La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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18 oktober 1917
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s.n. 1917, 18 Oktober. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 12 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/sn00z72385/
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LA MÉTROPOLE ONEPENNY voflBT; CINQ CEHTIIE» fotLAKDE : VIJF CENT pïïffiirr: DIX CENTIMEI PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Lanc, W.C.2 — Téléphoné : Holborn 212. ABONNEMENTS L mois 3 sh. ; 3 mois, 9 sh. 24MB ANNEE JEUDI 18 OCTOBRE 191? No. LA GRANDE GUERRE LA CAPTURE D'OESEL LA BULGARIE & SALONÏQUE Le nouveau cabinet suédois La capture de l'île d'Oesel à l'entrée du golfe' de Riga s'achève rapidement devant la faible résistance des Russes. Ces derniers se sont vu couper leur retraite du côté est, où la pression ennemie était si forte que seuls quelques groupes de nos alliés réussirent à gagner le môle conduisant de l'île d'Oesel dans 1 1-le de Moon. Les communications entre les deux îles et la terre ferme sont cependant encore assurées, car les efforts de la flotte allemande pour pénétrer dans le simd ou chenal de Moon ont été frustrés.Les Allemands prétendent avoir cap-Lé 3.500 prisonniers ainsi que 30 ca-[nons, tandis que le reste des troupes est [dispersé sur l'île. Parmi ces derniers se [trouvent les défenseurs de la péninsule de Svorb, dans l'extrême sud de l'île, qui, quoique isolée et se trouvant dans une situation désespérée, offrent une résistance acharnée dans le but de défendre les batteries de Serel, à l'extrémité de la péninsule et qui, couvrent l'entrée du golfe de Riga. Voici comment le communiqué de rétrograde raconte la bataille navale qui s'est livrée dans le chenal de Sele, entre les îles de Dago et d'Oesel : Le 14 octobre, vers 4 heures du matin, une escadre de patrouille, composée de quatre torpilleurs et de deux canonnières, fut bombardée par un "dreadnought" allemand. Un des torpilleurs, le Grom, fut gravement endommagé. Douze torpilleurs allemands, du dernier type, suivis après par d'autres plus nombreux essayèrent de se frayer un chemin par le chenal de Sele sous la protection du cuirassé. L'escadre de patrouille accepta la bataille. La canonnière Khrabry prit le Grom à la remorque sous un feu violent; les autres torpilleurs les couvrirent tout en engageant violemment l'ennemi-Le feu ennemi fut concentré sur le Khra-ky et le Grom, à bord duquel tous les caons étaient mis hors d'usage et qui prenait feu. Une forte vague brisa le câble de la remorque. Le Khrabry essaya une nouvelle fois de prendre le Grom à la remorque, mais sans succès. Le Grom ttula et la plus grande partie de son é-juipage put être sauvée par le Khrabry. simultanément, un des torpilleurs ennemis fut coulé par le feu du Khrabry. A ■e moment un cuirassé russe arriva sur es lieux et la flotte ennemie prit la pou-ire d'escampette. D'après des témoins oculaires, deux torpilleurs ennemis ont :té coulés. ^ - - A la suite de l'occupation de l'île d'Oe-ie') le Soviet de Rétrograde a publié un fPPel aux soldats et aux officiers des 0rces de terre et de mer pour qu'ils optent une vigoureuse résistance au nou-eau coup qui menace la Russie-. Le So-"et dit qu'il fera tout son possible pour )ue ceux de l'arrière fassent des sacri-,ces non moins importants que ceux jiion fait au front et promet aussi de aire en sorte que la guerre ne dure pas 111 jour trop longtemps. ''*n Russie, l'ouverture du pré-parle-nent, ou parlement provisoire jusqu'à a, réunion de la Constituante, a été re-du 18 au 30 'octobre. Le parlement 'ispendra ses activités une huitaine de °urs avant l'ouverture de l'Assemblée instituante. Les membres jouiront de 'fdemnité parlementaire et seront XemPts du service militaire pour toute a durée de leur mandat. Toute mesure | °ptée par le pré-parlement, pour de-i':nir effective, devra porter la signature au moins trente membres. ^ Suède, la crise politique touche à . Le professeur Eden, leader des taux dans la Seconde Chambre, a jUssi ^ former un ministère de coa-0n> comprenant cinq libéraux et trois 0: |ali§tes. Le professeur Eden, chef du ®uveau cabinet, est entouré de MM. ^ ner, ministre des Affaires étrangè-■ le professeur Alexandersson, minis-de la Justice; Nilson, ministre de I la Guerre; Schotle, gouverneur de Stockholm, et Peterson, ministre de l'Agriculture. Le baron Palmstierna, amiral retraité, devient ministre de la Marine, tandis que M. Branting, le leader ententiste bien connu, devient ministre des Finances. Un troisième socialiste* le Dr. Sandler, devient ministre des Cultes. Ce sera le premier cabinet, dans l'histoire de la Suède, qui comptera des socialistes dans son sein. A Stockholm, on est assez curieux de savoir ce que diront les journaux allemands qui ont montré tant d'intérêt dans les affaires suédoises et faisaient ressortir la nécessité de laisser au pouvoir tous les conservateurs, en majorité, pro-alle-mands.Un journal allemand, la Weser Zei-tung, laisse entendre qu'un des buts de la conférence impériale de Sofia, à laquelle assistait l'empereur allemand, a été d'encourager les Bulgares à attaquer les armées du général Sarrail, une des conditions étant que, en cas de succès, ils obtiendraient Salonique. Le journal croit qu'on peut s'attendre sous peu à une déclaration de guerre de la Bulgarie contre la Grèce et ajoute que les Bulgares peuvent' mettre en ligne 800.000 hommes contre le général Sarrail et que, en outre, ils pourront envoyer 200.000 hommes en Dobrudja, soit en tout un million d'hommes. "La coopération diplomatique, ajoute le journal, entre Sofia et Berlin ne manquera pas-" Sur le front du nord de l'Aisne, l'activité d'artillerie des deux côtés, qui a-vait diminué légèrement dans la nuit de lundi, a été suivie, pendant la journée de mardi, d'une série de raids allemands, particulièrement dans la région de Cour-tecon et d'Aillés. Les Allemands, qui réussirent à occuper un poste avancé, furent immédiatement repoussés. En Flandre, où le temps s'est légèrement remis, les troupes britanniques ont exécuté des bombardements effectifs contre les batteries ennemies. L'action entreprise par nos alliés continue sous la forme d'une préparation méthodique, précédant chaque avance contre un objectif bien déterminé. o—o Le gouvernement polonais Amsterdam, 16 octobre.— Un télégramme de Varsovie annonce que le Kaiser a envoyé le message suivant au général von Beseler, gouvernenr général de la Pologne : "J'ai estimé qu'il était utile, d'accord avec mon illustre allié l'empereur-roi d'Autriche-Hongrie et dans l'esprit de l'article 1er du décret du 12 septembre 1917, d'installer comme membres du Conseil de la Régence du royaume de Pologne l'archevêque de Varsovie, Mgr A-lexandre von Lakowski, le maire de Varsovie, le prince Lubomierski, et le propriétaire terrien M. Joseph von Ostrows-ki."Le Kaiser a demandé au général von Beseler d'exécuter ce décret, agissant de concert avec le gouverneur autrichien, le comte Szaptycki.— Reuter. o—o Arrestation d'un espion dangereux New-York, 16 octobre.— Un individu, donnant le nom de Dunbar, a été arrêté et accusé d'une conspiration "pour obtenir des informations contre le gouvernement des Etats-Unis" en s'engageant dans l'armée et la flotte. On dit que le gouvernement considère l'arrestation comme très importante. Un fonctionnaire du département de la Justice a admis que l'individu devait être un agent du gouvernement allemand, qui a dépensé beaucoup d'argent récemment près d'une grande base navale sur la côte de l'Atlantique. Le département de la Justice examine le bruit que Dunbar, dont le nom doit être faux, a été membre de l'équipage d'un contre-torpilleur américain.— Reuter. U \e Chambre de commerce belge à Rio-de-Janeiro Les Belges' résidant au Brésil viennent de fonder, à Rio-de-Janeiro, une Chambre de commerce belge dont lé programme dit, entre autres : Nous devrons préparer l'avenir et reconstruire ce que les barbares auront détruit. Pour rétablir notre balance économique très compromise et dont dépend notre prospérité nationale, nous aurons à veiller avec soin, pour notre part, à ce que nos importations sur le marché brésilien s'accroissent sans cesse ; nous aurons à faire, dans ce but, une étude 'spéciale pour chacun de nos fabricats susceptibles d'être introduits sur la place. Nous devrons nous occuper du problème vital du ravitaillement de nos populations et examiner les ressources que le Brésil peut nous offrir. La reconstitution de notre cheptel, la réorganisation de notre industrie, dont les stocks de matières premières seront épuisés, son outillage détruit ou volé, auront droit à toute notre attention. rO—o—— Un Congrès des petites nationalités New-York, 15 octobre.— Le Congrès des droits des petites nationalités et des nationalités asservies a convoqué à New-York, pour le 29 octobre, les représentants de 25 nations. Les buts du Congrès sont : i- Etablir un congrès permanent de petites nations et des nations opprimées ; 2. Etablir leur droit de représentation séparée aux conférences internationales ; 3. Etablir leur droit de présenter leur cas au monde; 4. Insister sur l'importance d'accorder ces droits comme condition indispensable de la paix mondiale. L'Irlande sera représentée par Mme Sheehy-Skeffington, l'Alsace-Lorraine par M. Clément Rueff, et la Belgique par M. Henri Lafontaine (sénateur et pacifiste). Le rabbin H. Periera représentera les aspirations des Hébreux, "le chef de clan Fhearghui de Strachur" représentera l'Ecosse, et Lajapat Rai les Indes. -— Wireless Press. Note.— Nous espérons que ce Congrès ne sera pas le pendant du Congrès des petites nationalités tenu en Suisse sous la présidence de M. Paul Otlet, collaborateur de la Patrie belge, dont le correspondant londonien, M. Edouard Engel, est en ce moment enfermé à Ale-xandra Palace, où se trouvent internés les sujets ennemis civils. Ce Congrès suisse fut une machine boche. Il est à espérer que M. Henri Lafontaine ne prêtera pas la main à une manœuvre anti-britannique. o—o—— Guillaume II... roi des Belges La folie pangermaniste inspire, à certains organes de la presse allemande, des élucubrations qui ne mériteraient que le dédain si elles--n'étaient symptomatiques de l'état d'esprit d'une importante partie de la population de l'empire. Die Freie Zeitung, organe des républicains allemands, paraissant à Berne, dans son numéro du 6 octobre 1917, cite à ce propos un passage caractéristique d'un article de fond de la Deutsche Zeitung. Qu'après la reconstitution de la Pologne, telle que nous la concevons, le futur roi de Pologne ne puisse être personre autre que l'empereur allemand, cela a été déjà dit clairement. C'est ainsi que nous concevons la " souveraineté " de la Pologne. C'est/dans ce sens que nous nous " entendrons " avec nos ennemis de l'Est. Et de même nous ne pouvons nous figurer l'indépendance de la Belgique mieux protégée que par le roi de Belgique, qui est l'empereur allemand... o—o Les accusations contre M. Malvy Paris, 16 octobre.— Le Matin croit savoir que, dans l'opinion du gouvernement, la communication faite par le premier ministre à la réunion d'hier du Cabinet au sujet des accusations de haute trahison portées contre M. Malvy, exministre de l'Intérieur, devra rendre toute discussion ultérieure inutile. Si, toutefois, le débat est soulevé à la Chambre, soit sous forme de question ou d'interpellation, le gouvernement refusera de permettre le débat et en ferait une question de confiance.— Reuter. La tension hollando-anglaise Un communiqué officieux L'Agence Reuter publie une déclaration officieuse au sujet des faits concernant le transit par la Hollande du sable et gravier vers la Belgique, qui a nécessité l'interruption des communications télégraphiques commerciales sur les câbles anglais à destination de la Hollande.Le fond de la question est évidemment le point de savoir si, oui ou non, les matériaux transités par la Hollande sont employés à des fins militaires. Si l'usage militaire en est démontré, le gouvernement des Pays-Bas lui-même admet qu'il agit d'une façon non-neutre.A priori, il est difficile de croire que l'Allemagne répare les routes belges au bénéfice exclusif de la population civile belge. On sait que les Allemands ont systématiquement dévasté et détruit la Belgique; qu'ils ont brûlé ses villes, outragé et déporté ses habitants, détruit avec une plénitude allemande ses usines et son outillage économique. Le rappel à l'article 43 du règlement de La Haye sur la guerre terrestre imposant à l'occupant l'obligation d'entretenir et de réparer les routes est donc irrelevant. Il en est de même de la Convention du Rhin qu'invoque la Hollande. Le gouvernement des Pays-Bas, lui-même refusa d'être lié par les traités de l'Escaut lorsqu'il fut question du transfert par l'Entente des prises allemandes détenues à Anvers. Il est en outre très douteux que la Convention du Rhin s'applique aux voies navigables intérieures conduisant du territoire hollandais en Belgique.Les besoins pour l'entretien des routes et des chemins de fer belges en sable et gravier avant la guerre étaient d'environ 1 million 320.000 tonnes par an. Or, cette quantité pourrait être fournie quatre fois par les seules carrières belges, qui travaillent actuellement de la façon la plus intensive. En outre, de grandes quantités de ces matériaux sont importées directement d'Allemagne en Belgique sur le rail allemand, et d'autres quantités importantes passent de Hollande en Belgique sous forme de sable et gravier de provenance hollan-. daise. Enfin, le trafic sur les routes et rails belges en dehors de celui d'importance militaire est absolument insignifiant. D'autre part, la demande en sable et gravier dans la zone militaire pour les routes, les tranchées, les abris et les redoutes est énorme. Pour y suffire, les Allemands importent du sable et gravier par tous les moyens en leur pouvoir, et ceux qui passent par la Hollande ne constituent pas une part infime du total. Entre le 1er janvier et le 15 août 1917, la quantité transitée par la Hollande fut de 3 millions de tonnes, et dans la seconde quinzaine d'août le transit se faisait au taux de 5 millions de tonnes par an. Même l'estimation du gouvernement des Pays-Bas de 1 million 650.000 tonnes par an pour les besoins belges civils — absolument excessive étant donné les sources disponibles — ne représente pas la moitié de ce qui transite. Peut-on affirmer, en présence de ces chiffres, que l'action de la Grande-Bretagne de retirer ses faveurs commerciales après des protestations répétées et sans succès est, ou violente, ou injustifiable? Le point de vue hollandais Un communiqué du ministère des Affaires étrangères hollandais, en date du 13 octobre, relatif à la mise à l'index des dépêches commerciales. néerlandaises sur les câbles britanniques expose les points de vue des deux gouvernements et ajoute : " Le gouvernement néerlandais ne peut répondre au désir britannique d'arrêter le transit des sables et des graviers vers la Belgique que lorsque le gouvernement britannique répondra qu'en dépit des déclarations des autorités allemandes et des enquêtes des officiers néerlandais les matériaux en question sont employés à des usages de guerre." Le ministre de Hollande à Londres a reçu pour instruction de demander au gouvernement britannique de communiquer les preuves que celui-ci peut posséder à cet égfird. — Où Wolff intervient L'Agence Central News apprend d'une source digne de foi que malgré l'embargo britannique sur les télégrammes commerciaux vers la Hollande, les boursiers hollandais continuent à recevoir rapidement les informations commerciales et financières d'Angleterre et d'Amérique. Chaque après-midi, peu avant l'ouverture de la Bourse d'Amsterdam, les cotations anglaises sont distribuées aux intéressés par les représentants de l'Agence Wolff qui les obtient de Berlin probablement via l'Espagne et la Suisse. Nouvelles de Belgique Le Telegraaf de lundi publie des déclarations circonstanciées de ses correspondants en Belgique montrant que les sable et gravier transités par la Hollande servent sur de nombreux points à de nombreux usages militaires. Au Comité officiel belge L'industrie de la taille du diamant.— La question des prêts.— La création d'une vannerie à Fulham.— Pour les porteurs d'Identity Books. — L'achat des meubles à crédit. Le Comité officiel s'est réuni lundi à Burlington Gardens, 6. Il s'est préoccupé des conséquences que peut .avoir, pour l'industrie de la taille du diamant en Belgique, la création de tailleries en Angleterre. Au début de la guerre, les autorités britanniques ont spontanément déclaré qu'elles n'entendaient en aucune façon profiter de la présence en Angleterre des réfugiés belges pour introduire dans ce pays des industries qui étaient essentiellement belges. Le Comité a décidé de prier la légation de Belgique de signaler cette situation au gouvernement britannique. Le Comité s'est longuement occupé de la question des prêts aux réfugiés belges. Le Comité de prêts et avances institué par arrêté royal et fonctionnant avec l'aide financière du gouvernement belge a déjà rendu de grands services. Les sommes prêtées par ce Comité s'élèvent-à plus de £8.000 par mois- Toutefois, le Comité de prêts et avances ne peut consentir un prêt que si l'emprunteur est à même de présenter une caution solvable et cette condition est pour beaucoup de personnes un obsta-' cle insurmontable. Le Comité officiel belge s'est demandé s'il ne serait pas possible de créer un organisme qui, dans l'octroi des prêts, jouirait de plus de liberté et serait en mesure de prêter de l'argent sur simples références à des personnes qui, sans etre à même de fournir caution, présentent cependant des garanties suffisantes de solvabilité. Il a chargé son bureau d'étudier la question et de faire rapport à une prochaine séance. Le Comité a pris connaissance des projets de son Comité technique tendant à créer à Fulham une vannerie qui procurerait un travail aisé à apprendre et suffisamment rémunérateur à la population belge si nombreuse dans le quartier de Fulham. Enfin, le Comité a examiné- la question des frais extraordinaires occasionnés aux réfugiés par l'obligation qui leur est imposée dans certains cas de se faire délivrer un Identity Book. L'Œuvre d'assistance temporaire a bien voulu s'engager à rembourser ces frais aux réfugiés, qui sont dans l'impossibilité d'y pourvoir eux-mêmes. Enfin, il a été rendu compte au Comité des premiers résultats obtenus par le Furniture Supply Committee, qui a été institué à l'initiative du Comité officiel et des dirigeants du War Refugees Committee en vue de faciliter aux Belges l'achat de meubles à crédit et dont la création a été annoncée récemment. Les premiers résultats obtenus justifient pleinement la création de ce nouvel organisme, qui pourra rendre aux Belges de précieux services. Les représailles aériennes M. Bonar Law a déclaré mardi 'à la Chambre des Communes qui venait de reprendre ses séances, que le gouvernement déposerait incessamment un projet de loi constituant un ministère de l'Aviation. D'ici là, le général Smuts continuera, comme représentant du Cabinet de guerre, à surveiller le service aérien. En réponse à une question de M. Pemberton Billing, demandant si tout changement dans la politique aérienne était subordonné à la constitution du nouveau ministère, M. Bonar Law répondit qu'aucun retard ne surviendrait de ce chef. La politique du gouvernement (proposant des représailles) a été clairement exposée par le général Smuts et il n'y a rien à ajouter à cette déclaration.Ils sont employés notamment pour réfec-tionner les routes militaires autour de Rou-lers, pour le construction d'une route nouvelle entre Wynendael et le Gitsberg et pour l'établissement de nombreux dépôts. A Iseghem, c'est-à-dire à quinze kilomètres derrière le front de combat, des civils belges déchargent et envoient le sable et le gravier vers les tranchées du front et vers Daedizele, Lendelede et Heule. De grandes quantités de ces matériaux sont employées à la construction de deux aérodromes dans la région d'A-beele, ainsi que pour des dépôts de munitions.

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Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

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