Le quotidien

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s.n. 1916, 07 Maart. Le quotidien. Geraadpleegd op 24 juni 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/599z03062g/
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11 que pas le linge hvantageux 3'année, n° 63. cesser toutes les communications A LA action générale flu "Quotidien,, 148, boulevard Militaire Le» m*" uscrits non Inséras ■ont pas rendus. Gaston BONNET, Directeur général, Le numéro 5 centimes A. BOGHAERT-VACHE, Rédacteur en chef. Ji 7 mars 191b. ADRESSER TOUT CE QUI CONOEIlNB IjA PUBIjICITÉ A ARTHUR LAURENT Administration pour la Belgique Rae âa Midi, 70 (près de la Bourse) î.e Journal décline toute responsabilité quant à la teneur des annonces. LA BULGARIE ET LA VATICAN On mande de Bucarest que le Pape a au< torisé la création d'une ambassade bulgare près le Vatican. LES POLDERS HOLLANDAIS On mande d'Ameland : Le terrible orage qui s'est abattu sur les dunes d'Ameland a fort affecté la contrée. Sur toute la longueur de l'île (20 kilomètres), la tempête du 13 janvier a rogné les dunes de 10 m. 20 à 25 hectares ont été engloutis par les eaux. La mer a enlevé 1,600 mètres cubes de sable. Le nouveau polder a particulièrement souffert. Ce polder, d'une étendue de 2,500 hectares, bien endigué du côté sud, n'est protégé du nord que par des dunes. Et c'est ici que les dunes ont le plus souffert. Si une nouvelle tempête sévissait, il est certain que le grand polder serait de nouveau submergé et qu'on aurait de nouveau à faire face au danger qu'on avai* cru conjuré. A L'ETAT-MAJOR GENERAL SUISSE D'après une dépêche particulière de Zm rich le colonel Egli vient d'envoyer au conseil fédéral sa démission de chef de divisionà l'étatmajor général. >—«»♦«»■ la période correspondante de 1915. INVASION DE PHOQUES Le journal de chasse hollandais Ht Uubtrtut relate que le Petit Belt fourmiJle actuellement d« phoques. On en voit une quantité innombrable etitr» Sleewyk et l'île ALssn, où ils excercent dt» ravagei incalculables dans lea pêcheries. Les fileta des pêcheurs sont constamment déchirés par ces pnoques qui cherchent à en dévorer le contenu. On atwibus le rapport peu élevé de la pêcho au hareng et da cabillaud, cette année, à la présence de ces punipèdes. On croit que le froid intense qui règne da«r* les régions polaires les a chassés vers le sud. ACCORD COMMERCIAL Le gouvernement anglais vient de conclure aveo le gouvernement de Norvège un accord relatif à l'exportation de l'huile d'olives, des tomates et dw zinc, en quanùtés nécessaires pour maintenir is prix de ces produits à un taux normal. SOUPIRANT APRES LA MAIN U L Jas Un Américain, Hiram Crouk, vient cî utteindrt va 1040année. La ville de New-York, qui lui faisait une pension annuelle, considérant que son grand âge l'empochait désormais de subvenir, même dan* la plus faible partie, à ses besoins, vient d'augmen* ter de près du double les rentes qu'elle lui servait. Comme conséquence de cette augmentation de for-i tune, nous apprenons que le vieillard a déjà reçu uon moins de six demandes en mariage de la part de dames d'âges divers variant entre 20 et 25 arwj ** ÉTRANGER «loi [jjouvelles de la Guerre BULLETIN ALLEMAND iwlin 0 macs. {Communiqué de midi.) S?/, de la guerre à M : Vifs comde mul«"s au nord-est de Vermeltes. .^fantene anglaise, qui y esquissa, à piu\Zcs\ reprises, des attaques de moindre eaf ma été repoussee par notre tir. Sur PL est de la Meuse, la journée a été, en Ueral, plus calme que les jours préceCs- iicaiimoins, nous aw>ns t'ait pnson'hier' et avant-hier, 14 oi'Iiciers et 934 -•♦•-< Bruxelles = MIDI«r 11010 BULLETIN AUTRICHIEN tienne, 6 mars. — Co?nmuniqué dyhier : La situation n'a changé nulle pajt. Vienne, 6 mars. — (Com?nuniqué de li.) ronts russe et du sud-est : Rien de nou- 1U. ont italien : Toute action est suspen- îe, depuis plusieurs jours, à la suite d'in- éries ayant amené d'extraordinaires de neige et de pluie, et aussi, dans 'montagne, à cause du danger venant des ivalanches. >m*m < BULLETIN TURC Constantinople, 4 mars. — Le quartier \[inêral mande : Des différents fronts, pas de nouvelles [pgnalant quelque changement important. Constantinople, 6 mars. — Le quartier [ténéral mande : Des différents fronts,, pas de nouvelles [signalant quelque changement essentiel de situation ieux vêtements d'hommes e le plus haut prix pour vêtements ea tan Il à'• * è \â 2 ' ru#Rc98rVandor Weyden,2| fil I âlllA Sonnez 2 fols (Anci»an*ffl« ru« du Mirw) . ZS£ K£NO A DOMICILE AccobgU lei üiplUuiu, ó'J pratique, ks-dji maternité. PensionI époque.— Consu'lal^ Discrétion. Pm uiuM M*'V' De Visscf 91 rue de la Victoire^ ,Porte ii*:Ma"). BnBi CABINET DENTAIRE l'AH 1H4D A. TMPPSSIERS 36, fcfce Pûiiouiè«e SCHAERBBBK CLINIQUE do y à lu li. tous les matins» (dimanche» et lûtes exceptés) ■â £ MhXTRACTlUN 11. PANScMENl * * iMElTOYAGk 3i; DentadrliflCeUü dSùS., i. piac, t. comp. .reparations députa 2QN 06 - llGlti dea-Monnaie» (l'oi te Ue Hui) We Confiance dame UNE COMMISSION DE LA MARINE Le ministre français de la marine vient de créer une commission spéciale pour l'importation et l'exportation, de façon à réglementer le commerce maritime. Un contrôle sévère sera appliqué pour l'usage des navires servant au transport des denrées : celles dont la nécessité se fera le plus sentir devront être transportées les premières. liûiiii GüMüüLTAClüSü Pension à louicép^ ^^ ^ P.dsHi^ >j *3 usWw « Gass Boeten?entirojIfeuilleton du use a/piômée NSI ON 12UVJ un—Discretion modérés apoai (Nord) ton cuir rcrs glaces soie tres irwcles pr I «« chaussures urd (UDtrepôt), (11083 Il n'aimait pas penser à Mliss. Un instinct égoïste, je suppose, lui fit essayer de se persuader que le sentiment qu'il éprouvait pour elle était déraisonnable, romanesque; il alla jusqu'à se dire qu'elle serait mieux dirigée par un professeur plus vieux et plus sévère. Déjà elle avait treize ans,, et bientôt, d'après l'usage de la MontagneRouge, serait une femme. Il avait fait son devoir. Après la mort de Smith, il s'était adressé aux parents de cet homme; une sœur de la mère de Mliss avait répondu qu'elle remerciait le maître, et annoncé son intention de quitter quelques mois plus tard avec son mari les Etats de l'Atlantique pour la Californie. C'était déjà une fondation posée pour le château dans les nuages que bâtissait le maître N'était-il pas naturel de se figurer après tout qu'une femme bonne et sympathique, armée de l'influence que donne une proche parenté, guiderait mieux que lui ce caractère difficile? Cependant, quand il lui avait lu la lettre, Mliss l'avait écoutée avec distraction, l'avait reçue de sa main d'un air soumis, puis découpée avec des ciseaux en personnages qui représentaient Clytemnestre, et sous lesquels elle écrivit : a La fille blanche, » pour qu'on ne s'y trompât point, avant de les clouer sur les murs extérieurs de l'école. L'été touchait à sa fin: dans les vallées, -■- bien pardonnable que ce n'était pas le hasard qui avait guidé ce soir-là ses pieds dociles jusqu'à l'école, se complaisant peutêtre aussi dans le sentiment de la magnanimité'dont il allait faire preuve, le jeune maître surmonta ses répugnances, et alla trouver Mac Snaley. Le révérend fut aise de le voir; cependant il remarqua qu'il avait l'air abattu, — affligé probablement de névralgie ou de rhumatisme? Lui-même avait été pris de fièvre depuis la dernière conférence; mais il avait appris pour sa part la résignation et la prière. Après un moment de silence pour recueillir certaine recette que lui donnait le maître contre la fièvre, M. Mac Snagley entama d'interminables éloges sur sœur Morpher. — Elle était l'ornement de la chrétienté, sa jeune famille promettait beaucoup; quelle jeune personne bien élevée que miss Clytie ! si polie, si douce !.. Il était ébloui des perfections de Clytie, il ne tarissait pas à ce sujet. Le maître se sentait doublement embarrassé; cet enthousiasme paraissait souligner la différence entre Clytie et la pauvre Mliss, et il y avait quelque chose de confidentiel qui lui déplaisait dans le ton du révérend tandis qu'il lui parlait de l'aînée des demoiselles Morpher, de sorte qu'après de vaines tentatives pour dire quelque chose de naturel. DROIT CiVi l)n Léon De Scbepi 171, boükv. m " deâi heür«J Accoucha M*te del-of*'*^ ,.ou.ult. Mi** à la maison. r.deiaî 31 de if* pfvrH eine Ancienne Maison H«nn L ta Oeeî-Ceri ici«n au ing*m»ur*opi hue de iaMaaelelnôf6d,Biux* La Matton na ppa.Les deux ou trois jours qui suivirent, elle condescendit à rassembler davantage aux autres enfants, à être sage, comme elle disait. Il y avait deux ans que le maître habitait Smith's Pocket, et, comme son salaire était minime et la perspective que Smith's Pocket devînt par aventure la capitale de l'Etat assez incertaine, il rêvait un changement. Déjà les administrateurs de l'école étaient informés de ses intentions; mais, les jeunes gens instruits et d'une moralité intacte étant rares et à cette époque, il consentit à diriger encore l'école durant tout l'hiver. Personne d'ailleurs n'eut conaissance de sa détermination, son unique ami excepté, un docteur Duchesne, jeune médecin créole, fixé à Wingdam, Il n'en parla ni à Mme Morpher, ni à Clytie, ni à aucune de ses élèves; cette réticence fut l'effet en partie d'une répugnance naturelle à faire de rembarras, en partie du désir d'éviter les questions et les conjectures d'une curiosité vulgaire, en partie aussi de ce qu'il ne croyait jamais réellement qu'il allait faire une chose avant qu'elle fût faite ECHO SPORTIF Championnat de boxe. — Les championnats internationaux de boxe auront lieu cette année à Lé Haye à la salle Dili gen tia. Le» concours commeoceront le 14 avril prochain. ECHOS LITTERAIRES, ARTISTIQUES ET SCSENTIFIQUFS Théâtre juif. — Le théâtre juif de Wiln», qui avait été fermé au début de la guerre, vient d« faire sa réouverture sous la direction de Kowalski. Mort d'un artiste espagnol. — M. Albert üeloso, violoniste de grand talent vient de mourir. Né à Madrid, il fit ses études au Conservatoire de Parce sous la direction da Massart. Durant onze «os, jft fut premier violon à 1 orchestre Lamoureux. 11 obtint de grands succès à l'étranger, notammemt sut concerts ïsaye à Bruxelles, puis en Russie, en Hollande, en Allemagne et en Suisse. Geloso était en» valier do la Légion d'honneur et officier de l'I^ struction publique. »*# Les fêtes anniversaires Oretio. — Breda vient 1 son tour de fêter l'excellent chanteur Oreiio à l'oo* casion do son quarantième anniversaire artistique* La reine Wilhelmine lui adressa, à cette occasion, une superbe palme accompagnée d'une charmants lettre de félicitations. on avait rentré la dernière récolte, lorsque le maître songea, lui aussi, à faire sa mois* son, en examinant ce que les leçons semées avec tant de zèle avaient produit dans les jeunes esprits qu'il cultivait. Les juges coax pétents qui pouvaient se trouver à Smith's Pocket furent réunis pour la solennité consacrée par l'usage, qui consiste'à emibarras-i ser des enfants timides en les forçant ai parler comme on force les témoins à 1* barre du tribunal. Il arrive immanquablement, en pareil cas, que la hardiesse et le sang-froid sont comblés d'honneur. Le lecteur devinera donc que Mliss et Clytie brillèrent en première ligne et se partagèrent l'intérêt du public, Mliss par la netteté' de ses perceptions et sa confiance en**êlle-même, Clytie par son assurance et la correction parfaite de ses manières. Les autres se troublèrent et firent faute sur faute. Les brillantes réponses de Mliss furent, cela va sans dire, les plus applaudies et obtinrent le plus de succès; les antécédents de Mliss lui assuraient les sympathies particulières de toute un* classe d'individus dont les formes athlétiques s'effaçaient le long des murs, et dont les belles figures barbues regardaient par la fenêtre; mais la popularité de Mliss fut compromise par une circonstance imprévue. (A suivre.)

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Dit item is een uitgave in de reeks Le quotidien behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1917.

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