a toutes le apparences d'un communiqué:— Réquisitions.—M. le président donna com muuication des nouvelles prescriptions concer nant ^es réqùisitions. A partir du 15 janvier ces réquisitions sont payables en espèces. Per sonne ne peut se faire deùvrer des marchand.se ou des comestibles contre des bons. En cas d< contravention, ies intéressés doivent adresser un» piainie à x& Kommanûantur. Taxe sur les Absents.—MM. VanPebojgh e Deivaux se déclarent partisans cu^eeueuExe ÎBWf*^f?îfmer et Montens ia combattent comm« étant contraire à la liberté. M. Franck non plu. trouve parei^e taxe opportune. Une taxe doi avoir une base scientifique, frapper la richesse et, non constituer une espèce de peine discip llnaire ou une manifestation de mauvais* humeur. . Au surplus pareille taxe ne produirait pa grand chose et est contraire à la liberté indi viduelle. Notre attitude en ce qui concerne^ l'expatriatioi a été jusqu'ici irréprochable. Nous laissons chacun libre et demandons seulement de ne pa* être attaqués ou insultés. N'abandonnons pa; cette attitude. % . La proposition tendant à l'introduct.on di pareille taxe est rejetée à une grande majorité. Classes Moyennes. Comptes en Souffrance.— M. le Président expose à ce sujet: P.usieur; mesures furent prises en ces temps durs pou: atténuer avec raison la misère de la class< ouvrière. Mris sur les classes moyennes 1< guerre pèse lourdement. Beaucoup souffrent er silence, qui hier encore avaient un gagne-pair lucratif. Cette malheureuse situation ne fai que s'aggraver par suite de l'absence de beau coup de clients importants dort les compteî arrie-és ne peuvent être acquittés à moirs d< prendre de mesures spéciales. Je ne doute nulle ment de la bonne volonté des débiteurs mais le-i notes ne peuvent leur parveni'- et il leur manovu le p1 us souvent le moyen de faire toucher 1< montant. Mais on peut remédier à ces choses Nous proposons de former un comité de la c1ass< mo- e^ne. Ce comité s'occuperait en ordre rrin cipal de la régularisation immédiate des compte: d s aux .détaillants par les clients qui résident ; l'étranger. Le comité récolerait les comptes pou les transmettre aux clients et étudierait le: moyens pour en obtenir le pavement. j'espère également que les banques consen tiront à faire une exception au moratorium en c< qui concerne le payement des notes en souffrance Après une courte discussion cette propos.tior est adoptée à l'unanimité. Chômage.—M. le Président insiste pour qu< en p:ésence de la durée de la guerre et l'arré dans la vie économioue, une série de mesure: soient prises pour occuper les sans-travail duran les mois suivants. Pour beaucoup, d'employés on peut prévoir un< grande activité,, une fois la guerre finie. Lî préfé ence sera donnée aux p.us capab'es et î est.de ia plus grande Importance que le granc nombre d'emplois qui seront à conférer n'échàp pent pas à nos concitoyens. Nous devons donc tâcher qu'on acquière plus de connaissances dans cette période de stagnation ; que nos employés se préparent à jouer un rôle plus marquant dam l'exransion commerciale dès que celle-ci aur£ rep is son cou~s normal. Pou arriver à ce but, "étude et la préparatior techniques sont ind^spersab'es. En temps ordinsi e, beaucoup d'employés sont dans l'im poss:bi té de faire ces études spéciales, mais aujourd'hui qu'ils ont encore devant eux plu sieurs mois d'inaction forcée, nous nous pro posons de faire des démarches auprès de k direct ion de l'Institut supérieur de Commerce ei i-Institut St.-Ignace. afin qu'on organise certain? cours commerciaux pratiques, qui seraient donnés par les meilleurs professeurs de ces deux éta blissement d'élite. Dans le- même ordre d'idées, nous attirons l'attention des jeunes gens travailleurs, sur le^ cours de l'Ecole industrielle et nous proposons que i'Académie des Beaux-Arts reprenne av moins les cours de dessin et d'architecture ei qu'on y donne une extension telle qu'ils soient : même d'en fare profiter le plus grand nombre i possib'e d'inté" essés. M. Cools, échevin, déclare que des mesures ont été prises pour l'installation d'ateliers poui femmes, où 5000 femmes environ pourraient être employées à la confection de vêtements destinés à êt-e distribués aux indigents. A Bruxelles ces a te vers sont déjà institués et donnent Les | meilleurs résultats. La vi le d'Anvers contribue en ce moment-ci pou'- une somme de p'us de ce^t mille francs pai . semaine, à alléger la misère publioue. On examine également une proposition t-en dant à remettre en activité les branches du bâti ment., par l'octroi d'avances pour la remise er éta' des maisons atteintes par le bombardement Une cmr-te discussion a lieu à la suite de ces communications, à laquelle participent MM. Var Kuyck, Car ie: et Royers. I>< bureau es; chargé de travailler dans ce senî et MM. Royers, Cools, Crauwels et Van Cauwen bergh sont priés de soumettre un projet con' cernant la mise en état des maisons atteintes. On communique que la proposition de M Wevler, concernant le retour des tableaux d« peintres anversois ayant figuré au Salon de i Bruve les, a reçu une solution satisfaisante. On communique également que le Comité j d'expertise des bâtiments atteints, oui siège at , Pa'ais de justice, a été saisi de 3000 affaires, dont 900 ont été terminées. # Hrc s.->us-e->'rti • r'"' "té institués à Berehem. 1 Borgerhout. Lier-e, Duffel, etc. L'activité de ce comité, qui travaille gratuitement, est hautement apprécié? p">" la Commission. M. le r ésident a également fait des démarches à B-uxel'es. afin nue 'es subsVes non- ^'enseignement p'im"ire, tant- pour 'es éco'es 'ih-es que pou~ les écoles communies, soient liquidés. Dans son numéro du 21 janvier, !a "Presse,' commentant cette séance de la commission, dit ru-j e ic-c. a fait de a bon: e besogne: " Bonne besogne positive en recherchant les moyens d'obtenir le règ ement des comptes en uff ce vie a pa'.t -.s .e soivres e.ii;gibéî débitrices de nos comme çants, de même qu'er étudiant ies possibilités de réduire au minimum ie chômage, ou tout au moins de fournir aus chômeurs involontaires les moyens d'employei utilement leurs loisirs. Bonne besogne négative aussi, en rejetant à une forte majorité cette déplorable idée d'une taxe sur les absents. Les adversaires de cette mesure inique n'ont ei: aucune peine à développer toute la série d'argu ments qui s'opposent à ce que M. Franck a trèî bien appelé 4 un acte de mauvaise humeur.' Il faut savoir gré aux membres de la commission de s'en être rendus, parfaitement compte. Nous n'avons ni à attaquer ni à défendre les exilés, niais la Belgique n'est pas un pays où. l'on fait impunément fi de la liberté." M. Braun et le .conseil communal de Garni qui ont voté, avec la complicité du " Bien COMMUNIQUES OFFICIEL RUSSES. escarmouches sur la vistule. : DUELS D'ARTILLERIE EN BUKOVINE. ;r £ PETEOGEADE, 21 janvier.—Communiqué i grand quartier-général:— j. Le 23 janvier sur la ligne dans le voisinage < r_ village de Radsanow, sur ia Vistule intérieure, r y eut aes escarmouches de moindre important r' Dans ie aistrict de Brzgt-Ournine ies Al, 3 mands essayèrent d'approener lès positions russ e mais ils fuient repoussés avec ae fortes pertes. En Gaiicie, sur le front ae Jasliski les Aut chiens attaquèrent les Lusses, ie 22 et 23, av une division et de l'artillerie. Le tir des Kuss arrêta leur avance. ' En Bukovine, à seize milles à l'ouest de Kii polung, il y eut un duel d'artilleije.—Centi it News* UNE LEGION POLONAISE DANS L'ARME ° RUSSE, s PETROGRADE, 24 janvier.—Le général Iv i- noff, commandant les armées du sud-ouest, a c donné l'incorporation cians les armées actives 1 n ia légion polonaise qui sera formée ou noyau ' s troupes récemment créés a Novo-Aiexanurors s Cette légion sera entretenue aux frais ue l'état s sera commandée par des officiers polonais. El aura sa propre artillerie. Les officiers et les st e dats polonais, qui sont entrés dans l'armée rég îière comme volontaires seront autorisés à i _ joindre la nouvelle légion, pour laquelle on g organisé à Varsovie un -comité d'organisation r un bureau de recrutement. La composition « e la légion sera la suivante: un bataillon cl'infa a terie, un escadron de cavalerie, une batterie d's a tillerie, et le nombre ordinaire de mitrailleuse -, —Reuter. 1 L'ITALIE ET LA GUERRE. e> 1 la levee en masse dan le trentin. e ROME, 25 janvier.—Un télégramme de Veroi au " Giornalc d'Italia" dit qu une proclam-ati< g a été affiché dans toutes ies communes du Tre k tin ordonnant une levée en masse de tous 1 r habitants mâles âges de quinze à cinquante ar s qui ont du se faire inscrire auprès du maire i leurs districts respectifs. Ceux qui ne sont p i- capab.es de porter les armes seront employ e d'une autre façon. A COURTRAI. e 5 les soldats ecoliers. i COURTRAI, 5 janvier.—Tout est calme rel P tivement ici. Partout cfes officiers, des solda ;L chez l'habitant. On réquisitionne et beaucoi l . d'officiers font la noce dont en tête le frère c l I prince de Y»ied. On a fait passer par toutes 1 maisons des feuilles pour y mettre le nombre < c boutei.les de vin qu'on avait dans sa cave, ta s : de rouge, de bianc, de Champagne. On entei 6 nuit et jour ie canon gronder et on est mên 3 I triste quand un jour se passse sans qu'on l'e A | tende, il semble alors que l'ennemi ait percé 1 agnes alliées. Dans le Pa.ais de Justice il y 500 tout jeunes soldats, des gamins de 15 à 1 ! ans qu'on croit venir d'orphé.inats : personne i peut .eur parler de peur sans doute que 1 ~ ■ pauvres gosses n'apprennent la vraie situatioi j .1s vont faire l'exercice et apprendre à faire d tranchées dans ies champs ou côté du viLage i £ Heule. s LA MENTALITE PRUSSIENNE! s Un médecin de nos Flandres resté au pa - écrit à sa sœur, réfugiée en Hollande, de rentre Cette dame ne trouva rien de mieux pour corre s pondre avec son frère que d'écrire a une am s allemande pour ainsi faire parvenir sa lettre; el s disait dans sa lettre qu'elle ne voulait pas rentr i car on pillait, dévastait tout et que les Allemam t maltraitaient tout le monde. Que fit l'Allemand' k C'est très simple: e.le envoya cette lettre à... s " Kommandatur " de Bruxelles et... le pauv docteur fut cris, jeté en prison; il faillit mên s passer un mauvais quart d'heure. Heureuseme r sa sœur rentra de Ho.lande et prit toute le re 0 ponsaoiiité. s Cette histoire date d'il y a un mois. s — Hier, M. Poullet, ministres des Sciences Arts, est parti pour 1e front, puis à Fumes, où , ministre se rendra compte des dégâts commis p r /artillerie ennemie parmi les trésors d'art d'architecture de notre vieille cité. — Le comte Goblet d'Alviella, ministre d'Etc - est parti samedi pour Londres, où il présidera 1 1 réunions de nos diverses œuvres de ravitaiil nent et de protection .des réfugiés dont il s'o s cupe avec une rare activité. s Public" la taxe inique et illégale sur les absent . apprécieront sans doute tout particu lèrement - camouflet indirect qui leur est infl.gé par Anvei Pour finir, deux remarques au sujet c compte-rendu communiqué de la Com miss le e intercommunale. Q Comment son président ose-t-il déclarer qu n'a pas pris position au sujet de l'expatriatio 5 alors qu'immédiatement après la chute d'Anve i il a mené toute une campagne en Hollande po- faire rentrer .es réfugiés, augmentant ainsi ' Anvers le nombre des bouches inutiles et d< chômeurs et privant l'armée belge de plusieu 3 utiles concours. t C'est surtout â raison de cette campagne qi M. Franck et ses amis ont été attaques—il i s faut pas qu'on i'oubiie 1 Je "suis ."heureux, d'autre part, de voir que 3 eomm.ssion apprécie, comme la Métropole> ■rô.e plus marquant que les employés de cor , merce et d'.ndustrie "belges" sont destinés jouer à Anvers après la guerre, et j'ai dès à pi sent plaisir à l'Informer.de ce que tous ceux < ces emp oyés qu. se trouvent provisoirement < s r.g eterre rentreront à Anvers avec une co i naissance pratique de la langue et dans ui s certaine mesure—des méthodes ang.aises q i .eur seront extrêmement utiles après leur retou 1 ! On annonce que par arrêté co légial le- pr c maximum du pain blanc sera prochainement fi: r à 52 centimes le kilo; celui du pain de guer 0 restera de 40 centimes, et celui de la farine se 2 porté à 00 centimes, par quantités de 5 kilo s Le pain blanc et la farine ne peuvent être tran 1 portés hors de la ville. On signa'e que dans les actions en référé, alo 3 que le président De Winter ordonne invariabl 1 ment l'expulsion des locataires en retard de pai i ment, le vice-président Maguinay a jugé que î s par le fait de quitter leur maison, les locatair devaient subir deâ pertes dans leur comme r t et leur gagne-pain, il est équitable^ de Ici accorder la faculté de s'acquitter par à comptes , "Cette sage mesure, dit la 'Nieuwe Gazet,' e i vivement louée. S ! LE RAID AERIEN CONTRE ESSEI 400 autos detruites. AMSTERDAM, 2.ï janvier.—Un Corresponda de 1' " Algemeen Handelsblad " envoie des c tails sur le raid aérien contre Essen, d'apr lesquels les dégâts effectué»s par les aviateu britanniques sont considérables. Un grand hangar servant à la réparati" d'automobiles fut complètement détruit, av les quatre cents véhicules à moteur qui s'y tro vaient à ce moment. A la suite de cette perte, los autorités al mandes ont réquisitionné quelques usines privé d'automobiles a Aix-la-Chapelle, où des centain lu d'ouvriers hollandais sont occupés maintenant travailler d'arraché pied.—Reuter. ! M. MILLERAND A LONDRES. e- une lettre a lord Z kitchener. eS LONDRES, 24 janvier.—Le secrétaire du W< n_ Office pubLe le communiqué suivant:— al M. Millerand, ministre de la guerre en Frant accompagné _e M. bérald Nobe^ du capitai Cambefort, et du capitaine Doumayron, est vei g passer ies journées de vendredi et samedi 1 Angleterre. lis visitèrent Aldershot vendredi, et y vire a_ les cantonnements aes troupes, ainsi que dei lf_ divisions de territoriaux. ie Le samedi, Son Excellence fut reçue par le r< jQ M. Miilerand se rendit ensuite au ministère de k Guerre, où il eut une entrevue avec Lo e£ Kitchener. je M. Milierand exprima sa haute satisfaction i l'aspect martial des troupes, et de ses dive " échanges de vues avec Lord Kitchener et auti * personnalités. " Le samedi M. Millerand s'entretint avec Lo \ Kitchener, M. Asquith, Sir Edward Grey, et . f; Winston Churchill. Nous Croyons que le ministre français r emporté que des impressions favorables de si séjour en Angleterre, diverses questions ayant e s* résolues rapidement, que la correspondance s eu aurait difficilement pu solutionner. Les rési tats de cette visite seront précieux tant pour 1 armées françaises que pour les troupes brita niques. Avant son départ, M. Millerand adressa o lettre suivant à Lord Kitchener:— Mon cher Lord Kitchener:— Au moment où je-quitte Londres, je tiens vous remercier de l'accueil que vous m'y av ie réservé. m Je savais, comme tous mes compatriotes, quei m- résolution anime le gouvernement de Sa Majes es et le peuple britannique. Je ne pouvais, ava y. de l'avoir vu, imaginer par quels résultats e ie s'est déjà traduite sous votre énergique et hab: is impulsion. és La confiance de nos deux pays dans l'issue la lutte que nous menons, en étroit accord av nos Alliés, ne peut que s'en trouver accrue. Cest pour moi un vif plaisir de vous exprim ici mes remerciements très sincères et de vo renouveler l'assurance de ma profonde et c vouée sympathie. MILLERAND. ? EN BELGIQUE. | les emprunts communaux le AMSTERDAM, 25 janvier.—Suivant 1' " Al{ meén Handelsblad," les conseils communaux IC* Gand et Anvers ont consenti des prêts aux coi ,e m unes limitrophes, pour la somme do 283,5i francs à cinq pour cent. La ville de Gand es déjà émis des bons municipaux pour une vale ^ de 5 millions de francs.—Central News. ^ AUTOUR D'UNE STATUE, i; AMSTERDAM. 25 janvier.—Samedi, 3S Bruxelles, la statue de Ferrer a été dégradée, le qu: causa une grande excitation et quelqu troubles. Le gouverneur général, craignant de nouvel! émeutes, prià le conseil communal d'enlever statue, qui est vue avec défaveur par les cath liques belges.—Central News. ie BOMBES SUR DUNKERQUE. le PARIS, 25 janvier.—D'après un télégramme sr Dunkerque au " Petit Parisien," un Taube is survolé cette ville hier après-midi à une heui ■■ et a jeté deux bombes qui, toutefois, ne fire 'a aucun dégât. re On tira sur l'aviateur allemand avec des cano ie anti-aéroplanes, et le Taube fut poursuivi par i 3t des aviateurs français. L" " Echo de Paris " dit:— Un des plus grands spécialistes en looping-tl: loop est la terreur des aviateurs allemands, chaque fois qu'ils voient dans le lomtain i maenine de notre compatriote—qui est tr lr rapide—les pilotes des Aviatiks et dos Tau e(j fuient à tire d'aile. Mais les Allemands ont certainement d , sources d'information dans la ville où nos chai pions aériens vivent, car chaque fois que lui < " sa machine ne sont pas à leur poste, il ne se pas Eruè.-e de temps où es aéroplanes allemands si volenyla ville et lancent des bombes.—Reuter. " V/ LES JOURNAUX ANVERSOIS. ^otRwtisons dans 1' " Echo belge," d'AmsU /" Les ' Antwerpsche Tijdingen ' ont vécu |n q/ue vivent les roses: peu de temps! Cette feuii gièrmanophile que tout le monde méprisait, i j] peau matin n'a plus osé affronter le jugeme u 'du public anversois. Déjà le versificateur mir rg tonesque avait quitté le triumvirat qui avait < j. le triste courage de fonder ce papier. Restaie | Mauw et l'avocat Weyler ! C'était peu. D'auta dernier n'a rien^'un journaliste! Et di jls que ces ' Tijdingen ' avaient agrandi leur cad et paraissaient sur quatre pages! "En réponse à sa fin prématurée, le pilote ce journal vous répondra que telle était Tinte t:on du triumvirat. En effet. Nous le savior i Et ces 4 bons patriotes ' ont dû être étonnés eu mêmes "ue le peuple les ait tolérés si longtemp; ' "Mais nous attendons toujours de M. de Vc ^ Van K eef, l'imprimeur de ia rue Rouge, qu * nous fasse connaître la liste des personnalit ^ ' dont les convictions patriotiques ne font -doute à personne,' comme i. nous disait, et q _ ont accepté ce faire paraître la feuille l' 4 Aveni " Depuis le 2 janvier, nous sommes sans nouvel! ^ de cet imprimeur et de ses amis." ix DFS 406 DE MARINE? té AMSTERDAM, 25 janvier.—Le journal mi taire allemand " Artilleristische Monatschrift a admet l'exactitude du rapport concernant les no s- veaux canons de marine allemands dont la port s- dépasserait de cinq kilomètres celle des meuleu canons anglais. I^ur calibre atteindrait 40.6 rs avec portée de quarante kilomètres (?).—Centi e- News. e- ' 'i, — La question du ravitaillement et de l'ai: îs mentation du prix des vivres en Angleterre a é :e examinée par un conseil du cabinet présidé p ir * M. Asquitn, premier ministre. L'attention < Parlement sera attirée sur la question du pain st sur la nécessité d'en fixer la qualité nutriti comme d'ailleurs cela a été fait pour le lait. I RELIGIO DEPOPULATA. l'allocution du pape al nt consistoire, é- " BENOIT XV ET LA BELGIQUI m 3c — U ROME, 22 janvier.—Vendredi, le Pape a pr e- noncé, au Consistoire, l'allocution suivante: Vénérables frères,—Afin de pourvoir, avec ^ solennité requise, les diocèses vacants, il nous plu de vous convoquer aujourd'hui ep not: présence. Elles ne soni pas peu nombreuses les églisi qui, dans ces derniers temps, sont restées privé de leurs pasteurs et, parmi elles, il en est d'ass-importantes par la dignité de leurs desservant pour que nous nous en e>ccupions dans cet assemblée. Mais tout d'abord, en vous voyai réunis ici, vénérables frères qui, par le lien tr tr' spécial qui vous unit à nous, prenez une pa étroite à nos pensées et à nos sollicitudes, noi ne pouvons nous empêcher de verseT de nouves iu dans vos coeurs un peu de l'angoisse dont, vous :n savez, notre âme est oppressée. Les mois, hélas! succèdent aux mois sai nt laisser luire î'espé.ance, même lointaine, de vo ix cesser bientôt cette guerre si funeste ou, poi mieux dire, ces massa ores. >i. S'il ne nous est pas donné de hâter la fin d'i ia fléau a'ussi grave, puissions-nous au moins e rd atténuer les douioureiises conséquences ! Noi nous y sommes employé jusqu'ici autant qu ie était en notre pouvoir, vous .e savez, et nous i rs manquerons pas de continuer à nous y employ es dans l'avenir, aussi longtemps que la nécçssi l'exigera. rd Notre mission apostolique ne nous permet p \l. de faire davantage aujourd'hui. Quant à pr clamer qu'il n'est permis à personne, poi 'a queique motif que ce soit, de léser la justice, c'e >n sans aucun doute le plus naut devoir qui incoml té au Souverain Pontife, constitué par Dieu coma le son interprète suprême. il- Il est inutile pour cela d'engager l'autori es pontificale dans 1e litige même des belligérant n- A coup sûr, pour tout esprit pondéré, il e manifeste que, dans cet effroyab;e conflit, la Saint-Siège, sans cesser de s'en préoccuper av< une extrême attention, est, tenu de garder ui complète impartialité. Le Pontife romain, en tant d'une part, qu' a est vicaire de Jésus-Christ mort pour tous 1 ez hommes et pour chacun, en tant d'autre pa qu'il est le père commun des catholiques, de le embrasser dans un même sentiment de chari ^ tous les combattants. Il a, de chaque côté d> belligérants, un grand nombre de fLs dont j® salut doit lui causer une égaie sollicitude, est par suite nécessaire qu'ii considère en ei non ies intérêts spéciaux qui les divisent, ma le lien commun de foi qui les rend .frères. ec S'il se comportait autrement, non seulcme: il ne contribuerait pas à la cause de la pai e mais ce qui est. pire, il attirerait à la religk des aversions et des haines et exposerait à d-troubles fort graves la tranquillité intérieure < l'Egiise. Toutefois, tout en n'adhérant à aucun d-deux partis, nous nous occupons également < l'un et de l'autre, comme nous l'avons dit, tand qu'avec anxiété et avec angoisse nous suivoi les terribles phases de oette guerre, et ce C. d'autant ptus qu'il est à craindre que la violen dans l'attaque fie dépasse parfois toute mesure. :c- Notre pensée cependant, comme il est nature ie se tourne plus souvent du côté où se manifest n- avec le plus de vivacité, l'attachement respe )0 tueux a l'égard du père commun des fidè.es a £e*'a concerne par exemp.e notre bien-aimé peup tir be.ge, témoin ia lettre que nous avons aefressi recemment au cardinal-archevêque de Malines. Et. nous faisons ici appel au sentiment d'h manite de ceux qui ont franchi les frontières d nations adverses pour ies conjurer que les régioi a envahies ne soient pas dévastées pius qu'il n'e strictement exigé par les nécessités de l'occup es tion militaire, et, ce qui importe davantage e core, qu'on ne b.esse pas sans une réelle néce es site les habitants en ce qu'ils ont de plus che la comme les temples sacrés, les ministres de Die o- les droits de la religion et de la foi, car poi ceux qui voient leur patrie occupée par l'enneir nous comprenons fort bien combien il doit êt dur de se trouver soumis au joug de l'étrange le jia*s nous ne voudrions pas que le désir arae: £ de recouvrer leur indépendance les amenât sp cialement à entraver le maintien de l'ordre pubi et à aggraver, par suite, de beaucoup leur pos tion. Du reste, mes frères vénérables, si des a ^ goisseis aussi grandes et aussi lourdes noi troub.ent, nous ne devons pas toutefois perd courage; plus l'avenir nous apparaît obscur, pli grande doit être la confiance avec laquelle noi €. nous approchons du trône de grâce pour obten et miséricorde et y trouver la grâce avec le secou la opportun (Hébr. : 4. 16). gg II est, par conséquent, nécessaire, comme noi 3e L'av0vis prescrit, d'adresser d'instantes humbles prières au Seigneur qui est le maître es arbitre souverain des événements humains, n. Qui peut seul, par les voies qui lui plairont d )U vantage, diriger les volontés humaines. Nous i ^ croyons pas que la paix ait quitté le monde sa: [r- ' assentiment divin. Dieu permet que les natioi qui avaient placé toutes leurs pensées dans 1-choses de cette terre se punissent les unes 1 autres, par des carnages mutuels, du mépris de la négligence avec lesquels elles l'ont trait< ir- d'autres événements viennent encore s'y ajout pour contraindre les hommes à s'humilier soi ce la puissante main de Dieu (I. Petr. 5, G). je Telle est? la catastrophe de ces derniers jour m dont nous savons tous combien elle fut horrib nt et meurtrière. C'est pourquoi, puisque la prière en commi ÎU est la plus agréabie à Dieu et la plus fructueus nt oous. exhortons tous les gens de bien à rend nt propice la divine clemence par leurs prières pe re sonnelles, mais surtout en prenant part dans 1 re *er"Plea sacrés aux prières publiques. Et pour qu'un immense chœur de voix su , pliantes monte vers le ciel, nous avons prescri n vous ne l'ignorez pas, deux solennelles cérém mes expiatoires, 1 une qui aura lieu pour 1 catholiques de toute l'Europe, le T février pr ; ' chain, et l'autre, dans le reste du monde cath lique, le 21 mars. Que la Vierge, très saint secours des chrétien " écouté et qu'elle seconde les vœux de l'Egiis. Puisse son intercession obtenir de son divin fi ^ que_.es esprits reviennent au cuite de la vérit "J ies âmes à celui de la justice, et que la paix à ' Christ reparaisse dans .e monde, et fixe déso 06 mais son séjour parmi les hommes. Aucun catholique ne lira sans émotion, r marque le " XXme Siècle," cet hommage p bliauement rendu par le Saint Père au peup li- belge, que les Allemands se vantent d'avoir ra? " de 1a liste des peuples indépendants, u- Et quelle leçon, cruelle dans sa discrétic ée voulue, à l'Allemand qui A LESE LA JUST1C rs et qui N'A PAS RESPECTE LES TEMPLES E 4, LES MINISTRES DE DIEU!... al Qui a lésé la Justice en violant la neutrali d'une puissance amie? La France, l'Angleterre, la Russie? g- Non. C'est l'Allemagne. té Les Russes, en Galicie, ont-ils détruit ur ar seule église, assassiné un seul prêtre? lu Non. Les Prussiens seuls ont brûlé les ten et pies de Dieu et martyrisé ses ministres, ire C'est sur les Prussiens seuls que tombe l'an thème du Souverain Pontife. L'ENREGISTREMENT DES REFUGIES, j , un avertissement. Nous avons insisté, encore récemment, à la prière du liegistrar-General de Somerset House, " sur la nécessité, pour tous les réfugiés de se faire enregistrer. Cet enregistrement est absolument nécessaire > et ceia élans l'intérêt même des réfugiés; et cet enregistrement ne constitue pas, comme d'aucuns le croient, d'une façon ridiculc d'ailleurs, un ia moyen détourné de savoir quels sont les gens en a âge ele servir—comme on nous l'a, du reste, par-■c faitement affirmé; mais c'est là une précaution prise par le gouvernement anglais, et parfaitement justifiée, pour se prémunir contre ies espions qui ne s'attribuent que trop facilement î® ia qualité de Belges; le cas s'est déjà présenté. yl Le gouvernement anglais est d'ailleurs décidé s à sévir avec fermeté; nous n'en vouions pour il preuve que la condamnation, à cinq semaines de prison, prononcée samedi par le magstrat de 14 Mariborough-street. contre un nommé Louis T., îs réfugié be.ge, non enregistré. rt Et il ne suffit pas de se faire inscrire au 15 " War Refugees' Committee," car ce n'est là qu'un enregistrement préliminaire. Que nos am s s'empressent donc de se mettre ie en règle aussitôt; il y va de leur intérêt personnel autant que de l'intérêt de la généralité des Alliés. ir Les réfugiés qpi séjournent dans la zone métro-ir politaine, doivent se faire inscrire à Somerset House, les autres au bureau de police de leur quaiiiici. •n Il les belges en angleterre ie Lé On se serait presque cru " chez nous en Belgique" en assistant samedi dernier au premier is concert populaire organisé au "Northern Poly-o- technic Institute " par nos musiciens be.ges. ir Ce fut un véritable succès qui fait bien augurer st eles auditions annoncées pour jeudi et samedi ye prochain par cette excellente pnalange orenes-ie traie. M. Anthony Dubois, un chef de tout premier té ordre, conduisit avec un réel talent un programme s. qui comprenait: l'ouverture d' " Egmont.," uns st symphonie du maî're Saint-Saëns, a su t> le le ballet: "In Fairy Land "' de Sir F. Cowen ainsi ;c que quelques pages de la " Damnation de Faust " 10 ele Berlioz. Comme soliste le public, particulièrement 11 enthousiaste, applaudit à tout rompre la tech-nique de M. Deru qui tint «'aud.toire sous le rt charme dans la romance de Beethoven et le it, célèbre menuet de Mozart ainsi que l'excellente té méthode de M. Paul Goossens dont la voix si bien ;s timbrée, fit grand plaisir dans les "Berceaux" de Faure ainsi que dans l'air de "PaiPasse." Il Cette première soirée fût un réel succès. ix L' "OSSERVATORE ROMANO." It x, PARIS, 23 janvier.—On télégraphie de Rome in à T "Echo de Paris" en date d'hier:— :s Je puis affirmer que dans les sphères du Vatican on est très impressionné par l'article pub.ié dans le journal catholique beige le " XXs Siècle." L'article de .1' " Osservatore romano," l'organe officiel du Saint-Siège, y est vivement ls et justement pris à partie pour ses tendances 18 germanophiles. La On commente beaucoup également le fait que ^ ce matin, au moment même où le nape tenait le Consistoire, au Vatican, on célébrait, dans L l'église nationale belge, un service funèbre rour e> les nombreux prêtres belges fusillés par " les c" autorités allemandes. A ce service, assistaient le représentant de la Belgique près le Saint-Siège et toute la colonie belge de Rome, îe j. LE PAPE ET LE ROI ALBERT. îs LE HAVRE, 24 janvier.—Le " XXme Siècle " is publie le texte du télégramme adressé par S.S. st Benoît XV à S. M. A'bert 1er, en réponse au a- télégramme du roi des Be'ges annonçant au Saint-î- Père l'arrestation du cardinal Mercier. A Sa Majesté le roi de Belges. r> Je remercie Votre Majesté de son télégramme et de la pénible nouvelle qu'Elle me communique. \c Notre dou'eur n'est pas moins vive que celle de a. Votre Majesté et Nous tenons à L'assurer que re nous n'avons pas manqué de faire à ce prOpos r» ce qui était de notre devoir. ll _ (S) BENEDICTUS XV, Pape, ie Voilà qui cou ne court aux inventions et aux perfidies do la " Gazette de Cologne," qui assurait au public allemand il y a quelques jours, eur 1. la foi d'une erreur de transmission d'un tél<;-ls gramme adressé du Havre au " Daily Telegraph." ■e Sue *a r^Pouse du Pane au roi des"Belges signi-ls "ait que, dans l'esprit du Souverain Pontife. 1S l'incident était clos. îs LES AVARIES DU "BRESLAU." PETROGRADE, 24 janvier.—Le navire de guerre " Hamidieh " qui, avec le " Breslau," prit lr part à un combat contre la flotte russe, est, gravement endommagé. Il est en réparation dam, ■ un dock de Constantinople. Des équipes d'ouvriers a" y travaillent jour et nuit.—Central New.-. IU IS ' ~ " is —Un message privé de Berlin confirme la ;s nouvelle de la démission du comte-Sturgkh, le ;s premier ministre autrichien. Bt j a LE LIVRE D'ADRESSES DES EXILÉS jç 9 p«noe 'a lieno.—Joindre le montant aox ordre», e.t.p. TPi U CORN E Y VALERE, sergent 3e récim. de 11 X-J ligne interne, nourolle caserne, iiarderwijck. Hollande, e, ucmfrnde noiirellea de a* mere. Veuve Jules Duoomey. ° T^AMILLE DIAMANT, Clanjicarde-gardens, 22" r- X? Hydo Tark. London, \V. ;s TVTODVELLB.- CONDITIONS.COUlîHDjS vermote inJonne militaires porte gratuiteruont !cu>\ D- lettres touto la Belgique et ranporte réponse aussi gratuUr- t mont. Pour cirik, 2fh. payables lors remise lettre et 2sh. ' lors remise reponre. Aucun déiail cuerre. Départ tous dix J" jours. KnToyez tos lettres pour Belgique, 4. Priory-gardenc, 5s Folkcstone. j- — —i s- /BOUTURE.—Mme SUZANNE, 31, Baker-st., V y W., inlonno les dames belges et trançaiges qu'elle rient ? d'ongager dans e«b salons. MADAME IRMA. s ex-rendense de la Maison Hirsch et Cie., de Bruxelles, qui pe tient à leur disposition tous les jours de 10 â 6 heures. Prix très modestes. 'Phone, Maylair 1960. U TZ INGSWAY THEATRE. Tel., Ger. 4032 l' 1\ REPRfôENTATIONS SPECIALES. TROIS MATINEES. DEUJC SOWEES. n CARLO LITEN dans LE CLOITRE, d'Emile Vcrhaeren. " Aujourd'hui 2h. 30; 28 janrier 2h. 30 et 8h. 30; 29 ianrier J- 2h. 30 et 8h. 30. le ■ DECES. E |V0US venons d'apprendre le décès de ^\f. rp 1^1 Emile tan Pottelsberghe de la, Pottorie, d'Ott^uc x enlevé à l'affection des siens daùs sa 85mc annéo, 14, Bel sire-aTenne, Hampstcad, London, N.W. ,é : . ■ ■ ■=z== LA METROPOLE paraît chaque matin, .sauf.io dimanche, dans le " Standard," rendu chez tous lr marchands de journaux au prix d'un penny. Nous conseii Ions Tirement à noé amis de s'abonner au prix de 3sh. 5 pai e mois pour le Royaume-Uni et 4sh. 4 pour l'étranger, , de nous ad rester le prix: de l'abonnement eu un mandai. I,., tarif dos annonces est dn 9d. la ligne pour le "Linr l* d'adresses des exiles." payable d'arance, et pour toute autre publicité, le tarif du " Standard." 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Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

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