Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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31 oktober 1917
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s.n. 1917, 31 Oktober. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 26 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/z892806z08/
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4M* Année « M. 1110 Ed. S gins iilîliss Mercredi 31 Octobre 1917 ABONNEMENT POSTAL. ÉD. S Bruxelles Province • Etranger 8 mois : Fr. 4.50 - Mk. 3.60 Les bureaux de poste en Belgique tt à l'Etranger n'acceptent que de» sbonnc-ments TRIMESTRIELS; ceuï-cl prennent cours les 1 Jaxv. I Avait 1 Juillet 1 Ocro*. On peut s'abonner toutefois pour les deux derniers mois on même pour u dernier molî de chaque iriniestre H prix de • 2 Hors 1 Mois fr.3.00-Mk2,40 Frt^0-Mk.1.20 TIRAGE :ÎS0.OO0 PAR JOUR Le Bruxellois ANNONCES — La Hgpt Faits divers et Echos. fr. Nécrologie Annonces commerciales . » financières. . . PETITES ANNONCES La petite ligne La grande ligne TIRAGE : JfO.OOO PAR JOUR Rédacteur en Chep : -, <** Rédaction, Administration, Publicité, V< Kené Armand B 118111*1111 lB&SP8aSSaill B BRUXELLES. : ; ' Les bureaux du « BRUXELLOIS » se trouvent RUS DE LA CASERNE. 33 et 35, à BruxeHes (près de la place Anneessens). Oireislpg des âlras Réparions des charbons Cfe n'est pas sans <3 'excellentes raisons quft le compartiment des charbonnage» retient de plus eu plus depuis deux mois environ, l'attention des gens d'affaires et des capitalistes. La récente: majoration do^ prix des charbons de tou-t«B espèces y è'si bien pour quelque chose. L» hausse appliquée attiéiat en effet 25 p.c. Et sa, d'autre paxt, les salaires du personnel ont crû dans la même proportion, ce serait une profonde erreur de croire que les deux augmentations se balancent. e>t s'équilibrent. Loin <te là!... Darii uue pUissànt'é soeié.é m.mère de notre connaissance — pour ne prendre qu'un ex„-m-jms, — le total des émOiUinents' payés h bdo-niadairem€ait au persanu''! s'élève à cent, et cinq mille francs; d'où, par le fait du nouveau tarif, supplément do dépenses do vingt-six lu,lie deui cent cinquante ïranc». Or, par suite de ià hausse du prix des char bons, l"s ressources de o„tsociété s'accroissent chaque semaine de septante-cinq nulle francs. A supposer donc qu'outre les sa-ia.res, une majoration de frai» généraux se so.t produite à concurrence ue dix mille francs durant la même période, ,e su?plus des ença-sseirienis de tu ëuctte aont il sagu depuis la mise en vigueur des nouveaux tarifs de vente et de sa-latr. s se. monte a plus de quarante rnUle franc» tous t« huit jours/... Auss. les ouvriers sont-ils mécontents. Quoi, que 1 on puisse dire qu'ils sowt à présent bien rtmun.réi (de sepi iran'es par ji>ui pour ie simple sclaun&ur à douze ou quinze franco pour l'ouvrier à veine), u eèb incontestable que lit cherté exorbitante de la vié ju_tin«iL uue majoration dé salaire puis seru>it>,e et, 'plue en rap. port avec l'étendue des bénéfices réalisée. De p,ud, les m nourfe oc plaignent, avec raison qu on leur a retiré certains avantages piéeie-ux.Ainsi, ils ne profitant plus de La réduction qui jeur était lait© tradiLiiMinJiemeuit sur ie prix de leur charbon de consommation, qu en ce qui concerne ta qualité «line;,» et «poussier». Lea fortes compositions leur sont désormais factu. ré-ee au prix ordinaire. 11 sembie que les Cens ils d'administration de» çiiaroonnagevj devraient se montrer plus huma lus, en présence d'un1' par;.. des, besoins extraordinaires t'-t d- é nusere-s sans nom endu-lé-s par la classe besogneuse, d au re part de la situation extrêmement. brillante de leurs explorations.Kt.que l'on ne viorne pas objecter qu© celle, ci n'ei»t que passagère, que dans peu de temps p'-ui-être, et aptet- la guerre cr-rt<unoment,v cadra une cause aiguë pour toutes lis industrie# t>i en particulier pour l'industrie charbonnière 1... La vérité est que, tant que dureront les hostilités, la houille et ses dérives jou.ront d une vogue san-. ega'e, et partant, que Us actions ei obligations minières se maintiendront a un cours élevé. Et si la guerre venait à tinir demain, les bosoans ue ctiarbcn, à l'intérieur comme à l'extér.eur du pays siéront tels que l'on ne pourra y faire lac de longtemps, à La suite de la rareté actuelle du pré jeux corn bus tible et de la disparition oomp ète d -a stocks. En oonscqu nc., ies prix des char'b-n s ne feront que monter. Il ne peut être nié non plu» que maigre .tro.s ans de guerre et ies raoontars bans fin sur la soi-disant ru.neuse aciiu.uiitra-^un aileniande, les charbonnages ont fait d importants préparai.ts pour accroître Lur extraction à la i\pr.se de La vie normale. Jamais leurs trav-ux piep- rato.res n'oat éie Si sc>igues, leur matériel sa bien entretenu, leuis veines di-verses si bi.n ordonnées qu a présent, et il faut e'aU>-ndre à leur vo.r prendre, oès la Cssa-U n des evenemenie que n^us susbisôons, un etaor sans pare-il ven, une prosj/ér.té nouvelle. li est encore un autre coté de la situation que nous vouions enviSAger ; il sagttdû la clas»e moyenne. Comme d'ordinaire, ceux que l'on pourrait a juaite titre appeler les éternels sacriiics, dédaigna?, d'irait-on, par l s événements comme par la législation : les petits rentiers et les employés, se voient encore trappe bien u'uelte-inent par la nouvelle mesure. D'abord, ils n ont eu à enregistrer, eux, aucune majoration de ressources — au contraire. Lu outre, déjà atte ms fortement par le rt.u-chéiL-sement du charbon a l'approche de la saison où il leur laut en oor.isonmicr le plus, ils sa trouvent encore d- voir compter avec la marche ascencionneile des prix de toutes leg deuié.s qui, chose btzirre autant qu'immanquable, va de p,ir avec raugmentation des salaire» de la partie la plus denss do notre population borai. ne : les bouilleurs. Et eux atis_i, oouime un pu tout le monde à présent, commencent à trouver que les Anglais se la « .baillent bien b Lie » en disant vouloir continuer La guerre jusqu à l'écrasement — au moins douteux — des Puissances Centraias. Ainsi chaque événement, même cha. que mesure de législation humaine, emporte après soi une part souvent égaie de bonheur pour les uns et de ma.heur pour les autres. Dans presque tous les arrondissements judi-ciaires du pays occupé, il y a actuellement d** places de toutes sort.es sans titulaire off cisi : notaires, juges, huissier» ou greffiers. Il s'en suit une situaùen préjud ciable à l'intérêt de" la population, et a ussi à celui de F administration d'un- bonne just e®. L'autorité compétente s'est en effet bornée à d&igner des remplaçants provisoire» aux an. ciens détenteurs des emplois vacants. C'est ainsi qu'un négociant, un clerc de notaire ou un employé de commerce remplit les fonctions do greffier, ou qu'un docteur en droit se trouve * danb la situation bizarre, choquante et môme équivoque, d'être tour à tour plaideur tt mar gistrat, défenseur et juge devant le même Tribunal.tt lorsqu'il s'agit d'uno Justice de Paix ou d'un Tribunal de police, ce fait ne passe pas sans commentaires ironiques, sans doutes exprimés quant a l'intégrité des jugement*, reimuc. Le remèae à et te situation est bien 6.inple : que les divers Parquets ne s opposent pas t.ys-témaiiqueinent au reinplàoenient oificiei de chaque démissiontiaire ou défunt, soit en retenant — en vertu de quel pouvoirl — les deman des leur adressée®, soit en priant — ou ordonnant — aux solliciteurs de 6 ab^teaur jusqu'après la guerre ! Car il est aequ s que, daoïs de nombreux cas, il y a ou d s demandes pour emplois vacants, demandes que «-'-n a écarecs ■pour ne avoir*à erirêyis ré? de nomination f lté pur l'occupan,. Ce n'est là qu'une facétie; que peut-il tair>, en effet, que oe eo.t le H-oi ou un ministre belge, plutôt que le gauvex-neui générai allemand, qui GancUvnne i«-s prvj^.j tions fa,tes par lea Cours ou les Tribunaux com-pc^enis? En réauté, d-ns cliaque cas d l'espèce, les Parquets eu cause ne Uenuem aucun compte de i'in.éièt supérieur de la population, qu lie immolent sur l'autel d un paovofcirdicme etupide. LÀ GUUÏKË teS«£iaiiilâûAisi«âi<âi mSiMs.k* AL BERLIN, 30 octobre. (Officiel de midi.) A-OrtUu Uv M A W Groupe a aiiu^e gu fcc^ciai pruice heri.ie-; En Flandre, l'acton d'art.lier ni a été vive dans le secteur de l)ixrriuacl avec de brèves interruptions. Antre m foré* ae iiouvkuist et 4X canal Gommes-1 près, lc duci d'artucrus a at-, tum h°<-'r, pir morneri s, une gratuit lumens té. Il est demeure violent t-a na,i également et s est ren/orce ce tnat.n en un feu routant. UIUUpC Ci Uu U»i *t«l aJernand : De part e>t d'au re de Braye, au Chemin des-Dames, tes Français ont concentre leurs feux vers le soir pour une actiun én. rgiqtie. A près une diminution iMssaycre. te duei u art u te ne s'y est renforcé de nouveau depus te lever au juur. liait a d'autres itur.iufs du fruni de munia. ïgrte èijàtemënt] far.tUèrie en-javee a e.e pat* importante que ces derniers jours. Sur lu rive droite de la Aleuse, cU's troupes de combat re-j/utêes se sont introduites après une préparai on -u'artul rte eff.cace aaus le<> positions ennemies au 7iord-oues[ de beionvaux. Les tranchées comprises sur une iaigeur de 1,200 mr\rea ont été maintenues contre quatre attaques repétees jusque dans la nuit jmr d un ponants effectifs /?ci/?(â,s. rlus de 200 prisonniers ont e<-é ramenés. L ennemi a subi de sérieuses pertes s ng autes. Aviation : Auj.vès des autre*, \irmies, des agressions à nous et des reconnaissances ennemies ont* ;rrovoqué plusieurs fois uue vive ac<.ton d artU-Icrie.Théâtre de la guerre à l'Est. front en i».ac»G0ine. Pas d'opérations de quelque envergure. ïûeâtie de la gueire itanen ; Udine a été prise par les troupes coalisées dr. la 14e armée. Le siège, jusqu'à présent, du commandement d armée suprdme itatten est ainsi tombé en notre pouvoir le sixième pur des opérations couronnées de succès. Sans répit, ne méprisant aucun effort, nos divisons pénètrent dans la plaine vers le cours du l'a-gliamento. La retraite de l'armée ennemie battue se bute aux rares passages du fleuve grossi coiisdérablemeiii par les averses. Les troupes s'avançant de la Carintiue foulent le sol vénitien sur tout le front et sont en progression vers le coun sup'Ti, vr du Tagluiniento. Udine est la plus grande et. la plus orientale des provinces ae VInitie, l'andien FriouJ,. Le chet-heu du même nom comyiuU avant m ^vcff uretron 4,0C0 luabt.ants, faisant un considérable trafic en soie. La mue est ie nège d un évêché et est située sur la voie ferrée Cornions-F emse. Sur mer. A côté du haut coup de main des forces de combat légères de notre flohe qui ont envoyé an fond des mers toute une escorte de J2 va-peurs de transport et deux contres or pilleurs anglais, nos sous-nmrms ont fait, du 20 au 27 cKtobre, un ravage colossal dans te tonnage ennemi, dans la mer du Nord, dans la zone de barrage autour de l'Angleterre, et dans la Mtd.terrante : 172.500 tonnes de tonnage en-rumi ont été coulées en 8 jours de temps, non compris un tas de vapeurs et de voiliers domt te t nnage n'a p s été connu. BERLIN, 2y octobre. (Officiel.) L'après-midi du 26 octobre, un grand moni-tor angla.s qui croisait au nord de la côte flamande fut attaqué à l'knpromste par nos force* de combat légères et gravement endommagéNos sous-marins ont de nouveau coulé 15.000 tonnes de jauge brute sur le théâtre de la guerre $eptrntr onal. Parmi les navires coules se trouvaient tes deux vapeurs anglais armés « Klamgarih ». chargé de 4,800 tonnes de sucre, et a Adoriribo ». AU IRACHIEN VIENNE, 29 octobre (Officiel du soir.) La marche en avant de nos troupes dans la plame italienne fait de bons progrès. V1ENAE, 29 octobre. — Officiel • Théâtre de la guerre italien î Le 24 ies forces de combat austro-hongroises du général Ottu von Below et l'aile septentrionale du groupe d'armées du général voit Boroe-v.e commencèrent de bonne heure leur attaque. Hier soir, cinquième jour de bataille, nous avions reconqms tout le terrain que l'ennemi — qui a payé chaque kilomètre tarrl d'environ —— 1 y— b,400 hommes — av'iil conquis à grand'peine uu cours de U batailles sanglantes, ùur le plateau. uu Cano nos tnupes ont progressé à 11-sonzo, en s empuran du Monte San Michèle. Nus troupes on frit! ciu la rivière en amont. Gorizia fut déblaye Yar des combats aans le* rues et plus tara d*";î le soir la Podgora fui prise d'assaut. La re.iii'an d uslavija, dit Jlonte çiabotino et ia hauie-'ir de Rorado,représentent le théâtre de combat à souvent chaudement disputes. loute m,iwt des Italiens fut inutile. La pouriuite de l ennemi fuyant dans le plus grand, aesurdr-i aiwiia tes troupe^ date mande* et aiisiro-hongroisei àu-aeiù de Cormono et du Monte IJuarm jusque devant Udine. oans la région montagneuse au nord-ouest d# Cividale th/us fa.sons egaletià'nt de rapidee progrès. L* front'italien de Cufitfihie est ébranle dans Ie* fi us importants séçtc^rs. Nos troupes ont urra-che a l ennemi, au nhlieu de la ne ye et de la pluie des 'positions et frontière organisées par deux ans et demi \e possession, au suu-oue0t ae Tavaïs près de Forâatei, dans la région du L'ioecken et sur le gtyud tau,, var situe de t, a-vurtee Tttp.ae des coi.se,s, br.sunt tous tes ob-s.uaes, il esi impossible de communiquer qiw que ce soit ae ceriut«]««/' le etuttre aes prtson-mers et du butai su/il .cesse croissant. Oans la seule région au sud i\c t tava, lin canons italiens de oOui calibre bru été captures. One di-vis ton s auauçu/it ta eut c7cu/^it a Mut ut a t onncm en yu<âqueà uouret>t bo ojficctjs) j,U0u tiCmm&f 6c Ou va/iotc*. iguane a-u buitn en watt. r>ti u aepciàsv at Ota^tuuy c^iut-Uc nuire uf~ fc/tdyvc eu (jalmte oc \tt futjynv au/'uiù l de u& 19i 5. -.à ûô la guerrs'.â l'est et en aikaaio ; ShCuuitun inckcinjjée, a C ON ST A ST iSOi LÈ ,28 '>ct<>h c.— Of^ca: Le 2o uciuOrC; su/ te protù du àuuit uo,u* Lt te occ^eur uc tioa* aou/t,^ uOstf'uc / ennemi se 'jj/r^rau <« îiuuà te feu ue n<Jbtc urtut^nt u ('it'y eue c^s u.t>iuyues (i& t>t acvei.jy^r. 4.1 uti 1/ultfsOàj eu actu^vuitn te 67 uct'bre oe f/u/t-i uu .jfjcai, ne suni uVtirïccS, sur La ttiuu^eta, ue ^uà^ec uusaut} a c.my rt^t-t/i^n^s ut euuuurtc eni<effie. ,^ut uni cit remuantes e(, Oui suOf ue fort, ^/w ies, "Les ueutL çuft~ 11 e-uLbUt£ U&6 f lt/ly/fetO a t^Ut. UUL SUlUl UÎCt t L/i/iomt u luisoc tnyfA/4 su/ le icrruUt. Auun ilt/uiUi jun ytfatru/iit./0 utujy officier* et u-ix liummea et nous no aà so it£/ncfLVi/i/sures d une //nCra*Ueu/>e. u n uvusu c/jiiciHi d t*t tortue it jeu de nos çanj nt, de d creuse et est turubè ut'/v icre ue^ t i/ue<, cunttu ou/ tes uu<rc* <ruun. pua d'événement un- 'pur -u.ru à ôtiy Fwr J SOFIA, 2y écœuré. Au f/om en Mdceaocnef oe jeu d <*» vuie/it d eit de umjjv a uu^re us&z viooent au nord de ÎUtoiuiy daim te couue de la Cz^r/ui et dans Its tavieCs au ardai t utnsi ±uc sur vd rivt uccn-dentuie de ta àiî'uutna. Oans ie vut-scudje au cuU^je ue jiuyrtva, t ncruu^ue lieutenant ^sen-iteyc a aoaau un o<.*{lun cttjsiïj e/i/iennf iju*. s d-Ocfivôit, en fju//i//tes uOrrtert les en/ce- mies, c est td ue victoire dôrienne du iieute-n nt Ezchw g . tiu jrunt u,t la Dobrotulschu, feu d wlïUerie u&soz viotent cou re TulcCa. éC s P AH iS, 2y ocu —— ci© 3 h. p. m. : 1 ■ >, iii.uv/uo U. ui^tviiv Vj.O- leiii^eïj au wiu s.,e IJ, *.0.11^'^.,,,. u ei il .1 11.11^1 Uli LVuji. u- Ui.u,oi tjUJ. livuS cv UC 1 iu„W„^l uiij 1 &u,aiiCio Ut. u - ,C lii-u, c*xi,oujC. ,j. ,r AC Iicuil UC 1 -ii-JiitO ia iUlUo u aivi^ts. 1 xc bc |A,<iaùuii aocvcA vivo uaniS lu soci-cLix au 1101 u .ue vauue^sou et Veto nulieullill, .Ida Ut-i&wv'iuwlwj 01 iL liv l 1 (j imu-j îtïo trauciieos eiiiicniieio txu xxi^,u.,,iie &v toiii* la 11 V O ^uuvuv u 11 1.61 Cl L a,,, il. il c ulic L.L/,.^.,11 c i;...-.Li.^ii 1Çi,iu 1 ia i\\a u^Oite ue la. iu.euae 1 ai ^,.i'.-., le csuiitmie a iA>,iu,ai ui; ViO-cm- illvUil, ;jpOo.ill.OiiS au.1 1.1 iiu.lll ul/iiS ue ciiau-îiijC—i0U11 vmlix. une 4n.aHu.e b 1-il est, yuivie. xj enuieiiu reio-uie. paa- uco hua 11 a pu aooruei 1100 iigiics 4a en uu seu» au ii^iu uu i^oi» uws oatuieica ou u a Ji.a pieu mu' un tijpace ue Cinq cellv8 iilcu\is en v ci «a uailiS itcra ené-uienio avances, o 11e cdaue-a/utaqae nunicuia-ue ue nos u ouixa nous ,a. reiiuu ia pius giauae pajue .1 teri-rtiiu ocouji|; et nous u peuiuis de iaire J.--S prisoiiniers. fcn îoiet u'Apioinoai une tentative enncniie sifr un uc nos peats postes n a uonné aucun résultat. PARIS, 29 oc t. — Oiiicial de 11 h. p. m. : Au cours ao la j ou ni a; la lutte d an-Uiejie s'est maintenue vio.nte sur ia rive uroite ue la Mt>use, aans le sect-e-ur jboiS ae (Jliaunio—Uc-zonvaux. Canonnade intermittent© sur ie resta du front. •Aviation: Des avious ennemis ont bombardé la région de Lhmkarquo le 27 et ie 28 octobre. Aucune viotune. Armee d'Orient: Aotiviue d aumône as iez sérieuse dans la région au V aruar et aa. a oeiie ae .Monastu, ou nous avons exéc-uU) u s tas ae ue«iruct.on sur les bai/tercet, bulgare . îieot-ontres de ptv urouLles sur ia basse-Sire .ma et crans a boucle de la Cerna. RUSSE PETUOCRAD, 27 octoie. Au front scytentronul, l\26 octobre, un aperçut a la côte près d UainÀch, une escadre ennemie, composée de dix crlseurs et torpilleurs. A 10 heures, l escadre conlnença le bombardement du secteur d Haindkh et le poursuivit jusqu'à ni,dt, s éloignant ensuite dans la direction du sud ouest. A 10 h:50, une autre escadre ennemie, éloignée de l verstes, commença le bombardement de Saiisiiunde et le poursuivit jusqu à midi, s'éhjiynùnt ensuite dans ta direction septentrionale, ihns la direct.on de Riga, reconnaissance d'éclàreurs. Une de nos patrouilles attèiy'mi le faii/ourg d'Aanenhof, sans apercevoir l'ennemi. Dans la mer Baltique, itie escadre ennemie prit la mer le Z5 octobre, tn partant de Lui-watt. Vers le soir, elle attkgnit l'île de R'ytio et en bombarda la c&ie rntmwnale, Sur la côte à l'est de Werder, des déichemOnts ouvriers ennemie ont tenté d'établirûes pos tions défensives et des obstacles- en fii barbelé, mais ils furent dlsversis par nos feus. ITALIEN ROME, 28 octobre. (Retardé.) La violence des attaques et la résistance h suffisante de qudpue« détachements de la dei x.em1! armée a permis à des forces allemandes < autrichiennes de percer notre aile gauche a fiom des Alpes Juliennes. Les valeureux e forts des autres troupes ne roussirent pas à en ftécher l'adversaire de fouler te sol sacré de i patrie. Des magasins et des dépôts dans les r> giom évacuées ont été dé.rwts. La vaillant dont n-os troupes ont toujours et partout fa preuve au cours de •ant de baiailte-s inémoit bies depuis deux ans et denu, donne au cor, mandement suprême la certitude que cette fo encore l'armée, à laquelle sont confiés l'hoi neur et le salut du pays, saura faire son d voir. ANGLAIS LONDRES. 28 octobre : Sous avons légèreinetH amélioré pendant 1 nuit nos positions sur ta voie ferree Y près-Rot lers Hier matin les troupes belges qut operei ensemble avec les français, se sont 'port tet e avant dans la tune des inondations et ont o cupe la presqu'île dc Me-rikem près de Vij hu zen. Au cours de la journée des entrepris* heureuses ont b.é effectuées au nord de Mer, kcm par h s troupes belge* et fronça,ses. Le vi luge de Lu,ghem a é«è pris ce rnat,n par i> français et toute la près -j u île de Merckem . trouve maintenant av pouvoir dc6 Alliés. V certain nombre de prisonniers a été fan. Oeraieres Dépêches - Les combats à l'Ouest. Berlin, 29 oct. — En dépit du temps p; clair, l'activité die l'ar'-ii.erie ennemie a & intense le long de l'Yser; le feu a été partie, licrcment violent c~ titre Dixmudc. Des dot; oihojnents ennemis s avançant au noid de 1 v Le après une prép ration d'artillerie dei- ph violentes out ©Le rejet>jee avec les pluo lourd perdes. Entre la foret de Houthulst et La Ly ic feu a également atteint un- grande Intel sité. Apre.-, un vïi>Lnt feu roulant, les Angla se lancerent à l'attaque en masses compact' au nord d la rouie de Boesinghe à Stadei Leur ai.6 ut s'écroula de f~çon ya.nglaute soi notre feu de mitrailleus s. Des assauts t'rança réiténs par deux fos contre B,~aye échouèrei également après une préparation d artil.er des p ua fortes. Là où notre feu efficace n'a va point <ié;à fauche l^nnerm, devant nos obst clos, il fut rejtité en contre-attaque. L'aïaa. lant • n retraite fut pr s s u.- le feu anéanti seur de nos batteries et lui occasionna les pli 1 urdes pert. s. D' nombreux prisonniers re .èrent antre nos mains. Pens as »?r la côte française. Le «Matin» de Paris apprend du Trépo que, pir suite de la tempêi© qui a sévi sur côte française, cinq nav;res ont échoué et 01 éb.' romplètement détru.ts. A Cayoux, le v peur «Sauït-Lou's» a échoué; tous les membr de l'équipa.ge se sont noyéa. Un nouveau p€u.»i r/o.a litius en Angleterre Le «Matin» dj Paris apprend de Londres qt le Gouvern'anient appme la tormatuan d u i.ouve.iu parti national, présidé pir Lord B' î-esford et Lord Montague. Ce paru se doi nera pour tâohe de tenir eu échec une oppoe tion éventuelle des unionistes et des l béraui Le nouv au parti aérait partisan de ia cont n.uation de la guerre à outrance. Un nouve. accord ©atre l'Angleterre et la France. La Haye, 29 00t. — On mande de Londn que l'Angleterre,a conclu aveç ia France u accord au sujet du service militaire de leui i-cssoitissa^its respectais étab-is d -ns c 's deu p.\ys; cet accord >-at identiq ne à celui qui a- é, conclu préeéd-nimi nt avec la Russe. Une conférence des syndicats sca&dinaveg. Copenhapue, 29 00t. — Les délégations d( syndicats industriels sont occupés à «,'laborer , programme de ia conférence des artisans scai dinaves La date dj cetfî conférons a été fixe aux 26 et, 27 novembre. Elle au composera d six délégués de chacun d'-a trois Etaits scai dinaves. Le cardinal Mercier et la note du Pape. L'« Osservatore Eomairo » publie une letti du cardinal Mîrcder, datée du 10 octobre, dar laquelle celui-ci exprime au Pape, en son noi et au nom des autres évoques belges, sa gri titude émue pour son appel à La paix, dans i< quel il s'est également souvenu de La BeloiqU< La crise ministenoU~ en S^a,gne. Madrid, 29 00t. (Havas.) — A la suite d'un conférence avec Dito, Tooa a déclaré qu'il s'eii forcerait de trouver d s collaborateurs afin d «jonstituer un cabinet national. Autour de ta crise ministérielle en Espagn Madrid, 29 oct. — On croît que le Roi ai surera M. Dato de son entière confiance, ii action uo ia ligue o..iu<i-ù cv,,,agnol Le « Petit Parisien » apprend de Madri que le colonel Marquez, président de La ligu militaire à Barcelone, dément que la ligne a adressé au Roi une invitation à se rendre Barcelone, ou lui ait demandé de recevoir 1< officiers. Le colonel a déclaré que la ligue n fa.it pas de politique; qu'elle ne demand qu'un gouvernement énergique, qui maintiei ne la neutralité, défende les frontières aotue iûa de l'Esj>agne «t râaLse les réformes néoj saires. Une action juiv® internationale. La Haye, 29 00t. — Le Bureau de Correi pond an oj juif annonoe que la direction de l'oo gane polonais des socialistes juifs «Ziou» s'oi cupe de la prépara-t.on d un congrès mondii des ouvriers juiis, qui serait tenu dans la vil! otl se réunira La Conférence uaternationiale <j la paix. Les relations russo-japonaises. D'après le «Times», une commission de f nancièrs russes est arrivée à Tokio pour wég< cier avec les banquier japonais au sujet de l'i t.'ibli'-:9ement do relations industrielles et é» noaniqtiea antre le Japon ot la Russie, L'OFFENSIVE COîTTES L'ITALIE U ne opinion italienne. Berlin, 29 oct. — Giao Riva écrit da.ns l'«A-driatica» du 26 octobre : Le but de l'ennftm, es; !t manifestement de forcer ia côte entre .'laonzc-'i supcri .ur et la vadéj de iMausona. Nous devons admettre que de tous les fronts de la gurre européenne, celui de l'Isonzo egfc Je plus a important. Le premier assaut n'est qu'un dé-but, qui sera euivi d'épisodes importants et '■* plus décisifs. '' L'impresnon en Angleterre, . Amsterdam, 01) o t. - L'Agence iteutei dit.: tg a Les journaux angia s reconnaissent que la si-^ iuajoii est grave; unus iiis assux-eni, que 1 lut. lie' peutcaœpter sur l'appua des ALiés. Ils tout resnortar que de3' efi'or.s allemands du même genre ont déjà, à plusieurs reprisas, échoue. Le «Times» éci'u à ce sujet : Notre mo, d ordre au peuple italien est : « Tenez ferme 1 », car 01: a v i.vnu.-a oei-taiaoment, à votre ^cours. Nou. '" aimptona fermement que les Italiens, dans cet; r heures d'épreuve, resteront fidèles a leurs glo-n ru uses tr-dit ons et qu'ils repousseront les .n-trUi avec une mébraailabLe ténacité. Aprèw deux ans et demi de combats vaiiuui.s, la ua-" tien itaiienne doit tout à coup subir une dure : épreuve. Mais l'Italie, avec l'aide de s-e fide-les ailiés, s- rendra maîtresse de la situation. :s II ne faut pas qu'elle so t frustrée des ti-uits 'f de ses récentes victoires et elle ne 'e sera pas! n Le «Times» declar ensuite que la réuscit du coup de surprise allemand s'explique par la mue en actaon, p.r ces derniirs de nouvelles batte ries dont les Ita,liens n avaient pu se rendre compte, ainsi que de L'emp oi d un gaz d une très grande puissance. Le journal d,~ la Citj conclut î « La vaillante armée italienne a démontré, dans cette guerre, son courage et son ^ abnégation dan*, une telle mesure, que cet épi-* s;.d, iitalbutreux de la camp.gne n.e saurait te L- nir soit honne.ur. Sa confiance Ln fa lormida l~ ble puissance mi ita ire et économique des Al a liés et de 1 Amérique, reste entière. L Italie 16 a dé forts alliés. »Le«Tinies» dit qUv les inuic.i t!s tions relatives au nombre des canons capturée s. par le„ Oeutraux u est que du «blufl» 01 qu< le front de l'Ouest saurait bien égaliser des 18 p rtx's éventuelles. (Il semble, a en juger par les fatts, que U '• « jormidable puissant utilitaire 01 économi-que des AlLés » se manifeste surtout par ce re 18 s~lt.it,que tous ceux qui s y confient sont vouts à leur perte, tels la Belgique, la Serbie, le le Monténégro, la Roumanie, la Russie, ei main- t ç"«arjv à s*n tourj-t^ttaHery L'impression en France. ' s- Berne, 30 oct. — La presse irançaise mani-f' s te une plus grande inquiétude em commen. 3. t»nt le d« vcaoppeinent de I offensive sur Piton-5-.o. Oh cherche à pal.ier la mauvaise inipre» slon produite dans le public, en déclarant que rk i& ohiifreà des prsonn ers et dos, oaiiuub cap-,o lurés, fournis par Les communiqués des Cen-^ traux. sont exagérés et que l'on sa.t. de twan*' ( source que le comma.nciiemein.t aupârieur ita-Len, ramàne ses lignes en arr ère, afin cf ce 3 cuper des positions plus avantageuses pour ar rêter le choc ausiro-alLmand. Le «Temjjs», le «Matin» et ^'autres journaux adressent des 'e reproches masqués à la Russie. C'est ainsi qu. n le «Temps» <\,rit : Nos ennemis ont repr s en 3- ces derniers temps de nouvelles fo.ices devenues l" disponib.es du fait de l'inactivité .russe. La u rés.stance de nos ennemis, en Bcig que et en France',, s'est trouvée considérablement ren-l" forcée, en même temps qu'ils eutitiprenaiect une offensive de grande envergure contre no., aidés ita'iena. Ce sont là les d^ux seuls tronts où .ïs aient encore à lu-u r à l'heure actuelle. ® L'« Echo de Paris » déclare ; Les canons ai-n .lemands braques sur Cividale ..pe Igissôut sub-■s sist-er aucun doute sur le formidable but de La x hute des Autrichiens et des Allemands. Us é veulent pousser jusqu'à Udine. Le journal regrette que, malheureusement-, une diversion, russe, comme elle se produisit 8 l'année dernière, n'est plus poss.ble à l'heure e actuelle. l- Le a Journal des Débats » opine : L'Allema-,{> gne fournit actueii<rncnt aux A,liés un exem-e pie qui devrait- capter l'attention des p^liJ-l" ciens. En Allemagne, Les intérêts vitaux d® 1 Etat sont subordonnes aux sentimèn.3 p ri.n„ r.els. • e Le « Petit Parisien » suppose que l'offensive s a un caractère polit que et qu'elle fut entre-. 0 prise pour profiter des difficultés intérieures de ■- l'Italie. r la guerue sotîs-maeike. Rotterdam, 29 oct. — Du « Maasbode » : Le echooaier « Jernved », le voilier néerlandais e « Hondrika » et ie voil er « Mathilde » ee sont échoués. Le valeur norvégien « Dokka », jau-e geast brut' 1,115 tonnes, est entré en collision avec un autre vapeur et a coulé aussi.tôt. 3- --.««i»™»- La Neutralité belge j vue sous un angle français *■' Les journaux allemands -se sont de nouveau t occupés, ces jours derniers, dô l'interprétation à cle la question de la « neutralité belge ». Il est 41 iiutérciiaânt do reproduire' ce qu'ils exposent e à oe propos. e « On s.ut, d sent ces journaux allemands,que L- c'«et l'un des argumenta préférés de nos ennc-i- nus, de prétendre que nous avons violé la rnni >- traîné belge. Or, u a é,é démontré à suffisance qu'en réalité cette neutralité n'existait pas. Ce qui est peut-êire mous généralement cou *- nu, c'est que nos ennemis n'ont jama s songé, eux, à respecter cette neutrali'-é bilge. La B^'->- gique était, pour la France, le but vers lequel il convergeaient tous ses des rs, depuis que Na- 9 poîéoii avait eu en sa j>osees6ion les ptys grou-k> pês sous ce nom collectif, pays qui, d'ailleurs, firent jadis partie de l'ancien empire germanique. L'Histoire du Second F, m pire, de Taxile i- Delord, l'Hiitoire Diplomatique de l'Europe, »_ par Debidour, ainsi que les Mémoires, de M. de y l'ai loux, établissent que le lendemain du coup >- d'Etat du 2 décembre 1832, un décret cancer nant le rattachement de la Belgqtie à la Fran-

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