Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1914, 28 Juli. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 26 juni 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/g15t72842n/
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IW1 nu**» — — — ABONNEMENTS Pour toute la Belgique Un an. fr- 9.00 Sis mois ...... 4.S0 Trois mois • e . • • • Gr,-Duché de Luxemb. 20-00 Union portai* 80.110 Directeur : Fernand NEURAY Edition (6 h. soir) Edition JjtJf (10 h. soir) LE XX SIECLE Instaii^are oznnia in Ohristo s 354D gv ooow instant-are oznnia : Rédaction et Administration : 4, impasse de la Fidélité, 4, Bruxelles ANNONCES Annonces ordin.. petite ligne . Réclames (3* page), la ligue. 1.50 Faits divers corps . . » 4MQ Faits divers fin. . . » 3.00» Réparations judiciaires » 3.00 Nécrologies .... » 2»00 Laa annonces sont reçues au bureau du journa< 5 centimes le numéro uuiiivii -f- \ / _ - « rv ■ W t/ M I Les apologistes socialistes de Madame et de /ioosieur Caillaux a. ^0^' Le uJouriiaJ de Charleroi» de dimanche fn.it part a ses lecteurs des sentiments que lui inspire ip /procès Caillaux. Voici quelques r. '^article de la ftejiille socialiste : a'la soin». r-' fines* les cheta'^fcmcit son^mari^fiW1^^? «ne tttt^lauve pâvHii journalist..viô>^> scrupules, menacée elle-mçme dans ses sentiments les plus intimes, et s entendant cure par le plus haut représentant-de la loi que celle-ci est impuissante contre Ja gi e-dinerie.En cet état d'esprit, on arrive a un momeni où la raison perd son empire et où l'homme, poussé à bout, ne suit plus que l'impulsion de lu passion, sans réfléchir sur la portée, ni sui les conséquences de son acte. Et cc qui vient ici encore atténuer 1 horreui du meurtre, c'est la personne de la victime. I ne s'agit pas ici d'un homme égaré par la pas sion politique, qui, dans la défense d'une con viction, a outrepassé les bornes, il s'agit d ur de ces condottieri de la plume, qui mettent leui talent à la disposition de ceux qui les paient e se ruent, avec une énergie sauvage, sur la vie tirae qui leur est désignée : Ce qui ne les em pêche pas, d'ailleurs, d'offrir les dehors d ui parfait gentleman et d'arracher même un pieu à Maeterlinck, désolé de la perte que l'huma nité a faite en la personne d'un homme auss accompli que le directeur du «-'Figaro » ! » « Nous le répetons, nous ne pouvons ap prouver le meurtre, mais s'il pouvait servir ; inspirer une CRAINTE SALUTAIRE au: journalistes qui abusent à ce point de cctt arme terrible de la presse, il serait sorti quel que bien d'un grand mal. Tandis qu'il n'es pas à craindre que l'indulgence du jury dans 1 cas, qui nous occupe, soit susceptible d'encou rager à d'autres.attentats. Si nous étions juré, nous acquitterions nau la main ; et nous le ferions d'un cœur d'autan plus léger, que nous osons dire que, bien qu nous désapprouvions son acte, d'ailleurs purt ment impulsif, Madame Caillaux ne'nous pc raît PAS être pour cela INDIGNE DE L'E^ TIME PES HONNETES GENS. Il nous semble qu'on ne pourrait.en dire au _ tant de sa victime. » A la bonne heure. Voilà qui est parlé. Si 1 de la Seine pense comme le « Jourat 1 "^.roi^jion seulement il acquitter ^^Jjilicitant, mais il ordor _ . ^meite soit exhum r d'anciens î&iffl-âi AU CINQUANTENAIRE ' A 2 heures et_iiemie ,a_eu lieu. d mètté feàn^iaute' ïlvait^lS, quete iatot 0Émmm lux journalistes réactionnaires, une T* alkv U Men y mettant «S* tfŒK « vous en tireriez point a bas prix... .»» T Pc.'dIo», lui, pincc à présent la corde de l'attendrissement. Il est sucré ' ï le Sésintéressêment le plusintegre .^l _s est cSSf'ot i }*« s«. f°'i;gSSÏÏ nistre qui s'est vanté de ne soutenir auSena l'impôt sur le revenu que pour mieux: 1 eti ElerI Ce «saint» laïque manquait, en vérité sur les autels du .Peuple» I.- , On se croit tout permis contre les hou mes politiques, de meme qu on s imagine droit de tout attendre d eux ! i p ra« de M. Caillaux nous amène a an Vi font fin courage pour affronter semblab. jutte. pour dcscendf^dans telle arène... .. ecr le « Peuple ». rism^ s"tirurbot;mInfa'àmf^ tout permis°contre fes'^mme* politique SlrfdeTa presse eï| é'evé l'injure personnelle a la hauteui institution ? Quel P-4 '^H^uné ètXto ïSSaSM ^\l?.PeÙpl"eU^l«P; tieiens socialistes comme ri Caillaux a traité Gaston, Calmette, ces tovens seraient tous morts et enterres. V longtemps que les plus pros^ques îenu des vers... pour reprendre le mot de Dan \ consolant labre «flîglantine sur le cbe: de l'échafaud. La Semaine illustre ' -publie cette semaine un numéro fart, librement intéressant. Tous ceux q émus le tragique accident de Stockel i dront voir les fhotos prises quelq instants avant la catastrophe sur le du » d'aviation (Photos Dimitri). On trou- ■ aussi dans ce numéro un grand nombr ■ \ gravures intéressantes relatives al a11 ■ \ Caillaux et plusieurs photographies p- ■ tendant les fêtes nationales et au c $l\ de la visite que le lord-maire vien faire à Bruxelles. B Rappelons que la Semaine Illu H sera envoyée K- jusqu'au lei janvier 1915 I Pour 2 f r. 50 Ce sont les peuples, et noi les rois qui sont belli-qneui aujoord'lim iO« Dans le «Soir'» de.lundi, un anarchist étranger, déclarant, une fois de plus, 1 guerre à la guerre, menaçait 1 Europe de i événements les pljis terribles » pour le ca où l'Europe ne protégerait pas laberbie cor tre l'Autriche. Ce mouton pacifiste devien littéralement enragé. Il faudrait l entendr donner ses ordres a 1 Autriche, a 1 Europe et traduire le gouvernement autrichien a l barre de l'Histoire et de la Civilisation!. Jamais Esrw'iln.; .;ejg,u-ae& d u-.-ntr.gc d impe *',. 1 înte";-" . . fotci ijwr !■ m «e ger d c 1<j t ' ■ taja-t- >.!.£, huïaanrfftii'te, .'cr. 11 in< :I tal, fâs^S.aJ>t ce qu'il pouvait il y a u mois, poli. Ltétourner le public de plamdr l'archiduc François-Ferdinand et sa femm lâchement assassinés par des bandits soldes a écrit M. Lorand. De même que les sympa thies de cet humanitaire allaient, dès le 1er demain du crime, aux meurtriers, son aid est assurée, aujourd'hui, quoi qu'il adviennt à la Serbie, formellement accusée par J même M. Lorand d'être un foyer de conspin tions et un repaire d'assassins. — Si l'Europe ne protège la Serbie conti l'Autriche, prophétise l'Humanitaire d n Soir », les plus terribles événements sor a craindre: redoutez; diplomates, princes t bourgeois,l'insurrection de plusieurs millior de prolétaires ... Nous prenons la permission de demande combien de millions de « prolétaires » 01 donné mandat à l'Humanitaire du « Sou* 1 de parler en leur nom. Qui donc aujourd hi osorait soutenir sérieusement que la guerr - détestée par les peuples, ne-peut éclater qu t par le fait des gens de finance ou des hon : mes de Cour"? Les hommes de finance et 1< - hommes de Cour sont, d'une manière gén ^ raie, des facteurs de paix. Sans parler c [ leur conscience et de leur sentimentalité,lei 1 intérêt suffit à les détourner de rien fan pour déchaîner la guerre. C'est des peupl< t et des peuples uniquement que vient aujou t d'hui le péril. Voyez les manifestations bel. 3 queuses de Berlin et de Vienne. A qui fere - vous croire qu'il n'y a pas de prolétaires dai " ces foules qui acclament les soldats et ento " nent des chansons guerrières? Haines hérec taires, glorieux souvenirs, conflits d'intérê entre industries rivales, orgueil national tout le monde peut voir se détendre ces re e sorts, en ce moment, dans le prolétariat < 1 toutes les nations européennes. a- Il faut avoir perdu le sens commun po - nier cette évidence, pour soutenir de boni é foi que la guerre, détestée par les peuple voulue par les rois ou les diplomates uniqu i ment, dépend en ce moment du caprice < chef d'Etat. . . Qoo ^ jns'affftr ; ens de l'Humanitai ' -l.8ip? Vf y W. S£ Ave ». Ôn' y PaftW8Mu«Srt Ifenioréfi- ^;taù,r'po-kucs del r peuples ?oPnt souverains, qu ils sont la donceofe œs'" souverains6 se "jetteront dans fette sangfante folie vous aurez le droit de vous taire, tout simplement... bulletin politique L'Autriche et la Serbie poursuivent fiévreusement leurs préparatifs militaires mais à l'heure où nous écrivons aucun fat de guerre n'est venu creer une situatzo, irréparable. D'autre pari, toutes les chan celleries, à Vienne, comme a Londres , Rome, à Paris, à Saint-Pétersbourg, son absorbées dans leur travail de commuai cations et elles s'emploient a obtenir a ■ irrofit de la Serbie un sursis qui leur pe. ■ mettrait, en gagnant du temps, de_ conp ' rer le péril immédiat. Il serait prematw de parler de détente, mais la situation i ■ parait 'pas s'être aggravée et on ava n même, lundi après-midi, une lueur d e f0ll La Chambre turque a prisdimanc, une résolution prévue : elle a ad°Ve" motion introduisant dans son chef d o cusation contre le cabinet K™» llJ"c} :Z l'autorisation de debarquer des de «cl S ] ments de matelots internationaux penda es la ouerre, les délibérations et lechange a correspondances relatives a cette auton f lion avec l'amiral français, ce 9"i equt ! Tait à confier la ville de ContanHnopl ,rt une administration internationale- ^ rr^Tla dùcïiesse de Vondôm 1 nt Roi et de la Reme" ^ on M. yenlzelos et le grand-viî U" Des dépêches nous ont appris que M. V _ Jos, président du conseil des — - ^ rencontrer^^Bruxelles à la fin de ce n •C So4nt1intXéd%ïcrVn& eu- d^e^'tu'6rpVeésraceendes év n'a, ^ent9 actuels, cette réunion sera ajourn ou- ^oUr nos jeunos g< "mp '7e tionSipir^l^el l'étrange , de tn1,™vs°11qdue0 gon pays? L'occasion man Ve nos étudiants de voyager. Oeux Çft1™ le navire-école, ont tourné a difficnlt lurs ont institué une école-ambulante . ( de niL^ cadets à bord de <* ^vire> vi , toutes les parties du monde et font $t7ee une étude approfondie des pays etra Cette étude est a'a»tànt-plus fructaeu les cadets y rencontrent toutes tacui ' O^'iis sont pilotés par des hommes d rienS). Le -navire-école belge offre àc débouché précieux à notre jeunesse prenante. !• La répercussion du conflit austro-serbe en Belgique • î »<>« 1 Ls gouvernement prend ses mesures _ 3 • Lundi après-midi, b Des journaux annoncent que le ministre de f-. 3 la guerre a envoyé aux chefs de ^or-is «-es dépêches leur donnant des instructions ponr^-j-[ la demi-mobilisation, le dédoublement des j unités, la réquisition des chevaux, etc. yesj * instructions datent de quelques jours déjà e<; _ . n'ont nKllenic-iit été mo ivéés ? t • h l-'r' . extérieure. Elles sont ;i7ûpl;*>i.ent • .;it. y -•* 3 séquence de la-^réorganisation de ' 'nr- age j B elles sont destinées à préparer le passa 1 e de l'armée « du pied de paix normal au pied Tj de paix renforce ». . Ces instructions, qui ont été prescrites en j | _ Vue de circonstances.graves comme celles que { 1 e nous traversons, pourraient être appliquées f d'ici à vingt-quatre heures si l'horizon poli- l e tique ne se rassérénait pas. Elles prévoient k . notamment le rappel des classes de 1910, :( 1911 et 1912 qui, avec te. classe de 1913; nou g Q assureraient immédiatement un contingenta * a de 100,000 hommes avant la mobilisation ge-J t nérale. j- t, Il jest infiniment probable que le ministre , s de la guerre ordonnera ce soir le rapjiel de j: tous les soldats actuellement en congé. Un (y r conseil de cabinet doit se tenir dans la soirée H t au département de la guerre pour en déiibé-I, . t, rer et décider des mesures à prendre en cas? ; d'aggravation de la situation internationale/, ,r » Les puissances étrangères se sont préoccul ' 2 pées aussi des dispositions que le gouverne^ . t_ ment belge serait appelé à prendre dans lêf^ !S cas où la situation internationale ne s'amé i ,, iiorérait pas. C'est la conclusion que noua , e croyons pouvoir tirer des visites qu'ont faite^^ ir au ministère de la guerre les attachés raili- ! / e taires de quelques grandes nations. La Bourse est restée fermée lundi z- La Commission de la Bourse de Bruxelles,,, ls avait décidé qu'il n'y aurait pas Bourse lundi! Mesure opportune, nécessaire même, puisf a i- qu'elle empêche les financiers peu scrupuleux,,, ts d'opérer de fructueux coups de Bourse e»,>.^ ; lançant à tout instant des nouvelles a-usaL-,, gj fausses que sensationnelles. On n'a pas ide ;i ie de la quantité de iausses nouvelles qui cir ri culent en Bourse en ces temps troublés; n'a ir t"-on pas télégraphié, le jour même de la re ie mise de la note autrichienne^ que le Tsar étai w. s5 assassiné? Et encore que Belgrade était oc e' cupée par les Autrichiens 1 > ',/ le La Bourse de Bruxelles est donc restée y vide lundi; vide ou à peu près, car quelques re agents de change s_jL_v;>t néanmoins il très et de min; ol vsaetioBS s u j Comme v,n J l'"!4cvwTéJ^' cTr^'S^ V g pHRONlQUb m DU JoURt —»0"—• ses A BELŒIL me Nous avons dès hier souligné l^rtode P* commise à Belœil, par M. » d,( l'un des Trente - dans son hoinelie sur la ^ " Dommage qùé le çrince de Ligne figé dans s - Faute de son avis, on a eu celui de nombreu- ^ ses personnalités présentes aux fêtes ae di mAh^"on ne s'y gênait pas pour apprécier sévèrement le goâ de M, Destrée^|dtant, ; sous prétexte de s'associer à une fête, les - \\ ; n, ! I " à 11 Destrée sa désapprobation. t t ,oi ÉTRANGE, ETRANGE ! s, La .< Dernière Heure » avait p é vové promener, avec une désinvolture t0"te ,, sportive, les hommes de son parti qui osaientIr préconiser la constitution d un ministèrek lt cl'affaires. Aujourd'hui, et sans que rlOT aitf 5" fait nrévoir cette conversion, ce monstie la i trouve parmi ses marraines. Cette, illumina-\e tion soudaine viendrait-elle du troisième ap-J !e PQuoTqu'fl en soit, puisque la ,^Dernière C- Heure» veut nous imposer son filleul, ell' ha ferait bien de nous dire f! abor^n®x^ift^ue e- ce que c'est qu'un ministère sans pobtojuej , nn en trouvera les elements. V1 eut j nous dise donc où on dénichera les de gouvernement qui P aPPartlS°n®n* partis ~(l- f.ipon ou d'une autre a aucun t.e n s p -,a- politiques. Ce n'est sûrement iel dans notre situation politique actuelle. dU contraire8 Qu^eHe dm'ande donPc la dissoln- èni- neV, Tmo^Sui ïsu^Hement conquis de éympaihies... ient mus Chronique anversoise de sup- O-—- LE RETOUR OE L' « ALBERTVill-E X La malle congolaise « Albertville » est ar:me "8 lundi matin, à Anvers, avec 119 passagers, as our. g;; de première classe, 3o de seconde taS tra t^lrslc aété excellente, aucun malade n r s'il ";fsignalent une certa.ne agit: ntent ^udeunnD des révoltés;gvoyant cela, les autr igers! Région ™isi?ei le, P°^ ïarKl Usqeet TrXg ( -tre" Ifn aSme^de^yce publique.' —:y/ i, i; fî RiLÊxiiis trBE M. Qraindorgi «llf -—>o<i Nos aviateurs militaires —^double catastrophe gui a causé la mor t | te ix de nos aviateurs est encore pri ' X<-'' u toutes les mémoires : elle a frapp "■ triant plus l'esprit publie que, depui ^ institué et qu'il fonctionne active » Jl< »otre service d'aviation avait iehapp. I tf* >"'ra<Suleusement à tout accidea â&el. 0 ' arrivé à croire que h ,<tJt^tion tfF? ■•-jrh iel en service et la va 'J?*' *»t*Moae* d'instruction, et d'entraî f permettu tuf di nous er tira V <• une .casse inévitable d'appareils ei : , e.iulee d une gravité relative. If-événements ont prouvé que malçrt L aviateur est à la merci du moindre nient : c est u-n-e rupture de câble sont tuteur qui a provoqué la mort de Liedel. y Hubert a péri dans un véritable l^'dent de routage. Qiroi qu'on fasse, l'a-tTiUon restera longtemps encore un sport dangereux : pur cela même, elle $j\stitiiç pour l'armée une incomparable •ne a energie. il faut admirer sans réserve les officiers malgré, l'évidente du risque, continuent ,<~Vo;<er leur vie afin de doter leur pays engin de guerre dont le rendement est Tir e problématique : nul ne sait en effet f 19 quelle mesure l'emploi des aéroplanes ■n>rratt être utile aux armées — on fonde ' plus belles espérances, main jus- ■t idi il n y a que des présomptions à cet M. Us aviateurs n'en o-nt que plus de $"tt et j estime, pour ma part, que notre n* doit se feliciter de posséder wn service ■'mation militaire, dût-on ne pas en tirer ' temps de guerre tous les avantages qu'on t » < scompte aujourd'hui. il est utile en effet qu'il y ait dans notre ynee uîi service^ où le danger de mort est rmanent. Ainsi officiers et soldats s'habi- ' cnt a regarder le péril en face. L'officier rtont, dont la fonction spécifique est d'entamer les homme*, doit avoir l'occasion de •oyver, avant l'heure des combats, qu'il ne amt pas la mort et qu'il sait l'affronter < « faiblesse. A cet égard, les aviateurs ' mnent xm exemple sans égal : je les ai vus nature a leur dernière demeure les mal-jreucc camarades tombés au champ d'hon-"j- f'ft étaient profondément attristés; I k rt^ale trace de découragement ne sc> <>t dans lews regards que des larmes, à ■ r ie contenues, voilaient d'une infinie tris-Leurs'nains que ïai serrées ne trem-Leu/ attitude était toute de re-ffl On eut dit. que, malgré le mal-, Yv frappait, leurs cœurs se haus-More, dans l'orgueil du devoir à m fir quand mejne. De fait, quelques Y funérailles, ils reprenaient 1":] S«^grnu '§J«n ' faut pi"* pleurer les aviateurs (Pi'.- \ rirus au moment où la vie s ouvrait de-1 mt eu-x, pleine de séductions et de pi orties-•s, ils ont payé de leur «a;ig leur dévoue-ient A la Patrie, leur exemple ne sera pas e refit pour lu génération actuelle et pour ".lies à venir : W- pays n'a jamais trop 'exemples d1 héroïsme à offrir à la med-ita-ion de ses enfants. Graindorgo. >—i— A temps qu'il fait... et celui qu'il fera Les plus fortes pressions s'observent ton ours sur le sud-ouest du continent (Biairit, 6Lembaromètre descend rapidement sur; li nord-est de l'Allemagne, 1 est de la ::t les provinces russes avoismantes. 11 des cend aussi faiblement sur le sud de 1 AjjS'C erre, la Manche et la plus grande partie de 1, France et monte partout ailleurs. Lè vent est faible ou modéré d'entre sud sud-ouest et ouest sur nos contrées, ou la ten; "^Prévisions :° V?m noX'st, modéré i pluie rieui/l I Cil ,tère |■ " ;î||4ii Congrès ds Lourde — r^les g_ g ie cardinal Oranlto di Belmo gCy' ' parlant au Congrès de Lourdes, avec yg{r loin une intéressante lettr, % notre envoyé spécial). T-»& conflit austro-serbe UNE LUEUR D'ESPOIR pé | La réponse de la Serbie ^ rnltimatnm de l'Autriche , ' ,-^9us avons public hier,dans notre seconc retédition, la substance de la réponse remis tei samedi, un peu avant six heures, par le ro; «■sv-vernemenfc serbo au ministre d'Autriche. E ' j voici le texte intégral. Le télégramme c Le comte Berchtolcï. ministre des affaires étrangères d'Auiricha-Hongrie.tfâpsmettsit 06^ texte os£ a::ri-v. _ I "Les ligires hpngroi | 'Elle décline en principe toute reeponsa- O, h1lllté du chcf de manifestations individuelles ou privées. Le gouvernement royal ne peut pas ê?r« rendu îesponsable des manifestations d'un ca-ide lfCfîre pnvé* tels qu,e Jes aiticles des journaux et .es afiTissements de-sociétés, manifestations fi"1 se produisent dans presque tous les ou- pays comme unie chose ordinaire et qui cchap-bn pent en reg.e genéïale au contrôle officiel, d'au-de tant moins cjue le gouvernement royal, lors de la solution de toute une série de questions oui se sont présentées entre la Serbiç et l'Autri-cne-Hongne, a montré une grande prévenance et a réussi de cette façou à en régler le plus grand nombre au profit du progrès de? deux pays voisins. C'est pourquoi le gouvernement royal a été peniblement surpris par les affirmations d après lesquelles des personnes du royaume de Serbie auraient participé à la préparation de 1 attentat commis à Serajevo. Il s attendait à ctre invité à collaborer à la recherche de tout ce qui se rapporterait à ce crime i et ïl était prêt, pour prouver par des actes son entière correction, à agif contre toutes les personnes à 1 égard desquelles des com.nunica-[tions lui seraient faites. Néanmoins elle est prête à donner une première satisfaction à l'Autriche. ■ ^e„ rendant donc au désir du gouvernement impérial et royal, le gouvernement royal est dispose à remettre aux tribunaux tout sujet seibe, sans égard à sa situation et à son rang, pour la complicité duquel dans le crime de Sarajevo, des preuves lui seraient fournies. Il s engage spécialement à faire publier à la K^.,e,Pa^ Jo.urnal Officiel, en date du lô/Zb juillet, renonciation suivante : Le gouvernement royal de Serbie condamne tp"te . propagande qui serait dirigée contre 1 Autriche-Hongrie, c'est-à-dire l'ensemble des tendances qui aspirent en dernier lieu à détacher de la-monarchie austro-hongroise des territoires qui en font partie et il déplore sincèrement les conséquences funestes de ces agissements criminels. Le gouvernement royal regrette que certains othciers et fonctionnaires serbes aient participe, d'après la communication du crouverne-rnent impérial et royal, à ia propagande sus-menhonnee et compromis par là les relations » voismage auxquelles le gouvernement royal s était sciénnellement engagé par sa déclaration du 18/31 mars 1909 , 11 gouvernement, qui désapprouve et répudie toute idée ou tentative d'une immixtion clans les destinées des habitants do quelque partie de l'AutriGj^jÈi^ingrie que ce soit, con-sidei e qu il est de^n^^tir f0rmel-' ,emT fcec R ^ et toute la jl'Merajl r s" ''.«../Ijjr». Le pont international sur la Save reliant Belgrade à la ville hongroise de Semlin. Si réponse, on s'expliquera le flottement qui - s'était produit dans les premieres informations de samedi soir. La Serbie accedo aux réclamations de l'Autriche, avait-on dit tout d abord. Une heure après 011 annonçait que, la réponse étant défavorable, les négociations diplomatiques étaient rompues. La vérité, comme on le verra, est que la Serbie acquiesce à un certain nombre des lemandes formulées par 1 Autriche. Elle fa t i Jes réserves sur d'autres. C est ce qui a fait que lo ministre d'Autriche estimant la ic-ponse insuffisante, au gre des instructions catégoriques qu'il avait reçues, a rompu | relations diplomatiques. J IL_dtait intéressant de noter ces faits car I™ ta Serbie prévenu, - --* ments de 1909. ™;i,ïï'Sï.s sasvt *s?A=F^inSsSf ^ nationale que dans les décl l'Etat, pn M des représentants responsables de^i^x^, i Wf^-Ya^^nVm Ï tesifis ■:ê V' Le gouvernement royal constate Que sous /J | rapport le gouvernement .mpenal eyoya^ FA I cenieUunniîvrePscoUire, représentation au si M F^J%fpUca«=^ sàtîs nonte L^pfeuvès de^'f^I^Fc^bTika6^™ rée pendant la durée de la crise Da » tire 8 jpéenne que cette paix a été preserve Cette enonciation sera portée â ,la connaissante de l'aimée royale nar un ordre du jour signé au nom de S. M. le Roi par S. A.^ R. 1 prince-héritier Alexandre et sera P^bhc dans le prochain bulletin oltioel de 1 armee. Autres satisfactions et engagements que la Serbie prend vis-à-vis de l'Autriche. Le gouvernement royal s'engage en outre : 1° A introduire, dès la piennere convocation de la Skoupchtuna. une disposition dans la loi de la piesse pa, laquelle sera punie de la ma Al. Fatchitch, président du Conseil «M®h! f MARDI 28 JUILLET 1914 ^ L'UNION OANtJ ^'ACTION VINGTIEME ANNEE- N'209

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Dit item is een uitgave in de reeks Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1940.

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