Le matin

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20 januari 1914
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s.n. 1914, 20 Januari. Le matin. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/gb1xd0rz31/
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Janvier 191 ■r^wv m m ànwmz/fà *w*Tùirwi'ViM&'R2*.tiL MBWBPWBWMHBBBBBMWMfcMMBMWMMWWWBMW « 4 rriA M ' _ Hln rt/> rédaction I cg V'IESÏ-LE BOURSE, 3î I J' axvi:H» Iéléphone Rédaction « SSY ,;,o!1uements s |Un an.» • ' • 'ir' ^'So I J*®5, famo* ' • • • 3:80 l'Un an »•-••* • '«'eso I «*4®» «■£« I î^û»rEU ^rois mois . • • • *> <Ml I ^'^«srbwosrs SÊSK^*-*-00- I T-.hnnaemcnt se poursuit jusqu'à refus formel. LE MATIN JOURNAL QUOTIDIEN ■ ADMINISTRATION 39,VIEILLE BOURSE; 3S AÏWVER8 Téléphone Administration : SOI C. de CAUWER, Directeur A n nonces i Annonces la petite ligne, Ir. 0.30 Annonces financières jd » 1 OO Réclames la ligne, » l.BO Faits divers corps ict. > 3.00 Chronique sportive id. > ïi sis t Faits divers'an jd. » S.OO La Ville id. > SS.QO Emissions Prix à convenir. v Les annonces Ae la France, de l'Angleterre et de l'Amérique sont exclusivement reçues à Bruxelles LA RIVE GAUCHE DE L'ESCAU I Ce oui s'est dit à la Commission gantoise,le 15 novembre 191 [ a plusieurs reprises, nous avons attir I l'attention des membres de notre Commis I si il de ia rive gauche sur cette autre «Com ■ mission maritime et industrielle de la riv ■ gauche de l'Escaut», émanant du conse ■ jrorincial de la Flandre et nous en avon H souvent souligné l'activité. On sait qu< ■ Jette commission gantoise a été, au coui I dune de ses plus importantes séances, jus I qiià s'opposer, en principe, à toute cessio ■ ^ territoire et, le 6 février 1913, nous fai ■ j10ns une allusion directe à cette séance e B rappelant l'ordre du jour déposé deux an ■ auparavant par les bourgmestres de la riv ■ saie en faveur de l'annexion. I ' Depuis lors — et malgré la défection d ■ k Métropole qui, dans cette campagne e ■ Bveur du plus grand Anvers, a cru bon d ■ se dérober — nous n'avons cessé de récla ■ lier l'examen immédiat et approfondi i ■ cette question de la rive gauche en insis ■ tant sur l'intérêt capital que présente, pou ■ l'avenir d'Anvers, l'annexion de ces terri H toires. I II y a quelques semaines encore, nou ■ avons rendu compte d'une entrevue entr ■ M, le ministre Helleputte et M. de Kerchov ■ d'Exaerde, au cours de laquelle l'honorab! I gouverneur de la Flandre orientale s'est op ■ posé, au nom de la province, à toute ces ■ m de territoire, confirmant ainsi, ave ■ plus de netteté, le vœu émis par la Com H mission gantoise. I Mais le texte même des délibérations d ■ tette commission était, jusqu'à présent, de ■ iceuré secret. Lorsqu'on nous disait que 1 ■ Commission gantoise s'opposait à toute ces ■ sion de territoire, nous ne savions donc ps ■ si c'était là une opinion unanime ou si le ■ résolutions votées dans ce sens avaient él ■ plus ou moins longuement discutées. 0 ■ concevra aisément combien ce point a d'im ■ portance pour Anvers. ■ Or, il vient de nous être donné de feuil ■ te le compte rendu sténographique de I ■ '"wsÊ séance du 15 novembre 1912, doi ■ mus parlions tout à l'heure, séance au cerai ■ de laquelle l'opposition de la Commissio ■ s est manifestée par le vote d'une résolu ■ (ion dont voici le texte intégral : H Sous réserve d'examiner les propositions s ■ rieuses qui seraient faites aux communes et à ■province, le comité de la rive gauche croit êb ■ i organe du sentiment dominant en Flandre orîei Haie en déclarant que la province n'est pas fav< ■S- en Pr'nciPe> à la cession d'une part du te KS comprenant une portion de la rivé gaucl ■Je l'Escaut, à la province d'Anvers. I 'Y'f 'ec'eurs constateront tout d'abor ■ jue les termes de cette résolution sont re ■ ""veinent modérés. Sous réserve d'exami ■ h't ^opositions sérieuses qui seraiei ■ j 31 ej aux communes et à la province, dit 1 B,™"931011 gantoise et, loin de s"oppos( I ^ilaieat, elle déclare simplement «n'c ■ 1 pas favorable en principe». Mais, ce qi ■ t'a -u S1?iificat'if encore, c'est que ce vœ ■ v?^l(l^'après une laborieuse dis ■un™*? ou P'usieurs membres se sont prc I n «\en ?veur de l'annexion à Anvers. ■vr, i07„vrai (!ue cette séance du 15 noveir ■ J est antérieure à la démarche fai! ■ 3! ffoi'ù - k°ve d'Exaerde auprès c ■|Pm-ri!eP^tte et qu'elle est antérieure éga Bd« t„l,„ décision prise par le ministi ■te ; r„aux, Publics de creuser un tunm ■moins i]n'aU!' ?is ces. débats n'en sont pE ■c'est inco-s intérêt pour nous ( ■L résume/°Uri*U0' n0US al'ons ^cfier c ■êtii C^an?e' Présidée par M. Verhae ■ %'sonTie t16n les députés Nobel ■PermaTnt! v aei?donck' MM. "les déput< I M. D'Hacn^ ®fwi'ghen et Van der Lindei I <loir, ÏS' le maj°r Borin et M. Dutoi ■début'do i, !fe* APrès avoir annoncé, a B- ministre f8' la décision prise par î Bles fonciinn • vaux PUÎ3iics. de nomme ■te memwc ire? Souvemementaux coir ■«ous dÏvo 1?- a Commission - ce qi ■pread auTfL1 mter,êt «P*» M. Helleputl ■'•Verhpf"^ ux de. cette commission -■c%: c„,n-a P°sé ainsi la question à dis ■mstallatinp LapP?rtiendront les nouvelle ■auclio1) C ari^irnes à créer sur la riv ■ l'Anvers nn v ,es annexées à la vil ■tend-eil,, ioa ?? !a Flandre orientale er Baisser eniaL mr Pour elIe et ne V- I S n i ? son territoire?» l«Ue f^°5(a •exprimé aussitôt l av 1^41» rien céder a Anvers. L< ■'.it ie laj. ,r nays de Waes, a-t-il dit, tier ■fal motif rii,iir ^men t suivant: «Le princi Beat rien r'oJi ,e^el la rive gauche n'ot B!'011, enlevnnt Jalousie d'Anvers.(?) E ■ territoire ri0C(; mcîtif> en cédant à Anvei ■'files instalinfm rive ëauche où les non B1'^. Alors ut marit:imes seront éta B°i8 ea vain .i reXendications que nous fai B^illies faciipmU1? si lon8ternps seront ac ■aP°iatK^nU. Mais' si l'on se plac BlFovince et du" n m^érêts généraux de 1 BWrdoir rinn S Waes, poursuit J ■?«s f ne pouvons, semble-t-i B beau rïiopp^61 Ie ce <ïui deviendra B duo rm« notre territoire, d B°ir l'exploiwULavonsPe de pou I ces m ^ nous-memes. mo^, M. yermeire se lève et ri é pond: «M. Dutordoir parle d'une chance - pouvoir exploiter. Je suis de ?.on avis < - nous ne devons rien céder, SI CETTE CH.4 e CE EXISTE; mais qu'on me la montre, « il possibilité d'exploiter. Je ne vois pas b s comment la commune de Zwijndrecht po1 î rait avoir les moyens de le faire. Peut-ê s M. Dutordoir pourrait-il nous fournir - données qui prouveraient la possibilité d' n ploiter le nouveau port à l'intervention - la province? n II se pourrait,répond M. Dutordoir, qu'i s société privée demande à s'en charger. D e ce cas, le Pays de Waes et la Province tireraient tous les bénéfices, sans charj e M. Persoons prend 1a parole pour eons a ter que'la discussion est, d'après lui, prér e turée. Les installations à créer plus tard - la rive gauche ne peuvent manquer dV e productives et, dans ce cas, ce serait î< - de céder anticipativement ces terrains J r ville d'Anvers. «Mais, Messieurs, au-des - do ces considérations se trouve l'intérêt néral du pays. Il est évident que si la c s sion était une condition sine qua non d( e création des installations maritimes de e rive gauche, et que ce port ne pourrait e creuser qu'après que cette partie de ne - province fût devenue anversoise; s'il é - démontré que ni la province de la Flan c orientale, ni les communes de la rive g: - che, ni les efforts combinés de ces d pouvoirs administratifs ne pouvaient arri e à exploiter avec quelque chance de suc - ces nouvelles installations, il faudrait b a s'incliner et passer sous les fourches c; - dines.» ,s M. Borin intervient: Les habitants s Pays de Waes sont unanimes à deman ,é l'incorporation d'une partie du territoire n la rive gauche à la ville d'Anvers. M. Van der Linden déclare ensuite qu< question ne se posera que «lorsque la c _ pure de Ste-Marie aura été faite et q a aura été construit des quais aussi favo tf, hJe^-qu'à. Anvers icuîme».;. Nous avouons •k rien comprendre à cotte déclaration, n il M. Van der Linden nous révèle aussitôt t _ te sa pensée en ajoutant ceci: «Peut-« des organismes nouveaux se lèveront, ca bles d'exploiter les nouvelles installatù î- Nous ne pouvons donc céder prématurém la de peur de faire un marché de dupes.» Des «organismes nouveaux» dit M. 1 J" der Linden, qui — ne l'oublions pas — r. le bras droit de M. Helleputte. Et cela a ie dit le 15 novembre 1912. Nous voyons d que le gouvernement songe depuis plus à an à un nouveau système d'exploitation d port d'Anvers, dont M. Corty nous a do - la première formule. Mais poursuivons, - la place nous fait défaut pour nous pem tf tre de longs commentaires. a M. Verwilghen déclare, après M. Vern ■r re et après M. Persoons, que la question fort délicate et qu'il hésite à se pronom îi Si je voyais la possibilité, dit-il d'explo u convenablement la Tête de Flandre e Borgerweert, je serais le premier à écai i- toute idée de cession. Mais je constate depuis 1830, le Borgerweert et la rive g i- che se sont trouvés dans une situation ; ,s déplorable, que jusqu'à présent nous n'av [e pas vue s'améliorer. Et plus loin: «Nos pulations semblent don^ avoir quelque î •e son de dire «pourquoi ne pas céder ce t ritoire? Si depuis 50 ans on avait prh is parti, nous aurions déjà une ville sur la î »t gauche, des communications convenablet le seraient imposées et tout le Pays de W, oui, toute la province y aurait trouvé gr _ profit.» 3) Puis, répondant à M. Dutordoir qui a1 •g parlé d'une société à créer: «Ne crovez \ i, Messieurs, qu'il sera si aisé de cohstit une société particulière qui construirai u port nouveau de la rive gauche et y créei 1. une ville nouvelle. Anvers permettra-,r jamais l'établissement d'installations im _ times concurrentes? Je ne vois donc ] ù pour le moment, comment on pourrai e bref délai mettre notre rive gauche en _ leur, à moins de la céder à Anvers.» En dans sa conclusion. M. Verwilghen est iS que la cession est indispensable pour ol e n.ir /I00' Que ce soit pour la rive gauchc [e n'hésiterait donc pas à céder dès mair _ nant. ls M. yermeire revient alors à la parole p établir une distinction importante. En ef is la question de la rive gauche est double: !S a d'abord la construction d'une ville n _ velle en face d'Anvers; et il y a ensuite _ construction de murs de quais, beauci _ plus en aval, dans le coude de Ste-Ma h Quel est, de ces deux points, le plus imp tant? M. Nobels député de St-Nicolas, répo - «Je suis d'avis, dit-il, qu'on a intérêt \ - médiat à céder tout le terrain -néces:ai." _ Anvers; on ne parle pas, pour le moment, e la question du port nouveau, mais de a création de la nouvelle ville. La question 1. port doit être tranchée après.» Sur quoi 1, Persoons se montre fort inquiet: «Ce qt lo veut nous faire céder, dit-il, ce n'est î u seulement le Borgerweert, ce sont aussi - territoires plus au nord où se développer les installations maritimes. On a beau e > qu'Anvers ne réclame que le Borgerwei ril est évident que la Ville ne se résigm pas à abandonner le gros morceau prodi tif. Laissez-la prendre un pied chez no elle en aura bientôt pris quatre. Personn lement, je suis d'avis qu'il ne faut pas cée: 2 à moins que, ainsi que je l'ai dit 'il î quelques instants, notre thèse ne soit ma festement contraire à l'intérêt général.» de Tel est 1q résumé de ce3 débats. ;ue Au 15 novembre 1912, l'opposition à to .N- cession de territoire était donc bien 1 ;tte d'être générale au sein de la commiss ien gantoise. Et nous serions presque tentés or- croire que, si cette opposition a été renf tre cée- depuis, la faute en est au gouvernem* des En effet, nous ne pouvons nous empêcl 3X- de faire ici une constatation: Pourquoi de Helleputte a-t-il jugé nécessaire de fa entrer, au début de 1913, des fonctionn ine res gouvernementaux dans cette comn ans sion du Conseil provincial de la Flâne re- alors qu'il Semble même ignorer l'exist ;es. ce de la commission de la rive gauche ér ta- nant du Conseil communal d'Anvers? ia- On nous répondra à cela qu'il existe sur Anvers un organisme du gouvernement ;tre la Commission intercommunale —qui a >lie question de la rive gauche dans ses att , la butions. sus Cela est exact; mais la situation n'en gé- Que plus complexe. Voilà donc un gouv es- nement qui, pour résoudre un problème, . la soumet l'étude à deux commissions difler la tes, l'une provinciale et l'autre intercomn se nale, l'une anversoise et l'autre ganto ,tre composées de personnalités différentes [.ait ayant des tendances contradictoires? Et cl jj-e se singulière, alors que les bourgmestres lu_ toutes les communes anversoises sont îux Présentés au sein de notre commission ver tercommunale, les bourgmestres du Pays cèg Waes, qui ont aussi leur mot à dire, en so ien | me- ne figurent pas tous dans la commiss iu- gantoise. Ainsi, certains des plus gros in |ressés ne sont même pas appelés à se p du | noncer! der | Qu'en résultera-t-il? Nous verrons la cc mission gantoise émettre des vœux et résolutions qui se trouveront en cont , ja diction sur plusieurs points avec les r )U_ ports et les conclusions de la Commiss u-jl intercommunale. Et la question ne sera ra_ mais tranchée.- il6. Si le .gouvendaient yèot entrepren làig sâinement l'étude dit problème, son ' de\ 3U_ est de le soumettre à une seule et uni< L{re commission, qui ne dépende ni du Corn pa_ provincial de la Flandre, ni du Conseil cc ^ng munal d'Anvers. Cette commission d'éti enj devrait grouper 'indistinctement tous intéressés: MM. les gouverneurs et les ha ^»an fonctionnaires des deux provinces, M. bourgmestre et les hauts fonctionnai d'Anvers, les bourgmestres et les pers onc Ilf,'ilés de toutes les communes waesien 'un et anvers°ises, intéressés à la question . les délégués du gouvernement. £ Or, cette commission existe: c'est la cc _ mission intercommunale, à laquelle il s . lirait d'adjoindre M. le gouverneur de ' " Flandre et les bourgmestres du pays . Waes. p1" Ceci nous amène à notre conclusion qu ' résume en trois points. ifjp ^'ous protestons contre l'importance d' . '' née par le gouvernement à une commiss issue du Conseil provincial de la FI and n ^ laquelle il envoie des délégués, alors q semble ignorer la commission émanant ~ Conseil communal d'Anvers. Nous prions le gouvernement de placer on» point de vue gouvernemental, ces deux cc P?" missions sur le même pied en les mett ai~ an second rang. ev~ Nous lui demandons de soumettre l'éti " clu problème de la rive gauche exclusi 'we ment à la Commission intercommunale, ' y adjoignant, pour ce seul point de son p les gramirie> m. le gouverneur de la Flan ina orientale, les hauts fonctionnaires de et province et tous les intéressés, bourgm ait très et personnalités, du Pavs de Waes,q )as> serait injuste d'écarter de ces débats, uer De cette façon seulement nous aurons 1' ; V?~ poir d'arriver un jour à une solution, f r, Panura tri- r- Courrier des Pays-B« va- (Correspondance particulière du Matin.) me La re'ne e" Fr'Se* — i-e "budget de la gue — Un bourgmestre socialiste. — Electi ! et " Rotterdai;'1» — Les régents aux Indes. je_ Excursion de journalistes. Amsterdam, 18 .ianvie. 3ur L'hiver est la saison du sport frison fet, excellence, le patinage. Il ne gèle pas à pi' jl y fendre, mais il fait assez froid pour que du- prairies inondées, sur l'ordre des dirigeants , j„ "ijsclubs" — les cercles de patineurs — so prises et que des pistes lisses à souhait so offertes aux Frisons et aux Frisonnes, ade; rie. fervents, autant les unes que les autres, du or- tin. C'est par couples qu'ils évoluent le ] souvent avec une grâce particulière décril n(j. merveille dans les vers classiques de Toi: ■ ' que vous avez appris à réciter en classe a , bien que nous, sans doute: e a de Zij rijden en glijdea en snijden door 't ij; i la En ijlen en zeilen het spiegelglad grijs, du Hij snort haar vooruit met een zwieren M. [ zvvaa •on En vangt haar weer op met een krassen [draa uo Zij zwieren en gieren het baantje ten enc 'es En wiegen en vliegen in de opene tent, ont En lilinken en drinken en leggen eens aa tire En waaien en zwaâien opnieuw iangs ;rt: ibaar ;ra La reine Wilhelrnine est partie de La Ha; iC_ vendredi matin, en train spécial, pour Lee ns warden en vflfe d'assister à un des nombre , concours de patinage. Ces concours sont 1 e* fêtes populaires par excellence en Frise. Ve er, dredi était jour de marché à Leeuwarden. L'a / a nonce de l'arrivée de la souveraine avait f ni- accourir plus nombreuses encore les popul tions de la banlieue dans le chef-lieu de la pi vince. L'accueil fait à la reine fut très entho siaste. Après avoir déjeuné au gouverneme provincial, chez le baron van Harinxma th Plu Slooten, elle s'est rendue au club de la Bleeke ion straat, où treize couples prenaient part, à de concours. Elle avait joint au premier prix 3r- de 80 florins — deux montres en or, et !nt. deuxième prix — de 40 florins — une tafc ler" tière en argent pour le gagnant et un sac vr argent pour la gagnante. Le soir même, la reine était rentrée à ire uava _ ai- » :is- * * 're, Quand je vous ai parlé cle l'appoint nëeessa. ?n- des voix socialistes pour former une major aa- de gauche à la Seconde Chambre, je vous ai i que' c'est au scrutin sur le budget de la guei à que seraient soulevées les premières difficult< - Le cabinet libéral extra-parlementaire devr jx rendre possible un vote affirmatif de l'extrêm 1 . gauche malgré son antimilitarisme de princi] D'autant plus que l'expérience ancienne a d montré que c'est à propos de crédits rnililaii est que les anlirévolutionnaires ont toujours le pl er- de chance d'abattre un ministre libéral, en Cette occurrence ne s'est pas présentée ce! ?n- fois parce que le budget défendu par M. Bc lu- boom, ministre de la guerre dans le cabinet C< ise van der Linden, n'est en réalité que celui .1 1'6s:-mmistre Colijn de l'ex-cabinet Heemske: !" Le temps a manqué matériellement à M. Bc 0" boom de transformer en projet de loi les idd ue particulières qu'il a sur notre organisation mi re- taire. Il a donc repris, en majeure partie, le ti in- vail préparé par son prédécesseur. Tens de compte de cette circonstance de fait,les libéra m- et les radicaux n'ont pas voulu faire de repr jon ches à M. Bosboom de ce qu'il ne réalisait p leur programme commun. Par contre, 1a. dro n~ était moralement obligée de voter un budg qu'elle n'aurait certes pas rejeté si M. Col; avait encore été là pour le défendre. Et du co m- les socialistes devenaient libres de manifesl des leur antimilitarisme de principe autant que ti ra- ditionnel. jp_ Le budget de la guerre a été voté par 55 vo ion dp gaucbe et de droite, contre 12 voix soc: ;a_ listes. La morale de cette histoire a été tirée j . Louis Iiarmaekers, l'excellent caricaturiste h Jre moriâta. du '•Telegraaf '. Troelstra» le leader s °u* cialiste, et Duymaer van Twist, un leader de lue droite, sont en présence. "C'est gai, n'est- seil pas, demande l'un, de pouvoir voter contre!" iin- "C'est emb... nuyeux, n'est-ce pas, fait l'aut 1(10 de devoir voter pour !" les qltc, DUYMAÉR: Prettig hè - dat je teaen moi , sternmen! L ï HOELSTRA: Beroerd hè - dat je vCCr mo les stemmen! nés * •' ■ Croyez que si les douze voix sôcialisi avaient été nécessaires au cabinet Cort van c •m- Linden pour son maintien au pouvoir, elles uf- lui auraient pas fait défaut. la M. Cort van der Linden ne vient-il pas nommer un socialiste bourgmestre de Zaa dam? : En effet, le ministre de l'intérieur vient faire signer par la reine la nomination en qt lilé de bourgmestre de ce petit port voi: ?n- d'Amsterdam, de M. K. ter Laan, député soc. ion liste de la Ire circonscription de La Haye — c :, à cumulera, a-t-il dit, les deux fonctions" u'il La majorité du conseil municipal de Zaandi du se recrute parmi les éléments d'extrCme-gauc et te ministre a appliqué le principe — chei au Dr Kuijper quand il s'agissait de remplacer c bourgmestres libéraux par des bourgmestres * " la droite -— que le premier magistrat doit êl an1, un ami politique de la majorité des conseille municipaux et des éehevins, tout en étant lde fonctionnaire dépendant du gouvernement. Bi ve- entendu, Dr Kuijper proteste aujourd'hui com en la nomination du premier bourgmestre socialii PO- que nous ayons aux Pays-Bas. Le principe qi (jre défendait autrefois ne s'applique, à l'en croi: ,(»„ qu'aux partis anciens. Les socialistes sont e clus de son bénéfice parce qu'ils sont anticor e°.~ t.itutionnels d'essence, révolutionnaires, rép 1111 blicains... Ouais!... comme si certains réactio naires ne combattaient pas autant notre Cons es- tution libérale — mais pour d'aeitres raisons dans un autre but — que les socialistes eu e mêmes? D'ailleurs, M. K. ter Laan, dans une intervii publiée par l'organe socialiste officiel "h Volk". a fait des eléclaratiôns qui paraissent, ti a S satisfaisantes: "Je suis socialiste, j'ai été noi mé comme socialiste, mais je n'entends p comme bourgmestre me mettre à la tête u 're. ouvriers socialistes de Zaandani- Je serai le et ons de toute la commune et je défendrai l'intéi général sans considération pour une personn ïité quelconque... " Dans les conflits du travail, le bourgmest comme chef de la police doit rester stricteme ' neutre. Les socialistes ne demandent pas qi >rrê mette son autorité au service des ouvrie; 'jes comme nous ne permettons pas qu'il la mette de service des patrons. Où l'ordre public sera tro [enj blé, il devra être rétabli. Les socialistes ne d ieni sirent pas, naturellement, que la force brûla >tes Ie "vuistrecht", soit remise en honneur. pa_ nous sommes tous convaincus que la lutte éc ,lus nomique n'est pas à gagner avec les armes d e barbares (sic)... ens " Avec du tact, de la pondération, du b issi sens, et surtout avec le respect strict des dro légaux de chacun, on peut arriver à de fort bo résultats." ;, Voilà qui est fort bien parlé. Attendons mai tenant M. K. ter Laan à l'œuvre. den i, » den * * i; Au ballottage, le candidat libéral, M. le pr fesseur B. D. Eerdmans, a été élu député de n troisième circonscription de Rotterdam, p de 2,390 voix contre 1,784 voix au candidat cath i. lique, M. P. Stulemeyer, —MMIMI»—!■! l'I ■ 'e,| Je vous ai dit qu'au mois de juin dernier le u- candidat libéral avait été élu au premier tour jx de scrutin contre le candidat catholique et es contre le candidat Socialiste. Certains journaux n- de droite tirent de la nécessité, cette fois, d'un n- double scrutin, la conclusion que l'enthousias-lit me libéral des élections générales est en forte a- décroissance; mais l'antirévolutionnaire "Rot-o- t.erdammer" et lo "Standaard", l'organe de Dr u- Kuijper, nous apprennent -f- maintenant que la nt. bataille est perdue — que l'enthousiasme n'est oe pas plus vif à droite pour regagner le terrain r- perdu. Ils font entendre que les antirévolutlon-un naires — décimés en juin alors ejue les catho-— liques souffraient peu des victoires libérales au — auraient dû obtenir la canelidaturo de Rot-a- terdam III. Leur homme aurait-il eu plus de en succès que M. Stulemeyer ? Ils me permettront d'en douter. La D'ailleurs l'élection législative de Rotterdam III est moins intéressante que la double élection municipale de Rotterdam IV, qui aura lieu mercredi. Voici pourquoi : re A la, suite dos élections de juillet dernier, le lé conseil communal de Rotterdam comprenait jit 21 représentants des partis de droite contre 17 Te représentants des parfis de gauche. Les deux sièges en compétition appartenaient à la droite, jij Si les candidats libéraux A. Robertson et Th. e- P. LOhnis étaient élus mercredi, les deux grou-)e. pes se balanceraient: 19-19. De plus, une nou-velle élection communale est en perspective où .es la lutte- se livrera autour d'un autre siège de droite. Un double succès rendrait la majorité à la gauche: 20-18. le Qué donnera le scrutin de mercredi. MM, s_ A. Robertson et Th. P. Lohnis ont obtenu un irj joli chiffre de voix au premier tour, moins de d ' suffrages cependant que leurs compétiteurs de droite. Les candidats socialistes ont été élimi-; ' nés! Que feront leurs électeurs ? Les uns leur "" recommandent de se désintéresser des élec-,j tions. Les autres veulent les laisser libres de ; ~ voter ou de s'abstenir. Ce qui importe, ce se-a7 rait un vigureux effort de tous les éléments libéraux. UA , 0- » n ^ Le gouvernement colonial vient de prendre ; une mesure d'une portée considérable, ainsi qu'il appert d'une circulaire adressée aux ré-■J sidents de Java et de Madura. On sait que, jusqu'à présent, les régents, c'est-à-dire les " princes indigènes, se succédaient de père en fils. Dorénavant, il n'en sera plus ainsi et, pour .. succéder à un régent, ce ne seront plus les iX' liens de parenté qu'on considérera, mais bien a" les capacités. du titulaire. Dans une précédente circulaire, datée de ,ar 1900, le gouvernement colonial avait déjà in-sisté Sur le rôle toujours plus difficile et plus o~ délicat des régents à présent que l'évolution la se fait sentir dans nos colonies et qu'elles seï ce développent constamment. Il faut nécessaire-~~ ment, à présent, qu'une plus grande respon-re> sabilité incombe aux fonctionnaires indigènes et tout particulièremet aux régents, que ceux-ci soient à la hauteur de leur tâche. ■ht ■ La circulaire stipule ensuite les capacités exigées pour pouvoir prétendre aux fonctions ■ St de régent, parmi lesquelles nous citerons la plus importante, notamment la parfaite connaissance de la langue néerlandaise. Il va sans dire que des modifications aussi ;és radicales rie pourront être réalisées en une fois. [er Aussi des mesures transitoires ont-elles été jîè prises afin d'adoucir les effets de cette disposition importante. , » de » » n- Dans les milieux commerciaux, industriels de et agricoles on s'efforce depuis quelques jours a_ — dit notre excellent confrère, la "Gazette îin de Hollande", qui vient de se développer ea-a_ core en se doublant d'une édition anglaise — ,Ui de réunir un capital destiné à permettre à un certain nombre de représentants de la presse néerlandaise, ainsi qu'à ceux des grands jour-Jje naux de l'étranger, de faire un voyage dans , notre archipel indien. Vu qu'en automne,-(du mois d'août au mois d' de novembre 1914) une expositiou coloniale w très intéressante sera visible, à Semarang, et .J: qu'ensuite à Batavia auront lieu un congrès international du caoutchouc et un 3 exposition ' : consacrée à ce produit, cette visitj offrira un double intérêt pour les journalistes européens qui, tout en admirant-les merveilleux paysages de l'île enchantée qu'est Java, pourront se ren-dre compte des progrès immenses réalisés dans ■£' nos colonies depuis ces derniers temps. Cornelis LES FAITS DU JOUR x- !W AU MEXIQUE iet ès Voici le texte du décret par lequel le prési- n~ dent Iluerta a suspendu le service de la Dette: as es Considérant qu'en raison des circonstances ef anormales dans lesquelles se trouve le pays, 'ét les recettes ordinaires ne suffisent pas à eou-a- vrir les dépenses exigées par la pacification nationale, et qu'il est de nécessité urgente de re continuer à faire face aux dites dépenses jus-nt qu'à l'obtention du résultat que le gouverne-i'il ment se propose; et. en vertu de l'autorisation accordée à l'exécutif par décret du 17 décem-îu bre 1913 expédié par le congrèj de l'Umon, u- Il est décrété ce qui suit: é- Article 1er. — Le service de la Dette natio-te. nale est suspendu pendant six mois. El II est bien entendu que les sommes qui de-o- vraient être payées pendant cette période pro-es duiront un intérêt au même taux que les obligations dont elles proviennent. an Article 2. — A partir de la date de publica-its tion de ce décret, les droits de douane devront os être payés en espèces"aans les bureaux fédéraux correspondants. n- C'est à la suite de ce décret, adopté brusquement au milieu des négociations financières engagées à Paris par M. de La Lama, ministre des finances, que celui-ci a donné sa démission. 3" Le président Huerta l'a refusé j et rappelle M. r(a de La Lama à Mexico. Néanmoins des négo-! ciations seront poursuivies pou^ régulariser la ( situation créée par le coup d'Etat financier du

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Dit item is een uitgave in de reeks Le matin behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Anvers van 1894 tot 1974.

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