Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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20 augustus 1918
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s.n. 1918, 20 Augustus. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 12 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/vq2s46k06k/
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Chronique Théâtrale — , M AU MOLIERE. — La Châtelaine. — Thérèse ïe Rive est l'épouse d'un viveur qui la trompe et ! ;a ruine. Thérèse a un fils de 7 ans, Jacques, < iu'eiie adore. , A „ N'ayant plus que le cliatcau de Sauveterre, Épave d'une grosse fortune, elle a obtenu de son i mari la promesse d'un divorce et se rend a Angers, chez M. La Baudière, son oncle, pou* s en- 1 tendre sur la vente du château. M La Baudière, excellent honfime, marié à une femme autoritaire, espère bien faire consentir Mme La Baudière, au mariage de leur fille Lucienne avec un jsune avocat sans cause3 Gnar-les de Néray. Elle vient de refuser son consentement. car elle a jeté son dévolu sur Ardre jossan, frère d'une des reines du pays, Mme de Morennes. jossan, après avoir gaspillé 80,000 livres de rentes, a refait une fortune \enant passer quelque temps chez les siens, il vouciait acheter le château de Sauveterre. La^ Baudiere l'y pousse pour sauver sa nièce Therese. Il lui présente Jossan, lequel est touche jar la grâce de la jeune femme. Au 2e acte, André visite e château en compagnie de la famille. On parle mariage et affaires, Jossan veut arranger les choses lui-même. « Votre château, dit-il a lhe-rèse, est dans votre dot pour 300,000 fr. », et il rédige un sous-seing privé pour le payer ce prix, malgré Thérèse qui allègue qu'il ne vaut pas pareille somme. La scene laisse Thérèse attendrie de tant de délicatesse, Mme La Baudiere la ramène à la réalite par ses sous-entendus désagréables. La châtelaine va déchirer l'acte ;, André, à qui elle fait part de ses scrupules, lui dit • « Je vous aime, ma fortune, vous 1 accepterez, parce que vous êtej généreuse. » Prévenu par sa tante, de Rive survient devant sa femme et lui déclare que l'idée de la voir riche et che-rie par un autre le torture. Il la supplie de reprendre la vie commune. Comme Thérèse refuse, il emmène le petit Jacques, sûr que la mère le suivra. Mme de Rive est affolée. André lui fait promettre de se laisser guider par lui. Au dernier acte, le bon oncle se fait le complice de Thérèse. Il est ravi, d'ailleurs, car sa femme lui signifiant son horreur d'avoir André pour gendre, a déclaré que sa fille épouserait l'avocat. Il ménage une entrevue entre André et le mari de Thérèse. Celui-ci^ < eut., d abord, provoquer André, qui le remet à sa place, puis fait si bien appel à ses bons sentiments que cet homme comprend qu'il n'a pas le droit c.e ccnti-nuer à faire le malheur de sa femme et lui rend ea liberté. , , . ., Le manque de place me force a terminer tele-graphiquement ce compte rendu : Châtelaine — Molière Mise en scène de Henriquet superbe : Liesse, Cellier, Rclsy, Dujardin, Clervannes, Walter, Volnay, bien, très bien. Salle pleine succès. Fleurs, fleurs, Succès. A. Gel. AU VAUDEVILLE. Florette et Patafon, l'amusant vaudeville en 3 actes de MM. M. H en-nequin et P. Veber, a été remonté avec un succès euperbe par l'excellente troupe du theatre du Passage. Rappelons la trame de ces 3 actes désopilants.MM. Fleurette et Patapon sont associes pour le ocmmerce d'engrais chimiques. Florette est jovial et Patawon grincheux. Les associes sont obliges de voyager. Blanche profite des quelques heures de liberté que va lui accorder son pour aller rejoindre son amant à Cotte-sur-Mer ot entraîne Riquette. Barbet, employé de Florette et Patapon, est chargé par Florette de veiller sur sa femme. Malgré Barbet, Riquette accompagne Blanche à la mer. Au 2e acte, tous se retrouvent à Cotte-sur-Mer. M. Florette, voulant faire la noce sans se faire reconnaître, prend le nom de son employé Barbet, tandis que celui-ci est pris pour Florette. Blanche retrouve son amant et passe les heures les plus agréables du monde aux yeux et à la barbe de son. mari qui ne peut s'endormir dans une chambre à côté. Après une foule de complications amusantes. Florette, qui s'était travesti, finit par être pris pour sa femme et re fait enlever sous les ordres die Barbet qui croit tenir sa patronne. L'aventure se' termine sur un palier, à Paris, où lies maris trompés pardonnent et tout revient au calme comme auparavant. L'interprétation a été magistralement enlevée avec un brio et une homogénéité remarquables. M. Darman a composé avec finesse le rôle épineux de lui en ' irbet. M. Roels (Florette) a fait preuve d'un comique mesuré et juste. M. Bertal (Patapon) a cette fois joué sans charge outrée. MM. Bréval (Mcntbissac); Santerre (lanbard, le terrible marin) ; Nélès, un Armand trépidant et amoureux à souhait; Tonniet (Pontoy). sont à citer par leurs talents variés. Quant aux dames, Mme Daveny a été épatante dans le rôle de Riquette et Mme Levêque a fait une Blanzhe séduisante. A citer encore Mmes Willy, une ( fléchette bien capiteuse; Berger, , une Mme Mazaubran d'une drôlerie typique, ainsi que Mme Daiguy (Cla.re) et Devallois (Marie). La mise en scène due à M. Tonniet aidé par M. Roche est parfaite. Il y avait uns salle comble. Quant à l'trthes-tre d'élite dirigé par le maestro Kumps, il est liés armrécié. Frabel. Chronique Musicale o t~\ m <-• i-* m 7 « 'T< /-\ r n t-« t» /-s r a t r\ t—» T AU CONSERVATOIRE ROYAL DE BRU- ' XELLES. — Excellente reprise, vendredi soir, 16 août 1918, des Concerts du «Deutsches Symphonie Orchester», sous la direction de Fritz Volbach. Le 7e cycle musical s'inaugurait par un programme des plus intéressants ; il comportait : 1.l'Ouverture d'Obéron ; 2.1e Concerto n. 1 en ré mineur op. 15 de Joh. Brahms; 3. la Symphonie i héroïque de Beethoven. On connaît la valeur de ( Fritfz Volbach, sa ocimprélien.sion musicale, le ] soin, la vie qu'il apporte à l'exécution des œuvres qu'il dirige; on connaît aussi la beauté, l'harmonie die la phalange d'élite confiée à sa direction ; nous ne nous attarderons donc pas à combler d'éloges les musiciens et leurr chef. Dans le concerto n. 1 en né bémol de Brahms, le pianiste Wilhelm Backhaus, de Berlin, a été simplement admirable. La sonorité enveloppante, le charme de la moindre arabesque, la légèreté du trait, ses qualités de musicien unies à une souplesse rare, en faisaient pour ses -partenaires un collaborateur romantique impeccable. 11 fut longuement ovationné et rappelé plus de quatre fois. La séance s.e termina par la divine «Eroica», une des plus belles illustrations musicales du grand poète que fut Beethoven. L'inter-pTétation de cette puissante composition eût été parfaite avec un mouvement moins lent donné à î'adagio. Léon X. Le prochain Concert Volbach aura lieu le 3>8 août 1918. Au programme, la symphonie fantastique de Berlioz. EN PROVINCE r r\v inwLi A CHARLEROI. — La culture. Ce que dit un fermier. — De notre correspondant, 3 août. — Un cultivateur interviewé m'a déclaré que les blés qu'on a presque partout fauchés sont généralement beaux et d'un bon rendement. Les froments sont également avancés et meilleurs que l'an dernier, mais espérons que les pluies vont finir. On en a assez, surtout pour les jardins potagers. Les betteraves sucrières et les betteraves de ménage sont belles et promettent beaucoup ; les pluies leur ont été très utiles et les nouvelles qui arrivent de l'entre-Sambre-et-Meuse et de la Thudinie sont généralement qu'elles seront riches en sucre, si nécessaire pour l'alimentation en ce moment.C'est en Thudinie que vont aller toutes les betteraves sucrières de la région, car c'est à Thuillies et environs que se trouvent les importantes sucreries du pays. Il y en a aussi vers le Brabant, mais de ce côté :e sont plutôt les fabriques d'alcool et leurs Jérivés qui fonctionnent, et avant l'alcool on pensera à la population et surtout aux vieux et aux jeunes qui ont besoin de soins et de forces en ce moment. Le cultivateur continue en déclarant que cette année partout et surtout où on a « fumé » le sol, les choux-rouges, les cabus blancs, plantés en temps voulu, les carottes rouges et blanches, les rutabagas, donneront une bonne récolte. En haricots, les plants sont un peu desséchés par les chaleurs, mais ils peuvent encore se remettre. Beaucoup d'oignons, poireaux vigoureux et très nombreux en certains endroits. Les pommes de $erre promettent, mais ici aussi le fumier a j|ï{uiqué et à certains endroits, les plants ont souffert des insectes et de la maladie qui a si fort sévi l'an dernier. Pour les fruits en général, les pommes, les poires et les prunes font défaut, la floraison a i été attaquée par les gelées tardives, mais il est ; à supposer que les comités de ravitaillement se < sont occupés de la question et qu'ils auront pris j des mesures au sujet de leurs conserves. : A ce sujet, c'est le moment ou jamais de re- ( commander à nouveau aux ménagères de faire des conserves ; les comités feraient bien de rappeler par des imprimés les recettes aux ménages, quitte même à donner un dimanche une conférence dans les locaux ad hoc. Pour la farijie, l'avenir se présente sous les meilleurs auspices. On espère fermement pouvoir augmenter pro-; chainement la ration de pain. (N.) : — Le retour à la terre. — Un lecteur nous i déclarait hier ; La guerre, si néfaste soit-elle, t aura son bon côté.Alors qu'en temps de paix le t bourgeois, l'employé, la journée terminée, se ; croisaient les bras, ils sont obligés de chercher [ en ce moment leur nourriture et pour y arri-; ver se rendent journellement, leurs travaux ter-: minés, de Charleroi dans les campagnes des en-j virons et jusque Nalinnes,à la recherche de coins 5 de terre qu'ils cultivent. Ceux, plus prévoyants, qui ont pris les devants, voient déjà les légu-1 mes pousser,récoltent même déjà et sont heureux de montrer leurs premiers chefs-d'œuvre de cul-| ture. Pourvu que ce zèle dure après la guerre ! . Partout on a écarté les fleurs, les plantes inu-; tiles; encore un an, et l'on ne trouvera plus s dans le bassin de Charleroi un pouce de terrain inculte. Aurait-on cru que les balles, les obus j et la faim surtout nous octroyeraient tant de _ chefs de culture qui auparavant haussaient les , épaules à l'annonce d'une belle conférence agri-, cole ? (N.) A LIEGE. — Le Comité de secours d'OugrécScles-- sin a décrié d'accorder aux personnes âgées de pins , de G5 ans un secours en espèces'de 14 francs, à la s condition que leur revenu ne dépasse pas 1 franc par t jour. Les personnes ayant moins de G5 ans pourront également bénéficier de ce secours spécial si elles . ont des infirmités. a — Un. jugement de Salomon. — Le garde-cham-é pètre die Chaudfonlaine soupçonnait fortement un t habfctant d'êlre l'auteur des vols fréquents qui é avaient été commis dans ces derniers temps. Le [, commissaire de police, avisé die l'affaire, a décidé que s l'on permeltrait au suspect de vaquer à ses occupa-t lions pendant- la journée, mais qu'il devait passer la i. nuit au bureau de police. On ne sait ce qu'il faut d admirer le plus ; le procédé ingénieux de la police ou l'empressement avec lequel le suspect se présente tous les soirs à « l'hôtel » qui lui a été imposé. i—... - 1—■■ ■ ■■ - - ■ FAITS DIVERS rrtuo ui y L,i\u DISPARITIONS. — Mme Léonie Preston, prof, de piano, 43 ans, rue Potagère, 168, est disparue depuis le 15, au matin. Elle allait donner des leçons chez une élève, rue Bordiau. Est de même disparu, Bruyneel, Pierre, 72 ans, rue de la Cuve, 1, à Ixelles. Un peu simple, il a disparu le 13 août. BRUXELLES=KER/V\ESSE Tous les soirs José SchnydersET son orchestre. ATTRACTIONS DIVERSES.235' ESCROC. — Un soi-disant Draps, Eugène, est venu dire hier à Mme Verlinden, rue de la Sapinière, à Boitsfort, que son mari, prisonnier en Allemagne, était revenu à Bruxelles, mais n'osait revenir chez lui parce qu'il n'avait plus de vêtements et qu'il l'envoyait en chercher. La dame lui remit les meilleurs vêtements et des victuailles. Elle avait été dupe d'un voleur cou-tumier du fait. (A.) VOL DE TABAC. — La nuit de samedi, on a volé chez M. Tules Demunck. rue Elov, à Cu-reghem, 250 paquets de tabac et 15 kil. de tabac ainsi que quantité de bouteilles de vin tt de liqueurs et des vêtements. (A.) * LES PICK-POCKETS EN TRAMWAYS. — M. Joseph Peeters. md de bestiaux, ch. de Gand, à Berchem, éSjait eur le tram 17 hier z^.r. A la porte de Ninove cinq individus sautèrent de la plate-forme et s'enfuirent par la l'haussée de Ninove. M. Peters constata la disparition de son portefeuille, renfermant 15,000 francs. — Sur le tram rue du Progrès, des pick-poc-kets ont enlevé, samedi, le portefeuille, avec 400 marcs, des timbres et des papiers, à M. Kraus, négociant, rue Gaucheret. — Sur le tram 49. entre la place Bethléem et la Bourse, on a volé, hi;r soir, le portefeuille, contenant une importante somme, a M. I.efage, ch. de Forest, à St-Gilles. (A.) Le rendez-vous des meilleurs patineurs et patineuses sa donne au Royal, 567, chaussés do Waterloo, grâce à sa merveilleuse piste et à ia f-raîch'îur naturelle tle la salle. LES VOLS A BRUXELLES. — Samedi soir,, chez Demol, boutiquier, rue de Cologne, 116, à Schaarbeek. on a volé une forte somme d'argent, des bijoux, des vêtements, du linge et des marchandises. — Chez M. V.... rentier, rue de la Commune, on a enlevé des vêtements, du linge, des chaussures, une valise contenant 10 k. de pommes de terre, etc. — Ch. de Mons, chez les époux Soutens, boutiquiers, on a volé 15 k. de saindoux, 12 k. de beurre, 300 œufs, 3 pains, etc. —• Chez Mme V. ïreppe, rue de Munich, on a volé, samedi soir, pour êoo fr. de bijoux. — M. le Dr Georges Lemoine, rue Belliard, 107, était aîlé à vélo à l'hôpital de Cureghem. Sa bécane laissée contre la porte lui a été volée. -— Samedi matin, on a pillé la maison de la famille Levinger, rentier, avenue Louise, 264, qui est parti depuis la guerre. L'officier de police Verneuwen accourut. Dans le salon des paquets d'argenterie étaient prêts à être enlevés. Le vol doit être important, croit-on. — Samedi après-midi, un individu d'une vingtaine d'années s'est emparé de 25 k. de beurre sur le camion de M. Alexin, av. Ducpétiaxu, au moment où le véhicule passait boul. Bartléle-my. (A.) — Décidément tu pars en vovage ! Alors laisse-moi te donner le meilleur des conseils : Pour vous préserver, toi et les tiens, contre toute intempérie, n'oubliez pas d'emporter avec vous une véritable gabardine imperméable en soie de chez Destroo-per, 56-58, ch. d'Ixelles (Porte de Namur). (2388) ARRESTATIONS SENSATIONNELLES POUR FRAUDE FISCALE EN SUISSE. — Deux-arrestations sensationnelles ont été opérées : celte do M. Jules Bloch, industriel à la Chaux-de-Fonds, et de M, Ju-t nod, fonctionnaire fiscal à Neuchâtel. M. Junod, ' commissaire pour la Suisse romande d© l'administra, tion fédérale de l'impôt de guerre, est inculpé die corruption pour avoir, diit le « Journal de Genève », , accepté de l'argent de son am.i die jeunesse Bloch, aceusé lui-même d'avoir soustrait à l'impôt de guerre des sommes très importantes. M. Bloch, fabricant d'horlogerie à la Chaux-cte-Fonds, dont la générosité est très connue,, n'a janra s caché qu'il réafeait de gros bénéfices et. a effectué divers dons importants die bienfaisance, l'un de 250,000 francs au sanatorium de tuberculeux. Un communiqué du Conseil fédéral confirme ces arrestations. L'INGENIOSITE DES POILUS. — Un journal français rapporte qu'un soldat a confié récemment à la poste de campagne une feuille de platane, qui portait d'un côté l'adresse de son père et de l'autre la nouvelle qu'il se portait hien. Le journal remarque à ce propos ; « Ce qui est fait pour nous étonner n'est point cet emploi peu usité d'une feuille de platane, — car le manque de papier à lettres au front a déjà donné lieu à tant d'autres succédanés de cartes postales, — mais bien le faut que cette carte postale soit parvenu! à dilstination munie du cachet de rigueur. Il y a donc encore des moments où la poste de campagne se montre intelligente... » UN CROQUIS DE M. LEBUREAU. — Il est extrait de « Paris-Midi » : Dans un commissariat parisien, un monsieur questionne un employé réfractaire à toute interview, qui lui répond par de vagues grognements. -— « Monsieur, je vous assure qu'un nouveau décret exis-' te depuis trois jours qui réglemente entièrement la circulation en France. — Connais pas! — Il a été publié à 1' -« Officiel ». — Connais pas. — Et où puis-je m'adresser pour avoir des renseignements précis? — Au commissariat-... Ici... — Et qui est chargé de les donner? — Moi I SPORTS LUTTE. — Orner répond à Nicolas Herd. — Comme avant toute grande épreuve do lutte, on entend de pairt et d'autre, avant le match Omer-G ertsmans, émettre des avis diamétralement opposés au sujet du résultat final de cette rencontre. Nous avons, fidèles à notre ligne d'impartialité, publié une lettre de Nicolas Herd. Voici la réponse que, très aimablement, nous j>rie d'insérer Omer de Bouillon ! Nous laissons naturellement à celui-ci toute la responsabilité que comporte sa coitrespondance : « C'est à contre-c eur que je réponds Nicolas Herd, mais il me répugne toujours d'entendre injurier le beau sport de la lutte. Il est vrai que ces insultes, émises par un lutteur de centième catégorie, sans nulle valeur au tapis, ne sont que l'expfression de sa jalousie et d'une compréhensible colère. Il est entendu que pour M. Nicolas Herd, Omer de Bouillon est une nullité. Je ne suis, n'ai jamais rien valu. Il n'entre pas dan8 mon caractère d'attaquer un absent qui, d'ailleurs, a toute mon admiration pour s.a brillante conduite depui% la guerre, conduite qui d'ailleurs doit donner à Irefléchir à des personnes qui se disent en ce moment ses défenseurs... Mais mon passé spc'rtif est là, et, dût M. Nicolas Herd en attraper la jaunisse, je me considéra personnellement, non pas comme « Champion de Belgique », mais je Die déclare « Champion du Monde »; Dans ma carrière, j'ai tombé les Champions du Monde Raoul le Bouclier, Aimable de la Calmette, Laurent le Beau-cairois, Paul Pons (.Français); Vanden Berg (Hollandais), Jacobus Kocli, Eberlé, Siegfried, Hitzler (Allemands); Raicevitcli (Italien); Petroff (Bulgare), etc. Bref, j'ai vaincu tous les lutteurs de mon époque, sauf Ali Adhalli (Tuic), le vainqueur de You-souf l'intombable, et Hackenschmidt, le formidable Russe, avec lesquels j'ai fait match nul. Pour le titre de champion de Belgique, malgré tout ce que AI. Nicolas Herd peut écrire, je le détiens et le garde depuis 1903. Il se rappelé certes la façon dont j'ai travaillé contre son frèrt en 1911, à Bruxelles : la main plâtrée, le 4me métacarpien brisé; j'ai résisté à à Constant le Marin malgré une douleur atroce. Les sportsmen pourront voir la (radiographie de ma main, pxposéo jusqu'au 21 <>oût à la Brasserie du Cheval Blanc, rue Jules Van Piaet, et à partir de cette date jusqu'au jour du matcli, au bureau de location des Folies-Bergère. Bref, pour me résumer, j'offre : a) Au lutteutr do 100e catégorie, Nicolas nerd, une somme de cent francs par minute qu'il pourra tenir devant moi aux Folies-Bergère après mon match contre Gertsmans; b) TJne somme de 10,000 fr. aux pauvres de Bruxelles, si on peut prouver qu'un Belge m'a tombé régulièrement depuis 1903; c) La même somme de 10,000 fr. si on peut démon-trUr que je n'ai pas triomphé deux fois de Steurs dans les deux seules rencontres que j'ai eues avec ce sympathique adversaire, soit à Rotterdam en 1906, et à Pétersbourg en 1914. Jo n'ai jamais reculé devant personne, n'importe où et n'importe quand. C'est ainsi que j'ai été amené à lutter sans préparation contre Gertsmans, ne connaissant pas la véritable valeur de ce nouveau-venu. Il m'a été difficile do gagnetr la première fois; la seconde fois, j'ai été déclaré vaincu par un jury peu ( compétent. Mais je suis encore et resterai le champion Omer de Bouillon, qui s'est fait respecter et aimer dans le monde entier. Jo ne voux pas déni^L'Cr personne, même mes inférieurs. Pendant quinze ans, j'ai participé à Bruxelles à tous les tournois importants où bien à regret, je n'ai jamais rencontré Constant le Marin ni Steurs, mais où tous mes admirateurs ont pu m'api-L-écier. Je n'appartiens pas à cette catégorie de lutteurs qui, à coups d'amitiés, font valoir lours qualités et leurs biceps, dans des « lettres ouvertes », dans les journaux, bref, démontrent leur force... sur le papier! Quant à Koch, le champion allemand, je l'ai tombé à Paris en 1931, en 6 minutes, à Liège en 1902 en quatre minutes, à Vienne, en 1903, en 12 minutes, etc. J'ai aussi été tombé nar ce \L-ai champion, et je n'en ni pas honte, bien au contraire, car c'était un homme, et un vrai ? - Quant à Gertsmans, sa carrière de lutteur est encore trop courte pour que je puisse en juger. Nous serons fixés le 28 août aux Folies-Bejgère. Mais ce que je sais, c'est gu'il a tombé Nicolas Herd en une minute 30 secondes. Pour Nicolas Herd, toutes ses luttes ont été du « chiqué ». C'est exact. TJn homme qui ne tient pas debout et voulant faire un métier dont il n'est pas capable, devrait ne pa3 reprocher à ses adversaires de l'avoir ménagé et du même coup lui avoir permis de continuer une carrière pouL- laquelle il n'était pas bâti. C'est une bien mauvaise manière d'être recon-5 naissant quand on a quitté un métier, de vouloir le 2 salir comme M. Nicolas Herd se propose de 1e faire. Je terminerai en parlant au nom de mon collègue fîertsman et au mien : si une de mes luttes avec Gertsmans a été ou sera du « chiqué », je laisse la [ bourse à la disposition de Nicolas Herd qui en fera ce qu'il voudra. Quoique Gertsmans soit mon adversaire, je l'admire et je suis fier do le rencon'J.-er. Je voudrais que tout le monde partage mon avis, ; même Nicolas Herd, et je préfère dire publiquement à ce dernier, une bonne fois pour toutes et pour en finir, que ses mensonges le dégradent, si la chose est : encore possible. Je donne rendez-vous à tous les sportsmen le £8 août aux Folies-Bergère, ils verront alors si Omer de Bouillon est un « chiqueur » ou si c'est l'homme qui, pendant vingt ans, a porté haut et fier, sur toutes les scènes d'Europe et d'Amérique, les couleurs nationales!... Omer de Bouillon. Nous considérons la discussion comme close. Il ne : s'agit plus d'ergoter, la parole est à Nicolas Herd ; pour relever le défi d'Omer et la patrole est à ce der-. - nier pour défendre, le L8 août, sa valeur et son passé contre le jeune et bouillant Anversois, Laurent Gertsmans. «SX» «4* bibliographie iarmatinn de Bruxelles (hebdomadï ;e_ L'Information de Bruxelles (hebdomadaire), us prix 15 cent. — Sommaire du n. du 18 août : ;e Lettre du pape Benoît XV à l'épiscopat lom- 3lè bard. — Le match Foch-Hindenburg. — Les 50. fonds des reptiles. -1— Une sourdine s'impose. — jq) L'affaire Malvy. — Le général Nivelle et l'of- jfj fensive d'avril 1917. — Foch à la Marne. —- Le ns trait d'union. — Clemenceau et ses petits-fils. — es Le ministère pastoral et la vie publique. — La u_ Flandre aux Flamands. — Bibliographie, etc. M Lisez " Le Bruxellois " », LE JOURNAL LE MIEUX INFORME h, nt TIRRGBS D'EMPRUNTS ité —o— te VILLE DE BRUXELLES 2 P. C. 1902 lls D'après le plan d'amortissement, cet emprunt °" entre dans la 3e période, qui ne comporte plus gg que 4 tirages par an, aux dates suivantes : 1er septembre fr. 100,000 n. 1er décembre 10,000 ia 1er mars 10,000 )r_ 1er juin 10,000 Pô tr- VILLE D'ANVERS 2 P. C. 1903 n- 92e tirage, du 10 août 1918, de 31 séries, soit de 775 obligations, remboursables à partir du nt 1er mai 1919 : c|e S. 11113 n. 15, remboursable par fr. 25,000 , S. 19174 n. 20 2,500 'f1 S. 37573 n. 19 500 la S. 1550 n. 13, s. 23899 n. 12 250 Remboursables par 250 francs : Il S. 1550 n. 25; s. 2778 n. 8 ; s. 7248 n. 6; ifi- s. 8491 n. 16; s. 12015 n. 17; s. 12411 n. 15, 19; n- s. 15347 n. 12, 16, 17; s. 17408 n. 16 ; s. 20843 'é- n. 18; s. 32523 n. 21; s. 33301 n. 6; s. 39552 n. 4. n- Remboursables par 150 francs : is- ■ S. 1550 n- 2, 4; s. 2778 n. 3; s. 7248 n. 18; nt s. 8491 n. 8, 19, 22; s. 12411 n. 9, 21; s. 17318 n. 6, 20;' s. 17408 n. 2, 18; s. 19174 n. 13; s. 27001 n.l, 11, 20; s. 32680 n. 22; s. 33354 n. 1.. Hormis les numéros ci-dessus, les autres compris dans les séries qui suivent sont remboursa-n- bles par 110 francs : 1197 1392 1402 1550 2778 3812 7110 7248 8491 11113 12015 12338 12411 15347 17318 17408 19174 20843 21587 22076 23899 27001 28777 30340 32523 32680 33301 33354 35786 37573 39552 VILLE DE VERVIERS 3 P. O, 1873 ] 111e tirage, du 1er août 1918. ' Remboursement au 1er décembre 1918. J_,iste des numéros primés : N. 23235, remboursable ppr fr. 15,000 N 32029 500 N. 38887, 44475, 68572 l) N. 33839, 72887 D N. 5524, 54971, 75223 ' 9 '' Chronique Financière SUCRIERE EUROPEENNE & COLONIALE Assemblée générale du 3 août. Cette réunion extraordinaire était convoquée à la demande d'importants groupes d'actionnaires dans le but de procéder à l'élection de deux nouveaux administrateurs ; MM. Mahieu, directeur au ministère des colonies, et Van Roye, importateur de bois. Le président, en présentant les candidats à l'assemblée, fit yaloir l'aide puissante que l'on pouvait attendre de leur collaboration au moment où la société voyait son activité s'orienter vers l'exploitation intensive de son domaine du May.nmbê: M. Mahieu possédant une pratique acquise par de longs séjours dans la Colonie; M.'Van Roye ayant, en matière de bois, les connaissances spéciales procurées par sa longue carrière commerciale. Après la double élection par acclamations, M. Mahieu remerciant l'assemblée de la confiance qu'elle lui accordait ainsi qu'à son collègue, l'assura de tout leur dévouement pour^ le développement de l'entreprise. Il profita de l'occasion offerte pour donner des renseignements très circonstanciés sur la partie du Mayombé où se situe la propriété de l'Européenne, région qu'il a personnellement explorée et prospectée. U indiqua d'abord les merveilleuses ressources qu'offre ce pays au point de vue de la forêt, c'est* à-dire des bois à exploiter ; il montra que cette exploitation, devenue aisée actuellement, devait être lucrative. Longuement, ensuite, il parla des cultures à établir sur les parties de forêts défrichées et cita à l'appui de^ ses idées à cet égard, l'opinion d'auteurs compétents en la matière. Enfin il termina en rappelant les prospections, exécutées dans le Mayombé, prospections ayant fourni des indications telles que la certi- , tude existe de trouver des gisements^ intéressants surtout dans la région où est englobé le domaine de l'Européenne. Cette causerie instructive fut le clou, peut-on dire, de la réunion au cours de laquelle il fut encore question d'un agrandissement éventuel de la propriété, puis aussi des résultats officiels fournis par des essais divers sur les bois du Mayombé, résultats prouvant la. supériorité de ces bois sur ceux qui sont généralement em ployés dans l'industrie. Cette dissertation futfj écoutée avec attention et intéressa beaucoup les actionnaires. Boîte aux Lettres Financières E. J. A..., Bruxelles. — 1) Nous vérifierons les tirages et vous ferons part du résultat. 2) Oui, vous pouvez acheter. Les deux catégories de titres ,£ont intéressantes. 3) Vendez si vous en avez. <»> ) Communiqués des Théâtres et Concerts ' L,a Bonbonnière '7u'"Ioups0,ssa;: LE RISQUE Comédie ea 3 actes de Romain COOLUS avec Mme CHARfïiAÎ., prêtée gracieusement par le Vaudeville. 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