VIHDMBJ 24 MAM Itli {Idltion f. L. t.l N' 491 Câ.\Q CÈt%TiWKS JLJR XtMKHV 32-* ANNÉK. W * LE MESSAGER DE BRUXELLES ânn»,»rm™«mn ! BRUXELLES ET PROVINCE | itr 1.30 par mou L«s abonnements prennent cours le i" de chaouc mois On s'abonne dans tous les bureaux de poste du pays. RENT OELMOTTE Rédacteur en chef: CHARLES DESBONNETS Administration et Rédaction : 45, rup du Marché-aux-Pouiets, 45, BRUXELLES PUBLICITE (Consulter notre tarif en dernière page) COMMUNIQUÉS La Manie de l'Exagération &LLEMAMB Berlin, 23 mars. (Oom m unique de mdi.) Théâtre de la guerre à l'Ouest Notre suQcès du bols d'Avocourt a été complété par l'occupation des peints d'appui où les Français s'accrocha ent encore sur le plateau au sud-ouesi Haucourt. Nous y avons capturé 440 prisonniers environ. Au demeurant, la tuation générale n'a pas changé. Théâtre de la guerre à l'Est Hier, pendant tes heures de la et de la nuit, l'offensive russe s'est fhanifestée particulièrement violente. Av2c do gros effectifs, les Russes ont dét ché plusieurs attaques contre les { tions que nous occupons, dans la tète du pont de Jakoustadt, des «eux 1 du chemin ds fer de Mitau à «lakobsladi. A quatre reprises, ils ont assailli nos lignes au nord de Widsy. Tandis que, sur le front nord-ouest de Postawy, où te nombre des prisonniers amenés par nous s'est relevé à 14 officiers et 889 homr» ils renonçaient à toute tentative d'attaque un peu plus importante, à cause de leurs immenses pertes sanglantes probablement, ils se sont, entre les lacs Narbcz et Wiszniew, rués au combat à plus»' reprises avec une impétuosité nouvelle. Mais en face de l'inébranlable défera, allemande, ce gaspillage de sang et do munitions n'a. valu aux Russes aucun : avantage, si minime fût-il, ni à la suite j Ry$$£ de ces attaques, ni dans différentes entreprises localisées qu'ils ont tentées en d'autres endroits. Dans les Balkans Pas d'événements particuliers. —»— AUTRICHIEN Vienne, 23 mars. (Communiqué d'hlûr.) Front russe H»er, presque sur tout le front nor il y a eu recrudescence d'activité de ia part de l'adversaire. Nos position subi le feu de l'artillerie ennemie. Sur ... Strypa et dans la région du Kormyn, ges régiments d'infanter'e russes ont attaque; partout, ils ont été repoussés. Dans ia Gailcie orientale, à l'occasion d'une de jee tentatives d'attaque, un détachement russe représentant l'effectif dun bataillon a perdu.3 officiers et 150 hommes morts et 100 prisonniers ; de notre côté, quelques hommes seulement ont été blessés. Front italien La journée d'hier a été calme. Front du Sud-Est Rien de nouveau. Vienne, 23 mars. (Communique midi.) Rien de particulier à signaler d'auc. » des trois fronts. FRANÇAIS wrtffimwfiwrtgP* ^.tiouliôr lancourt-Esnes-côte 304, .t violent sur le mamelon d'Haucou". a rlst de la Meuse, bombardement intense dans ?a région Vaux-Damloup Aucune action dinfanterie au cours de la nuit. Nuit calme sur le restant du fwt paris, 22 mars. (Communiqué de 23 heu- So aux dï?a !« l^ X^He la région da Steenstraete Aui nord de l'Aisne, nou» avons canonné le ^"^L. ETRANGER ANGLETERRE àû„tTTU LA SANTE DE M. ASQUITH I ondres 22 mars. - L'état de tante de M.ttte va s'améliorant. L* malade . le gouvernement aoinnaux aoemandé aux compagnies de navigation de donner les ordres nécessaires pour que leurs navu es | quitter la chambre (rui transportent des vivres entre Constan- * £a et Constantinople, interrompent immédiatement leur voyage et rentrent dans les ports roumains. Le gouvernement roumain allègue connue motif de cette medans œ6 derniers temps des FRnfrrF NATIONALE AGRICOLE iM^deteSituer à Bellort une , La Chambre ^SeJ^u»^a^^ô j AMBR|Q||E Drteaux^io^oins auraient été torpillés . r. *. '.4., les batteries adverses et_a oc- La police ne fait Pas toujours ce qu'elle devrait faire en telle occurrence, j'en conviens, mais il arrive cependant — j'ai Hé plus d'une fois témoin du fait — qu'un agent intervienne Jpar exemfle jpour empêcher un charretier brutal d'assommer à coups de manche de fouet sur la tète ou de meurtrir à coups de pied dans le ventre tun Pauvre cheval succombant sous la charge trop lourde qu'on lui imposait. Savee-vous ce qui arrive dans ce cas f Il arrive que le Public, ou une partie dtt public, tout au moins, prend fait et cause pour la brute. Je Parle du charretier, n'est-ce pas ; vous m'entendes bien. Quand Par hasard un homme de cœur appuie l'intervention de l'agent, U se f*ft huer de la foule ; surtout si cet homme de cœur est une femme. Il arrive aussi que l'agent le Prie de se mêler de ses affaires en des termes qui n*ont rien de Protocolaire. Le cerveau des agents Se Police , voye*vous bien, est un peu comme le cœur humain : il a ses raisons que la Raison n* é9Hnaît guère . Quant à la foule, faut-il en conclure qu'elle est foticièrement cruelle? Non Pas. Elle est indifférente, ce qui est pire. visoiremeni plus par-tir ses navires. La compagnie lait savoir que le départ du \ tatre observer^ la généreuse loi in>Ue en . », qui aurait dû | France, sur l'initiative de Jacques-Philippe de Grammonl — et chacun de nous le fourrait, car les atteintes fartées à cette l+i constituent de vrai Si chacun de nous preruüt à tâche et considérait comme un devoir imprescriptible de « Komnguï Wiihelnnna », qui avoir lieu samedi, a été ajourné. — D'après des nouvelles de La Haye,l'Association des mécaniciens de la flotte mari . décidé.'- 3j;«i--^*u4A»-«' ^tn -tJ^ HHSBertó trtcrai de Granttnout , (GÎanuda peha),et sur les hauteurs^ i a combat atteint le plus de violence guerre. On examinerait, aussi dans cet* jui'beUe Persévérance ie M. Rtdk, au- tafd?SUniïdim « moteur d« Pmzo où l'ennemi est parvenu, après une ïongue préparation par l'art.llerie et un conférence 1'aauélioration POÎjf^*^ I ^ ' ietuisaingtem», soutient h »«" rsra*£irsas^^ -eu*;***»**ce*»****,«,*«,- 'X de cette «mftanxse.flag» sfirituel (ff/) des ge»s ï'fv**> Mardi soir, les coin- j ca, les gens fraliques, qui n'ont fas le te*m {r^dëml^meusis; à attendre ^.jq-j» unanimité qu tdi so unes de nos tranchées avances chassé aussitôt par une ytojente DCfitreattaque. Sur a régné hier Carso, un «aime relatif — De La Haye . mandants et les pilotes des navires max- j defaire&usentiment, trouvent le temps ** chauds se sont réunis a Rotterdam, ils fahedgvesfrit. l'aire partir ensemble les navires des grunl des compagnie et de les luire convoyer. [ Us seraient accompagnes d'un remorq-ueux ont décidé de ne pas 6 embarquer avant j Ma{sg. useitsibilité s'émousse dans r toque des mesures suifisantea soient prises. . tensivgU(tte^(mTiav-ieq^. n0us menons. Dans ^fflüto v^^^ j uraisonjlesimfteboHsens, suppléeront un jour à cette sensibilité disparue. Et cela parce qu'à côté des rares apâtr%s pouTC^ ai l7TéTSx"apniê sans fil et pré- \ çui^nsi que M. Ruhl,menaient le bon c

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