Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1915, 27 Juli. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 26 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/wh2d796h4p/
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DEUXIEME 'ANNEE, - W 290, ■*SVaat»W3*3U#Srr»--'iri'W>»l"EîaOR«atD»C»<œ;V< » ■» ">> » *- -s***- y TGRAQE JUSTIFIÉ ©5,00© EXEMPLAIRES - ,, L XHflfN 38 MARDI 3? JUILLET 1915, x^^a^SwcroeyNwnwiuSSiMÎoSi^SwK^SS^iSwiSSSS LE BRUXELLOIS ï ®0t ïl ira®'®» — ® œoâSj 7 fiasco ™ & assâs, 4 fa 1 sb@Is0 S fessa W »'■"• ~T~ '«Ut ;-.- ïiTSffiK,' IIMMMIUIIiIIH ^ HnoHBRS M Journal Qn.O'tldiLWpia .@> sarà ^i!M©Tc@^, /fcJfii&i «sSÂTÎ^K', ^Ô1U@1.TÉ 4Egr„ IPa-ix® fflCœiBSfl .'"VEtiK-w. A "-".. - ■ etm&ms i ^s*yrwô>swGaBïS ï :.'fs-ï>lT««9 -f. fêgae 2 feancs. Nécrologie, la Qga«s i fes3 Fêtâtes gaaK®seas k ligne 20 centimes Sur le front italien n Vu© <aL'«=* asem)ble Tï^T-mic flo« mm'« ln rlmil,l& îïimiawliifl n il P I Tifmi- mnia Pnfnm !e« ;tlOUa tl'BinQ- Deipuis des mois, la double monarchie que d'Europe croyait à la veille de se désagréger, u r fait preuve d'une homogénéité et d'une force <le t résistance inattendues. Cependant depuis des i mois aussi ie péril italien la menaçait et il a fin", I Je 23 mai 1915, par se déclarer ouvertement. a Au moment où le Parlement italien s'a journa, g en janvier, au 12 mai, le député socialiste M. c Turati, exprima l'espoir que « la neutralité de e l'Italie sera une neutralité favorable à la paix et ] à la justice ». t L'Italie eut pu, en effet, servir de médiatrice e écoutée. L'empire des Habsbourg compte certai- c lies populations de race et de langue italiennes. ] C'est, dans le sud du Tyrol, Trente qui n'appartint jamais à l'Italie, mais dont la population, particulièrement dans ses éléments les plus riches, les plus instruits et les plus influents, se réclame de l'Italie et voudrait politiquement y être rattachée. C'est ensuite l'Istrie, avec la ville libre de Trieste, qui compte 70,000 Italiens sur 1 150,000 habitants, et Pola, le grand port militai- i re autrichien sur l'Adriatique. Trieste n'a jamais ] appartenu non plus à l'Italie, mai# Pola est une 1 ancienne colonie vénitienne donnée à l'Autriche 1 il y a cent ans. ] Au siècle dernier, de 1849 à 1870, l'unité ita- i lienne s'est en grande partie faite aux dépens et 1 malgré l'Autriche, à qui les traités de 1815 avaient donné une certaine prépondérance dans i la péninsule parmi tant de petits Etats qui faisaient ressembler l'Italie à un damier. Ces souvenirs rendirent plus d'une fois malaisés les rapports entre les deux alliées, dont l'Allemagne, troisième alliée, chercha toujours à concilier les intérêts et à adoucir les chocs. lit favoivblè que pût paraître l'occasion "oar l'Italie, il semblait au monde eniier, et peut-être au gouvernement même de l'Italie, d'une moralité fort douteuse de la voir se retourner contre l'Autriche et l'Allemagne, ses alliées depuis trente ans, au moment précis où ces puissances avaient contre elles la Russie. la France, l'Angleterre, avec les immenses colonies de ces deux dernières, sans parler de la Belgique, de la Serbie, etc. On comprend le désir naturel de l'Autriche et de l'Allemagne, plus encore de régler pacifiquement le différend. C'est a quoi s'employa à Rome durant de longs mois, l'un des plus-habiles diplomates allemands, M. de Bulow, ancien chancelier de l'Empire. Le secret fut bien gardé et c'est seulement après l'échec des négociations que les détails en transpirèrent. Tout au début de la guerre, l'Italie ne souleva aucune réclamation, mais s'abstint de combattre aux côtés de se3 alliés, prétextant que l'Autriche avait attaqué la Serbie et que le traité de la Triple-Alliance prévoyait surtout le cas d'une guerre défensive. Bientôt s'appuyant sur le fait que l'Autriche n'avait pas averti l'Italie de ses intentions et que la guerre actuelle pouvait amener un déplacement d'influence dans les Balkans au préjudice de l'Italie, celle-ci posa en principe la. question de compensations de la part de l'Autriche. Avec peine, l'Allemagne décida le gouvernement austro-hongrois à accueillir le principe, étant donné surtout qu'il avait une base de nationalisme. C'est peut-être à ce fait qu'il faut rattacher la démission du chancelier autrichien, M. le comte Berchtold, et son remplacement par le baron Burian. La difficulté était de trouver un équilibre entre les exigences de l'Italie et les offres de l'Autriche. C'est à quoi s'employa M. von Bulow, comme intermédiaire. En mars, l'Autriche accepta de céder Trente et une partie lu Trentin. Alors les réclamations italiennes grandirent. Rome exigea, outre Trente et son territoire italien, une partie du Trentin, allemande de race et de langue : Le Bozen ; puis, une rectification de frontière sur l'Isonzo avec Goerz, Gra-diska et Monfalcone inclus; la transformation de Trieste et de son hinterland, l'Istrie, en un Etat libre; enfin, la cession des îles Curzolari, Lissa, Lénine et de la côte dalmate, etc. L'Italie exigeait la réalisation immédiate de ees concessions et le licenciement des troupes autrichiennes originaires des territoire» cédés. L'Autriche devait aussi laisser liberté entier» en Albanie à sa rivale de l'Adriatique. En retour, l'Italie n'assurait que sa neutralité et offrait une somme do 200 millions. Deux mois encore les négociation» traînèrent, bien qu'un accord sur ces bases fut peu probable. D'ailleurs, les Alliés travaillaient l'cpi-nion italienne, peu favorable déjà à l'Autriche. Le poste Gabriele d'Annunzio mit sa popularité au servies de a l'idée nationale ». Déjà, un légion garibaldienne, imitée de celle qui, en 1871, avait combattu aux côtés des Français, avait, cette fois encore, donné une forme tangible aux sympathies populaires. Enfin, il faut signaler les fêtes retentissantes, célébrées au début de mai, à Gênes, en l'honneur des « Mille » qui, sous la conduit'; de Garibaldi, partirent du rocher de Quarto, en 1865, pour soulever la Sicile, ce qui fut le prélude du « Risorgimento >. D'Annunzio prononça à cette occasion un discours emphatique, mais ls cérémonie acheva d'exalter les passions populaires que le pouvoir était de plus en plus impuissant à contenir et à diriger. « La majorité de la Chambre est peut-être con. tre la guerre, disaient les journalistes, niais 11 majorité du peuple est pour la guerre. » Aussi ti le Roi, ni le ministère, ni la Chambre, n'osèren bientôt combattre le courant. D'heure en heur< l'agitation de la rue, c'est-à-dire de ,1a partie U plus bruyante du peuple, que l'on fait commune ment passer pour le peuple tout entier, augmen tait et prenait un caractère révolutionnaire. Le; partisans du maintien de la neutralité étaien conspués et frappés dans Rome, la jeunesse estu diantine envahissait les locaux de la Chambre de Députés; partout, la confusion : selon l'usage t', tous les temps, les modérés et les raisonnable tremblèrent, se turent devant les exaltés et le impulsifs. Les premières semaines de mai se pas sèrent dans une fiévreuse agitation et dans l'at teuie universelle. Seul le vieux ministre Gio'itt soutenait encore la politique de conciliation. Sa landra, le chef du Cabinet, Sonnino, ministre de Affaires étrangères successeur du marquis di Sai Giuliano, partisan, lui aussi, de l'accord, enfii le ministre de la Guerre Martini, étaient pou l'intervention armée. Victor-Emmanuel III, re doutant une révolution, se décida enfin dans 1 même sens, et, le 23 mai, jour de la Pentecôte au soir, l'Italie se déclara en état de guerre ave l'Autriche. En ce qui concerne l'Allemagne e l'Italie, la situation est restée indécise. La guei re n'est pas encore déclarée, pas plus qu'avec 1 Turquie. Au Reichstag, lo chancier Bethmanr Hollvreg s'éleva contre la traîtrise do l'Italie mais, en fait, la querelle militaire devait long temps se circonscrire entre les deux parties d: rectement intéressées : l'Autriche et l'Italie. En déclarant la guerre, à l'Autriche, l'Itftli faisait état, non seulement des griefs repesar sur les exigences dont nous avons parlé, mais ei core de nuelques autres qui semblaient assez im; ginaires, par exemple, la soi-disnnt tentative ai trichienne de conclure avec la Russie une pai séparée pour mieux ensuite se tourner contre 1'. talie; puis les difficultés que l'Autriche aura cherché à susciter à l'Italie, lors de sa guerre aV< la Turquie pour la possession de Tripoli. Tout a contraire, l'Allemagne et l'Autriche exposaiei que trente années d'alliance avaient servi les ii térêts politiques et économiques de l'Italie so-tenue pi\r ses alliés, parfois contrairement à lei avantage. Rappelons la proclamation de Françoi Joseph à ses peuples, oui se terminait par c paroles : « Les souvenirs do Novarra, Montara Gustfïza-Lissa, qui font l'orgueil de ma jeuness me garantissent que nous défendrons égaleras: contre le sud, avec succès, les frontières de monarchie. » L'Italie accueillit la guerre avec enthousin me. Jusqu'au dernier moment le parti socia-lis s'était vigoureusement opposé à la guerre et maintint dans la mesure du possible son attit de. De même, le pape Benoit XV, hostile à guerre, n'avait cessé de travailler à un accord e tre l'Autriche et l'Italie. L'opinion générale s', irrita souvent. Quand la guerre enfin eut éclal des manifestations violentes eurent lieu ; à Mila on pilla les maisens autrichiennes et allemande plus d» 300 arrestations durent être faites; à I! me, un escadron do carabiniers à cheval, des < rabiniers à i»i«d, la -notice secrète, durent pro ger les ambassades des alliés d'hier, traités ennemie aujourd'hui. TONT. Lta en TROISIÈMEj pi^pfj PAGE !®s dtemSersr télé- ] UtstljfiCà grammes arrlyês pendant ] FRANCE. —■ Pour favoriser la recrutemen « Pari», 24 juillet. — Le Journal annonce : 1& flllltt» | rhSput<S Jean Henssy a introduit il la Chambre LA GUERRE AUTRICHIENS l Théâtre de la guerre russe T ienno, 2") juillet. —y Hier.) — A la sui des attaques victorieuse i ; tentées ces demie ■jours pur l'armée de V > -clviduç Joseph-Fer a ■ nand, Vannerai a évacur hier, entre la Vistu et la Bystryca, ses positttm$ sur une largeur . 40 kilomètres et s'est reit-'c de S à 10 kilomètr : vers le nord dan» une l\ ne préalablement pr parée. Ses tentatives vçAt prendre pied ferr. dans les positions infewpdiaires, déjà établit échouèrent, nos corps d'limées "•/ ayant pênét à sa su,ite. Le nombre d<\ prisonniers amenés pris en dernier par Varm^c de Varchiduc, a c teint 45 officiers et ll,50h hommes. Au nord Grubieszoïv, des forces Memandes ont pénét dans la position ennemie.i\rès de SoJcal,les vain attaques ennemies contn\ (a position de la U de pont à la rive est du t\ua se sont renouvéléi Immédiatement à l\oucstWIwàngorod, l'enne, exécuta quelques poussées!en avant efficaces co tre les troupes de notre C'pps trahsylvaiuieii. Si d'autres points du front, ['u situation est incha gée par la force alternative des combats. Depuis le 14 juillet, environ 60,000 prisorfliù sont tombés dans les mai, 3 des troupes coalist combattant entre la Pi7ici ct le Bug. . Théâtre de la pierre italien ^ Quoique la bataille da\, Je territoire de Gi. - ne se soût pas terminée hi>,r et cette nuit, Vinsi ces complet de la deuxième attaque générale italienne devient de plus en plus évident. Une nouvelle attaque se prononça hier, contre la tête de te Pont de Gôrz, contre les hauteurs de Podgora; rs eVe fut étouffée dès le début par le feu de l'ar-j- tillerie. Une contre-attaque de nos troupes he-ie foula complètement l'ennemi. Au bord nord-le ouest du plateau de Doberdo, les poussées en es avant italiennes devinrent plus faibles et plus é- rares. La nuit, elles cessèrent complètement. De ie nouvelles tentatives d'attaques de l'adversaire s, dans le front Polazzo-Vermigliano, furent facile-ré ment enrayées. Près de Selz, l'ennemi pénétra t,t hier matin, dans une partie de nos tranchées, au t- bord du plateau ; une contre-attaque de nuit ie nous remit en possession toutefois de toutes nos ré positions primitives et refoula l'ennemi sur tou-es te la ligne. La journée d'aujourd'hui commença te avec plus de calme. Dans le territoire de Krn, 's. toutes les attaques ennemies ont de nouveau été ai repoussées, lei, l'infanterie de Varchiduc Joseph /i- s'est particulièrement distinguée. Au front du r ■ Tyrol et de la Carinthie, la situation est inchan-n- fjée. Evénements sur mer rs T^c 23 juillet, ?ios croiseurs et nos navires ont es bombardé avec succès le chemin de fer à la côt-e orientale de l'Italie sur une étendue de plus de 160 kilomètres. I^es stations de chemin de fer de Chienti, Campa Marina, Fossa Cessia, TernoH :,'z et Ortona ont été fortement endommagées, celles 'C- de San Benedeito et Grotta Mora ont été incen diées. De nombreuses locomotives et de nombreux wagons ont été démolis, quelques-uns ont été brûlés. A Ortona, la tour hydraulique a été abattue, la grue du ponton endommagée et un tender remorqueur coulé. Veux fabriques à Ortona et- une fabrique à San Vr4o ont subi de gros dégâts. Toutes les cheminées sont renversées. Le viaduc du chemin de fer, près de Termoli est démoli, le pont sur le M or oécroujé et, en outre, une caserne à San Benedeito, abbat-tue. Le sémaphore Treimti a été réduit en ruine*, un câble détruit. Des forces navales ennemies n'ont pas été aperçues. ITALIENS • Rome, 2o juillet. -- Dans la nu>it du 22 juillet un de nos ballons dirigeai/les a jeté des bombes sur Polaj (San Pelagio) et sur la ligne de chemin de fer de Nabresina. Une course aérienne semblable a été renouvelée cette nuit par nous au dessus de la ligne du- chemin de fer de A a-bresina,sur laquelle nous avons jeté des quantités considérables de matières explosives. Chaque fois les ballons dirigeables retinrent indemnes, quoiqu'ils fussent bombardés par un violent feu d artillerie et d'infanteHe ennemies. Ce matin, au lever du jour, l'ennemi avait envoyé un navire éclaireur et quelques torpilleurs pour bombarder Ortona, quelques parties de la ligne de chemin de fer et les îles de Tremiti. Le dégât matériel e<t peu important. 3 projet de loi, décidant. riPT Ll vue d'une meilleure . ; organisation de la mobiîl-ation économique, il . « soi t formé dans chaque. Ylistrict militaire une ? commission.o.n.nmi1tnTH-ftjifi^s^ar» rin T>r<S£et.-et des . iv|.>v.'entants âèMa >'-'''^7■ ïm, ,1e s 1 industrie et des Société? n(,riooles et de tians-i P"1*- Lft commission sou(,eftril loutes les que3. ! tions de la vie économvC. RU ri,1)port avec l.i r mobilisation, à un exa^ npv)rofondi. FRANCE. —- Activité cgs av;ateurs allemands e Paris, juillet. Petit Parisien écrit : , Dans ces derniers jours <tg aéroplanes allemands c. ont survolé à plusieursJ Lprisps Remirecourt et r ^ancy Les bombes ,1CM35 ^'ont occasionné qu£ peu de dégâts matériels. | ^'RANIjE. — ^ecrutement à outrance ■ : juillet. La Temps écrit : Les mesu res sévères Pour la col!s.^tation des hommes apte; au service militaire, qui échapper jusqu'ic à eur service militaire % f1 u; De s'étaient pas fai' inscrire sur les matrici$j ont ,u lln #xceLl^ e résultat, fous les homnr ; d'après leur âge peuvent encore être *;^es au service, sont ariS !" t?8 ''"î15 l!î rue à produire leurs papiers - Dans la classe 1916 il v plus c]e 1)000 homme non matricu és, rien q,UG t].uls j0 gouvernemen I militaire de Paris. On c|Mim , à 10 000 je total de hommes non matricufét towtcs les classes II Paris seul. ' T hjf ANGLETERRE. - OpLions stigIsisa3 j jsur l'oflensive allemande Rotterdam, ^ - juill^ — j,e correspondant Pétrograde du Daily Cfhronicle annonce au suje de 1 offensive alleman.lo . j,e plan stratégique es 3_ plus grandiose que toi',, jM précédents ; les attî JS ques et poussées eu exécutées jusqu'ici p( raissent n a™]i' servMqu'à l'orientation du pla s j actuel. Les Allemand^, appliqUeTl^ maintenant 1( it résuI iats de ours ex j^érieiices de toute une ai , née. J ITA|,jE. — Disette do charbon s_ annonee de GêjC^ e j£,s env0;a de ch n bon anglais se faisan* rare lule (lisette do C01 bustibles est a cramo! u" • '' {LIE. — Sacriîices humains 'a 7i "=rliu, 24 juillet. 1 Qn annonce de Vienne ' n- Berlin e-r Lokal  : Le? combats à l'Ison 3n ne sont comparabl£|â €)1 violence qu'avec ' é, jours ou les e i v o u 1 nie n t à l'est déborder n, {out Prix le dente cita ja Dukla. Cadorna appliq «; lft ?10»e tactique dss sacrifi,.„ g!M18 égard au k ,0. tsriel humain. S a- ^ RUSSIE. — A la v|eilig ^-une bataille historique lé- lîerlin, •-1 juilletil — Pans un télégramme en Copenhague à la %agii)che Rundscliau on d d'âpre, une nouvel^ télégraphique de Pétrog - de, qua ln întail.e {fia plus importante et In p sérieuse est en P^^laration. T^es cercles militai russe# ont ooiiBioJr.b |e théâtre de la guerre «n Ila \ istuJe ct le comm^ l'arène, où la de sion de toute la c^I-ûpao-ne serait accom])lie. Varsovie 1 émotioil es^ ^es p}us grandes, pa que les communications d'arrière dos chemir.^ fer dans la Russie intérieure sont menacéf» séri y sement et que -lo <jkem-Ln de fer ne garantit p • | le transport. j[| Le | Berlin, <4 1 — Les Berlin e-r JS eues un s Nqchriçhtùn écri^L^t : ^"03 mortiers tonnent ^wi'H'iiMrKMuijw^gw>ggaB»idPiaiiatfjaggnBa8agaTO?aî«eK^awaB<g7^ vaut Iwangorod. Du nord, de l'ouest et du sud, les armées allemandes et l'armée de l'archiduc Joseph-Ferdinand avancent sur les lacets du front des positions russes, dans le gouvemement ,1e Varsovie, avec itï même impéluo.-,!u-, avec m me violence. Plus on approfondit l'état réel de» efforts militaires et son fond, plus ce"te poussîe apparaît ])lus violente dans son assaut a la victoire.RUSSIE. — La situation jugée Par 'a Pre3se anglaise Londres, 22 juillet. — Toute la presse anglaise reproduit des télégrammes pessimistes et des articles de même sens au sujet du sort de Varsovie. Le Daily Maie appuie sur l'importance extraordinaire de la forteresse, au point de vue moral, stratégique et technique. La chute de Varsovie i toucherait autant les Anglais que les Russes, peut-être plus encore. La reddition de ^ arsov^e ; par les Russes se ferait immédiatement sentir sur le front de l'ouest. D'autres journaux expriment i les mêmes inquiétudes. Le Daily Express exprime l'espoir que la résistance désespérée des Russes arrêtera encore finalement le coup fatal. Ije ' correspondant à Pétrograds du Times avoue que 1 l'offensive allemande a atteint d'autres résultats s et que les Pusses sont en retraite. Il déclare que 1 la situation est tout à fait grave. Le Dah'y J'ele-graph considère la prise de Varsovie par les Allemands comme un événement inévitable, si leur offensive fait encore d'autres progrès nue main- ii tenant. Le Morning Post pense qu'une victoire t des Russes est exclue, aussi longtemps qu'ils ue ■t disposent pas de munitions suffisantes. A la suite de ces articles l'émotion dans le public est très i- vive. Le Daily Mail parle de la tentative hereu-n léenne de Iîindenbourg d'anéantir l'armé» russe îs D'autres journaux, oui n'en avaient pas narlé, i- qui ne virent dan*, la lutte que des combats de position secondaires, expliquent maintenant à leur! lecteurs l'assaut violent que la Russie a à subir l~ RUSSIE. — L'évacuation de Varsovie 1 Cj'aoovie,- 22 juillet.*— Les journaux de Varso vie annoncent au sujet de J évacuation accéléré, de la ville, que les-trains, quoiqu'on les ait mul ,u tipliés considérablement, ne partent que très ir m régulièrement et sont complètement bondés. Ton 03 les fonctionnaires avec leur familles quittent ^ ville avec , ces trains, conformément a un ordr le reçu. Cette catégorie de la population compren a- environ 30,000 personnes. Les condamnés dans le ^ prisoas de Varsovie et. dans les autres villes, sou transportés à l'intérieur de la Russie, da D'après une ordonnance du commissaire de p< it, lies en chef, ne peuvent rester eu ville, que 1< .a- fonctionnaires nécessaires au service de 1 Etat .us Varsovie; de plus, les personnes qui prouve! res qu'elles occupent à Varsovie une situation qi tre suffit à l'entretien de leur personne et à «elui ( ci- leurs parents. i. D'après la Notco Reforma de Cvacovie, 1 év res cuation de Varsovie serait deja faite. ï..i pop de lace aurait également commis des troubles ant eu- allemands à Varsovie. Dans la ville, on opère d lus arrestations en masse pour des raisons politique Il n'v a plus d'étrangers dans la ville. Même 1 Ien représentants des journaux de 1r Triple-Ent«n de- ont quitté la ville. L'éclairage de la ville s ( réduit au minimum, eu égard au danger d'un bombardement par des Zeppelins. Tous les juifs jiolonais sont expédiés à l'intérieur de la Russie, molli e en Sibérie. Beaucoup de. juifs auraient ne- j je « A Les autorités cherchent partout des ^ •-r. — | RUSSIE. — La marche des Allemands Amsterdam, 22 juillet. — Le Daily Telegrapli * * écrit au sujet de la marche des Allemands sur ^ Varsovie : La pensée que les Allemands sont arrivés si loin, est un grand malheur. Si l'offensive allemande parvient à u e des rives de la , istule. et ceci est à craindre, il ne restera nu commun-dement en chef russe qu'à modifier son front en I une ligne droite, d évacuer Varsovie et de se ie- 1 tirer sur une ligne défensive plus profondement | en Russie. Il serait insensé de nier que cet evene- | ment serait malheureux. On n'abandonne pas do | grandes provinces si on peut l'empêcher, toutes les publications contraires ne pourront rien y modifier, d'autant plus oue les Allemands sauront profiter de chacun de leurs succès. Bucarest, 22 juillet. — Le Russkoje Sluwo écrit qu'une menace de Pétrograde ne doit plus étic niée. L'Université de Dorpat a éié fermée sui l'ordre du gouvernement et transférée a 1 mie-! rieur du pays. — » —— ETRANGER FRANCE. — Les dockers vénitiens. Milan, 2-1 juillet. — Comme l'annonce l'Avunti, commission des ouvriers du pùi't de Venise, M111. était partie ]iour Marseille,afin dy en amenei s'il v avait de l'ouvrage pour.les Vénitiens, est £ revenue a Venise sans avoir abouti. La .commission a déclaré que. les ouvriers n Marseille son>/ *;i trop ]ieu payés ; les prisonniers allemands doivent exécuter les travaux. ANGLETERRE. — La g ri oc îles mineurs. - , \ Rotterdam, 29 juillet. — Les pertes causées pur i l'absence des liouilleurs pendant sept juins ;iu * » cours de la grève des niim uis dans la UaLlcs du | Sud sont' évaluées, pur le Tunes, a I I i million $ - de livres sterling. La disette en charbon, causée % 3 par la réduction de la production, pourrait avoir i une conséquence plus grave. 3 ALLEMAGNE. — Les stocks de métaux. — 1 Le relevé d s stocks de métau:. qui a été dressé i en Allemagne, a fait paraître, nssnre-t-oii « de ^ source autorisée, une abondance sur laquelle ou n'aurait pas compté ». Pour le cuivre, par exem-pie, les stocks amassés par l'administration de la guerre, suffiraient amplement jusqu'à lu liu des '' hostilités, fût-elle même, plus éloignée, qu'on ne 'l le suppose généralement. Mais il existerait d «ti. i1 tts part encore 2 millions de tonnes de cuivra qui pourraient facilement être mis à la disposition de l'administration de la guerre. Quant au nlomb, les stosks seraient tels que la date de leur épuisement ne pourrait même pas être calculée en ce moment; et l'on n'a pas tenu compte de la possi-M bilité do remplacer le plomb de certaines iustal- s" lotions par le fer. es te SUISSE. — Les professeurs étrangers dans les té universités sus. es.' — D une statistique publiee

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Dit item is een uitgave in de reeks Le bruxellois: journal quotidien indépendant behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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