2' Année. « N° 352 TIRAGE 75.000 . _ _ A„_ ^ . CINQ CENTIMES Ed°" B DJHWCH; 19 SEPTtMBRE 1915 Le Bruxellois ABONNEMENTS: 13 6 12 Mois Bruxelles et Faubourgs. . . , . 2 fr. 4 fr. 7 fr. I2fr Province et Etranger 3.50 8.50 16.00 30.00 Journal Qnotidien <3.^x3.1; RédaeHon, Administration, Publicité : Bureaux de vente peur Bruxelles et Banlleuej BRUXELLES : 45, RUE HENRI MAUS 15, RUE DES TEINTURIERS Rédacteur en Chef : Marc de SALM Directeur de Vente : A. Gilliard / Faits-Divers et Echos ... la ligne fr. 2.00 1 il il n il nrn / Nécrologie, Annonces commerciales » » 1.00 ÂNNONGES j Annonces financières » » 0.50 f Petites annonces ... la petite ligne » 0.20 » » ... la grande ligne » 0.40 Ce numéro contient SIX pages Première anntc. Nu m. QuotidiflU' 1 Q êent. Vg^rcdl .8 Septembre lWt LE BRUXELLOIS • m h Ijl Journal Quotidien Indépendant ||| annonchs.' 6 mai . . j 11 J mots . , . . . I i ; 7. *b II REDACTION,, ADMINISTRATION. PUBLIÔ1TB.» I Pi.u dlvtr. i. tien, i mou .... , " , . ' I j | a Nécrologie - • m Bou'ev3^3ias"nneBruxeiie3 m p=ti, Notre Programme | ^ r,, - T le isisire uroMenne En mtonlXe Bruxellois qui sera ***** *44 B V S* $9» ÈS IV »"*« «-ï». (w tou»:e> mdyet,». p„ un journal belge rédigé et administré H ''e ncrai et qui p'4-entail li «liutiion <omm. flar des Belges, nous avons cru rendre dcl-voiable pour n-.u», khi fausses service à la population bruxelloise. n! m 19(l;'™mUni,.tionofficiel!» ) r< . . n« , • u, , D "■ ' sur l'aile droite de l'armée, lin effet, celle-ci privée depuis prés 3 ,p fllll VPÇt natfCû ™" «abîmeront de. tranchées el liml le passent le. comlut. considérable» mm» d'un mois de toute nouvelle extérieure • • t "'en'le champ rte tir .tans pliisieur. Inralilés indécis jusqu'ici (Joe ttnlMivc <le passer â ni 3011 plus à quel saml se vouer. - importâmes Bile présentait cependant quelque» ttaver. nos ligues. en:repri.e par if» l rançais, . bonne» poiitioni pour 1 artillerie été tictorieuseraent repouasée Nulle pai L &t c'est ainsi que les calembredaines Au lendemain de l'occupation de Brurelles par Quand me parvint la nouvelle «'e ta retraite aucuns action décisive n'a eu lieu- 7éS plus biscornues se rescindent dans ,cs loupes allemandes, les habitants de la capt l1e9 FranÇn,s et dc la for*e avance des Allemands _ le public 01>, passant de bouche bn ta,eont «*«olés du rstte du monde sur mon fron-, je me mis en devoir d'en obtenir rnuxn,*,™» « bouche elles s'amplifient de plus en plus ûucunc n0uvtf,,e ne 1 ?!™ P" ?* reconna,™ne" d'aéro A OPfluEL URLGîl nnnr finir- rwir Ho on, ^ , , *a*>éte ternfate lia larda pas ù régner planes, rt I aya».« ohlm p. je m' déterminai à Anvers, iun-U, to heures soir — Officiel. -» / 90[ devemr monstruosités Aus>61 In,ultnalloliS lcs plus fan,ft,slslcs*ne fffecturr. le J4 au ma m, une retraite sur U Lea résultats rfc lu bataille livrée ces jour,, der- qui se racontent f roidement comme si tardèrent,elles p;s k se lépondre et c'est ainsi P°s,t,on Maubeuge n'ers a l'armée allemanje d'observation con» ^ éiait arrivé que l'on annonça successivemen! les batailles Je ''e raP"rl continue en nécrivaot 1rs comb<t« pleinement confirmés par les derniers «tnscixna tl est incontestable aue tout r/»«- Unn,ck S* Q»cntm. Enghicn. N vellc*. etc . ^Ul 8e déroulèr«n» lou^e la nuit et la journée »«>** recueillis. Les pertes subies par l'adver-» t. ^ ou ,fS moits se comptaient par milliers du 24 ct c*P1,qua»' que le premier corps se salrs «on* conaidér«blca Le repliement .e no» ragots de concierges et ces bavardages Sn UAlllé tous ccs comba;s n.cxls,alent que retire sar la ligne Bavay Maubeuge. divisions sous Anver. s'est efï«*tié sans q..o Ce badauds inoccupés entretiennent dans rnn*gtrtatfofr de 'ceux qui ivs avMtnt '>«» français commuant lenr retraite le 25 au i'» vorsairs, fesse I# moindre <euiative pour dans le pubuc une nervosité ne faste. rêvés et la publication du rapport officiel du matln ,d raarch-« 60 «rrière recommença vers "éotrfcvêr ' C'est pourquoi nous avo,* sollicité et 6écér,l F<ench qu, „ ,,a r«umn„sa-ap.«nous !e^*e*U- CiraoïUnlnui Ull SouVartlflnMt /th/orui < . ,, en apporte la preuve flagrante H dit ensuit*: quoique les troupes eussent H a»uvBMl0KlOflI AlJôfflana Obtenu de l autorité militaire aile- rcÇu r,irJrc d'occuper la p-.srtwn Cambra, le mande qjll gouverne momentanément Un rapport de sir John French Cateau i.omdreçies, j'ava„ des doutes sérieux 16 septembre. ) <-e combat qtj| Bruxelles, Cautorisation de publier ce — sur l'opportunité de rester en cet endroit pour y l'u,c ',epuis<leux jours s:«r l'aile droite de l'ai méô journal dont le prbgfamme osât -se Lc mmi9trc dt: '» guêtre anglais a reçu lie combattre et je décidai de faire un grand effort de ''0uc6t 8'est étendu hier aussi aux a-mée« q >i résumer en quelques mots : Sir ^olin Ir,tr,Llj' unc cpech« du 7 septembre pour continuer la retraite sur la ligne Vermand Se lrouvent J 8<îu,i Verd .n. En certain» Il dit entre autre : Saint Quentin Ribermond et après avoir relaté endroit» du vaste ch^rnp de bataille des sociè» /Ve dire que des chosés vrates en ■ A 6 henres iiu matin, le 23 noût, je réunis lea 'es combats leirtble» soutenus au cours de cette Par'ie'3 des armées allemandes eont sign,.les 1* £> abstenant d'accordér le moindre cre- conunun'ews d't premier, ou-secona csrpç et retraite il iincoàc«qiie ie inor.vcmenrve. Fctr^iie contintoe-n aillcuis- dlr âtous lis TnuomCCf 8" O :S*0l -disants oc Ia ^'v!J10n de avaleuc et leur ojphcpjçii la t'effectua en bon oidre ci» évûspt mus les Sur le théâue la guerre* A flîs -'armée no %»mvvi»~étiairrS rfi- ror'jar vnt ussrst* j/ou Hur.dcuin/g « 'emunu Lkyou/ - tv «Klaïu^ptaat^^j,; Tcua^tT IL- ... gtn;»rt Ja». jc<i,.cm,t mnç.«clu.en^.tit • >'-«£# WX que le* autres. placé de™,, eux ' ** pendant Toute I. j .urhïe ae,We. J ln i^ Evidemment le public comprendra D »P'4> 1 mformeuon que je uç-,. .10 q„an>rr 4 Uquchc nos tfoupe. . .rrértren, .ur 1» l«ne corap,iCtraen. iv.cué. par |-cl,.,emi: " ^ , , général l.arçais, je compris-qti il n^y av*it Noyon-Chauny La Fère, ayant échappé a la <jue noire organe soutins d la censure jeV£Rt mt position rtu'uu m- au plus oeux corps poursuite de leniiemi n» AOgtque en cas de guerre ne pourra d'armée ennemi»,^yoe peut-être wnf-ii-.mon l»„ur ces deux journées des 27 et 23 août, je _ nus etie libre de publia tout ce que de càvalwie.; vt ien^v^iv^iaiiwnce d'aucun dois payer un tribut de reconnaissance a.i générai a Francc appelle aux armes tOUS les nous voudrions pouvait due mais nos mouvement de iennemi puur uébo.rdci mon fra„çals Sor.let^ur, à la tête de sa divisi>n de bommes velidea . lecteurs peuvent .elrc. tissures que nous fla"c J"-ÎU3 cV,|firnîi da!1> cnt'c "P,,:,on Pa'*,fc3 cavalerie, me piêta une assistance mateiielie M. Mtilcrai.d, ministre de la guerre, a a-îresjé ne publierons que des .ait» doht nous Uua °"'f8 P;"^»»^,,? ,c r' nlfiieni àu^e pcodant notre rc.iaite et icussit mfime â relouler au piésident de la Républiques un mpport. duquel Kt>rn,Ls rerLauisde L auteilUucilë ta Plus Ôpr°^h<,n l,0p r^ ai" S ^'ir31c^n.^^CC$. ^ennemi du côté de Cambrai. nous extrayons ce pas«agc c Les abWfv»tiooar<firtoteraéroptaû«ar aembtelec» Le généra) 'Amade également, avec les «Suivant la réglementation eo vigueur, le» abSOlUQ. l'appui ^ ceit; c^ojecture 6»— et C"^ division de réserve française, nous anciens militaires qui ont été réformés par unfl Ceci rflt au Shjet des riolioeltes poli- i>«nian(:he,lc^3. veis i>heureft de Papiè* mtq.i, rendtt «prvice en attaquant do flanc la droite commission de réforme aôut, quel que soit leur tiques, nous pourrons ajouter que.nous rapports commeuvèr.ni â armer, annonçant gU^nan-Je dû côté d Arras et protégea ainsi âge, leur état de santé, détimtivemcu: dégagé» seions le* plus complets que cotss^H q0e l-c,,n"ci ^lsa,! uue attaque, apwfemmeo. j'arriére gai'dt dea (orces britanniques de toute obligationmilitaire U en est de mémo seions tes pius complets que ssiqct quelques forces, sur la ligne de Mons,mais ^c, lermtnc la périoiede cuis combats qui nés jeunes gens qui ont été exemptés 9e tout poil! tout ce qui conçu/iw la viebiuxel- la droite de t» position, .dfcpûls \ions et Uicy, commcocècerit a Mous, dans t'apiè* midi du seiVice mUiti.ire pai les con^aila de révision sous 'tùise, tuits-divers, etc. éiaitpartkuliûieûieftt menacée - dimanche 23 août et qui ccnsiituèrent, en réalité, ie régime des lois antérieures à celle du 7 aoûtf bnhn, pour terminer, nous tf-oyo/ts Le c^moanda.nt du premier corps atalt une seule baille de quatre jours 1®13. j.ue Le Bruxellois par ses annonces à P°°** ^sl P°ur<luw. * Ps,mc,s d® cWfe à ^ elaiisiiqoe démontre que le nombre de» $ue Le Bruxellois pa i>es anmi C9 a çiu3 éiCvéf ^ sud 0C Uray tt u cmquieaie endroit ia préwnte dépêche. jcuncs lançais qui sont ainsi perdus pour la &rlx très réduits pourra remit* '(e 1res i,Ugadc de cavaleri© évacua .Biuche, inclinant Jc dCplore pi0l0ndément les pertes très défense nationale sur touteféteûdutdU lerritolra granus services efi étant 11niçi mediauts légèretneut au eud desoos, l ennemi occupa t^jicuses qu'ont subies les forces anglaises, pec- est considérable. entre l'ojjre et Ul demande» Binche. jaIU grande bataille: mais cllea étaient • H parait conformo, <T une part aux intention» Nous espérons donc que noire tenta- CIM ,R"ln<; ^ ''arm<5 aD«li"!e iu "«""If'. « P"^ " « >• , . , » gcuei^Miamiitou, était a .uons, qui to.mail une —deux jouis^iuementaptes sa cunccnti*uun~ ttckùsc usititualê. ut sbotoeftie a uue uouvelJs tive réussira et que nous pourrons lies p05lt,6n n.wicec gw«ï dangereuse; je oonuai fut appclCc a tCswlcl a ulie vigoureu ^aOaquo visite inea.caje tou» iCs tétormés et exemptés vile apporter au Bruxellois levamelio- a,.s au cOmmst^anf ou deuxième cotps de ue dc aUqcoipa darmee ailemaaoa. dont la classe de recrutement n'est pas encors rations qui en feront en peu de Lçmps ttHsUcfctitres i*op longtemps oans cette posi- passée |btu» l armée territoriale un org&tie digne <ie son tiQm. ' irun avaîi^e»> 0z*î3» 0 li eta'1 sépeusèment 111 """ VuicW-du *#s»fVJ»^*je"dcr Tlécr^^TicI qu'il s . menace, uc muer esu CVHiW UvUtfC WaS»i. paru dans le « Journal Officiel'. ' Ult Ja tuniDfc ct U mm. Eu US SITUATION « Article pretater. - Tous les hommes placé. nrfm* letnjB^e,» » heures Ce i'^rès c-.io,. ,e <!los u postuoa de réforme par congé n- 1 ou 2, ITT f? A TSI retus, par telegraplrt, ou (5saé:«l Julie, un <laus la positioo de réluime, tempoiaire. «mst C.A raclage ne» imiunc». me uisaut qu'au muiq. Les Allemands refoulés en France .que le. bomo,=» txempica par les con.eils M -0- ■ lr0m " *"*"1 "n '0rps °° COiailUNIQUd OI-i-'IClEL ANQWtS rsïlslon appaitéuan, par leur 4ge i la claeso le.serve, le qu .toiiuénic corps el le ueuviimo V U encoie soumise aux obi,gâtions mmunres, seroa, En AnsletCrrô» toip. se /Hngeatcnt Ue lace su. ma position et At]vers, Ib bep^j^abre. — Le bureau-*de la convoqués devant les couseils de révision, rCunn ioudres 10 septembre D'après on tlép«cl,e "a° 1 I'r"a0 110 VXU»**** h'" «* ?<"•' cxam.ne, le cuu„nEcn, de I. aas,e «16, à lt, liLHr ci'ALlieiifM le miiiiàtie des allairea ir.ou'.cmeut tuuinani, venaut \MrU uireetion de durant toutç la jouil^ -.du ld, i ennemi disputa i exception ue ceux qui ont contracté un fcnga- etrnugùres U. Slrml «mut* duuiM 8. demis- o.°v Xrv™ fr^uêl "r W A""3 " * ''Als,"= CePeDaaul- B«»en, pour la Jurée oefguene. «oa.st Veûisoios a recueilli sa siiccçssioi,. *f,™^'.U"ï .n"l«'4 de P"1" " * A'ua" denlr' euI r"" •CT0" tioisieint» ui meu nançaiio «ur iat uroitc ficUVC eu jaLC de loi ces conu«lerables, nous reconnus a ta suite de cet examen aptes au ictmue.it* le$ Allemand» s cianï, le j^ur preccj- parviomes a.«xecuter cette opération au moment service militaire seront immédiatement sonmts 3.o Homo Ûulo remis à un aq, dent, empare »tes passage» de la Sambto cntie S0le*il se couchait. £>ur la droite et la aux obligations de leur classe de recrutement, ' chaiUrv* et Namur. gauche de l'aitoee britannique, les corps français csux qui ne se rendront p«s a ta coavocatiou Luinlr' s H eçpteinbro. — Chaiubre dosCom- La retraite décidas. réusarent un mouvement smiilane au nôtre, seront considérés comme aptes au servies tliunoa. — M AsquiLli dit qu'il proposera Dans la prévision où j aurais uu abandonner Noua avods encoie fait de nombreux prisonniers tunié. « -i'&jouraoutuiil do la chambre pour colle se- la position ds Aïons, j'avais tau fane ta recou- quartier général liançais annonce que ûiauic naisbaneo u'uneauuepooiiio.n ©n arrière. Let'ie l'armée du Kronpnna fut lepoussée el obligée de 11 dufJicrn demain les « billâ > tendant à position e appuyait syj la forteresse de Mau- dipjacw son quartier gênerai de Saint- Mene- LES STRATAGEMES DES SERBES.' j-elacdec, pi udant un an au moins, ou plus, Si beuge, a droitu ct i. gauche s'étendait a l'ouest hcUlû à Montfancn. (Havas.) ^ . Neue Frac Pressç • dénonce avec la guem- u est pas Lcrmiuéo, l'appiicaiion du jusqu À jenlam au sud-oueut do Vaienfeienues O'autre part on mande de Beihn ce qui suit niuignation les stratagèmes qu'emploient les Hvnic l(uiv et le Ulll lly l'ays île GalUâ. Cette position apparut uiflocilc i tenir a cause Brritn, 14 septembre. lOlhciel ) Sur le theâpe berbes principalement pour leur artillerie 11* ont iKculer). des oUsUctts et qe? conductions qui rendraient de la guerre de i'Vucsl (.l'iauce), ont eu lieu ds» l habitude, par dit-il, de cachpr leurs pteçws sou» ! APRES Le 18 septevib. • 1914 deux journalis, belges fondaient le Bruxellois. A leur to ils avaient j"<jé nécessaire de faire ces. l'éclipsé de la presse belge, afin de cont huer à raviver le mouvement des idées et restaurer la vie nationale, d'ouvrir une t bune aux aspirations légitimes du public, promouvoir autant que la censure et les c constances douloureuses qu'on traversait -permettraient, toute cause juste, en aid<< ù satisfaire à toute revendication légitime, fallait surtout dissiper la nuit et le "sdeh qui étouffait V. opinion 'et lui montrer que calamité inouïe qui venait de s'abattre s la Belgique n'était ni unc excuse, m u raison suffisante pour éterniser un désespt qui confinait au suicide moral de la peni belge. Il fallait s'accoutumer à composer avec événements inattendus qui se déroulaient devaient, liélas! se prolonger au delà de te te prévision. Il fallait eiiftn s'efforcer de . vivre d'une vie normale en attendant la ] du drame. 'es Le Bruxellois eut des débuts plus que v ur destes. Il grandit néanmoins et prospéra; <er gane strictement et rigoureusement neutre ri- absolu ment indépendant de tout parti, i de cien ou nouveau, et décida ne s'inféodei ri- aucun; organisé sur des bases sérieuses, s de vi par des intelligences tenaces et avert ir- qui avaient fait leurs preuves ailleurs, il le bientôt venir à lui des collaborations, nt plupart spontanées, voire désintéressées ; t Il journalistes à qui pesait l'inaction ru in eu ce qui leur avait été imposée par Véclipse il la Qique des anciens journaux, vinrent à l ur et de ce concoure, harmonieux de tant ne bonnes volontés naquit le quotidien viva rir combatif, impartial, documenté, de liai ée tenue, d'absolue intégrité et d'indépendt plénièrc, que le Bruxellois fut et restt 'es toujours, aussi longtemps qu'il vivra et qv et s'inspirera de la pensée qui a présidé à u- création. c- Respectueux de toute opinion sincère, rm continue Viêcol au foyer. Organe d'inforv tion rapide et, éclectique, instrument mod io- ne puissant et inégalé de publicité commei or- ciale, le Bruxellois, après un an d'existent et peut se rend, e ce témoignage rare qu'il n' m- cherché jamais qu'à servir la Vérité, le Bie • à et la Justice. Le reste lui a été donné pc, er- surcroît. 'es Quelle que soit l'issue de la malheurevi vit guerre qui désole et ensanglante l'Humanitt la le Bruxellois vivra et prospérera.Car il repr, les sente des idées justes; il incarne un probe < se, constant effort vers u i meilleur avenir, lo- est une œuvre de progrès, de solidarité fre m-, ternelle et u.* facteur incontesté mi$ au se, de xice de la caiu sacrée du relèvement de ni it, tre patrie, s'orientant enfin, délibérément < 'te courageusement, vers de nouvelles et fêcoi ce dœs destinées qu-i permettront à la Aatio •ra belge de reprendre sa place -au premier ran VZ à l'avant-garde de la Civilisation. sa il L3 BRUXELLOIS, la-sr- L1SEZ EN 3' PAGE NOS RENSEIGNEMENT pour ses personnes ^ans nouvelles de jeurs parei La Guerre 'Communiqués Officiel AUTRICHIENS Théâtre de la guerre russe Vienne, 17- septembre. —Les Russes o tenté de faire échouer notre poussée de fiw, annoncée hier au nord-est de Buczacq p-une contre-attaque. Ils ont été culbutés. N tre feu d'artillerie a détruit à cette occasii une automobile blindée. Des trois officie qui l'occupaient deux ont été tués et un of \ cier non blesse fait prisonnier; tous les hor, mes furent tués sur place à l'exception d chauffeurs faits prisonniers également. Pot le surplus, l'activité combattive en Galic orientale et à l'iltwa s'est relâchée. La s tuation resta complètement inchangée. E raison de l'impossibilité d'emporter un sut ces dans ces régions, l'ennemi exécuta c nouveau des attaques plus violentes conti nos forces se trouvant dans le territoire di forteresses de la Volhynie. Les combats qt ont commencé hier continuent. A la Szcaz rien de nouveau. Théâtre de la guerre italien Sur le front du Tyrol, il y a eu de nouvea hier de nombreux combats d'artillerie. L'c près-midi le feu ennemi contre les hauts pic teaux de Lafraun et de Vielgereuth devin plus violent. Aujourd'hui, après minuit, d l'infanterie italienne plus considérable atta qua le Monte C os ton et nos positions au nor, de cette montagne de frontière. Ces poussée avec des pertes considéra frontière de la C'annthie IdrtitCeiie de l'a a versaire développe une activité plus violente notamment contre la région de Tarvis. Cett localité, et notamment son hôpital, ont ét bombardés par des canons de grande porté des positions ès du ruisseau de frontière d Sondogna. Au front du territoire de la côt l'attaque ennemie contre Flitsch a recoin mencé. Plusieurs poussées des Italiens on été repoussées ; les combats ne sont toutefoi pas encore terminés. Plus lom, en aval d l'Isonzo jusque inclusivement la tête de pon de Gôrz, le calme a été relatif. Quelques lo ca'ité's au sud de Gôrz et le bord nord-oues du haut plateau de Doberdo ont été pris sou le violent feu d'artillerie ennemie. A Voues de San Martino des tentatives d'approche de Italiens ont été déjouées comme toujours. FRANÇAIS Paris, 17 septembre ( heures). — En Artots entre Anrjres et Souchez et au sud d.'Arras, no batteries, en réponse au jeu de l'ennemi, ont vie lemmcnt canonné les travaux et les ravitaillement ennemis Entre la Somme et l'Aisne, on signale de fusillades de tranchée à tranchée ainsi qu'une cet taine activité de l'artillerie lourde ennemie, ù lo quelle nous avons énerijiquement riposté. Dans la région de Sapigneul et entre l'Aisne e l'Argonnt, la lutte d'aï llerie et de bombes s'es poursuivie pendant une partie de la nuit. Sur l reste du front il n'y a rien à signaler. Paris, 17 septembre (~j heures). — Entre An gres et Souchez et dans le secteur de Neuville,lutt à coups de bombes et de grenades aux-têtes de sa pes et tirs efficaces de nos batteries sur les ouvra ges ennemis au sud d'Arras. Activité toujour grande des deux artilleries dans la région de lioyt On signale des combats à la grenade et des feux d . mousqueterie nourris de tranchées à tranchées d' confluent de la Vesle et de l'Aisne jusqu'au cana ds l'Aisne à la Marne et canonnade très vigoureu se pendant la phts grande partie de la journée en tre l'Aisne et l'Argonne> dans le ravin de la Fon taine-aux-C'harmes et aux Courtes Chaussées. Ne tre artillerie de divers calibres et nos canons d tratichces ont répondu aux feux de l'ennemi et en c dommagé en plusieurs points ses positions. a En Woevre septentrionale et sur le front de Loi 11 raine, nos batteries ont également exécuté des tir r dont l'efficacité a été constatée. Dans les Vosgei bombardement par l'ennemi de l'Hilsenfirsf et d e la côte .'t?5. Au sud de Steinbacli, notre artilleri ; a réussi des tirs de destruction sur l'usine électri : que de Tuerjehcim. t RUSSES l rétràgrade, 17 septembre. — Dans la région a - sud-ouest de Dunaburg, nous avons repoussé de ■- attaques allemandes répétées devant nos abris d . tils ae fet entre la route vers Dunaburg et le h f de Samara. De petits détachements de cavaUri illemande ont paru dans la région Ou chemin d fer Muhdetschwo-Polozk. Plus loin, au nord-est d Wilna. l'ennemi parvint à prendre pied sur la r C1 ve gauche de la Wilija. Plus loin, au su l-est d'Orc ny, les Allemands essayent de franchir la Wersov ha, un affinent de la Mcretschanqa. Nos troupe repoussèrent l'ennemi. A Pinslc nos troupes se ri tirent sous la pression de l'ennemi. Dans la régio de Nishni Stochod, nous avons repoussé une ojfer sive de l'ennemi contre Ugrinitschi. L'ennemi pre nonce encore des contre-attaques dans la région o , _ Derojew et sur plusieurs points de notre front gi X licien. L'ennemi tâche de renforcer ses positioi *** par ces contre-attaques, mais il ne remporta, dar ses efforts et ses tentatives, dans les meilleurs di , cas, que de petits succès locaux. Nos troupes continuent à remporter des succè ■■■ dans les combats. A l'ouest du village de Pendyki dans la région de Deradzo, nous avons fait 410 pr, sonniers et pris I, mitrailleuses. Lorsque nous n ou emparâmes de la brasserie et du cimetière à De i razno, nous avons fait plus de ?00 prisonniers e iS pris 4 mitrailleuses. Nous avons repoussé des con tre-attaques acharnées de l'ennemi au village d frontière de Neuplerinetz et à la ville de Vischne ivitz. À la Strypa, à l'ouest de la ligne Ïarnopol *^ Trembowla, nous livrons des combats acharnés ^i. me plusieurs points à l'ennemi qui s'accroche aux vas oar sages du fleuve. [0~ TURCS .Oïl fit Corestantinople, 17 septembre. — Au front dei Sfj.S Dardanelles rien n'est changé. A Anaforta, noui 1l~ avons empêché par notre jeu les travaux de re-franchement ennemis devant notre aile droite. Noies tre artillerie a mis en fuite un torpilleur ennemi ur qui essayait de s'approcher de Sczlihborun. Nos ne batteries de la côte ont bombardé efficacement des Sl. poseurs de mines et Us positions importantes en-ïn nemies dans la région de Sedd-ul-Bahr. Dans la (c nuit d 5 septembre; une de nos patrouilles de re-, connaissance au canal de. Suez, a pris sous s^.. feu, ^ à 5 kilo m. au sud d'Alkambara, un transport an-ire glais qui transportait des munitions dans le ca-es nal. le tua les hommes du navire et inqut^ .à,par ui une attaqut à l'imprôviste, unc compagnie enne-za mie qui campait dans cette légion. Dans la nuit du 9 uu 10 septembre, une autre patrouille turque a fait sauter à la tynamitc une station de té-iu ligrap1lie sans ftl à l'est d'Adjigeul (?), au canal. Sur les autres fronts, rien n'eti changé. Constiintinopler 17 septembre.—• La situation au rit fron* des Dardanelles est inchangée. Nos troupes ie reconnaissance, qui avaient été envoyées en avant dans diverses directions, ont eu des com-^ bats de tirailleurs à toute occasion et revinrent, "d après chaque attaque, après chaque surprise, char-es gées de butin. Notre artillerie a bombarde clju-a-3- cemen,* Vw.ieuii b<i essay i. de fi,Hi.*t,-utr° d"' j. rT-;.- i 2 •wiiWîT Bf - e A Sedd-ul-Bahr, notre artillerie de î'c/tî&J, ^ che a provoqué le 16 septembre une grande explo-sion dans une position ennemie de lance-mines et mis celle-ci hors de combat. Une partie de notre 3C flotte a bombardé efficacement un phare et une le fabrique à la côte méridionale de la Crimée. Le jeu te d'artillerie et de l'infanterie de l'ennemi n'a cau-i- sé aucun dégât. Dans la même région, elle a coulé lt quatre grands voiliers russes chargés à plein. An front de l'Irak, nos volontaires ont surpris dans la je nuit du 12 septembre, dans la région de Kalaat-ul ^ Kodje> vn camp ennemi; ils ont infligé à l'ennemi de grosses pertes et lui ont enlevé beaucoup de butin. Le lendemain une nouvelle attaque a été ,s^ exécutée contre ce cam-p. L'ennemi perdît plus de ls 100 tués et fut chassé de ses positions. Le 16 sep-st tembre nous avons abattu au nord de Korna un es aéroplane ennemi et fait prisonnier les aviateurs, un adjudant et un mécanicien. Après de légères réparations, nous avons utilisé l'aéroplane contre s l'ennemi Sinon, rien de nouveau. Dernières Dépêches r" L'accord turco-bulgare serait un fait accompli Conp<-nhagnie, 16 septembre. — On an-et nonce de Paris au Berlin g sh.3 Tidende : st D'après un article de l'ancien ministre le Piclion, la France reconnaîtrait maintenant qu-e l'accord ti-rco-bulgare est un fait accoin-n- pli. Elle accueillerait cette nouvelle avec te résignation. a~ La campagne d'hiver dan- la montagne Le C orner c délia Sera publie la lettre sui-vante d'un officier eampé au sommet dea /e Dolomites : lu «La reconnaissance que nous devions faire al aujourd'hui est renvoyée à plus tard, parce u- qu'il neige à gros flocons et sans arrêt.Nous n- sommes entourés de nuages et tout est n" blanc autour de nous. C'est l'hiver qui com-°~ mence sur lei cime . Nous faisons marcher-^ notre poêle jour et nuit. .i Malgré tout, il est beau et émouvant r- d'entendre tonner encore notre canon à de rs telles hauteurs, dans les nuages, sous la nei-■s, ge, sous la tourmente, supérieures à toutes ie les forces de la nature. Et nous voyons mon-'ie te.- de l'abîme jusqu'à nous les files de mu-lets qui, lentement et sûrement, apportent chacun de ix pro jectiles pou:- nos batteries. Ces bêtes patientes, dociles et résistantes, ui sont chargées aussi d'apporter à des cen-es faînes d'hommes tout ce qu'il leur faut con-2e tre le froid, la faim et les attaques de l'eh-'c nemi : du bois, du pain, de la viande. ^ Ou travaille ici sans repos.On lend des rje lignes téléphoniques souterraines x on dresse des va-et-vient d'une cime à l'autre, pour a nous apporter des vivres ei des munitions, w- au-dessus des abîmes plein île neige. » Déclaration u du Comité des nécessiteux e- 3!) allemand en Galicie et en Bukovine n- Leipzig, 1S septembre. — Comme nous o- l'apprend lo Comité des nécessiteux aile-

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