ANNONCES Annonces ordin., petite ttgne . 0*M Reclames (3* page), la ligne. 1.58 Faits divers corps . . » 4.08 Faits divers'fin. . , » 8.0» Reparations, judiciaires » 3.00 Necrologies , , . . a 24)0 VJNGTÏEWIE ANT3EET — N Z3Ö Les annonces sont recues au bureau du journal Telephones 364e et 3ÖQC 5 centimes Ie numero MARDI 18 AOUT 1914 AB0NNEMENT8 Pour toute la Belgique On an fr- 9.00 Six mots• 4.80 Trois mois ...... 2.1 B Gr.-Duohé de Luxemb. 2.0.08 Buien postale. .'-i?CV . • 80.00 Directeur : Fsrnand NEURAY Editicn ^¥¥ (6h.soir) Edition ^Jf (lOh.soir) Edition Jf (minuit) L'UNION DANS L5ACTIO Instaiilare omnia in Ohrlsto mm Redaction et Administration : 4, impasse de Ia Fidélité, 4, Bruxelles iiP .eiMgi H_l«PM»MHm.U« defense d'Anvers Nous avons gagné E Dl Tl ON ** La situation Due offensive allemande repoussée DIMANCHE, 19 H. Dü SOIR Ees masses de cavalerie eaaemje renforT^ sées se sont dirigées vers Wavre Au cottrs de leurs marches, elles ont essuye le feu de nos avant-postes. Après des Le plus grand calme a régné sur le reste du front de 1'armee. CE QUE DISENT LES PRISONNIERS ALLEMANDS On cite ce mot d'un soldat des carabiniers qui a déja fait pas mal de prisonniers allemands : « Je ne prends plus mon lusil, mamtenant, je m'en vais avec une tartme; lorsqu'ils la voient, ils me suivent!» Un prisonnier declare que les ordres recus sont formels : il faut marcher, sinon on est fusillé! Il ajoute : « Si on ne nous donne pas quelque repos, hommes et chevaux seront bientót crevés. » Le même dit que, embarqué aDantzig, il asu seulement le 15, samedi, qu'il y avait guerre et que les Francais avaient envahi l'AlsaceLor-raine. [5s?fl L'offensive fraacais la première manche -»Ot- daas la Haute-Alsace ^*e»— Les Frangais paralssent maitres desroutes qui les conduisent a Strasbourg Les Frangais ont avance par SainteMarie-aux-Mines et fiamt-Blaise, et fait, dans la vallée de Schirmeck, 1,200 prisonniers et pris plusieurs gros canons. Prés de Lonquin, les Drangais ont capture 19 camions-automobiles. Signalons rapidement l'intérêt que présente cette dépêche. ■ L'offensive frangaise s'est tres nettement mdiquee au cours des derniers engagement». Une premrere attaque a permis aux troupes trangaise de s'emparer d'Altkirch, position qui n avait qu'un intérêt, celui de faire de la place aux troupes venues de Belfort. Une seconde offensive s'est pröduite du coté des cols des Vosges, qui devaient permettre aux Frangais de pénétrer dans la Haute-Alsace. C'est ainsi qu'ils ont porté successivement leurs efforts surNSainteJMa-rie-aux-Mines et sur Saales, dont l'occupation devait leur donner la clé des Vosges et leur permettre d'envahir par trois cötés la Haute-Alsace. Saales, en particulier, pouvait leur ouvrir la route de Strasbourg. Nous assistons au développement méthodique de ce plan. L'occupation de'Schirmeck est a eet egard d'un intérêt particdilr. Il s agit d une localité située tres approximativement a la hauteur de Strasbourg, qui commande la vallée de Brensch, a une quarantaine de kilometres de Strasbourg et dont 1 occupation, en permettant aux Frangais un grand déploiement acculera -les Allemands a cette alternative ou d'etre rejetés en Suisse ou de devoir se replier au dela de Strasbourg, Donnons ici ;d'après les journaux frangais quelques details sur cette brillante operation militaire. « La dernière section de la longue ligne de leu eent le ((Matin», va du Donon au ballon cuaisace. Cette foip, ce sont les Vosges-qri se relèvént en separaat l'un de l'autre la n'est qu'a la toute dernière limite qu'elle a battu en retraite en bon ordre, la nuit, et qu'elle est venue s'embarquer en chemin de; fer a trente kilometres de Liége pour rentier" a Tarmée. Ce fait d'armes montre bien ce qu'on peut atteudre de nos braves soldats. A propos de l'éobec de l'attaque brusque* allemande, le «Journal» du 16 courant imprime ce qui suit : < La resistance des forts' » de Liége, la vaillance de l'armóe beige et » 1'intervention de notre cavalerie ont eu, '» pour résultat que, depuis huit jours, les «I forces allemandes sont accroohées sur la » ljgne de la Meuse. » Rendons a Cesar ce qui appartient è' Cesar : la cavalerie frangaise bien que ve' nue en Belgique, ne parait pas avoir contribue a accrocher les Allemands, a la Meuse. Ce n'était d'ailleurs pas son röle. Tout 1'honneur de Paccrochage et de l'échec de l'attaque allemande revient dome aux Beiges et cela sans partage possible. O'est la première manche, nous 1'avons gagnée tout seuls. La seconde manche va se jouer : cette fois, nous serons aux cötés des allies, et grace a Dieu, nous sommes encore capables d'y ap- porter notre attout. ^_ UN JOLI COUP DE DIEUX AVIATEURS BELCES On cite ce trait de la part de nos aviateurs : Deux d'entre eux, regagnant leur centre, avaient du atterrir par suite de panne, dans le voisinage des uhlans. Impossible de réparer. Les aviateurs s'échappent, restent dans les lignes. L'avion est considéré comme perdu. Deux jours plus tard, on apprend qu'il est toujours en place, garde par les uhlans. On arme aussitót d'une mitrailleuse une auto de 80 chevaux trainant une remorque. On arrive a grande allure ' aUpreS "jïlr* l'avion, on surprend les uhlans qu'on met en fuite et qu'on tient en respect a l'aide de la mitrailleuse; Pendant ce temps-la, les hommes démontent l'avion, le chargent sur la remorque, embarquent, puis le convoi file a la barbe des Allemands, stupefies de tan* d'audace. M. DOUMER CHEZ M. BE BROQUEVlLlË M.- Doumer, ancien président de la Chambre frangaise, a fait visite dimanchc au ministre de la guerre. Voir suite " Dernières Nouvelles,, region que nous avons commence avant-hier è, nous couvrir de gloire en nous emparant du Donon, en nous installant définitivement sur ses cretes. Après la prise de Blamont et de o"ey' t5 estaui°urd'hui l'enlèvement de hamte-Mane-aux-Mines. Les troupes qui hier, entraient a Saint-Blaise, marchent sur bchirmeck. BUes ont rencontre un détache??»en^4' ,? nótr?s«I"1deseendait du Donon. L a ète 1 occasion de faire mille prisonniers. de s approprier les canons de siège et de campagne, sans compter la pointe de Cirey a Lorquin,dans laquelle on a enlevé 19 camions automobiles et allongé le pas vers Sarrebourg. Si on jette les yeux sur um plan en relief de la portion de la carte qui vient d'etre déerite, on voit clairement que si les armées allemandes veulent entrer en France avec des forces considerables, il leur faudra passer au nord de Liége en violaat la neutrality de la Hollande, ou se gdisser par la trouée de Stenay, entre Mézières et Verdun, ou par la trouée de Charmes, entre Toul et Epimal, ou enfin au • sud,. par la trouée de Belfort. La encore nos troupes tiennent fortement, dans une situation excellente, le pied des Vosges. Le bulletin que le ministère de la guerre ródiige pour l'envoyer aux armées dit : « On peut être assure que notre grand état-major a tout prévu pour faire face a ces différentes éveoitualités. » -*~»o~- Une nouvelle bataille près deJodoigne -»Ot- Nos regiments mettent en dêronte la cavalerie et l'artillerie ennemies Une escadre autrichienne snbit nu terrible échec. .—»o« Une bataiile navale s'est livrée, a'la hauteurde Budua, entre flotte frangaise et flotte autrichienne. Deux cuirasses autrichiens ont été ooulés. Un troisième est en flammes. Le quatrieme est en fuite. C'est ?n premier éehee tres grave, peutêtre décisrf, pour la flotte autrichienne, qui, a apres les rensp.iEmp.Tnfints on^. «^.«o *x,**Li Un engagement assez important a eu lieu dimanche dans les environs de Meldert,Hou•gaerde• et Saint-Jean-Geest, près de Jodoigne. La bataille a commence vers 4 heures du matin. Ce fut d'abord un duel d'artillerie, auquel succéda une fusillade tres nourrie. La cavalerie beige prit ensuite part a Taction; arrivée a une eertaine distance des adversaires, elle mit pied a terre, fit coucher les chevaux, derrière lesquels les hommes s'abritèrent. Les Allemands mirent alors sabre au clair et tentèrent vainement, eu rase campagne, d'effectuer une charge : ils subirent d'énormes pertes; les regiments belges qui chargèrent furent magnifiques d'entrain, de vaillance; l'un d'eux lutta quatre heures durant contre le 18ehussards allamand et lui fit perdre beaucoup d'hommes. A Haelen et en d'autres villages, a quelques metres seulement de distance des lignes allemandes, l'aspect des devastations faites par les Allemands est terrible : les maisons sont saccagées,les murs écroulés,Tameublement détruit; les éelises mémes ne furent pas respectées : celle de la paroisse d'Haelen a pa.rticulièrement souffert des obus des Allemands, heureusement chassés actuellement. Durant leur occupation de ce village, les Allemands écrivirent sur les murs qu'il était ' défendu, sous peine de mort, d'entrer dans ce village. Près de Haelen, 'es champs de blé sont maintenant des cimetières oü des hommes et des chevaux sont étendus cöte a cóte. Des lances, des fusils, des harnachements. des baïonnettes jonchent le sol. Et pour ajouter a l'horreur de cette vision, des oiseaux de preie planent en croassant au-dessus de cette plaine. La legation de France communique a ce sujet les renseignements officiels suivants : On y confirme les succes de Blamont et de Cirey. Les troupes frangaises ont a nouveau fait reculer le corps bavarois et ont franchi la frontière. Lors de la prise de Donon, plus de 500 Allemands ont été faits prisonniers. Notre situation est excellente en HauteAlsace. On signale de nouveau des aotes de sauvagerie des Allemands dans les villages de la Haute-Alsace qu'ils ont dü évacuer, en Lorraine frangaise et annexée. Pont-a-Mousson a de nouveau été bombarde dans les mêmes conditions. On ne signale aucun mort. Il n'y a que des* dégatsmatériels a l'höpital et aux usines. i^^m^.ta^< L'attachè militaire beige a Paris est nommé chevalier de la Légion d'honneur o Les journaux frangais publient la note suivante : apres les renseignements que nous avons p ü j' naP*3tantd'unités a^ perdre. Budua est un petit port de l'Adriatique.un peu au nord de Spizza et d'Antivari. Rappelons qu au lendemain de la declaration de guerre de la France et de 1'Angleterre a l'Autriche, les stationnaires autrichiens embosses en face de Scutari et de Durazzo s'étaient empresses de se retirer a Spizza. C'est la sans doute, .qu'ils ont été surpris par unê escadre frangaise, Cest le premier acte de la formidable partie qui va se jouer dans l'Adriatique et dont dernier sera la debacle de ce qui reste de cuirasses autrichiens et le bombardement du grand arsenal militaire de Pola. La première consequence politique de ce dêsastre autrichien sera sans doute de confirmer 1 ltahe dans ses resolutions de sage et prudente neutialité. • La chasse Le ministère de Ia guerre communique h la presse la note suivante : c Un article paru dans plusieurs journaux dit en substance : < Le chauffeur d'une voiture bunbeam paypisé du drapeau anglais et au service de la legation d'Angleterre l été arrêté. mculpé d espionmage et dirigé sur Anvers » Cette nouvelle est sans aucun fondement La_ voiture Sunbeam a laquelle il est 'faitallusion est la propriété d'un sujet anglaisbien connu qui a patriotiquement mis sa voiture a la dispositioe de la Legation dans Ie but de 1 employer au service de la GrandeBretagne et de la Belgique.^ranae C est lui et son fils qui se chargent de niloter Ia voiture a tour de róle. » ->-»'f«^-- Le prince Louis Napoléon a été autorisé par le Tsar a reprendre son grade et son commandement de general dans l'armée russe. Le gouvernement allemand fait dementi? la nouvelle que le dêputê socialiste Liebknecht et Rosa Luxembourg auraient été fusillès. -♦-«>-e> Contre les exploiteurs ■ o» Une excellente mesure Le ministre de la guerre « porte k Ia connaissance des populations que les négociants qui ont vendu depuis le 1" aoüt jusqu'a ce joux du froment, de la farine, du pain, des pommes de terre, du sel, du sucre et du riz- a des prix supérieurs a ceux fixés par l'arrêté royal du 14 courant se trouvent dans l'obligation de rembourser intégralement la difference aux intéresses. Tout refus de remboursement sera signalé au ministre de la guerre qui en saisira le procureur du Roi. & Au cours de la journêe de vendredi, les troupes francaises ont occupè Vtmportant massif de Donon, dans la Haute-Alsace. mies y ont fait un grand nombre de prisonniers. En se retirant, les Allemands se sont rendus coupables d'inqualifiables cruautês. On a trouvè les habitants brülês sous les ruines de leurs habitations. Les cadavres d'habitants fusillës encombrent les rues. Les Allemands et Autrichiens établis au Maroc ont été l'objet d'un dècret d'exfulsion en masse. ,Jfnedépêche de Berlin, recue par voie aetournèe, annonce que la levée en masse aete ordonnée pour, toute VAllemagne. 'iond %ienuerlese#etsdelaproclama- >emn*j f èlaPolgne, les agences al- 'mandes tjfandent le bruit qu'une revo- Aucime invasion n'est a re)fj) dniifor nnnr Rrinmïtae *e*« mal°rGeclare PÖ Ia douter pour BruseSIes » pösifj(mfortif|ée^mm LUNDI, 4 HEURES SOIR6St I Le ministère de la guerre communique Is note suivante : Des mesures tres sérieuses ont été prises pour assurer la defense de Bruxelles et la mettre a l'abri de toute surprise. Il peut arriver qu'a la suite d'une action se passant* même a une assez grande distance de la capitate, des groupes plus ou moins nombreiiw de cavaliers ennemis, égarés par exemple, L'état major de la position fortifiée d'Anvers a communiqué a la presse la note suivante ; I Les travaux de mise en état de defense de la raste position fortifiée d'Anvers sont pèursuivis avec la plus grande activité. L'organisation defensive a nécessité de larges soient refoulés sur Bruxelles et échappent dëgagememts des champs de tir, qui on* eu dans une eertaine mesure aux gardes des lo- pour consequence de raser des maisons juscalités. Dans ce cas, ces groupes se heurte! qu'au niveau du sol, d'abattre des arbres, raient inévitablement aux barrages établis ' des taillis, etc. autour de la capitale, barrages bien gardes Nous sommes heureux de constater que. par des unites de gardes civiques armés du malgré l'étendue des sacrifices qu'on a du Mauser et résolue a faire leur devoir. Nous ' imposer a de nombreux habitants de Pagavons a Bruxelles 20,000 gardes bien armés glomératiön anversoise, tous, sans exception, et approvisionnés en cartouches, et qui, de- j out fait preuve d'un loyal patriotisme et ont puis quinze jours, ont été exercés et aguer-jconsenti, sans faire entendre la moindre ris. Nul doute, dans ces conditions, que la capitale ne soit a l'abri d'un coup de main tout a fait improbable d'ailleurs. Une bonne nouvelle : environ 800 défen* seurs de Liége viennent encore de rentre* plainte, a ces sacrifices . Nous sommes fiers et heureux de rendre hommage au patriotisme de la population anversoise et nous sommes convaincus que la tèlgique tout entière lui sera profondément dans nos lignes, avec tous leurs officiers et reconnaissante de sa noble attitude grades. Cette troupe a continue a tenir la- Nous sommes autorisés a declarer que, bas le poste qui lui avait été assigné, et ce | gc&ce a l'activité déployée, grace au dévoue- ment de nos admirables troupes, formées, pour la plupart, de soldats appartenant aux anciennes classes rappelées,ANVERS ATTAQUE SERAIT IMPRENABLE. «Quoi qu'il en soit, l'Anvers de 1914 serait en mesure de souténir un siège qui, dansÉfaistoire, pourrait être classé au nombre des sièges les plus célèbres. v-Faut-il rappeler que, avec des moyens de defense restreints, Anvers, au xviesiècle, a ïésisté pendant seize mois, de 1584 a 1585, aux forces considerables qu'Alexandre Far#se#, due de Parme, un des plus grands cajêfcaines de son temps, avait dirigées contre 5t'.\P.lace d'Anvers? » LE onvensemen part pour Auve LUNDI, 5 HEURES SOIR commentaire du ministère de la Autre guerre : UNE grande batai navale l'Adriatique Oontrairement aux vceux du législateur de 1859 le gouvernement est demeuré a Bruxeflles pendant la phase de la guerre durant laquelle notre armee s'est trouvée seule pour faire face a l'ennemi. asis A présent que les armées amies sont sur notre territoire, le gouvernement a jugé que son aiège peut être sans inconvenient transféré a Anvers, conformément a la volonté de ceux qui ont créé la grande position fortifiée. Ce n'est pas que les événements soient plus graves qu'ils ne l'ont été jusqu'ici. Nous enregistrons au contraire un nouveau succes de nos troupes secondées par la cavalerie frangaise. Mais comme il est nécessaire que le transfert se fasse normalement et qu'il n'y ait pas la moindre interruption dans l'exercice de la souveraineté, le gouvernement a estimé qu'il était preferable de commencer le tranefert des services des différents, ministères. Alors que leurs families restent dans la capitale, certains ministres vont done résider h Anvers oü les services de la guerre seront mieux a leur place pendant que l'armée est en campagne. Déférant au désir du gouvernement, S. M. la Reine et les princes s'installeront au palais d'Anvers, tandis que le Roi reste au milieu de nos vaillants soldats. Les services du Palais continueront de. fonctionner a Bruxelles. **» A la demande du gouvernement, plusieurs ministres d'Etat, notamment ceux appartenant a 1'opposition, se fixeront provisoirement a Anvers. **• Les bureaux du lieutenant general dooten, gouverneur militaire de la province, seront établis des mardi au ministère de la Guerre. >-•♦•-< La publication des journaux aux espious « Par décret, M. Collora, major d'artilleriebeige, attaché militaire en France, est nomméau grade de chevalier de la Légion d'honneur. i > af» En conséquence,nous publierons désormais deux editions, l'une h 6 heures du soir, l'aui tie le matin. et celui qu'il fera !—»«—:— Les plus faibles pressions, inférieures a 757mmö, s'observent aujourd'hui sur l'est de la France, le nord de l'Italie, la Suisse et l'Allemagne du Sud, et les plus fortes, supérieures a 766°™, au nord-ouest des Hes Britanniques. „. La pression parait aussi être assez faible sur la Russie. Le baromètre descend sur l'est et monte sur l'ouest de l'Europe. . En Belgique, le vent est faible d'entre N.-N.-O. et N.-É., et la temperature est comprise entre 14* et 18°. Previsions : Vent N. faible; un peu de pluie; refroidissement.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.