Le quotidien

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s.n. 1916, 06 Maart. Le quotidien. Geraadpleegd op 18 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/dv1cj88q44/
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r toute! les communication! Ï3 e pas le linge ntageux Adresse A LA Directioa uénénle du "Quotidien» US, boulevard Militaire les manuscrits non Insérés ne «ont pas rendu». Gaston BONNET, Directeur général. Le numéro Si centimes A. BOGHAERT-VACHE, Rédacteur en chef. Lundi 6 mars iqï6. adresser tout ce oui concerne TjA publicité A ARTHUR LAURENT Administration voi*r la Belgique Rue du Midi, 70 (près de ia Bourse) ï.e journal déclina toute responsabilité quant à la teneur de» annonces* 12101 RUXELLES se Ion, Ison rès 1 .0 if? '771 ï min I12W7 soie lea pf lurea. âbrique de Savon de ia Caserne, B'^^^y i savon mou brun très consistant [Pour grossistes seulement) * iuppi e»siun au £i ais&age par l'emploi dos - PALIERS  BILLES - pour transmissions Accousiieiise c/lplOiueo (fccasoo Pension - ! Discrétion Pri \ uni.itst possible;^ f^^ïlti hernioux et, par s«s nombreux consens, ^ des dépenses inutile». Visite tous les jours, de 9 à 12 heurts 21, Roe aux Choux, 21, Brnselles-Nora et de 2 û 4 heures (maison parrl'u''i"\ii fgà 65, Rue de la Meuse, 65, Bruxelles-Sarm lmpx. U. BONNJflT, UroxeU* Nouvelles de la Guerre BULLETIN ALLEMAND Berlin. 4 mars. — {Officiel.) — Lo croi■eur■ A/oére, commandé par le capitaine de nrveiie, burgrave et comte zu DohnaSchlo-dien, est rentré, aujourd'hui, dans son port d'attache après avoir accompli une croisière de plusieurs mois qui a donné d'excellents résultats. La Mœve ramone prisonniers 4 officiei's anglais, 29 marins et matelots andais et 100 hommes, dont 103 Hindous, Sut appartenu à des équipages de vapeurs ennemis- Le butin capturé par ce croiseur comprend de l'or en lingots représentant la valeur d'un millionde marcs. Voici la liste des vapeurs ennemis capturés et dont la plupart furent coules, tandis quun petit nombre d'autres ont été déclarés de bonne prise et expédiés à des ports neutres : Corbridge, 3-087 t.; Author, 3,496 t.; Trajjeri3,G08 t.; Anadne, 3,035 t.; Dromonby, 3fô7 t.; Faringford, 3,146 t.; Clan Mactavish, 5.810 t.; Appam, 7,781 t.; Westburn, 8,300 t.; Horace. 3,335 t.; Flamenco. 4,6*20 t.; Edinburgh (voilier),1,473 t.; Saxon-Prince, 8,4711. (anglais); Maroui, 3,109 t. (français); Luxemburg, 4,3&> t. (belge). En outre, le croiseur Mœve a, en plulicii!ôte ennemie, serné des pines qui, entre autres, ont fait couler le cuirassé anglais Edward Vil. Berlin, 5 mars. — Front Oued. — Vers le loir, l'ennemi a commencé un feu très vif en différents points du iront. Entre la Meuse et ia Muselle, l'artillerie française a été continuellement très active •ta bombardé par intermittences la region M Douaumonlt avec une violence particulière. Des combats'd'infanterie n'ont pas ou •lieu. Afin d'éviter des pertes superflues, nous avons évacue hier la tranchée enlevée aux Français le ~o février, pres de la maison forestière de Thiaville (nu nord-est de Badonn'dicrj, exposée au l'eu roulant de l'ennemi. Front Lsl, — Dans la région de l'illuxl, une attaque russe qui devait se prononcer à la suite de l'explosion de mines, n'a pu être mise a exécution. Des poussées en avant de détachements de reconnaissance ennemis, eu d'autres endroits, ont été également repousses. Front des Balkans, — Uien de nouveau. LLS AKHUiËS ALLEMAMJES Bruxelles, 2à février. — Arrêté du gouverneur gâoéraJ en lîelgique. — Ar-tiol* lBr . — il est dépendu d-ttUliseï' les Uailca et graïase» végétâtes et aaïuuuiea (preparoea ou à i état luitiu^el) a d autre» tint» quà Wllta de la consommation huuia-iiie, ai elilee eontpropres à celte coiuouuuabios ou peuvent servi* à La fibricatioiis cte pixxiuii* dtsatmes A l'akmeiitatiou komaïue. Le buie-au cwitrai do» hiutea (UeizeiitraAej pourra accoixler dea dispeunee. Art. 2. — ^uicoiiquo tuilreiudi-a lea diapositioiiB èx présent arrête stra puni aoit d uuo amende pouim\ atteindre 5.Ü0U mark et d'uue peino d'empneonneaieiit do à niüis au plus, «ou, d'uco do ces deux peine* à l'exclusion de l'autre. En outre, le* produit» qui formeront l'objet- de Infraction pourront être conüaquéa. Cesï seront jugé«« par les tribunaux nilitaii . avis. — Pour lea «nvoia poat-aux on remboursenaut, daia le* limite» du territoire dcïsservi paritdmiiii3tration des poste» — exception faite dutr»uc avec l'étranger — on devra désormais se st & formates imprimées, aux*iuelie» sont attachés des Bandsts-poste, à rempLir par te deposant. Ges forBulea pourront ôtre oütenue* trè» prochainementàaus las bureaux de puste; olie* «eront de façon perBaatnU.' à la disposition des personnes qui ue fout . du moi;«-ant encaissé. 0«s formules do man ML1SS TAA BRET HAUTE (Traduction TH. BENTZONJ ■ *— J'ai faim, Lissy. Je n'ai rien mangé Depuis le dîner d'hier. Je meurs de faim. Le jeune homm: s'appuya de tout son P01^ à l'arbre, comme s'il tombait d'inanition. Le cœur de Mliss fut touché. Dans les Jours arrièrede sa vie vagabonde, elle avait J0™™ la sensation qu'il simulait avec art. désarmée, mais sans renoncer tout à fait à 168soupçons, elle lui dit : — Fouillez sous l'arbre, à côté de vous, *; vous trouverez ce qu'il vous faut, surtout ^parlez a personne. Mliss avait s-ss dépôts de provisions, ^ûnie les rats e* les écureuils; mais le maî- ene sut rien trouver, la faim probable- \n|UP»vant de l'usage de ses sens. Jas(icyint perplexe. Enfin elle lui jeta de linin à travers les branches, dats-poste seront également délivrées sans frai» par tes hurt aux de poste. A partir du 1erjuillet, l'emploi des formules avec mandats-poste attachés sera obligatoire. En remplissant les formules, le deposant devra déduire du montant du remboursement les frai* d'envoi de» montants encaissés, et ce suivant le tarif ci-après: rtemboursemente jusqu'à 6 Al. .•. . . f r. 0.10 »de 5 à 100 M0.26 a do plus de 100 à 200 M. . 0.36». -200 à 400 Al. . 0.60» » 400 à 600 M. . 0.60» » 600 à 800 M. . 0.75 > nonce qu'un certain nombre de jeunes gens cherchent à créer une organisation de jeu-nesradicaux. Des appels ont été lancés partout en vue de recruter des adhérents. LE CARDINAL GOTTI On mande de Rome aux journaux suisses que le cardinal Gotti est très sou ff raat. Sa situation paraît très grave, étant donné surtout son grand âge. Le cardinal a 82 ans. ENVOI D'OR AUX ETATS-UNIS Au coure de la semaine dernière, les Alliés ont , envoyé aux Etats-Uni» une somme de 523,000 dollars d'or. LE BUDGET DE LA MARINE ANGLAISE L'a vautprojet de la marine anglaise publié à Londres samedi prévoit des effectifs de 350,000 hommes. Le poste des divers services porte 17,000 livres comme l'année précédente. Par le fait, le gouvernement a toute latitude. UN EMPRUNT SPECIAL RUSSE M. Bank, ministre des finances, a remis à la Douma un projet de loi l'autorisant à émettre un emprunt spécial de 471 millions de roubles dans le but de couvrirde déficit du budget 1916. III. Moms hostile désormais à ses autres compagnons, Mliss gardait cependant avec Clytemnestre une attitude offensive. Peutêtre la jalousie n'était-elle pas entièrement endormie dans sa petite poitrine .'passionnée, peutêtre était-ce seulement parce que les blanches rondeurs et les contours potelés offrent plus de surface aux coups de gnffe; mais comme de pareilles violences étaient réprimées par le maître.son inimitié prit une forme nouvelle qui échappait au contrôle. Dans sa première appréciation des mœurs .et habitudes de Mliss, le maître n'avait pas imaginé qu'elle eût jamais possédé de poupée; le maître, comme beaucoup d'observateurs perspicaces du cœur humain, raisonnait mieux a posteriori qu'tf priori. Mlisâ avait en réalité une poupée, mais c'était proprement la poupée de Mliss, un diminutif d'elle-même. Sa malheureuse existence avait été un secret que Mme Morpher découvrit par hasard Cette vieille compagne de» course» vagabonde» de Mliss portait des marqué» irrécusables de souffrance : son temt prunatifaavait été depui» longtemps effacé par les injure» du temps et fardé par le limon dc3 canaux : A PROPOS DE L'ACCIDENT D'AVIATION DE JAVA D'après un télégramme des Indes néerlandaises, le lieutenant hollandais Terpoorten, qui a été blessé lors de l'accident d'aviation qui coûta la vie au général hollandais Michielson, est en bonne voie de guérison et pourra bientôt reprendre soin service. POUR LES INONDES Les journaux hollandais annoncent que des sujets hollandais habitant ia Belgique, et prmcipalement ceux résidant à Bruxelles, viennent de réunir une somme de 8,350 fr. qu'ils ont fait remettre au ministre hollandais des affaires étrangères en faveur des victimes des inondations en Hollande. UN INCENDIE DETRUIT LES LOCAUX D'UN JOURNAL Reuter annonce de Providence (RhodeIsland) : Un incendie a éclaté dans les bureaux du Providence Journal. Les bâtiments furent séneusement endommagés. Une explosion suivit l'incendie. Les flammes détruisirent les bureaux de la rédaction. Les pompiers ont réussi à enrayer les progrès du feu. LE COMMERCE DES METAUX L'ofiicieiie London Gazette publie un arrêté défendant le commerce spéculatif des métaux pouvant être utilisés yow la guerre. L'arrêté spécifie notamment que la vente ou l'achat du fer, de l'acier, du cuivre, du zinc, du plomb» du oickel, de l'antimoine, du molyledène, et autres métaux ou alliages» a désigner par le ministère de la guerre ou de la manne, ne seront autorises pour autant que les acheteurs pourront établir que les métaux sont destinés à leur usage personnel. LA NATURALISATION EN ANGLETERRE L'assemblée des Chambres de commerce a voté l'ordre du jour suivant, demandant : 1° que la naturalisation soit rei usée aux étrangers audessous de Z0 ans ayant pris part à ia guerre contre l'Angleterre; Z" que le serment de loyalisme de tout étranger naturalisé soit accompagné d'un cerlincat de renonciation de nationalité délivré par l'Etat dont le naturalisé était sujet; '3U que seuls les Anglais de naissance ou d'Origine anglaise puissent fane partie du Parlement. _— ï^at+B^.. aiiöiss diverses UN TRUST DES TABACS L» Corporation d*t producteur» américains de tabacs vieut d'achoWr, pour trois nullioas^t demi de Uvr*a sterling, l«j usines d*> MM. Öchiuasi irere», fabricants de cijjaretuai. Liât uourp&rlerts août en train pour l'achat de tout* l'exploitation Scbinasi, à KavaLa, en Grèce. LE COMMERCE EXTERIEUR DE L AUSTRALIE L'importation en Italie, au coin* du mou» de janvier 1916, s'est élevé» a 6,«töÜ,üOÜ livres sterling, soit 402,000 livre» sterling de plu* qu en janvioi 1916; l'exportation s est, élevée à 4,826,000 livre» sterling, soit 290,000 livres sterling de plus qu'en janvier 1916. ' LA PESTE A JAVA On » constaté à l'île de Java, du 12 janvier au 12 février 1916, 324 cas de peste. 319 de ces ont été suivi* de décès. Le* chiffres pour La période correspondante de 1916 se mont aient à 1,190 cas et 1,063 décès. Il semble donc qu'U y ait amélioration dans l'état sanitaire de Java. UN TRAIN ARRETE PAR DES OURS Les lignes de chemins de fer qui traversent de» forêts peuplées d'animaux.de toute sorte ont cer tainement- un attrait pour le voyageur, mais elle» ont aussi certains inconvénients. C'est ainsi qu'un train express d'une ligne américaine vient de subir un retard considérable par la faute de deux oun Ce3 animaux s'assirent sur la voie, où justement un train arrivait à toute vitesse. Le mécanicien ralentit sa marche, et mit en mouvement le sifflet d'alarme. Peine perdue. Les deux our» se contentaient de fuir à une certaine distance, puis, $'aa seyant à nouveau, paraissaient se réjouir de la farce qu'ils faisaient. Il» répétèrent plusieurs foi» ce manège; le mécanicien n'osait cour»: le risqu* de continuer sa route en les écrasant, de peur de faire dérailler le train; et il dut attendre qu« le» deux malicieux plantigrades se fussent décidé* 'à regagner la forêt. bref, elle ressemblait beaucoup à la Mliss du passé. Sa robe d.etoffe fanée était salie et déchirée comme l'avait été celle de sa maîtresse, et jamais on n'avait onterxiu Mliss consoler sa poupée de tant de misère par aucun terme de tendresse. Elle ne la montrait jamais aux autres enfants; l'infortunée était couchée avec rudesse dans un arbre creux près de l'école, et ne prenait d'exercice que pendant les promenades solitaires de sa maîtresse. Celle-ci remplissait sévèrement son devoir envers sa poupée comme envers elle-même, elle ne lui permettait pas le moindre luxe. Il arriva que Mme Morpher, cédant à un mouvement de bienveillance, acheta une autre poupée pow Mliss. L'enfant reçut ie présent avec un mélange de froideur et de curiosité. Le maître, en regardant un jour cette nouvelle poupée, trouva que ses yeux j bleus tranquilles et ses joues roses arrondies offraient quelque légère ressemblance avec Clytemnestre; i\ était clair que Mliss avait fait la même observation, car tantôt elle lui cognait la tête contre les rochers quand elle était seule, tantôt la traînait, une corde au cou, de la maison à l'école et de l'école à la maison. D'autres fois, la plaçant sur son pupitre, elle se faisait une pelote à épingles de son corps patient et inai- LE TUE ET Liù JUTE Les journaux anglais annoncent qu'un droit va être perçu sur l'exportation du thé et du jute dm Indes britanniques. UN MILLIONNAIRE ORIGINAL Il y a quelque temps, à Altona, en Peneyivant^ un homme portant ie «costume d un distributeur de prospectus s'était posté dans une des prancipaiee rues de la ville, avec un paquet de billets de banque qu'U distribuait un à un aux pat^ante. - billets de dix, de vingi, ae cinquante dollars étaient généreusement présentés aux passants. La polie, émue par la nature de ces précieux prospectus, ht arrêter cet individu qui avait enoors en main neuf mille dollar» quand ü entra tu poste. Il déclara se nommer John Smith, mais ce nom. cache celui d'un homme politique ai-chi-nuliounaire, qui avait voulu se donner le plaisir de distribuer une partie de sa fortune au public, persuade que l'autorité prendrait ombrage de cette générosité pee commune et le ferait arrêter. Un voit qu'il ne s était pas trompé. Quel dommage que do aemblables originaux us choisissent pas le boulevard Anspach comme champ d'expérience 1 LES MARIEES EN HABITS ÜE DEUIL Il y a quelques années mourut a Leiiibarg (Au» triclie; un riche propriétaire de mint* œ «ai que, pour em pêcher sa veuve de öe remarier, M avail sa fortune à la ooiulition qu'eu© porteraa*. des vôleinente do deuil d-turant cinq ans. Dix-huit mois après, un jeune mgeaweur demanda '•; dame en mariage, et ta suppna d'abatt* donner sa fortune et de reprendre su dhea-te. Mais celle-ci préféra se marier dans yes vêtements de deuil, et elle les garda jusqu'à l'expiration du temps lixé. Ge fait, quelque extraordinaire qu'il paraisse, n'est pas isolé. La môme précaution fut prise par un vieux fermier d'Essex (Angleterre* qui défendit à sa femme de quitter ses hahits de letMl sous |>2ine de voir- i'héri-Uige passer à un cousin du del un t. L'épouse obéil, mais six mois ne s'étaioni pas écoulés qu'elle se manaii avec un de ses vaietj de fenny, et pendant une vaigiame d'anneos que dura tear union, elle cunüruuï à jorter ses vètôw ments de veuve. Voici puur tier-miner une anecdote lanuk>tique,qui est poiLTtuiit riguureusenusi-t authentique. Uns Polonaise, ayant perdu son mari, se hanca et, u& veille de ses secondes uoees, elle rêva qu'une sorcière hongroise îiui preai^ait qu'elle serait heureuse tanl qu'elle porterait le deuil, ovms que rads'abattrait sur ehe dès qu'elle l'abandonnerait. Ce rûve i'alf.jcta tellement qu'elle suppua son nouveau mari de la laisser porter ses habits de veuve; il y consentit et pendant cinq ans ne m«ai vit. ses affaires prospérer, plusieurs enfants oaquirent; bref, leur union était favorisée du sort. La femme se décala alors a quitter son deuü : le soir même une /oituré d'ambuiaiiee km rappoi* tait ie corpi, de son mari, tué par la chute d'uo poteau télégraphique ! ECHOS LlTTfcftHlftcö, ARTISTIQUES T SGIENTIFIQUFS Le lioman de Henart. — M. Aluiior, proîesseur à l'université de Leide, vient de donner à la öocoe*sUttéraire de cette ville, une uitéréssanbe conleienos sur le ttu/ibun de itenart, cette «puitueùle *atue des classes dirigeantes au moyen âge et sur le tolklore. * * * Mort d'un écrivain américain. — On annonce le décès de James Bates, un écrivain américain as«es eoimu, dont uu des livres: L'art d>: vivre cent ung, remporta m: succes remarquable. J aines Bat-.-* vient de mourir à... 46 uns lî II n'avait probablement pas lu sou propre ouvrage ! #*# .Vos artutz» à l'étranger. — A ia proename soiréa de charité organisée par tes dames de La Haye aa profit des blessés et prisonniers belge», M"» Beitbe Seroen, Lauréate du Couservatou'o de Bruxelles, sa tera entendre dans le» mélodies de Faure, Dup**% Chausson, Gilson et D*bus»y. * - * Le cercle Gœcilia. — On vient de iêter, à ninsie*. dam, le 75eanniversaire de la société Ccecilta, 1% plus puissante association musicale de La vdle. Après un concert grandiose, au cours duquel furer»t interprétées lee œuvres de» compositeurs modernes les plus célèbres, un banquet clôtura dignement- *>S" festivités. * * # Mort d'un sculpteur. — Les journaux uouan»last atuioncout le décès, à l'âge de 61 ana, én sculpte?» G. Ore vela. II avait travaillé à l'oroMneniation de la Banque d'Amsterdam et Je ia gare de La Haye. 11 dirigeait, avec sou collègue Van den Bossche, un talnsr trèsr connu et très apprécié. **ËË9m*m» IS»WIS»Mil m vw^-A^AXtusrtJMS fensif. Etait-ce pour tirer vengeance au h y tiré des avantages» que Clytie pouvait avo>r sut elle, ou i onna «sait-elle par imuilion les ntes de certains autres païens qui. s'imag.nent que l'ennemi dont ils torturent l'effigie languit et meurt? En dépit de ces bizarreries, elle étonnaJt le maître par l'intelligence vive et infatigable qu'elle apportait au travail, de quelque genre qu'il lut.Elle ignorait ies hésitation* et les timidités de l'enfance; ses réponse*! en classe éta«*n? toujours aaearaonnéai d'une sorte d'aucaoe. Il va sans dire qu'elle n'était pas m faillible; mais ïe courage et l'aplomb avec lesquels elte s'élança* bien an c>là de* profondeurs ou eussent osé >e rixjuer les petits nageurs craintifs* de son enUmrage fecHX>rtaient s*ix toutes les erreurs de jtugemeot. Les enfants sou* ce rapport ne valent. pas mieux, je crois. Que les grandes p^rsoi*-nes, et aussitôt que la petit** main rouge **slevait pour di^nxarwier ia paio'e, il sétabliesait un silence, d' admirât:ow; le maître ni> même doutait pa^fc**, en l'écoutant, de sa propre expeneiicé et de sa propre opm»--m. Néanmoins certaines part:cu.ai nés dont ü s'était amusé d'abord commentèrent à '«k inspirer de grandco mquiéludes {A suivre.}

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Dit item is een uitgave in de reeks Le quotidien behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1917.

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