L'indépendance belge

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s.n. 1917, 21 Maart. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 27 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/959c53g17d/
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5seffl«aimé** no m L'INDÉPENDANCE h0YAUIVîE-UNI : ONE PENNY BELGE. CONTINENT s 15 CENTIMES (HOLLANDE s 5 CENTS) ^rémATION ET REDACTION: p^^DE^BOTtW 1UNE STB., HIGH HOLBORN, W.C. 1. U* 1LACL ,,11 T£|.ePHONE : HOLBORN 1773-4 TELEPH.: j MERCREDI 21 MARS 1917, â En vente à Londres à 3 h. le mardi 20 mars. f 3 MOIS, 9 SHILLINGS. 1 lBONNEMENTS:j 6 MOIS, 17 SHILLINGS. [-Conservation par le Progrès', l 1 AN, 32 SHILLINGS. J LA SITUATION. Mardi, midi. ; fa retraite allemande continue avec 0 rapidité d'allure qui rend la pour-jiite ardue, même pour la cavalerie. Aujourd'hui, c'est du côté français que mus arrivent les nouvelles les plus sen-ationnelles. Nos Alliés, après avoir oc-jipé la deuxième ligne de défense alle-made à l'ouest de l'Oise, avancent rapi-ienient dans la direction de Saint-Quen-[ii. Au nord de Ham, ils ont capturé un uWoi ennemi qui s'était attardé, etc'esl jsns ce secteur que les progrès français :ont les plus marqués, leur avance toile, en profondeur, étant de 35 kilo-lètres. Une vingtaine de villages onl acore été libérés, ce qui, depuis sa-tedi, fait un total de 120. les troupes britanniques, de Leur côté; iTec les 40 libérés hier, ont porté lein ofcal à 100, et l'avance continue sui «te la ligne, depuis Arras jusqu'à Sois-sns.Cette dernière ville est actuellemenl égagée. La cavalerie maintient, tani ue possible, le contact avec l'arriérent! e ennemie, et, pour la première fois epuis septembre 1914, nos cavaliers onl n faire la chasse aux uhlans. Les aviateurs, eux aussi, prennenl art à cette chasse et poursuivent les roupes de cavalerie et d'infanterie aile jands à coups de mitrailleuses et de ombes. Il faut reconnaître que la retraite de 'adversaire se fait en bon ordre, et les onmraniqués franco-britanniques ne arlent toujours pas de prisonniers ni :e canons capturés. Si l'on tient compte jn grand nombre de canons de tout ca-ibre que nécessitait la guerre de tran-liées, il faut avouer que le marécha lindenburg a bien pris ses dispositions 1 qu'il a tout prévu. ; Les Allemands sont-, on le sait, passé? filtres dans l'art de voler, et la manie u pillage sévit jusque dans les maisons Hncières mais le "déménagement" au-nel ils ont procédé sur la Somme dé-isse tout ce qu'ils ont fait jusqu'ici. >nt ce qui pourrait avoir -la moindre leur est enlevé. Ce qu'ils n'ont pu em-irter, ils l'ont cassé, et il faut que nos toemis aient commencé ce déménage-ent depuis des mois. Beaucoup d'ar-'es fruitiers sont* coupés, certains ïamps éventrés, comme pour empêcher mte culture, et les rues principales omme à Péronne) transformées en (onceaux de ruines. Quant aux ponts et h routes, ils ont été rendus inutilisés provisoirement. Dans ces condi-»ns, il est assez amusant de voir le bmmuniqué de Berlin parler de 1' "hé-fetion" des Alliés à poursuivre l'armée [femande, qui se retire "conformément p plans de l'état-major." :Rien n'aurait mieux fait l'affaire de os ennemis que de voir les Alliés se Sucer imprudemment à leur poursuite | prêter le flanc à des contre-attaques •pi ont dû faire partie du programme |u maréchal Hindenburg. I La destruction de trois vapeurs amé-pains, coulés par les sous-marins alle-&nds, est considérée aux Etats-Unis Mme un acte de guerre. Dans les mi-■eux officieux on estime que l'état de ■uerre existe virtuellement dès à présent, W on croit savoir que le Président Wil-■pn convoquera immédiatement le Con-■jrès en vue de l'adoption de mesures dé-■ùsives plus étendues contre les pirates, •tamment le convoi des navires mar-Miands par des bâtiments de guerre et ■ chasse active des sous-marins alle mands par des contre-torpilleurs et des navires patrouilleurs. D'autre part, la démobilisation de 55,000 hommes de la Garde nationale fédérale, qui avait commencé, a été suspendue et le gouvernement a décidé d/'éviter à tout prix la grève des cheminots qui est sur le point d'éclater à propos de la journée de huit heures. L'arrêt des chemins de fer à l'heure où le pays est menacé de la crise la plus grave depuis la guerre de Sécession, équivau-, drait à un désastre national et aggraverait singulièrement la crise économique qug l'arrêt de la navigation (dû à la ; guerre sous-marine) a provoquée. Les chiffres statistiques publiés par le Département du Commerce établissent que la total des exportations pour le mois de février écoulé est en diminution de 147 millions de dollars et celui des importations de 42 millions, comparativement au mois de janvier, soit près d'un milliard de francs ! Ces chiffres prouvent une fois de plus que la guerre sous-marine atteint surtout le commerce des neutres, et on comprend que les succès des Alliés en France ont été accueillis avec une joie , exubérante chez la plupart des neutres, et notamment aux Etats-Unis, en Hollande et en Espagne. Pour eux comme pour nous, l'avance victorieuse des Alliés signifie la délivrance de l'affreux cauchemar qui ét-reint l'Europe. En Russie, le nouvel ordre des choses se raffermit de jour en jour. Le travail a repris dans la plupart des usines, les vivres arrivent régulièrement à Pétro-grad e.t à Moscou, la réorganisation de la police eit la gendarmerie avance rapidement, lete hauts fonctionnaires , gouvernementaux et provinciaux inféodés à l'ancien régime sont remplacés, les prisonniers politiques détenus dans les ' prisons provinciales ont été libérés, et les germanophiles, qui avaient des complices de marque dans l'eutourage immédiat du Tsa.r, cherchent leur salut dans la fuite. Le grand-duc Nicolas est arrivé à Pétrograd, et on annonce l'intention du gouvernement provisoire de publier un manifeste rendant à la Finlande les libertés que le régime autocratique lui avait illégalement ravies. Dans toutes les villes, des comités sont à l'œuvre pour réorganiser la vie économique du pays, dont l'armée et le peuple siéront les premiers à bénéficier, et le vent nouveau qui souffle semble avoir régénéré toute la nation. Sans doute, comme l'a déclaré M. Lloyd George aux Communes lundi soir, la période de danger du mouvement ré- i volutionnaire n'est pas encore passée, mais le peuple russe se rendra rapidement compte que la liberté n'est pas incompatible avec l'ordre, et il est à espérer que la nation rosse, affranchie, se montrera digne des libertés qu'elle s'est octroyées. Les éléments extrémistes partisans d'élections immédiates se soumettront sans doute patriotiquement aux raisons mises en avant par le gouvernement provisoire pour ajourner les élections jusqu'après la guerre, afin de permettre aux milliers de soldats montant la garde aux frontières de prendre part à un scrutin qui doit décider des destinées du pays. Cette trêve serait salutaire à tous les points de vue et constituerait une période transitoire qui permettrait au gouverne-■ ment de se consacrer entièrement à la poursuite vigoureuse de la guerre. la guerre européenne. Les Opérations Militaires. |«M LE FROHT OCCIDENTAL ; JlA MARCHE EN AVANT DES ALLIES. 1 ' ksl^0mmuniouea français. , ii i ISO villes et villages libérés —Coup allemand devant Verdun ■ Paris, lundi, 14 h. — Dans la nuit ■ nos détachements légers, se tenant en ^■contacte serré avec l'ennemi, ont con-H leur avance sans arrêt. ^1 de Nesle, nous avons atteint fi H tI P^sieurs pointe la voie ferrée de ■Ham à Nesle; - '^u nord de Noyon, nous avons oc-SR ^■C,|P8 Guiscard et nous avons lancé nos patrouilles le long de la route nationale de St-Quentin. A l'est de l'Oise nous avons capturé la deuxième position allemande. Le nombre de villes et de villages libérés par nous au cours de ces trois derniers jours est à présent denviron 100. De nombreuses localités ont été dévastées et pillées honteusement par l'ennemi. Des millliers d'habitants que les Allemands n'étaient pas parvenus à évacuer accourent à la rencontre de nos soldats pour leur souhaiter la bienvenue. En Argonne, dans le voisinage de la Harazée, nous avons exécuté un raid qui nous a permis de faire quelque prisonniers. Sur la rive gauche de la Meuse, ver la fin de la journée dhier, les Aile mands, après un violent bombarde ment dirigé sur le front d'Avocourt Mort-Homme, ont lancé une puissant attaque contre nos positions entre ce deux points. Notre tir de barrage et le feu d-nos mitrailleuses ont écrasé les vague d'assaut sur la plus grande partie di front, avant qu'elles aient pu attein dre nos lignes, et nous avons infligi de lourdes pertes à l'ennemi Dans la direction de la Côte 304 e sur la lisière du boi, H'Avocourt, oi des détachements ennemis étaient par venus à pénétrer dans nos lignes su un front d'environ deux cents mètres un vif combat corps-ù-corps s'est pro duit, à la suite duquel l'ennemi a ét partiellement refoulé de nos élément avancés. AVANCE DE 35 KIL0M. 20 nouveaux villages libérés. Paris, lundi, 23 h. — Dans la jour née nos troupes ont avancé au-del de Ham (sur la Somme) et de Chaun; (sur l'Oise). Nous occupons un grand nombre d localités entre ces deux villes. Notre cavalerie opère à plusieur kilomètres au nord de Ham et a cap turé un convoi qui se retirait dans 1 direction de St-Quentin. Notre avance à ce point atteint 31 kilomètres en profondeur. Au sud de Chauny nos détachement ont atteint la ligné Je la rivière Ai lette. Soissons a âfcé entièrement délivré de la pression enneii.-.e. Au nord-est" de Cr<">uy, nos élément avancés progressent le long de 1 route de Maubeuge. Dans la journée environ 20 petite villes et villages ont été libérés. L'ennemi, avant Je se retirer, ravagé tout le pays. Les fruits des ar bres ont été coupés et les champs on été détruits. De nombreux villages ont ét brûlés jusqu'à ras du sol. Leurs habi •tants laissés sans abris ni vivres, on été secourus par nos troupes. Le Voies de communication sont coupée à plusieurs points. Tous les ponts on été trouvés détruits. En Champagne le duel d'artilleri "a pris, cet après-midi, un caractèr assez violent dans la région de li Butte du Mesnil et à l'ouest d'Au berive. Sur la rive gauche de la Meuse nous avons repris presque tous les élé ments de tranchées où l'ennemi avai pris pied. Le combat continue. LES COMMUNIQUES BRITANNIQUES. Brillante poursuite- — 40 villages libérés. Londres, lundi, 9 h. 37.-—La pour suit de l'ennemi a été continué au jourd'hui, notre cavalerie et no; avant-gardes refoulant devant elles le arrière-gardes allemandes. Le terrain conquis s'étend sur un< profondeur variant entre trois et lî kilomètres et demi, et 40 villages d< lus sont tombés entre nos mains. L'ennemi a effectué, au point dt jour, des raids sur nos tranchées dan; le voisinage de Loos et au nord-es d'Ypres. Quelques-uns de nos hom mes manquent. Nos aéroplanes ont fait hie: d'excellente besogne en collaboratioi avec notre infanterie. Les troupes ennemies ont été atta quées avec succès par le feu de leur mitrailleuses, et des bombes ont ét jetées à un grand nombre d'endroit derrière les lignes allemandes. Un appareil allemand a été détrui et un autre contraint d'atterrir ei mauvais état au cours de combats aé riens. Deux de nos aéroplanes ne son pas rentrés. LES COMMUNIQUES ALLEMANDS. La " retraite " se poursuit sans en trave! Berlin, lundi après-midi. — Au cour, de ces derniers jours une partie de ter rain comprise entre la région d'Arra; et l'Aisne a été évacuée par nous, ei conformité avec nos plans. Les mouvements, préparés de longui main, ont été exécutés sans entrave d< la part de l'ennemi, qui nous poursui avec hésitation. Les troupes d'arrière-garde, par Ieu: conduite prudente et héroïque, ont dis simulé à l'ennemi l'évacuation de no positions et le départ de nos forces. Dans les régions évacuées les bâti ments des chemins de fer qui pouvaien être utilisés par l'ennemi ont été dé s truits. Une partie de la population, après avoir été pourvue pour cinq jours s de vivres, a été abandonnée à son pro- - pre sort. # * * Berlin, lundi soir. ■— Dans les ré-5 gions de la Somme et de l'Oise, i ly a eu 3 plusieur® engagements entre nos arrières-gardes et des détachements bri-3 tanniques et français en reconnaissance. 3 * » i 1 Le communiqué allemand affirme, en i outre, que les troupe® dassaut germaniques ont capturé plusieurs' lignes de j- tranchées françaises 'sur un front de j plus de 700 mètres près du bois de Ma-_ lancourt et la Côte 304, faisant 493 pri-r sonniers. A Bapaume. ; Le correspondant du "Petit Pari-? sien" près du quartier général britan-s nique écrit à ce journal : Nous avons vjgfEe les formidables tranchées que l'adversaire avait construites aux approches de Bapaume, les monceaux de munitions abandonnés par lui et six énormes défenses de fils de fer ^ barbelés rangées par intervalles. . La gare de chemin de fer n'existe plus et les voies ferrées pas davantage. Tout 3 a été soumis à l'explosion et à divers endroits la route a également disparu. s Trois batteries capturees. Les Français ont capturé trois batteries dans Noyon. 3 La Ligue Cimbrai-Saint-Quentin. Paris, lundi. — Le "Petit Parisien" s dit que "la ligne Cambrai-St-Quentin " serait remplie de troupes et puissamment défendue, et qu'il est possible que s l'ennemi tente ainsi d'imiter la manœuvre française, lors de la bataille de la s Marne; toutefois, les conditions ne sont 1 plus les mêmes." SUR LE FRONT BELGE. 1 Vif combat a la grenade au nord de fc Dixmude. Le Havre, dimanche. — Au nord-est de Kamscapelle et de Pervyse, " ainsi que près de Dixmude et de Steenstraete, il y a eu une grande ac-5 tivité d'artillerie des deux côtés. Il y - a eu un vif combat à la grenade au nord de Dixmude. : SUR LE FRONT MERIDIONAL i # * Les Autrichiens bombardent des hôpitaux Rome, lundi après-midi. •—■ Tout , le long du front, il y a eu une activité croissante d'artillerie, qui a été par-t ticulièrement marquée dans la vallée de la Lagarina. Nos hôpitaux de campagne à Gorizia et à Rouchi ont été atteints par les obus et quelques victimes y ont été causées. L'ennemi a tenté des raids sur nos positions dans la vallée de la Giumella (Torrent de Garda, Tonale) et dans le secteur de 3 Lucati (Carso), mais il a été tenu en s échec par la vigilance de nos troupes. Le beau temps prévalant, il y a eu 3 une grande activité aérienne. Après î un vif combat, deux aéroplanes enne-î mis ont été abattus, dont un est tombé dans nos lignes. La nuit dernière, un i de nos dirigeables, malgré un vent s violent, est parvenu à jeter une tonne t de hauts explosifs sur la gare de Gal-lia.no (vallée de la Lagarina) et sur la voie ferrée au nord de celle-ci, dans la direction de Mattarello. De bons ré-i sultats ont été observés. ; sue LES FRONTS RUSSES, s • ■ s Les Russes occupent Harunabad, en Perse Pétrograd, lundi après-midi. — "Il t y a eu à divers points du front com-1 pris entre la Baltique et les Carpathes des reconnaissances et des échanges de ^ feu d'infanterie. Sur le front roumain, il y a eu des rencontres de patrouilles et des échanges de feu d'infanterie. > En Perse. — Dans la région au sud 5 de la ville de Bane, nos troupes ont délogé les Turcs d'un certain nombre 3 de positions. L'ennemi se retire dans i la direction de Pendshevin. Dans la direction de Kermanshah, nos troupes, i poursuivant l'ennemi, ont occupé Ha-3 runabad (à 32 kil. au sud-ouest de Ker-t manshah). EN MESOPOTAMIE. War Office, lundi. — Dans la nuit du 17 au 18 mars, les troupes du gé-t néral Maude ont traversé la Dialah et occupé le village de Bakubah, sur la rive gauche de cette rivière. L'ennemi s'est précipitamment retiré vers Khanikin. OPERATIONS Nfitfll.ES. LE RAID DANS LA MANCHE. Un destroyer britannique coule. Amirauté, lundi. — Des contre-torpilleurs ennemis ont "Bombardé la plage non défendue de Ramsgate, pendant quelques minutes, au cours de la nuit du 17 au 18 mars. Les bateaux ennemis se sont retirés preipitamment devant nos forces locales et ont disparu dans l'obscurité. Il est impossible d'établir si des pertes leur ont été infligées. Presqu'au même moment des destroyers ennemis ont attaqué, un de nos contre-torpilleurs en patrouille à l'est du Pas de Calais et l'ont coulé d une torpille. Celui-ci, avant de couler, avait répondu au feu ennemi, usant de torpilles et d'obus. Le résultat en est inconnu. Il y a huit survivants de l'équipage, mais tous les officiers sont noyés. Un second destroyer britannique a été torpillé, mais peu sérieusement endommagé, au moment où il secourait les survivants du premier destroyer torpillé. Un bateau marchand britannique a été coulé par une torpille dans la partie septentrionale dpc Downs, dans la nuit du 17 au 18 mars. Les paroles et les actions. Malgré les assurances contraires, les Allemands continuent à attaquer les navires du Ravitaillement belge. Le "Se-lene" a pu échapper après avoir mis à la mer un canot qui fut démoli à coups de canon par lo sous-marin, et dont les huit occupants furent tués. Deux autres navires de la Commission, dont le "Tunisie," pourvus de sauf-conduits allemands, ont aussi été attaqués ; sept hommes ont été tués à bord du "Tunisie," qui s'est réfugié à Stavanger. — Reuter. Plusieurs Américains! ont perdu la vie dans le torpillage du "Vigilancia,"-annoncé hier. OPERATIONS AERIENNES. o Bombardement de Thionville et du Bassin de Briey. Paris, lundi, 14 heures. —> Les pî-î lotes français ont abattu trois aéroplanes allemands. Samedi sioir et dans la nuit du 17 au 18 mars, nos escadrilles aériennes ont bombardé les usines et fonderies de Thionville et le bassin de Briey (respectivement au nord et au nord-ouest de Metz) ainsi que des convois et des troupes ennemies en marche dans la région de Guiscard (au nord-est de Noyon). Le raid sur le comté de Kent. Londres, lundi.—M. Macpherson a informé cet après-midi à la Chambre des Communes M. P. Billing la raison pour laquelle lord Frenoh n'a pas publié un seooncl communiqué au sujet du raid de la nuit de vendredi sur les comtés sud-orientaux et de Kent, ni victimes ni dégâts ayant été faits. Cette communication complète ce que le public connaît déjà sur ce raid et donne un certain intérêt—spécialement pour les Londonniens—à la version allemande de cette expédition; que nous publions .ci-dessous, sans autre commentaires.La version allemande- Amsterdam, dimanche (retardé).—Un télégramme officiel de Berlin daté de samedi, dit : "Une de nos escadrilles de dirigeables de la marine, malgré de violentes contre-attaques de la part d'aviateurs ennemis et le feu des canons anti-aériens, a jeté avec succès, pendant la nuit du 16 au 17 mars, de nombreuses bombes sur! Londres et les comités sud-orientaux de l'Angleterre, au cours d'une attaque qui dura une demi-heure. Nos aviateurs sont rentrés intacts. "Suivant un communiqué français, le L.39 a été abattu par les canons antij aériens français près de Compiègne, au1 nord-est de Paris, et à une altitude de plus de 3,500 mètres." BELGIQUE. Le ravitaillement. On annonce de Berlin que les bruitft^ disant que la rupture des relations diplcK (Suite à la 4e page.)

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Dit item is een uitgave in de reeks L'indépendance belge behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1843 tot 1940.

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