La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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23 januari 1917
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s.n. 1917, 23 Januari. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 06 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/pc2t43k362/
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LA MÉTROPOLE ONE PENIMY CIHQ CENTIMES S5!i«0!- V1JF CENT! PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux: 43, Chancery Lane, W.C.—Téléphoné: Holborn 212. ABONNEMENTS : 1 moto, 3 «h. ; 3 moto, 9 ih. Etranger : 1 moto, 4 sto. : 8 moto, 18 sh. mhhi • ' 24me ANNEE MARDI 23 JANVIER 1917 No 23 LA GRANDE GUERRE I Les Allemands capturent Nanesti L SITUATION AUTOUR DE GALAT2 r 7——:— I 'i mnhiliciifi'nn cuicco rnnfinno Les dernières nouvelles confirment la capture par les Allemands de la ville de Nanesti, comme nous l'avons annoncé Ler, L'offensive considérable que les Allemands ont commencée avec l'aide d'artillerie lourde et légère a donné même un résultat plus grand, puisque en même temps les Allemands se sont emparés de toute la tête de pont de Fun-deni, qui se trouve à une trentaine de kilomètres, à l'est de Galatz, sur le Se-Ireth, à l'endroit où le Rymnik se jette dans ce dernier fleuve. Les Allemands n'ont pas encore franchi le fleuve parce que cette région, située dans un bas-fond, est extrêmement marécageuse, [mais ils y ont sérieusement affaibli la position des Russes à un des points les plus importants de la ligne actuelle. [ La première conséquence de cette capture, au cas où les Allemands parviennent à traverser le fleuve, ce sera l'isolement de l'aile gauche russe appuyée sur Galatz. Mais nos alliés qui se rendent compte de la situation, doivent avoir pris les précautions nécessaires pour battre en arrière assez vite de façon à 'échapper à la griffe allemande. Sans au-!cun doute la ville de Galatz sera éva-icuêe, puisque les Russes, malgré la recapture de Vadeni (devant Galatz) s'y trouvent dans une situation très critique. Il est facile de se rendre compte que l'importance militaire de Galatz est nulle, en supposant que cette ville n'existe pas. Il est bien clair, en effet, que la situation n'en serait en rien modifiée. La ! gauche russo-roumaine ne s'en appuierait pas moins au confluent du Sereth et | du Danube, et l'ennemi n'en canonnerait pas moins cette gauche dans deux directions conjuguées, au nord de Braïla et au nord de Matchin, en Dobrudja. Ce .que vise l'ennemi à Galatz, ce n'est pas la ville, qu'il démolit à coups d'obus, c'est le point d'appui de la gauche russe. Or, que Galatz existe ou non, ce point d'appui est très solide, en raison de la combinaison du Danube, du Sereth, du Pruth, des lacs et des marais. Le canon ne suffit pas. Si, après une forte préparation par l'artillerie, l'enne-|passe dans l'angle formé par le Se-! reth, le Danube et le lac Bratechu qui touche au Pruth, il se mettra immédiatement à1 dos des obstacles formidables, et pour peu que les Russes possèdent des forces capables de prendre l'offensive dans la région au nord de cet angle, il sera culbuté dans le Sereth et dans le Danube, risquant non pas un simple recul, mais un désastre. Les conditions de fissage sur le front même d'une position occupée en force sont ici toutes 'différentes vie celles du passage du Danube dans la région du Turtukai, de Roustchouk et de Silistrie, devant de simples détachements. Le vrai point d'attaque de l'ennemi, s'l veut déloger les défenseurs du Se-refh, reste toujours dans le secteur au nord de Focsani, où les difficultés sont beaucoup moindres, et où les dangers ^ UP passage comme celui de Galatz ne se rencontrent pas. En outre, les résultats d'une victoire remportée là seraient beaucoup plus immédiats au point vue de la retraite forcée des Russo-Roumains.Focsani, la première forteresse prise Par l'ennemi sur la ligne du Sereth,ne se tr°uve pas à vrai 'dire au bord même de ce fleuve, mais plus au nord entre deux a'fluents du Sereth, qui sont la Putna f> 'e Milcov. Les Russo-Roumains ont refoulés des positions fortifiées qu'ils ^cupaient tout autour de Focsani. Si la |?ne Focsani-Galatz constitue la porte la Moldavie, les Impériaux en tien-îjei>t les gonds. Pour que la porte croule '8 agit maintenant de frapper au centre. est à quoi s'applique Mackensen. Par :a capture de la tête de pont à Fundeni e chemin de fer de Galatz est sérieuse-ment menacé. Or, c'est punique voie de ravitaillement que possèdent les défends. Dès lors leur situation devient de I UU1UUV VV11VIAIUV plus en plus difficile. Si le mouvemen des Impériaux s'accentue en même temp: par le nord de Focsani comme parais sent l'annoncer les dernières dépêches il est peu probable que Russes et Rou mains tenteront de défendre longtemp: la ligne du Sereth. Ils risqueraient di subir 'cet enveloppement que leur enne mi a cherché sans cesse sans l'obtenir Il est impossible de prévoir s'ils si retireront vers le nord sur Jassy, où si sont réfugiés la famille royale et le gou vernement, ou vers l'est derrière 1< Pruth, qui se jette dans le Danube i quelques kilomètres à l'est de Galatz e qui dessine la frontière entré la Molda vie roumaine et la Bessarabie russe. Sur les fronts de l'ouest la situatioi reste stationnaire; les opérations se bor nent à des raids quotidiens. De même en Suisse la' situation n'i pas changé; de nouveaux contingent ont été appelés sous les drapeaux et le: réservistes se trouvant en Amérique e appartenant à la seconde division ains que des contingents de la quatrième e cinquième divisions doivent rentrer im médiatement en Suisse. Suivant des télégrammes de Rio di Janeiro le pirate allemand qui a captu ré plusieurs navires alliés serait le Vi neta, suivant d'autres le Vinex, construi sur le type du fameux Moewe. Le: raids exécutés dans l'Atlantique du Su< constituent en quelque sorte un blocu: du Brésil et l'opinion publique y est trè: montée contre l'Allemagne. Une enquête officielle sera faite par le Etats-Unis au sujet de la condition de matelots américains arrêtés par les pira tes. La neutralité de la Belgique Nouveau mensonge allemand Le Foreign Office de Londres publie 1; déclaration suivante : Dans la communication que le gou vernement allemand a adressée aux puis sances neutres, le 13 janvier, se trouve L phrase suivante : On sait qu'en 1887, le gouvernement roya britannique avait décidé, dans ces conditions de ne pas s'opposer à l'exigence d'un droi de passage à travers la Belgique. (Les conditions dont il est question son la garantie de la pleine intégrité et de Fin dépendance du Royaume et une offr< de payer tous les dégâts qui pourraien' être occasionnés par le passage des troupe: allemandes à travers le pays.) Cette déclaration manque absolumen de fondement et est démentie catégori quement. Prétendue proposition de paix; à la Belgique Un démenti Le Bureau documentaire belge du Havr fait la communication ci-après (Information belges, No. 222, 20 janvier 1917) : L'Unita Cattolica de Florence du 1; décembre 1916 a publié une dépêche di Rome, 14 décembre, disant que le minis tre de Belgique près le Saint-Siège au rait communiqué à la secrétairerii d'Etat du Vatican une proposition di paix immédiate que l'empire allemand en son nom et au nom de ses alliés, au rait fait parveniç au gouvernement belgi et dont la dépêche énumérait les condi tions. De renseignements pris à bonne sour ce, il résulte que cette information es dénuée de toute fondement. Ils ont volé l'aigle de Waterloo On mande de la Belgique occupée : A Waterloo, des voleurs se sont introduit: dans le verger de la ferme historique d'Hou goumont et y ont enlevé l'aigle de bronze sur montant le monument érigé à la mémoire de: soldats de Napoléon. Le monument avai' été érigé en 1913. Encore les fils d'Allemands . Une motion de la Ligue des Patriote La Ligue des Patriotes de Belgique, de vant les réclamations énergiques et trè , nombreuses qui lui sont adressées au suje des Allemands naturalisés Belges, a er ' voyé à M. Begerem, président du group parlementaire belge, la motion suivante : A Monsieur le président du group parlementaire belge, t Vivement émue par la lecture d'arti cles qui ont paru dans divers journau: belges au sujet de la situation des Aile mands naturalisés et fils d'Allemands ' la Ligue des Patriotes de Belgique ; procédé à une enquête sommaire d'où i résulte que des fils d'Allemands natura lisés, ayant pris volontairement du ser vice dans l'armée belge lors de la décla ration de guerre, ont été blessés et déco rés sur le champ de bataille, puis relé gués au camp de Ruchard. Considérant,d'autre part, qu'il est à L connaissance de tous les Belges que de ' fils d'Allemands naturalisés, ne remplis sant pas leur devoir militaire, sont em busqués dans des bureaux officiels et jus que dans ceux de la sûreté militair 1 française en Angleterre; Qu'au détriment des docteurs en droi belges, fils et petits-fils de Belges et ei * proie actuellement à des situations finan ' cières difficiles, des fils d'Allemands on ' été installés dans des commissions offi cielles où ils sont grassement rétribués Devant ces différences de traitemen au détriment des uns auxquels il est in fligé une véritable tare malgré leurs mé rites militaires, et au bénéfice des autre qui cherchent dans une surenchère pa triotique à faire oublier leur origine, 1; " Ligue des Patriotes de Belgique pri Monsieur lé Président de la commissioi ' parlementaire de soumettre au gouver nement sous forme de question cette si ' tuation anormale qui ne manque pa ' d'inquiéter nos compatriotes dont 1 passé est libre de toute attache germani I que. Nous croyons savoir qu'une question dan ce sens a été posée au gouvernement e nous ne manquerons pas de faire connaîtr sa réponse. L'authenticité des résolutions di t Parti ouvrier belge Démenti de M. Vandervelde à la Gazette de Francfort M. Emile Vandervelde, leader du part ouvrier belge et membre du gouvernemen l belge, fait la déclaration ci-après (Informa , tions belges, No. 222, 20 janvier 1917) : La Gazette de Francfort du 11 jan , vier 1917, erste Morgenblatt, publi sous forme de correspondance de Li Haye un article intitulé : " Les résolu ' tions des ouvriers belges ", et dans le quel le journal allemand met en dout ' l'authenticité de la dernière résolutioi des socialistes belges résidant en terri toire occupé, et ajoute qu'il ne " s'agi rait dans l'espèce de rien d'autre qui d'un document élaboré au sein piême di gouvernement belge, dont fait parti Vandervelde, et dirigé contre le B. S. I à La Haye, et surtout contre le secré taire général Huysmans, et Troelstra chef socialiste hollandais La Gazette de Francfort accuse don le gouvernement belge • et moi-mêm ' d'avoir fait un faux. Il me suffira, pou toute réponse, d'affirmer sur l'honneu ; que le document en question m'a été en : voyé de Belgique (territoire occupé), pa un des. hommes de confiance du part ouvrier belge, au nom de l'unanimité de ; militants qu'il a été possible de consul î ter. « 1 II s'agit des " résolutions destinées à ins - 1 pirer les deux délégués socialistes belges î MM. Vandervelde et Louis de Brouckère ' - à la conférence socialiste des Alliés qui doi se tenir à Londres le mois prochain et qu la Métropole a publiées in exienso dans soi y numéro du 11 janvier 1917. Les Etats-Unis construisent de! zeppelins Les journaux allemands se font télégra > phier de Washington que le gouvérnemen américain aurait décidé la création d'un flotte de dirigeables rigides, en tous point ; identiques aux zeppelins. Un de ces appareils serait déjà en cons truction. NOTRE BUT DE GUERRE ! NOUS VOULONS VIVRE 3 t II tient en un rpot. Nous voulons vivre.e L'hisfoire du monde entier, de ceux surtout qui ont la force et le pouvoir, e resterait souillée d'une tache indélébile si ce but n'était pas atteint, si, à la honte de l'univers, la Belgique périssait. { Mais si tous les peuples civilisés veulent avec nous que la Belgique vive, il leur faut bien, quoi qu'ils en aient, ac-^ cepter toutes les conséquences de cette j volonté. Ce n'est pas nous qui avons voulu la déchéance de l'empire germanique. La " justice immanente ", l'ordre providentiel des choses a fait que l'Allemagne a posé elle-même le principe de sa chute en violant la foi jurée. En pillant, brû-j lant, égorgeant, réduisant en esclavage , le peuple dont elle s'était constituée gardienne, elle contraint le genre humain à vouloir son abaissement, aussi impérieu-ment qu'elle l'a forcé à vouloir que la Belgique vive. Non pas qu'il s'agisse de vengeance et t de haine. Nous ne cherchons pas la ven-j geance pour elle-même : les ruines et le sang de l'empire germanique entier n'at-t ténueraient en rien nos injustes malheurs et notre gloire à nous n'est pas faite du sang des autres. t C'est la logique des choses aussi implacable et inéluctable dans l'ordre moral qu'une loi physique, comme la pe-3 santeur, dans la domaine de la matière, c'est cette logique qui rend impossible 1 l'accomplissement du vœu de la con- 2 science universelle sans le juste châti-, ment du coupable : la Belgique ne peut vivre sans être vengée. Et ceux qui animés des intentions les plus généreuses s voudraient faire échapper l'Allemagne à e la vengeance qu'elle a attirée sur elle ceux-là scelleraient notre tombeau. Les pacifistes quand même évoqueront s notre passé prospère : " Ce qui était vrai t hier peut encore l'être demain; n'est-ce e pas à la protection d'un traité bienfaisant que la Belgique a dû trois quarts de siècle d'une existence heureuse et -'féconde ? Que chacun dépose les arrifes -et 1 s'applique de son mieux à effacer-fësGrâces du fléau qui a dévasté la terre, et là Belgique reprendra son essor." Nous ne demanderions pas mieux. Hélas, c'est impossible 1 La fondement de notre existençe.et de notre i prospérité n'était point un traité, mais t bien la confiance honnête des peuples et de nous-mêmes en la parole donnée .par les cinq plus grands pays d'Europe... Et sur les cinq il s'est trouvé deux félons, î Au moment où ils se voyaient sûrs de i ne devoir jamais fendre de comprtes à personne, mettant à nu le fond de ïèiir pensée ils ont déclaré et sinistrement î prouvé ne reconnaître d'autre loi qije 1 leur intérêt, leur avidité. De leur propre aveu, souillé de leur signature, un traité n'est plus quhin chiffon. Après cela on pourrait refaire des pac-1 tes. Ils seraient difficilement plus solen-5 nels et précis que celui qui constituait l'Allemagne et l'Autriche garantes de notre neutralité. Mais ce que personne > au monde ne pourrait faire renaître (et encore une fois ce n'est pas nous qui : l'avons voulu) c'est la confiance dans les 3 signatures de l'Allemagne et de l'Autri-r che. Chiffon de papier songerions-nous; r chiffon de papier se diraient les autres peuples avec méfiance; et chaque fois [ que l'intérêt de l'empire germanique 1 semblerait en opposition avec ce chiffon, 3 le souvenir du 4 août 1914 renaîtrait et les plus confiants ne pourraient pas ne pas hésiter. Qu'une Allemagne non repentie, qu'une Allemagne kolossale et invaipcue reste debout sur notre seuil, son ombre néfaste s'étendra toujours sur la Belgi-3 que, faisant peser sur elle une appréhension permanente, enlevant toute sécurité à son industrie, paralysant son crédit, son commerce, sa vie entière. i C'est cette ombre mortelle de l'Allemagne géante dorjt la Belgique ne veut plus, ne peut plus être enveloppée comme d'un linceul, parce qu'elle ne veut ni t mourir ni végéter, mais guérir ses plaies 3 glorieuses et vivre au grand soleil dans s la paix et la sécurité, à quelque prix qu'il les faille acquérir. Et comme il n'est d'autre moyen pour supprimer l'ombre que d'abattre ou d'abaisser l'objet qui la projette, notre but de guerre est d'abattre l'empire allemand ou de le mettre hors d'état de nuire, de la ramener à des proportions telles - qu'il ne puisse plus porter ombrage. Non pas, répétons-le, pour le plaisir de ravaler et d'amoindrir, mais parce que nous avons la juste volonté de vivre, n ayant rien fait qui nous en ait enlevé le droit. Plus que tout autre neutre la généreuse république des Etats-Unis a compris, senti, prouvé la révolte de sa conscience à l'idée que la Belgique pourrait périr.Qu'elle ne se prépare donc pas le remords de nous avoir empêchés de renaître. Qu'elle n'arrête pas la cognée qui va nous délivrer de l'arbre géant à 1 ombre malfaisante, duquel nous ne pourrions vivre. Si elle ne veut ou ne peut joindre son effort à celui du bûcheron libérateur, qu'elle n'entrave du moins pas son œuvre; il travaille au but qu'elle poursuit et qui est le nôtre, à notre but de guerre t il faut que la Belgique vive. R. LEBBE, Avocat à la Cour d'appel y de Bruxelles. Notre lutte contre les forces obscures Pourquoi il faut vous abonner Nous avons la satisfaction de icqiist^ter qu'il ne se passe pas d,e jpfo .59^5 q^e^s, arrivent des . croyons voir là les résultats ',des efforts personnels dg.jtys a:»is eu:.v;ye file x«crv.tpr pour notr.ç a^li^rçnte nécessaires-, 1 Sii-çfcupiip T<3r£W4e:,tiemfl»dai/t aia procuré à la Métropole au moins un abonné? et s il faisait le nécessaire immédia-teflîefjt .jwur remplir teidev&àr, car c'est un devoir impérieux , il nous enltèverait i)ien deg : doftt nous nç ifiirrtfWt;:aii: loj^g l'exposé, m£.is ^on^pept ïme .sérieuse irremulSadfi asq (C'est 'irà: devoir,' parce qife teqis liuttoiis aii|©BrdfhsH( ■ ien )be! moment précis, rewntre des ipuissanoes-obscïirtesiet peu iwMwfaf'euseB; mais ?dont: Janiflnpence wst ffei6'rrrte. Si ces puissances obscures, dont nous dévoilerons 1les W^é&fyedémm le/tir rUbt d'ordre dmoiëkeM ellts n'a1- gimieitPfÙS'<xu#m)M:jqtt'ejfëè 'ni il font. . -<^mu»-4es <id§gon§"fim1; l'o^iSM-Wè-' séticé>bles ''tàSU • sMafif$èkh)dl et conwm fous sera i'mpvsêi- à ri'àïè retoiir 'UP aiucSaib nu annD èo ^IPillleîifèiéiik ■Wfëy^'eii' ÎBêî^giie1 'occupée ! une vigoureuse campagne d'insinuations et de perfidies contre l'Angleterre,' notre alliée «t^e^éfenseur naturel.,p 9 Ces nous nous defend^s.,PjÇ,^aigj^j:,pa£,,4^-mener ici même Ç<fflc°«Çh r&h certains Allemands de Belgique aue A'Afi-gleterre commet l'immense suttise de ue? pas interner, une campagne infaiiie^çj^rç l'Angleterre qui les héberge. carp: pagne menace de compromettre rapports que tous les vrais Belges tie|ip,^^ ( à avoir avec le protecteur naturel de Belgique. La Métropole, journal national, gêne ces inquiétants internationaux dont l'unique souci est l'argent. NOUS LAISSERA-T-ON SEULS CONTRE EUX ? C'est parce que nous voulons éviter à notre pays les fautes irréparables et les horreurs mêmes qu'amènerâit le triomphe de la politique de ces criminels conscients que nous adressons à tous un suprême appel. Un bel acte de probité Le lieutenant-général Ruquoy, chef d'état-major général de l'armée, a félicité, par la voie des ordres journaliers, le brigadier d'artillerie Duchesne et les soldats d'artillerie Vyncke et Daems, " pour le bel exemple de probité qu'ils ont donné en remettant au bureau militaire de Calais uu portefeuille contenant 19.997 francs, qu'ils avaient trouvé dans le train dans le^ quel ils voyageaient."

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Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

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