Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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23 augustus 1916
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s.n. 1916, 23 Augustus. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 06 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/222r49h37m/
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-=T3T 23° ANNfiE — SérieaouYelïe.—Kr«63 ftierei*#y *■">*» -Glasse 26. CliauuiOrês' a lessfver rBaignoires,, réservoirs a eau chaude des'fourneaux et des cuisiiiières,' réservoirs a eau y compris la tuyautcrie en cuivre, bronze ou laiton. '! r "Classo 27. Garniture et plaques d'étain des buffets de cafés, etc, luyaux ên étain, d'au moins 10 """ de dianièlre extérieur, par exemple luyaux a'bière. » O prospérité ! O organisation T A LIEGE Une double noyade [■: ~- h. Le 14 aoüt, au confluent de la Meuse et de l'Ourthe, a Félinne, les petits Schmidt et Hardi. 13 ans et demi et 14 ans et demi, clemeurant au quartier des Snapeux s'amusaient a traverser l'Ourthe peu profonde a eet endroit, quand soudain, ils furent engloutis par un tourbülon et coulèrent a pic. Ce ne fut que vers 6 heures, que l'on parvint a les retirer. •—))0((—• R A VERVIERS Ils veulent emöler les descendants d'Allemands On écrit de Verviers au « Courrier de 'a Meuse ». : « Beaucpup de jeunes gens belges, descendants d'allemands, ont cru qu'ils allaient devoir partir pour Ie roi de Brosse" Ils ont été convoqués et ont même passé une visite médicale, vous devinez leur émoi, leur fureur, leur tristesse.- Ausgitót, une protestation so'ennelle, signée par toutes les notabilités reslées en Belgique, a été adressée au gouverneur general et communiquée aux ministres des Etals-Unis, d'Espagrie et au nonce apostoMque. On croit que FA'tlemagne n'osera pas les incorparer. Et l'on respire un peu. Tous ces jeunes gens pïéféreraien t mourir que de éeryir la nation scélérate. Tous. s'üs le pouvaient iraient rejoindre l'armée beige. » A ANVERS Une exposition originate Une exposition tres óa-ig/gaalé vient de s'ouvrir dans 'un local de la rae des Lombards. On. y exbibe des denrées falsdiiées ou con'trefaites, saisies par l'Unioe contre Ia falsification des vivres et denrées, notamment des échantillons de soi-disant saueissons de Boulogne et d'une infecte matJere présenitéie en vente comnie-,. paté de foie ; des conlrefacons de savon de Marseiille, dé 'tabac, de cónflture, de bouillon' en cubes, de farine, oü apparalt l'esprit igndble de aertains fabrioants, qui ne dteroli-eait qu'a exptoiter ignomilniLeruaemient leurs malheureux compatriotes. i—ï)0«—* Hg|'' A ARLON \- Au barreau Les avQcats du barreau d'Arlon viennent de. proeéder a l'élèction "du balonnier et *des membres du conseil de Fordre. Ont été élus : M" E. Appelman; membres ;MesReuter, Kiesel, X. Michaëlis et Lenger Arüentes sraflties portitgaises pur notre pays. -1 La Belglpe sera un neiiple iini." La sympathie, 1Fadmiration vouées aux 'Belges, au roi Albert et a. la reine 'Elisa.beth. par les Portugais, des le début de la giMtfre, ne se ratentissent pas. ■Un de nos compatriotes ftxé h Madère depuis tres longtemps nous en communique iqueiques piieiwes.- Dans cette 11e, par exemple, oü avant la guerre, Ie nom de la Belgique était a peine connu du peuple qui le prenait pour celui d'une vLlle de France ou d'Angrteterre; vous li-siez aujourd'hui, comme enseigne de tel nuagasiin situé a un coin de rues ou parmi les champs, comme reclame d'une buvotte 'frêquentée par les ouvriers : «A Belgica ». Tine labriq-ue de cigares nouvqllement fondée èi Funchal pour Fexploitation d'un tabac national, les a nommés » Belgas ». Il n'est point de fè*es officielles, de manifeistat-tons patmiotiqutes — nombreuses depüiis la declaration de guerre de 1'Allemagneau Portugal — oü i'hêröïsme du roi Albert et de la Belgique ne soit rappelé et acelaméavec enthousiasme.'-»:>" La Brabmco'nne est devenue un air connu 'die tout le monde. Les journaux, Diario de Nolicias, Diario da Madeira, ete., malgré les mois qui passent' et repassent, censacrent fréquemment enoQre des articles pleins d'éloges, des vers a Fadresse du peuple beige du rei Albert, de Ia"«etoe Elisabeth. Le cardinal "Merciër a une très graaide part aussi- dans ce concert die veneration. Un nommé Cunha e Costa 'a raconté comment un poilu de l'Yser, qui _/Et eet en.lh0!usiaslmë d'un peuple qui pril exemiplet'suf la Belg-jq.ue pouir -sedanmvavec Be plus gtianid- d4sMëressêment clans-'■r«?èïi8'■', atfte-(iötés de J'Entente, ne fut pas - seiuïennient dianis la presse. Il oourut Ses rues : Des personnes de la haute société, rénjoootraint en ville, aux premiers jours de la guerre, notre compatriote dont la nationalïité est bien connue, ermient : « Vive la Belgique ! ». Tous les marchands de noufveauités se fournirent de ruèans aux couleurs nationales de la France et de la Belgique, et on sahiait partout des jeunes filles portant autour de leurs chapeaux nos couleurs beiges. Notre correspondant eut un jour a. s'adresser au directeur des Finances de Funohal pour pouvoir toucher le montant d'un mandat postal quïnvalidait une tache d'encre a 1'endroit principal. Le mandat ne ■■po uva it être payé, d'après les . règlements, qu'après son retour de Lisbonne d'oü il émanait. Oependant le directeur, vicomte de Géraz de Liina, voulan-t user d'une courtoisie spéciale a regard d'un Beige, non seulement le diispensa des formalités réglementair es, mais, avant choisi dans son tiroir les plus balies pieces d'argent qu'il y put trouver (il s'agissait de 7 escudos), il les dépêeha a notre compatriote par un couirricir extraordinaire, avec un mot charmant. Nous eouff.rons- dlu. joiiig allcmaaid ; niais tous les témoignages d'estime et d'amitié qui nous sont donnés partout ont de quoi faire envie a nos oppresseurs dont le seul nom est devenu-une bonte. Les enseignas allemandes, nombreusfès a Madère avant la guerre, ont dispara; toutes les maisons *** (( La Belgique, nous éorifc notre correspondiaint, a conquas une puissance morale immense et il me dépendïra que d'elle, en oonservant précieusement ses vertus . de race, den profiler loyaLement pour-sa grandeur future. )> Désormais aussi nous serons un peuple uni. Ceux qui combattaient autrefois le flamingantisme, et félqis l'un de ses adversaires acliarhés, restent émerveillés de la belle et noble attitude des professeurs de l'Universüé de Gand, qui, avéc tant d'ardeur, réelamaient sa flamandisation. En refusant le présent que nos ennemis boches voulaient iêur faire, ils ont acquis le droit, pour Vavenir, d'obtenir du gouvernement beige la realisation de leurs désirs, et les Walloiys, f en suis convaincu, discuteront fraternellement avec eux les avantages et les dësavanlages de cette innovation. » * * * » Par ces temps'd'exil, nous écrü41, des Belges liront peut-être enfin avec intérêt la Ms-te des oonnpakïot&s que j'ai vus a Madère et qui y ont sójourné \ M. et Mme Van Iseghem, m'aïntenant au Congo ; M. Salkin, magistrat a Elisabethville; M. Emile Salme, agent des Finances au Katanga," qui vint a Madère en seplembre 1915, au sortie des tranehóes belgés ; M. Droosée et sa familie; enfin M. Degroodt, un Anversois, revenu, du Congo pour aider voir sa mere en Angleterre oü il devint malade. » /VVW/l/VVVVVVVVVV\VVVlA\^/VVVVWVl^\\VVVVVVW\-VVVVvVVt IVos lecteurs troaveront en deuxième page, toutes les nouvelies de la guerre et les 1 dépêches de ladernihreheure i ivvvvvvvvvvvvvvvvvvvv\'vvvv\'v\ vvvvv vyyvvvwwwvwM LES YICTIMES DE LA TERREUR ALLEMANDE ENCORE UN AVOCAT LIE&tEOIS CONDAMNE Nous disions 1'autre jour que le nomb'ne' des 'Civile belges condanmés a mort par les tribunaux boches depuis les imassacres c)e' 1'invasion s'élève a inius de cinq cents. ■Cast par milkers qu'il faudrait .eoiinplea^' les Beiges ai'iêlés et emprisonnés ."paifr,: avoir osó manifester de Fuiie on de 1'autre1* facon leur patiriot-isme. « La vie est abominable ici, nous éerivait] ces joiirsci un do nos amis, de Brüxelles, etjnous avons.été stupéfaits de, trouver dansv le H Nieuwe Botlerdaimscho Courant » «a. extrait ct'un journal parisien invoqué pour1 faire eroire que notre situation est digue»' cl'cnvie. Inuli/te de demander d'oii^.de teiiles rumeurs onfc ipu partir.Delalions,suspiicions,.^ arrestations, conda.mnations, kumi/liations; eonstantes, sont, hélejs, toujours note lot1 quotidten. » Mk:i Prcsque au. même moment, nqus" 'reice>;vions de Liége la nouvelle de la condamna-.' tion de i'a.yocat Joan Da-bin, coupabfc do s'ètre dévóué corps et am e a son pays et a ses compatriotes. Traqué longtemps par.' les Boches, il fut arrêté sous (I'incutpafiori d'avoir collaboré a la courageuse c< Libre" Belgique » et d'avoir public des brocliurerfsans Fassehtimentdela censure. On Ie garde en detention preventive pendant plusieurs Xe concours portugais: Le Portugal fait effort pour preparer ur{ carps expéditiomiaire. La première division d'instruction, comma ndée ,par le ■giénéraf' Ta'manguin de Abreu e Silva, a été exercée: dans un camp pres de Lisbonne du 5 mal' a laTih de juillet, EHe compte, comme d'aiU' leuirs . toutes les divisions . portugaises,' 20,600 homtoes, répartis de . la fa con suivahte : •-Infanterie : 12 baitaikons de 1,100 bommeachacun;j Ca\)alerie : Un regiment ïle 800 hommes i ArtilIeTie,: 3 groupes de 4röis batteries', 'chaque batleiie comprénant 4 canons Cane t de 75..-3j«f; Génie ; U-nie • ciompagnie de sapeurs, mie! section de teiégraphie de campagne et ;'riësection de. T. S. F. . p Les services aimliaires comprenuentquatre ambulances sanitaii'es auxquello»*est affectée une section d'automobiles cemposée de 15 voil-ures, et 110 camions auto'mobiles' utilises par les services d'intenVdanqe:._v_ ..>.-^'.: Tout le materiel est complètement t.cuEet Ie gouvernemenit de Lisbonne a decide 'ö'ef oreer trois nouveaux camps d'instruetion^ ECHOS Un conseil de cabinet... s'est team mandi matin a Sainte-Adrèssef sous la présLdence de M. de BTOqueviitei«'''i Les horreurs de la guorrC On lit dans la « Tribune de Genève » i,^l « La fortune des eontribuables d'Amstéw dam felle qu'elle résulte des declaration! d'impöt. a laugmenté, en 1916, de plus d« 200 millions de francs. » Sympathies russes,^ L'association des bibliothécaires russèij récemment inauguré'e a Pé trograde, a priéi la Legation de Belgique en cette ville 'm. transmlettrè a l'Institut ïnternatiohail del bibliographic de Brüxelles, 1 "expression de! ses condoleances a Foccasion de la susp'eïcf sion forêée de s'es travaux, ainsi dü^l'l^ poir den voir bientót la renaissaiice; 4 —a— Marïage. J; Le 15 aoüt dernier a été célébré, dans Tm?" timité, a Llanidloes (Pays de Galles) m mairiage de M. .Gevaert, artiste pêintrè M soldat beige réforme après blessures da guerre, avec Mile Marie Minne, fille de MÏI George Minne, Ie sculpteur gantois bieai] connu ,et de Mme, née Destanberg, fijja elle-même du repu té poète et cluansonnietf flamand Napoléon Destanberg. Les jeunes mariés ont uni deux noms bïéjfficonnus a Gand. Ils comptenit chacun plussieurs parents qui combattent sur le fronlde l'Yser.,^ Une" veritable armee. Le personnel du ministère britanriai^» des munitions oonstitue une veritable aJÉ mée, tant par le nombre que par l'organw sa tion et. la discipline. Les bureaux centnaus oamptent a eux seuls cinq mille fonctiOOT naiires et employés. Le service des ïespec*! tions est assure par 30.000 personnes, dioaS 14.000 femmes. On sait que M. Lloyd George emploie Sgaf lament une femme comme chef de son

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