La Métropole

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s.n. 1914, 07 Juni. La Métropole. Geraadpleegd op 29 juni 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/cv4bn9z130/
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ta METftOPOLÉ DIMANCHE. 7 JUIN 191*! gge- - EXTÉRIEUR Frai LA CUISE MINISTERIELLE La combinaison Viviani L'agence Havas a publié vendredi s< Ilote suivante que nous donnons à titr puin en taire. On a pu remarquer que le nom de M. Dupuy ne figurait pas dans la dernière ministérielle communiquée dans la soiré Viviani a eu depuis une nouvelle convere Ikvec M. Jean Dupuy, à la suite de la< une note annonce <^ue ce dernier reste disposition de M. V iviani. Cette note ; réelle importance étant donné les inci de »a journée et les résolutions prises au de La réunion tenue au ministère de 1 rieur, réunion à laquelle n'assistait pa Jean Dupuy. Doit-in considérer maint* comme possible la rentrée de M. Jean E dans la oombmaison? L'axe politique de ci en serait évidemment modifiée mais croyons qu'il faut sur ce point être ext Jean Dupuy. Doit«>n considérer maint de la liste arrêtée ce soir ne se produira: évidemment sans complications. Aussi Tient-il d'attendre les événements et de : rei tout oronostic. M. Viviani réunira demain matin a il fée se> futurs collaborateurs. C]est a c< IDenVlà que la crise sera dénouée ou qi Viviani rendra ses pou vous au chef de 1 L'accord est fait entre M. Viviani et ses pipaux collaborateurs sur la formule j déclaration ministérielle relative a la loi ban«. , Le gouvernement exposera dans oettj mule que 'a loi militaire doit être a-ppl dans son esprit et dans sa lettre. Le cabinet poursuivra la préparation taire de la jeunesse et proposera des m« de nature à augmenter la force de 1 arn p'est seulement lorsque ces mesures a été mises à exécution, que leur erru *ura été démontrée, que l'on devra se n les circonstances extérieures le permel \ une réduction de la durée du service LA™ COMBINAISON VIVIANI ECH La formule sur la loi de trois ans Paris, 0 juin. — Au cours d'une re lui s'est tenue ce matin au ministère d< téneur entre MM. Viviani et ses coUa beura éventuels, de nouvelles difficulté iurgi au sujet de la formule relative a de trois ans. , En sortant de oette conférence, les borateurs éventuels de M. Vmani a: çaient l'échec de la combinaison. Dès le début de la réunion MM. Uoda Ponsot ont fait observer que leurs ara ■parti radical unifié avaient été pénible impressionnés par la lecture du tate lequel la oi militaire ne pourrait.être j liée que plus lard, après 1 applicatioi mesure» dont l'efficacité aurait et» pu et seulement si, à ce moment, la situ extérieure le permettait. Il y avait la, eux, une formule trop étroite qui ne pou donner satisfaction aux députés ayant contre la loi de trois ans et nécessité du retour prochain a la J* La modification de ce texte démode M VI Godard et Ponsot a été M Noulens et la plupart On a alors envisage le départ de M, • rt Ponsot et leur remplacement pat de, putes moins intransigeants sur_ce po M Viviam a considéré qu une mo<liti& nouvelle de son cabinet au point o ttavent les choses était contraire a sa difc, u, départ de MM. Godard et I onsot s peut être d'autres membres du tour ca ïurait, d'autre part, pour effet de rejet députés radicaux unifies hors de la ma] ministérielle et M. Vivmiu n » placer l'axe politique de sa TOmbmaison Viviani a donc remis ses pouvoirs a M.. oare lequel » vainement ïnsiste pour le revenir sur sa décision. iwoli M Poincaré va taire appel1er ]M. DesscU D considère qu'en l'absence dei toute_m tion politique donnee par le Parlement wut s'inspirer que du vote de la Lha Sonnant la présidence à M. Deschanel P'&rfd]gnoi)(e si°M* Deschanel acceptera. J ''faut de îuf, on parle de M Delcasse celui-ci étant résolument décidé a ne pas «or toucher à la loi de trois ans aurait (x lui les socialistes unifiés et une parte radicaux socialistes un mes. -T Enfin, on dit que la tache de M. Don gne pourrait, le cas échéant, " «tré pas plètement term.nee et que M. Vivia même pourrait être appele, après 1 echc plusieurs combinaisons, à recommencer geoonde tentative. Angletei Les suffragistes incendiaires Londres, 6 juin. - Un incendie a de sne grande maison meublée actueUemen habitée à lylers Green dans e Bucking^ ehire On a trouve près du lieu du sin une bouteille de paraffine, de 1 Matesat d'essence et des manifestes suffragistes. Allemag LA VISITE DE GUILLAUME La présence de l'amiral Tirpitz à Komoi Francfort, B juin. — On mande de B fc ia . Gazette de Francfort.: Le fait l'Empereur Guillaume et 1 amiral von 11 Tiennent d'être invités simu tanement a nartie de chasse chez 1 archiduc héritier d triche, à Komopitch, porte certains jouri à penser que les différentes questions mt »ant la politique navale des deux Etats être discutées à cette occasion. Quelques nahstes ont même établi un rapproche! entre cette enfevue et la question de 1 ei te navale anglo-russe qui, a notre m» oe. est toujours une question et ne s est encore- transformée en réalité. Dans les milieux bien informes on a» de façon formelle que l'entrevue de K pitch n'a absolument aucune relation av politique en général et particulièrement (a politique navale. Ceux qui ^ savent quelles conditions l'amiral a ete invite prennent qu'il ne s'agit bien la que < {invitation à une partie de chasse. Il est ( leurs compréhensible que 1 archiduc hei qui «i rencontré l'amiral pour ainsi air passant, ait le dési." de mieux connaît véritable fondateur de la marine allema Peut-être souhaite-t-il d'entretenir 1 âi d'une chose qui lui tient à cœur: la m; autrichienne, mais cela n'a rien que de naturel. On peut agiter la question de si »i unt convention navale entre l'Allemagi l'Autriche est vraiment utile ou possible une chose n'est pas^ douteuse, c'est qi des pourparlers devaient^ s'engager sui point on ne commencerait pas par en i mer le monde entier en organisant une \ du ministre allemand de la marine chez ritier du trône d'Autriche-Hongri'v Ser La crise ministérielle "Belgrade, 6 juin. — ï/es chefs des part l'opposition ont remis hier dans l'après-k la chancellerie royale une réponse é aux questions que le Roi lenr a soumises. On pense que la solution de la crise lieu ce soir. Mexiq Pour Fes élections présidentielles Washimrton, 6 juin. — Le Conseil mu pal de Mexico prend des dispositions pour fes élections du président, du vice-présir des sénateurs et députés, aient lieu le 5 Jet. Le général Velaseo est arrivé. Il rece' le portefeuille des affaires étrangères. > AVIS A cette époque de l'année le nombre d< abonnés se reniant en villégiature, est ci dérable. Pour faciliter la prompte exéci des mutations, nous prions instamment abonnés de vouloir bien nous rappeler ancienne adresse en nous communiduAnt npuvel'3 adressa. BRUXELLES —)o(— p Un portrait de Marie-Henriette llt'C La Chambre vient de commander au p bre Aimé Stovens le portrait de la feue r< Marie-Henriette, destiné à faire pendant >ir la Portrail> de Léopold II qui figure dans 3 do- l0caiLX parlementaires. Jean Dans ,c corPs diplomatique M. Levidis vient d'être nommé conse: , \f de légation ministre résident de Grèce à I ation' longchamp-fleuri t U])p U aura lieu le 23 juillet prochain et 1 dents Par^lb programme des fêtes organisée! fV.n,n, î'honneui* du lord-maire et de la ddléga-'inté- City-Council de Londres. s M * man^ Encore un canard upuy ^es anticléricales ont rapporté celle- département des finances avait conclu nous nouve,l emprunt à long terme, à Paris, •ême- — C'est une erreur absolue, a déclaré mant ' B ^au ^jrvere, ministre dei t pas naoes* L'argent est actuellement à un t con- avantageux. On nous en offre a 3 1/2 ï •éser- et BO,us avons conclu quelques op tions de trésorerie, très avantageuses j jieu_ nos finances, voilà tout. e^l. La dernière semaine de la Zwanze. LCtat! Aujourd'hui c'est l'avant-dernier din prin- c^e. tïue &era. ouverte la Great Zwans E: le la b'tâon. On sait que celle-ci fennera ses x»o^ le 14 juin, le Marché de la Madeleine dev être remis le lendemain à la disposition d< ) for- v^e* Les retaj\lataires feront bien de se iquée fcer* ^eux Q1" n'auront pas admiré ce6 cl d'œuvre de ck'ôlerie en auront vite une se mili- de remords. Il faut avoir connu cette ex „ sition burlesque, il faut pouvoir cfcire f ^ et etard : t J'ai vu cela. Mais ça ne se reve liront Pi»'-' La Conférence parlementaire interna ï«rr+ na,e C,U commerce. La conférence s'annonce comme un i m grand succès. Les Parlements des prinedpi ni IF puissances économiques de l'Europe y ser représentés par des parlementaires éminer Voici le programme des travaux et réc 1p1.OB tions. i l m- jg ju£u. à 2 h. 1/2, séance inauguraJe, bora7 Sénat do Belgique: ^ °|11. a) Discours du président de, la Conférer la. loi j0 baron Descamps, ministre d'Etat, sé teur, membre de la Cour d'arbitrage de colla- Haje> ancien président de l'Institut de di luo:u" international : b) Allocution de M. Henry Carton rd et wiart, ministre de la Jusitice ; ls du c) Réponse des présidents des déLégati nient étrangères; selon (j) Discussion du programme de la cor nodi- reIlce. des a 7 h. 1/2, dîner offert par le Conseil p ►uvee lementaii-e belge du commerce. ation A 9 h. 1/2, i*éoeption au ministère de ^JoD Justice. ri-ait X9 juin, à 2 h. 1/2, assemblée plénière vote Sénat de Belgique: le la a) Disoussion d'un projet de statuts p ans. par le Consei! parlementaire belge 1 Par commerce; par b) Ordre du jour de la prochaine sess très. |e ]a conférence; dard A 9 heures, raout à l'Hôtel de ville de B ; dé- x elles, offert par le Collège des bourgmes mais échevins. ition 20 juin, à 9 h. 1/2, au Sénat de Belgiq-îi en constitution du bureau général et permam oité. de la conférence (article 13 des statuts), iiivis A 1 heure, le Conseil communal d'Anv >inet offrira un déjeuner à l'Hôtel de ville. ;r 80 A 3 h. 1/2, excursion sur l'Escaut. wité Ceci sans préjudice d'autres réceptions < i dé- pourraient avoir lieu. . M. >oin- — z INTÉRIEUR iica-iJ ne Les Belges en Perse Le gouvernement belge vient d'être ai L par le gouvernement persan d'une demat majs de quatre-vingts employés,destinés au serv lais- de la trésorerie et de trois employés pour intre service des postes de Perse. Les ingénieurs des chemins de fer m€r_ Le dépai-tement des chemins de fer ptré] re, on ce moment, un concours d'ingénieu ]uj. Celui-ci sera organisé prochainement, et c tendra à la collation de neuf emplois d'inj nieurs au service des voies et travaux et dix emplois d'ingénieurs au service de la tr. bion. rre La moitié de ces positions, soit quatre a voies et travaux et cinq à la traction, f< l'objet d'un concours spécial qui sera réseï aux chefs de section porteurs d'un diplô &ruit légal et qui occupent depuis trois ans t in- moins, au 30 juin 1914, l'emploi de chef ïam- d'ingénieur (grade légal) pourront, comi istre section. urée Tous les chefs de section porteurs du diplô par le passé, concourir avec les étrangers Concours de sylviculture Des cours volants élémentaires de sylvic ture seront donnés en 1914: 1° A Couvin, par M. Léonard, garde gé: litch ra' des eaux et forêts en cette ville ; 3rlin 2° A Saint-Hubert, par M. Bradfer, gai que ç?®né,'al des eaux et forêts en cette ville; -pitz ^ Turnbout, par M. Quéritet, garde , une néral des eaux et forêts en cette ville ; »Au- ,^° A Boitsfort, par M. Delogne, garde i îaux n^ra^ des eaux et forêts à Bruxelles (aver îies- 'l'Auderghem, 300), et MM. Perau et W vont hiQue' cous-inspecteure des eaux et forêts our_ Bruxelles. 'tei/- Les examens d" jury centra! de sténog îsan- phle* Les examens annuels du jury central ^ sténographie, fondé à Bruxelles en 19 irme P?ur délivrance de diplômes aux pr£ 3mo- c'ens sténographes de tous systèmes et a ,c ]9 dactylographes, auront lieu le dimanche avec ju^n.Pr^>c^ain à 9 heures du matin, à l'Ec dans industrielle de Bruxelles (Palais du Mid corn- ^es e.xarnens comportent: 1. des dict 'iitip ^ minutes, faites aux vitesses resf>ecti' l'ail ^ ^ a 'a minui itier une ^Prenve dactylographie à la tesse de 25 mo-ts par minute, pendant i ® e,p durée d'un quart d'heure; e i f 3. deux épreuves de sténo-dactvlograp nPe: (textes commerciaux) comportant: 1. rn.ra prise d'une dictée de trois minutes, à la tesse de 100 mots par minute, 2 une die t!T à la vitesae graduée de 100 à 120 mots i ivoir minute. ie ef Une demi-heure est accordée au candù mai' pour la transcription dactylographique. ie s- f .p droit d'inscription est de 1 fr. 50 j cr épreuve. T>es adhésions, accompagnées ifor- rlroît d'inscription, doi yen t être adressées i mte ia voie postale et jusqu'au 15 juin, à M. L. Palmers, rue Lefrancq, 70, à Bruxell Elles doivent mentionner outre les noms, p kîp noms et adresse, l'épreuve à laquelle les ca lidats comptent se soumettre. Les examens du jury central sont orga ia d és sous le contrôle d'un délégué du gouv mid nement. 1 MONITEUR yç DU 6 JUIN Décoration civique. — La médaiile civic le Ire classe est accordée à Mme Poelm . . Cornille, concierge du conservatoire royal n,tïI musique de Gand q"' Aliénés. — M. le docteur Goethals, a B 'en* res^ ^ nommé membre du comité d'insp JU1' tion des établissements d'aliénés et des as-. provisoires et de psasage de l'arrodissenu ^rait (je Bruges, en remplacement et pour ache ie terme de M. Van Steeukiste, décédé. Pont et chaussées. — Démission honora de son grade, est accordée, à sa demande partir du 30 juin à M. Duvigneaud, cond teur pricipal de Ire olasse. Sylviculture. — Des cours volants 51ém i no? taires de sylvicultura seront donnés en 19" )nsi- 1° A Couvin, par M. Léonard, garde gé ition ral des eaux et forêts en cette ville,; nor 2" A Saint-Hubert, par Bradfer, garde . leur néral des eaux et forêts en cette ville; lei.» 3° A Turnhout, par M. Quéritet, garde nier*.! des eariir a t. farête s>n ville; 4° A Boitsfort, par M. Deloghe, gardi néral des eaux et forêts à Bruxelles (av d'Auderghem, 300) et MM. Perau et W que, sous-inspecteure des eaux et fore Bruxelles. ^ Poqr tous reenseignements, on est pri em- s'adresser aux agents forestiers prénommé >ine aii Notules philatéliqu< 31er LA VEINE Iru- Pour La grande majorité des philo/tôli il y a deux moyens de se procurcr de b pièces, sans compter les autres proef c'est de les demander contre espèces à era maisons sérieuse ou de les prendre à l'éc. en ge dans les carnets de collectionneurs^ a iion cés; on peut aussi 9e munir de tini communes et les garder en portefeuille attendant qu'ils deviennent des vignette grande valeur. que Mais il y a encore, deci delà, dans la un fession, un certain nombre de rêveur d'idéalistes, Qui souhaitent trouver eux-au mes, en des recoins perdius et sons des p fi- sières inviolées, le timbre merveilleux, aux sera la parure de l'album et l'orgueil de our heureux possesseur. « Je J'ai trouvé, racc ?ra- t-i.î, pour la dixième fois, avec une pc our d'émotion grandissante, dans cette liasse pièces annexes de l'étal-civil, Que l'on a reléguée sous les combles de greffe, avec vieux fusâJis à pierre, saisis soir les braconr an- de 1830, et les autres pièces à conviction thi- tûtlisées. » < ■tes Quelle joie, après avoir remué des oer ant nés de paperasses monotones et des kilo ) la poussière, que de retourner tout à cou: hâ- feuillet sur lequel on ne comptait' plus ie>fs feuillet auquel le timbre est resté collé •rte quel timbre. C'est îa découverte, la v po- découverte, celle qui n'eut peut-être jar Jus été faite, sd l'on n'avait pas eu soi-m rra l'idée de venir là et la patience d'y cherc Et son authenticité donc ? La voilà bie pièce indiscutable que n'ont pu maquiWer tiO" chevaliers doi truquage ni les profession du fac-similé. Elle n'est encore passée rès auoune collection; elle sort pour la prem ^es fois de sa cachette demî-séeufaire. Dnt ]i est facile de comprendre qu'après a lts- goûté de pareilles émotions, on n'en vei eP" point d'autres. Seulement il est bien diftï de se les procure:-, à moins d'avoir justen au ,>p s^îsij^j'Bniqd sjiuinioo^çox soq -xn-onir la déesse Fortune, est si capricieuse, qu oe» sourit rarement aux vrais amis des timl ua" ou que, si elle daigne le faire, ce n'est près La jamais quand ils la poursuivent, oit j'aj connu, il y a quelque vingt ans, époque bénie, ou les archives particulii des avoués, des nota.ires, des mairies, sous-préfectures et des tribunaux, dans 3116 petites villes de l'Ouest, n'avaient encore soumises à aucune investigation, tant *e" peu approfondtie. En ce temps-là, un ôlé^ officier de cavailerie légère, doublé d'un ar" lectionneur, pouvait, en faisant deux do . de cour à la femme d'un avoué-liiceaici<! trois brins de causette avec son mari, p< irer dans la mansarde des dossiers, y dénik au des ver-millions, des 1 franc et des ç francf l'Empire, des oblitérations rarissimes guerres impéria^ks, sains parler des « ta: lirthographiés, qu'il y ramaissa.it à la c zaine, je n'exagère rien. L'histoire racc ,or même que 1a bonne ayant tiré 1'échelJe conduisait, par une trappe, à oe réduit T1" charuté, l'heureux chercheur faillit y passe nuit. ^ Mais oe temps-là est maintenant qi la «veine». Or, la veine, cet autre nom Paris et d'ailleurs ont inondé de leurs pi s peotus, alléchants et détaillés, tout le 1 " sonne! qui s'agite autour des cartons vert des chemises fanées; c'est peine perdue • de parcourir, sous l'œil narquois des scri ' ' subalternes, les monceaux de missives où ! n'a même pas laissé les vulgaires timl — communs et les gar der en ponte feuille, comptes périmés d'une très ancienne ca d'épargne, un 1 fr. carmin de 1849, i/1 i " marquer cette journée d'une croix blan< elle ne se renouvellera pas. Alléché par de fantastiques récits, un je collectionneur, de mes parages obtient la d'une vieille malle où se cache la corresj: js: dance d'une famille créole, qui eut des t de quiers à l'Ile Maurice, à la Réunion, è iee Guyane Française, au Sénégal et aux In< le 1-e dépôt est intact et il contient un de siècle de correspondances de la me i lie époque. Ce sera bien de la déveine si I n'y trouve pas que.que Post-Office. Oi ya trouve un timbre anglais et quatre coloni: rs. faraçais du type Cérès ! Ces gens-là ne i; servaient jamais de timbres pour leurs affr ré- chissements. de II y a une demi-douzaine d'années, ie- Parisien, en villégiature aux confins de Normandie,apprend qu'un chef-lieu de can ax breton recèle un trésor: ce sont les pap ir;î d'un notaire généalogiste, décédé après ai ■v? fait d'immenses provisions d'archives anc: ne nés dans tounes les ventes ou successions au ii a été mêlé. Ce tréor est passé aux ira de d'un de ses jeunes confrères, très connu p ne son urbanité et son obligeance. Il n'y a q lui demander d'y aller voir, pour décou ne des merveilles en timbres ou en marques ï taies. Mon ami demande en effet la parc sion, l'obtient avec la meilleure grâce monde, fait 100 kilomètres en bicyclette, p ul- l'aller, autant en canot automobile pou» retour; reste deux nuits à l'hôtel, s'enfer ié- pendant atuant de journées d'un été brûle dans un galetas effroyable, y reçoit l'ass de d'importuns qui veulent l'en faire déguer fait connaissance avec les poussières les 1 5e- malodorantes et découvre, au milieu d' profusion de lettres coupées au coin droit r4 prospectus et les petites enveloppes d' ur maison de Paris, dédiés aux clercs de nota ir_ désireux d'augmenter, par la recherche p timbres, leurs modestes appointements. D tampilles postales, pas davantage; de de ments historiques ou biographiques inté fa- sants, pas l'ombre d'un. N'étaient le pla de l'excursion et l'amabilité des gens, i de avait vraiment là de quoi se mettre en coli 37, Mais il y a plus vexant encore. Non loin ti- chez moi, mourait une vieillie dame, pare nx d'un ancien archevêque en résidence dans 28 Antilles; on savait, car elle avait parci: de nieusement donné quelques vignettes ra: i). prélevées dans ses papiers de famille, qu' Ses avait des liasses de lettres anciennes de Ha rea Saint-Domingue, les Antilles Danoises, Fr -e ?aises, Anglaises, magnifiquemert affr vi- chies. L'héritier,' un neveu assez éloigné, ne aussitôt l'objet de sollicitations pressantes. .a part de ceux qui connaissent l'existence re magot philatélique. Savez-vous ce qu'il la i éi>ondre? — Qu'il aime mieux brûler le t si- plutôt que de favoriser de semblables puéi ^e oés. Et il le brûle en effet dans son jan ►ar Le vent moins crueJ sauva, dans le tas, d< .îièoes; elles portaient des timbres cotés lat crânes. N'est-cve pas que c'est décourageant? ►v Et pourtant D. ne faut pas douter abs< du ment de la veine ; il suffit de l'attendre et >ar savoir la saisir. Tel collectionneur ouvre, s •J arrière pensée, le tiroir d'une vieille tabl 08 ,eu, qui lui est venue par héritage et qt r^' ,ubi quantité de transbordements par tern m par mer; i.l y déniche une liasse de lettres a guerre de Crimée voilà pour les estampi 1,1 jt voici pour les timbres — vingt lettres e" France, affranchies avec le 10 c. bistre _ a République et de la Présidence, par un it en paires. Ce jour là, il avait gagné tournée. Chez un notaire de sa connaissance, ivait depuis longtemps remué, pour la col tion de timbres de la maison, toutes les [U( hives de l'étude et pas mal d'autres aille* în ,m beau matin, une petite boîte de bols blf d> jui avait, contenu un étui à lunettes, fra machinalement les yeux du maître de la r ru ;on. (fille porte un affranchissement. L1 ec prend, l'examine; c'est une paire de timl le* t,ête-bêche, qui se cache sous la poussière, mt pense si la poussière est vite enlevée et fti timbres décollés avec les plus fines préc tions. Cette fois la veine avait eu de l'à ] bie pos. , à Le plus souvent en effet oe n'est pas 11c- collectionneurs qu'adviennent les chai exorbitantes. Je ne sache pas en effet q m- collectionnât, l'employé oui découvrit à Pa 4 : dans le compartiment oublié d'un oartonn ié- des feuilles intactes du 4 centimes de l'I pire avec leurs têtes-bêches. En tous ca gé- ne collectionnait certainement pas, dans tribunal, où plusieurs collectionneurs ava" xé- fait les recherches les plus savantes, il ne leH.î.iimnlt i>np. ca di^ne inn.instrAt awaiu > gé- arriva la plus agréable aubaine que 1 mue télie française puisse accorder : En dé arti- sa table-bureau, il apei-çut derrière ce ts à massif, un feuillet qui ne semblait jeune ni très propres 'l se baissa pour é de de sa conscience : C'était une lettre c s. ornée, comme bien vous le pensez, d vermillon. Un marchand parisien l'en £ rassé moyennant un prix respectable Tant il est vrai que quand il s'a /b beaux timbres, il ne faut jurer de rie me dit le poète. Yves Le Pc * * * f'Jos. Van den Bo 51, RUÊ LEOPOLD, 5! une Achats de timbi*es-posto et co lan-van-bms A LOUVAIN , en ; Correspondance particulière de la «Mét Raid et concours hippiques. — Nos inc Saj mA Un raid militaire iuternational, or aUiS'_ sous le patronage de M. le ministre j guerre, par notre « Cercle s^jortif d couru, entre le 20 et le août proch me_ trois étapes ainsi fixées : Ire étapo, U in te m®'fcresJ a couvrir eu 36 heures, à ail ^ glée, entre Bruxelles, Louvain, Tongrt vait ®Pa» ^me étape, d'une centaine c , mètres, à accomplir en un joui-, à ail glée, de Spa à Audenne et Ciney; 3me ■jjjj comportant 260 kilomètres, à effect allure libre, entre Ciney, Namur, L< Malines, Termonde, Gand et Ostende I , drome Wellington). Les villes de Spa, ^ j0 de et Ciney interviendront sous forme < sides. Il y aura une vingtaine de pri> ' e[ le premier sera de 3,500 francs. Le organisateur, sous la présidence de noti îais p^-thique conseiller provincial, M. le ba Dieudonné ,et du major Joostens, comj j^er les engagements de nombreux officie] ^ jg inans, français, russes, anglais, suédois landais,, et des mesures seront prises, niejs à la 3me étape, pour éviter les cruau oar ont rendu oéièbre, naguère, le raid d. ière xe^es a Ostende: des médecins-vétéri postés de 10 en 10 kilomètres, exa-mi l'oir es chevaux et interdiront la continuai uilJe l'^aPe a ceux qui ne seront plus en boi cjj0 En attendant oette joute extraord |iôn[ nous aurons ici, le jeucÛ 11 courant, u q-gj cours hippique, pour tous cavaliers, oi çjj^, également par le « Cercle sportif ». I >rès Prendra deux épreuves d'obstacles, don le Prix d'Héverlé, sera subdivisée en catégories, et une seconde épreuve p plus beau cheval de selle. Cette fête éç se donnera sur 1a nouvelle piste que le {jes a fait établii- près de la lisière du bois j€- verlé, sur la chaussée de Namur, au 1: « la Chasse ». Un train vicinal spécial < ra la Place de la Station, à Louvain, à 1 airM et repartira le soir, de « la Chasse », Deux industries importantes s'étaier tK établies sur le territoire de Hérent, au né- n0^re et l'on annonce qu'un her s!®me y sera bientôt créé: M. Bertran . ^ cien directeur de nos Ateliers Dyle et B 1 ^ vient en effet d'acquérir dans cette cor ,e n un vaste terrain longeant la voie fer ^u_ îvouvain à Bruxelles, et sur lequel ser nte s^ru^e nno usine de construction de qui nOT' en- * a xls-, Chronique de la M( de Les taffetas. — Les foulards. — Les ^ — Les robes de serge. — Corsa ; e~ blouses de soie. ^ Le beau teni[)s est revenu et, av< , oOut. revenues .to naienes jouiea toiuei on en» u ete. ' e*n jbe bux4«vas ict>te toujours tiès porté isse 11 a i>'Ll4c4 P^eieiviices ausoi eXc aiUt iiient qu au ueoui. ue «ai>aic>on. vous > axio ivue pratique, ne cnoisissez piis c ~' xcuus ex si vous voulez une rooe eoouoi JJW, ne xe cno.sisùez pas aavaciage. JLe ti "lef otJ coupe u>uj\>uib aosez. lacxieuient, queu ^n_ M>it io prix, et si vous le prenez u uj an_ aiuiime, lu roôsemoiei'aji uu papier. ja J.'ouiiant, certains i-aiieuio uruchês c |es dés sont Dieu tenvante» avec leurs Do mj" viejaiot-, leuj-s impressions aux tein&es i Uir<? cli us s auient uencieuseuieui. au char >on certaines roues a voiantis très netxemeni , y vj'ebt te cas ou jamais de choisir ces i llUX si on choisit Ou caiîetas ; les rayure g^. petits quaurines, les semis brodes a an_ eifets s aillent a ravir aux vouant» fes et rien ne sera pius tacne que de conse Uiri i-a robe tout sou caractère avec un c ia simple ceinture d'un large ruban av. ton manches très courtes, petits basons à i' ^j-s et un rien de bianc en guimpe ou en ,0jr ^i le tatietas eut les honneurs des pre en_ toilettes printanières, les tissus soupl ou lont actueuiiement une assez sérieuse c ins rence: crêpes de Chine plus ou moin lVU,r iants, ci-epons et crêpes a grain gros < u'à pcpeiiiie ue soie grains de poudre, te /(ri,r oissus souples reviennent en scène et soi ios- pioyes pour nos robes d'après-midi. tîs. Le c.assique fouiard lui-même, si léj du commode, mais n'ayant pi us rien des our ques petits semis d'antan, est repris av< le L-ès .On fait d'amusantes petites robes nie foulard à grosses pastilles se mélange mit, plus heureuse manière avec la serge fi a.uit On emploie assez peu de satin, sauf par, être en ces larges rubans de belle quali tl'Uts font de très belles garnitures de ec jox' i>ans plusieurs maisons de couture, et , le ies meilleures, on voit des robes garr ine volants de ruban; sur celle-ci c'est ai ire, de tulle entièrement coupé de hauts i des de moire ayant vingt-cinq centimètre 'es- posés très bas devant sur la jupe, renu eu en arrière presque jusqu'à la taille, le -es- grand ruban faisant tout le dos du c isuJ comme un boléro. Sur telle autre robe < 1 y fêtas changeant ce sont de larges rub; ire. satin noir qui viennent trancher et aco de l'effet de crinoline de la jupe, nte Les beaux rubans unis ou à disp< les apportent maints éléments de garni tu i no- ciles à varier selon le genre do robe 'es, goût personnel. Bien qu'on s'achemin ^llé robe droite avec cette longue tunique ïti, line, on voit toujours des paniers, des an- drapés de côté ou derrière, avec des an- chons d'étoffe, de grandes pointes flot est volant au gré du vent et d'innombrabl de flottant sur les hanches et derrière. Di du oela affine la silhouette serait exagéré fait ce qu'il y a de fort amusant, c'est qu< ceut voyons voisiner sans trop d'étonneme •ili- deux silhouettes «entonnoir» et «abat lin. Malgré tout, les formes abat-jour, cri] îux minater, semblent devoir nous influent 2C vantage et notre jupe est bien souvi jupe de nos paysannes à laquelle elle en te certains effets rayés de teintes vive )lu- taines serges à bordures genre limousii de reloris vifs et tranchants. Sont elles pa an nés ces petites robes de serge unie à e à fines, serges mousseline ou serge foula: :i a langée de serge rayée de satin noir ; et taffetas écossais? de Presque toutes affectent la même c llef tion : une longue redingote sur une de étroite sur celle-ci la redingote est en de bleue unie et bordée, sur une sous-ji ité satin noir, étroite ; sur l'autre, la pr sa jupe en popeline rayée, les rayures dis en travers, la tunique est phssée en on ^enre plissé soleil. Une autre, très lec c:ette saison, comporte la sous-jupe en ar- ainsi que te corsage tout plat, et^ 1: rs tunique en taffetas écossais froncée à 1 ne. sanne. C'est très jeune et très chic, ppe Rien de plus frais, de plus léger, ( îai facile à porter que la chemisette ou la indépendante. Do là: sa grande vogue iref tout pendant les chaleurs d'été. Il & Or 'iue beaucoup de tailleurs d'été sont e le? '.és par des corsages dans le même tls au- le costume, combiné avec du tulle ou >ro lentelle ,lorsque celui-ci est en soie, a orépon, voile ou de la laize de broder iux que le tailleur est en peluche ou veto ice.' :;oton. Cependant les blouses transpî u'il rm dentelle légère, en mousseline de s ris, ls simples petites chemisettes en bat ier. linon, l'emportent sur tous les autres Cm- à oette époque de l'année. s il On fait beaucoup de corsages et cf, de soie avec une petite guimpe et le c ent mand ou Murât en organdi, linon, mou col de soie, tulle ou batiste. De simples je «1 il un oieot aux bords en forment l'unioi i phila- niture de sorte qu'on les remplace sans be plaçant coup de frais dans le cas de détérioration meuble suite du blanchissage ou nettoyage, ni très Déjà depuis un certain temps nos gran l'acquit maisons de couture emploient l'organdi p e 1849, les guimpes, le col normand et ses nombret u 1 fr. variantes, les chemisettes et blouses, mai: , débar- voici à présent qui prend une place prépon rante parmi les tissus de lingerie pour git de robes d'été. On fera des robes en orga a, com- blanc garni de ruches ou plissés de taffe noir ou bleu foncé. ntik. A la suite de l'organdi, il faut signaler volants de broderie en dentelle, qui prendr SClu la seconde place comme tissus à emplo pour la confection des robes d'été ; en trois Ile et. me ^6uj nous aurons les fins crépons de cot » * • — Décidément on nous offre oette sai^ j des robes de lin«eriefcd 'une grâce irrésistil * 1-e modèle que je vous apporte aujourd'hui ustries q^e j'entrevis ces jouns ci au LILAS, est i nedi. véritable petite merveille. Le fond est_ ganisé, fourreau en linon lilas uni; le haut de la ji de ]a fe>rme un empiècement, d'où part un h; , sera double volant plissé étoile en linon lilas, r; lin, en de blanc; le corsage est en linon blanc t 5 kilo- vaiLllé d'échelles, de jours, et incrusté d'être are ré- entredeux de cloiny; le oorsage s'unit à •s, Lié- iu>pe sous une oeinturie de moire notre. Ce e kilo- r°be pimpante se complétait d'un boléro are ré- inon uni, avec col et bas de manches en lin étape, rayé; il^ se terminant par une basque tomb; uer en sur la jupe. luvain, # * # hippo- Osten- — Le tailleur Geo Andersson voit : le sub- efforts cc-uronnés de succès, l-a vogue qu \ :, dont tient le costume réclame doublé de soie qi comité vend 130 francs en est la consécration. Is e sym- élégantes trouveront également rue Leys, : l'on de un choix complet des blouses de soie >te sur lingerie dernier cri. •s aile- et hol- m h # quant és qui — Très intéressants les nouveaux mode î Bru- que la Maison de Confections pour Dam-naires, >6, rue Ommeganck, a établi pour le pr; neront temps prochain. Cette maison s'est adjoint 1 ion de rayon de Blouses habillées dont tous les n 1 état, dèles exécutés dans leurs ateliers ont un < inaire, ?hot de bon goût. n oon- # # # ganisé 1 com- — Oui, Mme, p1" bien habiller vos enfan t l'une adressez-vous à Poncin, 2, rue des Jamboi trois our le Yetta. uesta'e # # # Cercle d'Hé- Teinturerie A. Van Weeren, Tél. 3092. i eu dit plus importante,la meilleure et la moins cW juitte- J'; «0. * * . a o h. — La Mode nouvelle 9era aux Fourruj t déjà sombres. «Fourrures Max», iq, Remp. K x por- ,jorp f Pl.Tenîers) fait le lustrage desniarlr e troi- ?.tc., ainsi que les réparations aux prix d'é' d, an- acalan * * * Maison FANCHAKIPS, 19, rempart Si a con- Catherine. Cos'umes tailleur. Grdchc aiachi- modèles.Conserv. de fourrures avec gai )de Faits divers satins. ^ ^6S Ct Rest. Rose d'Or. Cuisine réputée. Fêtes. AFFAIRE MYSTERIEUSE. — Vendre e lui, soir, les époux Sol-Van der Auwera, avaie tes Uv bu beaucoup de thé. Peu après ils eurent fortes crampes. Un médecin fit transport , maib d'urgence le mari et la femme à l'hôpit iusiye- Sain te-Elisabeth. Le thé provenait d'i ^oaie^ pharmacien du voisinage. Le restant du t! e taa- a été saisi et remis au parquet. llulue> JflOTEL-RESTAURAN F " WAGNER , iieuK> ^uenue des Arts (à côté du Théâtre Lyriqu eu Dîners à prix-fixe et â la carte. 1 ^ GRAVE ACCIDENT DE TRAVAIL. t Krn Uno amarre qni retenait «n cliai-, à bord du steamer « Etlia Rickmers », s'e '''11 rompu au moment où l'on hissait le couv-cle d'uno chaudière. La lourde charge retol " ,c ba sur une allège où elle toucha le bateli 1 Henri Geeraerts, âgé de 44 ans, du batc: ormes, ^'intérieur t Ceci! •. Le malheureux se pl: s' f , gnant de fortes lésions internes, a été ta-ai 1,6 porté à l'hôpital de Stuyvenberg. rver^a L'AVENIR DES ENFANTS préoccu; tp beaucoup de parents. 1 assurance dotal ° oonclue à la Société Gér^ralp Néerlandais infant Brouckère, Bruxelles, donne meilleure solution à ce problème. iiueres VOL. — On a volé chez M. Van Brée. d as lui mourant rue Saint-Thomas, de l'argenteri uncui- des vêtements et une somme de 40 francs. , bril- NOYADE. — Le machiniste François, < ;u fin bateau de la douane, est tombé par-dess us le^ ^0,"d dans l'Escaut, près du fort Philipf it ean- ^ s'est ^oyé. Le corps n'est pas encore ï trouvé. ;er, s: TAPIS DE SMYRNE, r.Van Dyck,32-34,Pa olassi- ACCIDENT AU PORT. — Travaillant e suc- bord du steamer « Manitou », amarré : où lo N. 48, le docker J. Van Mol, demeurant r de la Montign.y, a été atteint par une plaque j ne. fer. Blessé à l'épaule et à m poitrine, il a é peut- transporté à l'hôpital Saint-Camille. té qui ROYALE BELGE, siège social à Bru x elle uleur. \ssurances accidents gens de maison. Agen parmi Q^s-nérale, remnart des Béscuïnes.R, Anrers. le! dij VOL IMPORTANT A SCH00TEN. i tonei j^ang ja nujt jg vendi-edi à samedi, des cai ■uoanfc ^rio]0Urs on^ pénétré par le soupirail de s f1"'3 oave dans la maison de campagne de M. J >ntent sep|j pret Roose de Oalîsberg. Dans l'< ™eme fice, ils ont enlevé la clef de l'armoire à a >rsage qu'ils ont ouverte et ont empor le tal- d'argenterie nour une valeur t ins de 3ooo fr. Les cambrioleurs ont cherc mtuei enr(>ro dans le secrétaire de Mme de Pre mais n'ont pris que quelques timbres-post ïsition ]^>ans tout le rez-de-chaussée ils ont lais es fa- sur j€S tapis, les meubles, etc., des tach . de bougie. La gendarmerie de la commune 3 a la ouvert une enquête. Xte PIANOS lrcs marques. 8. PR0P,?4 S», l'es h capu- PINCEE. — La police de la brigade d tantes recherches a arrêté dans un lojzement de es p.u* rue (jg ja \ïus^tte Bleue une Allemande, q re que ^ trouvait en rupture de ban et qui résidî , mai? notre ville sous un faux nom. Elle a é i nous écrouée à la disposition du procureur < nt ce? Roi. îoiiuêj Horlogerie Siemes, 97 pl. de Me er da Br3ce3ets-Hlontres or et argent :nt la ^^gU|ateUi»s et PendiiCes à carillo îprun- s^écïaSità Menées t5e précision 10 am TRIPLE ARRESTATION. — A la eo: risien- mune d'Aertselaer, on a arrêté trois indi côtes ^us avec une grande quantité de plaques d mé- ^nc> (îu'^s avaient volé à Hemixem. De de' ^es individus habitent Hoboken et le tr 1 sième Lierre. Tous les trois ont été écror icrtsvci à ia disposition du procureur du Roi. îsposi VQL DE VEL0 _ Au détriment de 1 jupe demeurant rue de la Station, à Bi sor^ chem, on a volé un vélo. S AUX VARIETES 70'pdleacweE forme, Grand assortiment de Blouses depuis O.î portée' jupons en toile depuis 2.95, Peignoi serve Matinées depuis 2.45, Lingerie en Occasic k jupè ENTREE LIBRE a pay- LES AVATARS D'UN PORTEFEUIL1 — Une curieuse mésaventure vient d'arrn e plu.f au nommé Auguste Adnet, vendeur de t blouse kets pour une grotte de Dinarut. Avant r< ît sur- contré a<ux abords de la «station de Dira ;t vra: une sex:iété d'excursionnistes flamands il p omplé vint à dérider le groupe à visiter la g rot su que l^i visite venait de commencer quand Adi de ln lit urne constatait ion qui le cloua sur pla rec du vraiment stupéfié: son portefeuille contera 0 lors- 1,147 francs avait disparu. Ne sachant à q urs de saiiinit se vouer, Adnet fit part de sa mésav* rentes ture à une personne de confiance qui, séat oie, et tenante, téléphona à la police. Deux âge: iste et furent dépêchés aux grottes. Ils demandèn genres aux e x cursnonin listes de se laisser visiter. Dî les poches du président on retrouva le p blouses cieux porte feuille absolument intact. Le p 01 nor- siident a juré ses grands dieux qu'A ignor S6elinc comment le portefeuille était passé dans •urs ou poche; la poiioe a néanmoins dressé proc i© gar- verbal. Z BIJOUX FIX ne ''.V- ™ Vérifie? la marquent u; ? _ __ t sur chaque bijou vé â0n dëvgicir îouteconfusion ^ el loule &uË»slltufiiort u LE VITRIOL A GAND. — On nous tél -n «raphic, le 6 juin. — L'épouse Vindevogel )n vitriodé se>n mari âgé de 27 ans, dont eS 111 vivait séparée. le mari est à l'hôpital; « femme est en prison. EMISSION DE EAUX TITRES. L'Imprimerie J. VER.SCHUEREN a llio: b. neur d'iaiiformer ses clients que les titre •j] sortis de ses ateliers et exécutés en gravut ^5 secrète sont les seuls on Belgique qu'on r j peut pas imiter ou contrefaire. ej Bruxelles, 49, BouJevard Beytanique, < Anvers, 31, Marché aux Œufs. Prix et croquis sur demande sans enga^i ment. Téléphones: Bruxelles B 9.^4; Anvers 537; VIOLENT INCENDIE A GRACE^BEF s, LEUR. — 00,000 îr. de dégâts. — De nota 1- cewrcspoindant le 6 juin. — A Grâce-Berlei 11 se trouvent les grands magasins <Ae la Sociét >- oex>pôrative l'Espoir, qiua ont une façade ei 1- elouze mètres et une profondeur de huit m< très, soit urne superficie de près de 100 mètre: Ils sont d'irisés par Mme Vve Wilimes. C samedi, à 1 heure du matin, cette dame éta s. réveiltlée par uaie fumée âcre ejaii semblait pre s. venir du rez-de-chaussée. Elle descendit auj sitôt. Mais elle n'était pas au bas de l'esc* lier qu'elle dut rebrousser "chemin, car dt flammes montaient des rayons du magasir Elle se sauva par derrière en criant au se ,a cours. Sa fille, l'épouse Monseur, et les deu •e elemoiselles ele magasin, qui eiormaient l'étage également, sautèrent à bas de leur lits et vinrent aux fenêtres réclamer de l'aie!* D*es voisins accoururent et an moyen d'éche les réussirent à sauver les trois femmes. y L'incendie prenait d'énormes propewtion: "s M. Stubbé, commissaire de police, arrivé de L premiers sur les lieux, enfonça la porte prir ci paie à couips eie hache. Les efforts des pon piers furent absolument inutiles. Des bât menits et de leur contenu il ne reste que de murs calcinés. Tout est détruit. Il y a assi ranoe. TELEGRAPHIE SAN FIL. — On peu - se procurer roue les appareils et accessoire au rayon d'électricité des Gr. Mag. L. Tiet ( rez-de-chaussée ). LE MAGOT DE LA MENDIANTE. N'ayant pas les moyens de se faire soignei une vieille mendiante malade, I^éorvie Va den Berghe, de Beloele, fut récemment tran.-portée à l'hôpital. On a découvert dppudi li sous son lit, un sac pesant une vingtaine <! ;t kilos et contenant s.ooo fr. en argent et me e nue monnaie. Onrooi Qmiol 85 rue des Tanneurs u UuiOUl nu;aif 4"orscls Orthopédiques 5 UN SOLDAT NOYE AU CAMP DI BEVERLOO. — Un pénible accident es arrivé vendredi au camp de Bcverloo pendan les manœuvres de cavalerie. Un chasseur e: ) voulant faire passer le canal à la nage à so cheval a été désarçonné, et bien qu'excellen - nageur, il a coulé à fond. L'officier qui com 0 ]<? d^tiichemenit a plongé pl*isievir t fois*et a réussi à ramener le <x>rps a la sut ■- face. 1- On a pratiqué pendant plais d'une heure , »r respiration artificielle, mais en vain: le pauvr u garçon était mort. |l Brasserie Tivoli recommande la o'Pale saapérieaes^e1 à U 5 centimes la grande bouteille, verri non compris. — Tétiép3ïone lw0 01 ? s'adresser aux cochers de leurs voitures. UN NEGOCIANT D'OUTRE=MEUSI " OUÏ LEVE LE PIED. — De notre com-'' pondant le 6 mai. — l^e sieur M... et s femme, négociants en quincaillerie, rue Puits u en Sock, à Liège, ont levé le pied sans tam f bour ni trompette. Par ordre de la justice, le l' livres et la exwrespondance ont été saisis. Le soeJlés ont été apposés dans le magasin. O évailue le krach à environ 50.000 fr. c La veilile de son départ. M... avait vend-à son camion et ses deux chevaux pour un u somme dérisoire. Ce i our-là les époux M., e étaient vêtus de neuf des pieds à la tête. O e ignore où ils se &ont réfugiés. é Guill.Campo,AnvRrs.Tal)leaux premier ordr . AFFREUX ACCIDENT. — Verviers, e juin. — Cette nuit, um serre-frein, Albi F Notons, a été écrasé par une locomotive e _ gare de Verviers. L'accident s'est prexhu , dans un endroit mal éclairé, et pendant un ô heure et demie les trains ont passé sur 1 v Icorps• diu malheureux, qui fut littéra-Uemen H réduit en bouillie. On a retrouvé dans le ." organes de plusieurs locomotives des ham 1 beaux de chair et de vêtements de la v ici une Ne>lens, qui habitait Landen, était âgé d é 24 ans, et s'était marié récemment. ^ CUVREZ L'ŒIL. De nombroux épicier î- se soucient peu de la qualité de leur marchan é dise, réclamez la CHICORÉE TALPE, von « serez bien sei 7i. a CHUTE MORTELLE A BAS ♦D'UI TALUS. — Huy, 5 juin. — Le nommé Je [S seph Deiossé, demeurant à Poulseur, se tren. vait sur un talus haut de vingt mètres et sui « plombant la grand'route, k>rsquTil fit un fau a pas et dégringola dans le vide. » Dans sa chute il se luxa gravement la ce :t lonne vertébrale, l^a victime, qu.i avait ét é transportée à l"hôpitaJ d'Esneux, vient d u succomber. Désossé était marié et père d familGe. r ECONOMISEZ en achetant un excelle. Champagne à (r. 1.7s (par panier fr. 1.5c A. Romain chez J. Neels, r. de l'Empereur, ' POUR ELOIGNER LES MOUSTIQUE DES APPARTEMENTS. — Il suffit d'y pl« 1- cer une branche de lavande ou une brancn i- d'eucalyptus. On peut enoore brûler dans et le appartements un peu de poudre de pyrè.hrt ? H. Moyson, rue Ommeganck, 42. -L'c "fCf/iou complète de lustrer, de tous style! w [nsta'l.nt Rlectriquos. — Lh-vis sur demnndi MOYEN DE PRESERVER LES CHE '• VAUX DES TAONS. — On frotte les an r" maux avec des feuilles de marrube noir, plai te eiommune, très exinnue et qui croît sur bord des chemins, dont l'odeur repoussant " est insupportable aux mouches de toutt 5) soi*tes. I' THEATRE PATHE Proaramme extraordinaire « PAPILLON E dit '« LYONNAIS LE JUSTE » film d'aï ar en 3 parties, et la « PATHE JOURNAL n- LE DELIRE ALCOOLIQUE EN PRUSS nt Nous lisons dans 1' « Arbeiter » de Berli e'. <3À™cours de l'année 1912, 930 personne et ont succombé à la suite de crises de <Jeln e, alcoolique, 830 hommes et 106 femmes t nt chiffre est en légère diminution sur celui c el l'année précédente, où l'on avait eu a onr n- nistrer 948 décès provoqués par ces crises, oe C'est encore dans le district de police < ■ts Berlin que l'on retrouve la plus forte pr nt portion de ces décès (98). Puis viennent I ns gouvernements d'Oppe.n de Dusseldort, < é- Potsdam, de Schleswig, d'Arnsbery avec re é- pectivement 81, 81, 57, 54 et 54 deces. lit Ces malheureux alcooliques se trouvaie: sa pour la plupart (712 hommes et 76 femmes •s- en pleine maturité, comptant de 30 à OU a-Id'âce. Quel aYert'»w6eoient wgmucawi | "e" j 1 H, SAYELKOUL & C° j 21-31, KiPDORP -- ANV£Rs j Vk;us y trouverez un choix ! des j.lus varié et leur modèle™™, c' cachet exceptionnel. Costnrnes s/mesure dep. fr. :te 5 «. ! Pantalons » » jj .| i «S NOYADE D'UN CYCLISTE _ n ' correspondant du Centre, 6 juin -7 ^oir« , ilasson, un jeune homme de Haine St.p ' habitant chez ses parents, chaussée d® B?> mont, était parti en promenade en * 1 9 loag du canal du Centre. '( Ne le voyant pas rentrer, on fit d« dages ot on retrouva 1e cadavre du ii^iv00- i ^ reux à côté de sa machine. 'r,-D. - On suppose que lo vélo aura beur« pierre et aura été projeté dans l'eau. ■ HOPITAL desPOUPEES l1 î?E2®*«i9 ■ • ™eu*e67 LE ROI FERDINAND DE BULaa[) l é- DRESSEUR D'ELEPHANTS, a Die ^ a (Vienne): Peu de gens savent probabiW,!* Ue que le passe-temps favori du roi Peidinaj sa de Bulgarie consiste dans le dressage des^L phaôts. Le tsar posskle «ux environs de£f" _ un petit parc où vivent en liberté jolis éléphants qui lui appartiennent, li J} ' s'y renure tous les matins et s'y divertit ' faisant travailler ces gros quadrupèdes cotoî \ un véritable dompteur de profession. 1 De temps en temps, le roi s. plaît à inv-dans son cirque les personnalités étranger^ offre, en leur honneur, une représentatio»^ e_ « gala 1. 7. Bmï<|ue d\4avei^lîf$j j A PROPOS DES FEMMES AVOCATES.^ re D'une enquête de a Jus suffragii », il réfialb I v que les femmes peuvent plaider en France I lé en Norvegej dans les Pays Bas, en Suisse, ai ! It Danemark, en Finlande, en Suède, en Aus. è- tralie, an Canada, en Nouvelle-Zélande el s. aux Etats-Unis. > Elles peuvent étudier le droit en Belgique il en Allemagne, dans la Grande-Bretagne, en [v- Russie, en Roumanie, en Italie et dans i'Afri. s- que du Sud, mais sans pouvoir exercer. Voies urinaires: Dr CraHay, spéo., 84, <u, -s d j Sud. T.l.j.i 2-ô,et lundi, mere*-., vernirjsoip, I UN GESTE GALANT DE POETE. - ofl sai. qu'un conflit imprévu avait dressé l'an '/ devant, l'autre Mme Sarah Bernhardt et M. a Edmond Rostand, au sujet des représenta-^ tions de 1' « Aig.on ». M.' Edmond Rostand adresse la dépêdi» suivante à Me Clunet: « Cambo, 5 juin. — Maître, j'ai l'iionnem f; de vous aviser que je me couperais plutôt U "s main que de constituer un avocat contre î on* fl" Sara h Bernhardt. Aucune force humaine ni }' pourrait m'obliger à me défendre contre elle, l~ Vous parlerez donc seul. U me suffit d'avoii expliqué à ma grande amie la nécessite ot J" jd me suis trouvé, un moment, de lajsser tir«i des images de mon œuvre. Devant tout auir< je maintiendrai un principe qui intéresse toui -à mes confrères, mais devant elle je m'incline, 'z comme ils feraient tous. Je déclare que c« qu'elle veut est toujours bien. Je lui abandonne, si ce dédommagement peut satisfaire ses avocate, la totalité de mes droite sur ces ' représentations cinématographiques qui ia tourmentent, et je baise avec respect et re-s" connaissance ses doigts entre lesquels une as-h signation garde, pour moi, la grâce d'un lis. (s.) Edmond Rostand «. Croix, Bénitiers, Livres de Prieres, Chapelets, etc. — FIR0EL, Kipdorp, 44, 5 LES EMIGRANTS ALLEMANDS. -l" Berlin, o juin. — L'émigration tenu à ch. E minuer dans des proportions considérables en **' Allemagne. C'est ainsi qu'à Hambourg, par 14 exemple, le nombre des émigjants, durant II le mois de mai, a été de 16,870, parmi .es-11 quels 1,114 Allemands, tandis que durant a w pério<le correspondante de l'année dernière, 1 les émigrants furent au nombre de 25,4/9, s dont 943 Allemande . Pourvostiières do Kiénage, adresè sez vous à Sa B R A S S £ RI £ L'AVENU^ t (Anvers-Sud). - ré&ép.Bone 34»B. icinaniiUons sur demande. UN GENDARME TUE PAR UN MORT. Jeudi, en Suisse, un gendarme examinait le y cadavre d'un suicidé, uont la main droite serrait encore le revolver, instrument du suicide. Pendant cet examen, le coup partit subi-e tement et le gendarme, atteint par une balle, " s'écroula sur le sol. 11 expira quelques heure» après. S- A.XJ CHIC j. Urcven Beickelaers s Tai'SeuB* pour «nutues cJessâeurs I H2t tSUii did ^ li'oslunit'S-aailiciii', doublé soie, 1C mm4 ^ étoiles à partir de tr. I w" n DIX=HU!T ESPECES DE MOUCHES!-u L'affichage dans toutes les communes d« w Franco — mesure d'hygiène préventivo très •• louable — d'une invitation à la lutte aveo . n les mouclies, remet, a l'appiw-hc de 1 été, cette question sur le tapis de l'actuahte. it De l'ouvrage du docteur G. ^• viranain Smith, de l'Université de Cambridge, « les fi Mouches, propagateurs de maladies », nous II extrayons ce détail intéressant: u n ex^to n pas moins do « dix-huit espèces » de mou-j, ches (qui ne piquent pas), très fréquentes n dans les habitations. Parmi celles-la, la plus k> répandue est la moOche domestique, la mou-r; che commune, qui représente 80 à 90 pour >s 100 de ces dix-huit espèces. EUle est égale-i- ment la plus dangereuse. '■ Papeterie Jan Boucherij. r. Houblonnière, 22. LA PRODUCTION DE L'ACIER ALLE-MAND. — Berlin, 6 juin. — Une statistique, S qui vient d'être publiée, démontre que la pro-1 duction de l'acier, en Aliemagne, a diminue 15 au cours du mois d'avril. Elle a été, pour 1914, de 1,497,623 tonnes, contre 1,624,/le N tonnes durant la période correspondante de v 1913. ' p ■ rr l.,a moilleare qnnlîlé se îewd ^ Ufllt à St-ioseph, IV, r. Wapptra PUBLICITE. — De M. Henriot, le célèbre 3- maire de Lyon et normalien, cette phras* k' d'un article sur son exposition, paru dans up 'v grand quotidie- : ... Knfin. l'œuvre vit. Elte est debout, assise sur ses soixante-quinze hectares.... Enfin, est-elle debout ou assise r )' 3ANQUE «CREAIT 30URGE0IS» Grand'. Pla o, 23. - Caicse d'Epargne, 4 %; Comptes S de quinzaine actuellement 4 1/2 % jEscouipte î- le traites, enc a.jscnu nt des quittances ,Ordrf ie le bourse; Prêt sur titres; Warrants. ? VOL D'UN MILLION DE BIJOUX, — e- On mande de St-Pétersbourg: Il n vol encore - mystérieux vient d'être commis au palais do s M. de De-nissoff, grand-écuyer de la cour im- ^ On a emporté des bijoux dont la valeur i totale se monte à un million de francs. On n a n trouvj aucune trace d'effraction et jusqu ia le on n'a aucune piste. DCMI\/ni ! Eau minérale gazeuze es DLIiIVUI-i- na Suraile sîériliséc, exempte de microbes. WweCOCKX A Zoon. rue Lambermont 20,Anwerï Téléphone lâOO. » UN E80ULEMENT MEURTRIER . — rt Deux tués ct un blessé. — Un ébou.ement "■ qui a eu des conséquences tragiques s est r i>rwiuit vendredi après-midi au charbonnage E de Pont-de-Loup, a Charleroi. Trous oijvners ln furent, ensevelis sous les décombres. On sa précipita à leur secours et 1 on parvint assel œ rapidement à les dégager. Malheureusement re Jeux étaient morts; ce sont les nommes Le-ïe oaee 29 ans, et Wesset, 36 ans; ce tiermei ie «t marié et père de quatre enfants. Le troi-,e" sième vivait mais il est grièvement blesse. , o». ,3'rï.. Chocolat incomparable de CÔtG Û UT au lait et fondant. « LES SUFFRAGETTES A L'ŒUVRE -Aa 6 iuin. — Un incendie a détruit ÎS- une grando maison meublée actuellcmeTitiri. habitée à Xylors Green dans le BuckinghaO On a trouvé près du lie» dp sinistre on( ns bouteille do paraphine et de 1 ouate »turé« d'œaence «t <Je« manifestes BUtiragistee.

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Dit item is een uitgave in de reeks La Métropole behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in - van 1914 tot 1918.

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