Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1914, 06 Mei. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 26 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/h707w6874s/
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LE ÏT SIECLE ABONNEMENTS Pour toute la Belgique Un an. «••••• fr. 9.00 Six mois . • • . . . . 4.C0 rrois mois • ••••« Gr.-Duchô de Luxemh. 20.00 Union postale. •••-.•<» 30*00 Directeur : Fernand NEURAY Edition (G h. soir) ï Edition (10 h. loir) Edition 4 (minuit) ANNONCES Annonces ordin., petite ligne . Q.49 Réclames (3« page), la ligne. 1.59 Faits divers corps • • » 4.0© Faits divers fin. . . » 3.00 Réparations judiciaire» » 3.00 Bécffologies « • • « » 2*00 Les annonces sont reçues au bureau du journal 5 sentîmes le numéro léphcnas 35-iG et 36SG Instar-are omnla in Ghristo Rédaction et Administration : 4, impasse de la Fidélité, 4, Bruxelles 1 — LtS N UU VtLLto (JHKUJNigyn La croix de Mai Première communion prlnclère I DU JOUR . Le pran-oe Charles de Belgique, comte de nn«r 1"! fll fîï*t Flandre, fera sa première eommunioo le jeudi iot £111A C'IlCfl.lIIL'iS 14 mai prochain, dans la, chapelle da cfaAteau BAHS L'ARMÉE de Laeken. Nous attirons l'attention de nos lecteurs —-—0>Î<0^<0 " ATunlon Coloniale ™ important rapport de M. de Rroque- T . t Mercredi 13 courant, à 8 heures du soir, se- «lie au Rm a propos des récentes promotions Les enfants qui composent, »u çfeenun officiellement inaugurées les nouvelles au genéralat. Nous publions ce rapport a d entré® du «Mage, de petites chapelles de installation8 de ,.0nion Coloniale belge Fé- notre 4» page. _ _ marche, pou/'û fête de l'Exaltation dé la des 0610168 coloniaux, nie de tas- L|^RA(JX £T ^ s y Sainte Oroix, »ne grande croix toute gemmee séance inaugurale se donnera dans lo L'<Express» écrit que l'accord est formel de corolles Ds savent que c est la otok de b au(}ïtoire de l'Union coloniale belge ; < entre les libéraux de toutes nuances,qui ténu. Peut-être, a part les personnes très 1 i10Q0rée de la présence de M. Een- clament le S. U. pur et simple à 25 ans avec pwuses, les gens de la campagne sont-ils seuls ee s^ra no o^ £ uQ d résiden£e . 1(£ élections }égis. à comprendre bien «mçore cette.fête. etson K L'acorpSdemu.sique du régiment des gre latives. » rôle dans toute la pos0ief .]?j{?Radiers prêtera sou concours à cette ceré- Tiens, tiens! Serai^ce là, par exemple, le • comme des guirlandes autour du mai, 1 arbre pieteia programme de M. Paul Hymans et de son «"n n , . ,, ■, M. Cooreman. ministre d'Etat, président, ami M. Van Hoegaerden? Le «Journal de pet plSfe tem^à soi, l'on pourrlit trouver et le général ïAys, j'^ Bff * ne Pourrtt,ta noua éclairer à 06 8U" particularités Uturgiques bien curieuses *1 ^ ? —.O»— n ai *■ tîr» iè> Jusqu'à ce jour, l'Union Coloniale belge MAITRE CHEZ SOI le TriS" , %s «on numéro a« 5 mai, le «Journal candidats agepts commerciaux et.industriel»: t « JjS^dEftto de son Svfr^Téiève's912"13 et 1 0 vritat;on- H ^°n^m ^oB?t dt' sacrilèges, elle nous rend presque seule cette l'Union Poloni-ile belee a J-^met a?aJlt,t>rg'}Iî.Isé.«» meeting- privé, an mmr<»<5ion rki U croix retrouvée dans le soi autre part, 1 Union Coloniale neige a cltoyen local suivi de nombreux « audi- de Jérusalem, et dressée au lieu môme du *^.£n* XtifX^T mS"-TlusTe^ent Y*?™ ?' **** V°Z «mi.ifipmftnt iforrî&'ro nn^ prillft d'areiârit. et Put)ilc â P^tir au i«5 mai . pius ue c«xio faire la contradiction, mais qu il se heurta d'or lieux oui no pouvaient venir en pèleri- exposants belges y montrent dans une or, >x uno rangée de « stokslagers cléricaux » qui tZe m CzîïLi™ Slv^ent wA^moinV?a donnance aueel méthodique qu'esthétique lui en interdirent l'accès hantke du bois ^acré par le J divin ^ ^ da mo^de.' D?uPn bout de'l'empire à l'autre on "U° ?ions à e<»^e déployée. Couard est celui disait • stauron . (le bois) pour désigner le a"Ia(;tion de tout premiei oïdie. quI; par crainte des coups, n ose pas se faire suprême trésor. Et la simplicité familière et aF. Aima Mater » >'esPeeter ctl6z 1«1 et lal3se pénétrer des m- sublime du mot rendait plus impressionnante Qc nous é ;t ^ Lou"a;r, "" trus dans sa maison sans sa peraiission io rlrtminntinn Hn ovmhnlp dp ce bois »udd1i- " «« xjouvaiu, t uiai contraire au cœur meme de la région, ci al orientant un printemps nouveau, comme « 11 y » huit jours, à la rentréedesja^n- socialiate, les catholiques de Juœet viennent la croix sur le «lobe tenu aux mains des em- <;®s! prpf^seurs et étudiants, de 1 Université de pr0Uver qu'ils étaient de taille a s oppo- pereurB. Un peu de l'émoi d'alors se retrou- étaient pemblement impressionnes à la nou- ^r, même par la force, à ce que les ertoyons vait vraiment à Sainte-Gudule lorsque, dans "f1'6 de la maladie de 1 un des plus em^nents de la Maison du Peuple viennent se livrer, ce matin clair l'énorme relique dominait et des plus sympathiques professeurs de nos ehez eux, a leurs habituelles intempérances, l'autel d'or marquée par l'hostie essentielle, écoles spéciales : on se disait avec émotion Le récent meeting libéral de Seraing mon- Le chandelier pascal haussait un cierge que, 1 inventeur des mines du Limbourg, M. tre quels contradicteurs, quels turbulents et. c comme au sommet d'un arbre d'or. Les orne- Andre Dumont, était alite, assez serieuse- violents adversaires sont les socialistes. Si les -1' mente sacerdotaux d'une vieille pourpre ment atteint à la suite d un voyage de re- catholiques qui viennent de mettre ees gens- r ti sombre s'opposaient en magnificence impé- cherches fait on Angleterre et ou il avait là au pa8 sont des couards, que sont-ils donc riale à la blanche moisson des communiantes Sagne un refroidissement eux-mêmes, les dignes citoyens? j1' remDÎissant le chœur Heureusement une amélioration très nota- S'il y avait eu une rangée de jeunes gardes ! soSvIn^t ïèTfMe68 oTu^ lt lït?- \ * TOnfrérie de îa Sainte Croix et de'la Très ^fe fëmnte ^^Z^saTo^tl et >"a^ eût pu .parier en liberté et sans être J j Sainte Trinité remonte en plein Moyen Age ,.nTnT)ixj.p «ml-ison » ~ exposé à, 1 injure. j et garde une statue, beau travail gothique, complète guerison. » Nous félicitons cordialement nos amis de, représentant 1« Père éternel tenant le cruci- Le navire-écols Jume&. ^ fi.x. Encore faudrait-il relever, à Ixelles et i'« Avenir » a fait escale à ..Sainte-Hélène |tunHHE fft, «rut à Forest, des indices c»e pareilles dévotions p0ur permettre à nos cadets de visiter l'île ^ """■"«c oei wr.mt aujourd'hui fâcheusement oubliées. célèbre. L'« Avenir » a ensuite repris la-mer Le citoyen Lekeu revenu au « Peuple», pour continuer son voyage. dans son carrosse clinquant de jadis, y pond O ur article merveilleux. Ça mesure plus d'une ï tî \ io nomnairno „110 -ta. M.-Eusèné Ysaye demi-colonne, en neuf phrases dont Une de i Pour moi, c ^ ca p ° q • 3 ^ prendra effectivement possession de ses fonc- 20 ligues, uue autre de 23. C'est un conglo- h lètc chercher ^ traces d usages anciens que g do maltre de obapeUe du Roi le 20 de mérat de confus apophtegmes—nous faisons r J ce mois, à l'occasion de la représentation qui effort pour nous hiussfr au niveau d» c,-' dans les flei s et • ■ V , ,sera donnée au Théâtre de la Cour, à Lae- toyen — sur le meeting socialiste organisé c rieux^ussi q^ecelui™és chapelles d™ mai. l'honneur des souverains de Dane- paV M. Hymans à Sera§. ° ; Vous avez, dans nos camxjagnes, des cha- y, , -, f j t' m- vaillant contradicteur Delvipne y est pelles de deux espèces. Les premières, toutes " dlrr,1f^i„'t magnifiquement qualifie de «juvénile self- ( petites, sont presque toujpurs divisées en ^l^ck, chanté pai M es ^ m^n,r deux par une grille aux épais barreaux. Der- . ,. , , , Déjà au temps de Rabelais, 1 eschoher h- ' rière cette grille, c'est le tout petit sanc- }l r ,fura RUS,S1 ufDe pafrtieMde h mousm donnait a rire par sa nrétention m- e tuaire où se trouvent une statuette et des laquelle prendront part Mmes Croiza et culte Voici que le citoyen Lekeu se met a r ex-votos. Devant, c'est l'espace réservé aux Heldy et M. Eugène Ysaye. vrombir en anglais. -Cela nous promet de Êdèleset qui ïeur est constamment ouvert CreiTzwans-Exhlbitlon 68 80ireea- >0f c C est la le modèle le plus primitif de nos -gn ^eg a^rajte principaux de la Zwans- clu.e„lcoç lT chapelles des champs. 11 n est pas le seu . Exhibition, qui s'ouvre lundi prochain, sera , LEURS FINANCIERS J On rencontre également des chapeMes plus ja sa]|0 où a groupé ies œuvres du pein- On a annoncé l'arrivée a Anvers de cent \ grandes, sortes de petites églises. Oefles-ci fcre anat.omiste Jef Kwendelare, mort à la lin ehevaux achetés en Irlande pour notre école demeurent fermées pendant toute 1 aimée, de rannée dernière, à l'âge de 45 ans. d'artillerie. E sauf 1 exception de quelque pèlerinage. Mais j e comité exécutif de l'exposition burles- La («Gazette» fait remarqiier à ce propos a au premier mai, elles s ouvrent pour le mois Marché de la Madeleine a voulu réha- Que « presque toutes les armées étrangères v entier. 1res Romains ont eu de ces sanctuaires. gj]jter cet artiste méconnu, qui d'abord fos- ont reconnu, pour le service de l'artillerie, c qui ne s ouvraient qu a certains jours, comme soyeur eD Wallonie devint gendarme en la supériorité de notre cheval ardennais >. c pour, ensuite, en garder l ame dans une clo- Fian{jre et travailla toute sa vie dans des C'est vrai; mais la « Gazette » ignore sans i ture obstmee. Cet-instinct si ùumain? si pro- concjitions aussi obscures que difficiles. On a doute qu'il y a pénurie de chevaux ardennais c fondement et mystérieusement humain, nous pieusement recueilli de ce maître trop hum- et que le prix de ceux-ci s'est par suite élevé t est rendu dans les ohapelles enampetree qui, gie une série d'ouvrages remarquables devant dans de notables proportions. Le départe- 1 de la sorte,^ nous conservent un des plus pro- faire tie d»un ensemble que compte réunir nient de la Guerre, nous dit un officier, en ; fonds mystères d âme. iT avez-vous pas.après M Octave Maus au prochain salon de la « Li- achète chaque fois qu'il peut le faire sans « quelque grand deuil ou quelque gran-d bon- ^ Esthétique ». dépasser le prix unitaire fixé. - heur,^ rêvé de fK>uvoir, comme les souverains, ^ Il est amusant de voir les financiers de j décréter que telle chambre sera conservée Nos petits boy-SGOuts l'opposition s'en prendre aux mesures d'éco- ( intacte dans l'état où y passa la joie ou la continuent à marcher de succès en succès. nomie adoptées par le gouvernement..^ douleur? C'est le meme instinct profond qui troupe des Baden Powell Belgian ^ i ouvre, au mois des fleurs, les chapelles de nos gcoutg fondée dans la paroisse de 1 Im- ^ i campagnes pour les refermer sur son &me maculée Conception organise de grandes fê- LES LÛCK-OUTEURS SOCIALISTES r enclose dans le sanctuaire parfumé ffeun. tes à l'occasion de la bénédiction de son dra- Nbus avons raconté l'histoire des musi- ' Bouvent si vous regardez plus tord ^ une peau ciens do 1& Maison du pguple qui 56 mirent fente de la porte, le trou_dei la serrure. -vous f^teg g'ouvriront samedi prochain par en grève et, pour ce, furent lock-outés par j voyez encore sur les marches:4e 1des une retralte aux flambeaux à laquelle pren- lelu-3 co-eitoyens, comme s'ils avaient ou at feuilles de roses seoh4es. des bouquete fié- dront part ]ee gcouta et,,, Espérance cette /aij..e à d'infâmes capitalistes. ^nrraitarâottM retralte parcourra les principales rues du Le -«Peuple, protesta. Immédiatement j tolte pose au pnnteraps, pouriait gwelo^ quartier pour se terminer à 10 heures place nous répondîmes par des précisions telles que i du froid qui approche. du Jeu de Ba]le. u jourai'al o£ficiei'des loctouteur8 socialistes t Lt voyant cela, tous ceux qui furent heu- bénédiction du drapeau aura lieu di- Be plongea dans un silence opaque. < reux au printemps et dont la joie a est flétrie manche 10 mai prochain à l'église paroissiale Dans son numéro du 5 mai, discrètement c avec les fle"rs> les pauvres amoureux hon- l'Immaculée (Conception des RR. PP. Ca- et sans un mot de commentaires, il publie ' netes, tant d autres dont les pneres ne comp- pucins, place du Jeu de Balle, pendant le sa- ceci : 1 terent que pour plus tard, eprouvent un deuil ju^. ^ g ^ où une allocution de circon- très profond et très doux, un deuil qui leur stance sera prononcée par M. l'abbé De « Nous recevons la lettre suivante : I fait avec plus de ferveur prendre leur eceur Hauwer. « Bruxelles ,1e 2 mai 1914. comme en leur* mains, pour le confier au Après la bénédiction, à la place du Jeu d& „ Citoyen, [ Maître dos saisons, et des destins, Celui qui Baîie . remise du drape'au de la 21e troupe ^ En suite de l'article paru dans; le: « XX- ; "UmeP Ct ^ lgme prince do tous lesleputs et prestat.J'n du S.'rZ&Sl.SK » P 9 serment avec allocution de M. Corbisierjchef- de protestation suivant dans votre journal : * * scout général. c Les musiciens de l'Harmonie de la Maison " Parmi les chapelles de cette espèce que je Cortege par la rue du Chevreuil, rue des du Peuple, réunis en assemblée générale le ^ connais surtout aux environs'de Grammont, ianneurs, rue du Lavoir, rue Terre-Neuve, 30 avril 1914, protestent contre l'article paru 4 puis dans le pays wallon puis en Flandre, il rue de Lenglentier, rue des Tanneurs, rue dans le « XXe Siècle » et passent à l'ordre du c n'en est pas qui forment un plus bel ensemble des Fleuristes, rue des Vers, rue des Ména- j0^.r* , . . , ou'îutour Onurt'-ai Deux sont toutes voi- «es> rue Lacaille, boulevard du Midi, rue Ils vous présentent, citoyen avec leurs re- j sines^ ^ ceUe du « Petit-Puits j> et celle du Blaes, rue des Vers, nie de la Philanthropie, ^[«em^ts anticipes, leurs fraternelles salu- J «Saint-Sang», qui rapprochent ainsi les rue du Remblai rue Haute, rue des Renards, [auons- deux formes de purification et de résurrec- rue Blaes, Cercle de Merode. Oli ! la belle protestation que voilà! tion, le Baptême et l'Eucharistie. Entourée Nul doute que ces fetes aient le plus grand musiciens non lock-outes devaient bien * de hêtres rouges et verts, badigeonnée de succès. ce]a ^ l'odieux « XXe Siècle » qui a osé signa- rose, la chapelle du Saint-Sang fut élevée en ç ——=— 1er l'expulsion des cachets à 48 centimes. mémoire du passage du comte de Flandre Tout de même, ils ne se hasardent pas à con- Thierry d'Alsace, alors qu'il rapportait la tester quoi que ce soit. .On comprend que si célèbre relique de Terre-oainte. Une troi- AJIm. r 1^8%.! J. SL4 le « Peuple » n'a rien d'autre à offrir, pour sième chapelle se trouve assez distante, près tj «j- • ç8 • démentir l'exclusion de ceux qui sont partis, d'un château dont les hautes futaies, la 1*1 9Ue Prc)testation de ceux qui restent, il «drève> imposante lui donnent une majeste ^18g J/î IS|g ^ juge prudent de se tenir coi. sombre. Pourtant, elle est vouée aux plus - tendres mystères, à la protection des champs * . 5»i r t, ensemencés aux espoirs eucharistiques de Eg|jX DISCOURS A RÉPANDRE Lô ISÎtlpS OU 11 tait... )mn. C'est la grâce qu'elle demande au mois uiuyvviiun nu* """"" r 1 , de la Vierge. "lusieùrs comités electoraux nous ont C^l 131 ÛP la fSF3 En admirant ces sublimes intuitions de demandé ces jours-ci de nombreux exem- * nos pauvres gens de campagne, on rencontre flaires des discours -prononcés au Sénat """" " un ourieux problème : a quelle date sou- j. r Uccle, mardi matin. Traient nos chapelles des champs avant que ^.14 ^ ^a disciisswn scolaire far La pressjon ne dépasse plus 765 mm. que sur fût répandue la dévotion du mois de Marie? MM., les ministres de Broqueville et r oui- le Midi de la France, la péninsule hispanique et Très probablement, l'usage actuel existait let. *ÇS régions méditerranéennes, et elle est infé- déjà. 11 formait une de ces pratiques qui célé- Rapj>elons que dans un but de pofa. ^ '0Ut ^ nord"ou€st de en6se:servant°des rites d'un'vieux cSte deg£î gande nous fournissons ce tract de quatre Les minima, voisins rie 7-13 mm., se trouvent nature/merveilleusement transformé, exaucé grandes pages format du journal au prix de Christiansund et au large des Hé- par le mystère chrctien. de Le baromètre monte sur le nord-ouest de lr ■K* J- -i -g Scandinavie, l'Ecosse, l'Irlande, la France à - — 1 M 1F« fiv IIKal Iw l'exception des côtes de la Manche, l'Allemagne « . du Sud, la Suisse et la péninsule hispanique; B_ë?L QiprLF port non compris. i] baisse partout ailleurs. * S» O S En ïfes irn Adresser les demandes au bureau du En Belgique, le vent est modéré ou assez est le moins cher des grands journal, impasse de la Fidélité, 4, à com'pd^entâ'S frt1!^' ^ ^ t€mp^ratQTC est quotidiens bel^-ew illustré» Bruxelles., COprévisions : Vent O. modéré, pluie. SOS ESSAIS DIER0STATI0N MAIRE L'expérience de lundi au parc de Koekelberg A droite, s'entretenant avec le général Jungbiuth et M. Jacobs, président de J'At'i'c-Ciub, M. c ^'Aéro Club a reçu divers télégrammes con- nant les atterrissages des ballons ^partis, ! idi dans la matinée, de son parc aéronau- I ue de Koekelberg. Jne première dépêche annonçait que le bal- ; i « Mady t, piloté par M. Geerts, était des- < îdu, vers midi, à Rauw, près de Moll. ' ec i«? gciiciai jiiiiguiuiu et jti. pic; de Broqueville, ministre de la guerre. UnTelégramme de M. Franck annonce l'at- ,Fontai terrissage, à Elewyt, de l'«Avm n° 5b, ie petit M. C • ballon-renard. Deux autres télégrammes, que de Mai le capitaine Ketelle, de la gendarmerie, a re- M. I ■ joint, à cheval, l'«Avia n° 5», vers 12 h. 30, £e c ■ c'est-à-dire peu après la descente; que deux autres cavaliers, le major Baltia et le lieutenant presiûent de J'Atrc-Club, )ntaine, ont rejoint ensuite le ballon-renarà, M. Gérard a atterri à Molen-Beer.seJ, au Nori Maeseyck, à 13 h. 50. M. De Muyter a atterri à Hamont. Le colonel Soucy à Lommel, à 2 h. 15. jles dernières < cartouches*.. ' ^ c L ' Eipile» a révélé mardi matin que le t projet scolaire du gouvernement contenait / un article monstrueux que l'on ne pourrait ; appliquer sans envoyer en prison les parents ^ récalcitrants. Cette découverte a provoqué au Sénat le <■ dépôt d'un amendement de M. Speyer c^ui es- i pérait obliger ainsi le gouvernement a renj z voyer devant la Chambre le projet amendé ( par le Sénat. i M. le ministre Poullet a montré mardi 1 après-midi au Sénat que cet amendement c est tout à fait superflu. (Nous citons ses pa- y rôles d'auprès le «Compte rendu analytique » : e € M. Speyer a déposé un amendement tendant à dire que l'emprisonnement subsidiaire ne ~ pourrait être prononcé en matière scolaire. J'espère qu'il n'insistera pas. Pour de cas où il i persisterait néanmoins, il y a lieu pour ie gou- | vernement de préciser la portée du vote qu'il | prie le Sénat d'émettre. Sur le fond, le gouvernement est d'accord avec M. Speyer. Il ne peut être question d'emprisonnement subsidiaire. A la Chambre, m'a dit M. Speyer, vous auriez accepté un amendement de l'espèce. Sans doute, et ie l'aurais accepté pour enlever tout doute, pour empê- r cher toute controverse. Mais je ne crois pas ce L texte indispensaole en présence du caractère tout spécial de la législation que nous discutons et de l'unanimité avec laquelle tous les groupes, le gouvernement et la section centrale ont exprimé leur volonté de répudier comme incompatible avec le système général de la r loi en discussion, l'emprisonnement sous quel- a que forme que ce soit. a Le gouvernement dans son exposé des motifs 1 a nettement répudié la peine de l'emprisonnement. II veut faire appel aux influences d'ordre I moral et il a invoqué à cet égard un discours de M. Paul Hymans, avec lequel le gouverne- J ment est tout à fait d'accord. Les peines ne U peuvent dépasser une amende de 10 francs au 1 maximum. •L'idée de l'emprisonnement subsidiaire ne nous avait pas échappé, mais nous a'avons jamais songé à Rappliquer. La section centrale nous a pleinement approuvé à ce sujet. Nous ne voulons pas — nous l'ayons formellement dit — avilir le père vis-à-vis de ses enfants ; ce qui serait le cas s'H pouvait / avoir emprisonnement. A l'étranger cette peine n'a jamais pu être appliquée et en France an l'a supprimée, comme inapplicable. Elle n'existe pas non plus dans le Grand-Duché de Luxembourg. Et successivement les divers chefs des partis politiques tout en critiquant l'insuffisance des , sanctions ,se soat déclarés unanimement d'ac-, cord avec le gouvernement pour répudier la peine de l'emprisonnement. M. Vandervelde l'a déclaré nettement à deux reprises. M. Hymans et M. Persoons aussi. M. Devèze et M. Théodor également. Et M. Lekeu a tenu au Sénat le même langage. Il y a donc unanimité sur le sens à donner au système des.sanctions. On a voulu exclure toute! peine d'emprisonnement comme contraire à l'esprit de la loi. Dans ces conditions, l'amendement Speyer me paraît superflu ». Il faudra donc que l'«Etoile» cherche autre , chose... B&sHefitn gs@liiig|M«8 Si grave que puisse paraître la situation [ actuelle de VAlbanie en proie aux pires divisionsy on reste très calme à Vienne. On sait que M. Zographos désire vivement mener à bonne fin ses négociations avec le gouvernement albanais et quyil [ ri est pour rien dans les dernières opéra-\ tions conduites par un ancien chef de bandes grecques. Et V on espère que M. Zo- 1 , graphos conclura un accord avec le gou-t vernement albanais, que la majorité des : ^ Epirotes le suivra et que V Albanie pourra, avec ses seules forces, venir à bout des cir-t rédentistes radicaux. Mais les plus récents ( ' télégrammes annoncent que M. Zogra- 1 phos, délaissé par ses propres troupes, i ri est plus 7naitre de la. situation. \ — Le nouveau président de la Républi- j ' que brésilienne a inauguré ses fonctions , ! par un message adressé au congrès. Il in- < 1 dique dans ce message les principales ré- ; formes qriïl y aurait lieuy à son avis, d'in troduire dans Vadministration des affaires | et notamment dans l'organisation de Var- | mée.ll s'occupe aussi de la situation-financière quit en raison de la récente crise industrielle, ri est guère satisfaisante. D'où le message conclut qu'une prudente politique financière s'impose pour raffermir le crédit du pays. L — En réponse à Vinvitation de VA. B. .C. sud-américain, le général Huer ta a choisi deux délégués pour le représenter à la conférence de médiation. Rien n'est venu confirmer jusqu'à présent le bruit qui avait couru de la démission du général Huerta. Nous apprenons au contraire que y J ( dimanche après-midi, il s'est promène u fort paisiblement dans les rues de Mexico ^ et y a été acclamé.■ s. d — Q P On soccesssnr ; de Charles-Quint s —— e Le nouveau Roi du Grand Serment £ royal de Saint-Georges Le Grand Serment Royal de St-Geoig|,s a c procédé dimanche, en son local, « Au Jardin? 1 aux Fleurs », rue des Six-Jetons, au concours ^ annuel dont le vainqueur fut proclamé Roi pour 1J la saison 1914. (: A trois heures,# le président ,M. Ed. Van p Bever, ouvrit le tir. q Au 5® tour, la rose est tirée par M. François- p Joseph Van Malderen, d? _ Curech^™»--A ~der- (| fecht* "vice-président de la vieille _ ùo ' . uxel- ri lo^- t M. Van Malderen, ie nouveau Roi du Grand Serment de St-Cco:gcs M. Van Malderen fut déjà roi du Serinent en 1902. Aussitôt le Président passa au cou du Nouveau Roi l'ancien Collier d'Or de St-Georges. Le Grand-Serment, qui date de 1381, possède également un empereur, M. Victor De Beckcr, qui tira trois années consécutives la rose royale. Comme Roi du Grand Serment, M. Van Malderen succède à une série de personnages illustres : Charles-Quint, Marguerite d'Autriche, l'Infante Isaoelle, le comte d'Egmont, plusieurs princes de Croy dont le prince Philippe, duc d'Aerschot, le duc d'Aremberg et le prince Pierre de Caraman-Chimay, membres d'honneur du Serment ; ce dernier manqua de devenir "Roi il y a 2 ans. vwa lima i sçi a du socialisme oopo^o 'aventure des radicaux français dévorés par les socialistes donne un sérieux avertissement à nos libéraux belges. Nous avons relevé ici même, il y a quelque# vus, les réflexions publiées par le c Temps » u chant l'aveuglement des radicaux français : venus par anticléricalisme les fourriers du cialisme. Aucun journal libéral belge n'a es-iyé de répondre au « Journal de Liège » dé-ant à nos cartel'listes cette leçon d'Outre-uiévrain. Que si cette leçon avait par hasard uu trop peu claire à nos hommes" d'Etat d« niche, nous nous permettons de recommander leurs méditations ia lettre suivante. Nous, la recommandons aussi à l'attention :s bourgeois libéraux qui ne verraient pas icore où menace de les conduire la politique î nos libéraux, qu'elle avoue ie cartel ou l'ei'le s'efïorcc de le dissimuler par crainte de# eoteurs. Noûs laissons lia parole à notre correspoo-int parisien qui ne parle d'ailleurs que du >int de vue exclusivement français : Paris, le 4 mai 1914 Le général Percm, candidat du parti r&di-il unilié à Neuilly-sur-Seine, n'a obtenu a'un nombre ridicule'de suffrages — 2,288 ir 17,516 votants. Et pourtant le comité dè - rue de Valois comptait bien enlever cette : * rconscription, et s'il avait choisi un général □ur y porter le drapeau du parti, c'est ii'elle était suspecte de nationalisme. Denis un an; d'ailleurs, ce général fiohard était îvenu l'idole des Franklin-Bouillon, de« halamas et des P.errissoud. Des reporters se sont naturellement précisés chez le peu glorieux vaincu pour lui emander d'expliquer les causes de sa délite. Cette fois, il a parlé en militaire. Sa îponse est brève, claire et forte. De son ?heç, il donne, vous l'avez dit, deux raisons ans les termes que voici : « J'ai échoué tout d'abord, parce que ïe arti socialiste a un programme et que le arti radical n'en a pas, ensuite parce que i me suis présenté comme radical et que let lecteurs ont assez des radicaux. » M. Thalamas, battu en Seine-et-Oise. ne ient pas un autre langage : « Ici, comme artou-t, plus peut-être qu'ailleurs, le so-ialisme unifié s'apprête à dévorer le radi-ilisme expirant.. » Maurice Berteaux avait entièrement con-uis le département au radicalisme ; il re-□mbe aux mains des libéraux, u Et nou* evons renoncer, j'en ai peur, à les déloger imais », confesse l'admirateur de Mme filiaux, qui ne paraît point surpris de ce ui arrive. « Le radical-socialisme était un arti de transition. Obligé d'aboutir au so-ialisme, il perdra, à mesure qu'il se rappro-hera de son but, une grosse part de ses dhéronts bourgeois*» L'EVOLUTION FOUDROYANTE ES RADICAUX DU NORD VERS LR SOCIALISME On sait que les radicaux-socialistes du lord viennent de passer un pacte avec lea ocialistes en partageant à l'avance les béné-ces du ballottage : sept sièges doivent revoir aux unifiés, six aux radicaux. « Dans uatre ans, disait à ce propos M. Alfred Le îoy, député radical sortant et ballotté de 'ambrai, il faudra empailler le dernier radial du département et le clouer à la porte de i préfecture, avec la mention : u espèce are ». Les socialistes nous auront tous man-és. » L'k Opinion », par un curieux tableau des ésultats électoraux, depuis 190-2, dans qua-ro circonscriptions de l'arrondissement de .ille, nous montre d'une manière saisissante les étapes du radicalisme ». Pour triompher des libéraux et des pro-ressistes, pour établir sa domination, le ►arti radical, depuis dix ans, n'a pas voulu onnaître d'ennemis à gauche. « Il a encouragé, soutenu, subventionné îême parfois, les comités socialistes, écrit '«Opinion». Il leur a fait les pires concessions e doctrine, de programme, de personnes. Il MERCREDI 6 MAI 1914 T-'UNIOT*! DANS L'ACTION _ %; VINGTIEME ANTJ — R0 TZS

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Dit item is een uitgave in de reeks Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1940.

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