La métropole: journal quotidien du matin

1176 0
21 december 1918
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1918, 21 December. La métropole: journal quotidien du matin. Geraadpleegd op 28 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/nk3610wx15/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

LA MÉTROPOLE IJp^o'cïS TIMES le numéro JOURNAL QUOTIDIEN DU MÂTÏS 54 RhF AiAT/ni\Af F £4 ANVF.RS Samedi ^ .tournai admis par la censur, MISE AU POINT ■ Certain ôlêmeita plScea, on équi patriotique assez instable, sur la r de l'activisme, et qua nous appelles volontiers les activistes honteux, chent h jeta- lu discrédit sur noire pagne essentiellement nationale ou en < tarant saris sincérité le tens r ■ I C'est pour eux un pro<^ »^ £ que peu délicat de ^e ^-(tïi gênant dont » caf ^ & g j retuîo démasquera to 1 ^enles arrière pensées et »cur - 8 Nous nous soucierions peu de leurs v%res ot de I^ur® attaquie £i lc6 men ™ QU'a( répandent contre m,us ne puaient par leur impudence même, ®l'opteon de la population flam, restéo dans si très grande r-Ajcirite branlablemont loyale et fulèle au prin divisibilité de la nation bolge. Ne pouvant nom accuser franch© sur la base de ce que mus «tison*, (lèments dont nous parlons r.ous. pn gratuitement des propos que nous u a pas ténus, où, s'ils n'osent aller >u là, nous soupçonnent, plus gratuit# encore, d'intentions qu'ils nous aitril nous nous demandons bien de quai c Et — chose incroyable Vs ver nent par-ci par-là à en -aire accrou d3S concitoyens, disons^ même àde'iç dont L'opinion nous importe infini plus que la leur. Nous tenons donc à le déclarer h ment, pour que nul ne i>uiS36 plus vŒrtir nos pensées : nous Femmes p' ment partisans et saurons éventuelle nous montrer les défenseurs de tous, droits des flamands. Nous savous ; bien que nul autre que c' îst «le la 1' et de l'étroite collaboration i s dein ces qu'est formée cette Belgique qui vivre et grandir, une et indivisible, cune des deux racere ne .1 jit cher en opprimer l'autre ; c'est oien l'avis i€ les patriotes. 'Chacune dos deux cultures doit voir se développer librement, mais antagonisme réciproque. Particulière dans des grands centres comme Air — centre véritablement mondial, qui été et qui le restera —,1a culture fia de, si légitime que soit son essor,ne pas chercher à étouffer la française Cette tendance à l'étouffeanent delà tuire française en Flandre, est un empoisonné de l'activisme. C'est lui quement, et non l'essor même du mand, que nous combattons. Toujours noi'S aurons» devant Us parée qu'elle nous froissa a:':'reis-J une odieuse caricature du "Toorts", présentant un "activiste" secouant 1 t à grand peine, et un "passiviste" paie mène instillé par terre pour en Tece et en savourer les fruits. Cette carice es- une saleté inqualifiable, une in aux vrais Belges flamands qui — if mor feront b'en à ^ Gand— rejettent ave goût tout ce qu'a voulu octroyât à cause qui leur est pourtant obère, la nlficence intéressée d'un lyran iuaohi lique. A Dieu ne plai-e que nous c onfond dans une même r probation l»s nrriv qui, soldés par l'ennemi, ont renié 1 trie sous prétexte de servir la cause Hnde, ot les patriotes sincères qui, ittnt toute la guerre, ont enfermé leur cœur — à moins qu'ils ne les sent éclater dans quelque manifeste £ cienx — 1<« sentiments de r :volte el douleur que leur inspiraient la trah ot ia maladresse des renégats. Nous voulons môme le dire bien à l'adres3e d« nos compatriotes wall oette confusion serait une erreur et glande injustice, parce que précisémen rÇsiatanCo d! s vrais Belges flamands i le principal obstacle à l'entreprise d ■vision de l'ennemi. Aussi, la comm serait travailler contre l'union désii qui doit cimenter la grandeur futur notre pays. Do cola nos amis wallons, nous avons la confiance, se garderont Boin comme d'un dangereux écueil. No s amis flamands, de leur côté, voudront à aucun moment, prêter f au soupçon. Et, ainsi, par la confiance réciproque la commune loyauté de leurs prosélj les deux cultures ; grandiront côte à < sans se nuire ni s'entraver. Telle ost notre pensée, tel notre C'est animés par ce sentiment d'haï nie et de concorde qiue nous continue] l'oeuvre que. nous avon« commencée, ne aherche à flétrir que les traîtres, ne tend combattre que les exagérât maladroites. Elle défend les droits j fiés. Elle respecte les tendances légitii Elle admire les courages et les initiât: comme les souffrances et les silences, sphrée par les aspirations de race pli s ardentes mais qu'a su et que tempérer la notion supérieure de la pa Nous parlons ci-dessus de gestes a deux par lesquels les patriotes flam ont parfois, au cours de l'occupation, à manifester leurs sentiments à l'é des menée> de l'ennemi et de ses va Parmi elle-, sans parler de maintes tre manifestations restées fameuses, range la protestation adressée à Von Bing en janvier 1916 contre la flama sation à, l'allemande elo l'Université Gand. I>a "Lira Belgique" prohibée, la reproduisant dans son numéro 65, rer un bel hommage à l'àttitudo des signi res, dont la lettre, "pleine de noblesse, dédain et do fiorté patriotique... slig tisait comme il convenait cette insuit, oomédio" et. détrompait si cômplètemen espoi s de l'autocrate. Donnons la preuve de no3 sentiment reproduisant à notre tour un extrait ce; manifeste avec toutes les signât qui y furent apposées : " La question flamande est une q tion de politique intérieure. Pas un manl no songo à abandonner, do c que taçon que ce soit, à l'occasion d< présente guerre, les elroits qu'a sa lar d^ôtro tTOitée dans le pays sur vn d'égalité parfaite avec la langue fiar se ; pas un d'entre nous no laissera tamor ces droits par qui que ce soit, contraire, notre profonde conviction que les désastres communs, les mis ■urajgeusement supportées, ffcéfo'i dont, cote à côte, nos soldats flamand: leurs camarades wallons font prouve les champs de bataille et dans les t chées. amèneront, après la paix,, une luti n fraternelle, satisfaisante et dé: tive de toutes les queslioifc lingmtiç encoro ^ pendantes, et notamment celle 1 organisation de l'enseignement uuive taire flamand. Mais nous sommes certi d'être los porte-parole de nos concitoj flamands, quand nous oisons eue, s'il git pour le pouvoir occupant' dintervi dans cette question intérieure, ils re çirent pas cette intervention et ils ne 1 ceptent pas. K PNot?e conviction s'appuie sur des : Bons d ordre juridique, sur des rais Q or re politique et des raisons d'or moral... Quelque difficiles que puissent être circonstances, il vaut -.nieux que le p voir occupant ne conserve aucun do au sujet de notre opinion, et ne soit ; Bous l'impression qu il existe, quant à Bituntion internationale, la moindre di\ jenro de vues entre les Flamands et 'Wallons, M»*Ainsi quo l'un de3 nôtres l'a dit «mn-ent dans une séance publique ^onseil communal d'Anvers, le seul pe ûe vue auquel, nous autres, Flamand armngants, nous puissions nous plac fi , cî Ul ^ l'Iudépcndance de la J «on bel£&, , j "(S.)Lou'3 Franck, député, d'An: Jean 13o Vo«, bourgmestre d Am er » Cupérus, fl. de directeur du ÇoK r '°ir? flamajf VégliS'Ttre-Dame raie Vlaamscho Bond " ; G. "ujslu libre député Gand; Louis L.ecle!, eena Bi-re Alnh Ryckmans, sénateur, E. An •ions diSpitté, échevin do la ville de Gand; ;ber- Vfln Poborgb, sénatour ; Léopold Gt ■Mjn- docteur; J- vnu- Le'ion, ancien président de la Vlaaj rtée. C'onferentio dor Balle" ; Edm. de 1 îcile président de l'Asso iataon des bj aire flamandes libérales; G. Koyers, d r0u- conseiller dommutnal d Anvers; Ni îurs docteur ; E. Vf évier, avocat, oonc reu- communal ; F. Cootmans, bourgmest Berchem; Paul Frédéricq, professe l'Université de Garni ; Juliaan Devi n directeur de l'Académie royale des 1 Vy. Arts ; J. Van Menten, vice-prcsidei J'n l'Association de la Presse belge ; Ec tn,U Duysters, avocat, député d Anvers Larnborelie, député, conseiller com cire ^ Mali nés ; Karl Adriaenssen, de l'Association des Instituteurs D weg"1 ; A. Vermeylen, professeur à ^en ygj-eité de Bruxelles; lerlinck, doo ,ce; Dr Maurice Sabbe, professeur au C : en vatoire flamand d'Anvers ; A. Ooolt 'cus vin de la ville d'Anvers; F. Claes ïuue servateur des Musées Steen et Mais nen; Bouchers, à Anvers ; Van Isacker, uefJ* bro do l'Institut belge d'histoire ele :0 M. Pvoucourt, doyen de Bouchout ; I i(I1" scheidt, chargé de cours à l'Uni ver 0 à Bruxelles ; Aug. Michet, directeur d stitut Mlchet-Monigenast ; Edward, r.ent «rjfet d'études à l'Athénée royal d'A: De- Bruyne, professeur h l'Univers mte- Gand, échevin de la ville de Gand t;a- fer, député, ancien bourgmestre de tine- Léonard Willems, avocat à la Cour mont pel de Gand ; Ad. Buyl, député d les de-Furnes-Ddxmudë." SIS g L'ACIJJAUH 7 h LES ELECTIONS ANGLAIS! tous , , Pour la première fois, a la suj pou- l'abolition d'un système permettant sans électeurs d,o voter en los divers e ment 0I^ J'8 possèdent le^ qualifîcat ons -ers raies re 'uisc-s — système remplacé ; la" one mau, one vote " — les électic nan- glaires ont eu ïbu, non dans 1' doit d'une ou de deux semaines, mais celui d'un seul jour. cuj. Le- résultats très approximatifs di fruit ^n sont connus en ce moment.La co uni- formée par M. Lloyd George entre raux et conservateurs, a\ee ses 41 ges, aura une majorité de 113 vo los autres partis, représentés resp f ment comme suit : libéraux 105 si travaillistes 110 ; nationalistes (irlai rbro ^ ' sinnr"J'eilier3 scit 297 sliges Il l0 I/'homme qui " a gagné la guerre A jr~ aussi celui qui a gagné la bataille ture toraie. Lloyd-I^eorge voit triomph ulte «roupement formé sous ses aiu 5 je Comme nous le laissions entrevoir, , jj,, un article antérieur, consacré à la \'xe tlon politique en Angleterre, les éli 1I1U. se sont faites en grande partie sur av^ rain des personnalités. On a voté ou contre le gouvernement auquel l pie anglais est redevable do la vi lions Néanmoins, durant les derniers je ls,e3 ta bataille électorale, les orateurs pas manqué d'aborder de iront des ,ia' tions de programme, et notamment , ayant un rapport direct ou indirec d^s.lapaix. . I Ainsi l'attitude à prendre à u .a'|de* hommes i>olitiques allemands r (le sables de la guerre, à l'égard dos ison mands internis, de l'industrie et c ^oce allemands, l'indemnité de guer: haut ont été discutées de part et d'autre )r-s: d'une façon plus définie et plus une sîvo par les candidats de la coalitii t la par ceux des libéraux, dont le cl L Asquith a manqué un peu d'énerg - <16-- de combativité. îtlre La tâche du gouvernement issi able élections du 14 décembre 1918, serc ^ de sicl'rable. Elle consistera à résoud foule de questions n'es de la guer en plutôt de la cessation d'icelle : la avec bilisation, le retour des soldats dan* foyers et surtout dans leurs ateliei no travail; la cessation des monopole: anc cessités par la guerre, le retour grand nombre d'industries aux o 5 cj tioiys de la paix, les griefs d'anciei ficiters insuffisamment rétribués et d dats dont la pension mérite d'être montée, sans parier de l'inévitable blime irlandais, rendu plus irritant but- la suecis dos sinn-feiners. Il s'agir mo* si d'aider à régler les destinées do "°J]S ropo et môme de pays hors de l'Ei à reconstruire des contrées entière 6 vagégs et ruinées par quatre année ia":s guerre, à résoudre un ensemble de " blêmes d'ordre international. Plus c nes- mais on pourra dire que toutes les ,v.03 tions d'intérêt mondial ont écho au du parlement britannique. e.3 Que fera Lloyd-George, ainsi con s.u par ie suffrage populaire? On lui irl0, l'intention de modifier le mdnistèr point de vue numérique Comme so rapport personnel. Le cabinet ne uda- prendra plus que douze membres, mds Milner déposera son portefeuille d€ tenu nistro de la guerre ; Eric Geddes ?ard m.cr lord de 1 amirauté, abandonner 1 ts. fonctions pour être mis à la tête con- département nouveau : le ministère se transports, aurjuel la nationalisation Bis. tuelîo des voies ferrées donnera un ndi- porlance exceptionnelle. 11 est questio de s.i du départ de M. Bonar Law, e1 en lier do 1 fîohiquier, dont le suoeessen (jai; ra'.t M. Aust?n Cha-mberlin. itai. I-c "Daily Mail", qui n'a pas n: de ses critiques à l'égard ,du premier œa- t1"0 pose, à ce propos, la question suiv vnte le cabinet gouyernera-t-il M. Lloyd-G , lc6 ou ^8n celui-ci gouvernera-t-il le net ? 3 €ri La parole est aux événements. do S^cc-a ""es UN CONSEsL DE CABIN 1 1 !" uel- (£>e notre correspondant de Bruxelt ! Un conseil de cabinet s'est tenu , dredi matin au ministère des fir ^ai. sous ia présidence de M. LéonDola g i^s ministres y ont réglé différentes ^ tions do ménage. ^ M. Masson a exposé les mesures Vj-es ^omP^e prendre pour assurer la libé: sme • y°lontair?a. vue d'éviter toi ? et ^re d'empêcher tout favoritis 'sur miru£tre a décidé d'opérer leur lie •an- ment pn-r cat'-Soriee. go Au point de vue de l'industrie, le ■jpi. vernement a décidé de prendre des : ut» re3 ^e®tinées à assurer le rapatri (les machines qui ont été enlevées p Allemands. Des industriels ont été dns v°y^8 Cn Allemagne pour y recherc ens raatéricl qui a été enlevé de leurs ui s'a- Masson et le baron de Broqti >nir von^ e entendre au sujet de la forn dé. donner aux distinctions destinées à 'ac- rc^ Pa^rioti3me des Belges qui si vaillamment conduits sous l'occupatia • lemande. Des ( distinctions à titre post seront accordées à ceux qui ont été D. lC's et d'autres distinctions a ceux q-ire été condamné s par les tribunaux mands. les Les ministres ont décidé d'institue! ou- chacun de leurs départements des ute d'honneur chargés d'examiner la siti )as des fonctionnaires et agents qui se la compromis avea l'ennemi ou ont er- preuve d'activisme. Une série de p< ies nes seront révoquées d'office ; ce notamment 'es membres du Consei ré- Flandre, les professeurs de l'Univ du allemande de Gand, tous ceux, en u? iint qui ont accepté des fonctions ayai i et caractère politique. Une sorte de ^ c er, d'appel sora institué sous la prési \Ta* d'un magistrat pour l'examen des ca< t<em* ENCORE L'OURS 3TV a- — bons, Xie" Malin " croit pouvoir déclarer qu': •Van n'accepte pas la leçon quo noua lui avom Libe- donnée à propos de l'emplâtre Seliep a>ver, mems. Cela n'importe guêtre. La questio: teur ; ost de savoir, non pas si le " Matin seele, accepte la leçon, mais bien s'il la mérite Léon Et sur ce point, entre lui et nous, c yens, n'est pas lui mais l'opinion publique qu ; H- est juge 6 Dans un accès de puffisme comique, 1 'uydt, m jk£a^in " qq vante d'être le seul journo ûièiti^ n»ft pQg paru sous la cens;ure alk -Putô» mande. Pour parvenir à faire croire qu': lyons, ^ S0ra^ autrement de la "Métropole", •tuller invoque les arrangements intervenus ei ** tre la " Presse H e)o la " Métropole ", a x A londemain de la guerre, et leur atbribu iendt, )in oaraofère à la fois faiitaisdsbo et r t .eaux- troactif. Ircond disons tout de suite que nous no pa] Dt taS00118 Pas du tout sa réprobation d munal PriTlc"P0 Pour 108 journaux qui ont par -id ni sous la CônSure allemande.. Tout ctait o tester- savoir s<> conduire l'Uni- Nos confrères anversois qui ont par leur ; 30115 ie3 Allemands jusqu'au Jouroùleu onser- dignité et leur honneur ne leur parmirc i écho- P*113 continuer, se consoleront ais< ' COa. ment, par les sympathies que leur témo 3n des SDa la population restée fidèle à se mem- foyers et au sol natal, des reprocl.e Elome; gratuits de ceux qui sont allés à l'etrai lo^en- o°r, défendre leur pays et trop souvei a lté de calomnier leurs compatriotes. î l'In- Le " Malin " aura du reste bien fa Xx)OS, de clioiôir cette tangente puisque, s' ivers; était demeuré ioi, il oit apparemment pi ité do bliô les homélies pacifistes de M. Va ; Sif- Pehorah. C'est ce que nous devons ooi Gand; dure de la publicité qu'il accorde à l'on d'ap- plâtre Schepmans, celui qui ne guérit sa: Osten- aucun coin. Car, oe qu'il y a de plus comique dar . la fière attitude du " Ma»tin ", c'est qu' se vante de n'avoir pas môme voul r~* paraître hier sous la censure allomacK Iv tandis qu'il s'honore aujourd'hui do pi blier des certificats de patriotisme à d< S personnages qui ont traité de notre sor , 3^ dans des journaux vendus ot infâmes, c x 1 ^ s'y acoquinant avec dea tripouiilrs ou't idroiîa à la vln^icl° nationale pour coimpîici; éleoto- aveo rera<*ttl 1 3ar le C'est ce qu'on peut appe'er de la v; rlé ns an- (laE6 1° talent. 3space * dans Pour faire suite, nous reproduisons v 16cru- lontiers la lettre ci-après : '^llbé^ " réponse à son articulet de ce joa q sj£. "Le Pavé de l'Ours", ditosjdonc au "M x sur tLln" ma ï>a,rt me3 i^tiales il sau] B^ive- 1>ioû ^ J° 6u5s) . que si môme la "M ,g(e8 . tropolo" avait paru sous le titre de . idaisV "P1'086®"» c°la prouverait tout au raoii que sa direction fit sa rédaction, on loi ' " est ou €n Par^e» sont restées à Anvers, £ ôleo^ ^3;i ^'r» comme c'est le cas c *r le "^®tin", laissant derrière elles toute ' iceg correspondance que des tiers avaient co: dans ^ ^eur l°y®uté. Résultat : perqudf situa- ^on <^'03 Boches dans les bureaux < sotioii3 arrestation, incarcération < le ter- uoml:,ro ces tiers. pour "J® n'insiste pas autrement pour i peu- moment. H E. M. " (P. S.) — Le3 Boches m'ont arrô • le 1B novembre 19.14, après avoir trou1 uee- ma correspondonee dans le3 bureaux c J" "Matin", parce que dans une des lettr t av2 les traitaÎB de "brigands". 'égard TGÎ DEUX PROJETS DE LOI u né- Ornais ^-a co^atlon des grades universi agrès- ta/res. — Les traitements ci m quo . icf, M. personnel enseignant. ie et M. Harmigniea, ministre des sciences des arts, a déposé mercredi deux proj-des i0i important. con- Le premier de cej projets est relatif re une la collation des grades universitaires, re^ ou prévoit dos facilités à accorder aux jei démo- ne3 gens pour la présentation des ex, » leurs mens. Il y aura désormais trois éprouv< ■s de par an au lieu d'une. Les étudiants pou 5 n~- ront ainsi faire en trois ans ce qu'ils fa d un saient jadis en cinq ans. îoupa- Pour les jeunes gens se trouvant c 13 of- front, le nombre d'épreuves n'est pas lirn 3 sol- té et ils seront dispensés de produire ! auig- certificat d'études humanitaires. Pr°- Ce projet do loi a reçu l'agrément de par représentants de nos quatre grandes un a, aus- versités. i Eu- j^q second projet concerne la rémunéra îrope, tion des services du personnel. enseignan 3 ra* Il a pour but de majorer le barêm s de des traitements fixes et de remplacer l'a P^°" tribution du minerval des élèves aux pr< ue]a- fésseurs par un appointement supplémei ques- tai-e proportionné au nombre d'heure sem qu jva consacreront à l'enseignement ai delà du chiffre de 90 heur s par an. solidé Ce projet f-Ta disparaître des inégalité prête criantes, certains professeurs bénéficiai 3 au souvent d'un minerval considérable qi 113 i® d'autres non moins méritants ne parv< c°m- naient pas à atieindre. Lord mi- » pre- V" BELGIQUE et HOLLANDE évon- a la première Chambre hollandais i nus." ^ d6ç. — A la première chai îanco- bre' sur la proposition de M. Vanlio ir se- seeinliste, le ministre dos Affaires étrai gères a dit que M. Van Vollonlioven,m éna»é llislrt0 des Pays-lias à Bruxelles, sera ni nie- nommé à un grade plus élevé ante : ^aa Giroendael déclare ne rien si eorge" v0^r concernant le mouvement séparatisl cabi- dans lo M Nolens insiste pour qu'on réfute in médiatement les reproches injustes adre: t sés aux Pays-Bas. l°r I.os Pays-Bas continue l'orateur, n'ae mettront pas qu on leur arrache une pa: tie de leur territoire. Tl est certain d ^ j la correction de l'attitude du ministi quant au passage de troupes allemai es) des, mais dit que le ministre eût bien fa ven- ^ informer, tant verbalement que pa ances écri,t» lo gouvernement belge. 3roix. ministre des Affaires étrangères d< ques- c^a/ro Q.UO le désarmement des troupe allemandes fut l'objet d'une surveillanc qu'il minutieuse. Los troupes allemandes n'j nation menèrent quo des Bceufs de trait qi t ar- no pouvaient avoir été voles en belg ne, lo quo* hagag.es furent minutieuse encie- !neîlt fouillés afin de rechercher s'ils r contenaient pas du matériel de guerre o Gou- butin. Les^ chariots belges que l€ nosu- Allejmands avaient amenés furent ram< îment aéa Belgique. 1,1(8 vV — en- ^ sines. Le martyrologe du Clergé eviile !fono^ Dans le diocèse de Bruges > sont Pour compléter les articles que nou n al. avons fait paraître sous ce titre, nou hume avons demandé des renseignements à l'é fusil- vêohé de Bruges. n ont M. le chanoine Mahieu, secrétaire d aile- S. G. Mgr l'évêque, nous répond qu'ut seul prêtre du diocèse a élté assassin dans par les Allemands dans los tragique jurys journées de 1914. îatlon C'est l'abbé Achille Foulon, vicaire sont Stadon, né à Wevelghem, lo 19 novombr fai't 1874. Au moment où les Allemands er îrson- traient au village, il quitta sa maison sont un instant après, il y rentra, pour prei 1 de dre quelque objet ; à sa sortie un cou erslt'é de feu l'abattit, tiré par un soldat all< imot, mand. it un II y a eu d autres victimes delà guen )nseil dans le clergé (lu diocise, mais auou denco autre prôtre n'a été fusillé ou tué par le ; dou- Allemands dune manière directe et itatei tinnnfillA. > L CHÂSSE AUX ACTIVISTE 'H Les députés félons J,6 Voici le texte de la lettre par laq ^ lo Ministre de la Justice a fait par: .. Président de la Chambre do l'arrestj e des deux députes traîtres à la Patrie 3e " Monsieur le Président, ^ " J'ai l'honneur de porter à votre naissance que MM. Augusteyns Léo: le FIend?rlckx Alphonse, membres de al Chambre des représentants pour l'ai e- dissoment d'Anvea*s, sont actuellemend 'il tenus en vortu do mandats d'arrêt e: il tés les 15 et 17 novembre dernier, n- font l'objet de poursuites " pour c iu contre la sûreté de l'Etat et pour J Je méchamment servi la politique ou lee 6- soins de l'ennemi, participé à la tran mation par l'ennemi d'institutions ou r- ganisations légales, ébranlé on temp do guerre la fid'lHé des citoyens envei l-u Roi et l'Etat, faits prévus et punis uo 'os articles 104 et ll«bîs du Code pé " Je vous prie de vouloir^ bien ru part à la Chambre de la présente munication, qui m'est dictée par le re ■T» do la prérogative dont l'article 46, ! 'v do la OonstitiHtioh investit chacune deux Chambres. ' " Veuillez agréer, morjsieur le Prcsi l'assurance de ma pariai te oonsidérî n " Le ministre de la just inj M (s.) E. Vandervelde." Dans les papiers oubliés Une découverte intéressante vient < 11 faite au Ministère du Travail. Le Ver liées, le principal instigateur c séparation administrative, y a oubli pièce importante. Il s'agit du procès-verbal d'une s< ur tenue au Ministère, dans les bureai traître Ver Hces, et dans laquelle fu n,s rêté lo programma de la dlvisaon i 'i] nistrative de la Belgique ! rtu Assistaient à cette réunion, outr de eieur Ver Hees et les nommés Tac ,u* Borms, autres traîtres, Leur3 Excell c? Helfferich, von der Ijancken et von Sa rt» Le document a été transmis à la Ju en o3 A propos de 1 activisme au ca iKo d'Holtzrainden Nous avons publié, émanant d'un patriote, qui a séjourné longtemps au susdit, et dont nous n'avons pas de son de suspecter 1* bonne foi, ceri informations assez précises. r0' M. J. L. Vermeylen, cité dans cet cle, déclare protester de sa complet nocence. Jusqu'à preuve du contiaire f1 lui donnons acte de sa protestation. Nou3 recevons également une letta fr.a protestation do la part de M. De Dor V., ancien locataire du "Café élu Tonn II nous dé:lare quo jamais il ne (n, occupé à faire de l'activisme ot s i intervenu dans des discussions c'était 3U le critiquer ouvertement. Il n'était : ,u ment conservateur d'une bibliothèque mande,' mais bien d'une bibliotôque nî" mande qui ne contenait aucun livre mand et qui n'a jamais demandé ni aucun livre ni aucun socoijrs des 6 mands soit directement soit indirecte Des dons offerts par le "Baad van \ Ie der en" ont toujours été refusés cat quement. Leâ frais de reliure étaient portas par lo bibliothécaire et par ^ très prisonniers parmi lesquels ne i '^u aucun activiste. Il n'as i tait jama :es uno réunion des activistes du cam n'était prvs présent à la conférencu Rosseeu'w. — Les activistes wailonù La "Nation belge" annonce que df région ds Charléroi on sévit avec lf grande sévérité contre les individus pendant l'occupation, ont fourni aus lemands des majtérâaux et de la \ ■Ju d'œuvro destinés h des travaux militi ou bien ont travaillé à la propagane tiviste wallonne. Parmi les individus arrêtés se t] jj3 l'avocat Carlier, qui fut un des che mouvement séparatiste wallon que lee ^ lomands essayèrent de cr^er dans le; U \inces du siîd, comme ils encouragc 3LL, les tendances du même genre, dam provinces du nord. On a arrêté égale -eg un conseiller communal du nom de ir. prez, et deux séparatistes, MM. Lai ai_ et Bayet. Suppression de deux écoles a.u à Bruxelles aile Le ministre des Sciences et des vient de décréter la suppression pu eg simple des deux écoles normales fl£ des que les Ikiches et les acti> avajen'C créées à BrUxielles,et qui, •a. d'élèves!, ont coûté un argent fou. no A GAND î,t- lis gobaient les œufs >0* Sous la domination boche, dit la " ,n" dre Libérale", tout habitant de Gan< ,&s nant des poules, était tenu, par orc ,u" fauterfrité ailemande, do livrer de3 à un service communal, établi rue ;es Bruges Le nombre d'anifs à fourni -nt poule et par samaino, variait selc uo saison. re- Ces œufs, affirmaient les Biches,é destinés aux hôpitaux et établisaomej bienfaisance. Vous auriez eu beau affirmer et é quo vous avioz choz vous dos er | ou dos vieillards malades, dont l'é ganté récla/mait impérieusement des les individus qui dirigeaient "la cei ,e des œulis" étaient inflexibles ; il m- livrer les teufs prescrits sous peine ol, certain nombre de marks d'amende .•n- œuf non fourni. □i- On sait actuellement quels étaient ait bénéficiaires des produits des bî cours : les principaux étaient.. ta ia- vist9S ! >te Nous avons sous les yeux la lis répartition du 10 octobre 1918. m- Nous y voyons : aux flamingantf >s- œufs, Hôpital civil 100, Crèche3 du reau do bienfaisance 50, Crèches g A- ses 50, Sœurs do chanté 50. Asilo ir- Bavon 75, Chartreux 25, clinique < do Vercautoron 20, Petites Sœurs des re vres 30. n- Chaque sema'ce les activistes exigi lit leurs 370 œufs, et deux domestique ar l'Université flamande venaient régu mont en prendre possession, lé- Les établissements hospitaliers es vaient h peu près la même quantité co eux tous ensemble ! J Contre les activistes gantoi! ?i- Lo conseil communal de Gand,au k>- de sa dernière séance secrète, a pr no à la nomination d'une commission de ou membres, désignés dans chaque gi es politiejue, pour peser les faits et exa: 0 le degré de méchanceté, de passioi fanatisme ou do bas-intérêt do que ^ employés communaux qui se sont : à l'activisme. Certaines accusations contre des bres du personnel salarié par l'adn tration communale, ont été établies contestation possible. La rêvocatdo: coupables ou l'acceptation de leur d is sion avec droit h la pension soloi ia degré do culpabilité do chacun, ont é- votées h l'unanimité. w\ un ^ Contre l'Université flaman es de Gand a re Le mouvement d'hostilité à l'étab- n. mont d'une université flamande, à C 1 ; prend do l'extension. Nous apprenon< n- doux députés flamands, MM. Buy se jp Buyl, ont décidé de fonder à Garv Le- organe flamand qui mua pour mi3sii combattre l'idée de la création & G re d'un établissement universitaire flan ju C'est du moins le bruit qui cire e3 jeudi dans les couloirs du Parlemen *■ vV S Souscription L.IOI& UU JUUllldl 1U ■ HICIIUJIUIW - I Noël des enfants pauvres Report fr. ! ' au Les employés do la oaisse de Prêts Lll0n M. Geo dette i: Mlle A. L'Hair Pour le bonheur de Paul et Gabriel1!© Pour lo bonlheur de mes chers enfants ECHOS riœ« Programma de la journée : ivoit SPECTACLES sfor- Variétés. — A 7 h. 1/2 « La vio de Bohême or- Théâtre Flamand. — A 7 h. « Do Hi » de derlaag », s le Opéra flamand. — A 7 h. « Faust ». pa* Sca'a. — A 7 h. 1/2 « Ze Zijn Schéuf »• nal." faire CONCERTS com- Place Verte. — A 5 h. 1/2 concert par spect musique du 17° de ligne. d69 AVIS A NOS ABONNES 'tion Nous prions nos anciens abonnés t nous faire connaître le plus tôt possib LCe» leur adresse actuelle exacte, nos registr ayant été détruits lors du bombard ment d'Anvers. Au 1er janvier 1919 commencera L'être service régulier des abonnements, do: sieur voici le tarif: :e la UN AN t Fr. 24.— j une SIX MOIS : - 12.50 TROIS MOIS : - 6.50 :ance Les abonnés qui habitent les villes x du communes de provinces sont priés t ar- se faire inscrire au bureau de poste idmi- leur localité. 5 jQ Lo Roi et ie port d'Anvers k et i-e lloi, qui s'intéresse vivement au e jncee ve-loppomont du port d'Anvers, a envo directement un de ses officiers d'orde stioe" ^ance, le major Du jardin, auprès de Strauss, à l'effet d'être mis au _ coure mp de3 projets de la Ville à ce sujet. /WV\A oom- AuP°rt camp Nous étions si heureux:, apros quai rat années de chômage forcé, d'apprendre aines proohadne arrivée dans notre port <3 bâtea.ux qui doivent assurer à notre î ar£. pulation ouvrière le travail et le bie » être. Tmna nou8 signale que lo vapeur "Go ' land", de la Eed Star Line, qui dev de srenir à Anvers, vient de recevoir c •iJL ordres do se diriger sur Rotterdam, et T" nous revient quo d'autres navires d< 8 ,u ' tinés au "Comité national de secours S1.est d'eilimentatlon"^ continuent à être diri^g ee' sur Rotterdam, sous prétexte que l'< P°1ir combrement de nos installations mar: au , mes et de nos magasins et la pénu a^,e" de moyens de transport au port ne p a" mettent pas encore de recevoir et d'e magasiner ces cargaisons.On croit rêft roçu en entendant cela ! Aussi ospérons-nc Aile- que le Comité National et les autori ment, belges interviendront sans retard da laan- rintîrôt do notre grand port nation •gori- qui doit fatalement avoir sa réperci sup- sion sur l'intérêt général. d'au- — Iguro fin Cercle catholique ^ ^ Un bon point à l'actif de cette socié J ? Fa/isant preuve dfinïative, la dlrcti > du "Cercle" annonco à ses membres reprise prochaine des fêtes et représi ta tions. , Le programme débute par. une soû ms la patriotique, fixéo au 27 décembre et ' P . oours ele laquelle Monsieur le Minis ^P.1' d'Btat Segers, prendra la parole. ,1' En dehors du plaisir de reprend naim- contact avec l'éminent orateur ethomi tires, jçg membres auront la joie de 3 0 ^ venir dans leur local, qui fut bien épre vé lors du bombardement de la ville,mi •ouve qu| à ia diligence de la direction >fsdu déjà repris l'aspect coquet et attraya ' que nous lui connaissions avant Pr0' guerre. aient 1 les Dzs revues trsnçzises ment pour la Y. M. C. A., s. v, p. De- On a eu abondance de revues angl nbert ses, mais on manque de publicauo h-ançaises. 1a YOI.C.A. serait rec^e naissante à nos lecteurs de remettre l'Hôtel Weber les journaux et râvuos ? France paraissant en ce moment et qu' Arts ne désirent point conserver. re et man- La réveillon du nouvel an istes n'oxistait plus, du moins sous u faute f0rme publique, depuis que les Bocl étaient chez nous. On va le retabl Déjà nous arrive la nouvelle que les b sent de nouveau autorisés pour ce'.te n solennelle où nous passerons de l'ani Flan- de la guerre à celle de la paix. re de Dans les restaurants ceuf3 L'administration communale vient d'< ) do vrir une enquête relative aux tarifs r par tuellement en vigueur dans les rest) u la rants. Il paraît que no3 concitoyens rivant de l'extérieur notamment de Fn aient ce, trouvent que tout est cher ici et îts do clament à qui mieux mieux. A vrai d nous nous étions bien un peu aper< tablir depuis trois ou quatre ans que la "cai fai^ts était 6alée. C'était donc vrai ? tat do Quoiqu'il en soit, des mesures ser œufs, prises dCautorité si le3 résultats de 1' i traie quête les démontrent néeîessaires. allait En attendant un autre événement i d'un en émoi lo monde des restaurateurs par tous les garçons de café viennent do mettre en grève ; ils réclament chac les 10 % sur leur recette brute, avec un isses- nimum de 10 francs par jour, la jo i acti- née de 10 heures avec une interrupt de 2 heîures par jour -et d"un jour ] te de semaine, la suppression eles frais de ce mis et du "mastic". i 370 Espérons qu'une entente ménageant t Ru- los intérêts en jeu ne tardera pas à mtoi- tervenir, et que les restaurateurs p 3e St- viendront à sortir sans trop de domi lu Dr ges de cette double orise. Le prix du pain ïaiemt ^ partir du 1er janvier prochain, !S. rï0 prix du kilo de pain est réduit à 0 Liere- p0ur j0ut le pain sauf pour les de Flandres; le prix de la farine sera rece- 0,94 fr. lo kilo. D'autre part une rat pour supplémentaire d'un kilo do pain par maine sera accordée aux ouvriers ad , tes fournissant un travail fatigant contii on examine, en outre, la possibilité de le coips accorder une ration supplémentaire océdé graisse ou de margarine. 1 trois Au cours du mois de janvier il Si •oupe procédé en outre à une distribution, niner nérale supplémentaire de 1 kilo de i, de culents. lques nêlés Pour les cartes de pam Les bureaux du comité d'arrondissem mem- d'Anvers ayant dams leurs attributif linls^ le règlement des cartes de pain, et < sans étaient établis à la Banque Nationale s< i des transférée depuis lo 19, rue Oudaen ds hnis- les locaux do la ci-devant Discontogese i le schaft. été \ Ayant quitté mardi l'aile droite de Banque Nationale, réaffectée à son usa normal, ils onrt été provisoirement é blis à l'ancionne maison Wiener, marc aux Grains ; actuellement leur instal jg tion à la Disconto est sans doute d^ nidve. Dans la police Isse- Dimanche auront lieu à l'hôtel de vi land, des examens pour l'enrôlement d'une c i quo quarttaine d'agonts do polioe provisoii 0 ot qui entreront définitivement dans les < 1 un dros do la police après leur année >n do stage. On espère, moyennant ce cont rand, gent nouveau, pouvoir rétablir lee c tand. ciennes heures de service et le rou ulait mont des congés, dont nos sympathiqu t. policiers ont étéi si sevrés durant guerre. 1 A ussi vont-ils ae réiouir de la nouvel n —ri-,—, ■,.... î Nos boys-scouts Justement froissés de certaines Insinua-■ tions à tendance politique, émises contre j eux par un journal anversois qui leur i reproche d'être un nouveau groupement à i tendance catholique, inopportunément sur-j venu aveo des id es sournoises de? division, à l'heure où le Roi demande 1 union i patriotique, les "Baden Powell's Bolgian Boys-Scouts " nous prient de signaler que leur groupe n'a pas du terot été fondé après la rentrée des alliés, mais qu'il eîxisto depuis 1912 et n'a ( essé de travailler elepuis lors malgré les poursuites des envahisseurs et les vexations des activistes.Il réunit les élèves des établissements catholiques elepuis que ceux-ci ont défendu — non sans raisons — à leurs i\b-vgb de faire partie dos Boys scouts neutres, qui eux viennent seulement de sa reconstituer depuis quelques jours sur uno base irréligieuse peu en rapport avec l'esprit des fondateurs du scouting universel. Hàtons-nous d'ajoutor quo cette diver-genco sur le terrain religieux r empêche pas epio les deux groupes marchant parfaitement d'accoTd —_ en union pairlotiquo — 6ur tous les points d'ord e admlnis Lratif et technique. Mais sur la question des opinions religieuses et politiques, les B. P. à cravate jaune n'entendent pas cacher leur couleur. C'est bien leur droit 1 et tout à leur honneur. Los Boches et Valimontation Nous n'avons pas, à beaucoup près, . reçu tous les vivres que nous expé-' diaient nos amis d'Amérique Les Allemands avaient organisé un service officiel de détournement. Nombreux sont les wagons de vivres, soi-disant égarés, que l'occupant a distraits l des envois à sou profit personnel. [ Nous no parlons pas des organismes [ nombroux, ayant eles Belges à leur tête, qui drainèrent au • profit des Allemands les produits indigènes. Un seul des individus chargés de cetto besogne, Van-derstook, ex-in3tituteur, fournit aux Alie-^ mands en trois mois seulement,dix wagons chargés de saindoux, lard et riz. Ces produits étaient volés au Comité i National. Dans le pays tout entier des organi sations semblables travaillaient activement à affamer la population civile belge, sous l'œil pàturnel et complice de 3 l'autorité allemande. i La danse des millions Ce n'est pas seulement soixante mil- - lions par mois que les Allemands prélevaient comme impôt en Belgique. Le rapport sur la loi des finances que 1 la Chambre vient d'adopter nous montre 3 ce que l'occupant entendait par "aelmi-1 nistror" le pays occupé. L'administration allemande prélevait en-* core sur les receltes de l'Etat : 3 Seize millions pour l'administration al-" lemande des finances ; Vingt millions pour l'administration al-0 lemande des PostQ3, plus la totalité des " recettes de la Poste ; Dix millions pour l'administration allc-r mande de3 Chemins de fer, plus égale-3 ment la totalité des reecttos ; 3 Dix millions et demi pour l'adminiB-3 tration allemande do3 Travaux publics ; > Sept millions pour les frais de la sé- - paration administrative ; Plus quelques postes do cinq millions, de trois millions, d'un million et demi pour l'entretien de tombes et cimetières . de soldats allemands. q Ce qui faisait un nouveau total de ^ plus de soixante-dix millions par an, soi-. xante-dix millions qu'on ne se caohait pas de nous voler. 0 Qu'on juge du reste par cela. 1 Los dommages de guerre On nous écrit : 3 Jo lis dans un journal que le projet ) de loi sur les réparations des dommages - subi3 par réquisition ou enlèvement, pré- - voit on principe l'indemnité calculée d'a-s près la valeur au 1er août 1914 ou au \ moment de l'acquisition pendant la guerre, t II faut croire que la culture allemande i a déjà fait de tels ravages on Belgique, que 1e porsonnel chargé do préparer nos lo s en est déjà entaché. Comment peut-il se concevoir que des marchandises saisies par les Allemands fin octobre 1914 à Anvers (la ville s'est rendue le 9) soient évaluées par le pouvoir belge pour indemnisation à leur'valeur au 1er août précédent ? Il n'y a que deux manières d'indem-3 niser d'une façon équitable les spoliés : c'est de prendre les marchandises à la valeur du jour do réquisition ou à cello du jour de l'enlèvement. Toute autre pro- 0 céduro est fantaisiste et conduit à la plus 3 grande des Injustices. L'auteur de cette lettre so tient à la s disposition de qui-de-droit pour fournir 1 toutes explications désirables. e Agréez, etc. (s.) H. Rigole. Comptoir d'achat Les représentants des fabriques de toi-L. les à matelas, stores, couvertures, tor-. chons et autres articles similaires, une ^ industrie belge des plus importantes, so sont réunis jeudi à Bruxelles, en vue de ] discuter la nécessité de se grouper pour le relèvement de l'industrie cotonnièro " en Belgique. A.près une longue discussion, il fut dé-9 cidé de créer la Société coopérative dé-5 sirée par le gouvernement et d'établir un comptoir d'achat de matières premièf- res et de vente de produits manufactu-1 rcs" )t A la Chambre d'industrie - La Chambre d'industrie d'Anvers vient ie de reprendre se3 travaux.Elle s'est réu-n nie sous la présidence de M. Maurice i- Van den Abeele qui, après avoir donné :- lecture de l'adresse au Roi à l'occasion n do la rentrée triomphale de nos Souve-,r rains et de la réponse du Roi,a procé-i- dé au renouvellement du bureau. Ont été nommés pour l'exercice 1919 : [g Président, M. Edg. Vercruysse.sénateur; i. vice-présidents, MM. A. Martougin et H. Béliard, père; secrétaire, M. L. Van de i. Wouwor; secrétaire-adjoint, M. II. Savel-koul; trésorier, M. Heyman; conseillers, MM. Julius Koch, L. Parein, L. Schaef-fer et Ch. Franck. Après une discussion approfondie sur 0 la situation économique du pays et lee 0 moyens à employer pour romettre les di-s verses industries en marche,on a décidé c de s'en référer d'abord au "Comité na-n tional industriel". ^ U Prisonniers de guerre Quinze cents blessés ot malades aile-r mands qui étaient restés à Anvers lors o do la retraite ont été faits prisonniers do guerTO par los troupes belges. Trains pour 7 er m on do et Si-Nicolas Nuus sommes on mesure d'annoncer qu'à partir du milieu de la semaine prochaine, peut-être mercredi, deux traîne circuleront chaque jour dans les deui l* sens, sur la ligtne Anvers (Sud) -Ilobo-s ken, Wilryck, Vieux-Dieu, Contich, Boom, 11 Terauonde lt Lee heures de départ d'AnveTS (Sud) 3 seront approximativement 4' h 25 et 16 h.20, ■" ot les heures de rentrée à cette gare 9 h. et 21 heures. a Nous tiendrons nos lecteurs au courant. 0 On remarquera d'autre part que deux ■" trains circulent déjà entre Anvers (Waes) ^ et St-Nicolas. Départs d'Anvers à 7 h. 22 " et 19 h. 19. Départe de SkNlcolas à 5 h. " 45 et 16 h. 20. I Sur la vole terrée De violents incidents sa sont produits 0 emtro Belges et Allemands laissée on " Belgique pour l'entretien des volos do 3 chemins do for. Ces désordres rendent - pour ainsi dire impossible l'emploi du 3 personnel allemand. Des mesures ont été priseîs par le che- - min de fer de campagne en vue de met- - tre fin à cos hostilités peu déguisées. 1 Le3 commandants de gares et les chefs i do stations devront faire rapport télégraphique sur tout incident de l'espèce rmî vHon^lrnif onnnrft A. Ra îvrruliilrf»- Le guide des chemins de ier Le guide bilingue est mort. Ainai ea* a décidé M. Renkin. Comme naguère, d«u* r guides, l'un français, l'autre flamand,®#» à ront éditée. Les abonnements d'ouvrière a Un lecteur nous demande si l«a n pons de semaine pour ouvrier», dont noua e avons annoneïé l'ex'steneje, sont ®ouleîzn«i)| é délivrés aux ouvrier» de chemin# de 1 ou à tous les ouvriers indi«inoUricot. l- L'ordre de service dont nous av*cs*4« s sumé la teneur ne fait aucune dts«ltt<*ioa. Nous croyons donc que tous le* ou<rrlec% dans les limites et moyennant 'o gra» s criptions indiquées, ont droit *u tar® l- spécial. C'est, du reste, une mesure qui - slmpose en vue de la prompte reataw»-i- tion de l'industrie^^^ ^ Association de la Presse beige 3- Les membres do la section Anv««h 1. Limbourg sont priés d'asslst<jr à l'asswn* r- blée générale qui aura lieu au Cerdf ie artistique, dimanche, 22 courant, à li r- heures du matin. 0 A l'institut de Commerce j, Une "coquille" nous a fait dire hier qu# w les examens d'entrée sont fixés au 18 jan-s vier. C'est le 28 janvier qu il faut lire. it Eoole d'horticulture de l'Etat à Vilvorde L'examen d'admission on Ire année d'A. s> tudos, aura lieu le mardi, 7 janvier 191& à 10 heures du matin. L'enseignement est gratuit, m Nos jeunes miliciens J1. Un de nos abonnés, retour de l'Yser, aous raconte que de nombreux milicien# le la dernière levée, envoyés au camp C d'instruction d'Alveringhem, dépensent Jus* is qu'au dernier sou, pour faire des emplet-n. tes alimentaires dans un pays où le3 ha-n] bitants sont encore toujours soumis au e_ régime du rationnement. a- Aussi il n'est pas rare de voir des re-7. crues so conduire comme des mendiants té si elles ne se provisionnent pas... sans bourse délier. Sujets de nationalité ennemie q. Le ministre de la guerre vient de pren le dre un arrêté on vertu duquel tout su-jet de nationalité ennemie autorisé à séjourner dans le territoire bolge en étal do siège devra être muni d'un "carnet :i d'étranger"; il sera soumis, pour le sé-jour et la circulation dans le territoire belge on état de siège, aux règles irn JQ posées aux: sujets do nationalité neutre re par l'arrêté du 16 novembre 191.8. D'après un confident de M. Vander volde, dit un journal bruxellois, aucun n. permis de séjour n'a encore été d livré. TOt il semble certain, ajoute-t-il, que les il- premières mesures oui seront prises par le département de la justice auront pour il- conséquence l'expulsion et 1 internemect es do nombreux sujets ele pays ennemis ou neutres, jouissant actuellement d'un slm-ic- pie sauf-conduit, délivré, par les services le- de pol'ce, à titre absolument pro\i"oine. Espérons que cette mesure ne tardera is- pas, sinon elle arrivera trop tard.On nous 1 ; signale de divers côtés la présence de Bo-sé- ches qui ne se gênent pas pour continuer à se montrer en public, on tramway, ou dans les bars naguère fréquentés par la haute" voléo des officiers allemands et 08 des accapareurs. Vite, le balai ! _ )i- Le contrôle civil en Allemagne On s'est demandé quel allait être le régime économique, appliqué par les Alliés dans lo3 territoires occupés de l'Allemagne. Beaucoup do personnes notamment se demandent si l'on pourra exécuter un débiteur allemand, si des industriels pour-jet ront aller reprcnelre aux Allemands lee 03 machines qui leur ont été voh es. ;'é" Une conférence interajlliée s'est réunie ^ récemment au grand quartier général fran-111 çais pour examiner toutes oe3 questions. ^ La bijou de l'Union belge os Notre concitoyen, M. E. Van Offel,vient de mettre en circulation une nouvelle médaille. Nous croyons qu elle répondra aux sentiments de tout bon patriote. Ce t sera le bijou de l'Union belge. Les in-scriptions sont gravées dans les deux langues. Au reobo figurent le lion fia-mand et le coq wallon. Le verso représente une pensée. On 'y lit dans les dou/K langues : "Souvenir de la terreur aile-. ' mande H m C'est la firme Mauquoy et fils qui e'es< ® chargé de l'exécution qui ost artistique et soignée. La médaille est vendue an s profit des couvres de guerre. !a A vis iir A partir de ce jour, nous ouvrons une rubrique spécialement réservée aux de maaides d'emplois. Notre journal étant lu dans le monde ylm commercial du pays et de l'étranger, lea )r* annonces y insérées facilieront le3 rap-ne ports entre employeurs et employée. so Nous avons arrêté comme suit le pris des insertions : la grande ligne 1 fr. ei ur 0.50 fr. par ligne supplémentaire. Intérieur ja.30."ïenexar Au Palais de Bruxelles Le Roi a reçu joudi après-midi en audience, le général Léman,lo valeureux dé fonseur de Liège, ainsi que les nouveaux ministres d'Etat, van Hoegarden,Bertrand et Colleaux. Lés réceptions du Jour de l'An Il ost probable, nous a assuré une per Eonu-alité à même d'être informée, qu'il n'y aura pas de réception du jour de l'an, à la Cour. Le Parlement belge à l'Yser M. Masson, ministre de la guerre, a auto risé M. De Bue, questeur de la Chambre des Représentants, à organiser un voyage de tous le9 députés dans la région dt l'Yser. Lo voyage se forait par groupes, d'après le nombre d'automobiles dont oi pourra disposer, et d'après le nombr« d'officieis qui pourront être mis à la dis position de nos parlementaires. L'expédition durerait deux jours. La questure de la Chambre réunira le« adhésions jusqu'à mercredi. Il va sans dire que celles-ci seront nombreuses, les membres de la Législature ayant pour de voir d'aller faire un pèlerinage dons cette région désolée où nos armées se sont cou vertes d'une gloire impérissable. Le roi d'Italie en Belgique On sait que le deuxième corps d'armé! italien, qui fait partie de la 5me armé* française, commandée par le général Guil laumat, occupe une partie du Luxembourg et do la province de Namur, notammen les cantons de Gedinno, de Beauraing e de Gellin. Le Roi d'Italie arrivera ta medi pour passer ce corps d'armée er revue. Il logera dans son train. La question de* transports Le ministre de la Défense national! vient de faire savoir aux autorités milî talres, qu'il était absolument indisporBa ble, dans les circonstances actuelles, qin l'armée apportât à la population eftvilq spécialement pour les questions de tram port, l'aide la plus efficace. Il a prescrit, à cette fin, quo d^nl chaque place belge une entente direct* s'établisse entre le commandant de la pla co ©t l'autorité communale. Oofcto dorniôre centralisera lea besoiml des services publics et doo pa^rticuliem» et déterminera, leur ordre d'uxg-cnco. Le commandant de place, do son côtS» se mettra en rapport avec les chefs de corps, pour connaître les ressources ou moyens do transports disponibles et doiv ner suite, dans la mesure du possible, aux besoins fixés oar l'autorité commu* nale.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks La métropole: journal quotidien du matin behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Anvers van 1894 tot 1974.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Onderwerpen

Periodes